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L'ère de l'Agentic AI : les apps, c’est fini

L'ère de l'Agentic AI : les apps, c’est fini

1h06 |28/01/2025
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Description

En 2025, l’univers technologique entre dans une nouvelle ère : celle de l’agentique. Derrière ce terme, une promesse révolutionnaire : des assistants numériques capables de gérer notre quotidien en toute autonomie. Courses, réservations, agenda, décisions… ces agents repoussent les limites de l’efficacité. Mais cette automatisation massive soulève des enjeux sociétaux majeurs.


Une automatisation totale

Les nouveaux assistants numériques, comme Siri (Apple), Gemini (Google) ou les outils d’OpenAI, ne se contentent plus de répondre à des commandes simples. Ils anticipent. Ces agents peuvent réserver un restaurant en fonction de l’agenda, gérer des retards, ou commander automatiquement des produits selon les préférences et les habitudes de l’utilisateur.


L’ouverture d’applications devient superflue. L’interaction avec les écrans est remplacée par des commandes vocales ou des notifications automatiques. Cette fluidité d’usage redéfinit le rapport entre l’humain et la technologie, mais interpelle sur le contrôle qu’on abandonne à ces outils.


Des décisions sans consentement explicite

Pour fonctionner, ces agents s’appuient sur des données très personnelles : localisation, historique d’achat, préférences alimentaires, données de santé, et bien plus. Leur autonomie croissante pose problème. Ils peuvent, par exemple, valider des conditions générales d’utilisation (CGU) ou effectuer des paiements en ligne sans intervention humaine.


Ces assistants introduisent une nouvelle question : où s’arrête le contrôle de l’utilisateur ? Si un agent agit au nom d’un individu, qui est responsable des décisions prises ? Ces problématiques sont encore floues et mettent en lumière des enjeux juridiques complexes.


Big Tech et guerre des agents

Les grandes entreprises technologiques se livrent une bataille pour le contrôle de cette nouvelle interface utilisateur. L’enjeu n’est pas seulement économique : il s’agit d’intégrer chaque individu dans un écosystème fermé, où l’assistant devient indispensable pour naviguer dans le quotidien.


Apple, Google, OpenAI ou Microsoft cherchent à imposer leur agent comme une couche intermédiaire entre les utilisateurs et les applications. Cette intermédiation réduit l’interaction directe avec les marques ou les services, centralisant encore davantage les flux de données entre les mains de quelques géants.


Vers une société sans libre arbitre ?

Si l’agentique promet de libérer du temps et d’augmenter l’efficacité, elle soulève des questions profondes. Que devient la capacité de décision individuelle dans un monde où une machine peut anticiper et agir à la place d’un humain ? Comment éviter les dérives, alors que ces outils sont programmés pour maximiser leur contrôle sur les habitudes des utilisateurs ?


Plus qu’une innovation technologique, l’agentique représente une rupture éthique et culturelle. Alors que la ligne entre assistance et surveillance s’estompe, l’équilibre entre confort et liberté devient un enjeu clé.


En 2025, la question n’est plus de savoir si ces agents s’imposeront, mais à quel point ils redéfiniront nos vies. Un avenir connecté, oui, mais sous quelles conditions ?


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

En 2025, l’univers technologique entre dans une nouvelle ère : celle de l’agentique. Derrière ce terme, une promesse révolutionnaire : des assistants numériques capables de gérer notre quotidien en toute autonomie. Courses, réservations, agenda, décisions… ces agents repoussent les limites de l’efficacité. Mais cette automatisation massive soulève des enjeux sociétaux majeurs.


Une automatisation totale

Les nouveaux assistants numériques, comme Siri (Apple), Gemini (Google) ou les outils d’OpenAI, ne se contentent plus de répondre à des commandes simples. Ils anticipent. Ces agents peuvent réserver un restaurant en fonction de l’agenda, gérer des retards, ou commander automatiquement des produits selon les préférences et les habitudes de l’utilisateur.


L’ouverture d’applications devient superflue. L’interaction avec les écrans est remplacée par des commandes vocales ou des notifications automatiques. Cette fluidité d’usage redéfinit le rapport entre l’humain et la technologie, mais interpelle sur le contrôle qu’on abandonne à ces outils.


Des décisions sans consentement explicite

Pour fonctionner, ces agents s’appuient sur des données très personnelles : localisation, historique d’achat, préférences alimentaires, données de santé, et bien plus. Leur autonomie croissante pose problème. Ils peuvent, par exemple, valider des conditions générales d’utilisation (CGU) ou effectuer des paiements en ligne sans intervention humaine.


Ces assistants introduisent une nouvelle question : où s’arrête le contrôle de l’utilisateur ? Si un agent agit au nom d’un individu, qui est responsable des décisions prises ? Ces problématiques sont encore floues et mettent en lumière des enjeux juridiques complexes.


Big Tech et guerre des agents

Les grandes entreprises technologiques se livrent une bataille pour le contrôle de cette nouvelle interface utilisateur. L’enjeu n’est pas seulement économique : il s’agit d’intégrer chaque individu dans un écosystème fermé, où l’assistant devient indispensable pour naviguer dans le quotidien.


Apple, Google, OpenAI ou Microsoft cherchent à imposer leur agent comme une couche intermédiaire entre les utilisateurs et les applications. Cette intermédiation réduit l’interaction directe avec les marques ou les services, centralisant encore davantage les flux de données entre les mains de quelques géants.


Vers une société sans libre arbitre ?

Si l’agentique promet de libérer du temps et d’augmenter l’efficacité, elle soulève des questions profondes. Que devient la capacité de décision individuelle dans un monde où une machine peut anticiper et agir à la place d’un humain ? Comment éviter les dérives, alors que ces outils sont programmés pour maximiser leur contrôle sur les habitudes des utilisateurs ?


Plus qu’une innovation technologique, l’agentique représente une rupture éthique et culturelle. Alors que la ligne entre assistance et surveillance s’estompe, l’équilibre entre confort et liberté devient un enjeu clé.


En 2025, la question n’est plus de savoir si ces agents s’imposeront, mais à quel point ils redéfiniront nos vies. Un avenir connecté, oui, mais sous quelles conditions ?


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Description

En 2025, l’univers technologique entre dans une nouvelle ère : celle de l’agentique. Derrière ce terme, une promesse révolutionnaire : des assistants numériques capables de gérer notre quotidien en toute autonomie. Courses, réservations, agenda, décisions… ces agents repoussent les limites de l’efficacité. Mais cette automatisation massive soulève des enjeux sociétaux majeurs.


Une automatisation totale

Les nouveaux assistants numériques, comme Siri (Apple), Gemini (Google) ou les outils d’OpenAI, ne se contentent plus de répondre à des commandes simples. Ils anticipent. Ces agents peuvent réserver un restaurant en fonction de l’agenda, gérer des retards, ou commander automatiquement des produits selon les préférences et les habitudes de l’utilisateur.


L’ouverture d’applications devient superflue. L’interaction avec les écrans est remplacée par des commandes vocales ou des notifications automatiques. Cette fluidité d’usage redéfinit le rapport entre l’humain et la technologie, mais interpelle sur le contrôle qu’on abandonne à ces outils.


Des décisions sans consentement explicite

Pour fonctionner, ces agents s’appuient sur des données très personnelles : localisation, historique d’achat, préférences alimentaires, données de santé, et bien plus. Leur autonomie croissante pose problème. Ils peuvent, par exemple, valider des conditions générales d’utilisation (CGU) ou effectuer des paiements en ligne sans intervention humaine.


Ces assistants introduisent une nouvelle question : où s’arrête le contrôle de l’utilisateur ? Si un agent agit au nom d’un individu, qui est responsable des décisions prises ? Ces problématiques sont encore floues et mettent en lumière des enjeux juridiques complexes.


Big Tech et guerre des agents

Les grandes entreprises technologiques se livrent une bataille pour le contrôle de cette nouvelle interface utilisateur. L’enjeu n’est pas seulement économique : il s’agit d’intégrer chaque individu dans un écosystème fermé, où l’assistant devient indispensable pour naviguer dans le quotidien.


Apple, Google, OpenAI ou Microsoft cherchent à imposer leur agent comme une couche intermédiaire entre les utilisateurs et les applications. Cette intermédiation réduit l’interaction directe avec les marques ou les services, centralisant encore davantage les flux de données entre les mains de quelques géants.


Vers une société sans libre arbitre ?

Si l’agentique promet de libérer du temps et d’augmenter l’efficacité, elle soulève des questions profondes. Que devient la capacité de décision individuelle dans un monde où une machine peut anticiper et agir à la place d’un humain ? Comment éviter les dérives, alors que ces outils sont programmés pour maximiser leur contrôle sur les habitudes des utilisateurs ?


Plus qu’une innovation technologique, l’agentique représente une rupture éthique et culturelle. Alors que la ligne entre assistance et surveillance s’estompe, l’équilibre entre confort et liberté devient un enjeu clé.


En 2025, la question n’est plus de savoir si ces agents s’imposeront, mais à quel point ils redéfiniront nos vies. Un avenir connecté, oui, mais sous quelles conditions ?


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Description

En 2025, l’univers technologique entre dans une nouvelle ère : celle de l’agentique. Derrière ce terme, une promesse révolutionnaire : des assistants numériques capables de gérer notre quotidien en toute autonomie. Courses, réservations, agenda, décisions… ces agents repoussent les limites de l’efficacité. Mais cette automatisation massive soulève des enjeux sociétaux majeurs.


Une automatisation totale

Les nouveaux assistants numériques, comme Siri (Apple), Gemini (Google) ou les outils d’OpenAI, ne se contentent plus de répondre à des commandes simples. Ils anticipent. Ces agents peuvent réserver un restaurant en fonction de l’agenda, gérer des retards, ou commander automatiquement des produits selon les préférences et les habitudes de l’utilisateur.


L’ouverture d’applications devient superflue. L’interaction avec les écrans est remplacée par des commandes vocales ou des notifications automatiques. Cette fluidité d’usage redéfinit le rapport entre l’humain et la technologie, mais interpelle sur le contrôle qu’on abandonne à ces outils.


Des décisions sans consentement explicite

Pour fonctionner, ces agents s’appuient sur des données très personnelles : localisation, historique d’achat, préférences alimentaires, données de santé, et bien plus. Leur autonomie croissante pose problème. Ils peuvent, par exemple, valider des conditions générales d’utilisation (CGU) ou effectuer des paiements en ligne sans intervention humaine.


Ces assistants introduisent une nouvelle question : où s’arrête le contrôle de l’utilisateur ? Si un agent agit au nom d’un individu, qui est responsable des décisions prises ? Ces problématiques sont encore floues et mettent en lumière des enjeux juridiques complexes.


Big Tech et guerre des agents

Les grandes entreprises technologiques se livrent une bataille pour le contrôle de cette nouvelle interface utilisateur. L’enjeu n’est pas seulement économique : il s’agit d’intégrer chaque individu dans un écosystème fermé, où l’assistant devient indispensable pour naviguer dans le quotidien.


Apple, Google, OpenAI ou Microsoft cherchent à imposer leur agent comme une couche intermédiaire entre les utilisateurs et les applications. Cette intermédiation réduit l’interaction directe avec les marques ou les services, centralisant encore davantage les flux de données entre les mains de quelques géants.


Vers une société sans libre arbitre ?

Si l’agentique promet de libérer du temps et d’augmenter l’efficacité, elle soulève des questions profondes. Que devient la capacité de décision individuelle dans un monde où une machine peut anticiper et agir à la place d’un humain ? Comment éviter les dérives, alors que ces outils sont programmés pour maximiser leur contrôle sur les habitudes des utilisateurs ?


Plus qu’une innovation technologique, l’agentique représente une rupture éthique et culturelle. Alors que la ligne entre assistance et surveillance s’estompe, l’équilibre entre confort et liberté devient un enjeu clé.


En 2025, la question n’est plus de savoir si ces agents s’imposeront, mais à quel point ils redéfiniront nos vies. Un avenir connecté, oui, mais sous quelles conditions ?


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