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Ceux qui nous lient

CAPSULE 1 LES MOTS DE PAULIN LEURIDAN

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04min |06/04/2020
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Description

https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/soutenez-la-boulangerie-pain-paulin/tabs/backers

Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme qui voulait devenir boulanger et qui fera 2 rencontres déterminantes durant ses dix années d’intentions, de pensées, de recherches, d’apprentissage, d’économies. La première avec Benoit Fradette, dit le Farinoman fou, permettra l’initiation d’un néophyte. La deuxième avec Thomas Chambelland, à l’École Internationale de Boulangerie, l’aidera à poser définitivement les bases d’une boulangerie différente, naturelle, bio, au levain.

Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme qui fantasmait l’idée d’ouvrir un petit atelier de pains d’auteurs au bord de l’eau, au Cap Ferret, sur la Presqu’ile du Bonheur, ceinturée par le Bassin et l’Océan, au fond d’une impasse bordée de forêt. Il se fera finalement happer par les vagues, essayant de ne pas trop boire la tasse pour éviter de se noyer durant les premiers 18 mois. A force de journées interminables, la deuxième année l’entreprise fut hors d’eau sur le papier, et des banquiers acceptèrent de le suivre sur un projet bordelais afin de pérenniser et stabiliser l’activité mensuelle.

Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme dont le rêve s’est transformé à l’ouverture en cauchemar et qui s’est retrouvé enfermé dans l’urgence du quotidien, bien loin de ces idées de départ : la recherche, le plaisir, la recherche du plaisir. La réalité lui imposa de travailler loin de ses terres et d’y ouvrir un vaisseau amiral pour approvisionner son petit atelier du Ferret qui ne sera jamais à l’équilibre 10 mois de l’année. Pain Paulin a vu le jour sur le Bassin et il y restera, par fidélité et par loyauté envers son petit cercle de supporters.

Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme mais surtout d’un ensemble d’individus qui fait vivre ce laboratoire. Vous ne mangez pas que le pain de Paulin ; c’est aussi celui de Guillaume, Manuel, Morgan, Farid, Clément, Matthieu, ainsi que de Sylvie, Louise, Lucie, Isabelle, Xavier, Jean-Yves de l’équipe de vente, ou encore de Stéphane, le meunier. Aucune prétention, aucune révolution. En revanche, beaucoup d’intentions : offrir des pains aux arômes différents, aux saveurs étonnantes, surprendre, éveiller des curiosités, des sensibilités. À quoi bon reproduire ce qui existe déjà ? La singularité dans la vie de chacun est primordiale. Demeurez chaque jour meilleursqu’hier.

Pain Paulin, c’est l’histoire de femmes et d’hommes qui ouvrirent en ville le lundi 16 mars 2020, au moment où s’arrêta la France entière. Le matin, l’effectif doublait. Impossible d’entreprendre avec la crainte ou le doute, il fallait être solidaire, optimiste dans l’avenir. Mais les citoyens se sont détournés du pain et les co-pains faisaient entre -20% et -80% de ventes. Terrible constat. Que mangeaient-ils? Que faisaient-ils de ce beau symbole, le pain que l’on partage, qui nous accompagne au quotidien ? Comment tenir financièrement pour continuer à offrir ce service à la population ? Accepter de perdre entre 400 et 500€ par jour de trésorerie au lieu d’être auprès des siens et espérer que le confinement finisse avant que nous mourrions.

Pain Paulin, c’est l’histoire de 3 femmes et 8 hommes qui remplissent leur mission chaque jour, au détriment de leur santé et par fierté alors qu’ils auraient eu le droit de se retirer. Pain Paulin, c’est l’histoire d’une entreprise qui a choisi de rester ouverte pour réaliser sa mission, offrir du pain à la population et lutter contre l’épidémie en luttant contre la faim, persuadé que la situation serait bien pire avec le manque de nourriture.

Pain Paulin, c’est l’histoire de personnes impliquées comme tant d’autres et qui peut-être ne survivront pas à cette crise, et c’est l’histoire d’un homme imparfait qui est obligé de faire appel aux cito...

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Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme qui voulait devenir boulanger et qui fera 2 rencontres déterminantes durant ses dix années d’intentions, de pensées, de recherches, d’apprentissage, d’économies. La première avec Benoit Fradette, dit le Farinoman fou, permettra l’initiation d’un néophyte. La deuxième avec Thomas Chambelland, à l’École Internationale de Boulangerie, l’aidera à poser définitivement les bases d’une boulangerie différente, naturelle, bio, au levain.

Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme qui fantasmait l’idée d’ouvrir un petit atelier de pains d’auteurs au bord de l’eau, au Cap Ferret, sur la Presqu’ile du Bonheur, ceinturée par le Bassin et l’Océan, au fond d’une impasse bordée de forêt. Il se fera finalement happer par les vagues, essayant de ne pas trop boire la tasse pour éviter de se noyer durant les premiers 18 mois. A force de journées interminables, la deuxième année l’entreprise fut hors d’eau sur le papier, et des banquiers acceptèrent de le suivre sur un projet bordelais afin de pérenniser et stabiliser l’activité mensuelle.

Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme dont le rêve s’est transformé à l’ouverture en cauchemar et qui s’est retrouvé enfermé dans l’urgence du quotidien, bien loin de ces idées de départ : la recherche, le plaisir, la recherche du plaisir. La réalité lui imposa de travailler loin de ses terres et d’y ouvrir un vaisseau amiral pour approvisionner son petit atelier du Ferret qui ne sera jamais à l’équilibre 10 mois de l’année. Pain Paulin a vu le jour sur le Bassin et il y restera, par fidélité et par loyauté envers son petit cercle de supporters.

Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme mais surtout d’un ensemble d’individus qui fait vivre ce laboratoire. Vous ne mangez pas que le pain de Paulin ; c’est aussi celui de Guillaume, Manuel, Morgan, Farid, Clément, Matthieu, ainsi que de Sylvie, Louise, Lucie, Isabelle, Xavier, Jean-Yves de l’équipe de vente, ou encore de Stéphane, le meunier. Aucune prétention, aucune révolution. En revanche, beaucoup d’intentions : offrir des pains aux arômes différents, aux saveurs étonnantes, surprendre, éveiller des curiosités, des sensibilités. À quoi bon reproduire ce qui existe déjà ? La singularité dans la vie de chacun est primordiale. Demeurez chaque jour meilleursqu’hier.

Pain Paulin, c’est l’histoire de femmes et d’hommes qui ouvrirent en ville le lundi 16 mars 2020, au moment où s’arrêta la France entière. Le matin, l’effectif doublait. Impossible d’entreprendre avec la crainte ou le doute, il fallait être solidaire, optimiste dans l’avenir. Mais les citoyens se sont détournés du pain et les co-pains faisaient entre -20% et -80% de ventes. Terrible constat. Que mangeaient-ils? Que faisaient-ils de ce beau symbole, le pain que l’on partage, qui nous accompagne au quotidien ? Comment tenir financièrement pour continuer à offrir ce service à la population ? Accepter de perdre entre 400 et 500€ par jour de trésorerie au lieu d’être auprès des siens et espérer que le confinement finisse avant que nous mourrions.

Pain Paulin, c’est l’histoire de 3 femmes et 8 hommes qui remplissent leur mission chaque jour, au détriment de leur santé et par fierté alors qu’ils auraient eu le droit de se retirer. Pain Paulin, c’est l’histoire d’une entreprise qui a choisi de rester ouverte pour réaliser sa mission, offrir du pain à la population et lutter contre l’épidémie en luttant contre la faim, persuadé que la situation serait bien pire avec le manque de nourriture.

Pain Paulin, c’est l’histoire de personnes impliquées comme tant d’autres et qui peut-être ne survivront pas à cette crise, et c’est l’histoire d’un homme imparfait qui est obligé de faire appel aux cito...

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Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme qui fantasmait l’idée d’ouvrir un petit atelier de pains d’auteurs au bord de l’eau, au Cap Ferret, sur la Presqu’ile du Bonheur, ceinturée par le Bassin et l’Océan, au fond d’une impasse bordée de forêt. Il se fera finalement happer par les vagues, essayant de ne pas trop boire la tasse pour éviter de se noyer durant les premiers 18 mois. A force de journées interminables, la deuxième année l’entreprise fut hors d’eau sur le papier, et des banquiers acceptèrent de le suivre sur un projet bordelais afin de pérenniser et stabiliser l’activité mensuelle.

Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme dont le rêve s’est transformé à l’ouverture en cauchemar et qui s’est retrouvé enfermé dans l’urgence du quotidien, bien loin de ces idées de départ : la recherche, le plaisir, la recherche du plaisir. La réalité lui imposa de travailler loin de ses terres et d’y ouvrir un vaisseau amiral pour approvisionner son petit atelier du Ferret qui ne sera jamais à l’équilibre 10 mois de l’année. Pain Paulin a vu le jour sur le Bassin et il y restera, par fidélité et par loyauté envers son petit cercle de supporters.

Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme mais surtout d’un ensemble d’individus qui fait vivre ce laboratoire. Vous ne mangez pas que le pain de Paulin ; c’est aussi celui de Guillaume, Manuel, Morgan, Farid, Clément, Matthieu, ainsi que de Sylvie, Louise, Lucie, Isabelle, Xavier, Jean-Yves de l’équipe de vente, ou encore de Stéphane, le meunier. Aucune prétention, aucune révolution. En revanche, beaucoup d’intentions : offrir des pains aux arômes différents, aux saveurs étonnantes, surprendre, éveiller des curiosités, des sensibilités. À quoi bon reproduire ce qui existe déjà ? La singularité dans la vie de chacun est primordiale. Demeurez chaque jour meilleursqu’hier.

Pain Paulin, c’est l’histoire de femmes et d’hommes qui ouvrirent en ville le lundi 16 mars 2020, au moment où s’arrêta la France entière. Le matin, l’effectif doublait. Impossible d’entreprendre avec la crainte ou le doute, il fallait être solidaire, optimiste dans l’avenir. Mais les citoyens se sont détournés du pain et les co-pains faisaient entre -20% et -80% de ventes. Terrible constat. Que mangeaient-ils? Que faisaient-ils de ce beau symbole, le pain que l’on partage, qui nous accompagne au quotidien ? Comment tenir financièrement pour continuer à offrir ce service à la population ? Accepter de perdre entre 400 et 500€ par jour de trésorerie au lieu d’être auprès des siens et espérer que le confinement finisse avant que nous mourrions.

Pain Paulin, c’est l’histoire de 3 femmes et 8 hommes qui remplissent leur mission chaque jour, au détriment de leur santé et par fierté alors qu’ils auraient eu le droit de se retirer. Pain Paulin, c’est l’histoire d’une entreprise qui a choisi de rester ouverte pour réaliser sa mission, offrir du pain à la population et lutter contre l’épidémie en luttant contre la faim, persuadé que la situation serait bien pire avec le manque de nourriture.

Pain Paulin, c’est l’histoire de personnes impliquées comme tant d’autres et qui peut-être ne survivront pas à cette crise, et c’est l’histoire d’un homme imparfait qui est obligé de faire appel aux cito...

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Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme qui voulait devenir boulanger et qui fera 2 rencontres déterminantes durant ses dix années d’intentions, de pensées, de recherches, d’apprentissage, d’économies. La première avec Benoit Fradette, dit le Farinoman fou, permettra l’initiation d’un néophyte. La deuxième avec Thomas Chambelland, à l’École Internationale de Boulangerie, l’aidera à poser définitivement les bases d’une boulangerie différente, naturelle, bio, au levain.

Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme qui fantasmait l’idée d’ouvrir un petit atelier de pains d’auteurs au bord de l’eau, au Cap Ferret, sur la Presqu’ile du Bonheur, ceinturée par le Bassin et l’Océan, au fond d’une impasse bordée de forêt. Il se fera finalement happer par les vagues, essayant de ne pas trop boire la tasse pour éviter de se noyer durant les premiers 18 mois. A force de journées interminables, la deuxième année l’entreprise fut hors d’eau sur le papier, et des banquiers acceptèrent de le suivre sur un projet bordelais afin de pérenniser et stabiliser l’activité mensuelle.

Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme dont le rêve s’est transformé à l’ouverture en cauchemar et qui s’est retrouvé enfermé dans l’urgence du quotidien, bien loin de ces idées de départ : la recherche, le plaisir, la recherche du plaisir. La réalité lui imposa de travailler loin de ses terres et d’y ouvrir un vaisseau amiral pour approvisionner son petit atelier du Ferret qui ne sera jamais à l’équilibre 10 mois de l’année. Pain Paulin a vu le jour sur le Bassin et il y restera, par fidélité et par loyauté envers son petit cercle de supporters.

Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme mais surtout d’un ensemble d’individus qui fait vivre ce laboratoire. Vous ne mangez pas que le pain de Paulin ; c’est aussi celui de Guillaume, Manuel, Morgan, Farid, Clément, Matthieu, ainsi que de Sylvie, Louise, Lucie, Isabelle, Xavier, Jean-Yves de l’équipe de vente, ou encore de Stéphane, le meunier. Aucune prétention, aucune révolution. En revanche, beaucoup d’intentions : offrir des pains aux arômes différents, aux saveurs étonnantes, surprendre, éveiller des curiosités, des sensibilités. À quoi bon reproduire ce qui existe déjà ? La singularité dans la vie de chacun est primordiale. Demeurez chaque jour meilleursqu’hier.

Pain Paulin, c’est l’histoire de femmes et d’hommes qui ouvrirent en ville le lundi 16 mars 2020, au moment où s’arrêta la France entière. Le matin, l’effectif doublait. Impossible d’entreprendre avec la crainte ou le doute, il fallait être solidaire, optimiste dans l’avenir. Mais les citoyens se sont détournés du pain et les co-pains faisaient entre -20% et -80% de ventes. Terrible constat. Que mangeaient-ils? Que faisaient-ils de ce beau symbole, le pain que l’on partage, qui nous accompagne au quotidien ? Comment tenir financièrement pour continuer à offrir ce service à la population ? Accepter de perdre entre 400 et 500€ par jour de trésorerie au lieu d’être auprès des siens et espérer que le confinement finisse avant que nous mourrions.

Pain Paulin, c’est l’histoire de 3 femmes et 8 hommes qui remplissent leur mission chaque jour, au détriment de leur santé et par fierté alors qu’ils auraient eu le droit de se retirer. Pain Paulin, c’est l’histoire d’une entreprise qui a choisi de rester ouverte pour réaliser sa mission, offrir du pain à la population et lutter contre l’épidémie en luttant contre la faim, persuadé que la situation serait bien pire avec le manque de nourriture.

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