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C-en-Vous

Emilie Lagon #15 - "Ce n'est pas parce que je peux que je dois."

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07min |16/03/2023|

46

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07min |16/03/2023|

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Description

« Ce n’est pas parce que je peux que je dois. »

 

Cette phrase qui sonne en moi comme un mantra, elle m’accompagne en permanence afin de contrecarrer mes drives Fais-plaisir et sois-parfaite. Cette phrase me rappelle qu’il est absolument nécessaire de fixer des limites au risque de m’oublier et de me sacrifier et aujourd’hui je sais que c’est une très mauvaise stratégie. 

 

Les personnes que j’accompagne qui m’évoque leur difficulté à dire non ont surtout à apprendre à se fixer des limites afin d’identifier quand une sollicitation extérieure dépasse les bornes. 

 

Dans le travail, lorsque votre boss ou collègue vous demande de gérer un dossier en plus alors que vous avez déjà de la difficulté à boucler votre dossier certains vons baragouiner un  semblant d’opposition, d’autres ne vont rien dire, et quelques exceptions vont s’opposer. Mais, très souvent, le dossier va être finalement traité. Sous quelles conditions ? En terminant tard le soir, en reprenant l’ordinateur le week-end, en ne déjeunant pas, en arrivant à 6 h le matin. En fait, parce que j’ai identifié que j’ai une possibilité d’y arriver, je vais le faire. 

 

C’est dans ma vie perso que cette phrase me sert le plus. Je sais qu’il est important pour moi de faire du sport pour me sentir équilibrée. Or, avec 4 enfants, j’ai de multiples sollicitations et pourrait renoncer à au moins 50% de mes séances de sport sans ce mantra. 

 

« Maman, tu peux me conduire au bus » ; « Maman, on peut faire un gâteau à deux » « Chéri, tu peux aller chercher le drive ? »  

 

Et si à ce moment là j’ai prévu de faire ma séance de sport, vous voyez l’émotion qui pointe son nez ? 

 

Et, oui, c’est elle, la culpabilité. 

 

Et donc, la deuxième étape c’est d’accepter l’inconfort de l’autre. Oui, quand je réponds non, l’autre peut être déçu. Mais aujourd’hui, je sais que c’est essentiel pour moi de m’accorder ces trois séances de sport par semaine. 

 

En plus, j’ai observé que je ne suis pas plus aimée et appréciée lorsque je dis non. J’ai même l’impression d’être plus respectée car je me respecte davantage. Cela ne crée pas plus de conflit car en réalité avant, je pouvais ressentir de l’amertume vis-à-vis de mon mari par exemple qui « abusait ». Et lui, n’avait pas trop de mal à dire non. 

 

Ce mantra, je vous le confie, vivez-le, ressentez-le, appliquez-le, il vous changera la vie. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

« Ce n’est pas parce que je peux que je dois. »

 

Cette phrase qui sonne en moi comme un mantra, elle m’accompagne en permanence afin de contrecarrer mes drives Fais-plaisir et sois-parfaite. Cette phrase me rappelle qu’il est absolument nécessaire de fixer des limites au risque de m’oublier et de me sacrifier et aujourd’hui je sais que c’est une très mauvaise stratégie. 

 

Les personnes que j’accompagne qui m’évoque leur difficulté à dire non ont surtout à apprendre à se fixer des limites afin d’identifier quand une sollicitation extérieure dépasse les bornes. 

 

Dans le travail, lorsque votre boss ou collègue vous demande de gérer un dossier en plus alors que vous avez déjà de la difficulté à boucler votre dossier certains vons baragouiner un  semblant d’opposition, d’autres ne vont rien dire, et quelques exceptions vont s’opposer. Mais, très souvent, le dossier va être finalement traité. Sous quelles conditions ? En terminant tard le soir, en reprenant l’ordinateur le week-end, en ne déjeunant pas, en arrivant à 6 h le matin. En fait, parce que j’ai identifié que j’ai une possibilité d’y arriver, je vais le faire. 

 

C’est dans ma vie perso que cette phrase me sert le plus. Je sais qu’il est important pour moi de faire du sport pour me sentir équilibrée. Or, avec 4 enfants, j’ai de multiples sollicitations et pourrait renoncer à au moins 50% de mes séances de sport sans ce mantra. 

 

« Maman, tu peux me conduire au bus » ; « Maman, on peut faire un gâteau à deux » « Chéri, tu peux aller chercher le drive ? »  

 

Et si à ce moment là j’ai prévu de faire ma séance de sport, vous voyez l’émotion qui pointe son nez ? 

 

Et, oui, c’est elle, la culpabilité. 

 

Et donc, la deuxième étape c’est d’accepter l’inconfort de l’autre. Oui, quand je réponds non, l’autre peut être déçu. Mais aujourd’hui, je sais que c’est essentiel pour moi de m’accorder ces trois séances de sport par semaine. 

 

En plus, j’ai observé que je ne suis pas plus aimée et appréciée lorsque je dis non. J’ai même l’impression d’être plus respectée car je me respecte davantage. Cela ne crée pas plus de conflit car en réalité avant, je pouvais ressentir de l’amertume vis-à-vis de mon mari par exemple qui « abusait ». Et lui, n’avait pas trop de mal à dire non. 

 

Ce mantra, je vous le confie, vivez-le, ressentez-le, appliquez-le, il vous changera la vie. 


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« Ce n’est pas parce que je peux que je dois. »

 

Cette phrase qui sonne en moi comme un mantra, elle m’accompagne en permanence afin de contrecarrer mes drives Fais-plaisir et sois-parfaite. Cette phrase me rappelle qu’il est absolument nécessaire de fixer des limites au risque de m’oublier et de me sacrifier et aujourd’hui je sais que c’est une très mauvaise stratégie. 

 

Les personnes que j’accompagne qui m’évoque leur difficulté à dire non ont surtout à apprendre à se fixer des limites afin d’identifier quand une sollicitation extérieure dépasse les bornes. 

 

Dans le travail, lorsque votre boss ou collègue vous demande de gérer un dossier en plus alors que vous avez déjà de la difficulté à boucler votre dossier certains vons baragouiner un  semblant d’opposition, d’autres ne vont rien dire, et quelques exceptions vont s’opposer. Mais, très souvent, le dossier va être finalement traité. Sous quelles conditions ? En terminant tard le soir, en reprenant l’ordinateur le week-end, en ne déjeunant pas, en arrivant à 6 h le matin. En fait, parce que j’ai identifié que j’ai une possibilité d’y arriver, je vais le faire. 

 

C’est dans ma vie perso que cette phrase me sert le plus. Je sais qu’il est important pour moi de faire du sport pour me sentir équilibrée. Or, avec 4 enfants, j’ai de multiples sollicitations et pourrait renoncer à au moins 50% de mes séances de sport sans ce mantra. 

 

« Maman, tu peux me conduire au bus » ; « Maman, on peut faire un gâteau à deux » « Chéri, tu peux aller chercher le drive ? »  

 

Et si à ce moment là j’ai prévu de faire ma séance de sport, vous voyez l’émotion qui pointe son nez ? 

 

Et, oui, c’est elle, la culpabilité. 

 

Et donc, la deuxième étape c’est d’accepter l’inconfort de l’autre. Oui, quand je réponds non, l’autre peut être déçu. Mais aujourd’hui, je sais que c’est essentiel pour moi de m’accorder ces trois séances de sport par semaine. 

 

En plus, j’ai observé que je ne suis pas plus aimée et appréciée lorsque je dis non. J’ai même l’impression d’être plus respectée car je me respecte davantage. Cela ne crée pas plus de conflit car en réalité avant, je pouvais ressentir de l’amertume vis-à-vis de mon mari par exemple qui « abusait ». Et lui, n’avait pas trop de mal à dire non. 

 

Ce mantra, je vous le confie, vivez-le, ressentez-le, appliquez-le, il vous changera la vie. 


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« Ce n’est pas parce que je peux que je dois. »

 

Cette phrase qui sonne en moi comme un mantra, elle m’accompagne en permanence afin de contrecarrer mes drives Fais-plaisir et sois-parfaite. Cette phrase me rappelle qu’il est absolument nécessaire de fixer des limites au risque de m’oublier et de me sacrifier et aujourd’hui je sais que c’est une très mauvaise stratégie. 

 

Les personnes que j’accompagne qui m’évoque leur difficulté à dire non ont surtout à apprendre à se fixer des limites afin d’identifier quand une sollicitation extérieure dépasse les bornes. 

 

Dans le travail, lorsque votre boss ou collègue vous demande de gérer un dossier en plus alors que vous avez déjà de la difficulté à boucler votre dossier certains vons baragouiner un  semblant d’opposition, d’autres ne vont rien dire, et quelques exceptions vont s’opposer. Mais, très souvent, le dossier va être finalement traité. Sous quelles conditions ? En terminant tard le soir, en reprenant l’ordinateur le week-end, en ne déjeunant pas, en arrivant à 6 h le matin. En fait, parce que j’ai identifié que j’ai une possibilité d’y arriver, je vais le faire. 

 

C’est dans ma vie perso que cette phrase me sert le plus. Je sais qu’il est important pour moi de faire du sport pour me sentir équilibrée. Or, avec 4 enfants, j’ai de multiples sollicitations et pourrait renoncer à au moins 50% de mes séances de sport sans ce mantra. 

 

« Maman, tu peux me conduire au bus » ; « Maman, on peut faire un gâteau à deux » « Chéri, tu peux aller chercher le drive ? »  

 

Et si à ce moment là j’ai prévu de faire ma séance de sport, vous voyez l’émotion qui pointe son nez ? 

 

Et, oui, c’est elle, la culpabilité. 

 

Et donc, la deuxième étape c’est d’accepter l’inconfort de l’autre. Oui, quand je réponds non, l’autre peut être déçu. Mais aujourd’hui, je sais que c’est essentiel pour moi de m’accorder ces trois séances de sport par semaine. 

 

En plus, j’ai observé que je ne suis pas plus aimée et appréciée lorsque je dis non. J’ai même l’impression d’être plus respectée car je me respecte davantage. Cela ne crée pas plus de conflit car en réalité avant, je pouvais ressentir de l’amertume vis-à-vis de mon mari par exemple qui « abusait ». Et lui, n’avait pas trop de mal à dire non. 

 

Ce mantra, je vous le confie, vivez-le, ressentez-le, appliquez-le, il vous changera la vie. 


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