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Confessions d'une sous loueuse pro

MAIvoix Mes confessions 6 mai 2025 question sociale

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05min |06/05/2025
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Description

Pour votre point de vue sur la question du jour:

cduslp@gmail.com 

linkedin.com/in/julieriotte

https://www.instagram.com/homtimise


un sujet qui me plaît parce que c'est une question sociale que je me pose aujourd'hui dans Confessions d'une sous loueuse pro. Est-ce qu'avec mon business, je suis en train de priver quelqu'un d'un logement ? Et ça, pour moi, c'est important. J'ai vraiment un doute sur ce que je fais des fois à cause de cette question parce que je vis de ce métier. en partie. Et j'ai quand même un malaise, un petit malaise initial qui dit, est-ce que je suis le problème ? Ou est-ce que mon activité est le problème ? Je sais que je fais les choses bien, je sais que ça aide plein de gens, mais j'ai quand même parfois cette pensée. Est-ce que je suis en train de priver une famille d'un toit ? Et est-ce que je ne pourrais pas remplacer ce vacancier ou cet étudiant de passage ou ce professionnel ? par quelqu'un qui cherche vraiment à se loger long terme sur mes appartements. Donc je me pose la question parce qu'on le voit, un peu dans les infos, un peu sur les posts, genre LinkedIn, il y a quand même des choses qui sont parfois très clivantes, mais il y a quand même des familles qui galèrent vraiment à trouver, à se loger. Et derrière ça, il y a des propriétaires qui préfèrent me louer à mon entreprise. plutôt qu'un locataire classique parce qu'il y a aussi des vérités. Il y a aussi des familles qui ne peuvent plus payer leur loyer, qui n'ont pas la possibilité de se loger facilement. Et j'ai l'impression que parfois, ce métier s'inscrit dans quelque chose de beaucoup plus grand, qui me dépasse, qui est la tension immobilière. après pour répondre à ça j'ai envie de dire mes taux d'occupation sont quand même assez parlants j'ai un taux moyen d'occupation de 75 à 85% sur toute l'année donc j'ai envie de dire quand même que c'est pratiquement du 100% et donc je remplis un vrai besoin Il y a aussi les hôteliers qui n'aiment pas l'activité de la location courte durée. On ne travaille pas toujours en bonne intelligence. Et ça, on peut le voir dans les différents acteurs de tourisme des villes. Donc voilà, il y a un tiraillement intérieur. C'était un peu ma réflexion du jour Je fais ça pour être libre, je fais ça pour être indépendante, je veux construire quelque chose pour moi et pour ma famille. Mais je sens que cette liberté a un coût social, et même si je respecte les gens, même si mes logements sont bien gérés, je navigue dans un espèce de flou, et c'est un petit peu dérangeant quand même, cette pensée que j'ai parfois. Et ça m'amène à des questions. Est-ce que je refuse de faire des choses même si ça peut me rapporter plus ? Comment je dois choisir mes logements ? Est-ce que je dois mettre des critères ? Est-ce que je dois prendre en compte certaines choses pour dire oui ou non sur un logement pour prendre en compte ce problème social ? Je voulais savoir si c'est possible de faire autrement, plus consciemment. Donc je n'ai pas de réponse toute faite. C'est une confession qui demande votre interaction. Donc je vous pose la question. Si vous faites cette activité, est-ce que vous avez ces réflexions-là ? Si vous ne faites pas cette activité, est-ce que vous avez un avis sur ça ? Que vous la faites ou que vous ne la faites pas, qu'est-ce que vous en pensez ? Je pose ça là et j'attends vos retours, mails, Insta et compagnie. À demain !



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Salut les auditeurs, bienvenue dans mes voix, mes confessions. La contrainte d'aujourd'hui, elle est compliquée parce que j'ai plus que 15 minutes avant de repartir à mon prochain rendez-vous. Donc c'est compliqué parce qu'une fois qu'on enregistre, il y a encore pas mal d'étapes après. La belle petite étiquette que vous voyez quand je continue à vous voyer dans ce challenge, c'est drôle. quand vous voyez l'étiquette sur votre... à podcast, plateforme de podcast, compliqué, et je dois après télécharger, mettre sur la plateforme, bref, voilà, la contrainte elle est rigolote aujourd'hui parce que je ne sais pas si j'arriverai à l'heure de mon rendez-vous, mais en tout cas, j'aurais fait ma confession, mes voix du 6 mai, et donc j'en suis très contente, et c'est un sujet qui me plaît parce que c'est une question sociale que je me pose aujourd'hui dans Confessions d'une souleuse pro. Est-ce qu'avec mon business, écoutez bien la question, est-ce qu'avec mon business, je suis en train de priver quelqu'un d'un logement ? Et ça, pour moi, c'est important. J'ai vraiment un doute sur ce que je fais des fois à cause de cette question parce que je vis de ce métier. en partie. Et j'ai quand même un malaise, un petit malaise initial qui dit, est-ce que je suis le problème ? Ou est-ce que mon activité est le problème ? Je sais que je fais les choses bien, je sais que ça aide plein de gens, mais j'ai quand même parfois cette pensée. Est-ce que je suis en train de priver une famille d'un toit ? Et est-ce que je ne pourrais pas remplacer ce vacancier ou cet étudiant de passage ou ce professionnel ? par quelqu'un qui cherche vraiment à se loger long terme sur mes appartements. Donc je me pose la question parce qu'on le voit, on le voit un peu dans les infos, un peu sur les posts, genre LinkedIn, il y a quand même des choses qui sont parfois très clivantes, mais il y a quand même des familles qui galèrent vraiment à trouver, à se loger. Et derrière ça, il y a des propriétaires qui préfèrent me louer à mon entreprise. plutôt qu'un locataire classique parce qu'il y a aussi des vérités. Il y a aussi des vérités de familles qui ne peuvent plus payer leur loyer, qui n'ont pas la possibilité de se loger facilement. Et j'ai l'impression que parfois, ce métier s'inscrit dans quelque chose de beaucoup plus grand, qui me dépasse, qui est la tension immobilière. Évidemment, ce n'est pas mes sept petits appartements qui font la différence, mais quand même, la question se pose et je sens que ça me dépasse. après pour répondre à ça j'ai envie de dire mes taux d'occupation sont quand même assez parlants j'ai un taux moyen d'occupation de 75 à 85% sur toute l'année donc j'ai envie de dire quand même que c'est pratiquement du 100% et donc je remplis un vrai besoin ce serait des problèmes qu'auraient d'autres personnes qui sont aujourd'hui celles que je reçois ... qui dirait « je ne peux pas me loger quand je pars trois semaines travailler à Nancy » , par exemple. Donc bon, ça se mord un peu la queue, je suis d'accord. Il y a aussi les hôteliers qui n'aiment pas l'activité de la location courte durée. On ne travaille pas toujours en bonne intelligence. Et ça, on peut le voir dans les différents acteurs de tourisme des villes. Donc voilà, il y a un tiraillement intérieur. C'était un peu ma réflexion du jour qui dit... Je fais ça pour être libre, je fais ça pour être indépendante, je veux construire quelque chose pour moi et pour ma famille, et c'est vrai, c'est ce que j'ai fait, je suis libre, indépendante, et je construis quelque chose pour ma famille. Mais je sens que cette liberté a un coût social, et même si je respecte les gens, même si mes logements sont bien gérés, je navigue dans un espèce de flou, et c'est un petit peu dérangeant quand même, cette pensée que j'ai parfois. Et ça m'amène à des questions. Est-ce que je refuse de le faire ? Est-ce que je refuse de faire des choses même si ça peut me rapporter plus ? Comment je dois choisir mes logements ? Est-ce que je dois mettre des critères ? Est-ce que je dois prendre en compte certaines choses pour dire oui ou non sur un logement pour prendre en compte ce problème social ? Je voulais savoir si c'est possible de faire autrement, plus consciemment. Donc je n'ai pas de réponse toute faite. C'est une confession qui demande votre interaction. Donc je vous pose la question. Si vous faites cette activité, est-ce que vous avez ces réflexions-là ? Si vous ne faites pas cette activité, est-ce que vous avez un avis sur ça ? Que vous la faites ou que vous ne la faites pas, qu'est-ce que vous en pensez ? Je pose ça là et j'attends vos retours, mails, Insta et compagnie. À demain !

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    Salut les auditeurs, bienvenue dans mes voix, mes confessions. La contrainte d'aujourd'hui, elle est compliquée parce que j'ai plus que 15 minutes avant de repartir à mon prochain rendez-vous. Donc c'est compliqué parce qu'une fois qu'on enregistre, il y a encore pas mal d'étapes après. La belle petite étiquette que vous voyez quand je continue à vous voyer dans ce challenge, c'est drôle. quand vous voyez l'étiquette sur votre... à podcast, plateforme de podcast, compliqué, et je dois après télécharger, mettre sur la plateforme, bref, voilà, la contrainte elle est rigolote aujourd'hui parce que je ne sais pas si j'arriverai à l'heure de mon rendez-vous, mais en tout cas, j'aurais fait ma confession, mes voix du 6 mai, et donc j'en suis très contente, et c'est un sujet qui me plaît parce que c'est une question sociale que je me pose aujourd'hui dans Confessions d'une souleuse pro. Est-ce qu'avec mon business, écoutez bien la question, est-ce qu'avec mon business, je suis en train de priver quelqu'un d'un logement ? Et ça, pour moi, c'est important. J'ai vraiment un doute sur ce que je fais des fois à cause de cette question parce que je vis de ce métier. en partie. Et j'ai quand même un malaise, un petit malaise initial qui dit, est-ce que je suis le problème ? Ou est-ce que mon activité est le problème ? Je sais que je fais les choses bien, je sais que ça aide plein de gens, mais j'ai quand même parfois cette pensée. Est-ce que je suis en train de priver une famille d'un toit ? Et est-ce que je ne pourrais pas remplacer ce vacancier ou cet étudiant de passage ou ce professionnel ? par quelqu'un qui cherche vraiment à se loger long terme sur mes appartements. Donc je me pose la question parce qu'on le voit, on le voit un peu dans les infos, un peu sur les posts, genre LinkedIn, il y a quand même des choses qui sont parfois très clivantes, mais il y a quand même des familles qui galèrent vraiment à trouver, à se loger. Et derrière ça, il y a des propriétaires qui préfèrent me louer à mon entreprise. plutôt qu'un locataire classique parce qu'il y a aussi des vérités. Il y a aussi des vérités de familles qui ne peuvent plus payer leur loyer, qui n'ont pas la possibilité de se loger facilement. Et j'ai l'impression que parfois, ce métier s'inscrit dans quelque chose de beaucoup plus grand, qui me dépasse, qui est la tension immobilière. Évidemment, ce n'est pas mes sept petits appartements qui font la différence, mais quand même, la question se pose et je sens que ça me dépasse. après pour répondre à ça j'ai envie de dire mes taux d'occupation sont quand même assez parlants j'ai un taux moyen d'occupation de 75 à 85% sur toute l'année donc j'ai envie de dire quand même que c'est pratiquement du 100% et donc je remplis un vrai besoin ce serait des problèmes qu'auraient d'autres personnes qui sont aujourd'hui celles que je reçois ... qui dirait « je ne peux pas me loger quand je pars trois semaines travailler à Nancy » , par exemple. Donc bon, ça se mord un peu la queue, je suis d'accord. Il y a aussi les hôteliers qui n'aiment pas l'activité de la location courte durée. On ne travaille pas toujours en bonne intelligence. Et ça, on peut le voir dans les différents acteurs de tourisme des villes. Donc voilà, il y a un tiraillement intérieur. C'était un peu ma réflexion du jour qui dit... Je fais ça pour être libre, je fais ça pour être indépendante, je veux construire quelque chose pour moi et pour ma famille, et c'est vrai, c'est ce que j'ai fait, je suis libre, indépendante, et je construis quelque chose pour ma famille. Mais je sens que cette liberté a un coût social, et même si je respecte les gens, même si mes logements sont bien gérés, je navigue dans un espèce de flou, et c'est un petit peu dérangeant quand même, cette pensée que j'ai parfois. Et ça m'amène à des questions. Est-ce que je refuse de le faire ? Est-ce que je refuse de faire des choses même si ça peut me rapporter plus ? Comment je dois choisir mes logements ? Est-ce que je dois mettre des critères ? Est-ce que je dois prendre en compte certaines choses pour dire oui ou non sur un logement pour prendre en compte ce problème social ? Je voulais savoir si c'est possible de faire autrement, plus consciemment. Donc je n'ai pas de réponse toute faite. C'est une confession qui demande votre interaction. Donc je vous pose la question. Si vous faites cette activité, est-ce que vous avez ces réflexions-là ? Si vous ne faites pas cette activité, est-ce que vous avez un avis sur ça ? Que vous la faites ou que vous ne la faites pas, qu'est-ce que vous en pensez ? Je pose ça là et j'attends vos retours, mails, Insta et compagnie. À demain !

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    Salut les auditeurs, bienvenue dans mes voix, mes confessions. La contrainte d'aujourd'hui, elle est compliquée parce que j'ai plus que 15 minutes avant de repartir à mon prochain rendez-vous. Donc c'est compliqué parce qu'une fois qu'on enregistre, il y a encore pas mal d'étapes après. La belle petite étiquette que vous voyez quand je continue à vous voyer dans ce challenge, c'est drôle. quand vous voyez l'étiquette sur votre... à podcast, plateforme de podcast, compliqué, et je dois après télécharger, mettre sur la plateforme, bref, voilà, la contrainte elle est rigolote aujourd'hui parce que je ne sais pas si j'arriverai à l'heure de mon rendez-vous, mais en tout cas, j'aurais fait ma confession, mes voix du 6 mai, et donc j'en suis très contente, et c'est un sujet qui me plaît parce que c'est une question sociale que je me pose aujourd'hui dans Confessions d'une souleuse pro. Est-ce qu'avec mon business, écoutez bien la question, est-ce qu'avec mon business, je suis en train de priver quelqu'un d'un logement ? Et ça, pour moi, c'est important. J'ai vraiment un doute sur ce que je fais des fois à cause de cette question parce que je vis de ce métier. en partie. Et j'ai quand même un malaise, un petit malaise initial qui dit, est-ce que je suis le problème ? Ou est-ce que mon activité est le problème ? Je sais que je fais les choses bien, je sais que ça aide plein de gens, mais j'ai quand même parfois cette pensée. Est-ce que je suis en train de priver une famille d'un toit ? Et est-ce que je ne pourrais pas remplacer ce vacancier ou cet étudiant de passage ou ce professionnel ? par quelqu'un qui cherche vraiment à se loger long terme sur mes appartements. Donc je me pose la question parce qu'on le voit, on le voit un peu dans les infos, un peu sur les posts, genre LinkedIn, il y a quand même des choses qui sont parfois très clivantes, mais il y a quand même des familles qui galèrent vraiment à trouver, à se loger. Et derrière ça, il y a des propriétaires qui préfèrent me louer à mon entreprise. plutôt qu'un locataire classique parce qu'il y a aussi des vérités. Il y a aussi des vérités de familles qui ne peuvent plus payer leur loyer, qui n'ont pas la possibilité de se loger facilement. Et j'ai l'impression que parfois, ce métier s'inscrit dans quelque chose de beaucoup plus grand, qui me dépasse, qui est la tension immobilière. Évidemment, ce n'est pas mes sept petits appartements qui font la différence, mais quand même, la question se pose et je sens que ça me dépasse. après pour répondre à ça j'ai envie de dire mes taux d'occupation sont quand même assez parlants j'ai un taux moyen d'occupation de 75 à 85% sur toute l'année donc j'ai envie de dire quand même que c'est pratiquement du 100% et donc je remplis un vrai besoin ce serait des problèmes qu'auraient d'autres personnes qui sont aujourd'hui celles que je reçois ... qui dirait « je ne peux pas me loger quand je pars trois semaines travailler à Nancy » , par exemple. Donc bon, ça se mord un peu la queue, je suis d'accord. Il y a aussi les hôteliers qui n'aiment pas l'activité de la location courte durée. On ne travaille pas toujours en bonne intelligence. Et ça, on peut le voir dans les différents acteurs de tourisme des villes. Donc voilà, il y a un tiraillement intérieur. C'était un peu ma réflexion du jour qui dit... Je fais ça pour être libre, je fais ça pour être indépendante, je veux construire quelque chose pour moi et pour ma famille, et c'est vrai, c'est ce que j'ai fait, je suis libre, indépendante, et je construis quelque chose pour ma famille. Mais je sens que cette liberté a un coût social, et même si je respecte les gens, même si mes logements sont bien gérés, je navigue dans un espèce de flou, et c'est un petit peu dérangeant quand même, cette pensée que j'ai parfois. Et ça m'amène à des questions. Est-ce que je refuse de le faire ? Est-ce que je refuse de faire des choses même si ça peut me rapporter plus ? Comment je dois choisir mes logements ? Est-ce que je dois mettre des critères ? Est-ce que je dois prendre en compte certaines choses pour dire oui ou non sur un logement pour prendre en compte ce problème social ? Je voulais savoir si c'est possible de faire autrement, plus consciemment. Donc je n'ai pas de réponse toute faite. C'est une confession qui demande votre interaction. Donc je vous pose la question. Si vous faites cette activité, est-ce que vous avez ces réflexions-là ? Si vous ne faites pas cette activité, est-ce que vous avez un avis sur ça ? Que vous la faites ou que vous ne la faites pas, qu'est-ce que vous en pensez ? Je pose ça là et j'attends vos retours, mails, Insta et compagnie. À demain !

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