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Ceux qui nous lient

S02E12 - Patrick Roger

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38min |04/12/2018
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Description

J’ai rencontré Patrick Roger le 28 septembre 2018 à Sceaux dans son atelier, un immense bâtiment verré qui donne sur un jardin, un écrin pour quelques unes de ses sculptures monumentales.
Chocolatier connu et reconnu (10 boutiques en France et en Belgique), Patrick Roger est aussi un sculpteur, un artiste, tout aussi reconnu comme l’atteste la parution du hors-série de la revue Connaissances des arts qui lui est consacré.
Il aime à dire qu’il vient de la vitesse, et c’est quelqu’un qui est capable de mobiliser le Dakar et Marie-Agnès Gillot dans la même phrase, de passer de Karl Lagerfeld à Jean Todt en moins d’une seconde. S’il est parfois un peu compliqué de suivre son cheminement, il est important de se laisser embarquer dans son univers et de lâcher prise pour l’écouter.
Avec Patrick Roger nous avons parlé d’un passé qui l’a construit, du présent comme mode d’expression, et de l’avenir qu’il juge incertain : folie des grandeurs, pratique artistique coûteuse, l’artiste semble parfois en immersion dans un système qui le dépasse. En l’écoutant, on ressent clairement un besoin viscéral de liberté, parfois compliqué à articuler avec les logiques économiques dont il dépend.
Il a aussi été question de la dimension engagée de ses choix, de sa discrétion sur la question environnementale malgré un positionnement affirmé et des actions très fortes qu’il a menées.

Bien sûr, une réflexion liée à l’art, à la sculpture, au goût, traverse chaque instant. Entre folie heureuse et poésie, l’artiste hésite, nous balade.
À plusieurs reprises Patrick Roger a évoqué ses filles et le regard qu’elles portent sur l’entreprise, l’incompréhension dont elles font parfois preuve face à des projets toujours plus ambitieux, face à la démesure de leur père.
Nous avons aussi parlé de sa maison, une prouesse esthétique et technologique, épurée et design, meublée avec rigueur et précision, car quel que soit son domaine d’action, Patrick Roger ne fait pas les choses à moitié.
Il fonce et marche à l’Instinct, ces fameux chocolats au praliné amandes et noisettes qu’il a avalés pendant toute la durée de l’interview et qui sont évoqués à plusieurs reprises dans la discussion.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

J’ai rencontré Patrick Roger le 28 septembre 2018 à Sceaux dans son atelier, un immense bâtiment verré qui donne sur un jardin, un écrin pour quelques unes de ses sculptures monumentales.
Chocolatier connu et reconnu (10 boutiques en France et en Belgique), Patrick Roger est aussi un sculpteur, un artiste, tout aussi reconnu comme l’atteste la parution du hors-série de la revue Connaissances des arts qui lui est consacré.
Il aime à dire qu’il vient de la vitesse, et c’est quelqu’un qui est capable de mobiliser le Dakar et Marie-Agnès Gillot dans la même phrase, de passer de Karl Lagerfeld à Jean Todt en moins d’une seconde. S’il est parfois un peu compliqué de suivre son cheminement, il est important de se laisser embarquer dans son univers et de lâcher prise pour l’écouter.
Avec Patrick Roger nous avons parlé d’un passé qui l’a construit, du présent comme mode d’expression, et de l’avenir qu’il juge incertain : folie des grandeurs, pratique artistique coûteuse, l’artiste semble parfois en immersion dans un système qui le dépasse. En l’écoutant, on ressent clairement un besoin viscéral de liberté, parfois compliqué à articuler avec les logiques économiques dont il dépend.
Il a aussi été question de la dimension engagée de ses choix, de sa discrétion sur la question environnementale malgré un positionnement affirmé et des actions très fortes qu’il a menées.

Bien sûr, une réflexion liée à l’art, à la sculpture, au goût, traverse chaque instant. Entre folie heureuse et poésie, l’artiste hésite, nous balade.
À plusieurs reprises Patrick Roger a évoqué ses filles et le regard qu’elles portent sur l’entreprise, l’incompréhension dont elles font parfois preuve face à des projets toujours plus ambitieux, face à la démesure de leur père.
Nous avons aussi parlé de sa maison, une prouesse esthétique et technologique, épurée et design, meublée avec rigueur et précision, car quel que soit son domaine d’action, Patrick Roger ne fait pas les choses à moitié.
Il fonce et marche à l’Instinct, ces fameux chocolats au praliné amandes et noisettes qu’il a avalés pendant toute la durée de l’interview et qui sont évoqués à plusieurs reprises dans la discussion.

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Chocolatier connu et reconnu (10 boutiques en France et en Belgique), Patrick Roger est aussi un sculpteur, un artiste, tout aussi reconnu comme l’atteste la parution du hors-série de la revue Connaissances des arts qui lui est consacré.
Il aime à dire qu’il vient de la vitesse, et c’est quelqu’un qui est capable de mobiliser le Dakar et Marie-Agnès Gillot dans la même phrase, de passer de Karl Lagerfeld à Jean Todt en moins d’une seconde. S’il est parfois un peu compliqué de suivre son cheminement, il est important de se laisser embarquer dans son univers et de lâcher prise pour l’écouter.
Avec Patrick Roger nous avons parlé d’un passé qui l’a construit, du présent comme mode d’expression, et de l’avenir qu’il juge incertain : folie des grandeurs, pratique artistique coûteuse, l’artiste semble parfois en immersion dans un système qui le dépasse. En l’écoutant, on ressent clairement un besoin viscéral de liberté, parfois compliqué à articuler avec les logiques économiques dont il dépend.
Il a aussi été question de la dimension engagée de ses choix, de sa discrétion sur la question environnementale malgré un positionnement affirmé et des actions très fortes qu’il a menées.

Bien sûr, une réflexion liée à l’art, à la sculpture, au goût, traverse chaque instant. Entre folie heureuse et poésie, l’artiste hésite, nous balade.
À plusieurs reprises Patrick Roger a évoqué ses filles et le regard qu’elles portent sur l’entreprise, l’incompréhension dont elles font parfois preuve face à des projets toujours plus ambitieux, face à la démesure de leur père.
Nous avons aussi parlé de sa maison, une prouesse esthétique et technologique, épurée et design, meublée avec rigueur et précision, car quel que soit son domaine d’action, Patrick Roger ne fait pas les choses à moitié.
Il fonce et marche à l’Instinct, ces fameux chocolats au praliné amandes et noisettes qu’il a avalés pendant toute la durée de l’interview et qui sont évoqués à plusieurs reprises dans la discussion.

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J’ai rencontré Patrick Roger le 28 septembre 2018 à Sceaux dans son atelier, un immense bâtiment verré qui donne sur un jardin, un écrin pour quelques unes de ses sculptures monumentales.
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Il aime à dire qu’il vient de la vitesse, et c’est quelqu’un qui est capable de mobiliser le Dakar et Marie-Agnès Gillot dans la même phrase, de passer de Karl Lagerfeld à Jean Todt en moins d’une seconde. S’il est parfois un peu compliqué de suivre son cheminement, il est important de se laisser embarquer dans son univers et de lâcher prise pour l’écouter.
Avec Patrick Roger nous avons parlé d’un passé qui l’a construit, du présent comme mode d’expression, et de l’avenir qu’il juge incertain : folie des grandeurs, pratique artistique coûteuse, l’artiste semble parfois en immersion dans un système qui le dépasse. En l’écoutant, on ressent clairement un besoin viscéral de liberté, parfois compliqué à articuler avec les logiques économiques dont il dépend.
Il a aussi été question de la dimension engagée de ses choix, de sa discrétion sur la question environnementale malgré un positionnement affirmé et des actions très fortes qu’il a menées.

Bien sûr, une réflexion liée à l’art, à la sculpture, au goût, traverse chaque instant. Entre folie heureuse et poésie, l’artiste hésite, nous balade.
À plusieurs reprises Patrick Roger a évoqué ses filles et le regard qu’elles portent sur l’entreprise, l’incompréhension dont elles font parfois preuve face à des projets toujours plus ambitieux, face à la démesure de leur père.
Nous avons aussi parlé de sa maison, une prouesse esthétique et technologique, épurée et design, meublée avec rigueur et précision, car quel que soit son domaine d’action, Patrick Roger ne fait pas les choses à moitié.
Il fonce et marche à l’Instinct, ces fameux chocolats au praliné amandes et noisettes qu’il a avalés pendant toute la durée de l’interview et qui sont évoqués à plusieurs reprises dans la discussion.

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