Speaker #0Hello, hello ! Bonjour à toutes, bonjour à tous et bienvenue dans ce podcast Coeur à Coeur avec Dieu. Chaque jour, laisse Dieu te parler au travers de sa parole. Dans ce podcast, nous partagerons des exhortations brèves, puissantes et guidées par l'amour pour t'aider à méditer les Écritures. profondément, versé après versé, pour t'aider à guérir, à être éclairé, affermi, mais surtout, faire la rencontre de Dieu tel que tu ne l'as jamais eu, afin de vivre une relation intime et vivante avec lui. Alors, installe-toi bien, dispose ton cœur, dispose ton environnement, dispose tes pensées, nous entrant dans sa présence. Hello, bien-aimés. Je crois que ce message vous retrouve debout, vif, en pleine forme, enthousiaste, ancré dans votre foi, dans votre Seigneur Jésus-Christ. Faire un grand-dans grâce pour ce jour. Nous t'invitons durant ce moment, viens nous aider s'il te plaît à comprendre ta parole, à la retenir, à la pratiquer. Viens changer nos cœurs et viens nous donner la grâce de réfléter et manifester le caractère de Christ. Que ta gloire soit visible au nom de Jésus Christ. Amen. Le message du jour s'intitule « De qui es-tu esclave ? » De qui es-tu esclave ? Alors que j'étais en train de préparer mon message, en relisant la parole, j'ai un autre titre qui m'est venu en tête. En tout cas, j'ai eu une pensée et je me suis dit « Ah, ça aurait pu être aussi un excellent titre. » Et je vais te le partager parce que peut-être ça pourra te parler plus que de qui es-tu esclave. Alors on aurait pu donner comme titre aussi Ne te prosterne plus. Ne te prosterne plus. Nous allons lire la parole dans Exode 5, verset 15 au verset 18, en version Nouvelle-Française courante. Les contremaîtres vinrent se plaindre au Pharaon. Pourquoi le Pharaon traite-t-il ainsi ses esclaves ? Lui demandèrent-ils. On ne fournit plus de paille et on nous ordonne pourtant de faire des briques ? On nous frappe même. Ton peuple attend. Vous n'êtes que des paresseux, oui, des paresseux, répliqua le pharaon. C'est pour cela que vous vous dites, allons offrir des sacrifices au Seigneur. Eh bien maintenant, allez, travaillez. On ne vous fournira plus de paille, mais vous fournirez la même quantité de briques. Ah, bien aimé. Je vous fais ensuite simplement un des messages précédents pour nous rappeler le contexte. Moïse a été envoyé. Il a déjà pu convaincre les Iraélites que Dieu a entendu leurs cris. Il a déjà pu aller voir le Pharaon une fois pour lui demander de laisser partir le peuple. Il a essayé de présenter Dieu et la requête du Seigneur. Le Pharaon n'a rien voulu écouter. a commencé à traiter le peuple de paresseux, mais surtout, il a dit, mais c'est qui Dieu ? Moi, je ne le connais pas. Qui est-il pour que je l'écoute ? Et suite à cela, il a endurci la tâche des Israélites en décidant de ne plus leur fournir de paille, mais il devait produire le même nombre de briques. Nous sommes dans un contexte où... Finalement, les contremaîtres israélites qui avaient été désignés pour superviser le travail des israélites eux-mêmes, ils étaient frappés aussi et sont en train d'aller se plaindre justement auprès du pharaon. Et ce qui est très très interpellant ici, bien aimé, c'est la manière dont les contremaîtres se présentent au pharaon et disent au verset 15, pourquoi le pharaon traite-t-il ainsi ses esclaves ? Mais ça veut dire qu'en fait, eux-mêmes... Ils se voyaient déjà comme esclaves. Quand on lit ce passage, on a l'impression qu'ils acceptaient cette condition et ils s'identifiaient à cette condition et situation. C'est-à-dire qu'ils avaient déjà choisi leur part, ils avaient accepté leur place. Pourquoi le pharaon traite-t-il ainsi ses esclaves ? Ça veut dire qu'ils sont en train d'acquiescer de leur place, de leur rôle. de leur situation, de leur position, de leur infériorité. Ils sont en train d'accepter que oui, nous sommes des esclaves. Alors ça m'a interpellée, je me suis dit, est-ce qu'aujourd'hui nous aussi, nous nous voyons comme des esclaves ? Ou même dans n'importe quelle situation, quelle est l'image qu'on se donne de nous ? Quelle est l'image qu'on a de nous par rapport à la situation qu'on est en train de vivre ? Et ça peut être n'importe quel type de détresse. Comment est-ce que tu te qualifies ? Comment est-ce que tu te nommes ? Comment est-ce que tu te définis face à cette montagne ? Est-ce que tu te vois comme un esclave et c'est ok pour toi ? Et en plus, tu l'affirmes de ta bouche ou est-ce que tu te vois autrement ? Pendant que je parle, je me rappelle d'autres titres qui m'étaient passés par la tête lorsque je préparais ce message. Il y en avait un, c'était « Es-tu encore un esclave ? » Parce que je pensais à tout ce que Jésus a fait après, quand il est arrivé, il est mort à la cour. et il nous a donné un héritage divin. Nous avons changé d'identité, nous avons retrouvé l'autorité initiale, le pouvoir initial. Nous avons reçu la capacité de marcher sur les serpents et les scorpions et sur toute la puissance de l'ennemi, sans que rien ne puisse nous nuire, conformément à Luc 10 au verset 19. Mais on peut encore voir de nos jours les enfants de Dieu qui se comportent comme des esclaves. C'est quoi être un esclave ? Romains 6 au verset 16 nous dit que tu es esclave de ceux à quoi tu obéis ou celui à qui tu obéis. Et quand je pense à ça, ça me fait penser à une prédication du pasteur Stéphanie Ike Okafor qui prêchait sur le fait de ne pas se prosterner. Et elle prenait comme exemple les personnes qui sont dans le showbiz, dans le business, dans la vidéo, les films en fait, dans ce monde-là. Et qu'à un moment, elle avait une amie qui était entrée dans ça et il fallait qu'elle grimpe les échelons. Et en fait, on lui avait demandé de vouer allégeance pour passer certaines étapes à certaines divinités, à certaines choses qu'elle devait faire aussi. Et en fait, elle venait prêcher et nous interpeller sur le fait que... Dieu est au-dessus de ces choses, qu'il ne faut plus se prosterner. Alors j'ai eu un flashback direct par rapport à cette prédication. Face à quoi est-ce que tu te prosternes encore aujourd'hui, bien-aimé ? Lorsque tu fais un rêve et que tu te réveilles, est-ce que tu te prosternes devant ta peur ? Est-ce que tu te prosternes lorsqu'une personne ne va pas dans ton sens ou te blesse ? Est-ce que tu te prosternes devant la colère ? Est-ce que tu te prosternes lorsque tu sens que tu es coincé et que tu vas subir les conséquences de tes actes ? Est-ce que tu te prosternes devant le mensonge ? Est-ce que lorsque tes pulsions sexuelles remontent à la surface, lorsque tu sens en toi des désirs mauvais, est-ce que tu te prosternes face à la pornographie ou à la masturbation ? Est-ce que alors que Dieu déclare « Soyez joyeux » , en tout temps. Lorsque toi, tu te sens seul chez toi à cause de ce que tu as vécu enfant, comment on te parlait, à cause de ce que personne ne t'appelle, est-ce que tu te prosternes devant la tristesse ? Parce qu'en réalité, on ne se rend pas compte que les pratiques que nous avons, les habitudes que nous avons, les fruits que nous manifestons, c'est une forme, une manière de se prosterner. Ça a changé mon rapport au péché. Ça a changé mon rapport à la désobéissance. Vous savez, certaines personnes peuvent facilement comprendre le message de l'évangile en fonction de l'approche qu'on apporte, avec laquelle on vient de l'évangile. Il y en a qui vont être touchés lorsqu'on va leur parler des conséquences de ne pas donner sa vie à Christ, la mort, la vie en enfer, dans l'éternité. Il y en a que ça frappe, il y en a à qui ça ne dit rien du tout. Il y en a qui vont leur parler des conséquences sur la postérité, les enfants, ça va leur parler tout de suite, ça va leur parler tout de suite, ils vont se réajouter tout de suite. Il y en a qui sont encore plus ouverts, ils n'ont pas besoin d'aller plus loin, ils craignent déjà le Seigneur, alors ils manquaient juste d'informations. Et puis il y en a pour certains sujets, et cela peut être des déclencheurs en fait, ces approches différentes peuvent être des déclencheurs, peut-être pour un cas d'un péché, une situation que tu n'arrives pas à résoudre, et pas pour une autre. C'est pour ça que je prends la peine ici de donner des exemples pour que vous puissiez comprendre qu'en réalité, lorsque... On laisse la peur nous envahir, la colère, la violence, le mensonge, la paresse, la jalousie et toutes ces choses. Mais tu sais avec quoi tu luttes, qui n'est pas conforme à la parole. En réalité, il faut que tu puisses te visualiser en train de t'agenouiller et en train de poser ton front au sol, devant cet esprit, devant cette autorité. C'est ce que nous faisons. C'est juste qu'on ne le voit pas, mais spirituellement, c'est ce que nous faisons. Alors, si on va aller plus loin, vous voyez, au verset 17, il est écrit, « C'est pour cela que vous dites, allons offrir des sacrifices au Seigneur. » Eh bien, allez travailler ! Verset 18. Eh bien, allez travailler ! Ah, ça me parle ! En fait, je vois ici des oppressions dans les voix, vous savez, les voix qu'on peut entendre dans nos têtes, lorsqu'on a même envie. d'obéir. En fait, on sent comme une pression. Lorsqu'on est face à la montagne, on a une mauvaise nouvelle, un emploi perdu, je ne sais pas, ça peut être un être cher qui est parti, ça peut être une maladie qu'on nous annonce, ça peut être n'importe quoi, bien aimé. Et là, tu es en train de lutter, ta foi, ou alors le doute, ta foi, ou alors l'éloignement, ta foi, ou alors la colère contre Dieu. Et puis tu as comme cette pression-là. Tu es tenté de retourner dans ta condition d'esclave, regarde. Il y a une voie qui te pousse à aller vers cette condition d'esclave, qui te pousse à te protéger, à te protéger, à aller travailler, aller travailler. Et puis tu as des faux raisonnements qui viennent te faire culpabiliser. Regardez ce que le pharaon dit. Vous êtes des paresseux. Vous n'êtes que des paresseux. Oui, oui, oui. Cette situation reflète exactement le combat interne qu'on peut avoir chaque jour. à chaque instant face à une détresse. Quand on connaît un peu ce que la parole dit, parfois lorsque notre foi n'est pas ancrée, lorsque la vérité n'est pas ancrée en nous, lorsqu'on n'a pas accepté d'aborer notre identité, parfois on va vouloir sortir de cette condition d'esclave, on va vouloir obéir, mais il y aura comme quelque chose qui nous tire, et puis on a des faux raisonnements de la culpabilité, vous voyez, des raisons qui vont arriver dans notre tête pour nous faire croire que c'est nous le problème, pour nous faire croire que en fait la chose est arrivée. cause de nous pour nous faire croire que c'est nous le problème c'est ça en fait que c'est nous la cause que c'est nous qui avons mal fait même si c'est la maladie même si c'est un rejet que c'est de notre faute le seigneur est encore en train ici de nous montrer simplement les stratégies de l'ennemi mais nous savons tous en les ans l'isod et la fin qu'il n'en était rien parce que dieu avait déjà décidé dieu avait déjà promis peu importe ce que le pharaon a décidé ce jour là de les traiter de paresseux, d'endurcir la tâche. Dieu avait déjà promis et c'est qu'il a promis à les accomplir assurément. Parce que nous savons à la suite qu'ils sont sortis de cet esclavage de 432 ans. Bien aimé, on peut le refléter dans notre vie, en fait. On peut le refléter dans notre vie. Lorsque... Nous souffrons lorsque la détresse arrive, lorsque la saison difficile arrive, la sécheresse arrive dans nos vies, peu importe le domaine de vie. Bien-aimé, ouvre ta parole et cherche ce que Dieu dit de ta situation. Parce que la fin, tu la connais déjà. Tout ce qui va passer dans ta tête, peu importe ce que tu vas entendre, j'aimerais te demander, est-ce que tu vas décider de te prosterner ? devant Dieu et accepter ce que sa parole dit ? Ou est-ce que tu vas choisir de te prosterner devant la montagne ? C'est-à-dire encore, est-ce que tu vas choisir d'être esclave de Dieu ? Ou est-ce que tu vas choisir d'être esclave de la détresse ? Il ne tient ici qu'à un choix, mais surtout à une conscience de ce que Dieu... a déjà dit. Qu'est-ce que Dieu dit de ta situation ? Bien aimé. Dans Exode 6, verset 9, il est écrit « Moïse rapporta ses paroles aux Israélites, mais ils ne l'écoutèrent pas, tant ils étaient accablés par leur dur esclavage. » Dieu va parfois t'annoncer une promesse, te promettre quelque chose au travers de sa parole. Dieu est sa parole. Jean 1, verset 1, nous déclare qu'au commencement était la parole. La parole était avec Dieu et la parole était Dieu. C'est-à-dire que lorsque nous lisons notre Bible, c'est Dieu qui parle. En fait, nous ne sommes pas censés lire la Bible, nous sommes censés écouter la Bible. Parce que c'est Dieu lui-même, il est l'Église devant nous, c'est lui devant nous. Et donc, parfois, on va être accablé. Ça dit que Dieu va donner une promesse, mais en réalité, on aura l'impression que la situation s'aggrave. Vous voyez ce qui est écrit ici, c'est quoi ? « Ils n'écoutèrent pas, tant ils étaient accablés par leur dur esclavage. » Il faudrait que les histoires relatées... par Dieu lui-même dans la parole, nous servent simplement de d'exemples et de modèles. Dieu est en train de nous préparer à tout ce qui peut nous arriver aujourd'hui. Et nous savons déjà en réalité la finalité. Ça veut dire que sache que Dieu peut te promettre quelque chose. Dieu peut t'annoncer quelque chose dans sa parole. Et puis la situation, c'est grave. Tiens, Dieu labeur. Tiens, j'ai l'impression que tout est pire. Tiens, mais fais attention à ne pas arrêter d'écouter. Parce qu'il dit ici qu'ils n'écoutaient pas parce qu'ils étaient trop accablés. Fais attention à continuer d'écouter et à garder le regard fixé sur ce que Dieu veut. J'aimerais finir en te posant quelques questions encore. Quelle est cette situation qui te fait souffrir et qui n'est ni ton choix, ni ton désir, mais que tu as accepté ? Je vais t'inviter à prendre des notes. Parce qu'il faudrait que tu prennes vraiment un temps de méditation avec ces questions, que tu puisses t'observer. Parce que vous voyez, bien aimé, lorsqu'on médite sur quelques versets comme ça, de 15 à 18, c'est bien plus que ça. Ça révèle beaucoup de choses. Ça doit pouvoir nous ouvrir l'esprit par rapport à notre vie concrètement. Alors nous devons prendre un temps à part pour analyser la situation par rapport aux révélations qui sortent de... la lecture de l'étude de la méditation de cette parole. Quelle est cette situation qui te fait souffrir ? Est-ce que c'est une relation ? Est-ce que c'est ton travail ? Est-ce que c'est une envie ? J'en sais rien de tes enfants. Est-ce que c'est financièrement ? Est-ce que c'est ta santé ? Qu'est-ce que c'est ? Quelle est cette situation qui te fait souffrir et qui finalement n'est ni ton choix, tu ne veux pas ça, ce n'est pas ce que tu veux, ce n'est pas ton choix ni ton désir, mais que tu as fini par accepter. C'est-à-dire que tu es, ça ne va pas ce que tu veux, ça te fait souffrir, mais tu l'as accepté. Il décide aujourd'hui. Il est temps que tu refuses cela. Parce que lorsque tu l'acceptes, tu es courbé toute ta vie. Tu marches le dos courbé et les genoux au sol toute ta vie. Tu es en train de te prosterner toute ta vie alors que tu es un enfant de Dieu. Une autre question, c'est est-ce que tu te vois en-dessous ou au-dessus de cette montagne ? Comment est-ce que tu te vois toi-même par rapport à cette situation ? Est-ce que tu te sens capable ? Est-ce que tu te vois ? Est-ce que tu te projettes dans la victoire ? Est-ce que tu te vois dans cette maison que Dieu t'a promis ? Si tu es aujourd'hui, tu n'as pas de maison. Est-ce que tu te vois guéri par rapport à cette maladie comme elle t'a annoncé ? Est-ce que tu vois un autre diagnostic par rapport à une annonce d'un médecin que tu viens de recevoir pour un membre de ta famille ? Est-ce que tu vois ton compte bancaire avec au moins... 12 chiffres. Ah bien-aimé, je déclare dans ta vie, aujourd'hui tu arrêtes de te prosterner. Je te vois debout, marchant, tête haute, poitrine bombée dans le nom puissant de Jésus-Christ. Je déclare quelqu'un qui entend ce message, arrête de se prosterner et deviens esclave de Dieu. Je déclare que quelqu'un qui entend ce message, dit stop à l'esclavage dans sa vie. Ah, la troisième question c'est, est-ce que tu subis ? Est-ce que tu t'es donc soumis ? Est-ce que tu t'es prosterné ? La parole nous déclare dans le psaume 82, verset 6, que nous sommes des dieux. Est-ce que tu te vois comme un dieu ? Il faut que tu puisses te projeter, il faut que tu puisses voir. Fais cet exercice. Je vous ai dit précédemment, la visualisation est extrêmement puissante. Le Seigneur m'a révélé que c'était une des clés que j'avais inconsciente depuis que je suis petite. Moi, je peux être comme ça avec les gens. mais je suis en train de naviguer dans, je crée des scénarios dans ma tête, je me plonge dedans. Et ça crée une énergie positive, un enthousiasme, une foi, une force en moi. Souvent quand je me mets à faire des choses, les gens ne me comprennent pas. Il n'y a qui parle juste d'endurance. Alors qu'en réalité, Dieu m'a révélé que c'est parce que je fais ça automatiquement, je me projette, je me… C'est-à-dire que je vois ce que je veux. Je le vois, je le touche littéralement. Alors bien aimé, apprends à visualiser, apprends à te projeter, apprends à voir. Il faut que tu puisses percevoir. C'est-à-dire que tu fermes tes yeux. Vraiment, c'est un exercice à faire. Ferme tes yeux. Maintenant, si c'est ta maison, si c'est ton travail, si c'est un enfant, prie, peu importe ce que c'est, c'est les finances. Ferme les yeux. Prie. Invite le Saint-Esprit. Et maintenant, pense à ce que tu veux. Vois-le. Vois-le dans ton imagination. Sois créatif. Sois créatif. Je dis, sois créatif. Ne mets aucune limite. Notre père n'a pas de limite. Alors toi, il t'a donné ce pouvoir d'être créatif, d'avoir une imagination. C'est une grâce, c'est un don de pouvoir imaginer, de pouvoir créer dans sa tête. Mais on le néglige. Alors s'il te plaît, vois-toi comme un Dieu. Ne te prosterne plus et sois esclave de Dieu. Accepte et manifeste ta vraie identité d'enfant de Dieu. Il déclare que tel il est, tel nous sommes. vois-toi comme Dieu, mais tu vois là où tu peux être limité c'est qu'en fait si tu ne sais pas comment Dieu est ça va être un peu difficile de te dire il est comme ça, moi je suis comment voilà pourquoi il faut que tu lises encore une fois les écritures quand tu lis les écritures, bien aimé, je veux te dire autre chose lorsque tu lis tes écritures prends le temps, crée le scénario que tu as en train de lire dans ta tête et rentre dans ce scénario là tu vas vivre l'histoire avec ton âme avec tes émotions toi-même c'est-à-dire que tu vas voir, par exemple on va te dire que Moïse a été tendu son bras et puis la main s'est ouverte, mais moi, j'ai déjà créé le film là dans ma tête. C'est-à-dire que quand j'ouvre la Bible, j'ai hâte, un peu comme si je venais même en colis, un peu comme un film d'action. Je suis plongée dedans et je prie que ce soit ton partage dans le nom de Jésus. Je déclare que lorsque ta manière de lire la Bible change aujourd'hui dans le nom de Jésus, tu ne viens plus lire la Bible, tu viens vivre la Bible. Amen. Bien-aimé, je termine en te disant, la Bible nous déclare dans 2 Corinthiens 12 au verset 7, de marcher par la foi et non par la vue. Bien-aimé, la foi, c'est ce que tu es en train d'accepter avec assurance, que tu vois, que tu perçois et auquel tu crois. ta vue, c'est ce que la situation te montre. Et j'ai déjà donné mon témoignage, mais je vais le redonner dans ce message. Vraiment très bref, parce que je n'ai pas le temps de donner les détails. Par la grâce de Dieu, je pourrais donner les détails plus tard encore. Mais j'ai commencé à avoir des palpitations au cœur et de fortes douleurs à la poitrine il y a quelques semaines. J'étais tranquille. Je savais juste que ce n'était pas normal. Il y avait un truc bizarre. Parfois, c'était comme si mon cœur allait arrêter de battre. J'avais mal à la poitrine. Et puis, j'ai commencé même à avoir des étourdissements. Et ça ne m'arrive quasiment jamais. Par la grâce de Dieu, je ne suis pas une personne qui a beaucoup de problèmes de santé. Vraiment, gloire à Dieu. Ça veut dire que je l'ai senti par mon cœur, vraiment, qui tapait au point de vouloir s'arrêter. C'était très, très inconfortable. Et les étourdissements accéléraient. Et puis... les douleurs à la poitrine et les palpitations étaient de plus en plus fréquentes, au point où ça devenait vraiment très régulier dans la journée. J'en ai parlé à des responsables, etc. À la base, je ne voulais pas aller aux urgences, parce que je savais que c'était spirituel. En fait, l'esprit me donnait cette paix-là. Donc, je savais qu'il y avait quelque chose, une activité démoniaque autour de moi. Mais j'étais tranquille. La Bible déclare dans Philippiens 4, verset 6, c'est un de mes versets préférés, « Ne vous inquiétez de rien. » Dès que je me redis cette phrase, Je reste tranquille. Je dis, Seigneur, je te donne cette situation. Et puis, je me suis rappelée que Dieu m'a dit, il faut me demander. Qui va t'annoncer les choses cachées, les grandes choses, les choses cachées que tu ne connais pas ? C'est vraiment Jérémie 33, verset 3. Alors, j'ai dit, Seigneur, montre-moi. Montre-moi ce qui se passe. Montre-moi ce qui se passe. Qu'est-ce qui se passe en ce moment autour de moi ? Qu'est-ce qui se passe avec ce cœur ? Montre-moi. Et il m'a révélé qu'il y avait deux à trois entités, donc bien un rêve qui m'a montré, encore une fois je ne peux pas montrer détaillé tout, mais il m'a montré dans le rêve, j'étais avec mes filles, et on nous a enfermées dans une pièce, j'étais avec d'autres personnes. Et il y a ces démons-là qui sont entrés et on leur a dit « Exterminez-les tous » . Dieu m'a montré ce qui se passait spirituellement. J'avais reçu un mandat d'extermination avec nous. Vous voyez, ça veut dire que je n'avais plus besoin de prier pour qu'il n'y ait rien dans mon cœur en fait. Je savais ce qui se passait, alors je pouvais faire des prières stratégiques. Alors je ne sais pas à qui ça parle ce témoignage, mais vous voyez, ça c'est un exemple de marcher par la foi et non par la vue. C'est-à-dire que ma vue me disait que mon cœur me fait mal, ma vue me disait que ma poitrine me fait mal, et puis, bien aimé, je suis allée quand même aux urgences sur recommandation de ma bergère. Au fond de moi, je vous dis la vérité, je ne voulais pas aller parce que je savais que le Seigneur allait me parler et allait me donner les instructions, mais je suis allée, j'ai obéi. Et par sa grâce, comme Dieu est parfait, il sait comment il fait toutes choses. lorsque j'arrive, effectivement, je fais 17 de tension, je ne suis même pas au courant. Ça veut dire que je faisais même déjà cette tension peut-être depuis, mais le Seigneur me gardait. Je n'ai fait aucun malaise, je ne suis pas tombée. L'infirmière a commencé à paniquer, moi je ne comprenais même pas pourquoi elle paniquait, je me sentais bien. Et puis le médecin sur lequel je tombe, c'est un frère de l'église. Dieu m'avait déjà précédée, il m'envoyait des signes pour me dire, « Va-tu-en-bas, je te garde. » J'ai positionné mes éléments partout. Bien aimé, marcher par la foi et non la vue, signifie qu'il y a des choses que tu vas voir, il y a des choses que tu vas vivre, il y a des choses que ton corps va sentir. C'est-à-dire que tu vas sentir la manifestation dans ton corps. Mais c'est juste les séquelles de ce qui est en train de se passer spirituellement. Ça ne veut pas dire qu'il y a un problème. Parce qu'on a fait tous les examens, bien aimé. Et comme c'est un frère, justement, je lui ai bien expliqué que ça c'est une attaque spirituelle, il a dit, bon, on va mettre le paquet. Il a fait tous les examens possibles et imaginables. tous négatifs. Il n'y avait rien. Ça veut dire qu'il y a quoi ? Des symptômes ? Pour te faire paniquer ? Pour venir ébranler ta foi ? Parce que dès que tu as la foi qui descend, tu commences à avoir peur. Tu as ouvert une porte. Ah, mais il est choué dans ma vie au nom de Jésus. Je déclare qu'il est chou dans ta vie au nom de Jésus. Je déclare que peu importe ce que tu vois avec tes yeux, le diable n'arrive pas à passer dans ta vie au nom de Jésus. S'il y avait une situation devant laquelle tu te prosternais, qui te faisait peur, je déclare que tu te lèves contre cette situation. Et tu la chasses dans le nom de Jésus. Je te montre, je vois Dieu te montrer ce qui se passe. Et je te vois tenir ferme, écraser tout ce qui se lèvera de toi dans le nom puissant de Jésus. Marcher par la foi et non par la vue, ça signifie qu'il y a des choses que tu vas vivre. Tu vas les sentir. C'est tout ce que la réalité te dira. Mais ce n'est pas vrai. Ta foi te révélera ce qui se passe vraiment. Bien aimé. Et après quelques temps de prière, même pas trois jours. On a bombardé, on a exterminé ces démons au nom de Jésus. On les a écrasés. Je me suis levée moi-même en premier parce que ce n'est pas quelqu'un qui va venir combattre pour ta vie. Il faut d'abord te lever toi-même. Tu les tailles en pièces. Je te vois tailler en pièces ceux qui se lèvent dans ta vie au nom de Jésus. Je te vois les écraser au nom de Jésus. Et puis c'est terminé ma soeur. Comme je te dis là, jusqu'à aujourd'hui, plus aucune palpitation, plus aucune douleur à la poitrine, plus aucune... aucun étourdissement, bien aimé, marcher par la foi et non la vue. Tu vas sentir des choses dans ton corps, ça va te paraître réel, mais ce n'est pas vrai. C'est un mensonge du diable. Ce sont les conséquences, ce sont des signaux, des signaux que tu ressens. Soit c'est peut-être des séquelles de la bataille spirituelle qui est en train de se jouer spirituellement et donc tu sens les conséquences de ton corps d'une manière ou d'une autre. Soit c'est juste des intimidations, mais ce n'est pas vrai. Ne te fie pas à ta vue, ne te fie pas à la réalité. Fie-toi à ce que la parole dit. Et la parole dit, je combattrai pour vous. Je ne t'abandonnerai pas. Je suis l'éternel des armées. Bien aimé. Marche par la foi et non la vie. Et vis. La parole vit, les Écritures ne lient plus. Écoute et vis dans le nom puissant de Jésus-Christ. Nous devons la voir, Seigneur. Merci. Ta parole est puissante, magnifique. Elle est merveilleuse. Merci Seigneur de nous avoir laissé ce trésor. Merci d'être là avec nous. Mais quelle grâce. Mais quelle grâce. Ta parole est vraie, elle est parfaite. Elle ne ment pas. Elle est... Waouh, merci Père. Pardonne-nous de ne pas comprendre ta profondeur, ta perfection. Pardonne-nous de ne pas comprendre. Aide-nous à comprendre les Écritures. Aide-nous à ouvrir nos cœurs et à vivre ta parole. Attire-nous dans ta parole. Aide-nous à venir avec un cœur ouvert. Donne-nous la grâce Seigneur. devant l'ennemi, mais de nous prosterner devant toi, le Créateur du ciel et de l'univers. Yahweh, Sabaoth, ne t'aimais désarmé. Donne-nous la grâce, Seigneur, de ne plus accepter une situation qui ne nous convient pas et que tu n'as pas décidé, tu n'as pas dit dans ta parole. Donne-nous la grâce de refuser de nous lever contre cela et de manifester notre caractère de Christ en Christ, notre identité en Christ. Ah Seigneur, ouvre nos yeux. Donne-nous la grâce d'avoir la Merci. conscience de notre identité en Christ Seigneur donne-nous la grâce de ne plus nous soumettre nous refusons, nous ne voulons plus nous soumettre alors Seigneur embrasse-nous, consume-nous par un nous bouillant et fervent dans le nom de Jésus, donne-nous la grâce Seigneur de marcher par la foi et non par la vue, augmente notre foi s'il te plaît donne-nous la grâce de tenir ferme devant l'ennemi Seigneur, afin que ton nom t'a renommé soit entendu jusqu'aux extrémités de la terre, dans le nom puissant de Jésus-Christ. Amen.
