Speaker #0Bonjour les gens, j'espère que vous allez bien, bienvenue pour un nouvel épisode. Aujourd'hui, je vais parler de faire du stop parce que j'en ai fait la semaine dernière et ça m'a beaucoup inspirée à vous en parler et à vous partager mon expérience malgré le fait qu'en vrai j'en ai peu fait dans ma vie. Pour autant, c'est une forme de voyage que j'apprécie particulièrement pour les raisons que je vais un petit peu énumérer dans cet épisode-là. Donc c'est autant pour les personnes qui sont un peu curieuses du stop, pour les personnes comme moi qui en ont peu fait, que pour les personnes qui ont déjà plus d'expérience et qui ont peut-être l'habitude de voyager en stop à droite à gauche. Donc du coup la semaine dernière j'ai fait l'île Paris pour aller voir une pièce de théâtre que je vais vous conseiller aujourd'hui qui s'appelle Camembert, le couronnement de nous indisciplinés, qui est une troupe de théâtre lilloise. Et j'ai été voir du coup cette pièce de théâtre et ça m'a beaucoup inspirée en vrai à reprendre peut-être le... de théâtre, ou en tout cas à songer à reprendre le théâtre, parce que c'était une pièce de théâtre qui cassait vachement avec les codes hyper institutionnels, académiques, formels, du théâtre classique qu'on peut connaître, et moi c'est celui que j'ai beaucoup pratiqué quand j'étais au lycée, et c'est vrai qu'aujourd'hui ça me parle beaucoup moins que le théâtre que j'ai vu. En plus de ça, il y avait un mélange de plusieurs formes d'art différentes et d'expressions créatives aussi, il y avait autant du théâtre, évidemment, mais de la danse, du chant, du drag, et le fait de mêler autant d'art et que ce soit pluridisciplinaire, c'est super inspirant aussi et ça crée une forme de diversité qu'on ne retrouve pas forcément beaucoup dans le théâtre, je trouve. En tout cas, le théâtre classique, je parle. Il y avait aussi beaucoup d'humour et de satire puisque ça se moque. C'est une pièce de théâtre qui se moque de l'extrême droite. Donc, quoi de mieux que de rire sur l'extrême droite ? Et franchement, je vous conseille d'aller le voir les yeux fermés. C'est tellement une pièce de théâtre qui m'a fait rire. Je n'ai jamais autant ri devant une pièce de théâtre. Et je vous en parle aussi parce que Yael repasse et joue à l'Univer qui est un cinéma lilois le mercredi 18 juin. J'ai un doute sur l'horaire donc je vous invite à aller regarder sur leur page Instagram ou sur le site du réseautage. Il me semble que c'est à prix libre mais je veux pas dire de bêtises donc je vous invite vraiment à aller regarder si jamais ça vous intéresse. Je mettrai toutes les infos, en tout cas les infos que je sais, en description. Maintenant pour parler du stop, comme je l'ai dit j'ai eu peu d'expérience de stop parce que j'en ai peu fait dans ma vie et en vrai je connais pas peu de gens autour de moi qui en font, à part depuis récemment. Quand j'ai voyagé principalement, c'était surtout en car, parce que c'était la façon la plus accessible de pouvoir voyager en Europe. Voilà, donc je me suis tapée des 15, des 20 heures des fois. C'était très très long, mais au moins c'était moins cher que le train. Donc ouais, j'ai beaucoup voyagé en car. Et je vous raconte pas le nombre de techniques que j'ai développées pour ne pas avoir mal aux fesses, parce que j'ai des crampes aux fesses au bout de deux heures, et c'est horrible en vrai. Et même des crampes au niveau des ovaires, et ça c'est ... Ça fait tellement mal. Je sais pas si vous aussi ça vous fait ça quand vous êtes trop longtemps dans une position, notamment la position assise typique. Ça vous fait mal genre, mais un mal où vous pouvez même plus genre rester assis quoi. Moi ce que je fais en général quand je pouvais pas être assise, je me donnais des coups de poing au ventre. On est vraiment rendu à ce stade là, oui. Ou alors j'ai trouvé des techniques, c'est de m'asseoir dans des sièges où il y a personne. Du coup je peux m'allonger et me donner un peu de répit et réussir à m'endormir. Voilà, mais j'ai développé plein de techniques après mes nombreux trajets en flexbus ou en blabla car. Mais tout ça pour dire que du coup j'ai peu voyagé en stop. Et c'est vrai que quand j'ai fait mon année de césure et que j'ai fait mes voyages à l'étranger ou même en France, en vrai j'y pensais même pas tant que ça, ça me traversait pas l'esprit. Parce que faire seul, j'avoue, ça me faisait un peu peur et j'osais pas du tout. Enfin, je trouve qu'il y a beaucoup ce climat de suspicion, tu vois, de méfiance de manière générale. Et puis ce que j'ai remarqué, même si j'adore le fait d'être dans ma bulle, de pouvoir viber, écouter de la musique, être un peu nostalgique de chaque lieu que j'ai pu faire, on est quand même beaucoup tourné vers soi-même et on est hyper individualiste. Donc ça c'est dans les transports mais dans la société actuelle dans laquelle on vit de manière générale aussi. Et ça c'est un truc qui est tellement dommage et que je trouve que le stop permet de briser un peu la glace par rapport à ça parce que très spontanément t'es un peu obligé de créer du lien tu vois. Rien que pour... que des voitures s'arrêtent, si tu fais la tronche, il n'y a personne qui va s'arrêter, tu vois. À part si vraiment on a très très pitié de toi. Déjà avec des grands sourires, on sautillait presque, tu vois, on avait des petites pancartes, on était trop mimi, on faisait des petits cœurs et tout, il n'y a personne qui s'arrêtait au début. Tu fais la tronche, c'est sûr qu'il n'y a personne qui va s'arrêter, quoi. Si tu fais une tête d'enterrement, c'est mort. C'est vraiment le premier truc qui me marque vraiment avec le stop, c'est la façon dont on a de sociabiliser, dont on a de créer du lien avec les gens. qui est pour moi quand même assez unique, qui permet de dépasser notre côté super individualiste, que la société est de manière générale. Donc c'est trop chouette parce que là, tu parles avec plein de gens, tu ouvres avec plein de gens, et puis il y a beaucoup de gens qui nous ont partagé des choses assez personnelles des fois. Et c'est hyper, je ne sais pas, j'étais grave reconnaissant de me dire que même si on ne se connaissait pas... Du tout. Et que dans une heure, on n'allait plus se revoir. Et peut-être qu'on n'allait jamais se recroiser de notre vie. Je ne sais pas. On se partage un petit bout de notre vie, de notre histoire. Et c'est hyper fort, en fait. En plus, avec ma pote, on me posait plein de questions et tout. Donc, on est tombé sur plein de gens différents. C'était que des bougues à chaque fois. Mais le premier, c'était un prof d'histoire. Et on a parlé très vite de queerness parce qu'il était gay. Donc, c'était quand même cool de pouvoir en parler assez naturellement. Ensuite, c'était un... Un mec qui sortait de son taf, il était genre 10h et en fait il travaillait en boulangerie. Ensuite on a parlé avec lui, c'était un peu chelou au début. Il nous parle de Freud en mode ouais il est fan, il a une bibliothèque entière de Freud. Puis après il nous dit qu'il est un peu anard, enfin bref c'était un peu chelou. Mais voilà, puis après on est tombé sur un daron qui avait genre 10 gosses et là il allait chercher deux enfants à lui pour ensuite faire l'aide à Lille. Donc il faisait l'aller-retour pour aller les chercher. Et ensuite, on a fini par être avec un mec qui travaille au Moulin Rouge et qui fait le trajet tous les jours, qui travaille là depuis 20 ans. Enfin bref, hyper drôle. C'est que des parcours et des trajectoires qui sont tellement différentes. Et c'est ça aussi qui est assez inspirant, c'est qu'on s'ouvre à l'autre et je trouve qu'on est moins dans une forme de jugement qui est parfois pas forcément fondé, tu vois. Et moi-même, je suis promis à juger sans connaître vraiment, tu vois. Et là, je sais pas, on était plus dans l'ouverture de l'autre, plus dans une forme de vraie curiosité. Bon après je vais pas vous mentir, c'est un peu fatigant de sociabiliser genre tout le temps, juste de parler tout le temps avec quelqu'un. Mais heureusement qu'on était deux. C'est pour ça que seul j'angoisse un petit peu plus en termes juste d'anxiété sociale. Pas tant du fait que j'ai peur des gens, pas du tout même. Mais c'est plus genre devoir sociabiliser parce qu'il faut quand même parler aux gens pendant des fois des longues durées. Et moi j'ai une matrice sociale qui peut être un petit peu faible des fois. Donc c'est quand même cool de faire ça à plusieurs et puis c'est plus fun aussi je trouve. Donc en tout on a été pris par cinq voitures différentes. et le trajet il a duré, on a chronométré attention, 6 minutes, non 6 minutes n'importe quoi, 6h03 wouhou ! En vrai on a beaucoup attendu dans des aires d'autoroutes, dans des endroits super random enfin on s'est retrouvé au milieu d'un rond-point entre deux autoroutes et c'est ça aussi que j'aime beaucoup avec le stop, au-delà de rencontrer du monde et de s'ouvrir et de briser un peu la glace de l'individualisme c'est aussi parce que t'es moins dans cette forme de planification du temps de l'espace, de tout en fait ... Et t'es plus à te laisser aller à la rencontre, plus te laisser aller avec la trajectoire des différents chemins que tu croises. Waouh, c'est trop poétique, j'adore. Mais c'est vrai que finalement, moi j'aime bien parce que j'ai lâché beaucoup plus prise de tes mots dans ce truc de vouloir tout prévoir, tu vois. Et en fait, c'est chiant de faire ça. Moi, je l'ai beaucoup fait pendant mon année de césure parce que j'ai aussi besoin de repères. Et ça me rassurait, je pense, parce que c'était quand même mon premier voyage assez jeune, parce que j'avais 18 ans. J'ai sorti du bac, j'avais pas beaucoup voyagé seule dans ma vie, même si j'étais super indépendante déjà, j'avais pas trop eu d'expérience avant. Et mes parents sont quand même, surtout ma mère est très maman poule, donc elle faisait beaucoup de choses pour moi, ce qui fait que j'ai pris du temps avant d'être... Enfin je pense que j'étais déjà très indépendante, mais j'étais pas très autonome, ce qui est deux choses différentes. Bref, tout ça pour dire que mes deux premiers voyages solo, j'ai tout prévu de A à Z. je connaissais mon itinéraire, je savais combien de temps j'allais rester dans les lieux de woofing, je savais... quand est-ce que j'allais repartir, je savais quel trajet j'allais faire, tout ça c'était prévu de A à Z. Et en vrai c'est rassurant pour les premiers voyages qu'on peut faire si on préfère le faire et pas stresser et angoisser à mort. Mais c'est vrai qu'aujourd'hui c'est pas trop un truc qui me parle parce que je trouve que c'est aussi beau quand t'arrives dans le lieu, si t'as un lieu d'ailleurs, parce que parfois il n'y a pas de lieu d'arrivée, de destinée. Le lieu d'arrivée est aussi beau que le trajet, voire le trajet est plus beau. Parce que justement, tu ne sais pas trop sur qui tu vas tomber, ça te laisse l'imprévu. Et moi, j'aime bien ça, l'imprévu. C'est plus divertissant et surtout, tu ne prévois pas. Donc ça demande beaucoup d'organisation aussi, donc ça c'est pratique. Mais c'est vrai que c'est trop chouette et je trouve que ça, c'est très propre à notre société occidentale, nos sociétés européennes occidentales, de tout prévoir. Le temps est situé socialement et riche de symboliques parce qu'on vit dans un temps qui est très monochronique. C'est-à-dire qu'on a des heures qui sont fixes, on doit arriver pour le travail, même pour les transports. Tout est très ponctuel, alors que dans d'autres sociétés, ce n'est pas du tout la façon de concevoir le temps, mais au-delà du temps aussi, de vivre le quotidien, de concevoir les choses. Mais dans d'autres sociétés, c'est un temps qui est polychronique. C'est-à-dire que ce qui va primer, c'est d'abord les rencontres humaines, les liens humains, et après Voilà, les horaires. Et la notion d'horaire n'est même pas dans le vocabulaire. Je crois qu'il y a beaucoup moins de termes qui sont liés au temps. Et ça, ça en dit déjà aussi long. Mais du coup, on est beaucoup moins matrixé par le temps, le fait d'être à l'heure, le fait de tout faire dans un temps imparti. Mais ça, c'est très propre de toute façon à nos sociétés de consommation, capitalistes, etc. Mais ouais, c'est vrai que ça questionne aussi sur comment on considère les choses, comment on a envie de vivre. Et honnêtement... C'est tellement stressant, le fait de devoir être tout le temps à l'heure, le fait de devoir tout le monde être organisé. En vrai, c'est trop chiant, genre. On le fait parce que c'est les institutions qui sont comme ça aussi, mais ce que je disais pour le temps polychronique, c'est que ce qui va primer, c'est d'abord le fait de se rencontrer, de sociabiliser, plutôt que d'avoir des horaires fixes, des horaires de transport. Ça peut être perturbant pour quelqu'un qui n'a pas grandi dans ces sociétés-là. Par exemple, rien que de prendre... Les transports, ça peut être considéré comme une heure et demie de retard, mais en fait pour les gens qui sont habitués à ça, c'est pas du tout du retard, c'est juste qu'on se met pas de pression par rapport à ça, et c'est beaucoup plus chill, et on prend plus le temps j'ai l'impression. Et ça c'est quelque chose qui moi m'a beaucoup manqué ces derniers temps, c'est de prendre plus le temps, voilà, c'est fuck le capitalisme, mais c'est chiant. Et du coup c'est vrai que moi ça m'a permis de reconsidérer tellement ma façon de voir les choses, et de voyager déjà, mais aussi vivre au quotidien en fait. Qu'est-ce que j'ai envie de valoriser en fait, qu'est-ce que j'ai envie de mettre en priorité. Et le fait de prendre le temps, le fait d'apprécier les échanges qu'on peut avoir avec les gens, et puis au-delà des rencontres humaines, et du fait de prendre plus le temps de savourer le trajet que tu vas faire, c'est aussi pas cher. Du coup, c'est gratuit, puisque tu fais du stop. Donc c'est super abordable pour aller un petit peu partout en France. Et donc là, j'ai fait que du stop avec des gens. Mais j'aimerais beaucoup en faire seul, parce que je pense que ce sera un bon challenge pour moi. De dépasser mon anxiété sociale, de ne pas attendre les gens pour le faire tout simplement. Et aussi de pouvoir plus me débrouiller parce que je ne suis pas si débrouillard que ça, j'ai l'impression. Ça dépend sur quoi je suis très indépendante, mais je ne suis pas si débrouillard et autonome que j'aimerais l'être. Donc je me dis que partir comme ça, un peu sur un coup de tête quand j'en ai envie, ça me pourrait permettre de vraiment me débrouiller plus par moi-même et plus trouver de solutions. Donc là, j'aimerais bien faire du stop prochainement pour aller jusqu'à Berlin. Donc peut-être que je le ferai un petit peu avec d'autres gens, peut-être que je le ferai un petit peu seule. Je sais pas encore, mais comme j'ai trop envie d'aller à Berlin, ça pourrait être trop chouette et juste de bouger en fait. J'ai trop envie de bouger, même en France, faire du stop un peu partout. Ce serait trop top, mais voilà, ce serait un bon exercice pour moi aussi pour apprendre à plus me débrouiller seule et puis apprendre aussi à dépasser mon anxiété sociale. Voilà, voilà. Je crois que c'est à peu près tout ce que j'avais à dire par rapport au stop. Il y a rien qui me vient en tête en plus. Ah si, je voulais juste terminer par, c'est vrai que moi j'avais quand même peur, en vrai j'ai toujours un petit peu peur, tu vois, quelque part, où j'appréhende, je dirais pas peur, avoir peur c'est quand même très fort, mais je dirais que j'appréhende le fait d'en faire seule, parce que c'est vrai qu'on grandit quand même, on nous fait comprendre qu'on est dans un climat de suspicion, qu'il faut se méfier des autres, etc., des inconnus, mais en fait c'est tellement parfois pas fondé du tout, genre, que vu que tout le monde se méfie, finalement il n'y a plus personne qui s'ouvre, et ça c'est trop dommage. alors que bah je sais pas il y a plein de rencontres à faire il y a plein de gens à rencontrer et c'est trop chouette et puis aussi ce qui est cool c'est que évidemment que quand tu fais du stop faut quand même enfin on est pas dans le pays des bisounours donc il y a quand même un juste milieu à trouver et plus faire confiance à son intuition je pense que ça c'est un point fort qui a développé mais genre si par exemple il y a un boug qui s'arrête tu fais du stop et il y a un boug qui s'arrête et tu le sens pas bah tu dis pas oui et tu vas pas dans sa voiture même si une personne s'arrête et que ça fait un petit temps que t'attends Si vraiment tu ne te sens pas, tu n'y vas pas. Surtout si tu es seule. Je pense que si tu es seule, il faut vraiment quand même plus s'écouter et se faire confiance par rapport à ça. Ensuite, pour terminer, je dirais que l'une aussi des raisons pour lesquelles j'ai envie de faire de plus de stops, c'est parce que ça va m'apprendre à moins prendre de choses quand je voyage. Parce que quand j'ai fait mes deux voyages à l'étranger, j'avais une petite valise, mais ce n'est pas pratique du tout. Une fois, je m'étais retrouvée, c'était mon retour du Royaume-Uni, et en fait j'avais ma grosse valise, j'étais en retard pour prendre le dernier train que j'avais à prendre. Donc c'était à Paris, je suis retournée à Nantes. Et en fait, j'étais super en retard parce que le Roster avait eu du retard. Donc j'avais dû courir toute la gare en Parnasse, ce qu'il y a 10 minutes d'escalier. C'est insupportable et du coup, j'avais dû tout porter. C'était extrêmement lourd. Vraiment, j'ai fait un gros sprint à la fin, sinon je n'allais pas l'avoir et je suis arrivée à temps. Et vraiment, une minute après, il est parti. Mais je me dis, c'est vraiment pas pratique d'avoir une valise. je sais pas de la traîner partout c'est tellement mieux d'avoir un sac à dos Donc ça m'apprend aussi à être beaucoup plus minimaliste dans ce que j'emporte parce que j'ai tendance à prendre des trucs qui ne servent pas à grand chose quand je voyage. Comme je me dis ah mais ça va j'ai de la place machin machin. Mais du coup faire du stop c'est aussi bah tu peux pas avec ta valise quoi. Enfin tu viens pas avec ta valise c'est pas du tout pratique. Donc déjà il me faut un sac à dos de randonnée ce serait un bon investissement. Voilà voilà donc en tout cas c'était un petit peu tout ce que j'avais à partager. J'espère que ça vous aura plu. Merci de m'avoir écouté. Je dis pas assez merci à la fin de mes épisodes mais en vrai merci de m'avoir écouté. merci de suivre le podcast si jamais vous suivez plus attentivement N'hésitez pas à vous abonner et à mettre 5 étoiles au podcast pour me donner de la force. Et puis je vous dis un prochain épisode. Bisous !