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Bulles d'Histoire rencontre Frantz Duchazeau

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35min |28/01/2024|

23

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Description

BULLES D'HISTOIRE, mardi et samedi à 10h30. Chronique animée par Stéphane Dubreil sur les bandes dessinées historiques. Cette semaine, Stéphane Dubreil rencontre Frantz Duchazeau. 


Dans cette première Bulles d’histoire de 2024, Stéphane invite Frantz Duchazeau qui vient de publier un formidable album qui raconte les deux derniers mois de Robert Johnson, guitariste et chanteur mort à 27 ans et qui en deux disque a signé l’aboutissement du blues acoustique qui disparaitra peu à peu pour laisser place au blues électrique qu’on connait maintenant.


« Années 1930, un homme, la vingtaine, mi vagabond, mi dandy, sillonne les routes poussiéreuses du Mississippi avec pour seuls bagages une guitare acoustique et une bouteille de Bourbon. Malgré son jeune âge, il semble porter sur ses épaules tout le poids du monde, traînant derrière lui comme un boulet de forçat un passé déjà trop douloureux : l’abandon d’un père, une enfance passée dans les champs de coton sous la surveillance d’un beau-père violent, puis la mort en couches de l’amour de sa vie … Qui peut douter qu’il s’agit de Robert Johnson, l’auteur de « Sweet Home Colorado », et que, de ses souffrances, il tire un blues à nul autre pareil ? Disséminant sa musique encore méconnue de ville en ville, dans un Sud raciste, Johnson a rendez-vous avec sa gloire en une date et un lieu : la scène du Carnegie Hall, à New York, où des producteurs qui croient en son talent l’attendent impatiemment.


Mais son attirance pour l’autodestruction est à la hauteur de son talent : immense. Arrivera-t-il à destination ? »



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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BULLES D'HISTOIRE, mardi et samedi à 10h30. Chronique animée par Stéphane Dubreil sur les bandes dessinées historiques. Cette semaine, Stéphane Dubreil rencontre Frantz Duchazeau. 


Dans cette première Bulles d’histoire de 2024, Stéphane invite Frantz Duchazeau qui vient de publier un formidable album qui raconte les deux derniers mois de Robert Johnson, guitariste et chanteur mort à 27 ans et qui en deux disque a signé l’aboutissement du blues acoustique qui disparaitra peu à peu pour laisser place au blues électrique qu’on connait maintenant.


« Années 1930, un homme, la vingtaine, mi vagabond, mi dandy, sillonne les routes poussiéreuses du Mississippi avec pour seuls bagages une guitare acoustique et une bouteille de Bourbon. Malgré son jeune âge, il semble porter sur ses épaules tout le poids du monde, traînant derrière lui comme un boulet de forçat un passé déjà trop douloureux : l’abandon d’un père, une enfance passée dans les champs de coton sous la surveillance d’un beau-père violent, puis la mort en couches de l’amour de sa vie … Qui peut douter qu’il s’agit de Robert Johnson, l’auteur de « Sweet Home Colorado », et que, de ses souffrances, il tire un blues à nul autre pareil ? Disséminant sa musique encore méconnue de ville en ville, dans un Sud raciste, Johnson a rendez-vous avec sa gloire en une date et un lieu : la scène du Carnegie Hall, à New York, où des producteurs qui croient en son talent l’attendent impatiemment.


Mais son attirance pour l’autodestruction est à la hauteur de son talent : immense. Arrivera-t-il à destination ? »



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Dans cette première Bulles d’histoire de 2024, Stéphane invite Frantz Duchazeau qui vient de publier un formidable album qui raconte les deux derniers mois de Robert Johnson, guitariste et chanteur mort à 27 ans et qui en deux disque a signé l’aboutissement du blues acoustique qui disparaitra peu à peu pour laisser place au blues électrique qu’on connait maintenant.


« Années 1930, un homme, la vingtaine, mi vagabond, mi dandy, sillonne les routes poussiéreuses du Mississippi avec pour seuls bagages une guitare acoustique et une bouteille de Bourbon. Malgré son jeune âge, il semble porter sur ses épaules tout le poids du monde, traînant derrière lui comme un boulet de forçat un passé déjà trop douloureux : l’abandon d’un père, une enfance passée dans les champs de coton sous la surveillance d’un beau-père violent, puis la mort en couches de l’amour de sa vie … Qui peut douter qu’il s’agit de Robert Johnson, l’auteur de « Sweet Home Colorado », et que, de ses souffrances, il tire un blues à nul autre pareil ? Disséminant sa musique encore méconnue de ville en ville, dans un Sud raciste, Johnson a rendez-vous avec sa gloire en une date et un lieu : la scène du Carnegie Hall, à New York, où des producteurs qui croient en son talent l’attendent impatiemment.


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« Années 1930, un homme, la vingtaine, mi vagabond, mi dandy, sillonne les routes poussiéreuses du Mississippi avec pour seuls bagages une guitare acoustique et une bouteille de Bourbon. Malgré son jeune âge, il semble porter sur ses épaules tout le poids du monde, traînant derrière lui comme un boulet de forçat un passé déjà trop douloureux : l’abandon d’un père, une enfance passée dans les champs de coton sous la surveillance d’un beau-père violent, puis la mort en couches de l’amour de sa vie … Qui peut douter qu’il s’agit de Robert Johnson, l’auteur de « Sweet Home Colorado », et que, de ses souffrances, il tire un blues à nul autre pareil ? Disséminant sa musique encore méconnue de ville en ville, dans un Sud raciste, Johnson a rendez-vous avec sa gloire en une date et un lieu : la scène du Carnegie Hall, à New York, où des producteurs qui croient en son talent l’attendent impatiemment.


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