undefined cover
undefined cover
Épisode 21 - Étendre au maximum les possibilités de la fiction avec Emmanuelle Bayamack-Tam cover
Épisode 21 - Étendre au maximum les possibilités de la fiction avec Emmanuelle Bayamack-Tam cover
Assez parlé, le podcast qui donne envie d'écrire de l'école Les Mots

Épisode 21 - Étendre au maximum les possibilités de la fiction avec Emmanuelle Bayamack-Tam

Épisode 21 - Étendre au maximum les possibilités de la fiction avec Emmanuelle Bayamack-Tam

28min |05/02/2022
Play
undefined cover
undefined cover
Épisode 21 - Étendre au maximum les possibilités de la fiction avec Emmanuelle Bayamack-Tam cover
Épisode 21 - Étendre au maximum les possibilités de la fiction avec Emmanuelle Bayamack-Tam cover
Assez parlé, le podcast qui donne envie d'écrire de l'école Les Mots

Épisode 21 - Étendre au maximum les possibilités de la fiction avec Emmanuelle Bayamack-Tam

Épisode 21 - Étendre au maximum les possibilités de la fiction avec Emmanuelle Bayamack-Tam

28min |05/02/2022
Play

Description

Dans cet épisode, Emmanuelle Bayamack-Tam revient sur ses “lectures omnivores”,  ses premiers travaux d’écriture qui ne se réduisaient pas aux journaux intimes d’adolescente mais constituaient déjà de vraies fictions. Elle raconte sa rencontre avec le grand éditeur Jérôme Lindon... 



Emmanuelle Bayamack-Tam ressemble à un personnage de fiction. On l’imagine bien, en forçant à peine le trait, jouer son propre rôle au cinéma : celui d'une écrivaine reconnue, aussi altière et tranchante que sa plume, sur laquelle des étudiant.e.s pourraient se pencher pour rédiger leurs travaux universitaires. Elle expliquerait aux un.e.s et aux autres, comme dans ce podcast, la façon dont elle fait vivre ses personnages mutants et travaille ses obsessions romanesques depuis l’enfance.


Autrice de 12 romans sous son nom et de 4 autres signés du pseudonyme Rebecca Ligheri, Emmanuelle Bayamack-Tam construit une œuvre exigeante et extravagante, qui transgresse les codes, et ne craint jamais de déranger le lecteur, voire de le transformer. L’un de ses derniers romans, “Arcadie” (POL), met en scène une adolescente de 14 ans, Farah, qui grandit dans une communauté libertaire au sein d’un lieu situé en zone blanche, nommé “Liberty house” et se lance dans une enquête très personnelle sur son identité sexuelle. On retrouve dans ce livre ce qui fait la singularité d’Emmanuelle Bayamack-Tam. Une audace subversive, un mélange d’érudition et d’humour familier et surtout une façon unique de questionner le corps, le genre, la monstruosité et la normalité. 


Dans cet épisode, l’écrivaine revient sur ses “lectures omnivores”,  ses premiers travaux d’écriture qui ne se réduisaient pas aux journaux intimes d’adolescente mais constituaient déjà de vraies fictions. Elle raconte sa rencontre avec le grand éditeur Jérôme Lindon, à 17 ans, dans des circonstances terriblement intimidantes. Nous ouvre les coulisses de sa création, en décrivant précisément ses systèmes de brouillon et son rapport, de plus en plus assumé à deux piliers essentiels de sa liberté d’écriture : d’une part le pseudonyme et d’autre part, l’emprunt. 


En juin 2021, Emmanuelle Bayamack-Tam avait animé à l’école Les Mots une masterclass en tandem avec le jeune romancier Hugo Lindenberg sur le thème “faire vivre ses personnages”. Elle en a tiré une autre masterclasse sur le même thème que vous pouvez visionner en replay à tout moment. https://lesmots.co/atelier/masterclass-faire-vivre-ses-personnages-avec-emmanuelle-bayamack-tam


Extrait lu dans l’épisode

“Arcadie” d’Emmanuelle Bayamack-Tam (POL) Page 14

Crédits pour l’épisode 21

Création et réalisation : Lauren Malka. Montage : Noémie Sudre Musique : “Machine à écrire” Paroles : Louise Pressager / Musique Ferdinand Identité graphique : Nina Jovanovic. Direction générale : Elise Nebout. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Dans cet épisode, Emmanuelle Bayamack-Tam revient sur ses “lectures omnivores”,  ses premiers travaux d’écriture qui ne se réduisaient pas aux journaux intimes d’adolescente mais constituaient déjà de vraies fictions. Elle raconte sa rencontre avec le grand éditeur Jérôme Lindon... 



Emmanuelle Bayamack-Tam ressemble à un personnage de fiction. On l’imagine bien, en forçant à peine le trait, jouer son propre rôle au cinéma : celui d'une écrivaine reconnue, aussi altière et tranchante que sa plume, sur laquelle des étudiant.e.s pourraient se pencher pour rédiger leurs travaux universitaires. Elle expliquerait aux un.e.s et aux autres, comme dans ce podcast, la façon dont elle fait vivre ses personnages mutants et travaille ses obsessions romanesques depuis l’enfance.


Autrice de 12 romans sous son nom et de 4 autres signés du pseudonyme Rebecca Ligheri, Emmanuelle Bayamack-Tam construit une œuvre exigeante et extravagante, qui transgresse les codes, et ne craint jamais de déranger le lecteur, voire de le transformer. L’un de ses derniers romans, “Arcadie” (POL), met en scène une adolescente de 14 ans, Farah, qui grandit dans une communauté libertaire au sein d’un lieu situé en zone blanche, nommé “Liberty house” et se lance dans une enquête très personnelle sur son identité sexuelle. On retrouve dans ce livre ce qui fait la singularité d’Emmanuelle Bayamack-Tam. Une audace subversive, un mélange d’érudition et d’humour familier et surtout une façon unique de questionner le corps, le genre, la monstruosité et la normalité. 


Dans cet épisode, l’écrivaine revient sur ses “lectures omnivores”,  ses premiers travaux d’écriture qui ne se réduisaient pas aux journaux intimes d’adolescente mais constituaient déjà de vraies fictions. Elle raconte sa rencontre avec le grand éditeur Jérôme Lindon, à 17 ans, dans des circonstances terriblement intimidantes. Nous ouvre les coulisses de sa création, en décrivant précisément ses systèmes de brouillon et son rapport, de plus en plus assumé à deux piliers essentiels de sa liberté d’écriture : d’une part le pseudonyme et d’autre part, l’emprunt. 


En juin 2021, Emmanuelle Bayamack-Tam avait animé à l’école Les Mots une masterclass en tandem avec le jeune romancier Hugo Lindenberg sur le thème “faire vivre ses personnages”. Elle en a tiré une autre masterclasse sur le même thème que vous pouvez visionner en replay à tout moment. https://lesmots.co/atelier/masterclass-faire-vivre-ses-personnages-avec-emmanuelle-bayamack-tam


Extrait lu dans l’épisode

“Arcadie” d’Emmanuelle Bayamack-Tam (POL) Page 14

Crédits pour l’épisode 21

Création et réalisation : Lauren Malka. Montage : Noémie Sudre Musique : “Machine à écrire” Paroles : Louise Pressager / Musique Ferdinand Identité graphique : Nina Jovanovic. Direction générale : Elise Nebout. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like

Description

Dans cet épisode, Emmanuelle Bayamack-Tam revient sur ses “lectures omnivores”,  ses premiers travaux d’écriture qui ne se réduisaient pas aux journaux intimes d’adolescente mais constituaient déjà de vraies fictions. Elle raconte sa rencontre avec le grand éditeur Jérôme Lindon... 



Emmanuelle Bayamack-Tam ressemble à un personnage de fiction. On l’imagine bien, en forçant à peine le trait, jouer son propre rôle au cinéma : celui d'une écrivaine reconnue, aussi altière et tranchante que sa plume, sur laquelle des étudiant.e.s pourraient se pencher pour rédiger leurs travaux universitaires. Elle expliquerait aux un.e.s et aux autres, comme dans ce podcast, la façon dont elle fait vivre ses personnages mutants et travaille ses obsessions romanesques depuis l’enfance.


Autrice de 12 romans sous son nom et de 4 autres signés du pseudonyme Rebecca Ligheri, Emmanuelle Bayamack-Tam construit une œuvre exigeante et extravagante, qui transgresse les codes, et ne craint jamais de déranger le lecteur, voire de le transformer. L’un de ses derniers romans, “Arcadie” (POL), met en scène une adolescente de 14 ans, Farah, qui grandit dans une communauté libertaire au sein d’un lieu situé en zone blanche, nommé “Liberty house” et se lance dans une enquête très personnelle sur son identité sexuelle. On retrouve dans ce livre ce qui fait la singularité d’Emmanuelle Bayamack-Tam. Une audace subversive, un mélange d’érudition et d’humour familier et surtout une façon unique de questionner le corps, le genre, la monstruosité et la normalité. 


Dans cet épisode, l’écrivaine revient sur ses “lectures omnivores”,  ses premiers travaux d’écriture qui ne se réduisaient pas aux journaux intimes d’adolescente mais constituaient déjà de vraies fictions. Elle raconte sa rencontre avec le grand éditeur Jérôme Lindon, à 17 ans, dans des circonstances terriblement intimidantes. Nous ouvre les coulisses de sa création, en décrivant précisément ses systèmes de brouillon et son rapport, de plus en plus assumé à deux piliers essentiels de sa liberté d’écriture : d’une part le pseudonyme et d’autre part, l’emprunt. 


En juin 2021, Emmanuelle Bayamack-Tam avait animé à l’école Les Mots une masterclass en tandem avec le jeune romancier Hugo Lindenberg sur le thème “faire vivre ses personnages”. Elle en a tiré une autre masterclasse sur le même thème que vous pouvez visionner en replay à tout moment. https://lesmots.co/atelier/masterclass-faire-vivre-ses-personnages-avec-emmanuelle-bayamack-tam


Extrait lu dans l’épisode

“Arcadie” d’Emmanuelle Bayamack-Tam (POL) Page 14

Crédits pour l’épisode 21

Création et réalisation : Lauren Malka. Montage : Noémie Sudre Musique : “Machine à écrire” Paroles : Louise Pressager / Musique Ferdinand Identité graphique : Nina Jovanovic. Direction générale : Elise Nebout. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Dans cet épisode, Emmanuelle Bayamack-Tam revient sur ses “lectures omnivores”,  ses premiers travaux d’écriture qui ne se réduisaient pas aux journaux intimes d’adolescente mais constituaient déjà de vraies fictions. Elle raconte sa rencontre avec le grand éditeur Jérôme Lindon... 



Emmanuelle Bayamack-Tam ressemble à un personnage de fiction. On l’imagine bien, en forçant à peine le trait, jouer son propre rôle au cinéma : celui d'une écrivaine reconnue, aussi altière et tranchante que sa plume, sur laquelle des étudiant.e.s pourraient se pencher pour rédiger leurs travaux universitaires. Elle expliquerait aux un.e.s et aux autres, comme dans ce podcast, la façon dont elle fait vivre ses personnages mutants et travaille ses obsessions romanesques depuis l’enfance.


Autrice de 12 romans sous son nom et de 4 autres signés du pseudonyme Rebecca Ligheri, Emmanuelle Bayamack-Tam construit une œuvre exigeante et extravagante, qui transgresse les codes, et ne craint jamais de déranger le lecteur, voire de le transformer. L’un de ses derniers romans, “Arcadie” (POL), met en scène une adolescente de 14 ans, Farah, qui grandit dans une communauté libertaire au sein d’un lieu situé en zone blanche, nommé “Liberty house” et se lance dans une enquête très personnelle sur son identité sexuelle. On retrouve dans ce livre ce qui fait la singularité d’Emmanuelle Bayamack-Tam. Une audace subversive, un mélange d’érudition et d’humour familier et surtout une façon unique de questionner le corps, le genre, la monstruosité et la normalité. 


Dans cet épisode, l’écrivaine revient sur ses “lectures omnivores”,  ses premiers travaux d’écriture qui ne se réduisaient pas aux journaux intimes d’adolescente mais constituaient déjà de vraies fictions. Elle raconte sa rencontre avec le grand éditeur Jérôme Lindon, à 17 ans, dans des circonstances terriblement intimidantes. Nous ouvre les coulisses de sa création, en décrivant précisément ses systèmes de brouillon et son rapport, de plus en plus assumé à deux piliers essentiels de sa liberté d’écriture : d’une part le pseudonyme et d’autre part, l’emprunt. 


En juin 2021, Emmanuelle Bayamack-Tam avait animé à l’école Les Mots une masterclass en tandem avec le jeune romancier Hugo Lindenberg sur le thème “faire vivre ses personnages”. Elle en a tiré une autre masterclasse sur le même thème que vous pouvez visionner en replay à tout moment. https://lesmots.co/atelier/masterclass-faire-vivre-ses-personnages-avec-emmanuelle-bayamack-tam


Extrait lu dans l’épisode

“Arcadie” d’Emmanuelle Bayamack-Tam (POL) Page 14

Crédits pour l’épisode 21

Création et réalisation : Lauren Malka. Montage : Noémie Sudre Musique : “Machine à écrire” Paroles : Louise Pressager / Musique Ferdinand Identité graphique : Nina Jovanovic. Direction générale : Elise Nebout. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like