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But First Academy - Marketing de contenu

199. Ce que j'aurais aimé savoir sur les réseaux sociaux

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25min |21/10/2024
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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Bud First Academy, le podcast où on va parler marketing de contenu, SEO, copywriting et business en ligne. Je m'appelle Marine, je suis experte SEO depuis maintenant 7 ans. Autour d'un café ou d'un thé, peu importe, parlons de stratégie dans une ambiance conviviale et détendue. Bonne écoute ! J'espère que vous allez bien, je vous souhaite la bienvenue dans un nouvel épisode de podcast où aujourd'hui on va évoquer toutes les choses que j'aurais aimé qu'on me dise. vis-à-vis des réseaux sociaux et de toutes les choses que j'aurais aimé que l'on me mette en garde vis-à-vis de l'évolution que l'on peut avoir sur Instagram, voire même dans notre création de contenu, de par notre exposition ou non, puisque ces différents points vont en tant concerner la Bud First Academy, mais également mon personal branding. Et c'est vrai qu'on nous met souvent en garde vis-à-vis de certaines choses en business, mais j'aurais aimé. Écoutez cet épisode de podcast, quand il y a deux ans je rêvais d'évoluer et j'avais trop envie que mon compte grandisse, aujourd'hui c'est plus ou moins le cas. Il y a une communauté de la BudFest Academy qui existe, il y a un compte avec plus de 20 000 abonnés, donc je considère que c'est déjà quelque chose. Quand même, on n'est pas sur une gigantesque communauté. Moi je pars du principe qu'il y a déjà pas mal de monde par ici. Et d'ailleurs je vous en remercie parce que franchement j'ai beaucoup beaucoup beaucoup de chance d'avoir des gens aussi bienveillants. dans la BFA, voire même dans mon compte de Personal Branding. Donc vraiment un grand merci à vous si vous me suivez sur les réseaux et que vous passez par là. Sachez que j'enregistre cet épisode de podcast aussi en pensant à vous, et vous allez comprendre pourquoi. Je vous le dis très régulièrement, mais les réseaux, c'est pas la vraie vie. Et pour celles qui me suivent de plus près, sans doute vous l'avez remarqué, depuis le mois d'août, il y a beaucoup de choses qui se sont passées dans ma vie, et encore actuellement, il y a énormément de choses qui vont dépendre de moi dans la sphère. personnel et du coup forcément le côté professionnel se retrouve un petit peu plus déséquilibré puisque j'ai pris de nombreuses décisions vis-à-vis de mon business. Je vous invite à aller écouter l'épisode 197 sur toutes les décisions business que j'ai prises et ce que j'aurais jamais imaginé vous dire un jour. Je vais pas refaire tout le Big Mac ici parce qu'honnêtement ça sert à rien mais j'avais envie déjà de vous mettre dans le contexte. Il y a certaines choses parfois qui nous dépassent, il y a parfois des décisions qu'il faut que l'on prenne de manière naturelle ou non. forcées ou non, peu importe, mais dans tous les cas il y a des décisions ici qu'il faut prendre. Et c'est vrai que les réseaux, quand bien même c'est un métier et quand bien même si on ne vous voit pas, on ne se souviendra pas de vous, il y a le haut de l'iceberg qui est du coup les réseaux et ce que vous allez voir de publiés en termes de contenu et en termes de story. Et il y a tout l'en-dessous de l'iceberg. Alors je sais que vous avez forcément déjà vu des posts sur Instagram qui vous montrent ce que l'on voit et ce que vous ne voyez pas. Et c'est complètement ok. Par contre sur les réseaux sociaux je ne m'attendais pas à avoir ce genre de réaction, ce genre d'émotion, ce genre de sentiment vis-à-vis de ce que je vis aujourd'hui sur les réseaux sociaux. Et c'est vrai que peut-être que ce n'est que mon expérience, peut-être que c'est que ce que je ressens, peut-être que des personnes autour de vous vous diront qu'elles ne sont pas du tout d'accord avec moi et c'est complètement ok. Moi c'est vrai que j'aurais aimé quand même que l'on prévienne vis-à-vis de ces points parce que... je suis comme ça humainement parlant, parce que c'est ma personnalité et parce que c'est mon parcours. Mais encore une fois, ça ne veut pas dire que c'est la parole bénite et qu'il faut absolument m'écouter pas à pas. Encore une fois, vous le savez, j'aime bien mettre de la nuance dans mon propos. Là, l'intérêt de cet épisode, c'est vraiment de vous faire un retour d'expérience et des quatre choses qui, pour le coup, je n'aurais jamais imaginé qu'elles puissent m'arriver. Et la première, c'est d'avoir l'impression de devoir toujours être là. Alors je sais que les réseaux sociaux aujourd'hui, ils sont presque inévitables et encore plus. Encore plus quand on est entrepreneur, c'est notre outil de travail et ça fait partie de nos habitudes. Par contre, je n'imaginais pas à quel point j'allais avoir une charge émotionnelle et une pression mentale de me dire j'ai tant de DM à ouvrir, j'ai tant de réponses à donner, j'ai tant d'emails à traiter. En fait, je suis toujours dans une constante de me dire si les gens vont attendre trop de temps ma réponse, ils vont être déçus. Si je ne réponds pas du tac au tac et que je ne réponds pas dans les 5 minutes... les gens vont râler. Et je sais bien que les gens ne sont pas du tout comme ça. Attention, je ne mets pas la faute sur les gens, je mets la faute sur moi. Je ne pensais pas que ça allait devenir une réelle pression mentale de me dire Waouh, en fait là, j'ai trop de messages. Il faut savoir que moi, dans ma vraie vie personnelle, les gens ne m'envoient pas de messages, les gens m'appellent. Parce qu'ils savent qu'il y a des messages, je n'y réponds pas. Si vous voyez mon WhatsApp, vraiment, vous rentrez en crise de panique. Donc je faisais cet effort et je fais cet effort pour la Bud First Academy, mais il arrive un moment où il y a beaucoup de monde, il y a beaucoup de messages à traiter. Et c'est vrai que quand je parle à une personne, j'aime bien la considérer comme telle et pas juste lui faire une réponse bateau ou une réponse copier-coller. Donc forcément, quand je vais me bloquer des temps de réponse, ça va me prendre 5, 10, 15, 20 minutes parfois pour chaque personne, parce qu'on va se faire des vocaux, parce qu'on va avoir une vraie discussion, un vrai échange. Sauf que du coup, bah... en 20 minutes, j'ai traité qu'un seul message, voire deux parfois. Ce qui fait que j'accumule... constamment les réponses à donner et là attention j'ai bien conscience que c'est pas du tout une erreur de ma communauté bien au contraire et ce n'est pas du tout une erreur de ma part bien au contraire j'aime ce processus j'aime pouvoir échanger avec les gens et c'est pour ça que la Bud First Academy existe encore aujourd'hui parce que c'est ce qui va me motiver et c'est ce qui va me faire aller de l'avant par contre on a du coup un problème d'effectif seul problème ici c'est que j'ai du mal à déléguer cette partie donc je vous avais dit juste avant que désormais j'avais envie d'être vraiment vraiment toute seule. Et c'est vrai que là j'ai un dilemme. Parce que j'ai moi-même envie d'accompagner les gens, j'ai moi-même envie de garder presque ma communauté pour moi, et de pouvoir échanger avec les gens. Le problème c'est que du coup la balance de l'autre côté elle est complètement déséquilibrée parce que je n'ai que 24 heures dans une journée, je n'ai que 12 heures de travail, que, entre gros guillemets. Et du coup forcément si je passe 20 minutes à traiter un message, vous vous rendez bien compte que... dans une journée c'est pas viable, au vu de tout ce qui est à faire à côté également. Donc c'est une partie de l'iceberg que j'avais pas anticipée, que j'avais pas imaginée. Je sais que là beaucoup d'entre vous qui m'écoutent vont me dire bah t'as qu'à prendre une CM, c'est chose que j'avais fait il y a quelques temps. Mais je vous avoue que moi c'est pas une approche qui me convient parce que justement j'ai envie de garder cette proximité avec ma communauté. Si j'ai pas moi cet échange là avec les gens, comment est-ce que je peux être sensibilisée à leurs besoins ? Et comment est-ce que je peux être sensibilisée à si oui ou non ils sont faits pour la Bud First Academy ? Je sais pas si vous voyez ce que je veux dire, c'est très particulier. Je sais qu'il y a aussi beaucoup d'éléments liés au contrôle et liés à vouloir conserver ce bébé pour moi, parce que mine de rien la Bud First Academy n'a que deux ans, donc elle a grandement évolué, mais c'est vrai que je m'attendais pas à ce qu'elle fasse un bond de la sorte, et surtout je m'attendais pas à ce que les gens attendent autant à ce qu'on échange avec eux. Donc c'est une... très bonne nouvelle et c'est un très bon constat mais j'avais pas conscience à quel point les gens en avaient marre d'être considérés comme des followers et comme un chiffre et pas comme des humains. Donc ça c'est le premier point que j'aimerais vous souligner, c'est cette pression un peu constante de devoir toujours être là, de devoir toujours donner des réponses aux gens en fait là demain si j'ai envie de disparaître je peux pas disparaître, vous voyez ce que je veux dire ? C'est pour ça que je vous disais que cet épisode de podcast concernait autant la Budfirst Academy que mon compte de Personal Branding Puisque la BFA mine de rien elle a quand même beaucoup de ma personnalité et je sais que si demain je pars, il y a peut-être une autre personne qui va le faire ou qui va la reprendre, qui fera pas du tout le même processus que le mien et qui sera complètement ok avec ça. C'est également pour ça que je vous dis que ça ne concerne que moi et mes états d'âme. Parce que je sais qu'il y a des gens qui pourraient très bien accumuler les messages et se dire bon ben Instagram c'est pas là pour ça et c'est ok et du coup je traiterai les demandes quand je peux et... à la volée quoi. Et je dis pas que tout le monde fait ça comme ça mais il y a certaines marques qui le font et forcément vu que ça fait pas réellement partie de ma personnalité, c'est une dualité que j'avais pas imaginée. De me retrouver un samedi soir sur mon canapé tranquille à regarder la Starac et à penser au message que j'ai à traiter c'est à ce stade, c'est pour ça que j'avais très envie de vous faire cet épisode de podcast. Voire même quand je vais essayer de déconnecter, je déconnecte jamais réellement parce que je sais qu'il y a des gens qui attendent une réponse de ma part et c'est une pression émotionnelle et une pression mentale qui est très grande, que je n'avais pas du tout ni imaginé, ni même rêvé en fait. Et je sais que là, probablement certains d'entre vous vont vous dire Mais attends, moi c'est absolument ce que je veux, avoir beaucoup de DM et pouvoir échanger avec des gens, et toi tu te plains d'en avoir trop. Je ne me plains pas. Je veux que vous voyez aussi l'envers du décor et ce qu'il y a en dessous de l'iceberg, humainement parlant, pas que du business, parce qu'en termes de business, oui c'est super cool. Et c'est d'ailleurs une technique que je vous avais présentée. Dans ce podcast, je vous mettrai le lien juste en dessous de l'épisode parce que là du coup j'ai pas le numéro avec moi, mais je vous le mettrai juste en dessous si vous voulez aller l'écouter. En termes business, c'est incroyable. Mais humainement parlant, qu'est-ce qu'il se passe en dessous ? Il se passe ça. Beaucoup d'état d'âme et beaucoup de remise en question, et ça va me permettre de faire la transition parfaite vers le deuxième point que je n'avais jamais pensé vis-à-vis des réseaux sociaux, c'est d'avoir l'impression de devoir faire toujours plus. Voir mieux encore, avoir l'impression de pas avoir le droit à l'erreur. Je vous donne un exemple très concret et je vais vous raconter une histoire. La semaine dernière, il y avait une communication qui tournait autour de la Budfirst Academy et j'ai reçu du coup un message privé cette fois. Pour le coup, lui, j'ai fait exprès de ne pas y répondre, non pas que la personne n'était pas dans ma niche puisqu'il s'agissait d'un entrepreneur, etc. Mais moi, je ne travaille pas avec les hommes, donc forcément, quand on m'attaque en DM sur certaines choses que je peux évoquer, avancer, et vous le savez si vous écoutez l'épisode de podcast, Je n'avancerai rien si je n'avais pas de preuves et si ce n'était pas vrai, très clairement. Quand bien même certaines personnes peuvent... Penser que c'est du bullshit, croyez-moi, si j'ai pas les preuves, je me permettrais pas de faire une communication au vu de tous. Mais bon, ça c'est l'éthique de chacun. Et c'est vrai que cette personne commence un peu à m'attaquer en DM en ne comprenant pas certains points que j'ai évoqués. Chose à laquelle je prends la décision de ne pas répondre. Tout simplement parce que je me dis que je vais juste brûler de l'énergie pour rien, vu que je vais essayer de montrer à la personne que c'est vrai, en sachant que, cette personne, je n'ai pas envie. de l'avoir dans la Bud First Academy. Et là oui, ça passe à un stade où je fais le choix de ne pas vouloir travailler avec cette personne. Et là vous allez vous demander probablement sur quoi est-ce que je me suis basée. Ben sur tout le style de vie qui était mis en avant, sur toute la communication qui était mise en avant, parce que oui, encore une fois, vos réseaux sociaux sont votre vitrine et doivent refléter vos valeurs. On n'était pas du tout alignés. Et là vraiment, rien à voir. Du coup je fais le choix de ne pas répondre à cette personne. Personne qui m'agresse presque deux jours après en me disant... ou il faudrait peut-être me répondre. Chose, j'ouvre, encore une fois, je ne réponds pas. C'est bon, mais tu n'as pas compris une fois, tu vas peut-être comprendre au bout de la deuxième fois. Il s'avère que la personne, elle a commencé à être très frustrée, elle est passée en commentaire, en disant exactement la même chose. Donc là, en commentaire, certes, oui, je lui ai répondu, parce que c'est visible, parce que je ne supprime pas les commentaires, et parce que ce n'est pas une personne qui peut avoir quelques doutes qui vont, moi, me mettre des bâtons dans les roues si j'ai envie de te répondre. En visuel, c'est vraiment parce que je sais qu'il n'y a aucun problème dans ce que je suis en train d'avancer et que c'est vrai. Et la personne remettait clairement en cause les résultats qui pouvaient être obtenus au sein de la Butterworth Academy et les résultats que moi-même j'ai obtenus et que j'ai mis en avant. Il s'avère que la personne disait très clairement qu'elle recherchait les résultats et que c'était impossible, blablabla. Tout ce que j'aime, vraiment, c'est le discours que j'adore. Et il s'avère que la personne a tort vu que, effectivement, c'était des résultats que j'ai moi-même obtenus. Là, ce n'était même pas un retour client, c'était un retour de la Butterworth Academy. Et il s'avère que ces derniers temps, vu que je suis en train de faire des tests au niveau des stratégies, parce que l'algorithme Instagram est encore en train de changer et parce que je vous le dis tout le temps, le compte Instagram de la BuzzFast Academy est un test, c'est un laboratoire où je fais énormément de changements, d'ajustements et je sais où je vais. Et c'est vrai que ces derniers temps, mes tests n'ont pas du tout été très concluants. Donc de prime abord, tout ce que les gens ont pu voir, ça a été ce que j'ai fait en test et pas ce qui est fait habituellement. C'est-à-dire que du coup, la personne peut avoir ici certains doutes. Mais là du coup, j'ai eu un autre sentiment qui m'a fait dire que, en fait, je n'ai pas le droit de me tromper. Je n'ai pas le droit à l'erreur. Je n'ai pas le droit de faire un peu moins parfois. Parce que oui, mes statistiques là ont baissé, encore une fois. Moi, je suis complètement confortable avec ça parce que je sais pourquoi et je sais comment changer la donne. Et surtout, j'ai bien conscience qu'aujourd'hui, ma vie personnelle ne me permet pas d'avoir un énorme boom au niveau de la Bud First Academy. Ce sont des choix qui sont faits, des choix qui sont faits en pleine conscience. Problème ici, c'est qu'une personne qui tombe sur la Bud First Academy, elle va s'attendre à des mille et des cents, de par les résultats qu'on a déjà obtenus, de par les retours clients, et si les six premiers postes ne sont pas hyper, hyper, hyper performants, parce que moi je ne fais pas partie des gens qui vont épingler ceux qui ont fait 15 millions de vues, je m'en fiche, moi ils sont tout au fond, et ils restent au fond. Et là, il y en a un qui est en train de cartonner, dans quelques semaines, il sera au fond. Donc il faut chercher, il faut fouiller, il faut prendre le temps d'analyser ce qui est fait. Chose que les personnes ne font pas forcément. Et du coup, j'ai eu ce sentiment de me dire, j'ai pas le droit en fait de parfois baisser en termes de statistiques. J'ai pas le droit parfois de faire un peu moins bien. Ça veut pas dire que je fais moins en termes de travail, je suis en train juste de changer la stratégie. Sauf que là, j'ai pas le droit. Parce que, s'il y a des personnes qui arrivent... et qui voient ces évolutions, qui voient ces changements et que ces changements ne fonctionnent pas, comme certains qui ont été faits n'ont pas fonctionné, ben forcément, les gens vont se méfier de la Bud First Academy. Chose que moi je veux pas, parce que du coup il y a beaucoup d'humanité, et il y a beaucoup d'humanisation qui est faite au sein de la communication. C'est pas pour que les gens après aillent douter. Et c'est vrai que j'ai un peu eu la sensation que si quand il y a quelque chose qui baisse, on va directement prendre ta veste et on va directement te dire Ah mais tu vois, ça c'est pas vrai, ah mais tu vois, t'as fait ci, ah mais tu vois, t'as fait ci, Ah mais si, mais t'avais dit, mais au final t'as fait ça. C'est très CPC1, on l'accorde. Mais c'est vrai que du coup, humainement parlant, les réseaux sociaux vont avoir plus de pression émotionnelle que ce que j'aurais pu imaginer. Faut pas oublier que derrière un compte Instagram, que vous le vouliez ou non, il y a une personne, il y a un humain. Et c'est vrai que le fait d'appuyer sur le on ne voit pas ce que t'es en train de mettre en avant et on ne voit pas ce que t'es en train de dire, Ça je peux l'entendre parce que j'ai des preuves et je peux montrer que ça fonctionne, ça y a aucun problème. Par contre du coup humainement parlant, je me suis dit, ah oui en fait c'est ça que la personne elle ressent. En fait c'est ça que la personne elle voit. Donc en fait je suis pas assez bonne dans ce que je fais. Je dois montrer encore plus, je dois faire encore plus. Et mine de rien, consciemment, qu'est-ce qui s'est passé après ça ? Je me suis dit, bah tu sais quoi, je vais pas passer à deux postes, je vais passer à trois postes. Et puis je vais faire ci, et puis je vais faire ça. Chose qui, prochainement, ce sera pas possible. Et moi-même, je le sais. Mais du coup, il y a des conséquences dans ce qu'on dit, il y a des conséquences dans ce qu'on fait. Et vu que je mets beaucoup de coeur dans la Bud First Academy, il arrive un moment où je sens là qu'il est important de revenir aux bases, de revenir aux fondamentaux et de revenir à comment est-ce que je voyais la chose avant, qui est de mettre une distinction émotionnelle entre la Bud First Academy et moi. Je ne suis pas la Bud First Academy et la Bud First Academy n'est pas moi. Il ne doit pas y avoir d'attachement émotionnel, c'est du business. Et c'est vrai que depuis qu'il y a vraiment cette effervescence et... C'est génial et j'éprouve tellement de gratitude parce que c'est incroyable ce qui est en train de se passer dans la Bud First Academy. Et c'est pour ça que je suis complètement dans l'ambivalence de Ok, c'est super cool et j'adore ce qu'on fait ensemble et j'adore ce qu'on est en train de construire ensemble. Parce que la Bud First Academy ne pourrait pas exister sans tout ça. Mais de l'autre côté, il y a des points négatifs que je n'avais jamais, malheureusement, jamais pensé. Et de voir qu'il y a certaines personnes qui peuvent... envoyer des pics, envoyer des messages juste pour être méchante sans rechercher quelconque truc derrière bah c'est pas agréable parce que c'est pas que c'est des haters c'est juste des gens qui doutent et qui ont envie de se mettre dans la sauce le seul truc ici c'est que moi ça me viendrait jamais à l'esprit si tu doutes passe ton chemin si tu n'aimes pas commande pas si tu n'as pas envie ne fais pas en fait c'est des règles de base et je sais très clairement que ça peut être des personnes qui vont se retrouver avec moi dans des lives ou dans la rue et Les gens ne vont rien me dire quand je dis Ah, c'est extraordinaire ce que tu fais, machin Et c'est ça qui est hyper frustrant, en fait. C'est d'avoir cette ambivalence de méchanceté. Et c'est vrai que dans la BFAC, pour celles qui m'accompagnent depuis longtemps, voire même sur ce podcast, il y a beaucoup de bienveillance qui est véhiculée. Et de me dire qu'il y a certaines personnes qui prennent du temps et qui perdent leur temps à envoyer des messages de ce type, forcément, humainement parlant, tu te remets toujours en question et tu dis toujours si tu es assez douée, si tu es assez forte, si tu es assez bonne, si... c'est légitime ce que tu fais, si tu mérites ce qui t'arrive. Donc forcément, en fait, un grain de sable et une goutte d'eau va tout remettre en question. Après, je ne vous dis pas que c'est une règle générale pour tout le monde. Je vous parle de ma personnalité et de comment est-ce que je gère mes émotions et de comment est-ce que je vais gérer également parfois la toxicité des réseaux sociaux. Et quand je me sens agressée de cette manière-là, en fait, le premier réflexe que j'ai, humainement parlant, c'est de me remettre dans ma coquille. Et de me dire, tu sais quoi, je vais répondre à plus personne. Parce que je suis pas dans une bonne énergie, parce que je vais être plus virulente, parce que je vais être plus agacée, parce qu'au final, j'ai plus envie. Et c'est vrai que d'avoir la sensation sur les réseaux que tout est dû aux gens et qu'on leur doit tout, ça va me permettre de faire le pont vers le dernier point que j'avais envie d'évoquer et une des choses que j'avais jamais pensé vis-à-vis des réseaux sociaux, c'est de trouver le juste équilibre entre ce qu'on a envie de partager et ce que l'on n'a pas envie de partager. Alors là, je vais plus parler par rapport à mon compte de Personal Branding que par rapport à la Bud First Academy, parce que dans la Bud First Academy, c'est une marque à part entière. Et dans le Personal Branding, on va avoir plus envie de vous montrer notre vie, de vous partager ce qui se passe dans les coulisses et de comment est-ce qu'on va s'organiser, etc. Donc on est plus dans le quotidien. Et ce quotidien-là est très compliqué parce qu'on ne sait jamais ce qui va être intéressant pour vous. On ne sait jamais ce que l'on... on a envie de vous montrer ce que vous avez envie de voir, ce qu'il faut raconter, ce qu'il ne faut pas raconter. C'est vrai que moi, vous partager ma salade à midi, ça ne m'intéresse pas, très clairement. Par contre, je sais qu'il faut que je fasse des stories. Et faire des stories stratégiques avec des vrais narratifs, comme je vous montre dans le Makato, ça prend du temps, ça prend une certaine réflexion. Il faut aussi s'interroger sur ce qui nous entoure et avoir vraiment une réflexion émotionnelle, une réflexion stratégique un peu permanente. Et c'est vrai que dans les stories, t'as pas... tous les jours envie que ce soit comme ça. Surtout quand tu vis des trucs importants dans ta vie personnelle, forcément, le focus, il est mis sur ta vie perso et pas sur ta vie pro. Et c'est très ambivalent, parce que les gens vont avoir envie de rentrer dans cette sphère privée, mais moi, en tant que créatrice de contenu, j'ai pas forcément envie de tout vous montrer ou de tout vous dire ou de tout vous partager. Et ça fait déjà quelques semaines que je reçois quelques messages qui me disent on se sent un petit peu moins proche, on se sent un petit peu moins là, on en sent un petit peu moins. Est-ce que tu vas bien réellement ? Et c'est vrai que ces messages sont déjà de 1 très touchants et merci aux personnes qui les ont envoyés parce que ça fait toujours plaisir. Mais d'un autre côté, je me dis jusqu'à quel stade est-ce que moi j'ai envie d'aller dans mon partage personnel pour justement créer un lien avec les gens. Et pour le coup, je fais une vraie distinction entre les influenceurs et les créateurs de contenu. Moi, je ne suis pas influenceuse. Je suis créatrice de contenu qui a envie de vous montrer que c'est possible et de vous montrer également la réalité d'une entrepreneur. Et le fait de jamais avoir cette balance au milieu de la communication, c'est très compliqué. Parce que parfois tu vas avoir envie de partager un truc qui est arrivé le samedi ou le dimanche ou le samedi soir, sauf que tu sais que ça va pas coller avec ton positionnement, avec ton image de marque, avec ce que t'as envie de montrer de ta personnalité et de ta personne, du coup tu vas te censurer, tu vas pas le faire. Combien de fois ça m'est déjà arrivé de filmer et d'enregistrer des stories ? Et après, quand on va les éditer, quand on va les re-regarder, je me dis ouais non, au final je publie pas. Donc j'ai perdu une heure de temps à créer une stories, à vous parler, à mettre des sous-titres, et au final à ce que ce contenu ne voit jamais le jour, parce que justement t'as toujours cette peur du jugement, t'as toujours cette peur que ce soit pas assez, t'as toujours peur que ça n'intéresse pas les gens, t'as également toujours peur que les gens se disent ouais mais enfin pourquoi elle me raconte ça, genre ok, cool. Et alors ? Et moi c'est ce et alors vis-à-vis du jugement des gens qui va beaucoup me déranger sur les réseaux, parce qu'aujourd'hui tout le monde a une opinion sur tout le monde, qu'on le veuille ou non, que vous le cherchiez ou non, que vous le travaillez ou non, les gens vont forcément avoir une opinion de vous. Et il y a un an de ça, quand j'ai moi-même voulu commencer à travailler mon personal branding, j'imaginais pas à quel point c'était compliqué de vouloir garder une sphère privée tout en partageant et tout en créant quand même un lien avec les gens. Alors bien entendu aujourd'hui, celles qui m'écoutent et qui me suivent dans Personnel Branding, vous allez davantage me connaître pour les narratives et pour les analogies et pour tous les objets du quotidien que je vais transformer de manière stratégique et c'est trop bien et c'est l'objectif de ça. Mais quand il n'y a pas ça, parce que je n'ai pas envie de faire ça tous les jours non plus, mon équilibre il est un peu perdu. Du coup je me dis tout le temps jusqu'à où et jusqu'à quel stade. Je ne sais jamais trop ce qui pourrait vous intéresser que je partage de ma sphère. Je pense que j'en partage déjà beaucoup au sein de ce podcast parce que je fais toujours en sorte d'être très transparente avec vous. Mais c'est vrai que cet équilibre-là, on n'imagine pas à quel point il est super dur à trouver. Maintenant, vous rassemblez ce point avec le fait d'avoir l'impression de devoir toujours être là et de devoir toujours répondre aux gens, plus au fait d'avoir l'impression de devoir faire toujours plus et d'avoir l'impression de ne pas avoir le droit à l'erreur. Parce que oui, c'est pas une fois, c'est les trois en même temps, enfin les quatre en même temps, voire toutes en même temps. Et émotionnellement parlant, du coup les réseaux ça devient parfois un peu compliqué à vivre quand bien même t'es obligé d'être là et t'es obligé de publier. Vous n'imaginez pas le nombre de fois, et là ces dernières semaines ça arrivait énormément de fois, où je me concentre que sur ma création de contenu et je fais le choix personnel de ne répondre absolument à personne. Je n'ouvre pas mes DM ou j'ouvre que ceux que je sais que je dois ouvrir. Vous voyez un peu ? Ça va très loin, mais parce que t'arrives à un moment où t'es un peu épuisé de... des gens, voilà. Et c'est triste à dire, mais les réseaux sociaux, de base, c'est là pour créer un lien avec les gens humains et d'avoir beaucoup de bienveillance. Et parfois, cette bienveillance-là, on peut ne pas forcément la retrouver ou on peut ne pas forcément la sentir. Et quand vos comptes grandissent et quand vous allez prendre votre place petit à petit au niveau du marché, les gens, ils ne vont pas vous louper. Mais très clairement, et là, je pèse mes veaux, les gens ne vont pas vous louper. Ils vont être déçus de vous, ils vont créer des relations avec vous, ils vont créer des liens humains avec vous et si vous faites un truc, les gens vont être déçus. Et du coup, moi j'ai tellement peur de décevoir ces gens qui font partie de la Bud First Academy, de la communauté et de tout ce qui se passe qu'on se reclut dans la coquille et on se dit bon bah tant pis c'est pas grave. Au pire des cas, je répondrai réellement quand j'ai plus du tout du tout du tout le choix et c'est ma personnalité qui fonctionne comme ça. Bien entendu, c'est pas une règle générale et j'ai pas forcément la réponse aux trois points que je vous ai évoqués. La seule chose que j'ai envie de vous dire, c'est déjà de 1, soyez bienveillants sur les réseaux parce que ce sont des humains qui s'occupent des comptes, que vous le vouliez ou non et que ça vous crée des angoisses ou j'en sais rien, mais c'est des humains derrière. Donc pesez vos mots parce que les mots ont des conséquences et faites en sorte de ne pas en attendre trop. Vous ne savez jamais ce que les gens vivent à côté, vous ne savez jamais où est-ce qu'on est la personne. Pour moi parfois, recevoir des messages sans juste demander... Bonjour, tu vas bien ? Mais vraiment, le bateau, le basique du basique, ça me choque. Voilà, je vous le dis. M'envoyer des messages juste pour m'agresser au niveau de la stratégie sans demander comment tu vas, ou juste un simple bonjour ou un simple merci, pour moi c'est quelque chose auquel en 2025 ce ne sera plus du tout accepté dans la Bud First Academy, ni même dans les DM, et ces personnes-là n'obtiendront pas de réponse. C'est pour vous dire à quel point les gens s'attendent à claquer des doigts et à avoir une réponse à tout, parce que tout leur est dû presque. Et je vous fais pas du tout cet épisode de podcast pour que vous commenciez à avoir peur ou justement pour vous dire bah attends si c'est ça la réalité bah non merci. C'est pas ça du tout et encore une fois je suis pleine de gratitude de tout ce qu'on est en train de construire ensemble dans la Bud First Academy. La seule raison de cet épisode de podcast c'est que hier littéralement j'ai essayé de me détendre et j'ai essayé de penser à autre chose qu'au travail et je n'arrêtais pas de penser au nombre de DM en retard que j'ai. C'est pour vous dire. Donc je veux vous sensibiliser aussi à ces points parce que je n'avais jamais imaginé à quel point ça pourrait prendre de la place au sein de mon quotidien. J'espère que cet épisode de podcast aura pu vous aider, vous inspirer, voire même dédramatiser un peu certaines choses que vous vivez vis-à-vis des réseaux sociaux. Vous avez le droit de sentir certaines émotions, vous avez le droit parfois d'avoir envie de jeter en l'air Instagram et les autres réseaux si vous en avez d'autres. Vous avez le droit, c'est humain et parfois c'est ok de dire qu'on n'a pas envie. Si cet épisode de podcast vous a plu, je vous invite à le noter, quelle que soit votre plateforme d'écoute, notamment sur Spotify et Apple Podcast. Ça aide énormément le podcast à se développer et vous, ça ne vous prend que littéralement deux secondes. Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter une très bonne journée ou une très bonne soirée en fonction du moment où vous écoutez cet épisode. A très vite !

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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Bud First Academy, le podcast où on va parler marketing de contenu, SEO, copywriting et business en ligne. Je m'appelle Marine, je suis experte SEO depuis maintenant 7 ans. Autour d'un café ou d'un thé, peu importe, parlons de stratégie dans une ambiance conviviale et détendue. Bonne écoute ! J'espère que vous allez bien, je vous souhaite la bienvenue dans un nouvel épisode de podcast où aujourd'hui on va évoquer toutes les choses que j'aurais aimé qu'on me dise. vis-à-vis des réseaux sociaux et de toutes les choses que j'aurais aimé que l'on me mette en garde vis-à-vis de l'évolution que l'on peut avoir sur Instagram, voire même dans notre création de contenu, de par notre exposition ou non, puisque ces différents points vont en tant concerner la Bud First Academy, mais également mon personal branding. Et c'est vrai qu'on nous met souvent en garde vis-à-vis de certaines choses en business, mais j'aurais aimé. Écoutez cet épisode de podcast, quand il y a deux ans je rêvais d'évoluer et j'avais trop envie que mon compte grandisse, aujourd'hui c'est plus ou moins le cas. Il y a une communauté de la BudFest Academy qui existe, il y a un compte avec plus de 20 000 abonnés, donc je considère que c'est déjà quelque chose. Quand même, on n'est pas sur une gigantesque communauté. Moi je pars du principe qu'il y a déjà pas mal de monde par ici. Et d'ailleurs je vous en remercie parce que franchement j'ai beaucoup beaucoup beaucoup de chance d'avoir des gens aussi bienveillants. dans la BFA, voire même dans mon compte de Personal Branding. Donc vraiment un grand merci à vous si vous me suivez sur les réseaux et que vous passez par là. Sachez que j'enregistre cet épisode de podcast aussi en pensant à vous, et vous allez comprendre pourquoi. Je vous le dis très régulièrement, mais les réseaux, c'est pas la vraie vie. Et pour celles qui me suivent de plus près, sans doute vous l'avez remarqué, depuis le mois d'août, il y a beaucoup de choses qui se sont passées dans ma vie, et encore actuellement, il y a énormément de choses qui vont dépendre de moi dans la sphère. personnel et du coup forcément le côté professionnel se retrouve un petit peu plus déséquilibré puisque j'ai pris de nombreuses décisions vis-à-vis de mon business. Je vous invite à aller écouter l'épisode 197 sur toutes les décisions business que j'ai prises et ce que j'aurais jamais imaginé vous dire un jour. Je vais pas refaire tout le Big Mac ici parce qu'honnêtement ça sert à rien mais j'avais envie déjà de vous mettre dans le contexte. Il y a certaines choses parfois qui nous dépassent, il y a parfois des décisions qu'il faut que l'on prenne de manière naturelle ou non. forcées ou non, peu importe, mais dans tous les cas il y a des décisions ici qu'il faut prendre. Et c'est vrai que les réseaux, quand bien même c'est un métier et quand bien même si on ne vous voit pas, on ne se souviendra pas de vous, il y a le haut de l'iceberg qui est du coup les réseaux et ce que vous allez voir de publiés en termes de contenu et en termes de story. Et il y a tout l'en-dessous de l'iceberg. Alors je sais que vous avez forcément déjà vu des posts sur Instagram qui vous montrent ce que l'on voit et ce que vous ne voyez pas. Et c'est complètement ok. Par contre sur les réseaux sociaux je ne m'attendais pas à avoir ce genre de réaction, ce genre d'émotion, ce genre de sentiment vis-à-vis de ce que je vis aujourd'hui sur les réseaux sociaux. Et c'est vrai que peut-être que ce n'est que mon expérience, peut-être que c'est que ce que je ressens, peut-être que des personnes autour de vous vous diront qu'elles ne sont pas du tout d'accord avec moi et c'est complètement ok. Moi c'est vrai que j'aurais aimé quand même que l'on prévienne vis-à-vis de ces points parce que... je suis comme ça humainement parlant, parce que c'est ma personnalité et parce que c'est mon parcours. Mais encore une fois, ça ne veut pas dire que c'est la parole bénite et qu'il faut absolument m'écouter pas à pas. Encore une fois, vous le savez, j'aime bien mettre de la nuance dans mon propos. Là, l'intérêt de cet épisode, c'est vraiment de vous faire un retour d'expérience et des quatre choses qui, pour le coup, je n'aurais jamais imaginé qu'elles puissent m'arriver. Et la première, c'est d'avoir l'impression de devoir toujours être là. Alors je sais que les réseaux sociaux aujourd'hui, ils sont presque inévitables et encore plus. Encore plus quand on est entrepreneur, c'est notre outil de travail et ça fait partie de nos habitudes. Par contre, je n'imaginais pas à quel point j'allais avoir une charge émotionnelle et une pression mentale de me dire j'ai tant de DM à ouvrir, j'ai tant de réponses à donner, j'ai tant d'emails à traiter. En fait, je suis toujours dans une constante de me dire si les gens vont attendre trop de temps ma réponse, ils vont être déçus. Si je ne réponds pas du tac au tac et que je ne réponds pas dans les 5 minutes... les gens vont râler. Et je sais bien que les gens ne sont pas du tout comme ça. Attention, je ne mets pas la faute sur les gens, je mets la faute sur moi. Je ne pensais pas que ça allait devenir une réelle pression mentale de me dire Waouh, en fait là, j'ai trop de messages. Il faut savoir que moi, dans ma vraie vie personnelle, les gens ne m'envoient pas de messages, les gens m'appellent. Parce qu'ils savent qu'il y a des messages, je n'y réponds pas. Si vous voyez mon WhatsApp, vraiment, vous rentrez en crise de panique. Donc je faisais cet effort et je fais cet effort pour la Bud First Academy, mais il arrive un moment où il y a beaucoup de monde, il y a beaucoup de messages à traiter. Et c'est vrai que quand je parle à une personne, j'aime bien la considérer comme telle et pas juste lui faire une réponse bateau ou une réponse copier-coller. Donc forcément, quand je vais me bloquer des temps de réponse, ça va me prendre 5, 10, 15, 20 minutes parfois pour chaque personne, parce qu'on va se faire des vocaux, parce qu'on va avoir une vraie discussion, un vrai échange. Sauf que du coup, bah... en 20 minutes, j'ai traité qu'un seul message, voire deux parfois. Ce qui fait que j'accumule... constamment les réponses à donner et là attention j'ai bien conscience que c'est pas du tout une erreur de ma communauté bien au contraire et ce n'est pas du tout une erreur de ma part bien au contraire j'aime ce processus j'aime pouvoir échanger avec les gens et c'est pour ça que la Bud First Academy existe encore aujourd'hui parce que c'est ce qui va me motiver et c'est ce qui va me faire aller de l'avant par contre on a du coup un problème d'effectif seul problème ici c'est que j'ai du mal à déléguer cette partie donc je vous avais dit juste avant que désormais j'avais envie d'être vraiment vraiment toute seule. Et c'est vrai que là j'ai un dilemme. Parce que j'ai moi-même envie d'accompagner les gens, j'ai moi-même envie de garder presque ma communauté pour moi, et de pouvoir échanger avec les gens. Le problème c'est que du coup la balance de l'autre côté elle est complètement déséquilibrée parce que je n'ai que 24 heures dans une journée, je n'ai que 12 heures de travail, que, entre gros guillemets. Et du coup forcément si je passe 20 minutes à traiter un message, vous vous rendez bien compte que... dans une journée c'est pas viable, au vu de tout ce qui est à faire à côté également. Donc c'est une partie de l'iceberg que j'avais pas anticipée, que j'avais pas imaginée. Je sais que là beaucoup d'entre vous qui m'écoutent vont me dire bah t'as qu'à prendre une CM, c'est chose que j'avais fait il y a quelques temps. Mais je vous avoue que moi c'est pas une approche qui me convient parce que justement j'ai envie de garder cette proximité avec ma communauté. Si j'ai pas moi cet échange là avec les gens, comment est-ce que je peux être sensibilisée à leurs besoins ? Et comment est-ce que je peux être sensibilisée à si oui ou non ils sont faits pour la Bud First Academy ? Je sais pas si vous voyez ce que je veux dire, c'est très particulier. Je sais qu'il y a aussi beaucoup d'éléments liés au contrôle et liés à vouloir conserver ce bébé pour moi, parce que mine de rien la Bud First Academy n'a que deux ans, donc elle a grandement évolué, mais c'est vrai que je m'attendais pas à ce qu'elle fasse un bond de la sorte, et surtout je m'attendais pas à ce que les gens attendent autant à ce qu'on échange avec eux. Donc c'est une... très bonne nouvelle et c'est un très bon constat mais j'avais pas conscience à quel point les gens en avaient marre d'être considérés comme des followers et comme un chiffre et pas comme des humains. Donc ça c'est le premier point que j'aimerais vous souligner, c'est cette pression un peu constante de devoir toujours être là, de devoir toujours donner des réponses aux gens en fait là demain si j'ai envie de disparaître je peux pas disparaître, vous voyez ce que je veux dire ? C'est pour ça que je vous disais que cet épisode de podcast concernait autant la Budfirst Academy que mon compte de Personal Branding Puisque la BFA mine de rien elle a quand même beaucoup de ma personnalité et je sais que si demain je pars, il y a peut-être une autre personne qui va le faire ou qui va la reprendre, qui fera pas du tout le même processus que le mien et qui sera complètement ok avec ça. C'est également pour ça que je vous dis que ça ne concerne que moi et mes états d'âme. Parce que je sais qu'il y a des gens qui pourraient très bien accumuler les messages et se dire bon ben Instagram c'est pas là pour ça et c'est ok et du coup je traiterai les demandes quand je peux et... à la volée quoi. Et je dis pas que tout le monde fait ça comme ça mais il y a certaines marques qui le font et forcément vu que ça fait pas réellement partie de ma personnalité, c'est une dualité que j'avais pas imaginée. De me retrouver un samedi soir sur mon canapé tranquille à regarder la Starac et à penser au message que j'ai à traiter c'est à ce stade, c'est pour ça que j'avais très envie de vous faire cet épisode de podcast. Voire même quand je vais essayer de déconnecter, je déconnecte jamais réellement parce que je sais qu'il y a des gens qui attendent une réponse de ma part et c'est une pression émotionnelle et une pression mentale qui est très grande, que je n'avais pas du tout ni imaginé, ni même rêvé en fait. Et je sais que là, probablement certains d'entre vous vont vous dire Mais attends, moi c'est absolument ce que je veux, avoir beaucoup de DM et pouvoir échanger avec des gens, et toi tu te plains d'en avoir trop. Je ne me plains pas. Je veux que vous voyez aussi l'envers du décor et ce qu'il y a en dessous de l'iceberg, humainement parlant, pas que du business, parce qu'en termes de business, oui c'est super cool. Et c'est d'ailleurs une technique que je vous avais présentée. Dans ce podcast, je vous mettrai le lien juste en dessous de l'épisode parce que là du coup j'ai pas le numéro avec moi, mais je vous le mettrai juste en dessous si vous voulez aller l'écouter. En termes business, c'est incroyable. Mais humainement parlant, qu'est-ce qu'il se passe en dessous ? Il se passe ça. Beaucoup d'état d'âme et beaucoup de remise en question, et ça va me permettre de faire la transition parfaite vers le deuxième point que je n'avais jamais pensé vis-à-vis des réseaux sociaux, c'est d'avoir l'impression de devoir faire toujours plus. Voir mieux encore, avoir l'impression de pas avoir le droit à l'erreur. Je vous donne un exemple très concret et je vais vous raconter une histoire. La semaine dernière, il y avait une communication qui tournait autour de la Budfirst Academy et j'ai reçu du coup un message privé cette fois. Pour le coup, lui, j'ai fait exprès de ne pas y répondre, non pas que la personne n'était pas dans ma niche puisqu'il s'agissait d'un entrepreneur, etc. Mais moi, je ne travaille pas avec les hommes, donc forcément, quand on m'attaque en DM sur certaines choses que je peux évoquer, avancer, et vous le savez si vous écoutez l'épisode de podcast, Je n'avancerai rien si je n'avais pas de preuves et si ce n'était pas vrai, très clairement. Quand bien même certaines personnes peuvent... Penser que c'est du bullshit, croyez-moi, si j'ai pas les preuves, je me permettrais pas de faire une communication au vu de tous. Mais bon, ça c'est l'éthique de chacun. Et c'est vrai que cette personne commence un peu à m'attaquer en DM en ne comprenant pas certains points que j'ai évoqués. Chose à laquelle je prends la décision de ne pas répondre. Tout simplement parce que je me dis que je vais juste brûler de l'énergie pour rien, vu que je vais essayer de montrer à la personne que c'est vrai, en sachant que, cette personne, je n'ai pas envie. de l'avoir dans la Bud First Academy. Et là oui, ça passe à un stade où je fais le choix de ne pas vouloir travailler avec cette personne. Et là vous allez vous demander probablement sur quoi est-ce que je me suis basée. Ben sur tout le style de vie qui était mis en avant, sur toute la communication qui était mise en avant, parce que oui, encore une fois, vos réseaux sociaux sont votre vitrine et doivent refléter vos valeurs. On n'était pas du tout alignés. Et là vraiment, rien à voir. Du coup je fais le choix de ne pas répondre à cette personne. Personne qui m'agresse presque deux jours après en me disant... ou il faudrait peut-être me répondre. Chose, j'ouvre, encore une fois, je ne réponds pas. C'est bon, mais tu n'as pas compris une fois, tu vas peut-être comprendre au bout de la deuxième fois. Il s'avère que la personne, elle a commencé à être très frustrée, elle est passée en commentaire, en disant exactement la même chose. Donc là, en commentaire, certes, oui, je lui ai répondu, parce que c'est visible, parce que je ne supprime pas les commentaires, et parce que ce n'est pas une personne qui peut avoir quelques doutes qui vont, moi, me mettre des bâtons dans les roues si j'ai envie de te répondre. En visuel, c'est vraiment parce que je sais qu'il n'y a aucun problème dans ce que je suis en train d'avancer et que c'est vrai. Et la personne remettait clairement en cause les résultats qui pouvaient être obtenus au sein de la Butterworth Academy et les résultats que moi-même j'ai obtenus et que j'ai mis en avant. Il s'avère que la personne disait très clairement qu'elle recherchait les résultats et que c'était impossible, blablabla. Tout ce que j'aime, vraiment, c'est le discours que j'adore. Et il s'avère que la personne a tort vu que, effectivement, c'était des résultats que j'ai moi-même obtenus. Là, ce n'était même pas un retour client, c'était un retour de la Butterworth Academy. Et il s'avère que ces derniers temps, vu que je suis en train de faire des tests au niveau des stratégies, parce que l'algorithme Instagram est encore en train de changer et parce que je vous le dis tout le temps, le compte Instagram de la BuzzFast Academy est un test, c'est un laboratoire où je fais énormément de changements, d'ajustements et je sais où je vais. Et c'est vrai que ces derniers temps, mes tests n'ont pas du tout été très concluants. Donc de prime abord, tout ce que les gens ont pu voir, ça a été ce que j'ai fait en test et pas ce qui est fait habituellement. C'est-à-dire que du coup, la personne peut avoir ici certains doutes. Mais là du coup, j'ai eu un autre sentiment qui m'a fait dire que, en fait, je n'ai pas le droit de me tromper. Je n'ai pas le droit à l'erreur. Je n'ai pas le droit de faire un peu moins parfois. Parce que oui, mes statistiques là ont baissé, encore une fois. Moi, je suis complètement confortable avec ça parce que je sais pourquoi et je sais comment changer la donne. Et surtout, j'ai bien conscience qu'aujourd'hui, ma vie personnelle ne me permet pas d'avoir un énorme boom au niveau de la Bud First Academy. Ce sont des choix qui sont faits, des choix qui sont faits en pleine conscience. Problème ici, c'est qu'une personne qui tombe sur la Bud First Academy, elle va s'attendre à des mille et des cents, de par les résultats qu'on a déjà obtenus, de par les retours clients, et si les six premiers postes ne sont pas hyper, hyper, hyper performants, parce que moi je ne fais pas partie des gens qui vont épingler ceux qui ont fait 15 millions de vues, je m'en fiche, moi ils sont tout au fond, et ils restent au fond. Et là, il y en a un qui est en train de cartonner, dans quelques semaines, il sera au fond. Donc il faut chercher, il faut fouiller, il faut prendre le temps d'analyser ce qui est fait. Chose que les personnes ne font pas forcément. Et du coup, j'ai eu ce sentiment de me dire, j'ai pas le droit en fait de parfois baisser en termes de statistiques. J'ai pas le droit parfois de faire un peu moins bien. Ça veut pas dire que je fais moins en termes de travail, je suis en train juste de changer la stratégie. Sauf que là, j'ai pas le droit. Parce que, s'il y a des personnes qui arrivent... et qui voient ces évolutions, qui voient ces changements et que ces changements ne fonctionnent pas, comme certains qui ont été faits n'ont pas fonctionné, ben forcément, les gens vont se méfier de la Bud First Academy. Chose que moi je veux pas, parce que du coup il y a beaucoup d'humanité, et il y a beaucoup d'humanisation qui est faite au sein de la communication. C'est pas pour que les gens après aillent douter. Et c'est vrai que j'ai un peu eu la sensation que si quand il y a quelque chose qui baisse, on va directement prendre ta veste et on va directement te dire Ah mais tu vois, ça c'est pas vrai, ah mais tu vois, t'as fait ci, ah mais tu vois, t'as fait ci, Ah mais si, mais t'avais dit, mais au final t'as fait ça. C'est très CPC1, on l'accorde. Mais c'est vrai que du coup, humainement parlant, les réseaux sociaux vont avoir plus de pression émotionnelle que ce que j'aurais pu imaginer. Faut pas oublier que derrière un compte Instagram, que vous le vouliez ou non, il y a une personne, il y a un humain. Et c'est vrai que le fait d'appuyer sur le on ne voit pas ce que t'es en train de mettre en avant et on ne voit pas ce que t'es en train de dire, Ça je peux l'entendre parce que j'ai des preuves et je peux montrer que ça fonctionne, ça y a aucun problème. Par contre du coup humainement parlant, je me suis dit, ah oui en fait c'est ça que la personne elle ressent. En fait c'est ça que la personne elle voit. Donc en fait je suis pas assez bonne dans ce que je fais. Je dois montrer encore plus, je dois faire encore plus. Et mine de rien, consciemment, qu'est-ce qui s'est passé après ça ? Je me suis dit, bah tu sais quoi, je vais pas passer à deux postes, je vais passer à trois postes. Et puis je vais faire ci, et puis je vais faire ça. Chose qui, prochainement, ce sera pas possible. Et moi-même, je le sais. Mais du coup, il y a des conséquences dans ce qu'on dit, il y a des conséquences dans ce qu'on fait. Et vu que je mets beaucoup de coeur dans la Bud First Academy, il arrive un moment où je sens là qu'il est important de revenir aux bases, de revenir aux fondamentaux et de revenir à comment est-ce que je voyais la chose avant, qui est de mettre une distinction émotionnelle entre la Bud First Academy et moi. Je ne suis pas la Bud First Academy et la Bud First Academy n'est pas moi. Il ne doit pas y avoir d'attachement émotionnel, c'est du business. Et c'est vrai que depuis qu'il y a vraiment cette effervescence et... C'est génial et j'éprouve tellement de gratitude parce que c'est incroyable ce qui est en train de se passer dans la Bud First Academy. Et c'est pour ça que je suis complètement dans l'ambivalence de Ok, c'est super cool et j'adore ce qu'on fait ensemble et j'adore ce qu'on est en train de construire ensemble. Parce que la Bud First Academy ne pourrait pas exister sans tout ça. Mais de l'autre côté, il y a des points négatifs que je n'avais jamais, malheureusement, jamais pensé. Et de voir qu'il y a certaines personnes qui peuvent... envoyer des pics, envoyer des messages juste pour être méchante sans rechercher quelconque truc derrière bah c'est pas agréable parce que c'est pas que c'est des haters c'est juste des gens qui doutent et qui ont envie de se mettre dans la sauce le seul truc ici c'est que moi ça me viendrait jamais à l'esprit si tu doutes passe ton chemin si tu n'aimes pas commande pas si tu n'as pas envie ne fais pas en fait c'est des règles de base et je sais très clairement que ça peut être des personnes qui vont se retrouver avec moi dans des lives ou dans la rue et Les gens ne vont rien me dire quand je dis Ah, c'est extraordinaire ce que tu fais, machin Et c'est ça qui est hyper frustrant, en fait. C'est d'avoir cette ambivalence de méchanceté. Et c'est vrai que dans la BFAC, pour celles qui m'accompagnent depuis longtemps, voire même sur ce podcast, il y a beaucoup de bienveillance qui est véhiculée. Et de me dire qu'il y a certaines personnes qui prennent du temps et qui perdent leur temps à envoyer des messages de ce type, forcément, humainement parlant, tu te remets toujours en question et tu dis toujours si tu es assez douée, si tu es assez forte, si tu es assez bonne, si... c'est légitime ce que tu fais, si tu mérites ce qui t'arrive. Donc forcément, en fait, un grain de sable et une goutte d'eau va tout remettre en question. Après, je ne vous dis pas que c'est une règle générale pour tout le monde. Je vous parle de ma personnalité et de comment est-ce que je gère mes émotions et de comment est-ce que je vais gérer également parfois la toxicité des réseaux sociaux. Et quand je me sens agressée de cette manière-là, en fait, le premier réflexe que j'ai, humainement parlant, c'est de me remettre dans ma coquille. Et de me dire, tu sais quoi, je vais répondre à plus personne. Parce que je suis pas dans une bonne énergie, parce que je vais être plus virulente, parce que je vais être plus agacée, parce qu'au final, j'ai plus envie. Et c'est vrai que d'avoir la sensation sur les réseaux que tout est dû aux gens et qu'on leur doit tout, ça va me permettre de faire le pont vers le dernier point que j'avais envie d'évoquer et une des choses que j'avais jamais pensé vis-à-vis des réseaux sociaux, c'est de trouver le juste équilibre entre ce qu'on a envie de partager et ce que l'on n'a pas envie de partager. Alors là, je vais plus parler par rapport à mon compte de Personal Branding que par rapport à la Bud First Academy, parce que dans la Bud First Academy, c'est une marque à part entière. Et dans le Personal Branding, on va avoir plus envie de vous montrer notre vie, de vous partager ce qui se passe dans les coulisses et de comment est-ce qu'on va s'organiser, etc. Donc on est plus dans le quotidien. Et ce quotidien-là est très compliqué parce qu'on ne sait jamais ce qui va être intéressant pour vous. On ne sait jamais ce que l'on... on a envie de vous montrer ce que vous avez envie de voir, ce qu'il faut raconter, ce qu'il ne faut pas raconter. C'est vrai que moi, vous partager ma salade à midi, ça ne m'intéresse pas, très clairement. Par contre, je sais qu'il faut que je fasse des stories. Et faire des stories stratégiques avec des vrais narratifs, comme je vous montre dans le Makato, ça prend du temps, ça prend une certaine réflexion. Il faut aussi s'interroger sur ce qui nous entoure et avoir vraiment une réflexion émotionnelle, une réflexion stratégique un peu permanente. Et c'est vrai que dans les stories, t'as pas... tous les jours envie que ce soit comme ça. Surtout quand tu vis des trucs importants dans ta vie personnelle, forcément, le focus, il est mis sur ta vie perso et pas sur ta vie pro. Et c'est très ambivalent, parce que les gens vont avoir envie de rentrer dans cette sphère privée, mais moi, en tant que créatrice de contenu, j'ai pas forcément envie de tout vous montrer ou de tout vous dire ou de tout vous partager. Et ça fait déjà quelques semaines que je reçois quelques messages qui me disent on se sent un petit peu moins proche, on se sent un petit peu moins là, on en sent un petit peu moins. Est-ce que tu vas bien réellement ? Et c'est vrai que ces messages sont déjà de 1 très touchants et merci aux personnes qui les ont envoyés parce que ça fait toujours plaisir. Mais d'un autre côté, je me dis jusqu'à quel stade est-ce que moi j'ai envie d'aller dans mon partage personnel pour justement créer un lien avec les gens. Et pour le coup, je fais une vraie distinction entre les influenceurs et les créateurs de contenu. Moi, je ne suis pas influenceuse. Je suis créatrice de contenu qui a envie de vous montrer que c'est possible et de vous montrer également la réalité d'une entrepreneur. Et le fait de jamais avoir cette balance au milieu de la communication, c'est très compliqué. Parce que parfois tu vas avoir envie de partager un truc qui est arrivé le samedi ou le dimanche ou le samedi soir, sauf que tu sais que ça va pas coller avec ton positionnement, avec ton image de marque, avec ce que t'as envie de montrer de ta personnalité et de ta personne, du coup tu vas te censurer, tu vas pas le faire. Combien de fois ça m'est déjà arrivé de filmer et d'enregistrer des stories ? Et après, quand on va les éditer, quand on va les re-regarder, je me dis ouais non, au final je publie pas. Donc j'ai perdu une heure de temps à créer une stories, à vous parler, à mettre des sous-titres, et au final à ce que ce contenu ne voit jamais le jour, parce que justement t'as toujours cette peur du jugement, t'as toujours cette peur que ce soit pas assez, t'as toujours peur que ça n'intéresse pas les gens, t'as également toujours peur que les gens se disent ouais mais enfin pourquoi elle me raconte ça, genre ok, cool. Et alors ? Et moi c'est ce et alors vis-à-vis du jugement des gens qui va beaucoup me déranger sur les réseaux, parce qu'aujourd'hui tout le monde a une opinion sur tout le monde, qu'on le veuille ou non, que vous le cherchiez ou non, que vous le travaillez ou non, les gens vont forcément avoir une opinion de vous. Et il y a un an de ça, quand j'ai moi-même voulu commencer à travailler mon personal branding, j'imaginais pas à quel point c'était compliqué de vouloir garder une sphère privée tout en partageant et tout en créant quand même un lien avec les gens. Alors bien entendu aujourd'hui, celles qui m'écoutent et qui me suivent dans Personnel Branding, vous allez davantage me connaître pour les narratives et pour les analogies et pour tous les objets du quotidien que je vais transformer de manière stratégique et c'est trop bien et c'est l'objectif de ça. Mais quand il n'y a pas ça, parce que je n'ai pas envie de faire ça tous les jours non plus, mon équilibre il est un peu perdu. Du coup je me dis tout le temps jusqu'à où et jusqu'à quel stade. Je ne sais jamais trop ce qui pourrait vous intéresser que je partage de ma sphère. Je pense que j'en partage déjà beaucoup au sein de ce podcast parce que je fais toujours en sorte d'être très transparente avec vous. Mais c'est vrai que cet équilibre-là, on n'imagine pas à quel point il est super dur à trouver. Maintenant, vous rassemblez ce point avec le fait d'avoir l'impression de devoir toujours être là et de devoir toujours répondre aux gens, plus au fait d'avoir l'impression de devoir faire toujours plus et d'avoir l'impression de ne pas avoir le droit à l'erreur. Parce que oui, c'est pas une fois, c'est les trois en même temps, enfin les quatre en même temps, voire toutes en même temps. Et émotionnellement parlant, du coup les réseaux ça devient parfois un peu compliqué à vivre quand bien même t'es obligé d'être là et t'es obligé de publier. Vous n'imaginez pas le nombre de fois, et là ces dernières semaines ça arrivait énormément de fois, où je me concentre que sur ma création de contenu et je fais le choix personnel de ne répondre absolument à personne. Je n'ouvre pas mes DM ou j'ouvre que ceux que je sais que je dois ouvrir. Vous voyez un peu ? Ça va très loin, mais parce que t'arrives à un moment où t'es un peu épuisé de... des gens, voilà. Et c'est triste à dire, mais les réseaux sociaux, de base, c'est là pour créer un lien avec les gens humains et d'avoir beaucoup de bienveillance. Et parfois, cette bienveillance-là, on peut ne pas forcément la retrouver ou on peut ne pas forcément la sentir. Et quand vos comptes grandissent et quand vous allez prendre votre place petit à petit au niveau du marché, les gens, ils ne vont pas vous louper. Mais très clairement, et là, je pèse mes veaux, les gens ne vont pas vous louper. Ils vont être déçus de vous, ils vont créer des relations avec vous, ils vont créer des liens humains avec vous et si vous faites un truc, les gens vont être déçus. Et du coup, moi j'ai tellement peur de décevoir ces gens qui font partie de la Bud First Academy, de la communauté et de tout ce qui se passe qu'on se reclut dans la coquille et on se dit bon bah tant pis c'est pas grave. Au pire des cas, je répondrai réellement quand j'ai plus du tout du tout du tout le choix et c'est ma personnalité qui fonctionne comme ça. Bien entendu, c'est pas une règle générale et j'ai pas forcément la réponse aux trois points que je vous ai évoqués. La seule chose que j'ai envie de vous dire, c'est déjà de 1, soyez bienveillants sur les réseaux parce que ce sont des humains qui s'occupent des comptes, que vous le vouliez ou non et que ça vous crée des angoisses ou j'en sais rien, mais c'est des humains derrière. Donc pesez vos mots parce que les mots ont des conséquences et faites en sorte de ne pas en attendre trop. Vous ne savez jamais ce que les gens vivent à côté, vous ne savez jamais où est-ce qu'on est la personne. Pour moi parfois, recevoir des messages sans juste demander... Bonjour, tu vas bien ? Mais vraiment, le bateau, le basique du basique, ça me choque. Voilà, je vous le dis. M'envoyer des messages juste pour m'agresser au niveau de la stratégie sans demander comment tu vas, ou juste un simple bonjour ou un simple merci, pour moi c'est quelque chose auquel en 2025 ce ne sera plus du tout accepté dans la Bud First Academy, ni même dans les DM, et ces personnes-là n'obtiendront pas de réponse. C'est pour vous dire à quel point les gens s'attendent à claquer des doigts et à avoir une réponse à tout, parce que tout leur est dû presque. Et je vous fais pas du tout cet épisode de podcast pour que vous commenciez à avoir peur ou justement pour vous dire bah attends si c'est ça la réalité bah non merci. C'est pas ça du tout et encore une fois je suis pleine de gratitude de tout ce qu'on est en train de construire ensemble dans la Bud First Academy. La seule raison de cet épisode de podcast c'est que hier littéralement j'ai essayé de me détendre et j'ai essayé de penser à autre chose qu'au travail et je n'arrêtais pas de penser au nombre de DM en retard que j'ai. C'est pour vous dire. Donc je veux vous sensibiliser aussi à ces points parce que je n'avais jamais imaginé à quel point ça pourrait prendre de la place au sein de mon quotidien. J'espère que cet épisode de podcast aura pu vous aider, vous inspirer, voire même dédramatiser un peu certaines choses que vous vivez vis-à-vis des réseaux sociaux. Vous avez le droit de sentir certaines émotions, vous avez le droit parfois d'avoir envie de jeter en l'air Instagram et les autres réseaux si vous en avez d'autres. Vous avez le droit, c'est humain et parfois c'est ok de dire qu'on n'a pas envie. Si cet épisode de podcast vous a plu, je vous invite à le noter, quelle que soit votre plateforme d'écoute, notamment sur Spotify et Apple Podcast. Ça aide énormément le podcast à se développer et vous, ça ne vous prend que littéralement deux secondes. Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter une très bonne journée ou une très bonne soirée en fonction du moment où vous écoutez cet épisode. A très vite !

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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Bud First Academy, le podcast où on va parler marketing de contenu, SEO, copywriting et business en ligne. Je m'appelle Marine, je suis experte SEO depuis maintenant 7 ans. Autour d'un café ou d'un thé, peu importe, parlons de stratégie dans une ambiance conviviale et détendue. Bonne écoute ! J'espère que vous allez bien, je vous souhaite la bienvenue dans un nouvel épisode de podcast où aujourd'hui on va évoquer toutes les choses que j'aurais aimé qu'on me dise. vis-à-vis des réseaux sociaux et de toutes les choses que j'aurais aimé que l'on me mette en garde vis-à-vis de l'évolution que l'on peut avoir sur Instagram, voire même dans notre création de contenu, de par notre exposition ou non, puisque ces différents points vont en tant concerner la Bud First Academy, mais également mon personal branding. Et c'est vrai qu'on nous met souvent en garde vis-à-vis de certaines choses en business, mais j'aurais aimé. Écoutez cet épisode de podcast, quand il y a deux ans je rêvais d'évoluer et j'avais trop envie que mon compte grandisse, aujourd'hui c'est plus ou moins le cas. Il y a une communauté de la BudFest Academy qui existe, il y a un compte avec plus de 20 000 abonnés, donc je considère que c'est déjà quelque chose. Quand même, on n'est pas sur une gigantesque communauté. Moi je pars du principe qu'il y a déjà pas mal de monde par ici. Et d'ailleurs je vous en remercie parce que franchement j'ai beaucoup beaucoup beaucoup de chance d'avoir des gens aussi bienveillants. dans la BFA, voire même dans mon compte de Personal Branding. Donc vraiment un grand merci à vous si vous me suivez sur les réseaux et que vous passez par là. Sachez que j'enregistre cet épisode de podcast aussi en pensant à vous, et vous allez comprendre pourquoi. Je vous le dis très régulièrement, mais les réseaux, c'est pas la vraie vie. Et pour celles qui me suivent de plus près, sans doute vous l'avez remarqué, depuis le mois d'août, il y a beaucoup de choses qui se sont passées dans ma vie, et encore actuellement, il y a énormément de choses qui vont dépendre de moi dans la sphère. personnel et du coup forcément le côté professionnel se retrouve un petit peu plus déséquilibré puisque j'ai pris de nombreuses décisions vis-à-vis de mon business. Je vous invite à aller écouter l'épisode 197 sur toutes les décisions business que j'ai prises et ce que j'aurais jamais imaginé vous dire un jour. Je vais pas refaire tout le Big Mac ici parce qu'honnêtement ça sert à rien mais j'avais envie déjà de vous mettre dans le contexte. Il y a certaines choses parfois qui nous dépassent, il y a parfois des décisions qu'il faut que l'on prenne de manière naturelle ou non. forcées ou non, peu importe, mais dans tous les cas il y a des décisions ici qu'il faut prendre. Et c'est vrai que les réseaux, quand bien même c'est un métier et quand bien même si on ne vous voit pas, on ne se souviendra pas de vous, il y a le haut de l'iceberg qui est du coup les réseaux et ce que vous allez voir de publiés en termes de contenu et en termes de story. Et il y a tout l'en-dessous de l'iceberg. Alors je sais que vous avez forcément déjà vu des posts sur Instagram qui vous montrent ce que l'on voit et ce que vous ne voyez pas. Et c'est complètement ok. Par contre sur les réseaux sociaux je ne m'attendais pas à avoir ce genre de réaction, ce genre d'émotion, ce genre de sentiment vis-à-vis de ce que je vis aujourd'hui sur les réseaux sociaux. Et c'est vrai que peut-être que ce n'est que mon expérience, peut-être que c'est que ce que je ressens, peut-être que des personnes autour de vous vous diront qu'elles ne sont pas du tout d'accord avec moi et c'est complètement ok. Moi c'est vrai que j'aurais aimé quand même que l'on prévienne vis-à-vis de ces points parce que... je suis comme ça humainement parlant, parce que c'est ma personnalité et parce que c'est mon parcours. Mais encore une fois, ça ne veut pas dire que c'est la parole bénite et qu'il faut absolument m'écouter pas à pas. Encore une fois, vous le savez, j'aime bien mettre de la nuance dans mon propos. Là, l'intérêt de cet épisode, c'est vraiment de vous faire un retour d'expérience et des quatre choses qui, pour le coup, je n'aurais jamais imaginé qu'elles puissent m'arriver. Et la première, c'est d'avoir l'impression de devoir toujours être là. Alors je sais que les réseaux sociaux aujourd'hui, ils sont presque inévitables et encore plus. Encore plus quand on est entrepreneur, c'est notre outil de travail et ça fait partie de nos habitudes. Par contre, je n'imaginais pas à quel point j'allais avoir une charge émotionnelle et une pression mentale de me dire j'ai tant de DM à ouvrir, j'ai tant de réponses à donner, j'ai tant d'emails à traiter. En fait, je suis toujours dans une constante de me dire si les gens vont attendre trop de temps ma réponse, ils vont être déçus. Si je ne réponds pas du tac au tac et que je ne réponds pas dans les 5 minutes... les gens vont râler. Et je sais bien que les gens ne sont pas du tout comme ça. Attention, je ne mets pas la faute sur les gens, je mets la faute sur moi. Je ne pensais pas que ça allait devenir une réelle pression mentale de me dire Waouh, en fait là, j'ai trop de messages. Il faut savoir que moi, dans ma vraie vie personnelle, les gens ne m'envoient pas de messages, les gens m'appellent. Parce qu'ils savent qu'il y a des messages, je n'y réponds pas. Si vous voyez mon WhatsApp, vraiment, vous rentrez en crise de panique. Donc je faisais cet effort et je fais cet effort pour la Bud First Academy, mais il arrive un moment où il y a beaucoup de monde, il y a beaucoup de messages à traiter. Et c'est vrai que quand je parle à une personne, j'aime bien la considérer comme telle et pas juste lui faire une réponse bateau ou une réponse copier-coller. Donc forcément, quand je vais me bloquer des temps de réponse, ça va me prendre 5, 10, 15, 20 minutes parfois pour chaque personne, parce qu'on va se faire des vocaux, parce qu'on va avoir une vraie discussion, un vrai échange. Sauf que du coup, bah... en 20 minutes, j'ai traité qu'un seul message, voire deux parfois. Ce qui fait que j'accumule... constamment les réponses à donner et là attention j'ai bien conscience que c'est pas du tout une erreur de ma communauté bien au contraire et ce n'est pas du tout une erreur de ma part bien au contraire j'aime ce processus j'aime pouvoir échanger avec les gens et c'est pour ça que la Bud First Academy existe encore aujourd'hui parce que c'est ce qui va me motiver et c'est ce qui va me faire aller de l'avant par contre on a du coup un problème d'effectif seul problème ici c'est que j'ai du mal à déléguer cette partie donc je vous avais dit juste avant que désormais j'avais envie d'être vraiment vraiment toute seule. Et c'est vrai que là j'ai un dilemme. Parce que j'ai moi-même envie d'accompagner les gens, j'ai moi-même envie de garder presque ma communauté pour moi, et de pouvoir échanger avec les gens. Le problème c'est que du coup la balance de l'autre côté elle est complètement déséquilibrée parce que je n'ai que 24 heures dans une journée, je n'ai que 12 heures de travail, que, entre gros guillemets. Et du coup forcément si je passe 20 minutes à traiter un message, vous vous rendez bien compte que... dans une journée c'est pas viable, au vu de tout ce qui est à faire à côté également. Donc c'est une partie de l'iceberg que j'avais pas anticipée, que j'avais pas imaginée. Je sais que là beaucoup d'entre vous qui m'écoutent vont me dire bah t'as qu'à prendre une CM, c'est chose que j'avais fait il y a quelques temps. Mais je vous avoue que moi c'est pas une approche qui me convient parce que justement j'ai envie de garder cette proximité avec ma communauté. Si j'ai pas moi cet échange là avec les gens, comment est-ce que je peux être sensibilisée à leurs besoins ? Et comment est-ce que je peux être sensibilisée à si oui ou non ils sont faits pour la Bud First Academy ? Je sais pas si vous voyez ce que je veux dire, c'est très particulier. Je sais qu'il y a aussi beaucoup d'éléments liés au contrôle et liés à vouloir conserver ce bébé pour moi, parce que mine de rien la Bud First Academy n'a que deux ans, donc elle a grandement évolué, mais c'est vrai que je m'attendais pas à ce qu'elle fasse un bond de la sorte, et surtout je m'attendais pas à ce que les gens attendent autant à ce qu'on échange avec eux. Donc c'est une... très bonne nouvelle et c'est un très bon constat mais j'avais pas conscience à quel point les gens en avaient marre d'être considérés comme des followers et comme un chiffre et pas comme des humains. Donc ça c'est le premier point que j'aimerais vous souligner, c'est cette pression un peu constante de devoir toujours être là, de devoir toujours donner des réponses aux gens en fait là demain si j'ai envie de disparaître je peux pas disparaître, vous voyez ce que je veux dire ? C'est pour ça que je vous disais que cet épisode de podcast concernait autant la Budfirst Academy que mon compte de Personal Branding Puisque la BFA mine de rien elle a quand même beaucoup de ma personnalité et je sais que si demain je pars, il y a peut-être une autre personne qui va le faire ou qui va la reprendre, qui fera pas du tout le même processus que le mien et qui sera complètement ok avec ça. C'est également pour ça que je vous dis que ça ne concerne que moi et mes états d'âme. Parce que je sais qu'il y a des gens qui pourraient très bien accumuler les messages et se dire bon ben Instagram c'est pas là pour ça et c'est ok et du coup je traiterai les demandes quand je peux et... à la volée quoi. Et je dis pas que tout le monde fait ça comme ça mais il y a certaines marques qui le font et forcément vu que ça fait pas réellement partie de ma personnalité, c'est une dualité que j'avais pas imaginée. De me retrouver un samedi soir sur mon canapé tranquille à regarder la Starac et à penser au message que j'ai à traiter c'est à ce stade, c'est pour ça que j'avais très envie de vous faire cet épisode de podcast. Voire même quand je vais essayer de déconnecter, je déconnecte jamais réellement parce que je sais qu'il y a des gens qui attendent une réponse de ma part et c'est une pression émotionnelle et une pression mentale qui est très grande, que je n'avais pas du tout ni imaginé, ni même rêvé en fait. Et je sais que là, probablement certains d'entre vous vont vous dire Mais attends, moi c'est absolument ce que je veux, avoir beaucoup de DM et pouvoir échanger avec des gens, et toi tu te plains d'en avoir trop. Je ne me plains pas. Je veux que vous voyez aussi l'envers du décor et ce qu'il y a en dessous de l'iceberg, humainement parlant, pas que du business, parce qu'en termes de business, oui c'est super cool. Et c'est d'ailleurs une technique que je vous avais présentée. Dans ce podcast, je vous mettrai le lien juste en dessous de l'épisode parce que là du coup j'ai pas le numéro avec moi, mais je vous le mettrai juste en dessous si vous voulez aller l'écouter. En termes business, c'est incroyable. Mais humainement parlant, qu'est-ce qu'il se passe en dessous ? Il se passe ça. Beaucoup d'état d'âme et beaucoup de remise en question, et ça va me permettre de faire la transition parfaite vers le deuxième point que je n'avais jamais pensé vis-à-vis des réseaux sociaux, c'est d'avoir l'impression de devoir faire toujours plus. Voir mieux encore, avoir l'impression de pas avoir le droit à l'erreur. Je vous donne un exemple très concret et je vais vous raconter une histoire. La semaine dernière, il y avait une communication qui tournait autour de la Budfirst Academy et j'ai reçu du coup un message privé cette fois. Pour le coup, lui, j'ai fait exprès de ne pas y répondre, non pas que la personne n'était pas dans ma niche puisqu'il s'agissait d'un entrepreneur, etc. Mais moi, je ne travaille pas avec les hommes, donc forcément, quand on m'attaque en DM sur certaines choses que je peux évoquer, avancer, et vous le savez si vous écoutez l'épisode de podcast, Je n'avancerai rien si je n'avais pas de preuves et si ce n'était pas vrai, très clairement. Quand bien même certaines personnes peuvent... Penser que c'est du bullshit, croyez-moi, si j'ai pas les preuves, je me permettrais pas de faire une communication au vu de tous. Mais bon, ça c'est l'éthique de chacun. Et c'est vrai que cette personne commence un peu à m'attaquer en DM en ne comprenant pas certains points que j'ai évoqués. Chose à laquelle je prends la décision de ne pas répondre. Tout simplement parce que je me dis que je vais juste brûler de l'énergie pour rien, vu que je vais essayer de montrer à la personne que c'est vrai, en sachant que, cette personne, je n'ai pas envie. de l'avoir dans la Bud First Academy. Et là oui, ça passe à un stade où je fais le choix de ne pas vouloir travailler avec cette personne. Et là vous allez vous demander probablement sur quoi est-ce que je me suis basée. Ben sur tout le style de vie qui était mis en avant, sur toute la communication qui était mise en avant, parce que oui, encore une fois, vos réseaux sociaux sont votre vitrine et doivent refléter vos valeurs. On n'était pas du tout alignés. Et là vraiment, rien à voir. Du coup je fais le choix de ne pas répondre à cette personne. Personne qui m'agresse presque deux jours après en me disant... ou il faudrait peut-être me répondre. Chose, j'ouvre, encore une fois, je ne réponds pas. C'est bon, mais tu n'as pas compris une fois, tu vas peut-être comprendre au bout de la deuxième fois. Il s'avère que la personne, elle a commencé à être très frustrée, elle est passée en commentaire, en disant exactement la même chose. Donc là, en commentaire, certes, oui, je lui ai répondu, parce que c'est visible, parce que je ne supprime pas les commentaires, et parce que ce n'est pas une personne qui peut avoir quelques doutes qui vont, moi, me mettre des bâtons dans les roues si j'ai envie de te répondre. En visuel, c'est vraiment parce que je sais qu'il n'y a aucun problème dans ce que je suis en train d'avancer et que c'est vrai. Et la personne remettait clairement en cause les résultats qui pouvaient être obtenus au sein de la Butterworth Academy et les résultats que moi-même j'ai obtenus et que j'ai mis en avant. Il s'avère que la personne disait très clairement qu'elle recherchait les résultats et que c'était impossible, blablabla. Tout ce que j'aime, vraiment, c'est le discours que j'adore. Et il s'avère que la personne a tort vu que, effectivement, c'était des résultats que j'ai moi-même obtenus. Là, ce n'était même pas un retour client, c'était un retour de la Butterworth Academy. Et il s'avère que ces derniers temps, vu que je suis en train de faire des tests au niveau des stratégies, parce que l'algorithme Instagram est encore en train de changer et parce que je vous le dis tout le temps, le compte Instagram de la BuzzFast Academy est un test, c'est un laboratoire où je fais énormément de changements, d'ajustements et je sais où je vais. Et c'est vrai que ces derniers temps, mes tests n'ont pas du tout été très concluants. Donc de prime abord, tout ce que les gens ont pu voir, ça a été ce que j'ai fait en test et pas ce qui est fait habituellement. C'est-à-dire que du coup, la personne peut avoir ici certains doutes. Mais là du coup, j'ai eu un autre sentiment qui m'a fait dire que, en fait, je n'ai pas le droit de me tromper. Je n'ai pas le droit à l'erreur. Je n'ai pas le droit de faire un peu moins parfois. Parce que oui, mes statistiques là ont baissé, encore une fois. Moi, je suis complètement confortable avec ça parce que je sais pourquoi et je sais comment changer la donne. Et surtout, j'ai bien conscience qu'aujourd'hui, ma vie personnelle ne me permet pas d'avoir un énorme boom au niveau de la Bud First Academy. Ce sont des choix qui sont faits, des choix qui sont faits en pleine conscience. Problème ici, c'est qu'une personne qui tombe sur la Bud First Academy, elle va s'attendre à des mille et des cents, de par les résultats qu'on a déjà obtenus, de par les retours clients, et si les six premiers postes ne sont pas hyper, hyper, hyper performants, parce que moi je ne fais pas partie des gens qui vont épingler ceux qui ont fait 15 millions de vues, je m'en fiche, moi ils sont tout au fond, et ils restent au fond. Et là, il y en a un qui est en train de cartonner, dans quelques semaines, il sera au fond. Donc il faut chercher, il faut fouiller, il faut prendre le temps d'analyser ce qui est fait. Chose que les personnes ne font pas forcément. Et du coup, j'ai eu ce sentiment de me dire, j'ai pas le droit en fait de parfois baisser en termes de statistiques. J'ai pas le droit parfois de faire un peu moins bien. Ça veut pas dire que je fais moins en termes de travail, je suis en train juste de changer la stratégie. Sauf que là, j'ai pas le droit. Parce que, s'il y a des personnes qui arrivent... et qui voient ces évolutions, qui voient ces changements et que ces changements ne fonctionnent pas, comme certains qui ont été faits n'ont pas fonctionné, ben forcément, les gens vont se méfier de la Bud First Academy. Chose que moi je veux pas, parce que du coup il y a beaucoup d'humanité, et il y a beaucoup d'humanisation qui est faite au sein de la communication. C'est pas pour que les gens après aillent douter. Et c'est vrai que j'ai un peu eu la sensation que si quand il y a quelque chose qui baisse, on va directement prendre ta veste et on va directement te dire Ah mais tu vois, ça c'est pas vrai, ah mais tu vois, t'as fait ci, ah mais tu vois, t'as fait ci, Ah mais si, mais t'avais dit, mais au final t'as fait ça. C'est très CPC1, on l'accorde. Mais c'est vrai que du coup, humainement parlant, les réseaux sociaux vont avoir plus de pression émotionnelle que ce que j'aurais pu imaginer. Faut pas oublier que derrière un compte Instagram, que vous le vouliez ou non, il y a une personne, il y a un humain. Et c'est vrai que le fait d'appuyer sur le on ne voit pas ce que t'es en train de mettre en avant et on ne voit pas ce que t'es en train de dire, Ça je peux l'entendre parce que j'ai des preuves et je peux montrer que ça fonctionne, ça y a aucun problème. Par contre du coup humainement parlant, je me suis dit, ah oui en fait c'est ça que la personne elle ressent. En fait c'est ça que la personne elle voit. Donc en fait je suis pas assez bonne dans ce que je fais. Je dois montrer encore plus, je dois faire encore plus. Et mine de rien, consciemment, qu'est-ce qui s'est passé après ça ? Je me suis dit, bah tu sais quoi, je vais pas passer à deux postes, je vais passer à trois postes. Et puis je vais faire ci, et puis je vais faire ça. Chose qui, prochainement, ce sera pas possible. Et moi-même, je le sais. Mais du coup, il y a des conséquences dans ce qu'on dit, il y a des conséquences dans ce qu'on fait. Et vu que je mets beaucoup de coeur dans la Bud First Academy, il arrive un moment où je sens là qu'il est important de revenir aux bases, de revenir aux fondamentaux et de revenir à comment est-ce que je voyais la chose avant, qui est de mettre une distinction émotionnelle entre la Bud First Academy et moi. Je ne suis pas la Bud First Academy et la Bud First Academy n'est pas moi. Il ne doit pas y avoir d'attachement émotionnel, c'est du business. Et c'est vrai que depuis qu'il y a vraiment cette effervescence et... C'est génial et j'éprouve tellement de gratitude parce que c'est incroyable ce qui est en train de se passer dans la Bud First Academy. Et c'est pour ça que je suis complètement dans l'ambivalence de Ok, c'est super cool et j'adore ce qu'on fait ensemble et j'adore ce qu'on est en train de construire ensemble. Parce que la Bud First Academy ne pourrait pas exister sans tout ça. Mais de l'autre côté, il y a des points négatifs que je n'avais jamais, malheureusement, jamais pensé. Et de voir qu'il y a certaines personnes qui peuvent... envoyer des pics, envoyer des messages juste pour être méchante sans rechercher quelconque truc derrière bah c'est pas agréable parce que c'est pas que c'est des haters c'est juste des gens qui doutent et qui ont envie de se mettre dans la sauce le seul truc ici c'est que moi ça me viendrait jamais à l'esprit si tu doutes passe ton chemin si tu n'aimes pas commande pas si tu n'as pas envie ne fais pas en fait c'est des règles de base et je sais très clairement que ça peut être des personnes qui vont se retrouver avec moi dans des lives ou dans la rue et Les gens ne vont rien me dire quand je dis Ah, c'est extraordinaire ce que tu fais, machin Et c'est ça qui est hyper frustrant, en fait. C'est d'avoir cette ambivalence de méchanceté. Et c'est vrai que dans la BFAC, pour celles qui m'accompagnent depuis longtemps, voire même sur ce podcast, il y a beaucoup de bienveillance qui est véhiculée. Et de me dire qu'il y a certaines personnes qui prennent du temps et qui perdent leur temps à envoyer des messages de ce type, forcément, humainement parlant, tu te remets toujours en question et tu dis toujours si tu es assez douée, si tu es assez forte, si tu es assez bonne, si... c'est légitime ce que tu fais, si tu mérites ce qui t'arrive. Donc forcément, en fait, un grain de sable et une goutte d'eau va tout remettre en question. Après, je ne vous dis pas que c'est une règle générale pour tout le monde. Je vous parle de ma personnalité et de comment est-ce que je gère mes émotions et de comment est-ce que je vais gérer également parfois la toxicité des réseaux sociaux. Et quand je me sens agressée de cette manière-là, en fait, le premier réflexe que j'ai, humainement parlant, c'est de me remettre dans ma coquille. Et de me dire, tu sais quoi, je vais répondre à plus personne. Parce que je suis pas dans une bonne énergie, parce que je vais être plus virulente, parce que je vais être plus agacée, parce qu'au final, j'ai plus envie. Et c'est vrai que d'avoir la sensation sur les réseaux que tout est dû aux gens et qu'on leur doit tout, ça va me permettre de faire le pont vers le dernier point que j'avais envie d'évoquer et une des choses que j'avais jamais pensé vis-à-vis des réseaux sociaux, c'est de trouver le juste équilibre entre ce qu'on a envie de partager et ce que l'on n'a pas envie de partager. Alors là, je vais plus parler par rapport à mon compte de Personal Branding que par rapport à la Bud First Academy, parce que dans la Bud First Academy, c'est une marque à part entière. Et dans le Personal Branding, on va avoir plus envie de vous montrer notre vie, de vous partager ce qui se passe dans les coulisses et de comment est-ce qu'on va s'organiser, etc. Donc on est plus dans le quotidien. Et ce quotidien-là est très compliqué parce qu'on ne sait jamais ce qui va être intéressant pour vous. On ne sait jamais ce que l'on... on a envie de vous montrer ce que vous avez envie de voir, ce qu'il faut raconter, ce qu'il ne faut pas raconter. C'est vrai que moi, vous partager ma salade à midi, ça ne m'intéresse pas, très clairement. Par contre, je sais qu'il faut que je fasse des stories. Et faire des stories stratégiques avec des vrais narratifs, comme je vous montre dans le Makato, ça prend du temps, ça prend une certaine réflexion. Il faut aussi s'interroger sur ce qui nous entoure et avoir vraiment une réflexion émotionnelle, une réflexion stratégique un peu permanente. Et c'est vrai que dans les stories, t'as pas... tous les jours envie que ce soit comme ça. Surtout quand tu vis des trucs importants dans ta vie personnelle, forcément, le focus, il est mis sur ta vie perso et pas sur ta vie pro. Et c'est très ambivalent, parce que les gens vont avoir envie de rentrer dans cette sphère privée, mais moi, en tant que créatrice de contenu, j'ai pas forcément envie de tout vous montrer ou de tout vous dire ou de tout vous partager. Et ça fait déjà quelques semaines que je reçois quelques messages qui me disent on se sent un petit peu moins proche, on se sent un petit peu moins là, on en sent un petit peu moins. Est-ce que tu vas bien réellement ? Et c'est vrai que ces messages sont déjà de 1 très touchants et merci aux personnes qui les ont envoyés parce que ça fait toujours plaisir. Mais d'un autre côté, je me dis jusqu'à quel stade est-ce que moi j'ai envie d'aller dans mon partage personnel pour justement créer un lien avec les gens. Et pour le coup, je fais une vraie distinction entre les influenceurs et les créateurs de contenu. Moi, je ne suis pas influenceuse. Je suis créatrice de contenu qui a envie de vous montrer que c'est possible et de vous montrer également la réalité d'une entrepreneur. Et le fait de jamais avoir cette balance au milieu de la communication, c'est très compliqué. Parce que parfois tu vas avoir envie de partager un truc qui est arrivé le samedi ou le dimanche ou le samedi soir, sauf que tu sais que ça va pas coller avec ton positionnement, avec ton image de marque, avec ce que t'as envie de montrer de ta personnalité et de ta personne, du coup tu vas te censurer, tu vas pas le faire. Combien de fois ça m'est déjà arrivé de filmer et d'enregistrer des stories ? Et après, quand on va les éditer, quand on va les re-regarder, je me dis ouais non, au final je publie pas. Donc j'ai perdu une heure de temps à créer une stories, à vous parler, à mettre des sous-titres, et au final à ce que ce contenu ne voit jamais le jour, parce que justement t'as toujours cette peur du jugement, t'as toujours cette peur que ce soit pas assez, t'as toujours peur que ça n'intéresse pas les gens, t'as également toujours peur que les gens se disent ouais mais enfin pourquoi elle me raconte ça, genre ok, cool. Et alors ? Et moi c'est ce et alors vis-à-vis du jugement des gens qui va beaucoup me déranger sur les réseaux, parce qu'aujourd'hui tout le monde a une opinion sur tout le monde, qu'on le veuille ou non, que vous le cherchiez ou non, que vous le travaillez ou non, les gens vont forcément avoir une opinion de vous. Et il y a un an de ça, quand j'ai moi-même voulu commencer à travailler mon personal branding, j'imaginais pas à quel point c'était compliqué de vouloir garder une sphère privée tout en partageant et tout en créant quand même un lien avec les gens. Alors bien entendu aujourd'hui, celles qui m'écoutent et qui me suivent dans Personnel Branding, vous allez davantage me connaître pour les narratives et pour les analogies et pour tous les objets du quotidien que je vais transformer de manière stratégique et c'est trop bien et c'est l'objectif de ça. Mais quand il n'y a pas ça, parce que je n'ai pas envie de faire ça tous les jours non plus, mon équilibre il est un peu perdu. Du coup je me dis tout le temps jusqu'à où et jusqu'à quel stade. Je ne sais jamais trop ce qui pourrait vous intéresser que je partage de ma sphère. Je pense que j'en partage déjà beaucoup au sein de ce podcast parce que je fais toujours en sorte d'être très transparente avec vous. Mais c'est vrai que cet équilibre-là, on n'imagine pas à quel point il est super dur à trouver. Maintenant, vous rassemblez ce point avec le fait d'avoir l'impression de devoir toujours être là et de devoir toujours répondre aux gens, plus au fait d'avoir l'impression de devoir faire toujours plus et d'avoir l'impression de ne pas avoir le droit à l'erreur. Parce que oui, c'est pas une fois, c'est les trois en même temps, enfin les quatre en même temps, voire toutes en même temps. Et émotionnellement parlant, du coup les réseaux ça devient parfois un peu compliqué à vivre quand bien même t'es obligé d'être là et t'es obligé de publier. Vous n'imaginez pas le nombre de fois, et là ces dernières semaines ça arrivait énormément de fois, où je me concentre que sur ma création de contenu et je fais le choix personnel de ne répondre absolument à personne. Je n'ouvre pas mes DM ou j'ouvre que ceux que je sais que je dois ouvrir. Vous voyez un peu ? Ça va très loin, mais parce que t'arrives à un moment où t'es un peu épuisé de... des gens, voilà. Et c'est triste à dire, mais les réseaux sociaux, de base, c'est là pour créer un lien avec les gens humains et d'avoir beaucoup de bienveillance. Et parfois, cette bienveillance-là, on peut ne pas forcément la retrouver ou on peut ne pas forcément la sentir. Et quand vos comptes grandissent et quand vous allez prendre votre place petit à petit au niveau du marché, les gens, ils ne vont pas vous louper. Mais très clairement, et là, je pèse mes veaux, les gens ne vont pas vous louper. Ils vont être déçus de vous, ils vont créer des relations avec vous, ils vont créer des liens humains avec vous et si vous faites un truc, les gens vont être déçus. Et du coup, moi j'ai tellement peur de décevoir ces gens qui font partie de la Bud First Academy, de la communauté et de tout ce qui se passe qu'on se reclut dans la coquille et on se dit bon bah tant pis c'est pas grave. Au pire des cas, je répondrai réellement quand j'ai plus du tout du tout du tout le choix et c'est ma personnalité qui fonctionne comme ça. Bien entendu, c'est pas une règle générale et j'ai pas forcément la réponse aux trois points que je vous ai évoqués. La seule chose que j'ai envie de vous dire, c'est déjà de 1, soyez bienveillants sur les réseaux parce que ce sont des humains qui s'occupent des comptes, que vous le vouliez ou non et que ça vous crée des angoisses ou j'en sais rien, mais c'est des humains derrière. Donc pesez vos mots parce que les mots ont des conséquences et faites en sorte de ne pas en attendre trop. Vous ne savez jamais ce que les gens vivent à côté, vous ne savez jamais où est-ce qu'on est la personne. Pour moi parfois, recevoir des messages sans juste demander... Bonjour, tu vas bien ? Mais vraiment, le bateau, le basique du basique, ça me choque. Voilà, je vous le dis. M'envoyer des messages juste pour m'agresser au niveau de la stratégie sans demander comment tu vas, ou juste un simple bonjour ou un simple merci, pour moi c'est quelque chose auquel en 2025 ce ne sera plus du tout accepté dans la Bud First Academy, ni même dans les DM, et ces personnes-là n'obtiendront pas de réponse. C'est pour vous dire à quel point les gens s'attendent à claquer des doigts et à avoir une réponse à tout, parce que tout leur est dû presque. Et je vous fais pas du tout cet épisode de podcast pour que vous commenciez à avoir peur ou justement pour vous dire bah attends si c'est ça la réalité bah non merci. C'est pas ça du tout et encore une fois je suis pleine de gratitude de tout ce qu'on est en train de construire ensemble dans la Bud First Academy. La seule raison de cet épisode de podcast c'est que hier littéralement j'ai essayé de me détendre et j'ai essayé de penser à autre chose qu'au travail et je n'arrêtais pas de penser au nombre de DM en retard que j'ai. C'est pour vous dire. Donc je veux vous sensibiliser aussi à ces points parce que je n'avais jamais imaginé à quel point ça pourrait prendre de la place au sein de mon quotidien. J'espère que cet épisode de podcast aura pu vous aider, vous inspirer, voire même dédramatiser un peu certaines choses que vous vivez vis-à-vis des réseaux sociaux. Vous avez le droit de sentir certaines émotions, vous avez le droit parfois d'avoir envie de jeter en l'air Instagram et les autres réseaux si vous en avez d'autres. Vous avez le droit, c'est humain et parfois c'est ok de dire qu'on n'a pas envie. Si cet épisode de podcast vous a plu, je vous invite à le noter, quelle que soit votre plateforme d'écoute, notamment sur Spotify et Apple Podcast. Ça aide énormément le podcast à se développer et vous, ça ne vous prend que littéralement deux secondes. Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter une très bonne journée ou une très bonne soirée en fonction du moment où vous écoutez cet épisode. A très vite !

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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Bud First Academy, le podcast où on va parler marketing de contenu, SEO, copywriting et business en ligne. Je m'appelle Marine, je suis experte SEO depuis maintenant 7 ans. Autour d'un café ou d'un thé, peu importe, parlons de stratégie dans une ambiance conviviale et détendue. Bonne écoute ! J'espère que vous allez bien, je vous souhaite la bienvenue dans un nouvel épisode de podcast où aujourd'hui on va évoquer toutes les choses que j'aurais aimé qu'on me dise. vis-à-vis des réseaux sociaux et de toutes les choses que j'aurais aimé que l'on me mette en garde vis-à-vis de l'évolution que l'on peut avoir sur Instagram, voire même dans notre création de contenu, de par notre exposition ou non, puisque ces différents points vont en tant concerner la Bud First Academy, mais également mon personal branding. Et c'est vrai qu'on nous met souvent en garde vis-à-vis de certaines choses en business, mais j'aurais aimé. Écoutez cet épisode de podcast, quand il y a deux ans je rêvais d'évoluer et j'avais trop envie que mon compte grandisse, aujourd'hui c'est plus ou moins le cas. Il y a une communauté de la BudFest Academy qui existe, il y a un compte avec plus de 20 000 abonnés, donc je considère que c'est déjà quelque chose. Quand même, on n'est pas sur une gigantesque communauté. Moi je pars du principe qu'il y a déjà pas mal de monde par ici. Et d'ailleurs je vous en remercie parce que franchement j'ai beaucoup beaucoup beaucoup de chance d'avoir des gens aussi bienveillants. dans la BFA, voire même dans mon compte de Personal Branding. Donc vraiment un grand merci à vous si vous me suivez sur les réseaux et que vous passez par là. Sachez que j'enregistre cet épisode de podcast aussi en pensant à vous, et vous allez comprendre pourquoi. Je vous le dis très régulièrement, mais les réseaux, c'est pas la vraie vie. Et pour celles qui me suivent de plus près, sans doute vous l'avez remarqué, depuis le mois d'août, il y a beaucoup de choses qui se sont passées dans ma vie, et encore actuellement, il y a énormément de choses qui vont dépendre de moi dans la sphère. personnel et du coup forcément le côté professionnel se retrouve un petit peu plus déséquilibré puisque j'ai pris de nombreuses décisions vis-à-vis de mon business. Je vous invite à aller écouter l'épisode 197 sur toutes les décisions business que j'ai prises et ce que j'aurais jamais imaginé vous dire un jour. Je vais pas refaire tout le Big Mac ici parce qu'honnêtement ça sert à rien mais j'avais envie déjà de vous mettre dans le contexte. Il y a certaines choses parfois qui nous dépassent, il y a parfois des décisions qu'il faut que l'on prenne de manière naturelle ou non. forcées ou non, peu importe, mais dans tous les cas il y a des décisions ici qu'il faut prendre. Et c'est vrai que les réseaux, quand bien même c'est un métier et quand bien même si on ne vous voit pas, on ne se souviendra pas de vous, il y a le haut de l'iceberg qui est du coup les réseaux et ce que vous allez voir de publiés en termes de contenu et en termes de story. Et il y a tout l'en-dessous de l'iceberg. Alors je sais que vous avez forcément déjà vu des posts sur Instagram qui vous montrent ce que l'on voit et ce que vous ne voyez pas. Et c'est complètement ok. Par contre sur les réseaux sociaux je ne m'attendais pas à avoir ce genre de réaction, ce genre d'émotion, ce genre de sentiment vis-à-vis de ce que je vis aujourd'hui sur les réseaux sociaux. Et c'est vrai que peut-être que ce n'est que mon expérience, peut-être que c'est que ce que je ressens, peut-être que des personnes autour de vous vous diront qu'elles ne sont pas du tout d'accord avec moi et c'est complètement ok. Moi c'est vrai que j'aurais aimé quand même que l'on prévienne vis-à-vis de ces points parce que... je suis comme ça humainement parlant, parce que c'est ma personnalité et parce que c'est mon parcours. Mais encore une fois, ça ne veut pas dire que c'est la parole bénite et qu'il faut absolument m'écouter pas à pas. Encore une fois, vous le savez, j'aime bien mettre de la nuance dans mon propos. Là, l'intérêt de cet épisode, c'est vraiment de vous faire un retour d'expérience et des quatre choses qui, pour le coup, je n'aurais jamais imaginé qu'elles puissent m'arriver. Et la première, c'est d'avoir l'impression de devoir toujours être là. Alors je sais que les réseaux sociaux aujourd'hui, ils sont presque inévitables et encore plus. Encore plus quand on est entrepreneur, c'est notre outil de travail et ça fait partie de nos habitudes. Par contre, je n'imaginais pas à quel point j'allais avoir une charge émotionnelle et une pression mentale de me dire j'ai tant de DM à ouvrir, j'ai tant de réponses à donner, j'ai tant d'emails à traiter. En fait, je suis toujours dans une constante de me dire si les gens vont attendre trop de temps ma réponse, ils vont être déçus. Si je ne réponds pas du tac au tac et que je ne réponds pas dans les 5 minutes... les gens vont râler. Et je sais bien que les gens ne sont pas du tout comme ça. Attention, je ne mets pas la faute sur les gens, je mets la faute sur moi. Je ne pensais pas que ça allait devenir une réelle pression mentale de me dire Waouh, en fait là, j'ai trop de messages. Il faut savoir que moi, dans ma vraie vie personnelle, les gens ne m'envoient pas de messages, les gens m'appellent. Parce qu'ils savent qu'il y a des messages, je n'y réponds pas. Si vous voyez mon WhatsApp, vraiment, vous rentrez en crise de panique. Donc je faisais cet effort et je fais cet effort pour la Bud First Academy, mais il arrive un moment où il y a beaucoup de monde, il y a beaucoup de messages à traiter. Et c'est vrai que quand je parle à une personne, j'aime bien la considérer comme telle et pas juste lui faire une réponse bateau ou une réponse copier-coller. Donc forcément, quand je vais me bloquer des temps de réponse, ça va me prendre 5, 10, 15, 20 minutes parfois pour chaque personne, parce qu'on va se faire des vocaux, parce qu'on va avoir une vraie discussion, un vrai échange. Sauf que du coup, bah... en 20 minutes, j'ai traité qu'un seul message, voire deux parfois. Ce qui fait que j'accumule... constamment les réponses à donner et là attention j'ai bien conscience que c'est pas du tout une erreur de ma communauté bien au contraire et ce n'est pas du tout une erreur de ma part bien au contraire j'aime ce processus j'aime pouvoir échanger avec les gens et c'est pour ça que la Bud First Academy existe encore aujourd'hui parce que c'est ce qui va me motiver et c'est ce qui va me faire aller de l'avant par contre on a du coup un problème d'effectif seul problème ici c'est que j'ai du mal à déléguer cette partie donc je vous avais dit juste avant que désormais j'avais envie d'être vraiment vraiment toute seule. Et c'est vrai que là j'ai un dilemme. Parce que j'ai moi-même envie d'accompagner les gens, j'ai moi-même envie de garder presque ma communauté pour moi, et de pouvoir échanger avec les gens. Le problème c'est que du coup la balance de l'autre côté elle est complètement déséquilibrée parce que je n'ai que 24 heures dans une journée, je n'ai que 12 heures de travail, que, entre gros guillemets. Et du coup forcément si je passe 20 minutes à traiter un message, vous vous rendez bien compte que... dans une journée c'est pas viable, au vu de tout ce qui est à faire à côté également. Donc c'est une partie de l'iceberg que j'avais pas anticipée, que j'avais pas imaginée. Je sais que là beaucoup d'entre vous qui m'écoutent vont me dire bah t'as qu'à prendre une CM, c'est chose que j'avais fait il y a quelques temps. Mais je vous avoue que moi c'est pas une approche qui me convient parce que justement j'ai envie de garder cette proximité avec ma communauté. Si j'ai pas moi cet échange là avec les gens, comment est-ce que je peux être sensibilisée à leurs besoins ? Et comment est-ce que je peux être sensibilisée à si oui ou non ils sont faits pour la Bud First Academy ? Je sais pas si vous voyez ce que je veux dire, c'est très particulier. Je sais qu'il y a aussi beaucoup d'éléments liés au contrôle et liés à vouloir conserver ce bébé pour moi, parce que mine de rien la Bud First Academy n'a que deux ans, donc elle a grandement évolué, mais c'est vrai que je m'attendais pas à ce qu'elle fasse un bond de la sorte, et surtout je m'attendais pas à ce que les gens attendent autant à ce qu'on échange avec eux. Donc c'est une... très bonne nouvelle et c'est un très bon constat mais j'avais pas conscience à quel point les gens en avaient marre d'être considérés comme des followers et comme un chiffre et pas comme des humains. Donc ça c'est le premier point que j'aimerais vous souligner, c'est cette pression un peu constante de devoir toujours être là, de devoir toujours donner des réponses aux gens en fait là demain si j'ai envie de disparaître je peux pas disparaître, vous voyez ce que je veux dire ? C'est pour ça que je vous disais que cet épisode de podcast concernait autant la Budfirst Academy que mon compte de Personal Branding Puisque la BFA mine de rien elle a quand même beaucoup de ma personnalité et je sais que si demain je pars, il y a peut-être une autre personne qui va le faire ou qui va la reprendre, qui fera pas du tout le même processus que le mien et qui sera complètement ok avec ça. C'est également pour ça que je vous dis que ça ne concerne que moi et mes états d'âme. Parce que je sais qu'il y a des gens qui pourraient très bien accumuler les messages et se dire bon ben Instagram c'est pas là pour ça et c'est ok et du coup je traiterai les demandes quand je peux et... à la volée quoi. Et je dis pas que tout le monde fait ça comme ça mais il y a certaines marques qui le font et forcément vu que ça fait pas réellement partie de ma personnalité, c'est une dualité que j'avais pas imaginée. De me retrouver un samedi soir sur mon canapé tranquille à regarder la Starac et à penser au message que j'ai à traiter c'est à ce stade, c'est pour ça que j'avais très envie de vous faire cet épisode de podcast. Voire même quand je vais essayer de déconnecter, je déconnecte jamais réellement parce que je sais qu'il y a des gens qui attendent une réponse de ma part et c'est une pression émotionnelle et une pression mentale qui est très grande, que je n'avais pas du tout ni imaginé, ni même rêvé en fait. Et je sais que là, probablement certains d'entre vous vont vous dire Mais attends, moi c'est absolument ce que je veux, avoir beaucoup de DM et pouvoir échanger avec des gens, et toi tu te plains d'en avoir trop. Je ne me plains pas. Je veux que vous voyez aussi l'envers du décor et ce qu'il y a en dessous de l'iceberg, humainement parlant, pas que du business, parce qu'en termes de business, oui c'est super cool. Et c'est d'ailleurs une technique que je vous avais présentée. Dans ce podcast, je vous mettrai le lien juste en dessous de l'épisode parce que là du coup j'ai pas le numéro avec moi, mais je vous le mettrai juste en dessous si vous voulez aller l'écouter. En termes business, c'est incroyable. Mais humainement parlant, qu'est-ce qu'il se passe en dessous ? Il se passe ça. Beaucoup d'état d'âme et beaucoup de remise en question, et ça va me permettre de faire la transition parfaite vers le deuxième point que je n'avais jamais pensé vis-à-vis des réseaux sociaux, c'est d'avoir l'impression de devoir faire toujours plus. Voir mieux encore, avoir l'impression de pas avoir le droit à l'erreur. Je vous donne un exemple très concret et je vais vous raconter une histoire. La semaine dernière, il y avait une communication qui tournait autour de la Budfirst Academy et j'ai reçu du coup un message privé cette fois. Pour le coup, lui, j'ai fait exprès de ne pas y répondre, non pas que la personne n'était pas dans ma niche puisqu'il s'agissait d'un entrepreneur, etc. Mais moi, je ne travaille pas avec les hommes, donc forcément, quand on m'attaque en DM sur certaines choses que je peux évoquer, avancer, et vous le savez si vous écoutez l'épisode de podcast, Je n'avancerai rien si je n'avais pas de preuves et si ce n'était pas vrai, très clairement. Quand bien même certaines personnes peuvent... Penser que c'est du bullshit, croyez-moi, si j'ai pas les preuves, je me permettrais pas de faire une communication au vu de tous. Mais bon, ça c'est l'éthique de chacun. Et c'est vrai que cette personne commence un peu à m'attaquer en DM en ne comprenant pas certains points que j'ai évoqués. Chose à laquelle je prends la décision de ne pas répondre. Tout simplement parce que je me dis que je vais juste brûler de l'énergie pour rien, vu que je vais essayer de montrer à la personne que c'est vrai, en sachant que, cette personne, je n'ai pas envie. de l'avoir dans la Bud First Academy. Et là oui, ça passe à un stade où je fais le choix de ne pas vouloir travailler avec cette personne. Et là vous allez vous demander probablement sur quoi est-ce que je me suis basée. Ben sur tout le style de vie qui était mis en avant, sur toute la communication qui était mise en avant, parce que oui, encore une fois, vos réseaux sociaux sont votre vitrine et doivent refléter vos valeurs. On n'était pas du tout alignés. Et là vraiment, rien à voir. Du coup je fais le choix de ne pas répondre à cette personne. Personne qui m'agresse presque deux jours après en me disant... ou il faudrait peut-être me répondre. Chose, j'ouvre, encore une fois, je ne réponds pas. C'est bon, mais tu n'as pas compris une fois, tu vas peut-être comprendre au bout de la deuxième fois. Il s'avère que la personne, elle a commencé à être très frustrée, elle est passée en commentaire, en disant exactement la même chose. Donc là, en commentaire, certes, oui, je lui ai répondu, parce que c'est visible, parce que je ne supprime pas les commentaires, et parce que ce n'est pas une personne qui peut avoir quelques doutes qui vont, moi, me mettre des bâtons dans les roues si j'ai envie de te répondre. En visuel, c'est vraiment parce que je sais qu'il n'y a aucun problème dans ce que je suis en train d'avancer et que c'est vrai. Et la personne remettait clairement en cause les résultats qui pouvaient être obtenus au sein de la Butterworth Academy et les résultats que moi-même j'ai obtenus et que j'ai mis en avant. Il s'avère que la personne disait très clairement qu'elle recherchait les résultats et que c'était impossible, blablabla. Tout ce que j'aime, vraiment, c'est le discours que j'adore. Et il s'avère que la personne a tort vu que, effectivement, c'était des résultats que j'ai moi-même obtenus. Là, ce n'était même pas un retour client, c'était un retour de la Butterworth Academy. Et il s'avère que ces derniers temps, vu que je suis en train de faire des tests au niveau des stratégies, parce que l'algorithme Instagram est encore en train de changer et parce que je vous le dis tout le temps, le compte Instagram de la BuzzFast Academy est un test, c'est un laboratoire où je fais énormément de changements, d'ajustements et je sais où je vais. Et c'est vrai que ces derniers temps, mes tests n'ont pas du tout été très concluants. Donc de prime abord, tout ce que les gens ont pu voir, ça a été ce que j'ai fait en test et pas ce qui est fait habituellement. C'est-à-dire que du coup, la personne peut avoir ici certains doutes. Mais là du coup, j'ai eu un autre sentiment qui m'a fait dire que, en fait, je n'ai pas le droit de me tromper. Je n'ai pas le droit à l'erreur. Je n'ai pas le droit de faire un peu moins parfois. Parce que oui, mes statistiques là ont baissé, encore une fois. Moi, je suis complètement confortable avec ça parce que je sais pourquoi et je sais comment changer la donne. Et surtout, j'ai bien conscience qu'aujourd'hui, ma vie personnelle ne me permet pas d'avoir un énorme boom au niveau de la Bud First Academy. Ce sont des choix qui sont faits, des choix qui sont faits en pleine conscience. Problème ici, c'est qu'une personne qui tombe sur la Bud First Academy, elle va s'attendre à des mille et des cents, de par les résultats qu'on a déjà obtenus, de par les retours clients, et si les six premiers postes ne sont pas hyper, hyper, hyper performants, parce que moi je ne fais pas partie des gens qui vont épingler ceux qui ont fait 15 millions de vues, je m'en fiche, moi ils sont tout au fond, et ils restent au fond. Et là, il y en a un qui est en train de cartonner, dans quelques semaines, il sera au fond. Donc il faut chercher, il faut fouiller, il faut prendre le temps d'analyser ce qui est fait. Chose que les personnes ne font pas forcément. Et du coup, j'ai eu ce sentiment de me dire, j'ai pas le droit en fait de parfois baisser en termes de statistiques. J'ai pas le droit parfois de faire un peu moins bien. Ça veut pas dire que je fais moins en termes de travail, je suis en train juste de changer la stratégie. Sauf que là, j'ai pas le droit. Parce que, s'il y a des personnes qui arrivent... et qui voient ces évolutions, qui voient ces changements et que ces changements ne fonctionnent pas, comme certains qui ont été faits n'ont pas fonctionné, ben forcément, les gens vont se méfier de la Bud First Academy. Chose que moi je veux pas, parce que du coup il y a beaucoup d'humanité, et il y a beaucoup d'humanisation qui est faite au sein de la communication. C'est pas pour que les gens après aillent douter. Et c'est vrai que j'ai un peu eu la sensation que si quand il y a quelque chose qui baisse, on va directement prendre ta veste et on va directement te dire Ah mais tu vois, ça c'est pas vrai, ah mais tu vois, t'as fait ci, ah mais tu vois, t'as fait ci, Ah mais si, mais t'avais dit, mais au final t'as fait ça. C'est très CPC1, on l'accorde. Mais c'est vrai que du coup, humainement parlant, les réseaux sociaux vont avoir plus de pression émotionnelle que ce que j'aurais pu imaginer. Faut pas oublier que derrière un compte Instagram, que vous le vouliez ou non, il y a une personne, il y a un humain. Et c'est vrai que le fait d'appuyer sur le on ne voit pas ce que t'es en train de mettre en avant et on ne voit pas ce que t'es en train de dire, Ça je peux l'entendre parce que j'ai des preuves et je peux montrer que ça fonctionne, ça y a aucun problème. Par contre du coup humainement parlant, je me suis dit, ah oui en fait c'est ça que la personne elle ressent. En fait c'est ça que la personne elle voit. Donc en fait je suis pas assez bonne dans ce que je fais. Je dois montrer encore plus, je dois faire encore plus. Et mine de rien, consciemment, qu'est-ce qui s'est passé après ça ? Je me suis dit, bah tu sais quoi, je vais pas passer à deux postes, je vais passer à trois postes. Et puis je vais faire ci, et puis je vais faire ça. Chose qui, prochainement, ce sera pas possible. Et moi-même, je le sais. Mais du coup, il y a des conséquences dans ce qu'on dit, il y a des conséquences dans ce qu'on fait. Et vu que je mets beaucoup de coeur dans la Bud First Academy, il arrive un moment où je sens là qu'il est important de revenir aux bases, de revenir aux fondamentaux et de revenir à comment est-ce que je voyais la chose avant, qui est de mettre une distinction émotionnelle entre la Bud First Academy et moi. Je ne suis pas la Bud First Academy et la Bud First Academy n'est pas moi. Il ne doit pas y avoir d'attachement émotionnel, c'est du business. Et c'est vrai que depuis qu'il y a vraiment cette effervescence et... C'est génial et j'éprouve tellement de gratitude parce que c'est incroyable ce qui est en train de se passer dans la Bud First Academy. Et c'est pour ça que je suis complètement dans l'ambivalence de Ok, c'est super cool et j'adore ce qu'on fait ensemble et j'adore ce qu'on est en train de construire ensemble. Parce que la Bud First Academy ne pourrait pas exister sans tout ça. Mais de l'autre côté, il y a des points négatifs que je n'avais jamais, malheureusement, jamais pensé. Et de voir qu'il y a certaines personnes qui peuvent... envoyer des pics, envoyer des messages juste pour être méchante sans rechercher quelconque truc derrière bah c'est pas agréable parce que c'est pas que c'est des haters c'est juste des gens qui doutent et qui ont envie de se mettre dans la sauce le seul truc ici c'est que moi ça me viendrait jamais à l'esprit si tu doutes passe ton chemin si tu n'aimes pas commande pas si tu n'as pas envie ne fais pas en fait c'est des règles de base et je sais très clairement que ça peut être des personnes qui vont se retrouver avec moi dans des lives ou dans la rue et Les gens ne vont rien me dire quand je dis Ah, c'est extraordinaire ce que tu fais, machin Et c'est ça qui est hyper frustrant, en fait. C'est d'avoir cette ambivalence de méchanceté. Et c'est vrai que dans la BFAC, pour celles qui m'accompagnent depuis longtemps, voire même sur ce podcast, il y a beaucoup de bienveillance qui est véhiculée. Et de me dire qu'il y a certaines personnes qui prennent du temps et qui perdent leur temps à envoyer des messages de ce type, forcément, humainement parlant, tu te remets toujours en question et tu dis toujours si tu es assez douée, si tu es assez forte, si tu es assez bonne, si... c'est légitime ce que tu fais, si tu mérites ce qui t'arrive. Donc forcément, en fait, un grain de sable et une goutte d'eau va tout remettre en question. Après, je ne vous dis pas que c'est une règle générale pour tout le monde. Je vous parle de ma personnalité et de comment est-ce que je gère mes émotions et de comment est-ce que je vais gérer également parfois la toxicité des réseaux sociaux. Et quand je me sens agressée de cette manière-là, en fait, le premier réflexe que j'ai, humainement parlant, c'est de me remettre dans ma coquille. Et de me dire, tu sais quoi, je vais répondre à plus personne. Parce que je suis pas dans une bonne énergie, parce que je vais être plus virulente, parce que je vais être plus agacée, parce qu'au final, j'ai plus envie. Et c'est vrai que d'avoir la sensation sur les réseaux que tout est dû aux gens et qu'on leur doit tout, ça va me permettre de faire le pont vers le dernier point que j'avais envie d'évoquer et une des choses que j'avais jamais pensé vis-à-vis des réseaux sociaux, c'est de trouver le juste équilibre entre ce qu'on a envie de partager et ce que l'on n'a pas envie de partager. Alors là, je vais plus parler par rapport à mon compte de Personal Branding que par rapport à la Bud First Academy, parce que dans la Bud First Academy, c'est une marque à part entière. Et dans le Personal Branding, on va avoir plus envie de vous montrer notre vie, de vous partager ce qui se passe dans les coulisses et de comment est-ce qu'on va s'organiser, etc. Donc on est plus dans le quotidien. Et ce quotidien-là est très compliqué parce qu'on ne sait jamais ce qui va être intéressant pour vous. On ne sait jamais ce que l'on... on a envie de vous montrer ce que vous avez envie de voir, ce qu'il faut raconter, ce qu'il ne faut pas raconter. C'est vrai que moi, vous partager ma salade à midi, ça ne m'intéresse pas, très clairement. Par contre, je sais qu'il faut que je fasse des stories. Et faire des stories stratégiques avec des vrais narratifs, comme je vous montre dans le Makato, ça prend du temps, ça prend une certaine réflexion. Il faut aussi s'interroger sur ce qui nous entoure et avoir vraiment une réflexion émotionnelle, une réflexion stratégique un peu permanente. Et c'est vrai que dans les stories, t'as pas... tous les jours envie que ce soit comme ça. Surtout quand tu vis des trucs importants dans ta vie personnelle, forcément, le focus, il est mis sur ta vie perso et pas sur ta vie pro. Et c'est très ambivalent, parce que les gens vont avoir envie de rentrer dans cette sphère privée, mais moi, en tant que créatrice de contenu, j'ai pas forcément envie de tout vous montrer ou de tout vous dire ou de tout vous partager. Et ça fait déjà quelques semaines que je reçois quelques messages qui me disent on se sent un petit peu moins proche, on se sent un petit peu moins là, on en sent un petit peu moins. Est-ce que tu vas bien réellement ? Et c'est vrai que ces messages sont déjà de 1 très touchants et merci aux personnes qui les ont envoyés parce que ça fait toujours plaisir. Mais d'un autre côté, je me dis jusqu'à quel stade est-ce que moi j'ai envie d'aller dans mon partage personnel pour justement créer un lien avec les gens. Et pour le coup, je fais une vraie distinction entre les influenceurs et les créateurs de contenu. Moi, je ne suis pas influenceuse. Je suis créatrice de contenu qui a envie de vous montrer que c'est possible et de vous montrer également la réalité d'une entrepreneur. Et le fait de jamais avoir cette balance au milieu de la communication, c'est très compliqué. Parce que parfois tu vas avoir envie de partager un truc qui est arrivé le samedi ou le dimanche ou le samedi soir, sauf que tu sais que ça va pas coller avec ton positionnement, avec ton image de marque, avec ce que t'as envie de montrer de ta personnalité et de ta personne, du coup tu vas te censurer, tu vas pas le faire. Combien de fois ça m'est déjà arrivé de filmer et d'enregistrer des stories ? Et après, quand on va les éditer, quand on va les re-regarder, je me dis ouais non, au final je publie pas. Donc j'ai perdu une heure de temps à créer une stories, à vous parler, à mettre des sous-titres, et au final à ce que ce contenu ne voit jamais le jour, parce que justement t'as toujours cette peur du jugement, t'as toujours cette peur que ce soit pas assez, t'as toujours peur que ça n'intéresse pas les gens, t'as également toujours peur que les gens se disent ouais mais enfin pourquoi elle me raconte ça, genre ok, cool. Et alors ? Et moi c'est ce et alors vis-à-vis du jugement des gens qui va beaucoup me déranger sur les réseaux, parce qu'aujourd'hui tout le monde a une opinion sur tout le monde, qu'on le veuille ou non, que vous le cherchiez ou non, que vous le travaillez ou non, les gens vont forcément avoir une opinion de vous. Et il y a un an de ça, quand j'ai moi-même voulu commencer à travailler mon personal branding, j'imaginais pas à quel point c'était compliqué de vouloir garder une sphère privée tout en partageant et tout en créant quand même un lien avec les gens. Alors bien entendu aujourd'hui, celles qui m'écoutent et qui me suivent dans Personnel Branding, vous allez davantage me connaître pour les narratives et pour les analogies et pour tous les objets du quotidien que je vais transformer de manière stratégique et c'est trop bien et c'est l'objectif de ça. Mais quand il n'y a pas ça, parce que je n'ai pas envie de faire ça tous les jours non plus, mon équilibre il est un peu perdu. Du coup je me dis tout le temps jusqu'à où et jusqu'à quel stade. Je ne sais jamais trop ce qui pourrait vous intéresser que je partage de ma sphère. Je pense que j'en partage déjà beaucoup au sein de ce podcast parce que je fais toujours en sorte d'être très transparente avec vous. Mais c'est vrai que cet équilibre-là, on n'imagine pas à quel point il est super dur à trouver. Maintenant, vous rassemblez ce point avec le fait d'avoir l'impression de devoir toujours être là et de devoir toujours répondre aux gens, plus au fait d'avoir l'impression de devoir faire toujours plus et d'avoir l'impression de ne pas avoir le droit à l'erreur. Parce que oui, c'est pas une fois, c'est les trois en même temps, enfin les quatre en même temps, voire toutes en même temps. Et émotionnellement parlant, du coup les réseaux ça devient parfois un peu compliqué à vivre quand bien même t'es obligé d'être là et t'es obligé de publier. Vous n'imaginez pas le nombre de fois, et là ces dernières semaines ça arrivait énormément de fois, où je me concentre que sur ma création de contenu et je fais le choix personnel de ne répondre absolument à personne. Je n'ouvre pas mes DM ou j'ouvre que ceux que je sais que je dois ouvrir. Vous voyez un peu ? Ça va très loin, mais parce que t'arrives à un moment où t'es un peu épuisé de... des gens, voilà. Et c'est triste à dire, mais les réseaux sociaux, de base, c'est là pour créer un lien avec les gens humains et d'avoir beaucoup de bienveillance. Et parfois, cette bienveillance-là, on peut ne pas forcément la retrouver ou on peut ne pas forcément la sentir. Et quand vos comptes grandissent et quand vous allez prendre votre place petit à petit au niveau du marché, les gens, ils ne vont pas vous louper. Mais très clairement, et là, je pèse mes veaux, les gens ne vont pas vous louper. Ils vont être déçus de vous, ils vont créer des relations avec vous, ils vont créer des liens humains avec vous et si vous faites un truc, les gens vont être déçus. Et du coup, moi j'ai tellement peur de décevoir ces gens qui font partie de la Bud First Academy, de la communauté et de tout ce qui se passe qu'on se reclut dans la coquille et on se dit bon bah tant pis c'est pas grave. Au pire des cas, je répondrai réellement quand j'ai plus du tout du tout du tout le choix et c'est ma personnalité qui fonctionne comme ça. Bien entendu, c'est pas une règle générale et j'ai pas forcément la réponse aux trois points que je vous ai évoqués. La seule chose que j'ai envie de vous dire, c'est déjà de 1, soyez bienveillants sur les réseaux parce que ce sont des humains qui s'occupent des comptes, que vous le vouliez ou non et que ça vous crée des angoisses ou j'en sais rien, mais c'est des humains derrière. Donc pesez vos mots parce que les mots ont des conséquences et faites en sorte de ne pas en attendre trop. Vous ne savez jamais ce que les gens vivent à côté, vous ne savez jamais où est-ce qu'on est la personne. Pour moi parfois, recevoir des messages sans juste demander... Bonjour, tu vas bien ? Mais vraiment, le bateau, le basique du basique, ça me choque. Voilà, je vous le dis. M'envoyer des messages juste pour m'agresser au niveau de la stratégie sans demander comment tu vas, ou juste un simple bonjour ou un simple merci, pour moi c'est quelque chose auquel en 2025 ce ne sera plus du tout accepté dans la Bud First Academy, ni même dans les DM, et ces personnes-là n'obtiendront pas de réponse. C'est pour vous dire à quel point les gens s'attendent à claquer des doigts et à avoir une réponse à tout, parce que tout leur est dû presque. Et je vous fais pas du tout cet épisode de podcast pour que vous commenciez à avoir peur ou justement pour vous dire bah attends si c'est ça la réalité bah non merci. C'est pas ça du tout et encore une fois je suis pleine de gratitude de tout ce qu'on est en train de construire ensemble dans la Bud First Academy. La seule raison de cet épisode de podcast c'est que hier littéralement j'ai essayé de me détendre et j'ai essayé de penser à autre chose qu'au travail et je n'arrêtais pas de penser au nombre de DM en retard que j'ai. C'est pour vous dire. Donc je veux vous sensibiliser aussi à ces points parce que je n'avais jamais imaginé à quel point ça pourrait prendre de la place au sein de mon quotidien. J'espère que cet épisode de podcast aura pu vous aider, vous inspirer, voire même dédramatiser un peu certaines choses que vous vivez vis-à-vis des réseaux sociaux. Vous avez le droit de sentir certaines émotions, vous avez le droit parfois d'avoir envie de jeter en l'air Instagram et les autres réseaux si vous en avez d'autres. Vous avez le droit, c'est humain et parfois c'est ok de dire qu'on n'a pas envie. Si cet épisode de podcast vous a plu, je vous invite à le noter, quelle que soit votre plateforme d'écoute, notamment sur Spotify et Apple Podcast. Ça aide énormément le podcast à se développer et vous, ça ne vous prend que littéralement deux secondes. Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter une très bonne journée ou une très bonne soirée en fonction du moment où vous écoutez cet épisode. A très vite !

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