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Big 5

Paris, la peur au ventre

Paris, la peur au ventre

28min |19/02/2020
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C’est une défaite qui pose question. À Dortmund, le PSG s’est incliné (1-2) en huitièmes de finale aller de la Ligue des champions mardi 18 février. Animation brouillonne, choix tactiques discutables, le staff comme les joueurs n’ont pas été à la hauteur de l’enjeu.


« On a joué aujourd’hui avec trop de peur de faire une erreur », a concédé Thomas Tuchel ce mardi 18 février après l’échec à Dortmund (1-2), avant d’ajouter : « Je ne sais pas pourquoi. » Que s'est-il joué avant et pendant le match pour susciter cette crainte de mal faire chez les joueurs ? Comment expliquer ce manque d’intensité et de « confiance » sur le terrain ?


Immanquablement, les choix de Tuchel sont analysés de près. Lancer son équipe en 3-4-3 alors que ces deux derniers mois, le PSG avait principalement évolué en 4-4-2, pose question. Le technicien allemand a-t-il lui aussi été rattrapé par une forme d’appréhension en proposant un schéma dont l’objectif était notamment de mieux protéger ses couloirs et son axe défensif ?


Offensivement, Paris a éprouvé les pires difficultés à franchir le premier rideau d’un Borussia disposé également en 3-4-3 mais lui rompu à ce schéma depuis la fin novembre. Résultat ? Le premier tir cadré parisien n’est survenu qu’à la 65e minute. Qu’est-il arrivé pour que la force de frappe des champions de France (Neymar, Mbappé, Di Maria), même avec Icardi sur le banc, soit ainsi muselée ?


Animé par Marie-Amélie Motte, avec Hugo Delom, Arnaud Hermant et Dan Perez. Réalisé par Roland Richard.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

C’est une défaite qui pose question. À Dortmund, le PSG s’est incliné (1-2) en huitièmes de finale aller de la Ligue des champions mardi 18 février. Animation brouillonne, choix tactiques discutables, le staff comme les joueurs n’ont pas été à la hauteur de l’enjeu.


« On a joué aujourd’hui avec trop de peur de faire une erreur », a concédé Thomas Tuchel ce mardi 18 février après l’échec à Dortmund (1-2), avant d’ajouter : « Je ne sais pas pourquoi. » Que s'est-il joué avant et pendant le match pour susciter cette crainte de mal faire chez les joueurs ? Comment expliquer ce manque d’intensité et de « confiance » sur le terrain ?


Immanquablement, les choix de Tuchel sont analysés de près. Lancer son équipe en 3-4-3 alors que ces deux derniers mois, le PSG avait principalement évolué en 4-4-2, pose question. Le technicien allemand a-t-il lui aussi été rattrapé par une forme d’appréhension en proposant un schéma dont l’objectif était notamment de mieux protéger ses couloirs et son axe défensif ?


Offensivement, Paris a éprouvé les pires difficultés à franchir le premier rideau d’un Borussia disposé également en 3-4-3 mais lui rompu à ce schéma depuis la fin novembre. Résultat ? Le premier tir cadré parisien n’est survenu qu’à la 65e minute. Qu’est-il arrivé pour que la force de frappe des champions de France (Neymar, Mbappé, Di Maria), même avec Icardi sur le banc, soit ainsi muselée ?


Animé par Marie-Amélie Motte, avec Hugo Delom, Arnaud Hermant et Dan Perez. Réalisé par Roland Richard.


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C’est une défaite qui pose question. À Dortmund, le PSG s’est incliné (1-2) en huitièmes de finale aller de la Ligue des champions mardi 18 février. Animation brouillonne, choix tactiques discutables, le staff comme les joueurs n’ont pas été à la hauteur de l’enjeu.


« On a joué aujourd’hui avec trop de peur de faire une erreur », a concédé Thomas Tuchel ce mardi 18 février après l’échec à Dortmund (1-2), avant d’ajouter : « Je ne sais pas pourquoi. » Que s'est-il joué avant et pendant le match pour susciter cette crainte de mal faire chez les joueurs ? Comment expliquer ce manque d’intensité et de « confiance » sur le terrain ?


Immanquablement, les choix de Tuchel sont analysés de près. Lancer son équipe en 3-4-3 alors que ces deux derniers mois, le PSG avait principalement évolué en 4-4-2, pose question. Le technicien allemand a-t-il lui aussi été rattrapé par une forme d’appréhension en proposant un schéma dont l’objectif était notamment de mieux protéger ses couloirs et son axe défensif ?


Offensivement, Paris a éprouvé les pires difficultés à franchir le premier rideau d’un Borussia disposé également en 3-4-3 mais lui rompu à ce schéma depuis la fin novembre. Résultat ? Le premier tir cadré parisien n’est survenu qu’à la 65e minute. Qu’est-il arrivé pour que la force de frappe des champions de France (Neymar, Mbappé, Di Maria), même avec Icardi sur le banc, soit ainsi muselée ?


Animé par Marie-Amélie Motte, avec Hugo Delom, Arnaud Hermant et Dan Perez. Réalisé par Roland Richard.


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C’est une défaite qui pose question. À Dortmund, le PSG s’est incliné (1-2) en huitièmes de finale aller de la Ligue des champions mardi 18 février. Animation brouillonne, choix tactiques discutables, le staff comme les joueurs n’ont pas été à la hauteur de l’enjeu.


« On a joué aujourd’hui avec trop de peur de faire une erreur », a concédé Thomas Tuchel ce mardi 18 février après l’échec à Dortmund (1-2), avant d’ajouter : « Je ne sais pas pourquoi. » Que s'est-il joué avant et pendant le match pour susciter cette crainte de mal faire chez les joueurs ? Comment expliquer ce manque d’intensité et de « confiance » sur le terrain ?


Immanquablement, les choix de Tuchel sont analysés de près. Lancer son équipe en 3-4-3 alors que ces deux derniers mois, le PSG avait principalement évolué en 4-4-2, pose question. Le technicien allemand a-t-il lui aussi été rattrapé par une forme d’appréhension en proposant un schéma dont l’objectif était notamment de mieux protéger ses couloirs et son axe défensif ?


Offensivement, Paris a éprouvé les pires difficultés à franchir le premier rideau d’un Borussia disposé également en 3-4-3 mais lui rompu à ce schéma depuis la fin novembre. Résultat ? Le premier tir cadré parisien n’est survenu qu’à la 65e minute. Qu’est-il arrivé pour que la force de frappe des champions de France (Neymar, Mbappé, Di Maria), même avec Icardi sur le banc, soit ainsi muselée ?


Animé par Marie-Amélie Motte, avec Hugo Delom, Arnaud Hermant et Dan Perez. Réalisé par Roland Richard.


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