Speaker #0Hello, hello ! Bonjour à toutes, bonjour à tous et bienvenue dans ce podcast Coeur à Coeur avec Dieu. Chaque jour, laisse Dieu te parler au travers de sa parole. Dans ce podcast, nous partagerons des exhortations brèves, puissantes et guidées par l'amour pour t'aider à méditer les Écritures. profondément, versé après versé, pour t'aider à guérir, à être éclairé, affermi, mais surtout faire la rencontre de Dieu tel que tu ne l'as jamais eu, afin de vivre une relation intime et vivante avec lui. Alors installe-toi bien, dispose ton cœur, dispose ton environnement, dispose tes pensées nous entrant dans sa présence. Hello, bien-aimés, je crois que ce jour, cette lumière, ce jour que Dieu a créé vous trouve en pleine forme, rempli de foi, rempli de positivité, rempli de paix. Nous rendons grâce à Dieu pour ce jour, pour sa parole, pour sa présence, pour sa fidélité. et pour les révélations qu'il ne cesse d'apporter. Alors Seigneur, nous te prions, ce que tu fais, viens prendre le contrôle de cet échange, viens nous parler, prends le contrôle de mes pensées, prends le contrôle de ma bouche, et parle-nous, parle-nous, exprime-toi, montre-nous le chemin, corrige-nous, enseigne-nous, forme-nous, exhorte-nous, restaure-nous, transforme-nous par ta parole, au nom de Jésus-Christ. Amen. Le titre de mon message ce jour est « Je ne le connais pas » . Je ne le connais pas. Nous allons lire en version Nouvelle-Française courant dans Exode. Nous allons lire Exode 5 du verset 1 au verset 3. Après ces événements, Moïse et Aaron allèrent trouver le Pharaon et lui dirent, voici ce que déclare le Dieu d'Israël, laisse partir mon peuple pour qu'il aille célébrer une fête en mon honneur dans le désert. Le Pharaon répondit, qui est ce Seigneur que j'écoute sa voix et laisse partir les Israéliens ? Je ne le connais pas et je ne vous laisserai pas partir. Moïse et Aaron reprivent. Le Dieu des Hébreux s'est manifesté à nous, permet-nous d'aller à trois jours de marche dans le désert pour offrir les sacrifices au Seigneur, notre Dieu. Sinon, il pourrait nous faire mourir par la peste, par la guerre. Ah, chérie ! Alors, pendant que je lis, bien aimé, je suis encore en train de recevoir mes choses. Merci, Saint-Esprit. Alors, le titre de mon message, je ne le connais pas. Pourquoi ? Parce que c'est ce que le Pharaon a répondu lorsqu'on lui a parlé de Dieu et de ce qu'il demandait et de ce qu'il déclarait. Il a dit, je ne le connais pas. C'est qui ce Seigneur pour venir me donner des ordres, venir me demander de lâcher mon trésor, mes ouvriers, mes esclaves ? Et là, vous voyez, bien aimé, j'avais déjà passé cette partie. du texte. Précédemment, dans le précédent message, si vous vous rappelez, on a partagé sur Exode 5 du verset 4 au verset 14. Et là, je venais relire encore. J'essaye vraiment de relire, de prendre l'habitude de relire encore. Et je relis, je remonte au verset 1 et là je relis et puis je suis frappée. Je me dis mais comment ça tu ne le connais pas ? Et j'ai eu comme un flash. Je me suis dit attends. Comment est-ce que je pourrais présenter le Seigneur à quelqu'un qui me dit ? Ça m'a interpellée. Je me suis demandé, est-ce que je suis prête ? J'avais tous les mots préparés, comme si j'allais faire une présentation devant des clients d'envergure. Est-ce que je me suis préparée ? Est-ce que j'ai les mots qui sont prêts ? Est-ce que je suis capable d'argumenter devant un chef d'État ? devant une assemblée, devant des incroyants, mais d'une certaine classe élevée, est-ce que je suis capable d'argumenter ? Est-ce que j'ai les arguments prêts pour présenter mon Seigneur ? Pour ne plus entendre cette phrase, je ne le connais pas. Pour ne plus entendre qui est ce Seigneur, est-ce que j'ai les arguments prêts pour montrer qui est mon Seigneur ? Et c'est l'exhortation finalement de ce jour. Vous voyez, est-ce qu'on a déjà pris le temps d'écrire ce qu'on sait de Dieu avec nos mots ? Je ne suis pas en train de dire qu'il y a une bonne ou une manière ou qu'il y a des mots spécifiques. Là, vraiment, juste faire cet exercice de se dire... En fait, je vais m'asseoir, je vais avoir mon cahier, peut-être mon journal spirituel, qui n'est pas le journal d'Action de Grâce. Et je vais simplement écrire tout ce que je sais de Dieu, peu importe la source. Que ça a été lors d'une prédication, que ça a été lors d'une retraite, que ça a été lors d'une veillée, que ça a été lors d'un échange avec des frères et sœurs en passant comme ça, que ça a été en famille d'impact, peu importe, que ça a été en méditant la parole. On a commencé à le faire dans le groupe, mais c'était trop formel. C'est utile, nous allons continuer. Mais ce que je veux dire, c'est faire cet exercice personnellement et intentionnellement dans le but d'avoir des arguments pour présenter et faire connaître notre Seigneur. Parce que ce n'est pas la même chose. Je peux décider d'apprendre à connaître Dieu juste sans but. En vérité, c'est inconscient, c'est très inconscient. Mais en fait, ici, je suis interpellée, l'esprit m'a interpellée sur le fait que tu dois pouvoir le faire en te préparant dans ta tête, en te prédisposant à sortir ça comme des cartouches, comme des jokers, comme des cartes pour faire connaître Dieu. À la fin de la journée, nous sommes ses enfants. Mais est-ce que nous sommes capables de présenter notre Père sans bégayer ? Est-ce que nous sommes capables de présenter notre Père, notre Dieu, notre Seigneur avec assurance ? et l'esprit m'interpellait sur le fait que ça demande de la préparation. De la même manière qu'on se prépare pour aller passer un entretien, on se met devant la glace, j'espère que vous faites ça, on se met devant la glace, on regarde, on fait des recherches sur l'entreprise, on note, on prend des notes, on imagine même les questions qu'on peut nous poser. Ah, by God, est-ce qu'on a cette attitude pour que notre Dieu, on soit prêt à le faire connaître à ceux qui ne le connaissent pas ? Je ne parle pas ici des approches habituelles, habituelle. ou on va juste venir lister des versets à la suite. C'est bien, c'est la parole, elle est puissante. Mais je parle d'un cœur à cœur, je parle d'un autre niveau qui vient compléter la parole, mais qui parle vraiment d'une intention profonde de rechercher et de se préparer à être prêt en fait, à être une voix. Vous voyez ce que je veux dire ? Comme on se prépare pour aller à un entretien, on se prépare pour aller gagner, réussir cet entretien. On doit avoir cette attitude. C'est comme un soldat qui va à la guerre. Il se prépare mentalement, physiquement, en termes de vêtements, en termes d'équipement. En fait, c'est de cette manière, Scrum, il sait que c'est de cette manière qu'on doit sortir tous les jours de chez nous. Ça commence par faire quoi ? S'asseoir. Et juste sans forcément prendre la Bible, on a vécu nous toutes avec le Seigneur. C'est écrire seul à seul ce qu'on a pu, ce qu'on connaît, ce qu'on sait du Seigneur. Ensuite, ça va être, en deuxième point, écrire les expériences qu'on a vécues avec lui. Bien évidemment, ça va certainement être lié avec des moments où on a eu de l'exhaustion, mais je parle d'autres formes d'expériences aussi. Parce que rappelez-vous, notre but, c'est de faire connaître le Seigneur. Sauf que la manière de faire connaître le Seigneur va dépendre aussi de la relation qu'on a eue avec lui. Regardez, Aaron et Moïse ont répondu. Le Dieu des Hébreux s'est manifesté à nous, permet-nous d'aller trois jours dans le désert, etc. Et puis il dit, sinon, il pourrait nous faire mourir par la peste. Mais regardez, quand on lit la suite, le Pharaon, ça ne lui a rien dit. Ça veut dire que parfois, il y a un type d'argument, ça ne va pas suffire. Le fait d'être bref, d'être succinct, ça ne va pas suffire. Il va falloir plus, il va falloir aller en profondeur, il va falloir avoir des arguments prêts. Ce n'est pas sur le moment-là qu'on doit se mettre à réfléchir, non. Parce que des pharaons, il y en a plein dehors. Alors, l'idée, c'est de s'asseoir et d'écrire des expériences vécues. Ça dit dans le même cahier, le journal spirituel, une partie que vous allez créer, comment faire connaître mon Dieu. En fait, il s'agit d'utiliser ses propres mots dans tous les cas, que ce soit pour la partie où on écrit ce conseil de Dieu. C'est vraiment de pouvoir avoir une discussion avec une personne à qui on veut vraiment faire connaître Dieu. Ça veut dire que ça doit être authentique, avec nos propres mots. Comment écrire ? C'est-à-dire écrire les expériences qu'on a vécues et nous projeter. en train de présenter ces expériences-là aux personnes à qui on est en train de faire connaître le Seigneur ? Est-ce qu'on peut se projeter ? Est-ce qu'on peut visualiser un échange avec une autorité ? Une personne, une autorité qui ne connaît pas le Seigneur. On commence par lui dire, avec les mots, ce qu'on a préparé. Après, c'est être mis devant la glace, se projeter. Mon Dieu, il est grand, il est Seigneur, il est le Créateur, c'est le Lumière. Ok, certes, mais ça doit être avec nos mots. Et au moins, on doit être préparé. C'est-à-dire qu'on doit retenir cela. On doit retenir, quand tu vas en entretien, tu retiens ce que tu vas dire. Et à force de pratiquer, de te préparer, tu gagnes en confiance. Tu ne viens pas bégayer. Ensuite, on va se rappeler qu'on s'est préparé en train de répéter, « Ah là là, lorsque j'ai eu des attaques de maladie, je n'avais personne de diagnostic, je disais ça. Je suis allée voir le médecin, c'était ça le diagnostic. Alors j'ai mis mes genoux au sol, j'ai prié. Et Dieu m'a répondu, il a changé le diagnostic. Il est puissant. » Quelle a été la finalité ? Quels sont les mots qui sont sortis de ton expérience ? Il faut que tu te projettes en train de les dire et que tu sois prête à les dire. Ensuite, c'est réfléchir à comment tu peux rendre intéressant la présentation, en fait. Intéressant la présentation. Comment tu peux rendre intéressant Dieu ? Pourquoi ? Parce que, vous voyez, il faut juste s'imaginer. Il a dit, le Pharaon a dit « Qui est ce Seigneur ? » pour que j'écoute sa voix. Quand tu dis « Qui est ce Seigneur ? » , ça veut dire que… En fait, il est rien. En gros, il faut qu'on puisse lui donner suffisamment d'arguments pour faire que le Seigneur soit intéressant pour qu'il écoute sa voix. Parce que quand il dit « Qui est ce Seigneur pour que j'écoute sa voix ? » c'est un peu comme si il disait que le Seigneur est inintéressant, il n'a pas de valeur. Il est qui ? Pourquoi est-ce que j'écouterais sa voix ? Qu'est-ce qu'il a d'intéressant ? Qu'est-ce qu'il peut m'apporter ? Quelle est sa valeur ? Alors, l'idée c'est vraiment de s'asseoir maintenant à les plus en profondeur et de réfléchir à comment je peux vendre mon Seigneur. En fait, ça doit être intentionnel. Comment je peux le rendre intéressant dans ma narration, dans ma présentation, dans mes arguments ? Bien aimé, c'est une histoire personnelle avec l'esprit. Comment est-ce que je peux présenter le Seigneur pour qu'on ait envie de l'écouter, lui ? Pour qu'on ait envie de s'intéresser à lui ? Il ne s'agit pas juste de répéter le verset. Il faut être sage, il faut être stratégique. Il faut demander la aide du Saint-Esprit. Comment on peut rendre intéressant les arguments qu'on donne pour faire connaître Dieu, pour qu'il soit suffisamment intéressant qu'on le suive avec nos propres mots, basé sur nos expériences, basé sur ce qu'on sait de la parole, basé sur ce que l'esprit nous met à cœur. Et puis le dernier point, c'est pendant que j'étais en train de finir la méditation, le Saint-Esprit m'a fait penser à des amis. Et il m'a dit, imagine que tu as une amie, Tu es très proche d'elle, vous êtes intime. Et tu te retournes dans une situation où tu dois la présenter. Qu'est-ce que tu dirais d'elle ou qu'est-ce que tu dirais de lui ? Alors là, ça m'a rappelé quoi ? C'est qu'en fait, je ne peux pas forcément avoir beaucoup d'arguments ou d'assurance. En réalité, si je n'ai pas beaucoup passé de temps avec cette amie, si je n'ai pas posé des questions, ce n'est pas possible en fait. Vous voyez ? Et ça revient à nous dire que... En fait, pour rendre Dieu intéressant, ou pour présenter le Seigneur à des personnes qui ne le connaissent pas, il faut qu'on passe du temps avec lui, tel qu'on passerait du temps avec un ami. Il faut que nous-mêmes, en fait, on aime ce qu'il est. De la même manière qu'un ami, on va l'aimer peut-être parce qu'elle est drôle, elle nous fait nous sentir bien. Mais en fait, on doit pouvoir, après avoir découvert les facettes, ou les attributs, les traits de caractère de Dieu, On ne doit plus le tenir éloigné de nous. Il est très proche, il est là. C'est une personne, un esprit en fait. Il a des choses qu'il aime, des choses qu'il n'aime pas. Il a une personnalité, il a un caractère, il a une mentalité. Il a des aspirations, il a des rêves, il a des craintes, il a des douleurs, il a des souffrances. En fait, je voudrais qu'on puisse analyser la relation qu'on peut avoir avec Dieu dans le sens où ne plus complexifier cela, ne plus complexifier Dieu, mais le voir vraiment comme une personne. Et pouvoir se dire, à chaque fois que je vais dire la parole, à chaque fois que je vais entendre parler de lui, je vais juste me focaliser sur qui il est pour apprendre à le connaître. Comme j'apprendrais à connaître une amie. Quand je parle avec quelqu'un au début de notre relation, en fait, je l'écoute, je note des petites préférences, des choses qu'elle aime, des choses qu'elle n'aime pas. Et puis, j'ai commencé à avoir peut-être une affinité avec elle. Il y a une raison, qu'est-ce que j'ai fait ? En fait, inconsciemment, elle a fait quelque chose qui m'a plu, mais je l'ai gardé, je l'ai retenu. Parfait, ça va être cette attitude qu'on doit venir dans la parole. Ça va être cette attitude qu'on doit venir lorsqu'on écoute un enseignement. Même quand on écoute ce genre de messages d'exhortation, c'est toujours ressortir en nous disant « Ah mince, qu'est-ce que je suis en train d'apprendre finalement de ce nouvel ami ? » Parce que le Saint-Esprit, c'est l'Esprit de Dieu. Si j'arrive à discerner, à connaître, à être en intimité avec le Saint-Esprit, je suis en intimité avec Dieu en fait. C'est accepter de voir Dieu, le Saint-Esprit, comme un être qui est vraiment proche, qui est un ami, Jésus c'est notre ami en fait. Comme on le ferait dans une relation classique. S'intéresser et accepter. Vraiment, souvent on va rentrer chez nous et puis on va ressasser la scène, n'est-ce pas ? Quand on a vécu une scène avec un ami, on est sorti au cinéma, au restaurant. Quand on va rentrer, on va s'asseoir et puis on va y penser. Ce qu'on a fait, on a pris la glace, on a rigolé, on a joué à tel jeu. C'est la même attitude. Lorsque j'étais à l'église, j'ai ressenti ça. J'arrive chez moi, je suis en train de manger. Je suis en train de me voir. J'imagine le Seigneur qui était à côté de moi. il était peut-être en train de me faire des guilis Et je me suis sentie bien, il était en train de me caresser l'épaule, de me caresser les cheveux. Et en fait, je me suis sentie bien. Ce sont des choses qui nous rapprochent de Dieu. Vous voyez, mais ça demande d'être très intentionnel, d'arriver chez soi, de s'asseoir et de repenser à ce moment qu'on a passé avec le Seigneur. Et ça va faire quoi ? Petit à petit, on va apprécier les moments avec lui et on va apprécier qui il est, parce qu'on ne s'illumitera plus juste à qui il est. pour l'adorer parce qu'on nous demande de l'adorer, parce que c'est ce que la parole demande. Mais en fait, on sera en train de l'aimer parce qu'on est vraiment impliqué dans cette relation, comme on sera impliqué dans une relation humaine. À la seule différence, qu'à force de le connaître, nous aurons aussi naturellement la conscience qu'il est Dieu. Il est Dieu, en fait. Bien aimé. Je suis tellement heureuse de partager ce message parce que la vérité, c'est que je n'avais pas prévu de dire tout ça. J'avais reçu deux, trois points, mais je n'avais pas prévu de dire les choses comme ça. Il y a des choses que j'ai eu à dire tout de suite, que l'esprit me poussait à dire. Ce n'était pas prévu. Et je vous dis souvent que j'ai l'habitude de réécouter mes messages moi-même. C'est vrai parce que le Saint-Esprit est avec nous, en fait. Le Saint-Esprit est nous. et yari alain de ripa ya à lui et baba baba ya eu des babas des bains et nous limitons plus aux simples présentations à répéter les choses qu'on entend sur dieu c'est bien de le le faire, mais allons en profondeur à cause de ce qu'on aura. appris à connaître Dieu, on se sera intéressé à lui. Et surtout à cause de ce qu'on aura appris à aimer, qui il est, pas parce qu'il nous le demande, mais parce qu'on le considère comme un être, un esprit, que nous sommes aussi. Haché de Kiritaka. Père éternel, nous t'en rendons grâce pour ce moment. Nous te prions, s'il te plaît, pour toute personne qui va écouter ce message. Je te prie, Seigneur, s'il te plaît, d'ouvrir son intelligence, d'ouvrir son cœur, de renouveler complètement son rapport à toi, de renouveler complètement son rapport à qui tu es. Permets-lui de voir les choses comme toi. Pas les choses en général, mais de te voir comme tu veux, comme tu es. Donne-nous la grâce d'enlever toutes les barrières qu'on a éligées entre toi et nous. Donne-nous la grâce de simplifier. Tu nous dis dans ta parole d'être simple. Je donne la grâce d'appliquer cette simplicité, pas seulement dans notre vie, mais aussi avec toi. Donne-nous la grâce d'être simple et donne-nous la grâce d'accepter. que tu te révèles à nous comme tu es. Parce que parfois, tu veux même te révéler. Mais en réalité, c'est nous même qui, nous, inconsciemment, nous nous opposons à ce que tu te révèles à nous parce que tu sais comment on va réagir. Alors, tu ne te révèles pas. Alors, Seigneur, donne-nous la grâce, s'il te plaît, de te permettre de te révéler à nous avec simplicité telle que tu es. Donne-nous la grâce de préparer, ah Seigneur, les arguments intentionnellement de la même manière qu'on met de l'énergie pour se préparer à un entretien. Donne-nous la grâce consciemment, intentionnellement, sans avoir besoin qu'on nous dise, sans avoir besoin de suivre un protocole, des étapes, mais d'aller nous-mêmes chercher et naviguer dans cette relation. Donne-nous la grâce de te voir comme une personne. Donne-nous la grâce. Vraiment de nous rappeler et de noter chaque chose que tu nous révèles de toi. Donne-nous la grâce aussi, ah Seigneur, d'accepter chaque chose que tu nous révèles de toi. Parce que tu peux nous révéler des choses de toi et on ne l'accepte pas. Parce qu'il y a toujours cette barrière, il y a toujours cette distance. Donne-nous la grâce d'accepter cela, parce que sans accepter cela, on ne peut pas sincèrement aimer cela. Comme on aimerait une copine qui rit aux éclats. Ah Seigneur, donne-nous la grâce d'accepter. Et que le fait de t'aimer ne soit pas une formalité, ne soit plus un p... poids, que le fait de t'aimer ne soit plus une école, mais une relation, mais une expérience, mais un sentiment sincère et pur. Donne-nous la grâce de te voir à côté de nous, assis à côté de nous. Ah Seigneur, nous touchons comme nous sombrons avec des êtres dans le monde. Ah Seigneur, donne-nous la grâce de te voir tel que tu es. Donne-nous la grâce Seigneur de nous préparer pour défendre ta cause. Donne-nous la grâce de nous préparer pour défendre. Ah Seigneur, ta voix de te rendre intéressant. comme nous le ferions pour défendre ou argumenter en faveur d'une amie, d'une amie qu'on aime ou d'un ami qu'on aime. Donne-nous la grâce, Seigneur, de mettre la même intensité, la même profondeur, le même sérieux. Ah Seigneur, pour toi, donne-nous la grâce de tes âmes, de tes dimensions, au sein des personnes qui argumentent pour toi, qui te rendent intéressée. Pas parce que tu nous le demandes, pas parce que c'est écrit dans la Bible, pas parce qu'on nous l'enseigne avec des étapes, parce qu'en réalité on vit cette relation. Georges, ta gloire vers Jésus-Christ. Amen.
