Ce numéro de I-Débats N° 10- 11 juillet 2025 aborde des sujets variés et cruciaux pour le Maroc. On y trouve une critique cinglante de la condition des jeunes filles et de l'éducation, dénonçant des propos rétrogrades et la précarité de leur scolarisation face au mariage. Le podcast examine la crise de l'intégrité académique dans les universités marocaines, pointant des scandales de diplômes et de publications scientifiques. Des analyses géopolitiques s'attardent sur les relations complexes du Maroc avec ses voisins, notamment l'Algérie et Israël, et la nécessité d'une doctrine claire face aux BRICS+, tandis qu'un éditorial critique la vulgarisation du discours politique et l'influence des réseaux sociaux. Enfin, le podcast traite de réformes économiques et sociales, comme la libéralisation du dirham, l'avenir de la Coupe du Monde 2030, la situation des chauffeurs de taxi, et la controverse autour du rôle des associations anti-corruption.
"Le Maroc veut-il rejoindre les BRICS+ ?" – Cette interrogation centrale est posée dans l'analyse critique du rapport de l'IRES sur la stratégie du Maroc face aux BRICS+, soulignant un manque de cap stratégique clair.
"Quels partenaires faut-il privilégier, selon quels critères ?" – Encore issue de l'analyse du rapport IRES, cette question met en évidence la nécessité pour le Maroc de définir ses priorités et ses critères d'alliances dans un ordre international en reconfiguration.
"Mais pourquoi cette chute ?" – Cette question est posée dans le contexte de la dérive du langage politique vers la vulgarité, s'interrogeant sur les raisons pour lesquelles d'anciens responsables sombrent dans une rhétorique indécente.
"Et s’il fallait, justement, leur rendre hommage ?" – Cette question invite à une réévaluation de la perception publique des chauffeurs de taxi au Maroc, suggérant qu'ils méritent une reconnaissance pour leur rôle social et économique.
"Faut-il encore croire que les taxis exagèrent ?" – Directement liée à l'analyse sur les taxis, cette question remet en cause l'idée répandue selon laquelle les tarifs des taxis seraient excessifs, à la lumière de leur stabilité tarifaire face à l'inflation et à la comparaison avec d'autres services de transport.
"Peut-on dire que le Maroc est en train de subir une crise morale ?" – Cette interrogation est posée dans le cadre de la discussion sur la dégradation de l'art et la banalisation de la futilité et du langage vulgaire, reflétant une préoccupation plus large sur les valeurs sociétales.
"Qui éduque le goût ?" – En lien avec la "crise morale" et la "antho-toxologie", cette question fondamentale s'interroge sur la responsabilité de fixer les standards esthétiques et moraux dans la société, notamment face à la montée de contenus jugés dégradants.
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