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Chasselay - Tirailleurs : le vieux soldat qui a défié les nazis pour eux cover
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120 ans 120 lieux

Chasselay - Tirailleurs : le vieux soldat qui a défié les nazis pour eux

Chasselay - Tirailleurs : le vieux soldat qui a défié les nazis pour eux

17min |20/06/2025
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Description

Dans cet épisode bouleversant, on revient sur une page méconnue — voire délibérément oubliée — de l’histoire française : celle des soldats africains de la Seconde Guerre mondiale, massacrés, humiliés, puis invisibilisés. Au cœur de ce récit : le Tata de Chasselay, une nécropole unique près de Lyon, érigée en pleine occupation nazie, par un homme seul, Jean Marchiani, pour honorer ceux que même la France officielle refusait de considérer comme des frères d’armes.

On parle de ces tirailleurs sénégalais, envoyés en première ligne, sacrifiés par l’armée française, puis exécutés froidement par les nazis, parfois même écrasés sous des chars.


On revient aussi sur les camps nazis, où les soldats noirs capturés étaient traités avec une brutalité inouïe, souvent privés de soins, de nourriture, de tout semblant d’humanité. Certains d’entre eux, comme Léopold Sédar Senghor, en réchapperont de justesse — transformant l’horreur en poésie.

Mais l’horreur ne s’arrête pas à la Libération. Le massacre de Thiaroye à Dakar, en 1944, vient boucler cette boucle tragique. Des soldats africains revenus vivants des stalags allemands sont abattus par l’armée française… pour avoir osé demander l’égalité.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Dans cet épisode bouleversant, on revient sur une page méconnue — voire délibérément oubliée — de l’histoire française : celle des soldats africains de la Seconde Guerre mondiale, massacrés, humiliés, puis invisibilisés. Au cœur de ce récit : le Tata de Chasselay, une nécropole unique près de Lyon, érigée en pleine occupation nazie, par un homme seul, Jean Marchiani, pour honorer ceux que même la France officielle refusait de considérer comme des frères d’armes.

On parle de ces tirailleurs sénégalais, envoyés en première ligne, sacrifiés par l’armée française, puis exécutés froidement par les nazis, parfois même écrasés sous des chars.


On revient aussi sur les camps nazis, où les soldats noirs capturés étaient traités avec une brutalité inouïe, souvent privés de soins, de nourriture, de tout semblant d’humanité. Certains d’entre eux, comme Léopold Sédar Senghor, en réchapperont de justesse — transformant l’horreur en poésie.

Mais l’horreur ne s’arrête pas à la Libération. Le massacre de Thiaroye à Dakar, en 1944, vient boucler cette boucle tragique. Des soldats africains revenus vivants des stalags allemands sont abattus par l’armée française… pour avoir osé demander l’égalité.


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Dans cet épisode bouleversant, on revient sur une page méconnue — voire délibérément oubliée — de l’histoire française : celle des soldats africains de la Seconde Guerre mondiale, massacrés, humiliés, puis invisibilisés. Au cœur de ce récit : le Tata de Chasselay, une nécropole unique près de Lyon, érigée en pleine occupation nazie, par un homme seul, Jean Marchiani, pour honorer ceux que même la France officielle refusait de considérer comme des frères d’armes.

On parle de ces tirailleurs sénégalais, envoyés en première ligne, sacrifiés par l’armée française, puis exécutés froidement par les nazis, parfois même écrasés sous des chars.


On revient aussi sur les camps nazis, où les soldats noirs capturés étaient traités avec une brutalité inouïe, souvent privés de soins, de nourriture, de tout semblant d’humanité. Certains d’entre eux, comme Léopold Sédar Senghor, en réchapperont de justesse — transformant l’horreur en poésie.

Mais l’horreur ne s’arrête pas à la Libération. Le massacre de Thiaroye à Dakar, en 1944, vient boucler cette boucle tragique. Des soldats africains revenus vivants des stalags allemands sont abattus par l’armée française… pour avoir osé demander l’égalité.


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Dans cet épisode bouleversant, on revient sur une page méconnue — voire délibérément oubliée — de l’histoire française : celle des soldats africains de la Seconde Guerre mondiale, massacrés, humiliés, puis invisibilisés. Au cœur de ce récit : le Tata de Chasselay, une nécropole unique près de Lyon, érigée en pleine occupation nazie, par un homme seul, Jean Marchiani, pour honorer ceux que même la France officielle refusait de considérer comme des frères d’armes.

On parle de ces tirailleurs sénégalais, envoyés en première ligne, sacrifiés par l’armée française, puis exécutés froidement par les nazis, parfois même écrasés sous des chars.


On revient aussi sur les camps nazis, où les soldats noirs capturés étaient traités avec une brutalité inouïe, souvent privés de soins, de nourriture, de tout semblant d’humanité. Certains d’entre eux, comme Léopold Sédar Senghor, en réchapperont de justesse — transformant l’horreur en poésie.

Mais l’horreur ne s’arrête pas à la Libération. Le massacre de Thiaroye à Dakar, en 1944, vient boucler cette boucle tragique. Des soldats africains revenus vivants des stalags allemands sont abattus par l’armée française… pour avoir osé demander l’égalité.


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