Speaker #0Hello, hello ! Bonjour à toutes, bonjour à tous et bienvenue dans ce podcast Coeur à Coeur avec Dieu. Chaque jour, laisse Dieu te parler au travers de sa parole. Dans ce podcast, nous partagerons des exhortations brèves, puissantes et guidées par l'amour pour t'aider à méditer les Écritures profondément, versée après versée, pour t'aider à guérir, à être éclairé. Affermis, mais surtout, faire la rencontre de Dieu tel que tu ne l'as jamais, afin de vivre une relation intime et vivante avec lui. Alors installe-toi bien, dispose ton cœur, dispose ton environnement, dispose tes pensées, nous entrant dans sa présence. Hello, hello, bien-aimés, j'espère que vous allez bien par la grâce de Dieu. Moi ça va, Dieu est bon, il est fidèle, il est juste, il est glorieux. et nous lui rendons grâce. Père éternel, nous te rendons grâce pour cette parole que tu vas nous donner encore ce jour. Donne-nous la grâce, s'il te plaît, de la comprendre, de la retenir, de la pratiquer. Viens changer nos cœurs, viens rendre le Christ visible en ce moment dans nos vies, s'il te plaît, dans l'une de nos chaises. Inspire les pensées de nos cœurs, les paroles de nos bouches et que nous puissions sortir complètement transformés de ce nom de Jésus. Amen. Le titre de mon message ce jour, c'est « Contraint par la main puissante de Dieu » . Contraint par la main puissante de Dieu. Nous allons lire en version Nouvelle-Française courant, Exode chapitre 5, versets 19 à 23 et Exode chapitre 6, verset 1. La parole nous dit les contre-maîtres des Israélites virent qu'ils se trouvaient dans une situation difficile, puisqu'on leur disait « Pas de réduction du nombre de briques, vous produirez chaque jour la quantité exigée. » Au moment où ils sortaient de chez le Pharaon, ils interpellèrent Moïse et Aaron, qui les attendaient, en leur disant « Que le Seigneur constate ce que vous avez fait, et qu'il vous condamne à cause de vous, le Pharaon est Merci. Et son entourage nous déteste. Vous leur avez fourni une arme pour nous tuer. Une fois encore, Moïse s'adressa au Seigneur. « Ô Seigneur, dit-il, pourquoi as-tu fait tant du mal à ce peuple ? Pourquoi as-tu fait du mal à ce peuple ? Pourquoi m'as-tu envoyé ici ? Depuis que je suis allé parler au Pharaon de ta part, il maltraite les Israélites. Et toi, tu ne fais rien pour sauver ton peuple. » Le Seigneur lui répondit, c'est maintenant que tu vas voir ce que je ferai au Pharaon. Contraint par ma main puissante, il laissera partir les Israélites. Contraint par ma main puissante, il va même les chasser de son guin. Waouh, waouh, waouh, Seigneur, lorsque je méditais cette parole, j'ai relu encore et encore. Et même quand je relis encore là tout de suite, je vois d'autres choses et je rends juste grâce au Saint-Esprit. Voyez, bien aimé, ce message va impliquer, va inclure plusieurs aspects, en fonction de l'angle de vue dans lequel vous allez vous positionner, soit comme celui qui a envoyé ou soit comme celui qui subit la détresse. Mais à la fin, l'idée sera au fond le rapport, le regard qu'on a vis-à-vis de Dieu lorsqu'il a... annoncer une promesse, lorsqu'il a annoncé quelque chose. Alors, la première partie qui m'a interpellée, c'est, voilà, nous avons déjà le contexte, le Pharaon a adjussi la tâche des Israélites à cause de ce que Moïse a demandé, a demandé qu'ils partent de la part du Seigneur, et Pharaon a dit, vous êtes paresseux, vous n'allez pas aller rendre un culte à votre Dieu, et donc il leur a demandé de travailler plus comment, en ne fournissant plus la paille, mais en demandant qu'ils fournissent le même nombre de briques. Pour un rappel du contexte. Et il est écrit dans le verset 21 que le Seigneur constate ce que vous avez fait et qu'il vous condamne. À cause de vous, le Pharaon et son entourage nous détestent. Vous leur avez fourni une arme pour nous tuer. Bien aimé. Lorsque nous écoutons la parole, j'ai l'habitude de dire que personnellement, ce que j'ai reçu, fortement dans mon esprit, en révélation. La Bible n'est pas censée se lire, elle est censée s'écouter, dans le sens où pas que je mets un appareil et que j'écoute, non. Mais lorsque je lis avec mes yeux, en réalité, je dois créer dans ma tête une scène où Dieu est devant moi et il est en train de me parler. Je dois pouvoir imaginer sa voix. Lorsque je lis, je dois pouvoir l'entendre, en fait. Et il faut pouvoir donc se projeter dans sa vie, dans la vraie vie, dans cette scène. dans cette situation. Imaginez que vous êtes dans la détresse, vous êtes le contre-maître israélite. Et puis, Dieu vous envoie quelqu'un. Et vous avez la promesse, votre cœur est dans la joie, vous avez l'espoir. Et puis, tout à coup, la situation se dégrade. Parce que c'est ce qui s'est passé. Ça peut souvent nous arriver. Coup de mou, et ça peut être interne ou externe. Ça peut être un coup de mou, une mauvaise sensation, une mauvaise nouvelle, on se sent mal, on ne sait pas pourquoi. Ou alors ça peut être vraiment physique, ça peut être des choses plus graves, la situation s'aggrave, on pensait qu'on allait signer un contrat, on ne le signe plus, etc. Et puis, la personne qui vous a annoncé la promesse de Dieu, vous commencez à nourrir de l'amertume contre cette personne. La parole est en train de nous déclarer ici parce que nous savons déjà qu'il n'en était rien. Dieu n'allait pas faillir à sa promesse. Moïse ne mentait pas, n'avait pas menti. Mais il s'agissait de quoi ici ? de la foi et de la confiance que les contre-maîtres pouvaient avoir vis-à-vis de Dieu. Regardez, ils vont jusqu'à dire qu'on vous condamne. Bien aimé, j'aimerais qu'on puisse se projeter ou se rappeler le nombre de fois où lorsque notre situation s'est dégradée, on en a voulu à quelqu'un pour X raisons. Jusqu'à... accusé, Moïse, à cause de vous. Vous avez fourni une âme pour nos yeux bien-aimés. Nous sommes en train de voir ici les conséquences que peut amener le manque de foi dans nos relations et le type de message qu'on envoie à Dieu lorsqu'on dit certaines choses, lorsqu'on a certaines habitudes. On ne s'en rend pas compte. Mais il y a des paroles qu'on sort quand on a reçu une promesse. On ne se rend pas compte qu'on est en train de dire à Dieu, je ne te crois pas, je ne te fais pas confiance, d'ailleurs, je ne te veux pas de toi. Oui, que le Seigneur constate ce que vous avez fait et qu'il vous condamne. Dernier, il s'agit ici de prendre conscience que, parfois même si la situation s'aggrave, il s'agit de rester focalisé sur la preuve, et non sur les circonstances, et non sur la tournure des événements. Et puis plus loin, Moïse lui-même, il va dire au Seigneur, pourquoi tu as fait du mal à ce peuple ? Pourquoi tu m'as envoyé ici ? Et il dit, il accuse le Seigneur. Ça, c'est une autre partie. Il accuse le Seigneur. Pourquoi tu ne fais rien pour sauver ton peuple ? Bien aimé. Ici, nous voyons très bien que la foi de Moïse n'était pas encore inébranlable. Sa foi n'était pas encore faible, n'était pas encore, pardon, ferme. Parce que vous savez, depuis le début, déjà quand Dieu... l'a approché, il disait, c'est moi, je n'ai pas la parole facile, moi, moi, moi, moi, moi, il y avait moi partout. Comme on l'a vu dans un précédent message, en réalité, il ne s'agit jamais de Dieu. Lorsque Dieu vous envoie faire quelque chose, maintenant, je voudrais que tu te places sur le prisme de quelqu'un qui a reçu une instruction, qui a reçu un appel, ou qui a reçu une promesse, la capacité de faire quelque chose. Et je voudrais préciser qu'une promesse ou la capacité de faire quelque chose, ou un appel, ou une instruction, Il ne s'agit pas forcément seulement d'un message ou d'une prophétie que vous allez recevoir d'une personne physique qui va vous parler ou durant un enseignement ou une rencontre. Non. Les promesses sont écrites dans la parole. C'est-à-dire qu'en lisant la Bible, ce que Dieu dit de toi, c'est déjà ça la promesse, en fait. Ça veut dire que si parfois tu te sens incapable, tu ne vois pas comment peut se réaliser ce qui est écrit dans la parole, il faut que tu puisses t'arrêter et te rappeler que ça ne s'accomplira pas par toi. Moïse a recommencé ici avec les « je » . Comme il avait déjà dit plusieurs fois « je » dans Exode 4, verset 10. Je n'ai pas la parole facile. Je ne l'ai jamais eue. Je ne l'ai pas davantage depuis que tu me parles. J'ai beaucoup de peine à m'exprimer. Dans nos vies, bien aimées, nous sommes pareilles que Moïse. Les « je » sont alignés partout. Et Dieu lui, vous voyez, il dit, pourquoi tu m'as envoyé ici ? Il remet encore le « moi » . à petite dose, pas comme la première fois parce que n'oublions pas, à cette étape-ci Moïse a déjà vu certains prodiges du Seigneur, il y a eu le le bâton qui s'est transformé en serpent Mais sa foi ici n'était pas encore ferme. Alors je voudrais te dire que dans ta vie, il y a quelque chose que tu as déjà vécu avec le Seigneur. Il faudrait que tu t'en rappelles. L'histoire de Moïse et les étapes par lesquelles il est passé sont censées nous enseigner. Nous sommes censés comprendre, parce que nous avons déjà la fin de l'histoire. Nous sommes censés nous rendre compte et comprendre que quand Dieu a parlé, sa promesse, c'est ce qui arrivera, peu importe le comment, peu importe quoi. Ça arrivera. Vous voyez la différence, c'est quoi ? La capacité d'exécution, la capacité de croire et de s'exécuter. Moïse a traîné, a négocié, mais au final, qu'est-ce que Dieu dit ? C'est maintenant que tu vas voir ce que je vais faire au Pharaon. Bien aimé. Tu dois déjà être dans cet état d'esprit aujourd'hui. Parce que ce que Moïse a vécu, ce n'est pas un conte de fées, c'est une vraie histoire. C'est un être humain qui a vraiment vécu et qui a vécu cela avec Dieu. Dieu est le même, hier, aujourd'hui et éternellement. Il ne change pas. Ça veut dire que si aujourd'hui tu as le sentiment de vivre ce que Moïse vit, c'est-à-dire que je demande toujours de se plonger dans l'histoire, de créer vraiment la scène dans sa tête. Lorsqu'on lit la Bible, il faut qu'on ait l'impression qu'on est en train de nous... soit que c'est une histoire qu'on nous raconte pour nous aider à créer le scénario dans nos têtes, soit nous-mêmes, en fait, de visualiser Dieu devant nous, en train de nous parler, de nous plonger dans la scène pour la vivre. On ne lit pas la Bible, on vit la Bible. C'est important parce que sinon, on ne perçoit pas ce qu'on est censé retenir et changer dans nos propres vies. Ça va être difficile puisqu'on ne se l'approprie pas. Donc, il ne peut pas y avoir de transformation. Alors, je déclare dans ta vie que c'est maintenant que tu vas voir ce que... Dieu va faire à la montagne totale. Ah, je déclare que cette montagne, tu verras ce que Dieu fera de cette montagne. Ah, je prie que tu puisses croire en ce que Dieu a dit de toi. Moïse ici n'avait pas encore une fois fait un bien-aimé. Toi, tu peux l'avoir aujourd'hui grâce à son histoire, grâce à son témoignage. Parce que finalement, dans cette partie d'Exode, tous ces passages... C'est un témoignage. Tu peux le prendre comme un témoignage. Amen. Alors je voudrais t'encourager. Je voudrais t'encourager, même si la situation s'aggrave, ne rumine pas contre ceux qui sont porteurs de bonnes nouvelles, ceux qui sont mandatés pour être une réponse à tes prières. Ne rumine pas contre eux, mais reste focalisé sur la promesse. Je voudrais t'encourager par rapport à ce que Dieu t'a dit. Par rapport à ce que tu ressens dans ton cœur, cette condition profonde que tu as appelée à faire quelque chose de grand, je voudrais qu'avec humilité, tu demandes à Dieu de te révéler les choses cachées et de te donner la grâce à Asselineau, de compter sur lui et non sur toi. Tu dois pouvoir effacer le moi, effacer le je, parce que dans cette histoire, c'est la promesse que Dieu a faite. Ce n'est pas toi, mais c'est lui. Alors encore une fois, garde le regard sur la promesse, même dans ce cas. Vous voyez ? Dans le verset 22, il dit « Ô Seigneur, pourquoi tu as fait du mal à ce peuple ? » On est en train d'accuser Dieu. Bien-aimé. Est-ce que toi aussi, parfois, ça t'arrive ? Tu es dans une situation compliquée et tu te mets à accuser Dieu. Tu as l'impression que tout ce qui t'arrive, c'est de la faute de Dieu, c'est de ta faute. Ou tout ce qui arrive dans le monde autour de toi, c'est de la faute de Dieu. Bien-aimé. Avec ce passage, avec la parole, aujourd'hui, prenons conscience que Dieu n'est jamais coupable. Dieu n'est jamais coupable. On parle. Dieu n'a jamais tort. Dieu n'est jamais fautif. S'il y a quelque chose qu'on ne comprend pas, s'il y a quelque chose qui nous agace, s'il y a quelque chose qui nous énerve, bien aimé, ça veut dire que c'est nous qui n'avons pas compris quelque chose. Et nous savons aujourd'hui déjà ce que nous n'avons pas compris. Typiquement, souvent, on n'a pas compris quoi ? Là où il nous amène. Souvent, typiquement, qu'est-ce qui se passe ? On n'a pas la foi. Souvent, typiquement, qu'est-ce qui se passe ? On ne fait pas confiance à Dieu. Souvent, typiquement, qu'est-ce qui se passe ? On n'est pas souviens-nous d'aussi. Est-ce que Dieu déclare « contrainte par ma main puissante » ? Est-ce qu'aujourd'hui, bien aimé, lorsque tu commences à peut-être avoir des pensées négatives, à te corriger avec le Seigneur, en vouloir au Seigneur, est-ce que tu as la conscience que sa main est puissante ? Est-ce que l'Esprit te dit qu'il est amour, tu le crois ? Ou est-ce que tu as oublié comme Moïse ? Ah, shit ! Je veux prier ! Aribra chatike anderi babae, alari aiaia, au Saint-Esprit nous avons besoin de toi. Aria, Viens nous délivrer des fausses accusations. Viens nous délivrer du découragement. Viens nous délivrer de l'incrédulité. Viens nous donner la grâce de voir ta puissance telle qu'elle est. Viens nous donner la grâce d'accepter, d'élever ton autorité. Viens nous donner la grâce de t'accueillir comme notre maître, comme notre Seigneur. Viens nous donner la grâce de croire à ce que tu promets, peu importe ce que la situation raconte. Peu importe ce que la situation dit, donne-nous la grâce de toujours garder le regard sur toi. Parce que tu es digne, parce que tu es fidèle, tu ne mens jamais. Et surtout parce que tu es puissant. Alors, Abba Père, puisse nos vies être utiles à l'accomplissement de tous les desseins que tu as prévus. Père, donne-nous la grâce d'être des envoyés qui t'honorent. Donne-nous la grâce d'être des porte-paroles qui t'honorent. Donne-nous la grâce, Seigneur, d'être des canaux par lesquels une main puissante est vise dans ce monde, dans notre environnement, dans nos familles, dans nos lieux de travail, dans le nom puissant de Jésus-Christ. Père, éloigne de nous les fausses accusations, Antonie, car donne-nous la grâce de ne jamais t'accuser, de ne jamais croire une seconde que tu as de mauvaises intentions, que tu as voulu faire du mal à qui que ce soit ou que tu t'es trompée. Père, éloigne de nous cela, prends pitié de nous. Ah, donne-nous la grâce de t'adorer, de t'aimer et de te rendre grâce en toutes circonstances et de te remettre toutes choses. Ah, ma Père, que ton nom soit glorifié à tout jamais. Dans le nom puissant de Jésus-Christ, nous avons prié avec foi et action de grâce. Amen.