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Antipop - pour faire grandir ton podcast

Bilan de la saison 2 : mon bilan, mes stats, mes objectifs en toute transparence

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44min |23/04/2024
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Description

Qui dit fin de saison, dit bilan !

Pour cet épisode, j'ouvre en grand les coulisses d'Antipop, en mode "build in public" !


Je reviens en toute transparence sur :

  • Les nouveautés que j'ai intégrées pour la saison 2 et pourquoi

  • Mes difficultés et mes fails

  • Mes stats et mon rapport aux chiffres

  • Mon organisation et mes outils préférés

  • Mes défis pour la saison 3

  • Les nouveautés à venir


Merci à Anne-Fleur, Cassandre, Estelle, Guillaume Stef pour leurs questions !


Un épisode assez intime qui j'espère vous plaira, hâte d'avoir vos retours :


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Tu veux encore plus de conseils, de cas pratiques et de ressources ?

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Crédits

  • Réalisation, montage, mixage : Anne-Claire Lecat

  • Habillage musical : Matthieu B.

  • Hébergement : Ausha


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Salut, bienvenue sur Antipop, le podcast pour les podcasteurs entrepreneurs déterminés à faire grandir leur podcast. Dans ce podcast, tu trouveras plein de conseils, de méthodes et de témoignages pour t'aider à booster l'audience de ton podcast et à explorer toutes les pistes pour construire une stratégie adaptée à tes besoins, tes objectifs, tout en gardant le plaisir. Allez, je laisse place à l'épisode du jour. Hello hello, comment ça va la vida ? Je vous retrouve aujourd'hui pour un épisode bilan de la saison 2. Et ouais, elle est toujours en route et je suis en train de préparer la saison 3. La saison 2, elle a duré longtemps. J'étais en train de regarder les chiffres sur mon hébergeur au chat. Elle a commencé en mai dernier, donc ça fait quasi un an. Je vais vous expliquer un petit peu pourquoi ça s'est un peu étalé dans le temps. Mais en tout cas, l'idée de cet épisode, c'est faire un peu un bilan quantitatif. qualitatif, émotionnel de ce bilan, de vous dire comment j'ai vécu les choses, ce qui est un peu derrière les coulisses de cette saison 2, ce que je ne vous ai pas forcément partagé, mon analyse aussi de ces performances, de comment je l'ai vécu et puis je réponds à vos questions. J'ai posé la question à la communauté Icofactory qui est sur Discord et plusieurs d'entre vous m'ont posé des questions auxquelles ils voudraient que je réponde donc je vais y répondre. et ensuite je vous dévoilerai ce que j'ai en tête pour 2024 et plus précisément pour la saison 3 de Antipop. Il y a pas mal de nouvelles choses à venir. Bon allez c'est parti ! Donc la saison 2, déjà si on fait les maths, si on regarde juste les chiffres, elle est composée de pas mal d'épisodes. Donc on va dire, alors je calcule, il y a eu 7 interviews, 6 chroniques solo et 5 épisodes collectifs. Donc 11, 18 épisodes. Waouh j'ai été super prolixe en fait ! n'empêche c'est bien de faire des bilans quantitatifs, je t'avoue que là je commence le bilan un peu peu naude parce qu'il y a notamment le sujet de la régularité que je vais aborder plus profondément juste après mais en fait finalement j'ai taffé franchement en 2023, bravo Anne-Claire tape dans les mains. Donc la saison 2, elle s'est composée autour de, on va dire, trois formats, comme je disais, des interviews que j'ai faits tout le temps à distance, en fait, avec des personnes de mon écosystème, des chroniques solo, donc ça c'est quelque chose que je faisais déjà en saison 1, c'est des formats courts où je vais me concentrer sur une problématique précise et donner des conseils et des retours d'expérience dessus. Et des épisodes collectifs, c'est des épisodes pendant lesquels je vais demander à ma communauté, aux personnes de ma communauté, de venir à mon micro pour partager un retour d'expérience précis. Donc ça, ça va être par exemple l'épisode sur le retour d'expérience de J'ai fait une grosse promo au moment où j'ai organisé le challenge avec Ocha. Donc ce qui a été nouveau pour cette saison 2, ce sont les interviews. C'est vrai que par rapport à ce qu'il fait classiquement, on commence par les interviews, après on fait les épisodes solo, j'ai fait un peu le contraire. Et c'est venu du fait que j'avais envie d'ajouter un petit peu de dynamisme dans ma ligne édito, d'aller chercher des retours d'expérience ailleurs, des conseils ailleurs. Et vraiment, j'ai à cœur d'incarner aussi dans mon épisode ce côté intelligence collective qui est hyper important pour moi. Pour celles et ceux qui me découvrent, ce que j'entends par intelligence collective, c'est le fait qu'à plusieurs, en échangeant nos idées, en confrontant nos expériences, en partageant nos erreurs, etc., je suis persuadée que le résultat pour tout le monde, il est plus riche. On va plus loin, on profite des conseils des autres, on évite de faire les mêmes erreurs que les autres, etc. Et c'est vraiment une approche, l'intelligence collective, qui est très importante pour moi, que je vais insuffler partout. dans ma façon de construire la communauté EcoFactory, dans ma façon d'animer mon programme Puzzle, mais aussi la façon dont j'ai d'interagir au quotidien avec mes clients, mes clientes ou mes partenaires en général. Et donc du coup, les interviews, c'était une manière bien d'incarner cette intelligence collective d'une certaine manière. J'invite des gens à mon micro qui ont parfois des expériences ou des compétences similaires aux miennes. j'ai déjà mis en place des choses sur les sujets qui vont venir traiter, mais ça me permet d'apporter différents points de vue, vous apporter différents points de vue, d'enrichir les méthodes que je donne, parce que je ne prétends pas détenir la vérité, et je trouve qu'il y a certaines personnes qui vont expliquer différemment de moi, peut-être avec d'autres arguments, une autre sensibilité, les mêmes points que j'essaye de vous partager. coup, peut-être ça sonnera mieux pour vous et ça vous sera, ça vous rentrera mieux dans l'oreille, on va dire, si c'est quelqu'un d'autre que moi qui l'explique. Donc voilà pourquoi j'ai invité des gens à mon micro pour faire des interviews et aussi le côté découvrir des nouvelles personnes, etc. J'ai aussi introduit dans ma ligne édito les retours d'expérience clients. Vous avez pu découvrir le retour d'expérience de Laurie et Sandy Jacobi avec lesquelles j'ai travaillé sur le reboot de leur podcast My Marketing Experience. Donc on est revenu sur tout le repositionnement qu'on a fait. Elles avaient fait deux saisons et elles n'étaient pas super contentes de l'organisation qu'elles avaient mis en place, de leur performance, mais aussi de la façon dont elles fonctionnaient entre elles. elles sont sœurs, il se trouve que Laurie n'arrivait pas trop à trouver sa place. Et donc on a travaillé sur une nouvelle ligne édito, mais aussi tout l'aspect marque personnelle, qu'on a travaillé conjointement sur les deux sœurs, séparément, mais aussi en tant que duo au micro. Et voilà, donc on est revenu là-dessus. Et aussi le retour d'expérience de Adrien Garcia, avec qui j'ai effectué tout le rebranding de son podcast, qui s'appelait antérieurement Entreprendre dans la mode et à l'issue de notre travail, elle a lancé une nouvelle version de son podcast qui s'appelle The Bold Way. Donc on est revenu sur cette mission, cette collaboration qui a duré neuf mois. On a allé très en profondeur sur les sujets de vision, d'objectifs, le naming, la ligne édito, etc. Et donc on a parlé de ce que c'est d'assumer son ambition pour son podcast et de prendre des risques, de tout remettre en question. parce que ça faisait 6 ans qu'il était sur cette version entrement dans la mode, mais il était plus satisfait sans trouver que c'était plus aligné avec ses objectifs. Et donc remettre en question tout ça, ça peut foutre un peu la trouille. Et comment est-ce qu'on aborde justement ce rebranding et le fait de donner un nouvel élan à son podcast ? Donc ces retours d'expérience, c'était aussi dans cette perspective de vous partager des retours terrain. On entend et on lit beaucoup de choses sur le fait d'avoir un podcast. Parfois, on voit des gens qui s'expriment, des podcasteurs, podcasteuses à succès, qui s'expriment sur ce que c'est d'avoir un podcast, mais ce n'est pas toutes les expériences. Et donc, moi, mon but avec Antipop, c'est aussi vous apporter des retours terrain de personnes qui ont intégré le podcast dans leur vie, que ce soit personnel, professionnel, d'aller creuser leurs objectifs avec ces podcasts, leur organisation. leur point de vue de ce que ce podcast doit devenir. Et j'avais aussi envie de mettre en avant mes clients et mes clientes, parce que c'est les podcasteurs et podcastistes que je connais le mieux. Je sais qu'ils ont beaucoup à vous apprendre, c'est des personnes qui sont super exigeantes avec eux-mêmes, qui ont beaucoup d'ambition, qui ont envie de mettre en place des choses super cool. Et j'avais envie de mettre en avant leurs accomplissements, les questionnements qu'ils se posaient. pour que vous puissiez vous reconnaître en eux et puis vous inspirer des déclics qu'ils ont pu avoir. Et aussi de vous montrer un peu ce que c'est de travailler avec moi et peut-être vous donner envie de passer le pas et de me contacter pour vos problématiques. Ce qui n'a pas changé, ce qui n'était pas nouveau, c'est les chroniques solo, donc des épisodes courts sur lesquels je reviens sur un conseil, une problématique, une méthode. Ça, ce n'était pas nouveau dans la forme. Néanmoins, j'ai testé quelque chose de nouveau, c'est-à-dire qu'à chaque fois que j'invitais quelqu'un à mon micro pour une interview, lors de cette interview, je notais mentalement, et après j'ai noté sur mon Notion, les idées de chronique que ça me donnait. Donc si vous regardez ma ligne édito depuis mai, vous allez voir que je teste plusieurs choses. Par exemple, mon interview avec Flavie Prévost, on aborde la question du persona, et je me suis dit, ah bah tiens, ça m'a donné l'idée d'en faire une chronique. Et donc régulièrement, à chaque fois que j'interview quelqu'un, je me note ou je planifie à l'avance, tiens, je vais interviewer un tel sur tel sujet, qu'est-ce que je pourrais raconter en chronique ? Ça me permet de faire des choix et aussi de vous proposer une ligne édito, un ensemble cohérent d'épisodes qui vont répondre de différentes manières aux mêmes questions. Donc ça me facilite l'organisation et j'espère que pour vous, ça a plus de valeur ajoutée. Donc ça c'était pour ce qui concerne la ligne édito. En ce qui concerne l'organisation dans le temps, on peut voir que de mai jusqu'à aujourd'hui, j'enregistre fin mars, et bien il y a eu plusieurs phases où j'enchaîne les épisodes, je fais une grande pause, j'enchaîne les épisodes, je fais une grande pause. Il se trouve que je me suis organisée pour enregistrer pas mal d'épisodes à l'avance, ce qui me permettait d'avoir les moyens d'une certaine régularité, ça me permettait du coup de publier toutes les semaines. et en fait je faisais des pauses à chaque fois que je partais en vacances donc une grande pause l'été à partir de juillet et je me suis pris les pieds dans le tapis et j'ai pas réussi à republier avant novembre si je me trompe pas ou octobre ensuite j'ai republié de manière constante pendant 6-7 semaines quelque chose comme ça et Après mes vacances de Noël, pareil, je n'ai pas réussi à raccrocher les wagons et à m'y remettre. En fait, je me rends compte que souvent, j'arrive à prendre de l'avance, j'arrive à m'organiser pour ça, mais je n'arrive pas à anticiper assez pour que j'ai déjà des réserves à mon retour de vacances. Parce que je dois avouer que si je commence ma phase de publication avec un peu d'avance, dans le frigo comme on dit, Au fur et à mesure que les épisodes sont publiés, mon avance, ça me nuise et je me retrouve un peu en bout de course juste avant mes vacances à me dire allez, vas-y, publie, publie ! Et après, clac, je m'arrête. Et le fait que j'ai du mal à republier après, c'est lié à de l'organisation de mon côté. Une solution, ça pourrait être de m'organiser pour avoir un ou deux épisodes d'avance pour pouvoir déjà les planifier via mon hébergeur au chat. et revenir avec la rentrée un petit peu plus calme. Et aussi que généralement, quand je rentre de vacances, il y a toute une phase où je dois me remettre dans mon travail, re-réfléchir à mes projets, à me dire qu'est-ce que je veux faire sur le long terme, etc. Et je me rends compte que je suis un petit peu monotâche et quand je dois travailler sur des sujets un peu plus long terme, un peu plus stratégiques, j'ai du mal avec les tâches plus régulières, qui sont plus opérationnelles. donc ça c'est un de mes fonctionnements je ne sais pas si je vais pouvoir aller à l'encontre de ce fonctionnement là donc il va falloir juste que j'anticipe soit j'assume en me disant je vais faire des grandes pauses, soit j'essaye d'améliorer mon organisation pour pouvoir comme je vous le disais avoir un peu plus d'avance j'ai déjà identifié des solutions, je vous en parle juste après Il y a d'autres facteurs qui ont joué dans ce décrochage-là et donc du fait que je n'ai pas été aussi régulière que je voulais, c'est le fait que j'ai eu des gros projets qui ont pris un petit peu toute la place. Le challenge avec Ocha qui était un challenge de cinq jours pour aider les podcasteurs indépendants à apprécier la cross promo et à le mettre en place avec un ou une partenaire qu'on lui présentait. Donc ça, ça a été un... C'est un challenge qui a demandé pas mal d'organisation. On a travaillé pendant six mois dessus avec l'équipe Ocha. J'ai aussi travaillé sur un nouveau projet de podcast qui s'appelle La Demande, que je coproduis avec Anne Fleur. Et c'est vrai qu'on s'était fixé de le lancer mi-février et de trouver un sponsor pour sponsoriser toute la saison, etc. Et c'est vrai que ce nouveau projet de podcast, il a pris toute la place et j'ai eu du mal. à prendre du temps en plus de la demande pour enregistrer des épisodes d'antipop. Donc là, c'est toujours un peu mon côté monotâche ou slash manque d'organisation peut-être, qui fait que quand j'ai un gros projet, j'ai pas le temps ni je dirais même l'espace mental. J'arrive pas à être créative sur plein de projets à la fois. Ça se ressent aussi sur la newsletter où j'ai été très régulière en fin d'année 2023. Et là, j'arrive un peu moins, j'ai une panne créative sur la newsletter. Il se trouve que je produis beaucoup de contenu au quotidien. Il y a la newsletter, il y a ce que je produis pour mes clients en coaching individuel, le bootcamp puzzle aussi où je refais régulièrement des vidéos, etc. les stories que je fais, les posts LinkedIn, les posts Instagram, etc. Et il se trouve que même si j'ai un principe d'écosystème qui est super bien rodé, un principe d'écologie que je mets en place, parfois juste au niveau de la fatigue, de l'énergie créative que j'ai, eh bien, je n'en ai pas pour tous ces canaux. Aussi, il y a à prendre en compte ce facteur de la fatigue qui fait que, en fait, j'ai deux petites filles. Je n'en parle pas super souvent, ça fait partie... de la zone privée de ma marque personnelle, on va dire, mais j'ai deux petites filles et qui dorment pas très bien la nuit. Donc, ça fait quelques années maintenant que je dors pas bien. Et tout l'automne et l'hiver, ça a été très difficile avec plusieurs réveils par nuit. Ce qui fait que quand je me levais le matin, en fait, j'étais épuisée. Je pouvais faire que le strict minimum, répondre aux mails, faire mes sessions coaching, etc. Tout le challenge au chat, etc. C'était à ce moment-là. et quand je suis fatiguée, j'étais vraiment épuisée. J'ai revu des vidéos que j'ai enregistrées à l'époque sur mon logiciel Riverside d'interview que j'ai mené en novembre-décembre. J'ai les yeux tout petits, petits. Je me suis dit, tu étais vraiment super fatiguée. Et donc du coup, c'est aussi à ce moment-là que j'ai décidé de décaler mon lancement puzzle qui est mon bootcamp 12 semaines et je l'ai décalé à la rentrée. J'ai décalé le lancement à la rentrée de janvier. Tout ça pour dire que j'ai dû jongler avec beaucoup de fatigue, beaucoup de création de contenu, une exigence et une ambition que je veux m'appliquer. Donc j'essaye de réfléchir à où est-ce que je veux aller avec EcoFactory, quel est l'avenir de cette communauté, qu'est-ce que je veux mettre de nouveau en place, etc. Une envie d'innover, une envie de m'améliorer, une envie de tester des nouvelles choses. parce que c'est ça qui me stimule dans mon métier, mais parfois la réalité me rattrape, mes ressources créatives, mes ressources physiques de fatigue, et voilà, il faut que je conjugue avec tout ça. Donc voilà, c'est un peu un bilan demi-temps sur le sujet de la régularité. Néanmoins, je suis assez fière du contenu que je vous ai proposé. Les interviews, elles ont beaucoup plu. J'ai eu beaucoup de retours sur la qualité des conseils partagés par mes intervenants. Donc j'en suis super fière. Et aussi de mes chroniques. Là, dernièrement, il y avait des stories sur Instagram. ou le compte Formation Podcast, demandez quel est le podcast que vous ne ratez jamais. Et il y a Antipop qui est ressorti. Souvent, vous me dites que Antipop, c'est un podcast qui vous apporte beaucoup. Donc franchement, moi, ça me fait trop trop chaud au cœur. Si tu écoutes ce bilan et tu te dis Ah merde, je ne l'ai jamais dit franchement, n'hésite pas à venir me dire qu'Antipop... s'il te plaît, même si tu as des idées d'épisodes ou des idées d'amélioration, je sais que tout n'est pas parfait. Viens me parler sur Instagram, franchement, je suis une vraie personne avec un petit cœur qui bat et parfois, j'ai des pertes de motivation ou des coups de fatigue ou des coups de... Je suis un peu dure avec moi-même. Du coup, un petit message sympa, franchement, ça va faire du bien. Maintenant, je vous propose qu'on passe à la deuxième partie de ce bilan, qui est de répondre à vos questions. Donc, il y a cinq personnes sur le Discord de Icofactory qui m'ont posé des questions. Quand je leur ai dit que j'allais faire le bilan de la saison 2, je les remercie. Estelle, Anne-Fleur, Steph, Guillaume et Cassandre, trop cool de savoir ce qui vous intéresse. et de faire en sorte que ce bilan, ce ne soit pas seulement moi qui parle en monologue derrière mon micro, mais que ce soit adapté à votre curiosité ou si vous posez ces questions, c'est peut-être parce que vous posez la question par rapport à vous. Et donc, si mon retour d'expérience peut vous aider, je suis trop contente. Alors, c'est parti pour les questions. Alors, Estelle, quelle est ton organisation dans la production et la programmation de ton podcast ? Au niveau de la programmation, j'y ai répondu. J'essaye de faire en sorte que mes chroniques solo répondent de manière thématique aux invités que j'invite à mon micro. Pour choisir mes invités, je vais regarder autour de moi dans mon écosystème. Je parle avec beaucoup de podcasteurs, podcasteuses, qu'ils soient présents sur le Discord ou que ce soit des potes ou des gens que je rencontre via les réseaux sociaux ou en vrai. lors du Paris Podcast Festival, des podcasts et d'études, donc des gens que je rencontre en vrai, et on discute. Et là, dans ma tête, je me dis, ah tiens, super intéressant, son expérience ou son expertise sur tel sujet, ça serait bien que je l'invite à mon micro. Donc, j'ai un tableau de bord Notion qui me permet de lister toutes mes idées d'épisodes, comme ça, ça me vide le cerveau, et sur lequel je vais faire le suivi de la production. En gros, j'ai un tableau de bord avec plusieurs colonnes, avec idées. à enregistrer, à monter, à mixer, à publier et publier. Ça me permet de voir l'avancement des différents épisodes au fur et à mesure. À l'intérieur de chaque épisode que je vais créer, je peux y mettre les ressources sur lesquelles je peux m'appuyer pour enregistrer l'épisode. Voilà des notes que j'aurai parce que j'ai le cerveau qui travaille en permanence et parfois je vais lire un article, écouter un podcast, voir un... un post-link ou tout simplement faire une balade sur mon vélo. Et dans ces cas-là, j'ai plein d'idées qui arrivent en avalanche dans mon cerveau et je vais tous les noter et puis après les consigner dans mon Notion. Je me rends compte qu'au niveau création de contenu, je suis pas mal en asynchrone, c'est-à-dire que je vais avoir des phases de réflexion, un petit peu de butinage, où je vais aller voir un petit peu partout, aller chercher l'inspiration, aller regarder, comme je vous disais, un peu partout, si ça me donne des idées d'épisodes. J'ai plein d'idées qui vont me venir en avalanche, mais dans ces cas-là, soit je n'ai pas l'énergie d'enregistrer un podcast, soit je n'ai pas le temps. Et donc du coup, en asynchrone, j'ai les idées dans un premier temps, un petit peu en fil rouge sur du long terme. Et après, je vais concentrer mes périodes de production pour enregistrer plusieurs épisodes à la suite. C'est ce que je fais ce matin. Là, j'enregistre l'épisode bilan et après, je me suis noté deux chroniques. Et j'espère pouvoir les enregistrer dans le créneau que je me suis imparti dans mon emploi du temps. Donc ça vient avec mon organisation. Je me fixe souvent des créneaux de production d'enregistrement. Il faut que ce soit un moment où il y ait le calme dans la maison. Donc là, ce n'est pas le cas aujourd'hui. J'espère que vous n'entendez pas trop les travaux de mes voisins. Mais il faut aussi que mes filles ne soient pas là parce qu'elles sont assez brillantes et que j'enregistre dans une pièce de la maison qui est un peu leur salle à jeux. parce qu'elle est petite et confinée et que le son est un peu mieux. Donc, il faut que je m'assure que ce soit une bonne période de la journée. Voilà, en termes d'organisation, au début de la saison 2, je déléguais le mixage à Alice des Belles Fréquences. Et en fait, au fur et à mesure, je me suis pris de plus en plus au dernier moment pour enregistrer, pour publier les épisodes. Et comme je n'ai pas envie de faire reporter sur quelqu'un d'autre... Mon rush, mon manque d'organisation, je ne suis pas passée par Alice, mais un de mes objectifs pour la saison 3, je vais y revenir, c'est de davantage structurer mon organisation avec de la délégation. Pour tout ce qui est montage, j'ai utilisé Reaper. Ça, ça m'a fait gagner énormément de temps, Reaper. C'est beaucoup plus pratique que Audacity que j'utilisais en début de saison 2. En cours de saison, grâce à Claire Géano de... pile le podcast qui m'a formée à Reaper, je suis passée sur Reaper, ça m'a fait gagner énormément de temps. Et donc du coup, ce que je faisais, c'est que dans mon emploi du temps, dans ma semaine, le lundi matin, je me bloquais des créneaux de une heure, une heure et demie pour faire du montage et avancer sur l'épisode en cours. Donc en termes de production, j'utilisais un certain nombre d'outils que je peux vous partager. J'utilisais Riverside. pour l'enregistrement des interviews à distance. C'est un outil qui est bien pratique, qui est bien foutu. Et en plus, il a une fonctionnalité qui est assez cool, c'est qu'à partir de l'enregistrement de la captation vidéo avec le système d'IA, il va te proposer des mini clips en format réel. Et donc du coup, je les ai utilisés pour mes réseaux sociaux. C'était vraiment super pratique, Riverside a ce titre-là. Ensuite, une fois que l'enregistrement est fait, je vais télécharger le... le fichier son, le RAW ou le MP3, et je vais le mettre dans mon outil de transcription qui s'appelle AppyScribe, que j'utilise depuis deux ans, trois ans maintenant. Ça me permet deux choses, d'un coup d'œil, d'isoler certains paragraphes qui ne me semblent pas intéressants pour le montage ou qui sont un peu des digressions. Donc ça va plus vite de lire plutôt que de se retaper, on va dire, toute la bande son. Donc ça me permet d'isoler des gros bouts à coups. via la transcription écrite d'aller plus vite avec le montage. Et ensuite, dans un deuxième temps, Happy Scribe permet une connexion avec ChatGPT et je lui demande de faire des chapitrages avec le timecode et les sujets à chaque fois, et aussi des summaries, des résumés en bullet points que je vais reformuler et utiliser lors de ma description que je vais pluguer sur mon hébergeur au chat au moment de la publication. J'utilise Ocha aussi pour mon hébergement. J'aime beaucoup cet acteur, notamment pour une fonctionnalité qui est inclue dans ma formule Boost, qui permet de diffuser en pré-roll et en post-roll des petits messages publicitaires. Et notamment, je l'ai utilisé pour parler du challenge qu'on organisait avec Ocha sur tous mes épisodes. Ça permet... en fait comme un message publicitaire de sponsor, de faire la pub pour mes propres événements. Donc ça, c'est vraiment quelque chose que j'ai envie de creuser pour la saison 3, de davantage utiliser mon podcast pour donner de la visibilité aux masterclass que j'utilise, mais aussi aux événements gratuits comme les événements Jeudi de ton podcast avec les challenges, newsletters, etc. Voilà, je pense que j'ai fait le tour de ta question. Estelle, merci beaucoup de me l'avoir posée. C'est vraiment un sujet sur lequel j'ai envie de m'améliorer pour la saison 3. Ensuite, Anne-Fleur, un avant-après des objectifs que tu avais au début de ta saison versus ton bilan. Et je pense qu'on peut le rapprocher de la question de Guillaume qui me dit Quel est ton objectif d'audience, tes audiences réelles et leurs évolutions si elles ont bougé ? Tout le sujet des chiffres. Alors, c'est vrai que je n'ai pas donné mes chiffres dans le bilan, c'est parce que je savais que vous m'aviez posé la question. Alors, mes stats à date, j'ai 6200 écoutes. cumulé depuis le début du podcast. J'ai fait 5000 écoutes rien que sur la saison 2. Si on regarde les graphiques sur mon hébergeur, il y a vraiment des gros pics d'écoute au moment où je suis un peu plus active, normal. En plus, ça a été accéléré par la mise à jour de Apple Podcasts qui a favorisé la régularité et la fréquence de publication dans la mise en avant des podcasts. C'est vrai que voilà... de mi-juillet jusqu'à mi-octobre, donc ça fait trois mois, je n'ai rien publié, j'ai disparu des chartes, et là qu'on voit vraiment les audios qui se crashent, tant en termes d'écoute qu'en termes d'auditeurs uniques. Donc ça, c'est en termes de statistiques d'écoute. Moi, je ne me fixe pas trop d'objectifs en termes d'écoute, c'est vraiment pas un KPI, un indicateur de performance qui est important pour moi. mes indicateurs, ça va être est-ce que j'arrive à être régulière ? Est-ce que je trouve que les épisodes que je sors sont de qualité ? Et est-ce que je reçois des retours, des feedbacks de la part de mes auditeurs sur ce podcast ? C'est le cas aujourd'hui. Régularité, j'en ai déjà pas mal parlé. La qualité de mon contenu, on va dire que je suis 75-80% contente et je vous expliquerai en saison 3 comment j'espère que... m'améliorer. Et sur les retours d'auditeurs, c'est vrai que j'en reçois pas mal, soit spontanément, soit par les stories ou les messages en DM. C'est vrai qu'il y a un indicateur qualitatif, on va dire, de l'appréciation de mon podcast qui est un petit peu en dessous de mes attentes, c'est le nombre d'avis sur Apple Podcast. C'est vrai que ça fait longtemps que j'en ai pas reçu. Il me semble, le dernier que j'ai reçu, c'est Sandy, trop sympa, qui me l'a laissé. Mais depuis, j'en ai pas eu. je sais pas pourquoi, pareil, si t'écoutes cet épisode et que tu te dis, ah bah zut, j'ai pas laissé d'avis iTunes, fais-le, ça me fera trop plaisir et c'est vraiment un des indicateurs que je suis parce que pour moi, c'est un des canals pour montrer que mon contenu plaît. Du coup, Anne-Fleur, merci pour ta question du avant-après mes objectifs, ça me fait montrer que j'ai pas d'objectif pour Antipop, ce que je peux tout à fait justifier. Je disais vraiment, ce podcast, il a vraiment pour but d'intégrer mon écosystème de contenu qui est composé de ma newsletter, de mes réseaux sociaux, des événements que j'organise en ligne, etc. Donc vraiment, je le vois comme une pièce de mon puzzle personnel. Mais peut-être que d'avoir des objectifs, ça me motiverait un petit peu plus et ça me permettrait justement d'apprécier lors du prochain bilan de saison 3, d'apprécier de manière un peu plus précise ma progression et comment m'améliorer. donc je vais réfléchir à ça pour la saison 3 de me fixer des objectifs Guillaume tu me demandais si mes audiences avaient évolué, oui oui elles ont évolué si je vois là depuis saison 3 je vois notamment les auditeurs uniques qui ont pas mal augmenté Steph, tu me poses la question de c'est quoi tes objectifs pour la suite du podcast et mes principaux enjeux. Pour la saison 3, mes défis, c'est de trouver une organisation qui me permette plus de régularité et qui me permette de peut-être définir des zones un peu plus longues, de peut-être 10-12 semaines de publication continue, de moins avoir ces grands décrochages de 2-3 mois comme j'ai eu là régulièrement lors de ma saison 2. Ça va passer par le fait de déléguer, continuer de déléguer le mixage à Alice des Belles Fréquences, mais aussi intégrer dans mon système de délégation une personne, une assistante virtuelle ou une podcast manager ou une assistante marketing digitale, un petit peu ce profil-là, pour gérer la post-prod, faire rapidement le montage et aussi la mise en ligne des podcasts. et aussi me faire un peu un récap de où est-ce que j'en suis pour me dépêcher d'aller chercher des nouveaux invités ou de me fixer de manière prioritaire des zones d'enregistrement. Parce que c'est vrai que j'ai un rapport un petit peu compliqué au calendrier. Parfois, je peux oublier tout simplement d'enregistrer des podcasts et bien d'avoir quelqu'un qui me rappelle, tiens, les objectifs qu'on s'est fixés ensemble, c'est de publier. X épisodes par mois, d'enregistrer X épisodes par mois, on n'en est qu'à 50 ou 80, ou super, on a fait 100% de nos objectifs, et donc me reposer sur quelqu'un qui me met du rythme et me donne du cadre, je pense que ça sera plus simple pour moi. Ensuite, mes défis, ça va être d'accorder ma ligne éditoriale, la ligne éditoriale du podcast pour mettre davantage en valeur les événements que j'organise avec la communauté EcoFactory. J'organise donc des masterclass une fois par mois avec des experts que j'invite pendant une heure à partager une méthode ou une expertise pour vous aider à les appliquer à votre tour sur votre podcast pour le développer, lui donner une nouvelle dimension. et où j'organise des challenges gratuits pour lancer sa newsletter ou des sessions où j'audite un podcast seul ou accompagné. Et il se trouve que j'en fais la publication et la promotion de ces événements sur mes réseaux sociaux, mais je trouve que mon podcast ne met pas du tout assez en avant ces événements-là. Et donc je voudrais, et j'ai commencé à le faire, j'ai regardé tous les événements que j'avais dans les mois à venir et j'ai commencé à réfléchir aux épisodes qui pouvaient... traiter des mêmes thématiques que ces événements pour faire une introduction de ces événements et aussi vous donner envie d'y participer. Un de mes défis, c'est par rapport aussi au sujet, à la qualité de mes chroniques solo. J'ai fait un sondage en octobre 2023, il me semble, pour savoir ce que vous pensez de mon contenu, de ma newsletter, du podcast, et ce que je pourrais améliorer. Et je sais qu'il y a une ou deux personnes d'entre vous qui m'ont dit que le ton était très sympa, que le niveau de pédagogie était... très appréciable. Néanmoins, vous n'êtes pas d'accord sur la densité d'informations que je partage. Il y a certaines personnes qui disent franchement c'est un peu dense des épisodes, il y en a d'autres qui disent ah ben j'aimerais bien parfois je suis un peu frustrée, j'aimerais bien que tu ailles un peu plus au bout. Et donc du coup ce que je me dis c'est que pour la saison 3, mes chroniques solo, je vais encore plus resserrer. les sujets que je vais traiter, j'ai peut-être un peu tendance à être trop généreuse, à vouloir trop traiter en profondeur et aussi en détail les sujets. Et donc, je vais peut-être resserrer encore plus les thématiques que je vais aborder. Par exemple, je ne vais pas traiter de la marque personnelle en général, mais dire quelles sont les cinq choses qu'on entend sur la marque personnelle qui me semblent fausses. au lieu de faire comme j'ai eu tendance à faire en saison 1 et saison 2, de dire la marque personnelle, pourquoi c'est intéressant, c'est quoi la définition, quels sont tes blocages, les trois étapes pour la mettre en place, etc. S'il fait que je ne rentre pas assez dans les détails, et aussi moi je suis un petit peu frustrée, parce que j'aimerais bien vous faire partager dans mes épisodes d'Antipop les lectures que j'ai, les vidéos que je regarde, et c'est vrai que je ne pense pas toujours à les inclure. dans mon script de chronique et donc je voudrais aussi enrichir avec des ressources théoriques mes épisodes d'antipop Il y a un sujet sur lequel j'aimerais bien aussi m'améliorer, c'est mon élocution. J'ai tendance à faire pas mal de lapsus, à un petit peu manger les mots, à faire des e etc. Je vais suivre là en avril 2024 une formation de prise de parole en public, donc ça va être de l'art oratoire, mais sur lequel je vais m'appuyer pour améliorer la forme de mes chroniques parce que je sais que c'est plus agréable. d'écouter quelqu'un qui a une fluidité verbale, une façon de fonctionner, de créer ses phrases, qui ne s'arrête pas trop, qui ne fait pas trop d'œufs, etc. C'est vrai que travailler avec Anne-Fleur Andrely, qui est ma coproductrice sur le podcast La Demande, qui a un phrasé parfait, hyper clair et tout, moi je me suis pris un peu une baffe. Après, je sais que c'est ma personnalité, c'est ma façon d'être, mais c'est vrai que je vois... qu'Anne-Fleur, elle maîtrise énormément et ça me donne envie de progresser sur ce sujet. Un dernier défi pour ma saison 3, pour répondre à Steph, c'est de trouver plus de fun aussi dans ce podcast anti-pop. Y mettre un peu plus de ma personnalité parce que j'ai eu plusieurs retours suite à mon passage chez Crush, notamment j'ai été invitée par Marie-Charlotte à passer dans son super podcast pour parler de la rencontre avec mon mari. aussi avec La Demande, où c'est vrai qu'on rigole énormément avec Anne-Fleur, on a une super personnalité, on a vraiment voulu que ce podcast La Demande ce soit un moment fun, de légèreté, et bien il y a pas mal de personnes qui sont revenues vers moi en disant Mais vraiment, on a découvert une partie de ta personnalité Anne-Claire, on ne savait pas que tu étais drôle comme ça, et que tu avais vraiment ce côté un peu déjanté, un peu fou. C'est vrai qu'Antipop, c'est un podcast qui est pro, qui est lié à mon activité professionnelle, et que peut-être j'ai voulu... avoir ce côté un peu plus posé, un peu plus cadré, qui, je pense, inspire confiance et donne envie de travailler avec moi. Mais c'est vrai que je mets un peu moins de fun dans la production de mes épisodes et j'ai envie de tester plus de trucs, faire un peu plus de blagues, etc. Donc, j'espère que la saison 3 me permettra de me lâcher un petit peu sur ce sujet-là. Pour répondre à Cassandre, dernière personne qui m'a posé une question sur le Discord de Icofactory, c'est comment est-ce que tu as choisi les sujets par rapport à des besoins de ton audience, que tu as identifiés par rapport à tes objectifs, et comment ça s'intégrait avec tes autres canaux ? J'ai déjà expliqué que les sujets, je les identifiais par rapport à mon exploration, à mon butinage. Ça peut être aussi lié aux interviews, au sujet des interviews. Ça pète aussi des besoins de mon audience, qu'on me remonte via le Discord ou en coaching puzzle ou en coaching individuel. Quand je vois que mon audience me formule plusieurs fois des questions ou des blocages sur une thématique, j'intègre directement dans ma colonne idées de mon tableau Notion un épisode qui pourrait y répondre. Et aussi par rapport à mes objectifs, par exemple je sais que je vais traiter de masterclass sur la monétisation, je me dis comment est-ce que ma ligne édito de mon podcast peut aussi refléter ces thématiques que je vais traiter sur mes autres canaux. Également, ma newsletter, j'ai essayé de la construire en regard des épisodes dont je voulais faire la promotion. L'idée, ce n'est pas seulement de faire la personne sandwich et de dire Salut, j'ai sorti tel épisode mais je me disais, dans l'épisode, par exemple, avec Sandy et Laurie, au moment où il est sorti, je me suis dit Ah, ce qui est intéressant, C'est cette partie où on parle de la ligne édito, quand on s'ennuie au bout d'un moment d'avoir traité la même thématique pendant plusieurs épisodes, qu'on a l'impression de tourner en rond, qu'on se sent un peu à trois à l'étroit, qu'est-ce qu'on fait ? Donc j'ai développé une newsletter sur cette thématique-là, en donnant mes conseils et en renvoyant enfin de chroniques de newsletters vers l'épisode, en disant d'ailleurs c'est ce qu'a aussi vécu... Laurie et Sandy Jacobi, on aborde ce point mais pas que, on aborde aussi tel tel tel sujet. Donc j'ai aussi réfléchi pendant toute ma saison 2 de podcast de me dire comment est-ce que la newsletter elle peut apporter quelque chose de complémentaire par rapport au sujet que je traitais dans mon podcast. Pour terminer sur cet épisode bilan, j'avais envie de partager avec vous ce que j'allais tester pour la saison 3 de ce podcast. Je vous ai déjà expliqué mes défis, la manière dont j'allais impacter ma ligne édito. Il y a vraiment quelque chose qui est super important pour moi à titre professionnel, c'est le fait de vous donner à voir mes coulisses. Là, je le fais par cet épisode bilan. J'aime bien aussi faire du building public, c'est-à-dire de vous montrer mon processus de fabrication. Je l'ai fait au moment du lancement du podcast Antipop, je l'ai fait au moment de changer d'identité visuelle en 2023 aussi. Et en fait, c'est lié au fait que je trouve ça très rare, les gens qui ouvrent les portes de leurs coulisses de manière très transparente. Je pense que c'est utile. pour vous, de voir comment je m'y prends. C'est un aspect pédagogique de dire Ah ouais, d'accord, elle est passée par telle, telle, telle étape. Et donc du coup, ça vous facilite le passage à l'action, ce qui est une de mes missions professionnelles pour vous, de vous aider, vous donner les moyens et de vous donner la motivation pour passer à l'action pour votre podcast et le faire évoluer et le développer comme vous en avez envie. Il y a quelque chose qui est très important pour moi, c'est le principe de... Practice what you preach c'est-à-dire mets en place ce que tu conseilles. Et donc du coup, de manière systématique, à chaque fois que je donne un conseil en coaching individuel ou lors de mon bootcamp puzzle, ou quand j'ai des convictions fortes, je me demande est-ce que tu l'as assez incarné cette conviction-là ? Ce conseil que tu donnes, est-ce que tu l'as assez incarné ? Et j'essaye de manière régulière de... mettre en place des choses un peu comme un laboratoire et de me dire, si je mets en place ce conseil que je donne à mes clients, moi, ça va me permettre d'affiner encore plus mes conseils parce que je me serai confrontée dans ma réalité de manière pratique à ce que je fais. Et en plus, je trouve qu'en termes de crédibilité, vous dites, la meuf, elle a testé ce qu'elle me propose de mettre en place et donc, du coup, elle a l'air sérieuse. Ce Practice What You Preach, je l'ai mis en place notamment sur La Demande, le podcast que j'ai lancé mi-février 2024, qui est un podcast sur les demandes en mariage, le podcast qui dépoussière les demandes en mariage. Et je me suis servi de ce projet pour tester quelque chose que je martelais à ma communauté, qui était, vous n'avez pas besoin d'attendre 5000 écoutes par mois. pour sponsoriser votre podcast. Je connais des gens comme Jérémy Clay, Aurélie Doré, qui ont trouvé un podcast, un sponsor, pardon, avant le lancement de leur podcast. Et je me suis dit, meuf, à force de le répéter, va falloir que tu le fasses. Vas-y, on va voir si tu es capable de le faire sur la demande. Et je l'ai fait. J'ai trouvé un sponsor alors qu'on avait encore zéro écoute, qu'on n'avait pas sorti un seul épisode. Ce Practice What You Preach, je l'ai décliné. en un fil rouge de ma ligne édito pour 2024, et notamment pour la saison 3 du podcast Antipop, qui s'appelle J'ai testé pour vous Donc l'idée, c'est de moi mettre en place des choses, soit des méthodes, soit des outils, soit des expériences, parce que ça me semble intéressant et stratégique pour augmenter soit la visibilité d'un podcast, son attractivité ou monétiser. Eh bien, je vais le tester pour vous et je vais vous en faire le bilan de ce que j'ai appris. L'idée, c'est que je puisse vous inspirer à tester des nouvelles choses, mais aussi je puisse faciliter votre passage à l'action en disant, si elle l'a faite, ok, je suis les mêmes étapes. Peut-être que je me ferai ma propre conviction, ma propre expérience par rapport à cette méthode qu'elle me conseille, mais j'ai l'impression que le chemin est un peu basilisé devant moi. Parce que c'est quelque chose qui est très difficile, je trouve, dans l'entreprenariat. et je considère que le podcast c'est un projet entrepreneurial, en tout cas c'est moi, c'est la perspective que je lui donne, c'est que parfois on a des idées, mais on ne sait pas comment les mettre en place, on est un petit peu impressionné, quel temps ça va me prendre, est-ce qu'il y a des étapes que je n'identifie pas et je vais me planter, etc. Et donc c'est quelque chose que moi j'ai fortement vécu au début de mon expérience entrepreneuriale. et comme dit Gandhi la meuf elle, elle cite Gandhi elle est on fire aujourd'hui soyez le changement que vous souhaitez voir dans le monde et donc j'ai vraiment envie d'incarner ce côté, d'expérimenter les choses, oser mettre en place oser se planter et j'ai envie de vous en faire profiter donc qu'est-ce que je vais tester pour vous pour la saison 3 la mise en place du PSO, qui est une nouvelle fonctionnalité proposée par Ocha, qui permet d'être plus visible sur les plateformes d'écoute. Je vous en ai déjà parlé, je vais être suivie par un coach de prise de parole en public. L'idée, c'est de préparer une keynote, donc c'est un peu comme un format TEDx, on va dire un seul en scène d'une dizaine de minutes peut-être, pour l'événement que j'organise pour vous, pour la communauté EcoFactory, mi-juin 2024. et je vais tester aussi le vidéocast, le fait d'enregistrer en live et peut-être en public un ou plusieurs épisodes. Et voilà, j'ai encore plein d'autres idées, mais vraiment l'idée c'est que si cette approche de j'ai testé pour vous le practice what you preach vous avez envie de me lancer des défis, vas-y Anne-Claire, j'ai envie que tu testes pour moi de faire ça, cette méthode, cette chose, etc. venez me parler sur Instagram ou sur LinkedIn pour parler avec moi des défis que vous avez envie de me lancer. Voilà pour ce bilan de la saison 2. J'espère que ça vous aura plu. J'ai beaucoup parlé et j'espère que j'ai été assez dans le détail et dans le concret par rapport à ce que je vous ai partagé. En tout cas, j'ai hâte de savoir si ce contenu vous a intéressé. je pourrais envisager de faire ces bilans, ces retours d'expérience de manière un peu plus ponctuelle. Pour le JTC pour vous, bien sûr, mais par exemple sur mon aventure entrepreneuriale, sur le fait de créer et d'animer une communauté, etc. En tout cas, 2024 nous réserve plein de nouvelles choses. je ne vous ai pas encore tout dévoilé dans ce bilan parce qu'il faut que je prenne quelques décisions mais ce que je peux vous dire c'est que je vais continuer d'avoir de l'ambition pour moi-même, de l'exigence pour moi-même et de vous donner les méthodes et les clés pour appliquer tout ça à votre podcast et lui donner une nouvelle dimension. A très vite ! Merci beaucoup d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. J'espère qu'il t'a plu et qu'il t'a été utile. Pour encore plus de conseils, je t'invite à t'inscrire à ma newsletter. Et si c'est déjà fait, viens partager avec moi sur Instagram ou sur LinkedIn les idées que ce podcast t'a inspiré. On se retrouve tout bientôt pour un nouvel épisode.

Description

Qui dit fin de saison, dit bilan !

Pour cet épisode, j'ouvre en grand les coulisses d'Antipop, en mode "build in public" !


Je reviens en toute transparence sur :

  • Les nouveautés que j'ai intégrées pour la saison 2 et pourquoi

  • Mes difficultés et mes fails

  • Mes stats et mon rapport aux chiffres

  • Mon organisation et mes outils préférés

  • Mes défis pour la saison 3

  • Les nouveautés à venir


Merci à Anne-Fleur, Cassandre, Estelle, Guillaume Stef pour leurs questions !


Un épisode assez intime qui j'espère vous plaira, hâte d'avoir vos retours :


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Tu veux encore plus de conseils, de cas pratiques et de ressources ?

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Crédits

  • Réalisation, montage, mixage : Anne-Claire Lecat

  • Habillage musical : Matthieu B.

  • Hébergement : Ausha


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Salut, bienvenue sur Antipop, le podcast pour les podcasteurs entrepreneurs déterminés à faire grandir leur podcast. Dans ce podcast, tu trouveras plein de conseils, de méthodes et de témoignages pour t'aider à booster l'audience de ton podcast et à explorer toutes les pistes pour construire une stratégie adaptée à tes besoins, tes objectifs, tout en gardant le plaisir. Allez, je laisse place à l'épisode du jour. Hello hello, comment ça va la vida ? Je vous retrouve aujourd'hui pour un épisode bilan de la saison 2. Et ouais, elle est toujours en route et je suis en train de préparer la saison 3. La saison 2, elle a duré longtemps. J'étais en train de regarder les chiffres sur mon hébergeur au chat. Elle a commencé en mai dernier, donc ça fait quasi un an. Je vais vous expliquer un petit peu pourquoi ça s'est un peu étalé dans le temps. Mais en tout cas, l'idée de cet épisode, c'est faire un peu un bilan quantitatif. qualitatif, émotionnel de ce bilan, de vous dire comment j'ai vécu les choses, ce qui est un peu derrière les coulisses de cette saison 2, ce que je ne vous ai pas forcément partagé, mon analyse aussi de ces performances, de comment je l'ai vécu et puis je réponds à vos questions. J'ai posé la question à la communauté Icofactory qui est sur Discord et plusieurs d'entre vous m'ont posé des questions auxquelles ils voudraient que je réponde donc je vais y répondre. et ensuite je vous dévoilerai ce que j'ai en tête pour 2024 et plus précisément pour la saison 3 de Antipop. Il y a pas mal de nouvelles choses à venir. Bon allez c'est parti ! Donc la saison 2, déjà si on fait les maths, si on regarde juste les chiffres, elle est composée de pas mal d'épisodes. Donc on va dire, alors je calcule, il y a eu 7 interviews, 6 chroniques solo et 5 épisodes collectifs. Donc 11, 18 épisodes. Waouh j'ai été super prolixe en fait ! n'empêche c'est bien de faire des bilans quantitatifs, je t'avoue que là je commence le bilan un peu peu naude parce qu'il y a notamment le sujet de la régularité que je vais aborder plus profondément juste après mais en fait finalement j'ai taffé franchement en 2023, bravo Anne-Claire tape dans les mains. Donc la saison 2, elle s'est composée autour de, on va dire, trois formats, comme je disais, des interviews que j'ai faits tout le temps à distance, en fait, avec des personnes de mon écosystème, des chroniques solo, donc ça c'est quelque chose que je faisais déjà en saison 1, c'est des formats courts où je vais me concentrer sur une problématique précise et donner des conseils et des retours d'expérience dessus. Et des épisodes collectifs, c'est des épisodes pendant lesquels je vais demander à ma communauté, aux personnes de ma communauté, de venir à mon micro pour partager un retour d'expérience précis. Donc ça, ça va être par exemple l'épisode sur le retour d'expérience de J'ai fait une grosse promo au moment où j'ai organisé le challenge avec Ocha. Donc ce qui a été nouveau pour cette saison 2, ce sont les interviews. C'est vrai que par rapport à ce qu'il fait classiquement, on commence par les interviews, après on fait les épisodes solo, j'ai fait un peu le contraire. Et c'est venu du fait que j'avais envie d'ajouter un petit peu de dynamisme dans ma ligne édito, d'aller chercher des retours d'expérience ailleurs, des conseils ailleurs. Et vraiment, j'ai à cœur d'incarner aussi dans mon épisode ce côté intelligence collective qui est hyper important pour moi. Pour celles et ceux qui me découvrent, ce que j'entends par intelligence collective, c'est le fait qu'à plusieurs, en échangeant nos idées, en confrontant nos expériences, en partageant nos erreurs, etc., je suis persuadée que le résultat pour tout le monde, il est plus riche. On va plus loin, on profite des conseils des autres, on évite de faire les mêmes erreurs que les autres, etc. Et c'est vraiment une approche, l'intelligence collective, qui est très importante pour moi, que je vais insuffler partout. dans ma façon de construire la communauté EcoFactory, dans ma façon d'animer mon programme Puzzle, mais aussi la façon dont j'ai d'interagir au quotidien avec mes clients, mes clientes ou mes partenaires en général. Et donc du coup, les interviews, c'était une manière bien d'incarner cette intelligence collective d'une certaine manière. J'invite des gens à mon micro qui ont parfois des expériences ou des compétences similaires aux miennes. j'ai déjà mis en place des choses sur les sujets qui vont venir traiter, mais ça me permet d'apporter différents points de vue, vous apporter différents points de vue, d'enrichir les méthodes que je donne, parce que je ne prétends pas détenir la vérité, et je trouve qu'il y a certaines personnes qui vont expliquer différemment de moi, peut-être avec d'autres arguments, une autre sensibilité, les mêmes points que j'essaye de vous partager. coup, peut-être ça sonnera mieux pour vous et ça vous sera, ça vous rentrera mieux dans l'oreille, on va dire, si c'est quelqu'un d'autre que moi qui l'explique. Donc voilà pourquoi j'ai invité des gens à mon micro pour faire des interviews et aussi le côté découvrir des nouvelles personnes, etc. J'ai aussi introduit dans ma ligne édito les retours d'expérience clients. Vous avez pu découvrir le retour d'expérience de Laurie et Sandy Jacobi avec lesquelles j'ai travaillé sur le reboot de leur podcast My Marketing Experience. Donc on est revenu sur tout le repositionnement qu'on a fait. Elles avaient fait deux saisons et elles n'étaient pas super contentes de l'organisation qu'elles avaient mis en place, de leur performance, mais aussi de la façon dont elles fonctionnaient entre elles. elles sont sœurs, il se trouve que Laurie n'arrivait pas trop à trouver sa place. Et donc on a travaillé sur une nouvelle ligne édito, mais aussi tout l'aspect marque personnelle, qu'on a travaillé conjointement sur les deux sœurs, séparément, mais aussi en tant que duo au micro. Et voilà, donc on est revenu là-dessus. Et aussi le retour d'expérience de Adrien Garcia, avec qui j'ai effectué tout le rebranding de son podcast, qui s'appelait antérieurement Entreprendre dans la mode et à l'issue de notre travail, elle a lancé une nouvelle version de son podcast qui s'appelle The Bold Way. Donc on est revenu sur cette mission, cette collaboration qui a duré neuf mois. On a allé très en profondeur sur les sujets de vision, d'objectifs, le naming, la ligne édito, etc. Et donc on a parlé de ce que c'est d'assumer son ambition pour son podcast et de prendre des risques, de tout remettre en question. parce que ça faisait 6 ans qu'il était sur cette version entrement dans la mode, mais il était plus satisfait sans trouver que c'était plus aligné avec ses objectifs. Et donc remettre en question tout ça, ça peut foutre un peu la trouille. Et comment est-ce qu'on aborde justement ce rebranding et le fait de donner un nouvel élan à son podcast ? Donc ces retours d'expérience, c'était aussi dans cette perspective de vous partager des retours terrain. On entend et on lit beaucoup de choses sur le fait d'avoir un podcast. Parfois, on voit des gens qui s'expriment, des podcasteurs, podcasteuses à succès, qui s'expriment sur ce que c'est d'avoir un podcast, mais ce n'est pas toutes les expériences. Et donc, moi, mon but avec Antipop, c'est aussi vous apporter des retours terrain de personnes qui ont intégré le podcast dans leur vie, que ce soit personnel, professionnel, d'aller creuser leurs objectifs avec ces podcasts, leur organisation. leur point de vue de ce que ce podcast doit devenir. Et j'avais aussi envie de mettre en avant mes clients et mes clientes, parce que c'est les podcasteurs et podcastistes que je connais le mieux. Je sais qu'ils ont beaucoup à vous apprendre, c'est des personnes qui sont super exigeantes avec eux-mêmes, qui ont beaucoup d'ambition, qui ont envie de mettre en place des choses super cool. Et j'avais envie de mettre en avant leurs accomplissements, les questionnements qu'ils se posaient. pour que vous puissiez vous reconnaître en eux et puis vous inspirer des déclics qu'ils ont pu avoir. Et aussi de vous montrer un peu ce que c'est de travailler avec moi et peut-être vous donner envie de passer le pas et de me contacter pour vos problématiques. Ce qui n'a pas changé, ce qui n'était pas nouveau, c'est les chroniques solo, donc des épisodes courts sur lesquels je reviens sur un conseil, une problématique, une méthode. Ça, ce n'était pas nouveau dans la forme. Néanmoins, j'ai testé quelque chose de nouveau, c'est-à-dire qu'à chaque fois que j'invitais quelqu'un à mon micro pour une interview, lors de cette interview, je notais mentalement, et après j'ai noté sur mon Notion, les idées de chronique que ça me donnait. Donc si vous regardez ma ligne édito depuis mai, vous allez voir que je teste plusieurs choses. Par exemple, mon interview avec Flavie Prévost, on aborde la question du persona, et je me suis dit, ah bah tiens, ça m'a donné l'idée d'en faire une chronique. Et donc régulièrement, à chaque fois que j'interview quelqu'un, je me note ou je planifie à l'avance, tiens, je vais interviewer un tel sur tel sujet, qu'est-ce que je pourrais raconter en chronique ? Ça me permet de faire des choix et aussi de vous proposer une ligne édito, un ensemble cohérent d'épisodes qui vont répondre de différentes manières aux mêmes questions. Donc ça me facilite l'organisation et j'espère que pour vous, ça a plus de valeur ajoutée. Donc ça c'était pour ce qui concerne la ligne édito. En ce qui concerne l'organisation dans le temps, on peut voir que de mai jusqu'à aujourd'hui, j'enregistre fin mars, et bien il y a eu plusieurs phases où j'enchaîne les épisodes, je fais une grande pause, j'enchaîne les épisodes, je fais une grande pause. Il se trouve que je me suis organisée pour enregistrer pas mal d'épisodes à l'avance, ce qui me permettait d'avoir les moyens d'une certaine régularité, ça me permettait du coup de publier toutes les semaines. et en fait je faisais des pauses à chaque fois que je partais en vacances donc une grande pause l'été à partir de juillet et je me suis pris les pieds dans le tapis et j'ai pas réussi à republier avant novembre si je me trompe pas ou octobre ensuite j'ai republié de manière constante pendant 6-7 semaines quelque chose comme ça et Après mes vacances de Noël, pareil, je n'ai pas réussi à raccrocher les wagons et à m'y remettre. En fait, je me rends compte que souvent, j'arrive à prendre de l'avance, j'arrive à m'organiser pour ça, mais je n'arrive pas à anticiper assez pour que j'ai déjà des réserves à mon retour de vacances. Parce que je dois avouer que si je commence ma phase de publication avec un peu d'avance, dans le frigo comme on dit, Au fur et à mesure que les épisodes sont publiés, mon avance, ça me nuise et je me retrouve un peu en bout de course juste avant mes vacances à me dire allez, vas-y, publie, publie ! Et après, clac, je m'arrête. Et le fait que j'ai du mal à republier après, c'est lié à de l'organisation de mon côté. Une solution, ça pourrait être de m'organiser pour avoir un ou deux épisodes d'avance pour pouvoir déjà les planifier via mon hébergeur au chat. et revenir avec la rentrée un petit peu plus calme. Et aussi que généralement, quand je rentre de vacances, il y a toute une phase où je dois me remettre dans mon travail, re-réfléchir à mes projets, à me dire qu'est-ce que je veux faire sur le long terme, etc. Et je me rends compte que je suis un petit peu monotâche et quand je dois travailler sur des sujets un peu plus long terme, un peu plus stratégiques, j'ai du mal avec les tâches plus régulières, qui sont plus opérationnelles. donc ça c'est un de mes fonctionnements je ne sais pas si je vais pouvoir aller à l'encontre de ce fonctionnement là donc il va falloir juste que j'anticipe soit j'assume en me disant je vais faire des grandes pauses, soit j'essaye d'améliorer mon organisation pour pouvoir comme je vous le disais avoir un peu plus d'avance j'ai déjà identifié des solutions, je vous en parle juste après Il y a d'autres facteurs qui ont joué dans ce décrochage-là et donc du fait que je n'ai pas été aussi régulière que je voulais, c'est le fait que j'ai eu des gros projets qui ont pris un petit peu toute la place. Le challenge avec Ocha qui était un challenge de cinq jours pour aider les podcasteurs indépendants à apprécier la cross promo et à le mettre en place avec un ou une partenaire qu'on lui présentait. Donc ça, ça a été un... C'est un challenge qui a demandé pas mal d'organisation. On a travaillé pendant six mois dessus avec l'équipe Ocha. J'ai aussi travaillé sur un nouveau projet de podcast qui s'appelle La Demande, que je coproduis avec Anne Fleur. Et c'est vrai qu'on s'était fixé de le lancer mi-février et de trouver un sponsor pour sponsoriser toute la saison, etc. Et c'est vrai que ce nouveau projet de podcast, il a pris toute la place et j'ai eu du mal. à prendre du temps en plus de la demande pour enregistrer des épisodes d'antipop. Donc là, c'est toujours un peu mon côté monotâche ou slash manque d'organisation peut-être, qui fait que quand j'ai un gros projet, j'ai pas le temps ni je dirais même l'espace mental. J'arrive pas à être créative sur plein de projets à la fois. Ça se ressent aussi sur la newsletter où j'ai été très régulière en fin d'année 2023. Et là, j'arrive un peu moins, j'ai une panne créative sur la newsletter. Il se trouve que je produis beaucoup de contenu au quotidien. Il y a la newsletter, il y a ce que je produis pour mes clients en coaching individuel, le bootcamp puzzle aussi où je refais régulièrement des vidéos, etc. les stories que je fais, les posts LinkedIn, les posts Instagram, etc. Et il se trouve que même si j'ai un principe d'écosystème qui est super bien rodé, un principe d'écologie que je mets en place, parfois juste au niveau de la fatigue, de l'énergie créative que j'ai, eh bien, je n'en ai pas pour tous ces canaux. Aussi, il y a à prendre en compte ce facteur de la fatigue qui fait que, en fait, j'ai deux petites filles. Je n'en parle pas super souvent, ça fait partie... de la zone privée de ma marque personnelle, on va dire, mais j'ai deux petites filles et qui dorment pas très bien la nuit. Donc, ça fait quelques années maintenant que je dors pas bien. Et tout l'automne et l'hiver, ça a été très difficile avec plusieurs réveils par nuit. Ce qui fait que quand je me levais le matin, en fait, j'étais épuisée. Je pouvais faire que le strict minimum, répondre aux mails, faire mes sessions coaching, etc. Tout le challenge au chat, etc. C'était à ce moment-là. et quand je suis fatiguée, j'étais vraiment épuisée. J'ai revu des vidéos que j'ai enregistrées à l'époque sur mon logiciel Riverside d'interview que j'ai mené en novembre-décembre. J'ai les yeux tout petits, petits. Je me suis dit, tu étais vraiment super fatiguée. Et donc du coup, c'est aussi à ce moment-là que j'ai décidé de décaler mon lancement puzzle qui est mon bootcamp 12 semaines et je l'ai décalé à la rentrée. J'ai décalé le lancement à la rentrée de janvier. Tout ça pour dire que j'ai dû jongler avec beaucoup de fatigue, beaucoup de création de contenu, une exigence et une ambition que je veux m'appliquer. Donc j'essaye de réfléchir à où est-ce que je veux aller avec EcoFactory, quel est l'avenir de cette communauté, qu'est-ce que je veux mettre de nouveau en place, etc. Une envie d'innover, une envie de m'améliorer, une envie de tester des nouvelles choses. parce que c'est ça qui me stimule dans mon métier, mais parfois la réalité me rattrape, mes ressources créatives, mes ressources physiques de fatigue, et voilà, il faut que je conjugue avec tout ça. Donc voilà, c'est un peu un bilan demi-temps sur le sujet de la régularité. Néanmoins, je suis assez fière du contenu que je vous ai proposé. Les interviews, elles ont beaucoup plu. J'ai eu beaucoup de retours sur la qualité des conseils partagés par mes intervenants. Donc j'en suis super fière. Et aussi de mes chroniques. Là, dernièrement, il y avait des stories sur Instagram. ou le compte Formation Podcast, demandez quel est le podcast que vous ne ratez jamais. Et il y a Antipop qui est ressorti. Souvent, vous me dites que Antipop, c'est un podcast qui vous apporte beaucoup. Donc franchement, moi, ça me fait trop trop chaud au cœur. Si tu écoutes ce bilan et tu te dis Ah merde, je ne l'ai jamais dit franchement, n'hésite pas à venir me dire qu'Antipop... s'il te plaît, même si tu as des idées d'épisodes ou des idées d'amélioration, je sais que tout n'est pas parfait. Viens me parler sur Instagram, franchement, je suis une vraie personne avec un petit cœur qui bat et parfois, j'ai des pertes de motivation ou des coups de fatigue ou des coups de... Je suis un peu dure avec moi-même. Du coup, un petit message sympa, franchement, ça va faire du bien. Maintenant, je vous propose qu'on passe à la deuxième partie de ce bilan, qui est de répondre à vos questions. Donc, il y a cinq personnes sur le Discord de Icofactory qui m'ont posé des questions. Quand je leur ai dit que j'allais faire le bilan de la saison 2, je les remercie. Estelle, Anne-Fleur, Steph, Guillaume et Cassandre, trop cool de savoir ce qui vous intéresse. et de faire en sorte que ce bilan, ce ne soit pas seulement moi qui parle en monologue derrière mon micro, mais que ce soit adapté à votre curiosité ou si vous posez ces questions, c'est peut-être parce que vous posez la question par rapport à vous. Et donc, si mon retour d'expérience peut vous aider, je suis trop contente. Alors, c'est parti pour les questions. Alors, Estelle, quelle est ton organisation dans la production et la programmation de ton podcast ? Au niveau de la programmation, j'y ai répondu. J'essaye de faire en sorte que mes chroniques solo répondent de manière thématique aux invités que j'invite à mon micro. Pour choisir mes invités, je vais regarder autour de moi dans mon écosystème. Je parle avec beaucoup de podcasteurs, podcasteuses, qu'ils soient présents sur le Discord ou que ce soit des potes ou des gens que je rencontre via les réseaux sociaux ou en vrai. lors du Paris Podcast Festival, des podcasts et d'études, donc des gens que je rencontre en vrai, et on discute. Et là, dans ma tête, je me dis, ah tiens, super intéressant, son expérience ou son expertise sur tel sujet, ça serait bien que je l'invite à mon micro. Donc, j'ai un tableau de bord Notion qui me permet de lister toutes mes idées d'épisodes, comme ça, ça me vide le cerveau, et sur lequel je vais faire le suivi de la production. En gros, j'ai un tableau de bord avec plusieurs colonnes, avec idées. à enregistrer, à monter, à mixer, à publier et publier. Ça me permet de voir l'avancement des différents épisodes au fur et à mesure. À l'intérieur de chaque épisode que je vais créer, je peux y mettre les ressources sur lesquelles je peux m'appuyer pour enregistrer l'épisode. Voilà des notes que j'aurai parce que j'ai le cerveau qui travaille en permanence et parfois je vais lire un article, écouter un podcast, voir un... un post-link ou tout simplement faire une balade sur mon vélo. Et dans ces cas-là, j'ai plein d'idées qui arrivent en avalanche dans mon cerveau et je vais tous les noter et puis après les consigner dans mon Notion. Je me rends compte qu'au niveau création de contenu, je suis pas mal en asynchrone, c'est-à-dire que je vais avoir des phases de réflexion, un petit peu de butinage, où je vais aller voir un petit peu partout, aller chercher l'inspiration, aller regarder, comme je vous disais, un peu partout, si ça me donne des idées d'épisodes. J'ai plein d'idées qui vont me venir en avalanche, mais dans ces cas-là, soit je n'ai pas l'énergie d'enregistrer un podcast, soit je n'ai pas le temps. Et donc du coup, en asynchrone, j'ai les idées dans un premier temps, un petit peu en fil rouge sur du long terme. Et après, je vais concentrer mes périodes de production pour enregistrer plusieurs épisodes à la suite. C'est ce que je fais ce matin. Là, j'enregistre l'épisode bilan et après, je me suis noté deux chroniques. Et j'espère pouvoir les enregistrer dans le créneau que je me suis imparti dans mon emploi du temps. Donc ça vient avec mon organisation. Je me fixe souvent des créneaux de production d'enregistrement. Il faut que ce soit un moment où il y ait le calme dans la maison. Donc là, ce n'est pas le cas aujourd'hui. J'espère que vous n'entendez pas trop les travaux de mes voisins. Mais il faut aussi que mes filles ne soient pas là parce qu'elles sont assez brillantes et que j'enregistre dans une pièce de la maison qui est un peu leur salle à jeux. parce qu'elle est petite et confinée et que le son est un peu mieux. Donc, il faut que je m'assure que ce soit une bonne période de la journée. Voilà, en termes d'organisation, au début de la saison 2, je déléguais le mixage à Alice des Belles Fréquences. Et en fait, au fur et à mesure, je me suis pris de plus en plus au dernier moment pour enregistrer, pour publier les épisodes. Et comme je n'ai pas envie de faire reporter sur quelqu'un d'autre... Mon rush, mon manque d'organisation, je ne suis pas passée par Alice, mais un de mes objectifs pour la saison 3, je vais y revenir, c'est de davantage structurer mon organisation avec de la délégation. Pour tout ce qui est montage, j'ai utilisé Reaper. Ça, ça m'a fait gagner énormément de temps, Reaper. C'est beaucoup plus pratique que Audacity que j'utilisais en début de saison 2. En cours de saison, grâce à Claire Géano de... pile le podcast qui m'a formée à Reaper, je suis passée sur Reaper, ça m'a fait gagner énormément de temps. Et donc du coup, ce que je faisais, c'est que dans mon emploi du temps, dans ma semaine, le lundi matin, je me bloquais des créneaux de une heure, une heure et demie pour faire du montage et avancer sur l'épisode en cours. Donc en termes de production, j'utilisais un certain nombre d'outils que je peux vous partager. J'utilisais Riverside. pour l'enregistrement des interviews à distance. C'est un outil qui est bien pratique, qui est bien foutu. Et en plus, il a une fonctionnalité qui est assez cool, c'est qu'à partir de l'enregistrement de la captation vidéo avec le système d'IA, il va te proposer des mini clips en format réel. Et donc du coup, je les ai utilisés pour mes réseaux sociaux. C'était vraiment super pratique, Riverside a ce titre-là. Ensuite, une fois que l'enregistrement est fait, je vais télécharger le... le fichier son, le RAW ou le MP3, et je vais le mettre dans mon outil de transcription qui s'appelle AppyScribe, que j'utilise depuis deux ans, trois ans maintenant. Ça me permet deux choses, d'un coup d'œil, d'isoler certains paragraphes qui ne me semblent pas intéressants pour le montage ou qui sont un peu des digressions. Donc ça va plus vite de lire plutôt que de se retaper, on va dire, toute la bande son. Donc ça me permet d'isoler des gros bouts à coups. via la transcription écrite d'aller plus vite avec le montage. Et ensuite, dans un deuxième temps, Happy Scribe permet une connexion avec ChatGPT et je lui demande de faire des chapitrages avec le timecode et les sujets à chaque fois, et aussi des summaries, des résumés en bullet points que je vais reformuler et utiliser lors de ma description que je vais pluguer sur mon hébergeur au chat au moment de la publication. J'utilise Ocha aussi pour mon hébergement. J'aime beaucoup cet acteur, notamment pour une fonctionnalité qui est inclue dans ma formule Boost, qui permet de diffuser en pré-roll et en post-roll des petits messages publicitaires. Et notamment, je l'ai utilisé pour parler du challenge qu'on organisait avec Ocha sur tous mes épisodes. Ça permet... en fait comme un message publicitaire de sponsor, de faire la pub pour mes propres événements. Donc ça, c'est vraiment quelque chose que j'ai envie de creuser pour la saison 3, de davantage utiliser mon podcast pour donner de la visibilité aux masterclass que j'utilise, mais aussi aux événements gratuits comme les événements Jeudi de ton podcast avec les challenges, newsletters, etc. Voilà, je pense que j'ai fait le tour de ta question. Estelle, merci beaucoup de me l'avoir posée. C'est vraiment un sujet sur lequel j'ai envie de m'améliorer pour la saison 3. Ensuite, Anne-Fleur, un avant-après des objectifs que tu avais au début de ta saison versus ton bilan. Et je pense qu'on peut le rapprocher de la question de Guillaume qui me dit Quel est ton objectif d'audience, tes audiences réelles et leurs évolutions si elles ont bougé ? Tout le sujet des chiffres. Alors, c'est vrai que je n'ai pas donné mes chiffres dans le bilan, c'est parce que je savais que vous m'aviez posé la question. Alors, mes stats à date, j'ai 6200 écoutes. cumulé depuis le début du podcast. J'ai fait 5000 écoutes rien que sur la saison 2. Si on regarde les graphiques sur mon hébergeur, il y a vraiment des gros pics d'écoute au moment où je suis un peu plus active, normal. En plus, ça a été accéléré par la mise à jour de Apple Podcasts qui a favorisé la régularité et la fréquence de publication dans la mise en avant des podcasts. C'est vrai que voilà... de mi-juillet jusqu'à mi-octobre, donc ça fait trois mois, je n'ai rien publié, j'ai disparu des chartes, et là qu'on voit vraiment les audios qui se crashent, tant en termes d'écoute qu'en termes d'auditeurs uniques. Donc ça, c'est en termes de statistiques d'écoute. Moi, je ne me fixe pas trop d'objectifs en termes d'écoute, c'est vraiment pas un KPI, un indicateur de performance qui est important pour moi. mes indicateurs, ça va être est-ce que j'arrive à être régulière ? Est-ce que je trouve que les épisodes que je sors sont de qualité ? Et est-ce que je reçois des retours, des feedbacks de la part de mes auditeurs sur ce podcast ? C'est le cas aujourd'hui. Régularité, j'en ai déjà pas mal parlé. La qualité de mon contenu, on va dire que je suis 75-80% contente et je vous expliquerai en saison 3 comment j'espère que... m'améliorer. Et sur les retours d'auditeurs, c'est vrai que j'en reçois pas mal, soit spontanément, soit par les stories ou les messages en DM. C'est vrai qu'il y a un indicateur qualitatif, on va dire, de l'appréciation de mon podcast qui est un petit peu en dessous de mes attentes, c'est le nombre d'avis sur Apple Podcast. C'est vrai que ça fait longtemps que j'en ai pas reçu. Il me semble, le dernier que j'ai reçu, c'est Sandy, trop sympa, qui me l'a laissé. Mais depuis, j'en ai pas eu. je sais pas pourquoi, pareil, si t'écoutes cet épisode et que tu te dis, ah bah zut, j'ai pas laissé d'avis iTunes, fais-le, ça me fera trop plaisir et c'est vraiment un des indicateurs que je suis parce que pour moi, c'est un des canals pour montrer que mon contenu plaît. Du coup, Anne-Fleur, merci pour ta question du avant-après mes objectifs, ça me fait montrer que j'ai pas d'objectif pour Antipop, ce que je peux tout à fait justifier. Je disais vraiment, ce podcast, il a vraiment pour but d'intégrer mon écosystème de contenu qui est composé de ma newsletter, de mes réseaux sociaux, des événements que j'organise en ligne, etc. Donc vraiment, je le vois comme une pièce de mon puzzle personnel. Mais peut-être que d'avoir des objectifs, ça me motiverait un petit peu plus et ça me permettrait justement d'apprécier lors du prochain bilan de saison 3, d'apprécier de manière un peu plus précise ma progression et comment m'améliorer. donc je vais réfléchir à ça pour la saison 3 de me fixer des objectifs Guillaume tu me demandais si mes audiences avaient évolué, oui oui elles ont évolué si je vois là depuis saison 3 je vois notamment les auditeurs uniques qui ont pas mal augmenté Steph, tu me poses la question de c'est quoi tes objectifs pour la suite du podcast et mes principaux enjeux. Pour la saison 3, mes défis, c'est de trouver une organisation qui me permette plus de régularité et qui me permette de peut-être définir des zones un peu plus longues, de peut-être 10-12 semaines de publication continue, de moins avoir ces grands décrochages de 2-3 mois comme j'ai eu là régulièrement lors de ma saison 2. Ça va passer par le fait de déléguer, continuer de déléguer le mixage à Alice des Belles Fréquences, mais aussi intégrer dans mon système de délégation une personne, une assistante virtuelle ou une podcast manager ou une assistante marketing digitale, un petit peu ce profil-là, pour gérer la post-prod, faire rapidement le montage et aussi la mise en ligne des podcasts. et aussi me faire un peu un récap de où est-ce que j'en suis pour me dépêcher d'aller chercher des nouveaux invités ou de me fixer de manière prioritaire des zones d'enregistrement. Parce que c'est vrai que j'ai un rapport un petit peu compliqué au calendrier. Parfois, je peux oublier tout simplement d'enregistrer des podcasts et bien d'avoir quelqu'un qui me rappelle, tiens, les objectifs qu'on s'est fixés ensemble, c'est de publier. X épisodes par mois, d'enregistrer X épisodes par mois, on n'en est qu'à 50 ou 80, ou super, on a fait 100% de nos objectifs, et donc me reposer sur quelqu'un qui me met du rythme et me donne du cadre, je pense que ça sera plus simple pour moi. Ensuite, mes défis, ça va être d'accorder ma ligne éditoriale, la ligne éditoriale du podcast pour mettre davantage en valeur les événements que j'organise avec la communauté EcoFactory. J'organise donc des masterclass une fois par mois avec des experts que j'invite pendant une heure à partager une méthode ou une expertise pour vous aider à les appliquer à votre tour sur votre podcast pour le développer, lui donner une nouvelle dimension. et où j'organise des challenges gratuits pour lancer sa newsletter ou des sessions où j'audite un podcast seul ou accompagné. Et il se trouve que j'en fais la publication et la promotion de ces événements sur mes réseaux sociaux, mais je trouve que mon podcast ne met pas du tout assez en avant ces événements-là. Et donc je voudrais, et j'ai commencé à le faire, j'ai regardé tous les événements que j'avais dans les mois à venir et j'ai commencé à réfléchir aux épisodes qui pouvaient... traiter des mêmes thématiques que ces événements pour faire une introduction de ces événements et aussi vous donner envie d'y participer. Un de mes défis, c'est par rapport aussi au sujet, à la qualité de mes chroniques solo. J'ai fait un sondage en octobre 2023, il me semble, pour savoir ce que vous pensez de mon contenu, de ma newsletter, du podcast, et ce que je pourrais améliorer. Et je sais qu'il y a une ou deux personnes d'entre vous qui m'ont dit que le ton était très sympa, que le niveau de pédagogie était... très appréciable. Néanmoins, vous n'êtes pas d'accord sur la densité d'informations que je partage. Il y a certaines personnes qui disent franchement c'est un peu dense des épisodes, il y en a d'autres qui disent ah ben j'aimerais bien parfois je suis un peu frustrée, j'aimerais bien que tu ailles un peu plus au bout. Et donc du coup ce que je me dis c'est que pour la saison 3, mes chroniques solo, je vais encore plus resserrer. les sujets que je vais traiter, j'ai peut-être un peu tendance à être trop généreuse, à vouloir trop traiter en profondeur et aussi en détail les sujets. Et donc, je vais peut-être resserrer encore plus les thématiques que je vais aborder. Par exemple, je ne vais pas traiter de la marque personnelle en général, mais dire quelles sont les cinq choses qu'on entend sur la marque personnelle qui me semblent fausses. au lieu de faire comme j'ai eu tendance à faire en saison 1 et saison 2, de dire la marque personnelle, pourquoi c'est intéressant, c'est quoi la définition, quels sont tes blocages, les trois étapes pour la mettre en place, etc. S'il fait que je ne rentre pas assez dans les détails, et aussi moi je suis un petit peu frustrée, parce que j'aimerais bien vous faire partager dans mes épisodes d'Antipop les lectures que j'ai, les vidéos que je regarde, et c'est vrai que je ne pense pas toujours à les inclure. dans mon script de chronique et donc je voudrais aussi enrichir avec des ressources théoriques mes épisodes d'antipop Il y a un sujet sur lequel j'aimerais bien aussi m'améliorer, c'est mon élocution. J'ai tendance à faire pas mal de lapsus, à un petit peu manger les mots, à faire des e etc. Je vais suivre là en avril 2024 une formation de prise de parole en public, donc ça va être de l'art oratoire, mais sur lequel je vais m'appuyer pour améliorer la forme de mes chroniques parce que je sais que c'est plus agréable. d'écouter quelqu'un qui a une fluidité verbale, une façon de fonctionner, de créer ses phrases, qui ne s'arrête pas trop, qui ne fait pas trop d'œufs, etc. C'est vrai que travailler avec Anne-Fleur Andrely, qui est ma coproductrice sur le podcast La Demande, qui a un phrasé parfait, hyper clair et tout, moi je me suis pris un peu une baffe. Après, je sais que c'est ma personnalité, c'est ma façon d'être, mais c'est vrai que je vois... qu'Anne-Fleur, elle maîtrise énormément et ça me donne envie de progresser sur ce sujet. Un dernier défi pour ma saison 3, pour répondre à Steph, c'est de trouver plus de fun aussi dans ce podcast anti-pop. Y mettre un peu plus de ma personnalité parce que j'ai eu plusieurs retours suite à mon passage chez Crush, notamment j'ai été invitée par Marie-Charlotte à passer dans son super podcast pour parler de la rencontre avec mon mari. aussi avec La Demande, où c'est vrai qu'on rigole énormément avec Anne-Fleur, on a une super personnalité, on a vraiment voulu que ce podcast La Demande ce soit un moment fun, de légèreté, et bien il y a pas mal de personnes qui sont revenues vers moi en disant Mais vraiment, on a découvert une partie de ta personnalité Anne-Claire, on ne savait pas que tu étais drôle comme ça, et que tu avais vraiment ce côté un peu déjanté, un peu fou. C'est vrai qu'Antipop, c'est un podcast qui est pro, qui est lié à mon activité professionnelle, et que peut-être j'ai voulu... avoir ce côté un peu plus posé, un peu plus cadré, qui, je pense, inspire confiance et donne envie de travailler avec moi. Mais c'est vrai que je mets un peu moins de fun dans la production de mes épisodes et j'ai envie de tester plus de trucs, faire un peu plus de blagues, etc. Donc, j'espère que la saison 3 me permettra de me lâcher un petit peu sur ce sujet-là. Pour répondre à Cassandre, dernière personne qui m'a posé une question sur le Discord de Icofactory, c'est comment est-ce que tu as choisi les sujets par rapport à des besoins de ton audience, que tu as identifiés par rapport à tes objectifs, et comment ça s'intégrait avec tes autres canaux ? J'ai déjà expliqué que les sujets, je les identifiais par rapport à mon exploration, à mon butinage. Ça peut être aussi lié aux interviews, au sujet des interviews. Ça pète aussi des besoins de mon audience, qu'on me remonte via le Discord ou en coaching puzzle ou en coaching individuel. Quand je vois que mon audience me formule plusieurs fois des questions ou des blocages sur une thématique, j'intègre directement dans ma colonne idées de mon tableau Notion un épisode qui pourrait y répondre. Et aussi par rapport à mes objectifs, par exemple je sais que je vais traiter de masterclass sur la monétisation, je me dis comment est-ce que ma ligne édito de mon podcast peut aussi refléter ces thématiques que je vais traiter sur mes autres canaux. Également, ma newsletter, j'ai essayé de la construire en regard des épisodes dont je voulais faire la promotion. L'idée, ce n'est pas seulement de faire la personne sandwich et de dire Salut, j'ai sorti tel épisode mais je me disais, dans l'épisode, par exemple, avec Sandy et Laurie, au moment où il est sorti, je me suis dit Ah, ce qui est intéressant, C'est cette partie où on parle de la ligne édito, quand on s'ennuie au bout d'un moment d'avoir traité la même thématique pendant plusieurs épisodes, qu'on a l'impression de tourner en rond, qu'on se sent un peu à trois à l'étroit, qu'est-ce qu'on fait ? Donc j'ai développé une newsletter sur cette thématique-là, en donnant mes conseils et en renvoyant enfin de chroniques de newsletters vers l'épisode, en disant d'ailleurs c'est ce qu'a aussi vécu... Laurie et Sandy Jacobi, on aborde ce point mais pas que, on aborde aussi tel tel tel sujet. Donc j'ai aussi réfléchi pendant toute ma saison 2 de podcast de me dire comment est-ce que la newsletter elle peut apporter quelque chose de complémentaire par rapport au sujet que je traitais dans mon podcast. Pour terminer sur cet épisode bilan, j'avais envie de partager avec vous ce que j'allais tester pour la saison 3 de ce podcast. Je vous ai déjà expliqué mes défis, la manière dont j'allais impacter ma ligne édito. Il y a vraiment quelque chose qui est super important pour moi à titre professionnel, c'est le fait de vous donner à voir mes coulisses. Là, je le fais par cet épisode bilan. J'aime bien aussi faire du building public, c'est-à-dire de vous montrer mon processus de fabrication. Je l'ai fait au moment du lancement du podcast Antipop, je l'ai fait au moment de changer d'identité visuelle en 2023 aussi. Et en fait, c'est lié au fait que je trouve ça très rare, les gens qui ouvrent les portes de leurs coulisses de manière très transparente. Je pense que c'est utile. pour vous, de voir comment je m'y prends. C'est un aspect pédagogique de dire Ah ouais, d'accord, elle est passée par telle, telle, telle étape. Et donc du coup, ça vous facilite le passage à l'action, ce qui est une de mes missions professionnelles pour vous, de vous aider, vous donner les moyens et de vous donner la motivation pour passer à l'action pour votre podcast et le faire évoluer et le développer comme vous en avez envie. Il y a quelque chose qui est très important pour moi, c'est le principe de... Practice what you preach c'est-à-dire mets en place ce que tu conseilles. Et donc du coup, de manière systématique, à chaque fois que je donne un conseil en coaching individuel ou lors de mon bootcamp puzzle, ou quand j'ai des convictions fortes, je me demande est-ce que tu l'as assez incarné cette conviction-là ? Ce conseil que tu donnes, est-ce que tu l'as assez incarné ? Et j'essaye de manière régulière de... mettre en place des choses un peu comme un laboratoire et de me dire, si je mets en place ce conseil que je donne à mes clients, moi, ça va me permettre d'affiner encore plus mes conseils parce que je me serai confrontée dans ma réalité de manière pratique à ce que je fais. Et en plus, je trouve qu'en termes de crédibilité, vous dites, la meuf, elle a testé ce qu'elle me propose de mettre en place et donc, du coup, elle a l'air sérieuse. Ce Practice What You Preach, je l'ai mis en place notamment sur La Demande, le podcast que j'ai lancé mi-février 2024, qui est un podcast sur les demandes en mariage, le podcast qui dépoussière les demandes en mariage. Et je me suis servi de ce projet pour tester quelque chose que je martelais à ma communauté, qui était, vous n'avez pas besoin d'attendre 5000 écoutes par mois. pour sponsoriser votre podcast. Je connais des gens comme Jérémy Clay, Aurélie Doré, qui ont trouvé un podcast, un sponsor, pardon, avant le lancement de leur podcast. Et je me suis dit, meuf, à force de le répéter, va falloir que tu le fasses. Vas-y, on va voir si tu es capable de le faire sur la demande. Et je l'ai fait. J'ai trouvé un sponsor alors qu'on avait encore zéro écoute, qu'on n'avait pas sorti un seul épisode. Ce Practice What You Preach, je l'ai décliné. en un fil rouge de ma ligne édito pour 2024, et notamment pour la saison 3 du podcast Antipop, qui s'appelle J'ai testé pour vous Donc l'idée, c'est de moi mettre en place des choses, soit des méthodes, soit des outils, soit des expériences, parce que ça me semble intéressant et stratégique pour augmenter soit la visibilité d'un podcast, son attractivité ou monétiser. Eh bien, je vais le tester pour vous et je vais vous en faire le bilan de ce que j'ai appris. L'idée, c'est que je puisse vous inspirer à tester des nouvelles choses, mais aussi je puisse faciliter votre passage à l'action en disant, si elle l'a faite, ok, je suis les mêmes étapes. Peut-être que je me ferai ma propre conviction, ma propre expérience par rapport à cette méthode qu'elle me conseille, mais j'ai l'impression que le chemin est un peu basilisé devant moi. Parce que c'est quelque chose qui est très difficile, je trouve, dans l'entreprenariat. et je considère que le podcast c'est un projet entrepreneurial, en tout cas c'est moi, c'est la perspective que je lui donne, c'est que parfois on a des idées, mais on ne sait pas comment les mettre en place, on est un petit peu impressionné, quel temps ça va me prendre, est-ce qu'il y a des étapes que je n'identifie pas et je vais me planter, etc. Et donc c'est quelque chose que moi j'ai fortement vécu au début de mon expérience entrepreneuriale. et comme dit Gandhi la meuf elle, elle cite Gandhi elle est on fire aujourd'hui soyez le changement que vous souhaitez voir dans le monde et donc j'ai vraiment envie d'incarner ce côté, d'expérimenter les choses, oser mettre en place oser se planter et j'ai envie de vous en faire profiter donc qu'est-ce que je vais tester pour vous pour la saison 3 la mise en place du PSO, qui est une nouvelle fonctionnalité proposée par Ocha, qui permet d'être plus visible sur les plateformes d'écoute. Je vous en ai déjà parlé, je vais être suivie par un coach de prise de parole en public. L'idée, c'est de préparer une keynote, donc c'est un peu comme un format TEDx, on va dire un seul en scène d'une dizaine de minutes peut-être, pour l'événement que j'organise pour vous, pour la communauté EcoFactory, mi-juin 2024. et je vais tester aussi le vidéocast, le fait d'enregistrer en live et peut-être en public un ou plusieurs épisodes. Et voilà, j'ai encore plein d'autres idées, mais vraiment l'idée c'est que si cette approche de j'ai testé pour vous le practice what you preach vous avez envie de me lancer des défis, vas-y Anne-Claire, j'ai envie que tu testes pour moi de faire ça, cette méthode, cette chose, etc. venez me parler sur Instagram ou sur LinkedIn pour parler avec moi des défis que vous avez envie de me lancer. Voilà pour ce bilan de la saison 2. J'espère que ça vous aura plu. J'ai beaucoup parlé et j'espère que j'ai été assez dans le détail et dans le concret par rapport à ce que je vous ai partagé. En tout cas, j'ai hâte de savoir si ce contenu vous a intéressé. je pourrais envisager de faire ces bilans, ces retours d'expérience de manière un peu plus ponctuelle. Pour le JTC pour vous, bien sûr, mais par exemple sur mon aventure entrepreneuriale, sur le fait de créer et d'animer une communauté, etc. En tout cas, 2024 nous réserve plein de nouvelles choses. je ne vous ai pas encore tout dévoilé dans ce bilan parce qu'il faut que je prenne quelques décisions mais ce que je peux vous dire c'est que je vais continuer d'avoir de l'ambition pour moi-même, de l'exigence pour moi-même et de vous donner les méthodes et les clés pour appliquer tout ça à votre podcast et lui donner une nouvelle dimension. A très vite ! Merci beaucoup d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. J'espère qu'il t'a plu et qu'il t'a été utile. Pour encore plus de conseils, je t'invite à t'inscrire à ma newsletter. Et si c'est déjà fait, viens partager avec moi sur Instagram ou sur LinkedIn les idées que ce podcast t'a inspiré. On se retrouve tout bientôt pour un nouvel épisode.

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Description

Qui dit fin de saison, dit bilan !

Pour cet épisode, j'ouvre en grand les coulisses d'Antipop, en mode "build in public" !


Je reviens en toute transparence sur :

  • Les nouveautés que j'ai intégrées pour la saison 2 et pourquoi

  • Mes difficultés et mes fails

  • Mes stats et mon rapport aux chiffres

  • Mon organisation et mes outils préférés

  • Mes défis pour la saison 3

  • Les nouveautés à venir


Merci à Anne-Fleur, Cassandre, Estelle, Guillaume Stef pour leurs questions !


Un épisode assez intime qui j'espère vous plaira, hâte d'avoir vos retours :


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Tu veux encore plus de conseils, de cas pratiques et de ressources ?

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Crédits

  • Réalisation, montage, mixage : Anne-Claire Lecat

  • Habillage musical : Matthieu B.

  • Hébergement : Ausha


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Salut, bienvenue sur Antipop, le podcast pour les podcasteurs entrepreneurs déterminés à faire grandir leur podcast. Dans ce podcast, tu trouveras plein de conseils, de méthodes et de témoignages pour t'aider à booster l'audience de ton podcast et à explorer toutes les pistes pour construire une stratégie adaptée à tes besoins, tes objectifs, tout en gardant le plaisir. Allez, je laisse place à l'épisode du jour. Hello hello, comment ça va la vida ? Je vous retrouve aujourd'hui pour un épisode bilan de la saison 2. Et ouais, elle est toujours en route et je suis en train de préparer la saison 3. La saison 2, elle a duré longtemps. J'étais en train de regarder les chiffres sur mon hébergeur au chat. Elle a commencé en mai dernier, donc ça fait quasi un an. Je vais vous expliquer un petit peu pourquoi ça s'est un peu étalé dans le temps. Mais en tout cas, l'idée de cet épisode, c'est faire un peu un bilan quantitatif. qualitatif, émotionnel de ce bilan, de vous dire comment j'ai vécu les choses, ce qui est un peu derrière les coulisses de cette saison 2, ce que je ne vous ai pas forcément partagé, mon analyse aussi de ces performances, de comment je l'ai vécu et puis je réponds à vos questions. J'ai posé la question à la communauté Icofactory qui est sur Discord et plusieurs d'entre vous m'ont posé des questions auxquelles ils voudraient que je réponde donc je vais y répondre. et ensuite je vous dévoilerai ce que j'ai en tête pour 2024 et plus précisément pour la saison 3 de Antipop. Il y a pas mal de nouvelles choses à venir. Bon allez c'est parti ! Donc la saison 2, déjà si on fait les maths, si on regarde juste les chiffres, elle est composée de pas mal d'épisodes. Donc on va dire, alors je calcule, il y a eu 7 interviews, 6 chroniques solo et 5 épisodes collectifs. Donc 11, 18 épisodes. Waouh j'ai été super prolixe en fait ! n'empêche c'est bien de faire des bilans quantitatifs, je t'avoue que là je commence le bilan un peu peu naude parce qu'il y a notamment le sujet de la régularité que je vais aborder plus profondément juste après mais en fait finalement j'ai taffé franchement en 2023, bravo Anne-Claire tape dans les mains. Donc la saison 2, elle s'est composée autour de, on va dire, trois formats, comme je disais, des interviews que j'ai faits tout le temps à distance, en fait, avec des personnes de mon écosystème, des chroniques solo, donc ça c'est quelque chose que je faisais déjà en saison 1, c'est des formats courts où je vais me concentrer sur une problématique précise et donner des conseils et des retours d'expérience dessus. Et des épisodes collectifs, c'est des épisodes pendant lesquels je vais demander à ma communauté, aux personnes de ma communauté, de venir à mon micro pour partager un retour d'expérience précis. Donc ça, ça va être par exemple l'épisode sur le retour d'expérience de J'ai fait une grosse promo au moment où j'ai organisé le challenge avec Ocha. Donc ce qui a été nouveau pour cette saison 2, ce sont les interviews. C'est vrai que par rapport à ce qu'il fait classiquement, on commence par les interviews, après on fait les épisodes solo, j'ai fait un peu le contraire. Et c'est venu du fait que j'avais envie d'ajouter un petit peu de dynamisme dans ma ligne édito, d'aller chercher des retours d'expérience ailleurs, des conseils ailleurs. Et vraiment, j'ai à cœur d'incarner aussi dans mon épisode ce côté intelligence collective qui est hyper important pour moi. Pour celles et ceux qui me découvrent, ce que j'entends par intelligence collective, c'est le fait qu'à plusieurs, en échangeant nos idées, en confrontant nos expériences, en partageant nos erreurs, etc., je suis persuadée que le résultat pour tout le monde, il est plus riche. On va plus loin, on profite des conseils des autres, on évite de faire les mêmes erreurs que les autres, etc. Et c'est vraiment une approche, l'intelligence collective, qui est très importante pour moi, que je vais insuffler partout. dans ma façon de construire la communauté EcoFactory, dans ma façon d'animer mon programme Puzzle, mais aussi la façon dont j'ai d'interagir au quotidien avec mes clients, mes clientes ou mes partenaires en général. Et donc du coup, les interviews, c'était une manière bien d'incarner cette intelligence collective d'une certaine manière. J'invite des gens à mon micro qui ont parfois des expériences ou des compétences similaires aux miennes. j'ai déjà mis en place des choses sur les sujets qui vont venir traiter, mais ça me permet d'apporter différents points de vue, vous apporter différents points de vue, d'enrichir les méthodes que je donne, parce que je ne prétends pas détenir la vérité, et je trouve qu'il y a certaines personnes qui vont expliquer différemment de moi, peut-être avec d'autres arguments, une autre sensibilité, les mêmes points que j'essaye de vous partager. coup, peut-être ça sonnera mieux pour vous et ça vous sera, ça vous rentrera mieux dans l'oreille, on va dire, si c'est quelqu'un d'autre que moi qui l'explique. Donc voilà pourquoi j'ai invité des gens à mon micro pour faire des interviews et aussi le côté découvrir des nouvelles personnes, etc. J'ai aussi introduit dans ma ligne édito les retours d'expérience clients. Vous avez pu découvrir le retour d'expérience de Laurie et Sandy Jacobi avec lesquelles j'ai travaillé sur le reboot de leur podcast My Marketing Experience. Donc on est revenu sur tout le repositionnement qu'on a fait. Elles avaient fait deux saisons et elles n'étaient pas super contentes de l'organisation qu'elles avaient mis en place, de leur performance, mais aussi de la façon dont elles fonctionnaient entre elles. elles sont sœurs, il se trouve que Laurie n'arrivait pas trop à trouver sa place. Et donc on a travaillé sur une nouvelle ligne édito, mais aussi tout l'aspect marque personnelle, qu'on a travaillé conjointement sur les deux sœurs, séparément, mais aussi en tant que duo au micro. Et voilà, donc on est revenu là-dessus. Et aussi le retour d'expérience de Adrien Garcia, avec qui j'ai effectué tout le rebranding de son podcast, qui s'appelait antérieurement Entreprendre dans la mode et à l'issue de notre travail, elle a lancé une nouvelle version de son podcast qui s'appelle The Bold Way. Donc on est revenu sur cette mission, cette collaboration qui a duré neuf mois. On a allé très en profondeur sur les sujets de vision, d'objectifs, le naming, la ligne édito, etc. Et donc on a parlé de ce que c'est d'assumer son ambition pour son podcast et de prendre des risques, de tout remettre en question. parce que ça faisait 6 ans qu'il était sur cette version entrement dans la mode, mais il était plus satisfait sans trouver que c'était plus aligné avec ses objectifs. Et donc remettre en question tout ça, ça peut foutre un peu la trouille. Et comment est-ce qu'on aborde justement ce rebranding et le fait de donner un nouvel élan à son podcast ? Donc ces retours d'expérience, c'était aussi dans cette perspective de vous partager des retours terrain. On entend et on lit beaucoup de choses sur le fait d'avoir un podcast. Parfois, on voit des gens qui s'expriment, des podcasteurs, podcasteuses à succès, qui s'expriment sur ce que c'est d'avoir un podcast, mais ce n'est pas toutes les expériences. Et donc, moi, mon but avec Antipop, c'est aussi vous apporter des retours terrain de personnes qui ont intégré le podcast dans leur vie, que ce soit personnel, professionnel, d'aller creuser leurs objectifs avec ces podcasts, leur organisation. leur point de vue de ce que ce podcast doit devenir. Et j'avais aussi envie de mettre en avant mes clients et mes clientes, parce que c'est les podcasteurs et podcastistes que je connais le mieux. Je sais qu'ils ont beaucoup à vous apprendre, c'est des personnes qui sont super exigeantes avec eux-mêmes, qui ont beaucoup d'ambition, qui ont envie de mettre en place des choses super cool. Et j'avais envie de mettre en avant leurs accomplissements, les questionnements qu'ils se posaient. pour que vous puissiez vous reconnaître en eux et puis vous inspirer des déclics qu'ils ont pu avoir. Et aussi de vous montrer un peu ce que c'est de travailler avec moi et peut-être vous donner envie de passer le pas et de me contacter pour vos problématiques. Ce qui n'a pas changé, ce qui n'était pas nouveau, c'est les chroniques solo, donc des épisodes courts sur lesquels je reviens sur un conseil, une problématique, une méthode. Ça, ce n'était pas nouveau dans la forme. Néanmoins, j'ai testé quelque chose de nouveau, c'est-à-dire qu'à chaque fois que j'invitais quelqu'un à mon micro pour une interview, lors de cette interview, je notais mentalement, et après j'ai noté sur mon Notion, les idées de chronique que ça me donnait. Donc si vous regardez ma ligne édito depuis mai, vous allez voir que je teste plusieurs choses. Par exemple, mon interview avec Flavie Prévost, on aborde la question du persona, et je me suis dit, ah bah tiens, ça m'a donné l'idée d'en faire une chronique. Et donc régulièrement, à chaque fois que j'interview quelqu'un, je me note ou je planifie à l'avance, tiens, je vais interviewer un tel sur tel sujet, qu'est-ce que je pourrais raconter en chronique ? Ça me permet de faire des choix et aussi de vous proposer une ligne édito, un ensemble cohérent d'épisodes qui vont répondre de différentes manières aux mêmes questions. Donc ça me facilite l'organisation et j'espère que pour vous, ça a plus de valeur ajoutée. Donc ça c'était pour ce qui concerne la ligne édito. En ce qui concerne l'organisation dans le temps, on peut voir que de mai jusqu'à aujourd'hui, j'enregistre fin mars, et bien il y a eu plusieurs phases où j'enchaîne les épisodes, je fais une grande pause, j'enchaîne les épisodes, je fais une grande pause. Il se trouve que je me suis organisée pour enregistrer pas mal d'épisodes à l'avance, ce qui me permettait d'avoir les moyens d'une certaine régularité, ça me permettait du coup de publier toutes les semaines. et en fait je faisais des pauses à chaque fois que je partais en vacances donc une grande pause l'été à partir de juillet et je me suis pris les pieds dans le tapis et j'ai pas réussi à republier avant novembre si je me trompe pas ou octobre ensuite j'ai republié de manière constante pendant 6-7 semaines quelque chose comme ça et Après mes vacances de Noël, pareil, je n'ai pas réussi à raccrocher les wagons et à m'y remettre. En fait, je me rends compte que souvent, j'arrive à prendre de l'avance, j'arrive à m'organiser pour ça, mais je n'arrive pas à anticiper assez pour que j'ai déjà des réserves à mon retour de vacances. Parce que je dois avouer que si je commence ma phase de publication avec un peu d'avance, dans le frigo comme on dit, Au fur et à mesure que les épisodes sont publiés, mon avance, ça me nuise et je me retrouve un peu en bout de course juste avant mes vacances à me dire allez, vas-y, publie, publie ! Et après, clac, je m'arrête. Et le fait que j'ai du mal à republier après, c'est lié à de l'organisation de mon côté. Une solution, ça pourrait être de m'organiser pour avoir un ou deux épisodes d'avance pour pouvoir déjà les planifier via mon hébergeur au chat. et revenir avec la rentrée un petit peu plus calme. Et aussi que généralement, quand je rentre de vacances, il y a toute une phase où je dois me remettre dans mon travail, re-réfléchir à mes projets, à me dire qu'est-ce que je veux faire sur le long terme, etc. Et je me rends compte que je suis un petit peu monotâche et quand je dois travailler sur des sujets un peu plus long terme, un peu plus stratégiques, j'ai du mal avec les tâches plus régulières, qui sont plus opérationnelles. donc ça c'est un de mes fonctionnements je ne sais pas si je vais pouvoir aller à l'encontre de ce fonctionnement là donc il va falloir juste que j'anticipe soit j'assume en me disant je vais faire des grandes pauses, soit j'essaye d'améliorer mon organisation pour pouvoir comme je vous le disais avoir un peu plus d'avance j'ai déjà identifié des solutions, je vous en parle juste après Il y a d'autres facteurs qui ont joué dans ce décrochage-là et donc du fait que je n'ai pas été aussi régulière que je voulais, c'est le fait que j'ai eu des gros projets qui ont pris un petit peu toute la place. Le challenge avec Ocha qui était un challenge de cinq jours pour aider les podcasteurs indépendants à apprécier la cross promo et à le mettre en place avec un ou une partenaire qu'on lui présentait. Donc ça, ça a été un... C'est un challenge qui a demandé pas mal d'organisation. On a travaillé pendant six mois dessus avec l'équipe Ocha. J'ai aussi travaillé sur un nouveau projet de podcast qui s'appelle La Demande, que je coproduis avec Anne Fleur. Et c'est vrai qu'on s'était fixé de le lancer mi-février et de trouver un sponsor pour sponsoriser toute la saison, etc. Et c'est vrai que ce nouveau projet de podcast, il a pris toute la place et j'ai eu du mal. à prendre du temps en plus de la demande pour enregistrer des épisodes d'antipop. Donc là, c'est toujours un peu mon côté monotâche ou slash manque d'organisation peut-être, qui fait que quand j'ai un gros projet, j'ai pas le temps ni je dirais même l'espace mental. J'arrive pas à être créative sur plein de projets à la fois. Ça se ressent aussi sur la newsletter où j'ai été très régulière en fin d'année 2023. Et là, j'arrive un peu moins, j'ai une panne créative sur la newsletter. Il se trouve que je produis beaucoup de contenu au quotidien. Il y a la newsletter, il y a ce que je produis pour mes clients en coaching individuel, le bootcamp puzzle aussi où je refais régulièrement des vidéos, etc. les stories que je fais, les posts LinkedIn, les posts Instagram, etc. Et il se trouve que même si j'ai un principe d'écosystème qui est super bien rodé, un principe d'écologie que je mets en place, parfois juste au niveau de la fatigue, de l'énergie créative que j'ai, eh bien, je n'en ai pas pour tous ces canaux. Aussi, il y a à prendre en compte ce facteur de la fatigue qui fait que, en fait, j'ai deux petites filles. Je n'en parle pas super souvent, ça fait partie... de la zone privée de ma marque personnelle, on va dire, mais j'ai deux petites filles et qui dorment pas très bien la nuit. Donc, ça fait quelques années maintenant que je dors pas bien. Et tout l'automne et l'hiver, ça a été très difficile avec plusieurs réveils par nuit. Ce qui fait que quand je me levais le matin, en fait, j'étais épuisée. Je pouvais faire que le strict minimum, répondre aux mails, faire mes sessions coaching, etc. Tout le challenge au chat, etc. C'était à ce moment-là. et quand je suis fatiguée, j'étais vraiment épuisée. J'ai revu des vidéos que j'ai enregistrées à l'époque sur mon logiciel Riverside d'interview que j'ai mené en novembre-décembre. J'ai les yeux tout petits, petits. Je me suis dit, tu étais vraiment super fatiguée. Et donc du coup, c'est aussi à ce moment-là que j'ai décidé de décaler mon lancement puzzle qui est mon bootcamp 12 semaines et je l'ai décalé à la rentrée. J'ai décalé le lancement à la rentrée de janvier. Tout ça pour dire que j'ai dû jongler avec beaucoup de fatigue, beaucoup de création de contenu, une exigence et une ambition que je veux m'appliquer. Donc j'essaye de réfléchir à où est-ce que je veux aller avec EcoFactory, quel est l'avenir de cette communauté, qu'est-ce que je veux mettre de nouveau en place, etc. Une envie d'innover, une envie de m'améliorer, une envie de tester des nouvelles choses. parce que c'est ça qui me stimule dans mon métier, mais parfois la réalité me rattrape, mes ressources créatives, mes ressources physiques de fatigue, et voilà, il faut que je conjugue avec tout ça. Donc voilà, c'est un peu un bilan demi-temps sur le sujet de la régularité. Néanmoins, je suis assez fière du contenu que je vous ai proposé. Les interviews, elles ont beaucoup plu. J'ai eu beaucoup de retours sur la qualité des conseils partagés par mes intervenants. Donc j'en suis super fière. Et aussi de mes chroniques. Là, dernièrement, il y avait des stories sur Instagram. ou le compte Formation Podcast, demandez quel est le podcast que vous ne ratez jamais. Et il y a Antipop qui est ressorti. Souvent, vous me dites que Antipop, c'est un podcast qui vous apporte beaucoup. Donc franchement, moi, ça me fait trop trop chaud au cœur. Si tu écoutes ce bilan et tu te dis Ah merde, je ne l'ai jamais dit franchement, n'hésite pas à venir me dire qu'Antipop... s'il te plaît, même si tu as des idées d'épisodes ou des idées d'amélioration, je sais que tout n'est pas parfait. Viens me parler sur Instagram, franchement, je suis une vraie personne avec un petit cœur qui bat et parfois, j'ai des pertes de motivation ou des coups de fatigue ou des coups de... Je suis un peu dure avec moi-même. Du coup, un petit message sympa, franchement, ça va faire du bien. Maintenant, je vous propose qu'on passe à la deuxième partie de ce bilan, qui est de répondre à vos questions. Donc, il y a cinq personnes sur le Discord de Icofactory qui m'ont posé des questions. Quand je leur ai dit que j'allais faire le bilan de la saison 2, je les remercie. Estelle, Anne-Fleur, Steph, Guillaume et Cassandre, trop cool de savoir ce qui vous intéresse. et de faire en sorte que ce bilan, ce ne soit pas seulement moi qui parle en monologue derrière mon micro, mais que ce soit adapté à votre curiosité ou si vous posez ces questions, c'est peut-être parce que vous posez la question par rapport à vous. Et donc, si mon retour d'expérience peut vous aider, je suis trop contente. Alors, c'est parti pour les questions. Alors, Estelle, quelle est ton organisation dans la production et la programmation de ton podcast ? Au niveau de la programmation, j'y ai répondu. J'essaye de faire en sorte que mes chroniques solo répondent de manière thématique aux invités que j'invite à mon micro. Pour choisir mes invités, je vais regarder autour de moi dans mon écosystème. Je parle avec beaucoup de podcasteurs, podcasteuses, qu'ils soient présents sur le Discord ou que ce soit des potes ou des gens que je rencontre via les réseaux sociaux ou en vrai. lors du Paris Podcast Festival, des podcasts et d'études, donc des gens que je rencontre en vrai, et on discute. Et là, dans ma tête, je me dis, ah tiens, super intéressant, son expérience ou son expertise sur tel sujet, ça serait bien que je l'invite à mon micro. Donc, j'ai un tableau de bord Notion qui me permet de lister toutes mes idées d'épisodes, comme ça, ça me vide le cerveau, et sur lequel je vais faire le suivi de la production. En gros, j'ai un tableau de bord avec plusieurs colonnes, avec idées. à enregistrer, à monter, à mixer, à publier et publier. Ça me permet de voir l'avancement des différents épisodes au fur et à mesure. À l'intérieur de chaque épisode que je vais créer, je peux y mettre les ressources sur lesquelles je peux m'appuyer pour enregistrer l'épisode. Voilà des notes que j'aurai parce que j'ai le cerveau qui travaille en permanence et parfois je vais lire un article, écouter un podcast, voir un... un post-link ou tout simplement faire une balade sur mon vélo. Et dans ces cas-là, j'ai plein d'idées qui arrivent en avalanche dans mon cerveau et je vais tous les noter et puis après les consigner dans mon Notion. Je me rends compte qu'au niveau création de contenu, je suis pas mal en asynchrone, c'est-à-dire que je vais avoir des phases de réflexion, un petit peu de butinage, où je vais aller voir un petit peu partout, aller chercher l'inspiration, aller regarder, comme je vous disais, un peu partout, si ça me donne des idées d'épisodes. J'ai plein d'idées qui vont me venir en avalanche, mais dans ces cas-là, soit je n'ai pas l'énergie d'enregistrer un podcast, soit je n'ai pas le temps. Et donc du coup, en asynchrone, j'ai les idées dans un premier temps, un petit peu en fil rouge sur du long terme. Et après, je vais concentrer mes périodes de production pour enregistrer plusieurs épisodes à la suite. C'est ce que je fais ce matin. Là, j'enregistre l'épisode bilan et après, je me suis noté deux chroniques. Et j'espère pouvoir les enregistrer dans le créneau que je me suis imparti dans mon emploi du temps. Donc ça vient avec mon organisation. Je me fixe souvent des créneaux de production d'enregistrement. Il faut que ce soit un moment où il y ait le calme dans la maison. Donc là, ce n'est pas le cas aujourd'hui. J'espère que vous n'entendez pas trop les travaux de mes voisins. Mais il faut aussi que mes filles ne soient pas là parce qu'elles sont assez brillantes et que j'enregistre dans une pièce de la maison qui est un peu leur salle à jeux. parce qu'elle est petite et confinée et que le son est un peu mieux. Donc, il faut que je m'assure que ce soit une bonne période de la journée. Voilà, en termes d'organisation, au début de la saison 2, je déléguais le mixage à Alice des Belles Fréquences. Et en fait, au fur et à mesure, je me suis pris de plus en plus au dernier moment pour enregistrer, pour publier les épisodes. Et comme je n'ai pas envie de faire reporter sur quelqu'un d'autre... Mon rush, mon manque d'organisation, je ne suis pas passée par Alice, mais un de mes objectifs pour la saison 3, je vais y revenir, c'est de davantage structurer mon organisation avec de la délégation. Pour tout ce qui est montage, j'ai utilisé Reaper. Ça, ça m'a fait gagner énormément de temps, Reaper. C'est beaucoup plus pratique que Audacity que j'utilisais en début de saison 2. En cours de saison, grâce à Claire Géano de... pile le podcast qui m'a formée à Reaper, je suis passée sur Reaper, ça m'a fait gagner énormément de temps. Et donc du coup, ce que je faisais, c'est que dans mon emploi du temps, dans ma semaine, le lundi matin, je me bloquais des créneaux de une heure, une heure et demie pour faire du montage et avancer sur l'épisode en cours. Donc en termes de production, j'utilisais un certain nombre d'outils que je peux vous partager. J'utilisais Riverside. pour l'enregistrement des interviews à distance. C'est un outil qui est bien pratique, qui est bien foutu. Et en plus, il a une fonctionnalité qui est assez cool, c'est qu'à partir de l'enregistrement de la captation vidéo avec le système d'IA, il va te proposer des mini clips en format réel. Et donc du coup, je les ai utilisés pour mes réseaux sociaux. C'était vraiment super pratique, Riverside a ce titre-là. Ensuite, une fois que l'enregistrement est fait, je vais télécharger le... le fichier son, le RAW ou le MP3, et je vais le mettre dans mon outil de transcription qui s'appelle AppyScribe, que j'utilise depuis deux ans, trois ans maintenant. Ça me permet deux choses, d'un coup d'œil, d'isoler certains paragraphes qui ne me semblent pas intéressants pour le montage ou qui sont un peu des digressions. Donc ça va plus vite de lire plutôt que de se retaper, on va dire, toute la bande son. Donc ça me permet d'isoler des gros bouts à coups. via la transcription écrite d'aller plus vite avec le montage. Et ensuite, dans un deuxième temps, Happy Scribe permet une connexion avec ChatGPT et je lui demande de faire des chapitrages avec le timecode et les sujets à chaque fois, et aussi des summaries, des résumés en bullet points que je vais reformuler et utiliser lors de ma description que je vais pluguer sur mon hébergeur au chat au moment de la publication. J'utilise Ocha aussi pour mon hébergement. J'aime beaucoup cet acteur, notamment pour une fonctionnalité qui est inclue dans ma formule Boost, qui permet de diffuser en pré-roll et en post-roll des petits messages publicitaires. Et notamment, je l'ai utilisé pour parler du challenge qu'on organisait avec Ocha sur tous mes épisodes. Ça permet... en fait comme un message publicitaire de sponsor, de faire la pub pour mes propres événements. Donc ça, c'est vraiment quelque chose que j'ai envie de creuser pour la saison 3, de davantage utiliser mon podcast pour donner de la visibilité aux masterclass que j'utilise, mais aussi aux événements gratuits comme les événements Jeudi de ton podcast avec les challenges, newsletters, etc. Voilà, je pense que j'ai fait le tour de ta question. Estelle, merci beaucoup de me l'avoir posée. C'est vraiment un sujet sur lequel j'ai envie de m'améliorer pour la saison 3. Ensuite, Anne-Fleur, un avant-après des objectifs que tu avais au début de ta saison versus ton bilan. Et je pense qu'on peut le rapprocher de la question de Guillaume qui me dit Quel est ton objectif d'audience, tes audiences réelles et leurs évolutions si elles ont bougé ? Tout le sujet des chiffres. Alors, c'est vrai que je n'ai pas donné mes chiffres dans le bilan, c'est parce que je savais que vous m'aviez posé la question. Alors, mes stats à date, j'ai 6200 écoutes. cumulé depuis le début du podcast. J'ai fait 5000 écoutes rien que sur la saison 2. Si on regarde les graphiques sur mon hébergeur, il y a vraiment des gros pics d'écoute au moment où je suis un peu plus active, normal. En plus, ça a été accéléré par la mise à jour de Apple Podcasts qui a favorisé la régularité et la fréquence de publication dans la mise en avant des podcasts. C'est vrai que voilà... de mi-juillet jusqu'à mi-octobre, donc ça fait trois mois, je n'ai rien publié, j'ai disparu des chartes, et là qu'on voit vraiment les audios qui se crashent, tant en termes d'écoute qu'en termes d'auditeurs uniques. Donc ça, c'est en termes de statistiques d'écoute. Moi, je ne me fixe pas trop d'objectifs en termes d'écoute, c'est vraiment pas un KPI, un indicateur de performance qui est important pour moi. mes indicateurs, ça va être est-ce que j'arrive à être régulière ? Est-ce que je trouve que les épisodes que je sors sont de qualité ? Et est-ce que je reçois des retours, des feedbacks de la part de mes auditeurs sur ce podcast ? C'est le cas aujourd'hui. Régularité, j'en ai déjà pas mal parlé. La qualité de mon contenu, on va dire que je suis 75-80% contente et je vous expliquerai en saison 3 comment j'espère que... m'améliorer. Et sur les retours d'auditeurs, c'est vrai que j'en reçois pas mal, soit spontanément, soit par les stories ou les messages en DM. C'est vrai qu'il y a un indicateur qualitatif, on va dire, de l'appréciation de mon podcast qui est un petit peu en dessous de mes attentes, c'est le nombre d'avis sur Apple Podcast. C'est vrai que ça fait longtemps que j'en ai pas reçu. Il me semble, le dernier que j'ai reçu, c'est Sandy, trop sympa, qui me l'a laissé. Mais depuis, j'en ai pas eu. je sais pas pourquoi, pareil, si t'écoutes cet épisode et que tu te dis, ah bah zut, j'ai pas laissé d'avis iTunes, fais-le, ça me fera trop plaisir et c'est vraiment un des indicateurs que je suis parce que pour moi, c'est un des canals pour montrer que mon contenu plaît. Du coup, Anne-Fleur, merci pour ta question du avant-après mes objectifs, ça me fait montrer que j'ai pas d'objectif pour Antipop, ce que je peux tout à fait justifier. Je disais vraiment, ce podcast, il a vraiment pour but d'intégrer mon écosystème de contenu qui est composé de ma newsletter, de mes réseaux sociaux, des événements que j'organise en ligne, etc. Donc vraiment, je le vois comme une pièce de mon puzzle personnel. Mais peut-être que d'avoir des objectifs, ça me motiverait un petit peu plus et ça me permettrait justement d'apprécier lors du prochain bilan de saison 3, d'apprécier de manière un peu plus précise ma progression et comment m'améliorer. donc je vais réfléchir à ça pour la saison 3 de me fixer des objectifs Guillaume tu me demandais si mes audiences avaient évolué, oui oui elles ont évolué si je vois là depuis saison 3 je vois notamment les auditeurs uniques qui ont pas mal augmenté Steph, tu me poses la question de c'est quoi tes objectifs pour la suite du podcast et mes principaux enjeux. Pour la saison 3, mes défis, c'est de trouver une organisation qui me permette plus de régularité et qui me permette de peut-être définir des zones un peu plus longues, de peut-être 10-12 semaines de publication continue, de moins avoir ces grands décrochages de 2-3 mois comme j'ai eu là régulièrement lors de ma saison 2. Ça va passer par le fait de déléguer, continuer de déléguer le mixage à Alice des Belles Fréquences, mais aussi intégrer dans mon système de délégation une personne, une assistante virtuelle ou une podcast manager ou une assistante marketing digitale, un petit peu ce profil-là, pour gérer la post-prod, faire rapidement le montage et aussi la mise en ligne des podcasts. et aussi me faire un peu un récap de où est-ce que j'en suis pour me dépêcher d'aller chercher des nouveaux invités ou de me fixer de manière prioritaire des zones d'enregistrement. Parce que c'est vrai que j'ai un rapport un petit peu compliqué au calendrier. Parfois, je peux oublier tout simplement d'enregistrer des podcasts et bien d'avoir quelqu'un qui me rappelle, tiens, les objectifs qu'on s'est fixés ensemble, c'est de publier. X épisodes par mois, d'enregistrer X épisodes par mois, on n'en est qu'à 50 ou 80, ou super, on a fait 100% de nos objectifs, et donc me reposer sur quelqu'un qui me met du rythme et me donne du cadre, je pense que ça sera plus simple pour moi. Ensuite, mes défis, ça va être d'accorder ma ligne éditoriale, la ligne éditoriale du podcast pour mettre davantage en valeur les événements que j'organise avec la communauté EcoFactory. J'organise donc des masterclass une fois par mois avec des experts que j'invite pendant une heure à partager une méthode ou une expertise pour vous aider à les appliquer à votre tour sur votre podcast pour le développer, lui donner une nouvelle dimension. et où j'organise des challenges gratuits pour lancer sa newsletter ou des sessions où j'audite un podcast seul ou accompagné. Et il se trouve que j'en fais la publication et la promotion de ces événements sur mes réseaux sociaux, mais je trouve que mon podcast ne met pas du tout assez en avant ces événements-là. Et donc je voudrais, et j'ai commencé à le faire, j'ai regardé tous les événements que j'avais dans les mois à venir et j'ai commencé à réfléchir aux épisodes qui pouvaient... traiter des mêmes thématiques que ces événements pour faire une introduction de ces événements et aussi vous donner envie d'y participer. Un de mes défis, c'est par rapport aussi au sujet, à la qualité de mes chroniques solo. J'ai fait un sondage en octobre 2023, il me semble, pour savoir ce que vous pensez de mon contenu, de ma newsletter, du podcast, et ce que je pourrais améliorer. Et je sais qu'il y a une ou deux personnes d'entre vous qui m'ont dit que le ton était très sympa, que le niveau de pédagogie était... très appréciable. Néanmoins, vous n'êtes pas d'accord sur la densité d'informations que je partage. Il y a certaines personnes qui disent franchement c'est un peu dense des épisodes, il y en a d'autres qui disent ah ben j'aimerais bien parfois je suis un peu frustrée, j'aimerais bien que tu ailles un peu plus au bout. Et donc du coup ce que je me dis c'est que pour la saison 3, mes chroniques solo, je vais encore plus resserrer. les sujets que je vais traiter, j'ai peut-être un peu tendance à être trop généreuse, à vouloir trop traiter en profondeur et aussi en détail les sujets. Et donc, je vais peut-être resserrer encore plus les thématiques que je vais aborder. Par exemple, je ne vais pas traiter de la marque personnelle en général, mais dire quelles sont les cinq choses qu'on entend sur la marque personnelle qui me semblent fausses. au lieu de faire comme j'ai eu tendance à faire en saison 1 et saison 2, de dire la marque personnelle, pourquoi c'est intéressant, c'est quoi la définition, quels sont tes blocages, les trois étapes pour la mettre en place, etc. S'il fait que je ne rentre pas assez dans les détails, et aussi moi je suis un petit peu frustrée, parce que j'aimerais bien vous faire partager dans mes épisodes d'Antipop les lectures que j'ai, les vidéos que je regarde, et c'est vrai que je ne pense pas toujours à les inclure. dans mon script de chronique et donc je voudrais aussi enrichir avec des ressources théoriques mes épisodes d'antipop Il y a un sujet sur lequel j'aimerais bien aussi m'améliorer, c'est mon élocution. J'ai tendance à faire pas mal de lapsus, à un petit peu manger les mots, à faire des e etc. Je vais suivre là en avril 2024 une formation de prise de parole en public, donc ça va être de l'art oratoire, mais sur lequel je vais m'appuyer pour améliorer la forme de mes chroniques parce que je sais que c'est plus agréable. d'écouter quelqu'un qui a une fluidité verbale, une façon de fonctionner, de créer ses phrases, qui ne s'arrête pas trop, qui ne fait pas trop d'œufs, etc. C'est vrai que travailler avec Anne-Fleur Andrely, qui est ma coproductrice sur le podcast La Demande, qui a un phrasé parfait, hyper clair et tout, moi je me suis pris un peu une baffe. Après, je sais que c'est ma personnalité, c'est ma façon d'être, mais c'est vrai que je vois... qu'Anne-Fleur, elle maîtrise énormément et ça me donne envie de progresser sur ce sujet. Un dernier défi pour ma saison 3, pour répondre à Steph, c'est de trouver plus de fun aussi dans ce podcast anti-pop. Y mettre un peu plus de ma personnalité parce que j'ai eu plusieurs retours suite à mon passage chez Crush, notamment j'ai été invitée par Marie-Charlotte à passer dans son super podcast pour parler de la rencontre avec mon mari. aussi avec La Demande, où c'est vrai qu'on rigole énormément avec Anne-Fleur, on a une super personnalité, on a vraiment voulu que ce podcast La Demande ce soit un moment fun, de légèreté, et bien il y a pas mal de personnes qui sont revenues vers moi en disant Mais vraiment, on a découvert une partie de ta personnalité Anne-Claire, on ne savait pas que tu étais drôle comme ça, et que tu avais vraiment ce côté un peu déjanté, un peu fou. C'est vrai qu'Antipop, c'est un podcast qui est pro, qui est lié à mon activité professionnelle, et que peut-être j'ai voulu... avoir ce côté un peu plus posé, un peu plus cadré, qui, je pense, inspire confiance et donne envie de travailler avec moi. Mais c'est vrai que je mets un peu moins de fun dans la production de mes épisodes et j'ai envie de tester plus de trucs, faire un peu plus de blagues, etc. Donc, j'espère que la saison 3 me permettra de me lâcher un petit peu sur ce sujet-là. Pour répondre à Cassandre, dernière personne qui m'a posé une question sur le Discord de Icofactory, c'est comment est-ce que tu as choisi les sujets par rapport à des besoins de ton audience, que tu as identifiés par rapport à tes objectifs, et comment ça s'intégrait avec tes autres canaux ? J'ai déjà expliqué que les sujets, je les identifiais par rapport à mon exploration, à mon butinage. Ça peut être aussi lié aux interviews, au sujet des interviews. Ça pète aussi des besoins de mon audience, qu'on me remonte via le Discord ou en coaching puzzle ou en coaching individuel. Quand je vois que mon audience me formule plusieurs fois des questions ou des blocages sur une thématique, j'intègre directement dans ma colonne idées de mon tableau Notion un épisode qui pourrait y répondre. Et aussi par rapport à mes objectifs, par exemple je sais que je vais traiter de masterclass sur la monétisation, je me dis comment est-ce que ma ligne édito de mon podcast peut aussi refléter ces thématiques que je vais traiter sur mes autres canaux. Également, ma newsletter, j'ai essayé de la construire en regard des épisodes dont je voulais faire la promotion. L'idée, ce n'est pas seulement de faire la personne sandwich et de dire Salut, j'ai sorti tel épisode mais je me disais, dans l'épisode, par exemple, avec Sandy et Laurie, au moment où il est sorti, je me suis dit Ah, ce qui est intéressant, C'est cette partie où on parle de la ligne édito, quand on s'ennuie au bout d'un moment d'avoir traité la même thématique pendant plusieurs épisodes, qu'on a l'impression de tourner en rond, qu'on se sent un peu à trois à l'étroit, qu'est-ce qu'on fait ? Donc j'ai développé une newsletter sur cette thématique-là, en donnant mes conseils et en renvoyant enfin de chroniques de newsletters vers l'épisode, en disant d'ailleurs c'est ce qu'a aussi vécu... Laurie et Sandy Jacobi, on aborde ce point mais pas que, on aborde aussi tel tel tel sujet. Donc j'ai aussi réfléchi pendant toute ma saison 2 de podcast de me dire comment est-ce que la newsletter elle peut apporter quelque chose de complémentaire par rapport au sujet que je traitais dans mon podcast. Pour terminer sur cet épisode bilan, j'avais envie de partager avec vous ce que j'allais tester pour la saison 3 de ce podcast. Je vous ai déjà expliqué mes défis, la manière dont j'allais impacter ma ligne édito. Il y a vraiment quelque chose qui est super important pour moi à titre professionnel, c'est le fait de vous donner à voir mes coulisses. Là, je le fais par cet épisode bilan. J'aime bien aussi faire du building public, c'est-à-dire de vous montrer mon processus de fabrication. Je l'ai fait au moment du lancement du podcast Antipop, je l'ai fait au moment de changer d'identité visuelle en 2023 aussi. Et en fait, c'est lié au fait que je trouve ça très rare, les gens qui ouvrent les portes de leurs coulisses de manière très transparente. Je pense que c'est utile. pour vous, de voir comment je m'y prends. C'est un aspect pédagogique de dire Ah ouais, d'accord, elle est passée par telle, telle, telle étape. Et donc du coup, ça vous facilite le passage à l'action, ce qui est une de mes missions professionnelles pour vous, de vous aider, vous donner les moyens et de vous donner la motivation pour passer à l'action pour votre podcast et le faire évoluer et le développer comme vous en avez envie. Il y a quelque chose qui est très important pour moi, c'est le principe de... Practice what you preach c'est-à-dire mets en place ce que tu conseilles. Et donc du coup, de manière systématique, à chaque fois que je donne un conseil en coaching individuel ou lors de mon bootcamp puzzle, ou quand j'ai des convictions fortes, je me demande est-ce que tu l'as assez incarné cette conviction-là ? Ce conseil que tu donnes, est-ce que tu l'as assez incarné ? Et j'essaye de manière régulière de... mettre en place des choses un peu comme un laboratoire et de me dire, si je mets en place ce conseil que je donne à mes clients, moi, ça va me permettre d'affiner encore plus mes conseils parce que je me serai confrontée dans ma réalité de manière pratique à ce que je fais. Et en plus, je trouve qu'en termes de crédibilité, vous dites, la meuf, elle a testé ce qu'elle me propose de mettre en place et donc, du coup, elle a l'air sérieuse. Ce Practice What You Preach, je l'ai mis en place notamment sur La Demande, le podcast que j'ai lancé mi-février 2024, qui est un podcast sur les demandes en mariage, le podcast qui dépoussière les demandes en mariage. Et je me suis servi de ce projet pour tester quelque chose que je martelais à ma communauté, qui était, vous n'avez pas besoin d'attendre 5000 écoutes par mois. pour sponsoriser votre podcast. Je connais des gens comme Jérémy Clay, Aurélie Doré, qui ont trouvé un podcast, un sponsor, pardon, avant le lancement de leur podcast. Et je me suis dit, meuf, à force de le répéter, va falloir que tu le fasses. Vas-y, on va voir si tu es capable de le faire sur la demande. Et je l'ai fait. J'ai trouvé un sponsor alors qu'on avait encore zéro écoute, qu'on n'avait pas sorti un seul épisode. Ce Practice What You Preach, je l'ai décliné. en un fil rouge de ma ligne édito pour 2024, et notamment pour la saison 3 du podcast Antipop, qui s'appelle J'ai testé pour vous Donc l'idée, c'est de moi mettre en place des choses, soit des méthodes, soit des outils, soit des expériences, parce que ça me semble intéressant et stratégique pour augmenter soit la visibilité d'un podcast, son attractivité ou monétiser. Eh bien, je vais le tester pour vous et je vais vous en faire le bilan de ce que j'ai appris. L'idée, c'est que je puisse vous inspirer à tester des nouvelles choses, mais aussi je puisse faciliter votre passage à l'action en disant, si elle l'a faite, ok, je suis les mêmes étapes. Peut-être que je me ferai ma propre conviction, ma propre expérience par rapport à cette méthode qu'elle me conseille, mais j'ai l'impression que le chemin est un peu basilisé devant moi. Parce que c'est quelque chose qui est très difficile, je trouve, dans l'entreprenariat. et je considère que le podcast c'est un projet entrepreneurial, en tout cas c'est moi, c'est la perspective que je lui donne, c'est que parfois on a des idées, mais on ne sait pas comment les mettre en place, on est un petit peu impressionné, quel temps ça va me prendre, est-ce qu'il y a des étapes que je n'identifie pas et je vais me planter, etc. Et donc c'est quelque chose que moi j'ai fortement vécu au début de mon expérience entrepreneuriale. et comme dit Gandhi la meuf elle, elle cite Gandhi elle est on fire aujourd'hui soyez le changement que vous souhaitez voir dans le monde et donc j'ai vraiment envie d'incarner ce côté, d'expérimenter les choses, oser mettre en place oser se planter et j'ai envie de vous en faire profiter donc qu'est-ce que je vais tester pour vous pour la saison 3 la mise en place du PSO, qui est une nouvelle fonctionnalité proposée par Ocha, qui permet d'être plus visible sur les plateformes d'écoute. Je vous en ai déjà parlé, je vais être suivie par un coach de prise de parole en public. L'idée, c'est de préparer une keynote, donc c'est un peu comme un format TEDx, on va dire un seul en scène d'une dizaine de minutes peut-être, pour l'événement que j'organise pour vous, pour la communauté EcoFactory, mi-juin 2024. et je vais tester aussi le vidéocast, le fait d'enregistrer en live et peut-être en public un ou plusieurs épisodes. Et voilà, j'ai encore plein d'autres idées, mais vraiment l'idée c'est que si cette approche de j'ai testé pour vous le practice what you preach vous avez envie de me lancer des défis, vas-y Anne-Claire, j'ai envie que tu testes pour moi de faire ça, cette méthode, cette chose, etc. venez me parler sur Instagram ou sur LinkedIn pour parler avec moi des défis que vous avez envie de me lancer. Voilà pour ce bilan de la saison 2. J'espère que ça vous aura plu. J'ai beaucoup parlé et j'espère que j'ai été assez dans le détail et dans le concret par rapport à ce que je vous ai partagé. En tout cas, j'ai hâte de savoir si ce contenu vous a intéressé. je pourrais envisager de faire ces bilans, ces retours d'expérience de manière un peu plus ponctuelle. Pour le JTC pour vous, bien sûr, mais par exemple sur mon aventure entrepreneuriale, sur le fait de créer et d'animer une communauté, etc. En tout cas, 2024 nous réserve plein de nouvelles choses. je ne vous ai pas encore tout dévoilé dans ce bilan parce qu'il faut que je prenne quelques décisions mais ce que je peux vous dire c'est que je vais continuer d'avoir de l'ambition pour moi-même, de l'exigence pour moi-même et de vous donner les méthodes et les clés pour appliquer tout ça à votre podcast et lui donner une nouvelle dimension. A très vite ! Merci beaucoup d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. J'espère qu'il t'a plu et qu'il t'a été utile. Pour encore plus de conseils, je t'invite à t'inscrire à ma newsletter. Et si c'est déjà fait, viens partager avec moi sur Instagram ou sur LinkedIn les idées que ce podcast t'a inspiré. On se retrouve tout bientôt pour un nouvel épisode.

Description

Qui dit fin de saison, dit bilan !

Pour cet épisode, j'ouvre en grand les coulisses d'Antipop, en mode "build in public" !


Je reviens en toute transparence sur :

  • Les nouveautés que j'ai intégrées pour la saison 2 et pourquoi

  • Mes difficultés et mes fails

  • Mes stats et mon rapport aux chiffres

  • Mon organisation et mes outils préférés

  • Mes défis pour la saison 3

  • Les nouveautés à venir


Merci à Anne-Fleur, Cassandre, Estelle, Guillaume Stef pour leurs questions !


Un épisode assez intime qui j'espère vous plaira, hâte d'avoir vos retours :


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Tu veux encore plus de conseils, de cas pratiques et de ressources ?

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Crédits

  • Réalisation, montage, mixage : Anne-Claire Lecat

  • Habillage musical : Matthieu B.

  • Hébergement : Ausha


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Salut, bienvenue sur Antipop, le podcast pour les podcasteurs entrepreneurs déterminés à faire grandir leur podcast. Dans ce podcast, tu trouveras plein de conseils, de méthodes et de témoignages pour t'aider à booster l'audience de ton podcast et à explorer toutes les pistes pour construire une stratégie adaptée à tes besoins, tes objectifs, tout en gardant le plaisir. Allez, je laisse place à l'épisode du jour. Hello hello, comment ça va la vida ? Je vous retrouve aujourd'hui pour un épisode bilan de la saison 2. Et ouais, elle est toujours en route et je suis en train de préparer la saison 3. La saison 2, elle a duré longtemps. J'étais en train de regarder les chiffres sur mon hébergeur au chat. Elle a commencé en mai dernier, donc ça fait quasi un an. Je vais vous expliquer un petit peu pourquoi ça s'est un peu étalé dans le temps. Mais en tout cas, l'idée de cet épisode, c'est faire un peu un bilan quantitatif. qualitatif, émotionnel de ce bilan, de vous dire comment j'ai vécu les choses, ce qui est un peu derrière les coulisses de cette saison 2, ce que je ne vous ai pas forcément partagé, mon analyse aussi de ces performances, de comment je l'ai vécu et puis je réponds à vos questions. J'ai posé la question à la communauté Icofactory qui est sur Discord et plusieurs d'entre vous m'ont posé des questions auxquelles ils voudraient que je réponde donc je vais y répondre. et ensuite je vous dévoilerai ce que j'ai en tête pour 2024 et plus précisément pour la saison 3 de Antipop. Il y a pas mal de nouvelles choses à venir. Bon allez c'est parti ! Donc la saison 2, déjà si on fait les maths, si on regarde juste les chiffres, elle est composée de pas mal d'épisodes. Donc on va dire, alors je calcule, il y a eu 7 interviews, 6 chroniques solo et 5 épisodes collectifs. Donc 11, 18 épisodes. Waouh j'ai été super prolixe en fait ! n'empêche c'est bien de faire des bilans quantitatifs, je t'avoue que là je commence le bilan un peu peu naude parce qu'il y a notamment le sujet de la régularité que je vais aborder plus profondément juste après mais en fait finalement j'ai taffé franchement en 2023, bravo Anne-Claire tape dans les mains. Donc la saison 2, elle s'est composée autour de, on va dire, trois formats, comme je disais, des interviews que j'ai faits tout le temps à distance, en fait, avec des personnes de mon écosystème, des chroniques solo, donc ça c'est quelque chose que je faisais déjà en saison 1, c'est des formats courts où je vais me concentrer sur une problématique précise et donner des conseils et des retours d'expérience dessus. Et des épisodes collectifs, c'est des épisodes pendant lesquels je vais demander à ma communauté, aux personnes de ma communauté, de venir à mon micro pour partager un retour d'expérience précis. Donc ça, ça va être par exemple l'épisode sur le retour d'expérience de J'ai fait une grosse promo au moment où j'ai organisé le challenge avec Ocha. Donc ce qui a été nouveau pour cette saison 2, ce sont les interviews. C'est vrai que par rapport à ce qu'il fait classiquement, on commence par les interviews, après on fait les épisodes solo, j'ai fait un peu le contraire. Et c'est venu du fait que j'avais envie d'ajouter un petit peu de dynamisme dans ma ligne édito, d'aller chercher des retours d'expérience ailleurs, des conseils ailleurs. Et vraiment, j'ai à cœur d'incarner aussi dans mon épisode ce côté intelligence collective qui est hyper important pour moi. Pour celles et ceux qui me découvrent, ce que j'entends par intelligence collective, c'est le fait qu'à plusieurs, en échangeant nos idées, en confrontant nos expériences, en partageant nos erreurs, etc., je suis persuadée que le résultat pour tout le monde, il est plus riche. On va plus loin, on profite des conseils des autres, on évite de faire les mêmes erreurs que les autres, etc. Et c'est vraiment une approche, l'intelligence collective, qui est très importante pour moi, que je vais insuffler partout. dans ma façon de construire la communauté EcoFactory, dans ma façon d'animer mon programme Puzzle, mais aussi la façon dont j'ai d'interagir au quotidien avec mes clients, mes clientes ou mes partenaires en général. Et donc du coup, les interviews, c'était une manière bien d'incarner cette intelligence collective d'une certaine manière. J'invite des gens à mon micro qui ont parfois des expériences ou des compétences similaires aux miennes. j'ai déjà mis en place des choses sur les sujets qui vont venir traiter, mais ça me permet d'apporter différents points de vue, vous apporter différents points de vue, d'enrichir les méthodes que je donne, parce que je ne prétends pas détenir la vérité, et je trouve qu'il y a certaines personnes qui vont expliquer différemment de moi, peut-être avec d'autres arguments, une autre sensibilité, les mêmes points que j'essaye de vous partager. coup, peut-être ça sonnera mieux pour vous et ça vous sera, ça vous rentrera mieux dans l'oreille, on va dire, si c'est quelqu'un d'autre que moi qui l'explique. Donc voilà pourquoi j'ai invité des gens à mon micro pour faire des interviews et aussi le côté découvrir des nouvelles personnes, etc. J'ai aussi introduit dans ma ligne édito les retours d'expérience clients. Vous avez pu découvrir le retour d'expérience de Laurie et Sandy Jacobi avec lesquelles j'ai travaillé sur le reboot de leur podcast My Marketing Experience. Donc on est revenu sur tout le repositionnement qu'on a fait. Elles avaient fait deux saisons et elles n'étaient pas super contentes de l'organisation qu'elles avaient mis en place, de leur performance, mais aussi de la façon dont elles fonctionnaient entre elles. elles sont sœurs, il se trouve que Laurie n'arrivait pas trop à trouver sa place. Et donc on a travaillé sur une nouvelle ligne édito, mais aussi tout l'aspect marque personnelle, qu'on a travaillé conjointement sur les deux sœurs, séparément, mais aussi en tant que duo au micro. Et voilà, donc on est revenu là-dessus. Et aussi le retour d'expérience de Adrien Garcia, avec qui j'ai effectué tout le rebranding de son podcast, qui s'appelait antérieurement Entreprendre dans la mode et à l'issue de notre travail, elle a lancé une nouvelle version de son podcast qui s'appelle The Bold Way. Donc on est revenu sur cette mission, cette collaboration qui a duré neuf mois. On a allé très en profondeur sur les sujets de vision, d'objectifs, le naming, la ligne édito, etc. Et donc on a parlé de ce que c'est d'assumer son ambition pour son podcast et de prendre des risques, de tout remettre en question. parce que ça faisait 6 ans qu'il était sur cette version entrement dans la mode, mais il était plus satisfait sans trouver que c'était plus aligné avec ses objectifs. Et donc remettre en question tout ça, ça peut foutre un peu la trouille. Et comment est-ce qu'on aborde justement ce rebranding et le fait de donner un nouvel élan à son podcast ? Donc ces retours d'expérience, c'était aussi dans cette perspective de vous partager des retours terrain. On entend et on lit beaucoup de choses sur le fait d'avoir un podcast. Parfois, on voit des gens qui s'expriment, des podcasteurs, podcasteuses à succès, qui s'expriment sur ce que c'est d'avoir un podcast, mais ce n'est pas toutes les expériences. Et donc, moi, mon but avec Antipop, c'est aussi vous apporter des retours terrain de personnes qui ont intégré le podcast dans leur vie, que ce soit personnel, professionnel, d'aller creuser leurs objectifs avec ces podcasts, leur organisation. leur point de vue de ce que ce podcast doit devenir. Et j'avais aussi envie de mettre en avant mes clients et mes clientes, parce que c'est les podcasteurs et podcastistes que je connais le mieux. Je sais qu'ils ont beaucoup à vous apprendre, c'est des personnes qui sont super exigeantes avec eux-mêmes, qui ont beaucoup d'ambition, qui ont envie de mettre en place des choses super cool. Et j'avais envie de mettre en avant leurs accomplissements, les questionnements qu'ils se posaient. pour que vous puissiez vous reconnaître en eux et puis vous inspirer des déclics qu'ils ont pu avoir. Et aussi de vous montrer un peu ce que c'est de travailler avec moi et peut-être vous donner envie de passer le pas et de me contacter pour vos problématiques. Ce qui n'a pas changé, ce qui n'était pas nouveau, c'est les chroniques solo, donc des épisodes courts sur lesquels je reviens sur un conseil, une problématique, une méthode. Ça, ce n'était pas nouveau dans la forme. Néanmoins, j'ai testé quelque chose de nouveau, c'est-à-dire qu'à chaque fois que j'invitais quelqu'un à mon micro pour une interview, lors de cette interview, je notais mentalement, et après j'ai noté sur mon Notion, les idées de chronique que ça me donnait. Donc si vous regardez ma ligne édito depuis mai, vous allez voir que je teste plusieurs choses. Par exemple, mon interview avec Flavie Prévost, on aborde la question du persona, et je me suis dit, ah bah tiens, ça m'a donné l'idée d'en faire une chronique. Et donc régulièrement, à chaque fois que j'interview quelqu'un, je me note ou je planifie à l'avance, tiens, je vais interviewer un tel sur tel sujet, qu'est-ce que je pourrais raconter en chronique ? Ça me permet de faire des choix et aussi de vous proposer une ligne édito, un ensemble cohérent d'épisodes qui vont répondre de différentes manières aux mêmes questions. Donc ça me facilite l'organisation et j'espère que pour vous, ça a plus de valeur ajoutée. Donc ça c'était pour ce qui concerne la ligne édito. En ce qui concerne l'organisation dans le temps, on peut voir que de mai jusqu'à aujourd'hui, j'enregistre fin mars, et bien il y a eu plusieurs phases où j'enchaîne les épisodes, je fais une grande pause, j'enchaîne les épisodes, je fais une grande pause. Il se trouve que je me suis organisée pour enregistrer pas mal d'épisodes à l'avance, ce qui me permettait d'avoir les moyens d'une certaine régularité, ça me permettait du coup de publier toutes les semaines. et en fait je faisais des pauses à chaque fois que je partais en vacances donc une grande pause l'été à partir de juillet et je me suis pris les pieds dans le tapis et j'ai pas réussi à republier avant novembre si je me trompe pas ou octobre ensuite j'ai republié de manière constante pendant 6-7 semaines quelque chose comme ça et Après mes vacances de Noël, pareil, je n'ai pas réussi à raccrocher les wagons et à m'y remettre. En fait, je me rends compte que souvent, j'arrive à prendre de l'avance, j'arrive à m'organiser pour ça, mais je n'arrive pas à anticiper assez pour que j'ai déjà des réserves à mon retour de vacances. Parce que je dois avouer que si je commence ma phase de publication avec un peu d'avance, dans le frigo comme on dit, Au fur et à mesure que les épisodes sont publiés, mon avance, ça me nuise et je me retrouve un peu en bout de course juste avant mes vacances à me dire allez, vas-y, publie, publie ! Et après, clac, je m'arrête. Et le fait que j'ai du mal à republier après, c'est lié à de l'organisation de mon côté. Une solution, ça pourrait être de m'organiser pour avoir un ou deux épisodes d'avance pour pouvoir déjà les planifier via mon hébergeur au chat. et revenir avec la rentrée un petit peu plus calme. Et aussi que généralement, quand je rentre de vacances, il y a toute une phase où je dois me remettre dans mon travail, re-réfléchir à mes projets, à me dire qu'est-ce que je veux faire sur le long terme, etc. Et je me rends compte que je suis un petit peu monotâche et quand je dois travailler sur des sujets un peu plus long terme, un peu plus stratégiques, j'ai du mal avec les tâches plus régulières, qui sont plus opérationnelles. donc ça c'est un de mes fonctionnements je ne sais pas si je vais pouvoir aller à l'encontre de ce fonctionnement là donc il va falloir juste que j'anticipe soit j'assume en me disant je vais faire des grandes pauses, soit j'essaye d'améliorer mon organisation pour pouvoir comme je vous le disais avoir un peu plus d'avance j'ai déjà identifié des solutions, je vous en parle juste après Il y a d'autres facteurs qui ont joué dans ce décrochage-là et donc du fait que je n'ai pas été aussi régulière que je voulais, c'est le fait que j'ai eu des gros projets qui ont pris un petit peu toute la place. Le challenge avec Ocha qui était un challenge de cinq jours pour aider les podcasteurs indépendants à apprécier la cross promo et à le mettre en place avec un ou une partenaire qu'on lui présentait. Donc ça, ça a été un... C'est un challenge qui a demandé pas mal d'organisation. On a travaillé pendant six mois dessus avec l'équipe Ocha. J'ai aussi travaillé sur un nouveau projet de podcast qui s'appelle La Demande, que je coproduis avec Anne Fleur. Et c'est vrai qu'on s'était fixé de le lancer mi-février et de trouver un sponsor pour sponsoriser toute la saison, etc. Et c'est vrai que ce nouveau projet de podcast, il a pris toute la place et j'ai eu du mal. à prendre du temps en plus de la demande pour enregistrer des épisodes d'antipop. Donc là, c'est toujours un peu mon côté monotâche ou slash manque d'organisation peut-être, qui fait que quand j'ai un gros projet, j'ai pas le temps ni je dirais même l'espace mental. J'arrive pas à être créative sur plein de projets à la fois. Ça se ressent aussi sur la newsletter où j'ai été très régulière en fin d'année 2023. Et là, j'arrive un peu moins, j'ai une panne créative sur la newsletter. Il se trouve que je produis beaucoup de contenu au quotidien. Il y a la newsletter, il y a ce que je produis pour mes clients en coaching individuel, le bootcamp puzzle aussi où je refais régulièrement des vidéos, etc. les stories que je fais, les posts LinkedIn, les posts Instagram, etc. Et il se trouve que même si j'ai un principe d'écosystème qui est super bien rodé, un principe d'écologie que je mets en place, parfois juste au niveau de la fatigue, de l'énergie créative que j'ai, eh bien, je n'en ai pas pour tous ces canaux. Aussi, il y a à prendre en compte ce facteur de la fatigue qui fait que, en fait, j'ai deux petites filles. Je n'en parle pas super souvent, ça fait partie... de la zone privée de ma marque personnelle, on va dire, mais j'ai deux petites filles et qui dorment pas très bien la nuit. Donc, ça fait quelques années maintenant que je dors pas bien. Et tout l'automne et l'hiver, ça a été très difficile avec plusieurs réveils par nuit. Ce qui fait que quand je me levais le matin, en fait, j'étais épuisée. Je pouvais faire que le strict minimum, répondre aux mails, faire mes sessions coaching, etc. Tout le challenge au chat, etc. C'était à ce moment-là. et quand je suis fatiguée, j'étais vraiment épuisée. J'ai revu des vidéos que j'ai enregistrées à l'époque sur mon logiciel Riverside d'interview que j'ai mené en novembre-décembre. J'ai les yeux tout petits, petits. Je me suis dit, tu étais vraiment super fatiguée. Et donc du coup, c'est aussi à ce moment-là que j'ai décidé de décaler mon lancement puzzle qui est mon bootcamp 12 semaines et je l'ai décalé à la rentrée. J'ai décalé le lancement à la rentrée de janvier. Tout ça pour dire que j'ai dû jongler avec beaucoup de fatigue, beaucoup de création de contenu, une exigence et une ambition que je veux m'appliquer. Donc j'essaye de réfléchir à où est-ce que je veux aller avec EcoFactory, quel est l'avenir de cette communauté, qu'est-ce que je veux mettre de nouveau en place, etc. Une envie d'innover, une envie de m'améliorer, une envie de tester des nouvelles choses. parce que c'est ça qui me stimule dans mon métier, mais parfois la réalité me rattrape, mes ressources créatives, mes ressources physiques de fatigue, et voilà, il faut que je conjugue avec tout ça. Donc voilà, c'est un peu un bilan demi-temps sur le sujet de la régularité. Néanmoins, je suis assez fière du contenu que je vous ai proposé. Les interviews, elles ont beaucoup plu. J'ai eu beaucoup de retours sur la qualité des conseils partagés par mes intervenants. Donc j'en suis super fière. Et aussi de mes chroniques. Là, dernièrement, il y avait des stories sur Instagram. ou le compte Formation Podcast, demandez quel est le podcast que vous ne ratez jamais. Et il y a Antipop qui est ressorti. Souvent, vous me dites que Antipop, c'est un podcast qui vous apporte beaucoup. Donc franchement, moi, ça me fait trop trop chaud au cœur. Si tu écoutes ce bilan et tu te dis Ah merde, je ne l'ai jamais dit franchement, n'hésite pas à venir me dire qu'Antipop... s'il te plaît, même si tu as des idées d'épisodes ou des idées d'amélioration, je sais que tout n'est pas parfait. Viens me parler sur Instagram, franchement, je suis une vraie personne avec un petit cœur qui bat et parfois, j'ai des pertes de motivation ou des coups de fatigue ou des coups de... Je suis un peu dure avec moi-même. Du coup, un petit message sympa, franchement, ça va faire du bien. Maintenant, je vous propose qu'on passe à la deuxième partie de ce bilan, qui est de répondre à vos questions. Donc, il y a cinq personnes sur le Discord de Icofactory qui m'ont posé des questions. Quand je leur ai dit que j'allais faire le bilan de la saison 2, je les remercie. Estelle, Anne-Fleur, Steph, Guillaume et Cassandre, trop cool de savoir ce qui vous intéresse. et de faire en sorte que ce bilan, ce ne soit pas seulement moi qui parle en monologue derrière mon micro, mais que ce soit adapté à votre curiosité ou si vous posez ces questions, c'est peut-être parce que vous posez la question par rapport à vous. Et donc, si mon retour d'expérience peut vous aider, je suis trop contente. Alors, c'est parti pour les questions. Alors, Estelle, quelle est ton organisation dans la production et la programmation de ton podcast ? Au niveau de la programmation, j'y ai répondu. J'essaye de faire en sorte que mes chroniques solo répondent de manière thématique aux invités que j'invite à mon micro. Pour choisir mes invités, je vais regarder autour de moi dans mon écosystème. Je parle avec beaucoup de podcasteurs, podcasteuses, qu'ils soient présents sur le Discord ou que ce soit des potes ou des gens que je rencontre via les réseaux sociaux ou en vrai. lors du Paris Podcast Festival, des podcasts et d'études, donc des gens que je rencontre en vrai, et on discute. Et là, dans ma tête, je me dis, ah tiens, super intéressant, son expérience ou son expertise sur tel sujet, ça serait bien que je l'invite à mon micro. Donc, j'ai un tableau de bord Notion qui me permet de lister toutes mes idées d'épisodes, comme ça, ça me vide le cerveau, et sur lequel je vais faire le suivi de la production. En gros, j'ai un tableau de bord avec plusieurs colonnes, avec idées. à enregistrer, à monter, à mixer, à publier et publier. Ça me permet de voir l'avancement des différents épisodes au fur et à mesure. À l'intérieur de chaque épisode que je vais créer, je peux y mettre les ressources sur lesquelles je peux m'appuyer pour enregistrer l'épisode. Voilà des notes que j'aurai parce que j'ai le cerveau qui travaille en permanence et parfois je vais lire un article, écouter un podcast, voir un... un post-link ou tout simplement faire une balade sur mon vélo. Et dans ces cas-là, j'ai plein d'idées qui arrivent en avalanche dans mon cerveau et je vais tous les noter et puis après les consigner dans mon Notion. Je me rends compte qu'au niveau création de contenu, je suis pas mal en asynchrone, c'est-à-dire que je vais avoir des phases de réflexion, un petit peu de butinage, où je vais aller voir un petit peu partout, aller chercher l'inspiration, aller regarder, comme je vous disais, un peu partout, si ça me donne des idées d'épisodes. J'ai plein d'idées qui vont me venir en avalanche, mais dans ces cas-là, soit je n'ai pas l'énergie d'enregistrer un podcast, soit je n'ai pas le temps. Et donc du coup, en asynchrone, j'ai les idées dans un premier temps, un petit peu en fil rouge sur du long terme. Et après, je vais concentrer mes périodes de production pour enregistrer plusieurs épisodes à la suite. C'est ce que je fais ce matin. Là, j'enregistre l'épisode bilan et après, je me suis noté deux chroniques. Et j'espère pouvoir les enregistrer dans le créneau que je me suis imparti dans mon emploi du temps. Donc ça vient avec mon organisation. Je me fixe souvent des créneaux de production d'enregistrement. Il faut que ce soit un moment où il y ait le calme dans la maison. Donc là, ce n'est pas le cas aujourd'hui. J'espère que vous n'entendez pas trop les travaux de mes voisins. Mais il faut aussi que mes filles ne soient pas là parce qu'elles sont assez brillantes et que j'enregistre dans une pièce de la maison qui est un peu leur salle à jeux. parce qu'elle est petite et confinée et que le son est un peu mieux. Donc, il faut que je m'assure que ce soit une bonne période de la journée. Voilà, en termes d'organisation, au début de la saison 2, je déléguais le mixage à Alice des Belles Fréquences. Et en fait, au fur et à mesure, je me suis pris de plus en plus au dernier moment pour enregistrer, pour publier les épisodes. Et comme je n'ai pas envie de faire reporter sur quelqu'un d'autre... Mon rush, mon manque d'organisation, je ne suis pas passée par Alice, mais un de mes objectifs pour la saison 3, je vais y revenir, c'est de davantage structurer mon organisation avec de la délégation. Pour tout ce qui est montage, j'ai utilisé Reaper. Ça, ça m'a fait gagner énormément de temps, Reaper. C'est beaucoup plus pratique que Audacity que j'utilisais en début de saison 2. En cours de saison, grâce à Claire Géano de... pile le podcast qui m'a formée à Reaper, je suis passée sur Reaper, ça m'a fait gagner énormément de temps. Et donc du coup, ce que je faisais, c'est que dans mon emploi du temps, dans ma semaine, le lundi matin, je me bloquais des créneaux de une heure, une heure et demie pour faire du montage et avancer sur l'épisode en cours. Donc en termes de production, j'utilisais un certain nombre d'outils que je peux vous partager. J'utilisais Riverside. pour l'enregistrement des interviews à distance. C'est un outil qui est bien pratique, qui est bien foutu. Et en plus, il a une fonctionnalité qui est assez cool, c'est qu'à partir de l'enregistrement de la captation vidéo avec le système d'IA, il va te proposer des mini clips en format réel. Et donc du coup, je les ai utilisés pour mes réseaux sociaux. C'était vraiment super pratique, Riverside a ce titre-là. Ensuite, une fois que l'enregistrement est fait, je vais télécharger le... le fichier son, le RAW ou le MP3, et je vais le mettre dans mon outil de transcription qui s'appelle AppyScribe, que j'utilise depuis deux ans, trois ans maintenant. Ça me permet deux choses, d'un coup d'œil, d'isoler certains paragraphes qui ne me semblent pas intéressants pour le montage ou qui sont un peu des digressions. Donc ça va plus vite de lire plutôt que de se retaper, on va dire, toute la bande son. Donc ça me permet d'isoler des gros bouts à coups. via la transcription écrite d'aller plus vite avec le montage. Et ensuite, dans un deuxième temps, Happy Scribe permet une connexion avec ChatGPT et je lui demande de faire des chapitrages avec le timecode et les sujets à chaque fois, et aussi des summaries, des résumés en bullet points que je vais reformuler et utiliser lors de ma description que je vais pluguer sur mon hébergeur au chat au moment de la publication. J'utilise Ocha aussi pour mon hébergement. J'aime beaucoup cet acteur, notamment pour une fonctionnalité qui est inclue dans ma formule Boost, qui permet de diffuser en pré-roll et en post-roll des petits messages publicitaires. Et notamment, je l'ai utilisé pour parler du challenge qu'on organisait avec Ocha sur tous mes épisodes. Ça permet... en fait comme un message publicitaire de sponsor, de faire la pub pour mes propres événements. Donc ça, c'est vraiment quelque chose que j'ai envie de creuser pour la saison 3, de davantage utiliser mon podcast pour donner de la visibilité aux masterclass que j'utilise, mais aussi aux événements gratuits comme les événements Jeudi de ton podcast avec les challenges, newsletters, etc. Voilà, je pense que j'ai fait le tour de ta question. Estelle, merci beaucoup de me l'avoir posée. C'est vraiment un sujet sur lequel j'ai envie de m'améliorer pour la saison 3. Ensuite, Anne-Fleur, un avant-après des objectifs que tu avais au début de ta saison versus ton bilan. Et je pense qu'on peut le rapprocher de la question de Guillaume qui me dit Quel est ton objectif d'audience, tes audiences réelles et leurs évolutions si elles ont bougé ? Tout le sujet des chiffres. Alors, c'est vrai que je n'ai pas donné mes chiffres dans le bilan, c'est parce que je savais que vous m'aviez posé la question. Alors, mes stats à date, j'ai 6200 écoutes. cumulé depuis le début du podcast. J'ai fait 5000 écoutes rien que sur la saison 2. Si on regarde les graphiques sur mon hébergeur, il y a vraiment des gros pics d'écoute au moment où je suis un peu plus active, normal. En plus, ça a été accéléré par la mise à jour de Apple Podcasts qui a favorisé la régularité et la fréquence de publication dans la mise en avant des podcasts. C'est vrai que voilà... de mi-juillet jusqu'à mi-octobre, donc ça fait trois mois, je n'ai rien publié, j'ai disparu des chartes, et là qu'on voit vraiment les audios qui se crashent, tant en termes d'écoute qu'en termes d'auditeurs uniques. Donc ça, c'est en termes de statistiques d'écoute. Moi, je ne me fixe pas trop d'objectifs en termes d'écoute, c'est vraiment pas un KPI, un indicateur de performance qui est important pour moi. mes indicateurs, ça va être est-ce que j'arrive à être régulière ? Est-ce que je trouve que les épisodes que je sors sont de qualité ? Et est-ce que je reçois des retours, des feedbacks de la part de mes auditeurs sur ce podcast ? C'est le cas aujourd'hui. Régularité, j'en ai déjà pas mal parlé. La qualité de mon contenu, on va dire que je suis 75-80% contente et je vous expliquerai en saison 3 comment j'espère que... m'améliorer. Et sur les retours d'auditeurs, c'est vrai que j'en reçois pas mal, soit spontanément, soit par les stories ou les messages en DM. C'est vrai qu'il y a un indicateur qualitatif, on va dire, de l'appréciation de mon podcast qui est un petit peu en dessous de mes attentes, c'est le nombre d'avis sur Apple Podcast. C'est vrai que ça fait longtemps que j'en ai pas reçu. Il me semble, le dernier que j'ai reçu, c'est Sandy, trop sympa, qui me l'a laissé. Mais depuis, j'en ai pas eu. je sais pas pourquoi, pareil, si t'écoutes cet épisode et que tu te dis, ah bah zut, j'ai pas laissé d'avis iTunes, fais-le, ça me fera trop plaisir et c'est vraiment un des indicateurs que je suis parce que pour moi, c'est un des canals pour montrer que mon contenu plaît. Du coup, Anne-Fleur, merci pour ta question du avant-après mes objectifs, ça me fait montrer que j'ai pas d'objectif pour Antipop, ce que je peux tout à fait justifier. Je disais vraiment, ce podcast, il a vraiment pour but d'intégrer mon écosystème de contenu qui est composé de ma newsletter, de mes réseaux sociaux, des événements que j'organise en ligne, etc. Donc vraiment, je le vois comme une pièce de mon puzzle personnel. Mais peut-être que d'avoir des objectifs, ça me motiverait un petit peu plus et ça me permettrait justement d'apprécier lors du prochain bilan de saison 3, d'apprécier de manière un peu plus précise ma progression et comment m'améliorer. donc je vais réfléchir à ça pour la saison 3 de me fixer des objectifs Guillaume tu me demandais si mes audiences avaient évolué, oui oui elles ont évolué si je vois là depuis saison 3 je vois notamment les auditeurs uniques qui ont pas mal augmenté Steph, tu me poses la question de c'est quoi tes objectifs pour la suite du podcast et mes principaux enjeux. Pour la saison 3, mes défis, c'est de trouver une organisation qui me permette plus de régularité et qui me permette de peut-être définir des zones un peu plus longues, de peut-être 10-12 semaines de publication continue, de moins avoir ces grands décrochages de 2-3 mois comme j'ai eu là régulièrement lors de ma saison 2. Ça va passer par le fait de déléguer, continuer de déléguer le mixage à Alice des Belles Fréquences, mais aussi intégrer dans mon système de délégation une personne, une assistante virtuelle ou une podcast manager ou une assistante marketing digitale, un petit peu ce profil-là, pour gérer la post-prod, faire rapidement le montage et aussi la mise en ligne des podcasts. et aussi me faire un peu un récap de où est-ce que j'en suis pour me dépêcher d'aller chercher des nouveaux invités ou de me fixer de manière prioritaire des zones d'enregistrement. Parce que c'est vrai que j'ai un rapport un petit peu compliqué au calendrier. Parfois, je peux oublier tout simplement d'enregistrer des podcasts et bien d'avoir quelqu'un qui me rappelle, tiens, les objectifs qu'on s'est fixés ensemble, c'est de publier. X épisodes par mois, d'enregistrer X épisodes par mois, on n'en est qu'à 50 ou 80, ou super, on a fait 100% de nos objectifs, et donc me reposer sur quelqu'un qui me met du rythme et me donne du cadre, je pense que ça sera plus simple pour moi. Ensuite, mes défis, ça va être d'accorder ma ligne éditoriale, la ligne éditoriale du podcast pour mettre davantage en valeur les événements que j'organise avec la communauté EcoFactory. J'organise donc des masterclass une fois par mois avec des experts que j'invite pendant une heure à partager une méthode ou une expertise pour vous aider à les appliquer à votre tour sur votre podcast pour le développer, lui donner une nouvelle dimension. et où j'organise des challenges gratuits pour lancer sa newsletter ou des sessions où j'audite un podcast seul ou accompagné. Et il se trouve que j'en fais la publication et la promotion de ces événements sur mes réseaux sociaux, mais je trouve que mon podcast ne met pas du tout assez en avant ces événements-là. Et donc je voudrais, et j'ai commencé à le faire, j'ai regardé tous les événements que j'avais dans les mois à venir et j'ai commencé à réfléchir aux épisodes qui pouvaient... traiter des mêmes thématiques que ces événements pour faire une introduction de ces événements et aussi vous donner envie d'y participer. Un de mes défis, c'est par rapport aussi au sujet, à la qualité de mes chroniques solo. J'ai fait un sondage en octobre 2023, il me semble, pour savoir ce que vous pensez de mon contenu, de ma newsletter, du podcast, et ce que je pourrais améliorer. Et je sais qu'il y a une ou deux personnes d'entre vous qui m'ont dit que le ton était très sympa, que le niveau de pédagogie était... très appréciable. Néanmoins, vous n'êtes pas d'accord sur la densité d'informations que je partage. Il y a certaines personnes qui disent franchement c'est un peu dense des épisodes, il y en a d'autres qui disent ah ben j'aimerais bien parfois je suis un peu frustrée, j'aimerais bien que tu ailles un peu plus au bout. Et donc du coup ce que je me dis c'est que pour la saison 3, mes chroniques solo, je vais encore plus resserrer. les sujets que je vais traiter, j'ai peut-être un peu tendance à être trop généreuse, à vouloir trop traiter en profondeur et aussi en détail les sujets. Et donc, je vais peut-être resserrer encore plus les thématiques que je vais aborder. Par exemple, je ne vais pas traiter de la marque personnelle en général, mais dire quelles sont les cinq choses qu'on entend sur la marque personnelle qui me semblent fausses. au lieu de faire comme j'ai eu tendance à faire en saison 1 et saison 2, de dire la marque personnelle, pourquoi c'est intéressant, c'est quoi la définition, quels sont tes blocages, les trois étapes pour la mettre en place, etc. S'il fait que je ne rentre pas assez dans les détails, et aussi moi je suis un petit peu frustrée, parce que j'aimerais bien vous faire partager dans mes épisodes d'Antipop les lectures que j'ai, les vidéos que je regarde, et c'est vrai que je ne pense pas toujours à les inclure. dans mon script de chronique et donc je voudrais aussi enrichir avec des ressources théoriques mes épisodes d'antipop Il y a un sujet sur lequel j'aimerais bien aussi m'améliorer, c'est mon élocution. J'ai tendance à faire pas mal de lapsus, à un petit peu manger les mots, à faire des e etc. Je vais suivre là en avril 2024 une formation de prise de parole en public, donc ça va être de l'art oratoire, mais sur lequel je vais m'appuyer pour améliorer la forme de mes chroniques parce que je sais que c'est plus agréable. d'écouter quelqu'un qui a une fluidité verbale, une façon de fonctionner, de créer ses phrases, qui ne s'arrête pas trop, qui ne fait pas trop d'œufs, etc. C'est vrai que travailler avec Anne-Fleur Andrely, qui est ma coproductrice sur le podcast La Demande, qui a un phrasé parfait, hyper clair et tout, moi je me suis pris un peu une baffe. Après, je sais que c'est ma personnalité, c'est ma façon d'être, mais c'est vrai que je vois... qu'Anne-Fleur, elle maîtrise énormément et ça me donne envie de progresser sur ce sujet. Un dernier défi pour ma saison 3, pour répondre à Steph, c'est de trouver plus de fun aussi dans ce podcast anti-pop. Y mettre un peu plus de ma personnalité parce que j'ai eu plusieurs retours suite à mon passage chez Crush, notamment j'ai été invitée par Marie-Charlotte à passer dans son super podcast pour parler de la rencontre avec mon mari. aussi avec La Demande, où c'est vrai qu'on rigole énormément avec Anne-Fleur, on a une super personnalité, on a vraiment voulu que ce podcast La Demande ce soit un moment fun, de légèreté, et bien il y a pas mal de personnes qui sont revenues vers moi en disant Mais vraiment, on a découvert une partie de ta personnalité Anne-Claire, on ne savait pas que tu étais drôle comme ça, et que tu avais vraiment ce côté un peu déjanté, un peu fou. C'est vrai qu'Antipop, c'est un podcast qui est pro, qui est lié à mon activité professionnelle, et que peut-être j'ai voulu... avoir ce côté un peu plus posé, un peu plus cadré, qui, je pense, inspire confiance et donne envie de travailler avec moi. Mais c'est vrai que je mets un peu moins de fun dans la production de mes épisodes et j'ai envie de tester plus de trucs, faire un peu plus de blagues, etc. Donc, j'espère que la saison 3 me permettra de me lâcher un petit peu sur ce sujet-là. Pour répondre à Cassandre, dernière personne qui m'a posé une question sur le Discord de Icofactory, c'est comment est-ce que tu as choisi les sujets par rapport à des besoins de ton audience, que tu as identifiés par rapport à tes objectifs, et comment ça s'intégrait avec tes autres canaux ? J'ai déjà expliqué que les sujets, je les identifiais par rapport à mon exploration, à mon butinage. Ça peut être aussi lié aux interviews, au sujet des interviews. Ça pète aussi des besoins de mon audience, qu'on me remonte via le Discord ou en coaching puzzle ou en coaching individuel. Quand je vois que mon audience me formule plusieurs fois des questions ou des blocages sur une thématique, j'intègre directement dans ma colonne idées de mon tableau Notion un épisode qui pourrait y répondre. Et aussi par rapport à mes objectifs, par exemple je sais que je vais traiter de masterclass sur la monétisation, je me dis comment est-ce que ma ligne édito de mon podcast peut aussi refléter ces thématiques que je vais traiter sur mes autres canaux. Également, ma newsletter, j'ai essayé de la construire en regard des épisodes dont je voulais faire la promotion. L'idée, ce n'est pas seulement de faire la personne sandwich et de dire Salut, j'ai sorti tel épisode mais je me disais, dans l'épisode, par exemple, avec Sandy et Laurie, au moment où il est sorti, je me suis dit Ah, ce qui est intéressant, C'est cette partie où on parle de la ligne édito, quand on s'ennuie au bout d'un moment d'avoir traité la même thématique pendant plusieurs épisodes, qu'on a l'impression de tourner en rond, qu'on se sent un peu à trois à l'étroit, qu'est-ce qu'on fait ? Donc j'ai développé une newsletter sur cette thématique-là, en donnant mes conseils et en renvoyant enfin de chroniques de newsletters vers l'épisode, en disant d'ailleurs c'est ce qu'a aussi vécu... Laurie et Sandy Jacobi, on aborde ce point mais pas que, on aborde aussi tel tel tel sujet. Donc j'ai aussi réfléchi pendant toute ma saison 2 de podcast de me dire comment est-ce que la newsletter elle peut apporter quelque chose de complémentaire par rapport au sujet que je traitais dans mon podcast. Pour terminer sur cet épisode bilan, j'avais envie de partager avec vous ce que j'allais tester pour la saison 3 de ce podcast. Je vous ai déjà expliqué mes défis, la manière dont j'allais impacter ma ligne édito. Il y a vraiment quelque chose qui est super important pour moi à titre professionnel, c'est le fait de vous donner à voir mes coulisses. Là, je le fais par cet épisode bilan. J'aime bien aussi faire du building public, c'est-à-dire de vous montrer mon processus de fabrication. Je l'ai fait au moment du lancement du podcast Antipop, je l'ai fait au moment de changer d'identité visuelle en 2023 aussi. Et en fait, c'est lié au fait que je trouve ça très rare, les gens qui ouvrent les portes de leurs coulisses de manière très transparente. Je pense que c'est utile. pour vous, de voir comment je m'y prends. C'est un aspect pédagogique de dire Ah ouais, d'accord, elle est passée par telle, telle, telle étape. Et donc du coup, ça vous facilite le passage à l'action, ce qui est une de mes missions professionnelles pour vous, de vous aider, vous donner les moyens et de vous donner la motivation pour passer à l'action pour votre podcast et le faire évoluer et le développer comme vous en avez envie. Il y a quelque chose qui est très important pour moi, c'est le principe de... Practice what you preach c'est-à-dire mets en place ce que tu conseilles. Et donc du coup, de manière systématique, à chaque fois que je donne un conseil en coaching individuel ou lors de mon bootcamp puzzle, ou quand j'ai des convictions fortes, je me demande est-ce que tu l'as assez incarné cette conviction-là ? Ce conseil que tu donnes, est-ce que tu l'as assez incarné ? Et j'essaye de manière régulière de... mettre en place des choses un peu comme un laboratoire et de me dire, si je mets en place ce conseil que je donne à mes clients, moi, ça va me permettre d'affiner encore plus mes conseils parce que je me serai confrontée dans ma réalité de manière pratique à ce que je fais. Et en plus, je trouve qu'en termes de crédibilité, vous dites, la meuf, elle a testé ce qu'elle me propose de mettre en place et donc, du coup, elle a l'air sérieuse. Ce Practice What You Preach, je l'ai mis en place notamment sur La Demande, le podcast que j'ai lancé mi-février 2024, qui est un podcast sur les demandes en mariage, le podcast qui dépoussière les demandes en mariage. Et je me suis servi de ce projet pour tester quelque chose que je martelais à ma communauté, qui était, vous n'avez pas besoin d'attendre 5000 écoutes par mois. pour sponsoriser votre podcast. Je connais des gens comme Jérémy Clay, Aurélie Doré, qui ont trouvé un podcast, un sponsor, pardon, avant le lancement de leur podcast. Et je me suis dit, meuf, à force de le répéter, va falloir que tu le fasses. Vas-y, on va voir si tu es capable de le faire sur la demande. Et je l'ai fait. J'ai trouvé un sponsor alors qu'on avait encore zéro écoute, qu'on n'avait pas sorti un seul épisode. Ce Practice What You Preach, je l'ai décliné. en un fil rouge de ma ligne édito pour 2024, et notamment pour la saison 3 du podcast Antipop, qui s'appelle J'ai testé pour vous Donc l'idée, c'est de moi mettre en place des choses, soit des méthodes, soit des outils, soit des expériences, parce que ça me semble intéressant et stratégique pour augmenter soit la visibilité d'un podcast, son attractivité ou monétiser. Eh bien, je vais le tester pour vous et je vais vous en faire le bilan de ce que j'ai appris. L'idée, c'est que je puisse vous inspirer à tester des nouvelles choses, mais aussi je puisse faciliter votre passage à l'action en disant, si elle l'a faite, ok, je suis les mêmes étapes. Peut-être que je me ferai ma propre conviction, ma propre expérience par rapport à cette méthode qu'elle me conseille, mais j'ai l'impression que le chemin est un peu basilisé devant moi. Parce que c'est quelque chose qui est très difficile, je trouve, dans l'entreprenariat. et je considère que le podcast c'est un projet entrepreneurial, en tout cas c'est moi, c'est la perspective que je lui donne, c'est que parfois on a des idées, mais on ne sait pas comment les mettre en place, on est un petit peu impressionné, quel temps ça va me prendre, est-ce qu'il y a des étapes que je n'identifie pas et je vais me planter, etc. Et donc c'est quelque chose que moi j'ai fortement vécu au début de mon expérience entrepreneuriale. et comme dit Gandhi la meuf elle, elle cite Gandhi elle est on fire aujourd'hui soyez le changement que vous souhaitez voir dans le monde et donc j'ai vraiment envie d'incarner ce côté, d'expérimenter les choses, oser mettre en place oser se planter et j'ai envie de vous en faire profiter donc qu'est-ce que je vais tester pour vous pour la saison 3 la mise en place du PSO, qui est une nouvelle fonctionnalité proposée par Ocha, qui permet d'être plus visible sur les plateformes d'écoute. Je vous en ai déjà parlé, je vais être suivie par un coach de prise de parole en public. L'idée, c'est de préparer une keynote, donc c'est un peu comme un format TEDx, on va dire un seul en scène d'une dizaine de minutes peut-être, pour l'événement que j'organise pour vous, pour la communauté EcoFactory, mi-juin 2024. et je vais tester aussi le vidéocast, le fait d'enregistrer en live et peut-être en public un ou plusieurs épisodes. Et voilà, j'ai encore plein d'autres idées, mais vraiment l'idée c'est que si cette approche de j'ai testé pour vous le practice what you preach vous avez envie de me lancer des défis, vas-y Anne-Claire, j'ai envie que tu testes pour moi de faire ça, cette méthode, cette chose, etc. venez me parler sur Instagram ou sur LinkedIn pour parler avec moi des défis que vous avez envie de me lancer. Voilà pour ce bilan de la saison 2. J'espère que ça vous aura plu. J'ai beaucoup parlé et j'espère que j'ai été assez dans le détail et dans le concret par rapport à ce que je vous ai partagé. En tout cas, j'ai hâte de savoir si ce contenu vous a intéressé. je pourrais envisager de faire ces bilans, ces retours d'expérience de manière un peu plus ponctuelle. Pour le JTC pour vous, bien sûr, mais par exemple sur mon aventure entrepreneuriale, sur le fait de créer et d'animer une communauté, etc. En tout cas, 2024 nous réserve plein de nouvelles choses. je ne vous ai pas encore tout dévoilé dans ce bilan parce qu'il faut que je prenne quelques décisions mais ce que je peux vous dire c'est que je vais continuer d'avoir de l'ambition pour moi-même, de l'exigence pour moi-même et de vous donner les méthodes et les clés pour appliquer tout ça à votre podcast et lui donner une nouvelle dimension. A très vite ! Merci beaucoup d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. J'espère qu'il t'a plu et qu'il t'a été utile. Pour encore plus de conseils, je t'invite à t'inscrire à ma newsletter. Et si c'est déjà fait, viens partager avec moi sur Instagram ou sur LinkedIn les idées que ce podcast t'a inspiré. On se retrouve tout bientôt pour un nouvel épisode.

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