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Description

 

Attacafa  est une Scène Universelle Nomade. Cette utopie accueillante et  militante est née en 1984. Il s’agissait alors de créoliser les lieux  culturels de la Région et de la métropole pour lutter contre toutes les  formes d’ethnocentrisme, mais aussi lutter contre la tendance à mettre à  part les « cultures du monde », comme si les cultures européennes  n’étaient pas, elles, « du monde ». Pour cela il fallait faire entrer à  l’Opéra de grands artistes d’art vocal travaillant depuis des traditions  autres que celles de l’art lyrique européen, des artistes des scènes  musicales de Beyrouth ou Tanger dans les salles dédiées aux musiques  actuelles, de monter des auteurs de théâtre palestiniens ou d’accueillir  des danseurs et danseuses de kathakali dans des théâtres dédiés à la  création contemporaine, de faire place à la calligraphie dans les  galeries d’art etc…

Aujourd’hui,  le combat d’Attacafa est toujours d’actualité. Il ne s’agit plus  seulement de faire entrer des formes artistiques extra-européennes dans  les théâtres, les opéras, les salles de concert, mais de leur donner une  juste place, de faciliter la mobilité des artistes des Suds, de  participer à la circulation tant des œuvres, des patrimoines et  traditions savantes que de la création contemporaine et populaire. Nous  avons accompagné les années 2000 et ses transformations en ajoutant des  actions dans les espaces publics urbains, en tentant d’agir sur le  sensible de nos villes et en trouvant des continuités entre la rue et  les salles de spectacles. Nous voulons ouvrir des espaces d’expression,  de connaissance et de reconnaissance, des espaces dans lesquels un «  sentir et ressentir ensemble » peut exister.

Attacafa  c’est à la fois un noyau dur associatif, une petite équipe salariée,  mais surtout, des électrons libres : photographes, plasticien.ne.s,  graphistes, musicien.ne.s, auteur.e.s, comédien.ne.s, metteur.se.s en  scène, cuisinier.e.s, universitaires, ingénieur.e.s, intermittent.e.s,  bénévoles… ayant comme dénominateur commun l’envie de défendre des  projets qui relient, un monde ouvert et créole. Attacafa veut inviter à  prendre part aux mouvements du monde, à considérer son impermanence et à  s’en émerveiller. Notre petite utopie.

Chez  Attacafa, les cultures du monde ce ne sont pas les cultures « des  Autres » avec un grand A, mais le prétexte au respect du divers, une  opportunité de situer dans le monde, une occasion de se décentrer, la  possibilité de donner une place à des artistes et des publics qui  connectent différentes parties du monde, l’arpentent, défendent les  cultures voyageuses et non les murs et les assignations à résidence.

Pour  cela nous commençons toujours par écouter, rencontrer, regarder, sentir  et puis nous tentons d’inventer des modes de transmission, de  traduction et de solidarité entre individus, entre quartiers, villes,  mais aussi entre pays du Nord et du Sud, ou encore entre l’Union  Européenne et les pays qui ont un rôle à jouer dans une Europe en  construction


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

 

Attacafa  est une Scène Universelle Nomade. Cette utopie accueillante et  militante est née en 1984. Il s’agissait alors de créoliser les lieux  culturels de la Région et de la métropole pour lutter contre toutes les  formes d’ethnocentrisme, mais aussi lutter contre la tendance à mettre à  part les « cultures du monde », comme si les cultures européennes  n’étaient pas, elles, « du monde ». Pour cela il fallait faire entrer à  l’Opéra de grands artistes d’art vocal travaillant depuis des traditions  autres que celles de l’art lyrique européen, des artistes des scènes  musicales de Beyrouth ou Tanger dans les salles dédiées aux musiques  actuelles, de monter des auteurs de théâtre palestiniens ou d’accueillir  des danseurs et danseuses de kathakali dans des théâtres dédiés à la  création contemporaine, de faire place à la calligraphie dans les  galeries d’art etc…

Aujourd’hui,  le combat d’Attacafa est toujours d’actualité. Il ne s’agit plus  seulement de faire entrer des formes artistiques extra-européennes dans  les théâtres, les opéras, les salles de concert, mais de leur donner une  juste place, de faciliter la mobilité des artistes des Suds, de  participer à la circulation tant des œuvres, des patrimoines et  traditions savantes que de la création contemporaine et populaire. Nous  avons accompagné les années 2000 et ses transformations en ajoutant des  actions dans les espaces publics urbains, en tentant d’agir sur le  sensible de nos villes et en trouvant des continuités entre la rue et  les salles de spectacles. Nous voulons ouvrir des espaces d’expression,  de connaissance et de reconnaissance, des espaces dans lesquels un «  sentir et ressentir ensemble » peut exister.

Attacafa  c’est à la fois un noyau dur associatif, une petite équipe salariée,  mais surtout, des électrons libres : photographes, plasticien.ne.s,  graphistes, musicien.ne.s, auteur.e.s, comédien.ne.s, metteur.se.s en  scène, cuisinier.e.s, universitaires, ingénieur.e.s, intermittent.e.s,  bénévoles… ayant comme dénominateur commun l’envie de défendre des  projets qui relient, un monde ouvert et créole. Attacafa veut inviter à  prendre part aux mouvements du monde, à considérer son impermanence et à  s’en émerveiller. Notre petite utopie.

Chez  Attacafa, les cultures du monde ce ne sont pas les cultures « des  Autres » avec un grand A, mais le prétexte au respect du divers, une  opportunité de situer dans le monde, une occasion de se décentrer, la  possibilité de donner une place à des artistes et des publics qui  connectent différentes parties du monde, l’arpentent, défendent les  cultures voyageuses et non les murs et les assignations à résidence.

Pour  cela nous commençons toujours par écouter, rencontrer, regarder, sentir  et puis nous tentons d’inventer des modes de transmission, de  traduction et de solidarité entre individus, entre quartiers, villes,  mais aussi entre pays du Nord et du Sud, ou encore entre l’Union  Européenne et les pays qui ont un rôle à jouer dans une Europe en  construction


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Aujourd’hui,  le combat d’Attacafa est toujours d’actualité. Il ne s’agit plus  seulement de faire entrer des formes artistiques extra-européennes dans  les théâtres, les opéras, les salles de concert, mais de leur donner une  juste place, de faciliter la mobilité des artistes des Suds, de  participer à la circulation tant des œuvres, des patrimoines et  traditions savantes que de la création contemporaine et populaire. Nous  avons accompagné les années 2000 et ses transformations en ajoutant des  actions dans les espaces publics urbains, en tentant d’agir sur le  sensible de nos villes et en trouvant des continuités entre la rue et  les salles de spectacles. Nous voulons ouvrir des espaces d’expression,  de connaissance et de reconnaissance, des espaces dans lesquels un «  sentir et ressentir ensemble » peut exister.

Attacafa  c’est à la fois un noyau dur associatif, une petite équipe salariée,  mais surtout, des électrons libres : photographes, plasticien.ne.s,  graphistes, musicien.ne.s, auteur.e.s, comédien.ne.s, metteur.se.s en  scène, cuisinier.e.s, universitaires, ingénieur.e.s, intermittent.e.s,  bénévoles… ayant comme dénominateur commun l’envie de défendre des  projets qui relient, un monde ouvert et créole. Attacafa veut inviter à  prendre part aux mouvements du monde, à considérer son impermanence et à  s’en émerveiller. Notre petite utopie.

Chez  Attacafa, les cultures du monde ce ne sont pas les cultures « des  Autres » avec un grand A, mais le prétexte au respect du divers, une  opportunité de situer dans le monde, une occasion de se décentrer, la  possibilité de donner une place à des artistes et des publics qui  connectent différentes parties du monde, l’arpentent, défendent les  cultures voyageuses et non les murs et les assignations à résidence.

Pour  cela nous commençons toujours par écouter, rencontrer, regarder, sentir  et puis nous tentons d’inventer des modes de transmission, de  traduction et de solidarité entre individus, entre quartiers, villes,  mais aussi entre pays du Nord et du Sud, ou encore entre l’Union  Européenne et les pays qui ont un rôle à jouer dans une Europe en  construction


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Aujourd’hui,  le combat d’Attacafa est toujours d’actualité. Il ne s’agit plus  seulement de faire entrer des formes artistiques extra-européennes dans  les théâtres, les opéras, les salles de concert, mais de leur donner une  juste place, de faciliter la mobilité des artistes des Suds, de  participer à la circulation tant des œuvres, des patrimoines et  traditions savantes que de la création contemporaine et populaire. Nous  avons accompagné les années 2000 et ses transformations en ajoutant des  actions dans les espaces publics urbains, en tentant d’agir sur le  sensible de nos villes et en trouvant des continuités entre la rue et  les salles de spectacles. Nous voulons ouvrir des espaces d’expression,  de connaissance et de reconnaissance, des espaces dans lesquels un «  sentir et ressentir ensemble » peut exister.

Attacafa  c’est à la fois un noyau dur associatif, une petite équipe salariée,  mais surtout, des électrons libres : photographes, plasticien.ne.s,  graphistes, musicien.ne.s, auteur.e.s, comédien.ne.s, metteur.se.s en  scène, cuisinier.e.s, universitaires, ingénieur.e.s, intermittent.e.s,  bénévoles… ayant comme dénominateur commun l’envie de défendre des  projets qui relient, un monde ouvert et créole. Attacafa veut inviter à  prendre part aux mouvements du monde, à considérer son impermanence et à  s’en émerveiller. Notre petite utopie.

Chez  Attacafa, les cultures du monde ce ne sont pas les cultures « des  Autres » avec un grand A, mais le prétexte au respect du divers, une  opportunité de situer dans le monde, une occasion de se décentrer, la  possibilité de donner une place à des artistes et des publics qui  connectent différentes parties du monde, l’arpentent, défendent les  cultures voyageuses et non les murs et les assignations à résidence.

Pour  cela nous commençons toujours par écouter, rencontrer, regarder, sentir  et puis nous tentons d’inventer des modes de transmission, de  traduction et de solidarité entre individus, entre quartiers, villes,  mais aussi entre pays du Nord et du Sud, ou encore entre l’Union  Européenne et les pays qui ont un rôle à jouer dans une Europe en  construction


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