Speaker #0Bonjour, je vous souhaite bonne nuit, bienvenue dans un nouveau épisode de 7 semaines, le podcast qui vous donne 7 trucs aux cultures par semaine. Commençons avec Dîner à l'anglaise de Matt Wynne avec Rufus Sewell, Alan Tudyk, Charlie Anderson et Olivia Williams actuellement en salle. Sarah et Tom sont en proie à de graves difficultés financières. Leur seule solution est de vendre leur maison londonienne. Lorsque leurs amis débarquent pour un dernier dîner, Jessica, une vieille amie, s'invite et se joint à eux. Après une dispute à première vue sans importance, Jessica se pend dans le jardin. Tom s'apprête à appeler la police lorsque Sarah réalise que, si l'acheteur la prend, la vente tombe à l'eau, ruinant ainsi leur couple. La seule façon de s'en sortir est de ramener le corps de Jessica dans son propre appartement. Après tout, qu'est-ce qui pourrait mal tourner ? Drame grinçant typique de l'humour anglais qui m'a beaucoup rappelé The Party de Sally Potter, sorti en 2017. J'ai beaucoup aimé ce film qui va révéler le vrai visage des différents protagonistes au fur et à mesure de l'histoire. Leurs regrets, leurs rancunes, leurs petits secrets. On jubile pendant 1h30 de savoir jusqu'où ils vont aller, même si on sent bien que la mesquinerie sert aussi à masquer le choc du décès de Jessica. Mention spéciale à la visite de la maison avec le couple d'acheteurs, car oui, parmi les nombreuses personnes qui vont venir les déranger lors de ce dîner, les acheteurs débarquent, car le mari est de passage à Londres pour quelques heures et veut quand même voir dans quoi il va investir plus d'un million de livres. Marie jouée par Sylvester Groth et son accent allemand, qui est peut-être mon personnage préféré. Les cartons de texte viennent chapitrer le récit, et c'est toujours sur la même formule, le problème avec Jessica, rappelant le titre VO, Trouble with Jessica. Et donc nous avons des problèmes avec Jessica, avec les voisins, avec la culpabilité, avec le fait de transporter un cadavre dans une voiture en plein Londres à 2h du matin et avec la vie tout simplement. Quelques longueurs, j'ai vraiment eu l'impression que le film durait plus longtemps qu'1h30, mais les dialogues parviennent à maintenir le rythme donc on ne s'ennuie pas. Une fin très douce amère comme savent si bien le faire les anglais, et un film qui... probablement vous donnera envie de manger du clafoutis. On change radicalement de sujet avec Les fantômes de Jonathan Millier avec Adam Bessa et Tophic Barham. Inspiré de faits réels, Hamid est membre d'une organisation secrète qui traque les criminels de guerre syriens cachés en Europe. Sa quête le mène à Strasbourg sur la piste de son ancien bourreau. Filme d'espionnage aux allures de films documentaires, on va ici beaucoup se concentrer sur l'attente des personnages. Attente de trouver sa cible. d'avoir la confirmation que c'est bien la bonne personne, et ensuite, l'attente de pouvoir agir. Sans se faire repérer, car leur situation ne permet pas d'agir de manière officielle. L'espion n'est ici pas un agent du gouvernement formé pour ça. C'est une victime qu'on va utiliser pour sa connaissance plus ou moins grande de ces tortionnaires et sur les méthodes d'action de ce genre de groupe. Pour travailler, ils doivent se concentrer sur les sons, la voix des personnes qu'ils traquent, mais aussi sur leur odeur. Quelle trace olfactive garde-t-on d'une personne qui a été au plus proche de vous pour vous torturer ? Le film joue aussi beaucoup sur l'attente. Plutôt que de filmer la confrontation entre deux personnes, on va se concentrer sur le trajet jusqu'à un rendez-vous. Ou encore une scène dans un restaurant qui est très oppressante, alors qu'il n'y s'y passe rien, mais que c'est une scène où il y a tellement d'enjeux, où tellement trop de choses pourraient s'écrouler. On est peut-être encore plus stressé que les personnages, et ça joue avec notre attente et les connaissances que l'on a que n'ont pas les personnages. Le réalisateur a commencé comme réalisateur pour des banques d'images, et il expliquait que c'est pour cette raison qu'il a voulu autant jouer avec nos attentes et nos espérances, de par son habitude à filmer des choses qui peuvent vouloir dire des dizaines de choses différentes. Beaucoup de critiques mettent en lien ce film avec celui de Roman Polanski, La jeune fille et la mort. C'est un film que je n'ai pas encore vu, mais du coup je suis très intéressée parce que c'est vraiment un schéma narratif qui me plaît. Ça dure 1h46 et c'est distribué par Memento Films. Quel est le point commun entre The Wicker Man, Le Village, Midsommar, The Ritual, Darkwood ? les écrits de James Fraser ou ceux d'Algernon Blackwood. Vous l'aurez deviné, il s'agit de la folk-horreur, sous-genre de l'horreur où l'intrigue se passe généralement dans un environnement rural, avec un fort sous-texte de croyances religieuses ou païennes. C'est sur ce genre précisément que Kierla Janis, cinéaste canadienne, se base pour réaliser son documentaire, Woodlands Dark and the Day Bewitched, disponible actuellement sur Shadows et découpé en trois épisodes d'une heure. Elle revient sur les prémices de ce genre au cinéma, comme en littérature avec de nombreux intervenants qui l'aident à retracer 50 ans de cinéma, voire un peu plus, car Axan sera évoqué, et c'est un film qui est sorti dans les années 20, je crois, dans les années 30, je ne sais plus trop, mais en tout cas c'est bien plus vieux que les années 60, à partir desquels va vraiment se concentrer le documentaire. Pour les intervenants, il y a du beau monde, les réalisateurs Pierre Sagard et Robert Eggers, entre autres, Anthony Schaeffer, qui est le scénariste de The Wicked Man, et des auteurs tels que Adam Scovell et Jonathan Rigby. qui ont beaucoup écrit sur la folk-horreur et le cinéma. Et au total, une cinquantaine d'interviews pour retracer tout un courant très très riche qui inspire autant qu'il va puiser lui dans des genres déjà existants. Parce qu'un film de folk-horreur, c'est souvent mêlé à un autre genre. Possession, survival, slasher, film de sorcière, film de vampire... etc. Le folklore horrifique s'établit dans les récits à forte composante païenne pour rapidement s'élargir vers la sorcellerie, les rites indiens, les particularités brésiliennes et les zombies, ou même les rednecks, qui sont le folk par essence et donc jamais bien loin du folk horror. Pour creuser davantage le sujet, je vous conseille aussi le dernier épisode de Shadowscast, le podcast de la plateforme de Screaming Shadows, où Laurent Durange et Aurélien Zimmermann de la team Shadows sont accompagnés de Sophie Gresh, de réaliser son trucage. et de Diane DeWallid, réalisateur et producteur. Et ils reviennent ensemble sur le sujet autour principalement de quatre films, mais ils parlent aussi de ce documentaire, et c'est eux qui m'ont donné envie de le voir. Et donc c'est un documentaire passionnant, même si j'ai pas tout à fait fini de le regarder, j'ai regardé à peu près la moitié, et je pense que je vais pouvoir me garder l'autre moitié pour quand j'aurai un petit peu plus de temps, parce que c'est un documentaire qui est assez riche, assez dense. C'est pas le genre de documentaire que vous pouvez mettre en podcast, par exemple, en allant faire autre chose. à côté, là, il y a vraiment plein d'extraits de films qui sont montrés et décortiqués, donc c'est bien d'avoir un œil dessus. Vous avez déjà sans doute vu une œuvre de Banksy dans la rue ou sur les internets. Mais connaissez-vous son premier film, Faites le mur ? Exit through the gift shop, sorti en 2010. Il s'agit d'un documentaire sur Thierry Guetta, un commerçant français excentrique, documentariste amateur vivant à Los Angeles et présenté dans le film comme le cousin de l'artiste Invader. Il aurait amassé une considérable archive d'interviews et d'actions de Zevs, Shepard Fairey, André et autres non connus du street art. À mesure qu'il filme de manière compulsive la nouvelle génération de l'art urbain, son obsession pour Banksy, le célèbre pochoiriste britannique, se fait plus dévorante. Ils se rencontrent enfin. Banksy incite Guetta à se tourner vers l'art urbain. C'est ainsi que naît Mr Brainwash. Vrai ou faux documentaire, je n'ai toujours pas tranché tant le personnage de Mr Brainwash me semble caricatural. Présenté comme un de ses films à lui, il est finalement assez critique du personnage et lors de la préparation de l'exposition qui doit lancer sa carrière, Life is Beautiful, de nombreuses personnes déclarent ne plus jamais vouloir travailler avec lui. Thierry Guetta est un opportuniste, même lorsqu'il demandera à Banksy d'écrire une phrase d'accroche anodine pour l'inauguration de l'exposition, il en fera un événement avec l'affiche en poster géant de la citation dans Los Angeles. Le documentaire se termine avec des cartons de texte disant que Banksy n'aidera plus jamais quelqu'un à se lancer dans le street art et Shepard Fairey. plus connu sous le pseudo de Obey, regrette d'avoir pu par ses paroles encourager Thierry Guetta à se lancer lui aussi dans cette aventure. Le sujet du street art est surtout présent dans la première partie du film, avec des interventions de M. André, Invader, Zevs, Borft, Swoon et entre autres, et se concentre ensuite sur les divégations mégalos de MBW, comme il aime se faire appeler. Critique du monde de l'art qui, à partir du moment où vous mettez des prix très chers sur vos oeuvres et que vous avez les bons contacts, et que vous savez créer l'événement, les affaires vont marcher pour vous, peu importe que vous ayez des choses à dire à travers vos oeuvres. Le docu est dispo sur Mubi, mais il a longtemps été sur YouTube, donc peut-être que vous pouvez encore l'y trouver si vous n'avez pas d'abonnement à Mubi. On passe maintenant à la littérature, avec un essai de philo sorti chez Circé en 2014 et réédité chez PUF, presse universitaire de France, en mars de cette année. Il s'agit de Société de la Fatigue de Byung-Chul Han, philosophe sud-coréen vivant en Allemagne et écrivant donc en allemand. Actuellement, un changement de paradigme s'accomplit de manière inaperçue. La société de la négativité cède la place à une société qui est possédée par un excès de positivité. En partant de ce changement de paradigme, Hahn dessert le paysage pathologique de la société d'aujourd'hui, auquel appartiennent les maladies neuronales comme la dépression, le syndrome de déficit de l'attention, le borderline et le burnout. Il ne s'agit pas d'une quelconque infection, mais d'infarctus qui sont conditionnés non par la négativité immunologique de l'autre, mais par un excès de positivité. Ainsi, ils échappent à toute technique immunologique de prophylaxie. On peut reconnaître ici un certain sens. De la formule pour résumer un livre en utilisant beaucoup de mots compliqués qui ne veulent pas spécialement dire grand chose. Mais voilà, il faut passer outre le résumé de ce livre. Je vous assure que c'est plus intéressant qu'est-ce qu'il n'y paraît. Byung-Chul Han nous explique qu'on est passé d'une société de la discipline à une société de la performance. Il faut sans cesse faire des choses et montrer qu'on fait des choses. Le repos est mal vu car synonyme de cette perte de productivité, alors que n'importe quel professionnel de santé physique ou mentale vous dira que le repos est important pour notre bon fonctionnement. C'est un ouvrage que j'ai trouvé assez facile à lire et très intéressant. Le repos est un sujet qui m'intéresse parce que je fais partie de ces gens qui trouvent que dormir ne sert à rien et que si on avait des journées de 48 heures, ce serait quand même vachement mieux pour faire tout ce que j'ai envie d'entreprendre. Malheureusement, les journées ne durent que 24 heures et j'ai quand même besoin d'entre 6 et 8 heures de sommeil pour fonctionner correctement. Le fait que je travaille en horaire décalé doit aussi jouer dans ma perception du temps et la quantité de choses que je veux faire. Byung-Chul Han fait souvent référence au personnage de Bartleby le Scribd, du roman du même nom d'Hermann Melville, et de sa célèbre phrase I prefer not to donc je préfère ne pas qui va le pousser à refuser toutes les tâches demandées par son patron, puis à refuser même son licenciement, et se contentera de manger des biscuits au gingembre. Et il en fait le symbole de cet épuisement chronique D'un homme qui avait pour but de tout bien faire comme il faut, jusqu'au point de rupture. Bartholby serait-il le premier personnage de la littérature à faire un burn-out ? C'est bien probable, oui. On poursuit avec une trilogie de littérature jeunesse dont pour le moment je n'ai pu lire que les deux premiers tomes. Écrit par Audrey Bischoff, il s'agit des mésanges tomes 1, Abby et tomes 2, Lila. Abby a une spécialité, se rendre invisible. D'ailleurs, elle maîtrise sur le bout des doigts l'art de rester dans l'ombre et les techniques les plus subtiles pour ne pas se faire remarquer. Mais avec une mère... Americano-babacool-tendance-chamane, adepte du no-bra, une petite sœur beaucoup trop populaire et sa nouvelle amie Lila. Trop maquillée, trop courte, trop strasse, trop paillette, trop grande gueule, Abby va devoir sortir de sa zone de confort pour affronter les regards. Lila a une spécialité, être hyper visible. Robe pailletée, moulante, démarche chaloupée et verbe fleurie. Plutôt provoquer que subir les regards. Mais derrière tout ça, il y a les complexes. Les prises de tête familiales et la tendresse qui manquent. Heureusement ! Quelque part entre le 23ème et le 24ème coup de foudre pour le boy à Nice, Lila va comprendre des milliers de choses sur son corps, sa famille, l'amour, l'amitié, bref, sur la vie. A chaque tome, une nouvelle narratrice et une nouvelle année scolaire dans laquelle on suit ces adolescentes en plein changement, tant physique que mental. Avec le lot de bouleversements que connaît cette période. J'ai beaucoup aimé ces deux tomes qui retranscrivent bien cette période où rien n'est confortable et où on a l'impression que les autres ont une vie bien plus cool et facile que la nôtre. Et souvent la vérité n'est pas aussi rose. Mais ça n'est pas écrit de manière misérabiliste et c'est très cool, car souvent on sent que l'auteur joue sur cette corde du pathos, et c'est vraiment très subtil. Ici, pas du tout, c'est juste décrit de manière très factuelle, ce qui rend la chose très plaisante à lire. Les problèmes de famille, d'argent, de troubles du comportement alimentaire, d'estime de soi et de viralité de la rumeur sont parfaitement décrits ici, sans jugement pour ces personnages à qui on a juste envie de tendre une boisson chaude en leur disant que ça va aller. Pas tout de suite, et ce sera encore un peu sinueux, mais franchement, t'inquiète pas, des jours meilleurs arrivent, c'est promis. Les romans font entre 150 et 200 pages et s'est publié aux éditions du Ruerg. Et on termine avec Guilty, l'affaire Dario Abrio de Jean-Christophe Stixier paru chez Rajoux en 2021. Diego Abrio, 22 ans, purge sa peine de prison pour homicide volontaire. Pourtant, il va être relâché. Sera-t-il libre ? Non. Le peuple aura le droit de le tuer ou de le protéger dans sa fuite. Toi aussi, vas-tu suivre son parcours sur l'application Guilty, participer à sa traque ou bien le protéger ? Tous les soirs à 19h, sa localisation sera rendue publique et il faudra faire un choix. J'ai dévoré cette dystopie qui fait froid dans le dos. Je suis, à titre personnel, opposée à la peine de mort. Et ici, c'est même un petit peu plus insidieux que ça, puisque les relâchés ne sont pas condamnés à mort à proprement parler, c'est entre les mains de la population, et il ne tient qu'à eux de rester cachés suffisamment bien et suffisamment longtemps pour y échapper. Spoiler, ça n'arrive pas souvent. Ce que je trouve particulièrement inhumain. J'aime beaucoup la manière dont la culpabilité et le pardon sont abordés. Les familles des victimes peuvent-elles pardonner les coupables ? Et sinon ? doivent-elles pour autant prendre part à la traque, en chasseurs ou en protecteurs ? Et pourquoi des gens qui n'ont rien à faire dans l'histoire seraient légitimes à faire justice eux-mêmes en retirant à la famille la possibilité de savoir le coupable puni en purgeant sa peine ? On sait qu'en général, ce qui est salvateur, ce n'est pas la peine en elle-même, mais simplement l'acte de condamnation. L'obtention du statut de victime reconnue. C'est d'autant plus intéressant que Diego n'est pas un personnage aimable, ou qu'on ait particulièrement envie de protéger. Sa petite amie est morte dans un accident de voiture car il a pris le volant en étant saoul et drogué. Il ne semble pas prendre conscience de ce qu'il a fait, puisqu'à peine sa liberté retrouvée, il veut aller voir la famille de Mona. Pour s'excuser, dit-il. C'est bien beau de s'excuser, encore faut-il prendre ses responsabilités. J'aime aussi toute la partie sur ce groupe d'activistes qui veut le prendre sous son aile et le faire entrer dans son programme de résistance. Ce n'est pas du tout un programme qui rend leur liberté ou ralachée, au contraire, il s'agit de les mettre en prison pour qu'ils purgent la fin de leur peine. Et je trouve que ça fonctionne vraiment très bien en fait d'avoir ce groupe de résistance. qui s'est créée et s'est rendue active au moment où cette loi de relâcher les gens a été votée au Parlement. Et de voir que, un peu en catastrophe, ils ont dû reconstruire des prisons dans lesquelles cacher les gens. Parce que quand vous sortez de prison et que vous êtes relâchés, on vous met un bracelet électronique qui justement permettra de diffuser votre localisation précise tous les jours sur l'application. Et c'est pas n'importe qui qui peut être relâché aussi. Enfin voilà, il faut être... éligibles au programme, comme ils disent, et les gens doivent voter pour vous, et à partir du moment où vous avez 3 millions de personnes qui ont voté pour vous, vous êtes relâchable. Donc il y a vraiment un peu tout ce côté télé-réalité aussi qui est très malsain, qui est amené dans ce roman, et c'est peut-être des choses auxquelles on arrivera tôt ou tard dans les prisons occidentales, donc on peut se préparer un petit peu à ce qui nous arrive avec ce roman que je vous conseille chaudement. Je profite aussi de cet épisode pour me faire un peu de pub. J'ai lancé ma chaîne Twitch il y a quelques semaines, notamment pour y faire la lecture de mauvais livres. J'ai commencé avec Les chemins de la tentation de Diana Brandon de l'île de la tentation. Autant vous dire que c'est tout un programme. Les lives et les replays sont accessibles à tous sur twitch.tv slash dordicarotte, D-A-N-D-Y-C-A-2-R-O-2-T. Et si j'ai un peu plus de temps et de possibilités d'organisation, j'ai envie de faire d'autres types de lives que des lectures douloureuses, donc n'hésitez pas à follow la chaîne pour avoir toutes les infos. J'ai aussi créé un serveur Discord à cette occasion, les liens seront dans la description. C'est la fin de cet épisode, les liens, comme je le disais, sont dans la description comme d'habitude. Bonne semaine, à lundi prochain.