#16 Racines cover
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Au Pays de Nulle Part

#16 Racines

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28min |23/04/2020
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L’épisode d'aujourd’hui a quelque chose d’inédit. 

En cette période de confinement, notre hôtel et notre restaurant en Ardenne n’ont pas échappé à la règle, ils sont tous les deux fermés depuis plus d’un mois. Je suis donc cloîtrée chez moi à Bruxelles, tout comme le réalisateur Bruxellois Fabrice Du Welz, qui était lui aussi en Ardenne il y a encore quelques semaines, en pleine préparation du tournage de son nouveau film. Habitués des lieux, son équipe et lui avaient déjà pris leur quartier au Val de Poix en 2004 pour le tournage de son premier long métrage « Calvaire », le premier volet de ce que la critique allait appeler sa trilogie ardennaise.

Il y a quelques semaines, alors qu’il mangeait aux Gamines après une journée de "prépa", je le questionnais sur son rapport à l’Ardenne et le pourquoi il revenait si souvent tourner ici. Il m’apprit alors qu’il avait été quelques années pensionnaire à l’Institut Saint-Joseph de Carlsbourg, une école et un internat très réputés dans la région à l’époque, notamment pour leur discipline et leur sévérité. Un internat  que je connais moi-même très bien pour y avoir passé mes 6 années secondaires.   

Il était donc pour moi indispensable de récolter son histoire avec l’Ardenne et cet internat pour ce podcast.

Ce que l’on fit, par ordinateurs interposés, il y a quelques jours...



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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L’épisode d'aujourd’hui a quelque chose d’inédit. 

En cette période de confinement, notre hôtel et notre restaurant en Ardenne n’ont pas échappé à la règle, ils sont tous les deux fermés depuis plus d’un mois. Je suis donc cloîtrée chez moi à Bruxelles, tout comme le réalisateur Bruxellois Fabrice Du Welz, qui était lui aussi en Ardenne il y a encore quelques semaines, en pleine préparation du tournage de son nouveau film. Habitués des lieux, son équipe et lui avaient déjà pris leur quartier au Val de Poix en 2004 pour le tournage de son premier long métrage « Calvaire », le premier volet de ce que la critique allait appeler sa trilogie ardennaise.

Il y a quelques semaines, alors qu’il mangeait aux Gamines après une journée de "prépa", je le questionnais sur son rapport à l’Ardenne et le pourquoi il revenait si souvent tourner ici. Il m’apprit alors qu’il avait été quelques années pensionnaire à l’Institut Saint-Joseph de Carlsbourg, une école et un internat très réputés dans la région à l’époque, notamment pour leur discipline et leur sévérité. Un internat  que je connais moi-même très bien pour y avoir passé mes 6 années secondaires.   

Il était donc pour moi indispensable de récolter son histoire avec l’Ardenne et cet internat pour ce podcast.

Ce que l’on fit, par ordinateurs interposés, il y a quelques jours...



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En cette période de confinement, notre hôtel et notre restaurant en Ardenne n’ont pas échappé à la règle, ils sont tous les deux fermés depuis plus d’un mois. Je suis donc cloîtrée chez moi à Bruxelles, tout comme le réalisateur Bruxellois Fabrice Du Welz, qui était lui aussi en Ardenne il y a encore quelques semaines, en pleine préparation du tournage de son nouveau film. Habitués des lieux, son équipe et lui avaient déjà pris leur quartier au Val de Poix en 2004 pour le tournage de son premier long métrage « Calvaire », le premier volet de ce que la critique allait appeler sa trilogie ardennaise.

Il y a quelques semaines, alors qu’il mangeait aux Gamines après une journée de "prépa", je le questionnais sur son rapport à l’Ardenne et le pourquoi il revenait si souvent tourner ici. Il m’apprit alors qu’il avait été quelques années pensionnaire à l’Institut Saint-Joseph de Carlsbourg, une école et un internat très réputés dans la région à l’époque, notamment pour leur discipline et leur sévérité. Un internat  que je connais moi-même très bien pour y avoir passé mes 6 années secondaires.   

Il était donc pour moi indispensable de récolter son histoire avec l’Ardenne et cet internat pour ce podcast.

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En cette période de confinement, notre hôtel et notre restaurant en Ardenne n’ont pas échappé à la règle, ils sont tous les deux fermés depuis plus d’un mois. Je suis donc cloîtrée chez moi à Bruxelles, tout comme le réalisateur Bruxellois Fabrice Du Welz, qui était lui aussi en Ardenne il y a encore quelques semaines, en pleine préparation du tournage de son nouveau film. Habitués des lieux, son équipe et lui avaient déjà pris leur quartier au Val de Poix en 2004 pour le tournage de son premier long métrage « Calvaire », le premier volet de ce que la critique allait appeler sa trilogie ardennaise.

Il y a quelques semaines, alors qu’il mangeait aux Gamines après une journée de "prépa", je le questionnais sur son rapport à l’Ardenne et le pourquoi il revenait si souvent tourner ici. Il m’apprit alors qu’il avait été quelques années pensionnaire à l’Institut Saint-Joseph de Carlsbourg, une école et un internat très réputés dans la région à l’époque, notamment pour leur discipline et leur sévérité. Un internat  que je connais moi-même très bien pour y avoir passé mes 6 années secondaires.   

Il était donc pour moi indispensable de récolter son histoire avec l’Ardenne et cet internat pour ce podcast.

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