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CeA : Pour Frédéric Bierry, il s'agit de la décision de trop

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53sec |19/10/2024
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Frédéric Bierry insiste, il s’agit de la décision de trop. « Les décisions de l’Etat ont des impacts sur nos dépenses depuis la création de la collectivité, en 2021 », précise ce dernier. La revalorisation du RSA aurait engendré 28,6 millions de dépenses supplémentaires pour la collectivité, la revalorisation du SMIC 400 000 euros, la loi Taquet 3 millions d’euros ou encore le dégel du point d’indice 10,4 millions. En 2024, ce sont 96,8 millions d’euros de dépenses imposées qui sont comptabilisées, sans aucune marge de manoeuvre. Depuis 2021, ce sont plus de 271 millions d’euros. « L’Etat ne mesure pas l’impact de ses décisions sur les départements, ils font payer leurs mesures de générosité », s’insurge Frédéric Bierry. 


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Frédéric Bierry insiste, il s’agit de la décision de trop. « Les décisions de l’Etat ont des impacts sur nos dépenses depuis la création de la collectivité, en 2021 », précise ce dernier. La revalorisation du RSA aurait engendré 28,6 millions de dépenses supplémentaires pour la collectivité, la revalorisation du SMIC 400 000 euros, la loi Taquet 3 millions d’euros ou encore le dégel du point d’indice 10,4 millions. En 2024, ce sont 96,8 millions d’euros de dépenses imposées qui sont comptabilisées, sans aucune marge de manoeuvre. Depuis 2021, ce sont plus de 271 millions d’euros. « L’Etat ne mesure pas l’impact de ses décisions sur les départements, ils font payer leurs mesures de générosité », s’insurge Frédéric Bierry. 


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