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A côté de mes pompes !

#259 - Je suis MARATHONIEN : débrief du MARATHON POUR TOUS !

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1h05 |23/08/2024
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1h05 |23/08/2024
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Description

Dans cet épisode spécial de À Côté de Mes Pompes, je partage avec vous l’expérience incroyable de mon premier marathon olympique, le Marathon pour Tous de Paris 2024. Ce fut une aventure marquante, après une préparation rigoureuse de plusieurs mois.


Une préparation rigoureuse
À 42 ans, j’ai consacré 12 semaines intensives à préparer ce marathon, cumulant 60 heures de course à pied pour un total de 600 km, complétées par du vélo et du renforcement musculaire. Mes sorties longues, mes séances spécifiques et mes moments de récupération étaient planifiés avec minutie pour atteindre cet objectif ambitieux. Les dernières semaines, en particulier, ont été cruciales avec des sorties de 30 km et des répétitions d’allure.


La veille de la course : Stress et imprévus
La veille, un mélange d’excitation et de stress m’a accompagné. La chaleur étouffante et un contretemps majeur avec mes dossards ont ajouté une dose de stress imprévue. Grâce au soutien précieux de mes amis, j’ai finalement pu récupérer mes documents et me préparer pour le grand jour.


Le jour J : Plongée dans l’ambiance olympique
Le jour du marathon, l’ambiance à Paris était électrique. Traverser des lieux emblématiques comme l’Opéra Garnier, le Louvre et la Tour Eiffel a rendu cette course unique. Chaque kilomètre était une épreuve mentale et physique, particulièrement après le Pont de Sèvres et le fameux "mur" au 30ème kilomètre. Heureusement, le soutien de mon ami Nico, qui m’a accompagné comme lièvre, ainsi que les encouragements des spectateurs, m’ont aidé à surmonter les moments difficiles.


L’arrivée : Un mélange d’euphorie et de fatigue
Franchir la ligne d’arrivée a été un moment de pure euphorie. Recevoir la médaille olympique était la concrétisation de tout le travail accompli. Cependant, la récupération a été plus difficile que prévu, avec des douleurs au talon et une grande fatigue. Malgré cela, le sentiment de fierté était immense. Rejoindre mes proches après la course a renforcé l’importance de cette expérience.


Leçons et perspectives futures
Ce marathon m’a enseigné la résilience et la détermination. Comme le disait Emil Zatopek, "Si tu veux changer ta vie, cours un marathon." Cette aventure m’a transformé, et je partage ici les leçons que j’en ai tirées. Je réfléchis déjà aux prochains défis, même si je ne prévois pas de marathon en 2025. Je me concentre désormais sur des courses plus courtes, comme un 10 km en octobre, tout en continuant à m’entraîner et à m’améliorer.


Remerciements et appel à l’action
Je tiens à remercier tous ceux qui m’ont soutenu durant cette aventure, auditeurs, amis, famille, et spectateurs. Si vous avez des questions ou souhaitez partager vos expériences, n’hésitez pas à me contacter sur Instagram ou Facebook. Votre soutien fait toute la différence.


Cet épisode n’est pas seulement un débrief, mais un témoignage de ce que signifie courir un marathon, depuis la préparation jusqu’au jour J. Que vous soyez un coureur chevronné ou que vous envisagiez votre premier marathon, j’espère que ce récit vous inspirera.


Je vous donne rendez-vous pour le prochain épisode de À Côté de Mes Pompes !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Dans cet épisode spécial de À Côté de Mes Pompes, je partage avec vous l’expérience incroyable de mon premier marathon olympique, le Marathon pour Tous de Paris 2024. Ce fut une aventure marquante, après une préparation rigoureuse de plusieurs mois.


Une préparation rigoureuse
À 42 ans, j’ai consacré 12 semaines intensives à préparer ce marathon, cumulant 60 heures de course à pied pour un total de 600 km, complétées par du vélo et du renforcement musculaire. Mes sorties longues, mes séances spécifiques et mes moments de récupération étaient planifiés avec minutie pour atteindre cet objectif ambitieux. Les dernières semaines, en particulier, ont été cruciales avec des sorties de 30 km et des répétitions d’allure.


La veille de la course : Stress et imprévus
La veille, un mélange d’excitation et de stress m’a accompagné. La chaleur étouffante et un contretemps majeur avec mes dossards ont ajouté une dose de stress imprévue. Grâce au soutien précieux de mes amis, j’ai finalement pu récupérer mes documents et me préparer pour le grand jour.


Le jour J : Plongée dans l’ambiance olympique
Le jour du marathon, l’ambiance à Paris était électrique. Traverser des lieux emblématiques comme l’Opéra Garnier, le Louvre et la Tour Eiffel a rendu cette course unique. Chaque kilomètre était une épreuve mentale et physique, particulièrement après le Pont de Sèvres et le fameux "mur" au 30ème kilomètre. Heureusement, le soutien de mon ami Nico, qui m’a accompagné comme lièvre, ainsi que les encouragements des spectateurs, m’ont aidé à surmonter les moments difficiles.


L’arrivée : Un mélange d’euphorie et de fatigue
Franchir la ligne d’arrivée a été un moment de pure euphorie. Recevoir la médaille olympique était la concrétisation de tout le travail accompli. Cependant, la récupération a été plus difficile que prévu, avec des douleurs au talon et une grande fatigue. Malgré cela, le sentiment de fierté était immense. Rejoindre mes proches après la course a renforcé l’importance de cette expérience.


Leçons et perspectives futures
Ce marathon m’a enseigné la résilience et la détermination. Comme le disait Emil Zatopek, "Si tu veux changer ta vie, cours un marathon." Cette aventure m’a transformé, et je partage ici les leçons que j’en ai tirées. Je réfléchis déjà aux prochains défis, même si je ne prévois pas de marathon en 2025. Je me concentre désormais sur des courses plus courtes, comme un 10 km en octobre, tout en continuant à m’entraîner et à m’améliorer.


Remerciements et appel à l’action
Je tiens à remercier tous ceux qui m’ont soutenu durant cette aventure, auditeurs, amis, famille, et spectateurs. Si vous avez des questions ou souhaitez partager vos expériences, n’hésitez pas à me contacter sur Instagram ou Facebook. Votre soutien fait toute la différence.


Cet épisode n’est pas seulement un débrief, mais un témoignage de ce que signifie courir un marathon, depuis la préparation jusqu’au jour J. Que vous soyez un coureur chevronné ou que vous envisagiez votre premier marathon, j’espère que ce récit vous inspirera.


Je vous donne rendez-vous pour le prochain épisode de À Côté de Mes Pompes !


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Dans cet épisode spécial de À Côté de Mes Pompes, je partage avec vous l’expérience incroyable de mon premier marathon olympique, le Marathon pour Tous de Paris 2024. Ce fut une aventure marquante, après une préparation rigoureuse de plusieurs mois.


Une préparation rigoureuse
À 42 ans, j’ai consacré 12 semaines intensives à préparer ce marathon, cumulant 60 heures de course à pied pour un total de 600 km, complétées par du vélo et du renforcement musculaire. Mes sorties longues, mes séances spécifiques et mes moments de récupération étaient planifiés avec minutie pour atteindre cet objectif ambitieux. Les dernières semaines, en particulier, ont été cruciales avec des sorties de 30 km et des répétitions d’allure.


La veille de la course : Stress et imprévus
La veille, un mélange d’excitation et de stress m’a accompagné. La chaleur étouffante et un contretemps majeur avec mes dossards ont ajouté une dose de stress imprévue. Grâce au soutien précieux de mes amis, j’ai finalement pu récupérer mes documents et me préparer pour le grand jour.


Le jour J : Plongée dans l’ambiance olympique
Le jour du marathon, l’ambiance à Paris était électrique. Traverser des lieux emblématiques comme l’Opéra Garnier, le Louvre et la Tour Eiffel a rendu cette course unique. Chaque kilomètre était une épreuve mentale et physique, particulièrement après le Pont de Sèvres et le fameux "mur" au 30ème kilomètre. Heureusement, le soutien de mon ami Nico, qui m’a accompagné comme lièvre, ainsi que les encouragements des spectateurs, m’ont aidé à surmonter les moments difficiles.


L’arrivée : Un mélange d’euphorie et de fatigue
Franchir la ligne d’arrivée a été un moment de pure euphorie. Recevoir la médaille olympique était la concrétisation de tout le travail accompli. Cependant, la récupération a été plus difficile que prévu, avec des douleurs au talon et une grande fatigue. Malgré cela, le sentiment de fierté était immense. Rejoindre mes proches après la course a renforcé l’importance de cette expérience.


Leçons et perspectives futures
Ce marathon m’a enseigné la résilience et la détermination. Comme le disait Emil Zatopek, "Si tu veux changer ta vie, cours un marathon." Cette aventure m’a transformé, et je partage ici les leçons que j’en ai tirées. Je réfléchis déjà aux prochains défis, même si je ne prévois pas de marathon en 2025. Je me concentre désormais sur des courses plus courtes, comme un 10 km en octobre, tout en continuant à m’entraîner et à m’améliorer.


Remerciements et appel à l’action
Je tiens à remercier tous ceux qui m’ont soutenu durant cette aventure, auditeurs, amis, famille, et spectateurs. Si vous avez des questions ou souhaitez partager vos expériences, n’hésitez pas à me contacter sur Instagram ou Facebook. Votre soutien fait toute la différence.


Cet épisode n’est pas seulement un débrief, mais un témoignage de ce que signifie courir un marathon, depuis la préparation jusqu’au jour J. Que vous soyez un coureur chevronné ou que vous envisagiez votre premier marathon, j’espère que ce récit vous inspirera.


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Une préparation rigoureuse
À 42 ans, j’ai consacré 12 semaines intensives à préparer ce marathon, cumulant 60 heures de course à pied pour un total de 600 km, complétées par du vélo et du renforcement musculaire. Mes sorties longues, mes séances spécifiques et mes moments de récupération étaient planifiés avec minutie pour atteindre cet objectif ambitieux. Les dernières semaines, en particulier, ont été cruciales avec des sorties de 30 km et des répétitions d’allure.


La veille de la course : Stress et imprévus
La veille, un mélange d’excitation et de stress m’a accompagné. La chaleur étouffante et un contretemps majeur avec mes dossards ont ajouté une dose de stress imprévue. Grâce au soutien précieux de mes amis, j’ai finalement pu récupérer mes documents et me préparer pour le grand jour.


Le jour J : Plongée dans l’ambiance olympique
Le jour du marathon, l’ambiance à Paris était électrique. Traverser des lieux emblématiques comme l’Opéra Garnier, le Louvre et la Tour Eiffel a rendu cette course unique. Chaque kilomètre était une épreuve mentale et physique, particulièrement après le Pont de Sèvres et le fameux "mur" au 30ème kilomètre. Heureusement, le soutien de mon ami Nico, qui m’a accompagné comme lièvre, ainsi que les encouragements des spectateurs, m’ont aidé à surmonter les moments difficiles.


L’arrivée : Un mélange d’euphorie et de fatigue
Franchir la ligne d’arrivée a été un moment de pure euphorie. Recevoir la médaille olympique était la concrétisation de tout le travail accompli. Cependant, la récupération a été plus difficile que prévu, avec des douleurs au talon et une grande fatigue. Malgré cela, le sentiment de fierté était immense. Rejoindre mes proches après la course a renforcé l’importance de cette expérience.


Leçons et perspectives futures
Ce marathon m’a enseigné la résilience et la détermination. Comme le disait Emil Zatopek, "Si tu veux changer ta vie, cours un marathon." Cette aventure m’a transformé, et je partage ici les leçons que j’en ai tirées. Je réfléchis déjà aux prochains défis, même si je ne prévois pas de marathon en 2025. Je me concentre désormais sur des courses plus courtes, comme un 10 km en octobre, tout en continuant à m’entraîner et à m’améliorer.


Remerciements et appel à l’action
Je tiens à remercier tous ceux qui m’ont soutenu durant cette aventure, auditeurs, amis, famille, et spectateurs. Si vous avez des questions ou souhaitez partager vos expériences, n’hésitez pas à me contacter sur Instagram ou Facebook. Votre soutien fait toute la différence.


Cet épisode n’est pas seulement un débrief, mais un témoignage de ce que signifie courir un marathon, depuis la préparation jusqu’au jour J. Que vous soyez un coureur chevronné ou que vous envisagiez votre premier marathon, j’espère que ce récit vous inspirera.


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