Montreuil : la lutte des squats contre l'expulsion cover
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Au fil des luttes - Radio Parleur

Montreuil : la lutte des squats contre l'expulsion

Montreuil : la lutte des squats contre l'expulsion

23min |03/04/2023
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Montreuil : la lutte des squats contre l'expulsion

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Entre deux réformes, le gouvernement a passé la loi Kasbarian; une loi durcissant les peines de prisons et d’amendes à l’encontre des squatteur.euse.s. La loi a été actée en ce début d’année, ce 02 février 2023. Deux mois avant la fin de la trêve hivernale ayant lieu du 01 novembre au 31 mars. 


Radio Parleur s’est rendu dans quatre squats du Bas-Montreuil menacés d’expulsion: le Gambetta, le Barra, le En Gare et la Baudrière. La population, l’organisation et les stratégies anti-expulsion de ces quatre lieux de vie est bien différente. Les occupant.es de ces lieux sont des mères et leurs enfants ayant fui leur pays d’origine, des travailleurs ne pouvant trouver un logement malgré leurs démarches, ou encore des habitant.es de quartiers populaires qui se réapproprient la pratique du squat pour porter les luttes et les solidarités qui leur sont propres. 


Notre journaliste bénévole Erin Rivoalan-Cochet est allée à leur rencontre pour connaître leurs stratégie de défense face aux risques d’expulsions, un mois avant que la fin de la trêve hivernale sonne. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Entre deux réformes, le gouvernement a passé la loi Kasbarian; une loi durcissant les peines de prisons et d’amendes à l’encontre des squatteur.euse.s. La loi a été actée en ce début d’année, ce 02 février 2023. Deux mois avant la fin de la trêve hivernale ayant lieu du 01 novembre au 31 mars. 


Radio Parleur s’est rendu dans quatre squats du Bas-Montreuil menacés d’expulsion: le Gambetta, le Barra, le En Gare et la Baudrière. La population, l’organisation et les stratégies anti-expulsion de ces quatre lieux de vie est bien différente. Les occupant.es de ces lieux sont des mères et leurs enfants ayant fui leur pays d’origine, des travailleurs ne pouvant trouver un logement malgré leurs démarches, ou encore des habitant.es de quartiers populaires qui se réapproprient la pratique du squat pour porter les luttes et les solidarités qui leur sont propres. 


Notre journaliste bénévole Erin Rivoalan-Cochet est allée à leur rencontre pour connaître leurs stratégie de défense face aux risques d’expulsions, un mois avant que la fin de la trêve hivernale sonne. 


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Radio Parleur s’est rendu dans quatre squats du Bas-Montreuil menacés d’expulsion: le Gambetta, le Barra, le En Gare et la Baudrière. La population, l’organisation et les stratégies anti-expulsion de ces quatre lieux de vie est bien différente. Les occupant.es de ces lieux sont des mères et leurs enfants ayant fui leur pays d’origine, des travailleurs ne pouvant trouver un logement malgré leurs démarches, ou encore des habitant.es de quartiers populaires qui se réapproprient la pratique du squat pour porter les luttes et les solidarités qui leur sont propres. 


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Radio Parleur s’est rendu dans quatre squats du Bas-Montreuil menacés d’expulsion: le Gambetta, le Barra, le En Gare et la Baudrière. La population, l’organisation et les stratégies anti-expulsion de ces quatre lieux de vie est bien différente. Les occupant.es de ces lieux sont des mères et leurs enfants ayant fui leur pays d’origine, des travailleurs ne pouvant trouver un logement malgré leurs démarches, ou encore des habitant.es de quartiers populaires qui se réapproprient la pratique du squat pour porter les luttes et les solidarités qui leur sont propres. 


Notre journaliste bénévole Erin Rivoalan-Cochet est allée à leur rencontre pour connaître leurs stratégie de défense face aux risques d’expulsions, un mois avant que la fin de la trêve hivernale sonne. 


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