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Big 5

L'OM pris à son propre jeu

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31min |30/10/2020
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L'OM pris à son propre jeu

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Description

Après des débuts convaincants et un podium en L1 synonyme d’Europe, André Villas-Boas et les siens peinent à confirmer. Les supporters pointent des manquements et une attractivité en berne. Comment mettre un terme à l'ennui ?


« Plus séduisant que ça ? Ça va être dur. » Drôle de constat que celui d’André Villas-Boas après la victoire difficile des siens à Lorient, le 24 octobre dernier (0-1). Terrible constat, diront même les fans du club phocéen, tant le football pratiqué par leur équipe a depuis quelques temps sacrifié l’enthousiasme. C’est tout le paradoxe : qualifiés en Ligue des champions pour la première fois depuis sept ans, honorable récompense, les Olympiens n'arrivent pas à convaincre dans le jeu. Mais y a-t-il, dans les cerveaux décideurs, une réelle envie de pratiquer un football ambitieux ? Quelle est la philosophie prônée ?


La direction, Dimitri Payet, André Villas-Boas… Comme à chaque moment de doutes, le banc des accusés est bien rempli. Dans le même temps, la crise sanitaire n’a pas favorisé la continuité, l’âme des tribunes s’est envolée avec le huis-clos et les autres équipes de Ligue 1 se sont adaptées. L’OM se caractérise aussi par une absence de progrès ; pour ne pas dire qu’il régresse. Quid du pressing payant du début de l’ère Villas-Boas ? Quelles sont les explications de ce passage à vide ?


Animé par Marie-Amélie Motte, avec Mathieu Grégoire (à Marseille) et Johan Tabau. Réalisé par Antoine Bourlon, avec Binge Audio.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Après des débuts convaincants et un podium en L1 synonyme d’Europe, André Villas-Boas et les siens peinent à confirmer. Les supporters pointent des manquements et une attractivité en berne. Comment mettre un terme à l'ennui ?


« Plus séduisant que ça ? Ça va être dur. » Drôle de constat que celui d’André Villas-Boas après la victoire difficile des siens à Lorient, le 24 octobre dernier (0-1). Terrible constat, diront même les fans du club phocéen, tant le football pratiqué par leur équipe a depuis quelques temps sacrifié l’enthousiasme. C’est tout le paradoxe : qualifiés en Ligue des champions pour la première fois depuis sept ans, honorable récompense, les Olympiens n'arrivent pas à convaincre dans le jeu. Mais y a-t-il, dans les cerveaux décideurs, une réelle envie de pratiquer un football ambitieux ? Quelle est la philosophie prônée ?


La direction, Dimitri Payet, André Villas-Boas… Comme à chaque moment de doutes, le banc des accusés est bien rempli. Dans le même temps, la crise sanitaire n’a pas favorisé la continuité, l’âme des tribunes s’est envolée avec le huis-clos et les autres équipes de Ligue 1 se sont adaptées. L’OM se caractérise aussi par une absence de progrès ; pour ne pas dire qu’il régresse. Quid du pressing payant du début de l’ère Villas-Boas ? Quelles sont les explications de ce passage à vide ?


Animé par Marie-Amélie Motte, avec Mathieu Grégoire (à Marseille) et Johan Tabau. Réalisé par Antoine Bourlon, avec Binge Audio.


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« Plus séduisant que ça ? Ça va être dur. » Drôle de constat que celui d’André Villas-Boas après la victoire difficile des siens à Lorient, le 24 octobre dernier (0-1). Terrible constat, diront même les fans du club phocéen, tant le football pratiqué par leur équipe a depuis quelques temps sacrifié l’enthousiasme. C’est tout le paradoxe : qualifiés en Ligue des champions pour la première fois depuis sept ans, honorable récompense, les Olympiens n'arrivent pas à convaincre dans le jeu. Mais y a-t-il, dans les cerveaux décideurs, une réelle envie de pratiquer un football ambitieux ? Quelle est la philosophie prônée ?


La direction, Dimitri Payet, André Villas-Boas… Comme à chaque moment de doutes, le banc des accusés est bien rempli. Dans le même temps, la crise sanitaire n’a pas favorisé la continuité, l’âme des tribunes s’est envolée avec le huis-clos et les autres équipes de Ligue 1 se sont adaptées. L’OM se caractérise aussi par une absence de progrès ; pour ne pas dire qu’il régresse. Quid du pressing payant du début de l’ère Villas-Boas ? Quelles sont les explications de ce passage à vide ?


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« Plus séduisant que ça ? Ça va être dur. » Drôle de constat que celui d’André Villas-Boas après la victoire difficile des siens à Lorient, le 24 octobre dernier (0-1). Terrible constat, diront même les fans du club phocéen, tant le football pratiqué par leur équipe a depuis quelques temps sacrifié l’enthousiasme. C’est tout le paradoxe : qualifiés en Ligue des champions pour la première fois depuis sept ans, honorable récompense, les Olympiens n'arrivent pas à convaincre dans le jeu. Mais y a-t-il, dans les cerveaux décideurs, une réelle envie de pratiquer un football ambitieux ? Quelle est la philosophie prônée ?


La direction, Dimitri Payet, André Villas-Boas… Comme à chaque moment de doutes, le banc des accusés est bien rempli. Dans le même temps, la crise sanitaire n’a pas favorisé la continuité, l’âme des tribunes s’est envolée avec le huis-clos et les autres équipes de Ligue 1 se sont adaptées. L’OM se caractérise aussi par une absence de progrès ; pour ne pas dire qu’il régresse. Quid du pressing payant du début de l’ère Villas-Boas ? Quelles sont les explications de ce passage à vide ?


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