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Caroline Goldman - docteur en psychologie de l'enfant

Critique de l'éducation positive

Critique de l'éducation positive

31min |23/03/2022
Play
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Caroline Goldman - docteur en psychologie de l'enfant

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Description

Je suis très heureuse d’avoir ici l’occasion de remercier la revue « Carnet psy », que tous mes "maîtres à penser" ont faite vivre ; qui continue à donner toute sa place à la clinique psychanalytique malgré les pressions contemporaines ; et avec laquelle je suis aujourd’hui honorée de collaborer. Tous les épisodes de ce podcast seront publiés dans leurs prochains numéros. Vous pourrez donc les y retrouver dans leur version écrite.



Caroline Goldman, psychologue pour enfants et adolescents, élabore ici une critique de l'éducation bienveillante et positive en 5 points :


1. La confusion entre le besoin d'amour et le besoin de limites

2. Le déni de l'agressivité

3. La négation de la différence des générations

4. Les limites de l'application concrète de cette idéologie

5. L'instrumentalisation culpabilisante de données neuroscientifiques


"La parentalité positive fait semblant de croire que la haine et l'ambivalence (mélange d'amour et de hargne) n'existent pas."


"Les émotions négatives comme la colère, la frustration ou la peur ont leur rôle à jouer. Il n'y a rien de malveillant dans le conflit. Les parents doivent reprendre confiance en eux en ayant à l'esprit qu'un enfant qui est aimé le sait rofondément. Il ne confond jamais un parent maltraitant avec un parent de mauvaise humeur."


"Il ne s'agit pas de soumettre l'enfant à l'adulte mais de l'initier à la loi, c'est une nécessité."


"L'éducation bienveillante est un marché basé sur l'instrumentalisation culpabilisante et grossière de données neuroscientifiques. La culpabilisation est le moteur de ce business."


"L'éducation positive présente une vision édulcorée de la vie à des fins marketing. La culpabilité des parents est un marché. On joue sur un sentiment qui ne demande qu'à être réveillé pour vendre des livres et des stages de parentalité."


Bonne écoute !


Enregistrement et montage : www.mamelieclement.com




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Je suis très heureuse d’avoir ici l’occasion de remercier la revue « Carnet psy », que tous mes "maîtres à penser" ont faite vivre ; qui continue à donner toute sa place à la clinique psychanalytique malgré les pressions contemporaines ; et avec laquelle je suis aujourd’hui honorée de collaborer. Tous les épisodes de ce podcast seront publiés dans leurs prochains numéros. Vous pourrez donc les y retrouver dans leur version écrite.



Caroline Goldman, psychologue pour enfants et adolescents, élabore ici une critique de l'éducation bienveillante et positive en 5 points :


1. La confusion entre le besoin d'amour et le besoin de limites

2. Le déni de l'agressivité

3. La négation de la différence des générations

4. Les limites de l'application concrète de cette idéologie

5. L'instrumentalisation culpabilisante de données neuroscientifiques


"La parentalité positive fait semblant de croire que la haine et l'ambivalence (mélange d'amour et de hargne) n'existent pas."


"Les émotions négatives comme la colère, la frustration ou la peur ont leur rôle à jouer. Il n'y a rien de malveillant dans le conflit. Les parents doivent reprendre confiance en eux en ayant à l'esprit qu'un enfant qui est aimé le sait rofondément. Il ne confond jamais un parent maltraitant avec un parent de mauvaise humeur."


"Il ne s'agit pas de soumettre l'enfant à l'adulte mais de l'initier à la loi, c'est une nécessité."


"L'éducation bienveillante est un marché basé sur l'instrumentalisation culpabilisante et grossière de données neuroscientifiques. La culpabilisation est le moteur de ce business."


"L'éducation positive présente une vision édulcorée de la vie à des fins marketing. La culpabilité des parents est un marché. On joue sur un sentiment qui ne demande qu'à être réveillé pour vendre des livres et des stages de parentalité."


Bonne écoute !


Enregistrement et montage : www.mamelieclement.com




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Je suis très heureuse d’avoir ici l’occasion de remercier la revue « Carnet psy », que tous mes "maîtres à penser" ont faite vivre ; qui continue à donner toute sa place à la clinique psychanalytique malgré les pressions contemporaines ; et avec laquelle je suis aujourd’hui honorée de collaborer. Tous les épisodes de ce podcast seront publiés dans leurs prochains numéros. Vous pourrez donc les y retrouver dans leur version écrite.



Caroline Goldman, psychologue pour enfants et adolescents, élabore ici une critique de l'éducation bienveillante et positive en 5 points :


1. La confusion entre le besoin d'amour et le besoin de limites

2. Le déni de l'agressivité

3. La négation de la différence des générations

4. Les limites de l'application concrète de cette idéologie

5. L'instrumentalisation culpabilisante de données neuroscientifiques


"La parentalité positive fait semblant de croire que la haine et l'ambivalence (mélange d'amour et de hargne) n'existent pas."


"Les émotions négatives comme la colère, la frustration ou la peur ont leur rôle à jouer. Il n'y a rien de malveillant dans le conflit. Les parents doivent reprendre confiance en eux en ayant à l'esprit qu'un enfant qui est aimé le sait rofondément. Il ne confond jamais un parent maltraitant avec un parent de mauvaise humeur."


"Il ne s'agit pas de soumettre l'enfant à l'adulte mais de l'initier à la loi, c'est une nécessité."


"L'éducation bienveillante est un marché basé sur l'instrumentalisation culpabilisante et grossière de données neuroscientifiques. La culpabilisation est le moteur de ce business."


"L'éducation positive présente une vision édulcorée de la vie à des fins marketing. La culpabilité des parents est un marché. On joue sur un sentiment qui ne demande qu'à être réveillé pour vendre des livres et des stages de parentalité."


Bonne écoute !


Enregistrement et montage : www.mamelieclement.com




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Je suis très heureuse d’avoir ici l’occasion de remercier la revue « Carnet psy », que tous mes "maîtres à penser" ont faite vivre ; qui continue à donner toute sa place à la clinique psychanalytique malgré les pressions contemporaines ; et avec laquelle je suis aujourd’hui honorée de collaborer. Tous les épisodes de ce podcast seront publiés dans leurs prochains numéros. Vous pourrez donc les y retrouver dans leur version écrite.



Caroline Goldman, psychologue pour enfants et adolescents, élabore ici une critique de l'éducation bienveillante et positive en 5 points :


1. La confusion entre le besoin d'amour et le besoin de limites

2. Le déni de l'agressivité

3. La négation de la différence des générations

4. Les limites de l'application concrète de cette idéologie

5. L'instrumentalisation culpabilisante de données neuroscientifiques


"La parentalité positive fait semblant de croire que la haine et l'ambivalence (mélange d'amour et de hargne) n'existent pas."


"Les émotions négatives comme la colère, la frustration ou la peur ont leur rôle à jouer. Il n'y a rien de malveillant dans le conflit. Les parents doivent reprendre confiance en eux en ayant à l'esprit qu'un enfant qui est aimé le sait rofondément. Il ne confond jamais un parent maltraitant avec un parent de mauvaise humeur."


"Il ne s'agit pas de soumettre l'enfant à l'adulte mais de l'initier à la loi, c'est une nécessité."


"L'éducation bienveillante est un marché basé sur l'instrumentalisation culpabilisante et grossière de données neuroscientifiques. La culpabilisation est le moteur de ce business."


"L'éducation positive présente une vision édulcorée de la vie à des fins marketing. La culpabilité des parents est un marché. On joue sur un sentiment qui ne demande qu'à être réveillé pour vendre des livres et des stages de parentalité."


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