Speaker #0Pendant deux ans, j'ai couru après l'algorithme Instagram. Deux à trois heures par jour à créer du contenu, tester les nouveautés, être présente en story. Résultat, un burn-out. Aujourd'hui, je vous raconte ce qui a changé quand j'ai décidé d'arrêter. Bienvenue dans Communiquer avec Sens, le podcast des entrepreneurs du vivant qui ne se reconnaissent plus dans leur communication. Je suis Émilie Lemaitre, révélatrice de mission et mentor en slow communication. Chaque jeudi, je vous aide à révéler votre pourquoi profond, structurer votre message et retrouver la joie de communiquer avec une approche slow, éthique et sans bullshit marketing. C'est parti pour l'épisode du jour. Bonjour et bienvenue dans Communiquer avec Sens, vous écoutez l'épisode 49. Aujourd'hui, je vais vous raconter quelque chose d'un peu personnel, mais qui je pense va résonner avec beaucoup d'entre vous. Pendant deux ans, j'ai couru après l'algorithme Instagram, et je dis bien couru. Je publiais trois fois par semaine, j'étais présente en story tous les jours, Je testais toutes les nouveautés de la plateforme. Je passais 2 à 3 heures par jour à créer du contenu, analyser mes statistiques, scroller, me comparer aux autres. Et puis un jour, j'ai craqué. Je me suis dégoûtée du réseau. J'ai fait un burn-out complet. J'étais vraiment épuisée. Ça fait maintenant 3 ans que j'ai arrêté cette course à l'algorithme, cette course au réseau social. Et je vais vous dire tout ce qui a changé. Alors si vous aussi vous êtes fatigué de courir après l'algorithme, si vous avez l'impression de travailler pour Instagram ou pour LinkedIn ou pour toute autre plateforme plutôt que pour votre business, cet épisode est pile pour vous. Alors en premier point, j'ai envie de vous dire vraiment concrètement à quoi ça ressemblait ma vie quand je courais après l'algorithme parce que je pense que c'est important de mettre des mots sur cette réalité. Je checkais Instagram. avant même de réfléchir à ce que je devais faire dans la journée. Combien est-ce que mon post d'hier avait eu de likes ? Est-ce que des personnes avaient commenté pendant la nuit ? Est-ce que j'avais des messages privés ? Combien de vues avait mon reel que j'avais posté il y a deux jours ? Est-ce que ça avait évolué ? Est-ce qu'il y avait des personnes à qui je devais répondre ? Voilà, donc ça c'était déjà la première chose que je faisais. Ensuite, forcément j'allais un petit peu scroller, au moins 30 minutes. à la base c'était pour m'inspirer En réalité, je me comparais, je regardais tout ce que les autres faisaient, tout ce que mes concurrents faisaient, tout ce que les entrepreneurs qui disaient avoir de grandes réussites faisaient. Et du coup, je notais mentalement, ah bah tiens, elle, elle a testé ce nouveau format, il faudrait que je le fasse aussi. Ah ouais, elle, son carousel, il est top, il faudrait que je m'en inspire. Et donc, j'enregistrais plein, plein, plein, plein de contenus. Et l'après-midi, je créais le contenu. Je reprenais tout ce que j'avais enregistré et par exemple pour les carousels, je me disais ah oui du coup elle a fait comme ça, hop j'allais sur Canva, je me disais bah tiens moi par rapport à mon contenu, je peux faire comme ça. Et dès qu'il y avait aussi une nouveauté dans Instagram, je me disais qu'il fallait absolument que je la teste parce que sinon j'allais pas être à la page. En plus moi qui suis dans la communication, j'allais vraiment pas être... la meilleure personne qui pourrait aider mes clientes si je n'étais pas à la pointe de la plateforme. Et puis, il fallait aussi que je sois présente en story, que je fasse un petit peu d'interaction, que je fasse des quiz, que j'aille parler en message privé à mes abonnés. Et donc, ça, c'était un petit peu tous les jours. Donc, clairement, je pense que je passais la moitié de ma journée sur Instagram. Alors, oui, j'avais des résultats. Meryl marchait quand même plutôt bien. J'avais des milliers de vues sur mes reels, mes posts étaient likés, partagés, mon compte grandissait. Donc je ne peux pas dire que ça ne fonctionnait pas. Par contre, là où ça ne fonctionnait pas, c'est que je n'avais pas vraiment de transformation client. J'avais de la visibilité, mais pas de conversion. Donc je pense que déjà, je ne regardais pas du tout du bon côté de la balance. Et puis surtout, j'étais épuisée. Je me sentais stressée en permanence. J'étais anxieuse quand je n'avais pas publié. J'étais anxieuse parce que je passais deux à trois heures sur un carousel et j'avais quand même mes clients et mes clientes à délivrer. Je n'étais jamais satisfaite de mes résultats parce que quand je publiais, c'était parce que je me sentais obligée. Et du coup, quand je regardais le feed avec les autres posts des autres personnes, je me disais que ce que j'ai fait, c'était quand même super nul. Donc en fait, j'étais tout le temps en train de me comparer. Et le pire, c'est que j'avais l'impression de travailler pour Instagram. En fait, finalement, je travaillais pour une plateforme, mais je ne travaillais pas pour mon business et je ne travaillais pas pour mes clientes. Je créais du contenu que je pensais... pertinent pour la plateforme, mais pas du tout un contenu qui me faisait triper, qui me faisait vibrer, qui me ressemblait. Donc je pense que j'étais vraiment à la ramasse. Et un jour, arriva ce qui devait arriver, j'ai craqué, vraiment, complètement. Et ça a été un déclic. Franchement, j'ai eu un dégoût d'Instagram, et j'ai tout arrêté. Et là, franchement, ça a même été, je pense, difficile pour mon activité, parce que j'étais tellement épuisée mentalement et émotionnellement que j'ai tout arrêté. Je commençais aussi à avoir des abonnés sur ma newsletter, je commençais à créer ma newsletter, et même ça, je n'arrivais plus à créer du contenu. En fait, j'étais vraiment à l'arrêt parce que je n'en pouvais plus de cette pression, de cette obligation que je m'étais mise, de cette sensation de ne jamais en faire assez. Et vraiment, c'est vraiment là où j'ai réalisé que je travaillais beaucoup, oui, mais en réalité, je travaillais beaucoup pour quelqu'un ou une plateforme qui n'était pas du tout mon client, en fait. Oui, je passais deux à trois heures par jour sur Instagram, mais combien de temps est-ce que je passais vraiment à travailler sur mon offre, à accompagner mes clientes, à réfléchir à ma stratégie business ? Finalement, il y avait vraiment un déséquilibre complet dans ma façon de faire. Et j'ai réalisé aussi qu'en étant comme ça, en réagissant comme ça, je ne servais pas du tout ma mission non plus. en fait finalement j'étais à l'opposé complet de celle que je voulais être. Parce que moi qui parlais de communication responsable, d'éthique, en fait, j'étais à l'opposé. Moi, je courais comme une folle après la visibilité. Et cette dissonance était devenue tellement violente que forcément, j'ai craqué et j'ai pris une décision forte. Alors que, encore je le répète, j'avais quand même une audience qui commençait à grandir, une communauté qui commençait à grandir sur Instagram. J'ai arrêté. En fait... J'ai tout simplement tout arrêté du jour au lendemain. Mais je ne dis pas que c'était facile. J'ai eu peur, et vraiment peur. J'ai eu peur de devenir invisible. J'ai eu peur que plus personne ne me découvre. J'ai eu peur de ne plus avoir de business. C'est finalement des peurs qu'on peut considérer assez classiques quand on décide de ralentir sur les réseaux. Mais clairement, je me suis aussi rendue compte que si je n'avais plus rien sur les réseaux, comment est-ce que je pouvais avoir un business ? Je me disais... Mais Emilie, si tu ne postes plus toutes les semaines, comment les gens vont te trouver ? Comment est-ce que tu vas avoir des clientes ? Et là, je n'ai pas eu le choix d'arrêter parce que, comme je vous le disais, c'était vraiment un choc émotionnel et une dissonance trop grande. Mais j'étais vraiment ultra flippée parce que j'avais l'impression de me retrouver avec plus rien. De ne plus avoir le contrôle de rien et de ne plus avoir de business. Et d'en être au point de me dire, le mois prochain, je vais mettre la clé sous la porte parce que je ne vais jamais réussir. à développer mon activité sans Instagram. Donc c'était devenu quand même assez intense dans ma tête. Et bien sûr, je vous rassure, aucune de ces peurs ne s'est réalisée. Et je vais vous en reparler d'ailleurs dans un instant pour vous dire vraiment concrètement ce qui a changé depuis que j'ai arrêté de courir après l'algorithme. Mais je pense que c'est normal d'avoir toutes ces peurs quand on a été autant biaisé parce que le réseau social nous disait, et puis tout... Tous les entrepreneurs en ligne aussi, tous ces entrepreneurs-là prônent en disant qu'il fallait absolument être sur Instagram, il faut poster, etc. Donc, j'étais vraiment prise dans cet engrenage-là. Donc, je pense que c'est vraiment normal d'avoir toutes ces peurs. Et c'est important aussi que je puisse vous dire qu'il n'y en a aucune qui s'est réalisée et bien au contraire. Donc maintenant, qu'est-ce qui a changé depuis que j'ai vraiment pris tout ce recul ? D'abord, j'ai créé mon propre média. Je me suis rendu compte que je me sentais vraiment étriqué avec les réseaux sociaux. Et donc, j'avais besoin d'un espace où je décidais, où je choisissais, où je ne dépendais pas d'un algorithme, où je pouvais parler à mon audience sans que quelqu'un décide à ma place qui va voir mon contenu, sans que quelqu'un me dise, il faut que ton poste fasse tant de caractère, sans être... contrainte et vraiment avec une liberté folle de décider et de choisir de quelle thématique j'avais vraiment envie de parler et de comment est-ce que je voulais en parler, si je voulais en faire des épisodes de 10 minutes ou en faire des épisodes de 1 heure. C'était vraiment moi qui décidais. Donc, j'ai créé ce podcast et c'est vraiment devenu mon pilier de communication. C'est lui qui nourrit toute ma communication et surtout, c'est lui qui me nourrit aussi moi. J'adore enregistrer ces épisodes, ça me donne de l'énergie, j'ai hâte. d'enregistrer, j'ai hâte de faire mon montage j'ai hâte de le publier et ça m'a permis aussi radicalement de changer ma présence sur les réseaux donc Instagram c'est encore en off. Et je dirais que j'y reviens maintenant, petit à petit. Je commence à retrouver l'envie, mais parce que c'est vraiment une envie qui vient de moi. En fait, ce n'est pas nourri par l'extérieur. C'est vraiment moi par rapport à maintenant, le repositionnement aussi business que j'ai eu ces derniers mois, par rapport aussi à mon envie, à ce que je veux faire de ce podcast. Là, je vais utiliser les réseaux. Mais du coup, j'ai conscience. de comment je vais les utiliser. Et clairement, je vais toujours continuer à ne pas scroller sur les réseaux. J'ai testé du coup aussi la plateforme LinkedIn. Maintenant, je suis une à deux fois par semaine sur LinkedIn. Et j'aime beaucoup parce que LinkedIn, bien sûr, il y a aussi un fil d'actualité. Mais le fait qu'il n'y ait pas de story, on n'est pas non plus immergé dans tout ce qui se passe chez les uns, chez les autres. Et je trouve que le... C'est beaucoup plus facile de regarder ce réseau-là sans y passer vraiment beaucoup de temps. Et puis surtout, ce qui est hyper important, c'est que j'ai coupé toutes les notifications. Donc je n'ai plus du tout de notifications sur mon téléphone. Toutes les applications sont rangées dans un dossier business dans mon téléphone et ne sont pas visibles sur le premier écran. Ce qui fait que je me suis complètement déshabituée d'aller voir les réseaux sociaux dès que je suis sur mon téléphone. Et en fait, tout ce que je vais regarder sur les réseaux sociaux, c'est sur mon ordinateur. C'est vraiment un game changer aussi en termes de charge mentale et de charge émotionnelle. Il n'y a plus du tout de compulsivité et j'ai vraiment retrouvé du temps libre et du temps de qualité. Ce qui a changé aussi, c'est qu'avant, je passais deux à trois heures par jour sur les réseaux. Et on va dire que maintenant, je pense que j'y passe deux à trois heures par semaine. et quand j'y vais je me dis c'est pour des bonnes raisons. Je sais exactement pourquoi j'y vais, quelles actions j'ai envie de faire et qu'est-ce qui est pertinent pour mon business ou ce qu'il n'est pas. Ça, ça a vraiment énormément évolué. Et puis, par contre, oui, j'ai quand même toujours un planning éditorial pour me cadrer parce que je suis de la team créative éparpillée. Mais par contre, je n'ai plus du tout la pression quand je rate une publication. Là, typiquement, en ce moment, c'est vrai que je publie beaucoup moins sur LinkedIn et c'est OK, en fait. je me mets beaucoup moins la pression en fait le planning il est vraiment là pour me soutenir j'ai envie quand même d'avoir une régularité parce que c'est important pour les objectifs que je me suis fixé aussi par rapport à mon podcast et puis pour ma mission d'entrepreneur j'ai des choses que j'ai envie de partager mais quand je peux pas, quand j'ai pas réussi à prendre le temps quand j'ai pas mis ça en priorité parce que j'ai eu d'autres choses à régler Merci. dans ma vie personne ou dans ma vie professionnelle, c'est complètement OK. Alors du coup, est-ce que d'avoir pris toutes ces décisions-là et d'avoir appliqué tout ça, est-ce que clairement aujourd'hui, je n'ai plus de business ? Je pense que si vous m'écoutez, vous avez bien compris que la réponse est non. Et là, ça vous prouve aussi que toutes mes peurs étaient infondées. Mais encore une fois, c'est normal d'avoir toutes ces peurs-là. et cet épisode est là aussi pour vous faire réaliser que On peut dépasser ses peurs et qu'après ça, on ne devient pas invisible et non, on ne perd pas tout un business. Au contraire, c'est vrai que mes posts ne font plus des milliers de vues, mais j'ai gagné en qualité. Les personnes qui me découvrent maintenant sont des personnes qui sont alignées avec mon message. Ce sont mes vrais clientes potentielles. et j'ai des... J'ai des contacts en messages privés beaucoup plus pertinents que ce que je pouvais avoir avant. Et puis, d'avoir vraiment arrêté les réseaux sociaux, en tout cas Instagram, ça m'a permis de développer d'autres stratégies d'acquisition. Le podcast en fait partie, bien sûr. Mais j'ai aussi réussi à mettre le doigt sur un axe hyper fort dans mon business. C'est que je fidélise énormément ma clientèle. et donc j'ai aussi... mis un gros accent là-dessus, sur la fidélisation et sur la recommandation. J'ai aussi noué des liens de partenariat et je me suis aussi amusée à participer à des événements en présentiel. Et donc, finalement, j'ai réussi à retrouver quelque chose que j'avais perdu, c'est la joie de communiquer. Maintenant, je me sens vraiment libre, je me sens créative, je communique quand j'ai quelque chose à dire parce que j'ai une mission à porter. mais vraiment pas pour nourrir un algorithme. Et ça, ça change vraiment tout. Et je pense que c'est vraiment les fondements de la slow communication. Et je suis tellement heureuse de pouvoir incarner vraiment la slow communication dans ma façon de faire, dans ce que je fais. dans ce que je représente aussi. Et je peux aussi être celle qui vous montre que oui, la slow communication, c'est efficace. Vraiment, j'ai pu retrouver de la clarté. J'ai retrouvé aussi l'envie de créer des nouvelles choses pour mon entreprise. J'ai retrouvé de la pertinence dans mes actions. Avant, j'étais vraiment dans la course. Je créais du contenu pour créer du contenu. Et maintenant, je crée du contenu qui sert mon business, qui sert mes clientes, qui sert ma mission, qui sert mon impact. Et oui, paradoxalement, en fait, en communiquant moins, en étant beaucoup plus consciente de ce que je communique, j'ai plus d'impact. Et ça, c'est hyper important. Et c'est vraiment, je pense, le point essentiel et névralgique qu'il faut retenir de la slow communication, c'est qu'en communiquant moins, on a plus d'impact. Et j'adore, j'adore ça. Donc, pour résumer cet épisode, oui, ça peut vous arriver, en fait, de courir après l'algorithme parce que Vous êtes tellement imprégné de tout ce que vous voyez sur les réseaux que presque vous n'avez pas le choix. Et c'est très difficile, en fait, de prendre ce recul. Comment est-ce qu'on peut prendre du recul ? Déjà, je pense que couper vos notifications, ça, c'est hyper important. Et puis, apprenez à vous demander ce que vous, vous avez envie vraiment de créer, en fait, à votre manière. Qu'est-ce qui vous fait vraiment plaisir de créer ? Où est-ce que vous avez vraiment envie de communiquer ? Et de quelle manière ? Et ça, c'est vraiment le premier point. Ensuite, je pense que je l'ai assez répété, mais toutes vos peurs ne se réaliseront probablement pas en arrêtant de publier sur un réseau social ou en faisant une pause. Et vous ne perdrez pas votre business. Au contraire, je pense que vous allez retrouver votre business. Vous allez vous retrouver avec vous-même et puis vous allez vraiment retrouver cette clarté, cette créativité, cette joie qui vaut vraiment. tous les likes du monde. Alors là, pour vraiment finir sur une micro-action hyper concrète pour conclure cet épisode, j'aimerais cette semaine que vous identifiez une chose, une seule, que vous faites uniquement pour l'algorithme. Alors, par exemple, un format que vous détestez mais que vous vous forcez à faire, une fréquence de publication qui vous épuise, un reel sur une musique où vous dansez parce que vous avez vu que ça fonctionnait. Voilà, donc réfléchissez à une chose que vous faites parce que vous pensez que c'est bien pour l'algorithme. Et cette semaine, je vous propose d'arrêter cette chose-là, tout simplement. En fait, ne la faites pas. Cette semaine, vous ne faites pas cette chose. Et voyez ce qui se passe. Observez. Est-ce que vous vous sentez mieux ? Est-ce que vous gagnez en sérénité ? Est-ce que vous avez gagné du temps dans votre semaine ? Est-ce que vous avez pu faire des choses qui vous faisaient plaisir ? Est-ce que... Vous avez pu peut-être passer plus de temps avec vos proches. Est-ce que ça a eu des conséquences sur votre entreprise ? Essayez vraiment de voir ce qui se passe et notez-le. Voilà. Et c'est déjà un premier pas pour réaliser que vous pouvez complètement vous détacher de l'algorithme en fait. Et puis ça me ferait plaisir que vous me partagiez aussi cette chose-là. Est-ce que ça a changé pour vous ? Vous pouvez venir m'en parler sur LinkedIn. Vous avez toutes les informations dans la description de l'épisode. Si cet épisode vous a parlé, partagez-le à une autre entrepreneur qui... pour après l'algorithme et qui aurait plutôt besoin de mettre ses pantoufles. Je vous dis à très vite pour un prochain épisode. Bye bye ! Merci d'avoir écouté Communiquer avec Sens. Si cet épisode vous a plu, pensez à le partager ou à laisser une note 5 étoiles ou un commentaire sur votre plateforme d'écoute préférée. Et si vous voulez aller plus loin, rendez-vous sur emilylemaitre.fr. À très vite !