Dans ce 4e épisode des Carnets de bord du Media Trainer, je m’intéresse au cas des footballeurs.
Entre 2018 et 2020, j’ai mené des sessions de media training à l’OL Academy aux côtés d’Anaïs Coq 👋🏻, auprès de jeunes en formation qui, à 16 ou 17 ans, s’apprêtent – pour certains – à plonger dans le grand bain du professionnalisme.
🔎 On adore juger les footballeurs pour leur manière de parler…
🧠 On se moque souvent de leur communication, mais rarement on s’interroge sur ce qui les aide – ou les empêche – à prendre la parole avec justesse dans un monde qui les observe sans indulgence.
🎯 Plutôt que de railler leurs maladresses, j’ai voulu comprendre ce qui construit – ou freine – leur capacité à s’exprimer dans un environnement social dont ils ne maîtrisent pas toujours les codes.
🗣️ La question n’est pas “Pourquoi parlent-ils mal ?”, mais “À quelles conditions peuvent-ils apprendre à parler juste, sans se renier ?”
🔍 Derrière chaque cliché sur les footballeurs qui “ne savent pas parler”, il y a une question bien plus intéressante : comment développe-t-on une parole publique quand on grandit dans un monde qui ne nous a pas préparés à ça ?
Dans cet épisode, je reviens sur :
• les stéréotypes qui collent à la peau des footballeurs,
• le contraste cruel avec la fraîcheur des athlètes olympiques de l’été dernier,
• la nécessité de préparer les jeunes à la pression médiatique, avant qu’elle ne les écrase,
• et les pistes pour les aider à développer une parole juste, incarnée, adaptée… sans devenir des caricatures de Monsieur Jourdain.
💬 Car non, les footballeurs ne sont pas “nuls en communication” par nature. Ils sont simplement rarement accompagnés pour adapter leur posture à un environnement qui les juge… souvent sans les comprendre.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.