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09min |06/09/2024
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Description

Aujourd’hui il est grand temps que je prenne la parole pour m’exprimer sur le sujet de l’universitĂ© et en particulier sur le monde de la recherche française en sciences humaines et sociales. Je veux le faire car nous venons de passer un Ă©tĂ© particuliĂšrement Ă©prouvant, marquĂ© par des vagues de haine sur les rĂ©seaux sociaux – entre ceux qui soutiennent l’extrĂȘme droite et ceux qui soutiennent ce qu’il reste de la gauche, puis entre ceux qui ont aimĂ© et ceux qui ont dĂ©testĂ© ou ont Ă©tĂ© blessĂ©s par la cĂ©rĂ©monie d’ouverture des Jeux olympiques Ă  Paris. Je veux le faire parce que dans ce brouhaha et ces vagues de haine, pas une seule voix ne s’est Ă©levĂ©e pour tendre Ă  mettre tout le monde d’accord, et pour montrer la voie vers un rassemblement. Nos chercheurs et nos acadĂ©miques sont massivement muets, ou creux, et les seuls qui prennent une parole « forte » ne participent qu’à diviser le grand public. Nous n’avons pas une seule voix française Ă©clairĂ©e, mesurĂ©e, impactante et puissante. Et cela me dĂ©range, parce que je crois que cet Ă©tat de fait est liĂ© Ă  l’état de la recherche acadĂ©mique et de l’universitĂ© françaises. Je veux donc prendre la parole, d’abord pour dire que j’aime profondĂ©ment l’universitĂ© française, dont je suis un pur produit, mais aussi pour dire une bonne fois pour toutes ce que je pense de nos chercheurs en sciences sociales et du monde de la recherche dans ces disciplines en particulier.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Aujourd’hui il est grand temps que je prenne la parole pour m’exprimer sur le sujet de l’universitĂ© et en particulier sur le monde de la recherche française en sciences humaines et sociales. Je veux le faire car nous venons de passer un Ă©tĂ© particuliĂšrement Ă©prouvant, marquĂ© par des vagues de haine sur les rĂ©seaux sociaux – entre ceux qui soutiennent l’extrĂȘme droite et ceux qui soutiennent ce qu’il reste de la gauche, puis entre ceux qui ont aimĂ© et ceux qui ont dĂ©testĂ© ou ont Ă©tĂ© blessĂ©s par la cĂ©rĂ©monie d’ouverture des Jeux olympiques Ă  Paris. Je veux le faire parce que dans ce brouhaha et ces vagues de haine, pas une seule voix ne s’est Ă©levĂ©e pour tendre Ă  mettre tout le monde d’accord, et pour montrer la voie vers un rassemblement. Nos chercheurs et nos acadĂ©miques sont massivement muets, ou creux, et les seuls qui prennent une parole « forte » ne participent qu’à diviser le grand public. Nous n’avons pas une seule voix française Ă©clairĂ©e, mesurĂ©e, impactante et puissante. Et cela me dĂ©range, parce que je crois que cet Ă©tat de fait est liĂ© Ă  l’état de la recherche acadĂ©mique et de l’universitĂ© françaises. Je veux donc prendre la parole, d’abord pour dire que j’aime profondĂ©ment l’universitĂ© française, dont je suis un pur produit, mais aussi pour dire une bonne fois pour toutes ce que je pense de nos chercheurs en sciences sociales et du monde de la recherche dans ces disciplines en particulier.


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