- Speaker #0
Trouver le bon équilibre entre quantité et qualité. Comment arriver à faire les deux ? En fait,
- Speaker #1
pour faire de la qualité en quantité, il faut donner de la liberté à ton rédacteur.
- Speaker #0
Comment est-ce que vous vous y prenez pour être productif et notamment, est-ce que vous utilisez
- Speaker #2
Desir ? On s'en sert beaucoup pour faire des V1 d'articles. Quand tu fais des workflows où il y a 5 mails et tu hyper personnalises très vite, tu as des trucs, tu peux avoir des centaines de mails.
- Speaker #1
Le fait de ne pas mettre de pression aux résultats, c'est en respectant leur rythme et leurs affinités, déjà, tu garantis une grosse qualité.
- Speaker #0
Si vous êtes leader marketing et que vous avez un... projet d'expansion internationale en 2025, vous allez faire face à un gros challenge qui est la gestion de votre website en multilingue. Entre les allers-retours interminables sur la traduction, la gestion de projet et le SEO, c'est un process qui peut être long, coûteux et qui peut vous faire perdre des précieux points de conversion. Mais heureusement, il existe une solution pour ça, c'est Wiglot. Wiglot, c'est une solution de traduction en no-code qui vous permet d'avoir un site multilingue et optimisé SEO en quelques minutes seulement. Ils équipent plus de 110 000 sites web dans le monde et vous permettent... en plus de la traduction automatique, d'avoir une révision humaine, ce qui vous permet d'avoir du contenu de qualité, à budget optimisé, et sans dépendre de votre équipe IT. Si jamais vous souhaitez en savoir plus, il y a trois choses à faire. Déjà, premièrement, vous pouvez aller écouter l'épisode de conquête que j'ai fait avec Eugène, le CMO de Wiglot. Je vous mets le lien dans la description. Deuxièmement, vous pouvez aller visiter le site web de Bulldozer si vous voulez voir à quoi ça ressemble, puisque nous sommes clients Wiglot depuis déjà quelques temps. Et enfin, grâce au code Bulldozer15, vous pouvez bénéficier de 15% de réduction sur votre première année d'abonnement. Merci à eux d'être... partenaire de conquête et bonne écoute un des gros challenge du contenu et notamment notamment sur la partie est si loin c'est trouver le bon équilibre entre quantité qualité comment arriver à faire les deux en fait tu vois et du coup je pense que c'est directement lié aussi Ausha des sujets et c'est vous comment vous y prenez je
- Speaker #1
pense que chaîne c'est un peu une spécificité parce que j'ai toujours eu tendance à en faire un peu trop c'est quelque chose que je me reproche que je ferai peut-être différemment dans mes prochaines boîtes mais historiquement moi j'ai commencé à bosser chez le lynx où on faisait beaucoup de contenu On avait trois journalistes en interne, où on publiait trois brèves tous les matins, plus un contenu froid l'après-midi en gros. Donc je viens d'un monde où on produisait beaucoup de contenu. Donc je viens de ça, et après je suis arrivé chez EasyBuyEDF, où du coup j'étais un peu plus responsable SEO, et j'étais en charge vraiment de la strade de contenu. Et en fait en arrivant dans le monde du travaux, je ferai le pont après.
- Speaker #0
Je te fais confiance.
- Speaker #1
Mais le monde des travaux en ligne, en fait il y a un nombre de contenus... potentiel qui est quasiment infini en fait. Entre la plomberie, l'électricité, le nombre de problèmes à adresser en tant que marque est absolument colossal et on s'est retrouvé à produire 200 contenus par mois et on avait tout un système, tout un process pour le faire. Ce process là, on l'a amélioré, enfin je l'ai importé chez Shine donc chez e-sboydef je travaille avec 20 freelances en temps réel sur un document partagé, peut-être qu'on en reviendra un peu plus tard. Mais du coup, j'ai importé ces méthodes-là où j'ai vu des résultats absolument phénoménaux en produisant du bon contenu. Parce qu'en gros, les gros piliers du référencement, ça va être ta notoriété, la partie un peu netlinking qui parle de toi, etc. La partie contenu, est-ce que le contenu que tu adresses est pertinent par rapport à ta cible de marque ? Et après, tu as un peu le pilier technique, est-ce que ton site juste, il est OK pour que Google le ranque et s'intéresse à lui ? Et sur la partie contenu, en fait, quand tu as la technique et la brand, ce qui est le cas chez Shine, le contenu rank tout seul et ça te fait vraiment du trafic gratuit. Alors, pas gratuit, on en reviendra aussi, mais du coup, j'ai un peu importé ça. Et du coup, pour moi, il n'y a pas de mauvais contenu tant qu'on est dans le scope de contenu adressable pour ta marque. Et en l'occurrence, sur la partie compte pro, c'est très compliqué de vendre un compte pro parce que... déjà tout le monde ne sait pas qu'il faut un compte pro si je prends les autres entrepreneurs même les sociétés maintenant beaucoup de gens passent par des légal tech etc c'est pour ça que chaîne a développé ce service là mais au moment où tu crées ta société sur sur shine par exemple on va te dire il te faut un compte pro pour faire le dépôt de capital et en fait c'est ce moment là qui est absolument clé pour nous qu'il faut aller chercher donc ça c'est là c'était là le premier knowledge avoir en tête avant de construire sa strates et le deuxième le deuxième point c'est purement lié à la banque, mais j'imagine que c'est vrai aussi ailleurs, c'est que le client est très fidèle. Il part très peu souvent pour la concurrence, à part si vraiment tu n'arrives pas à adresser un besoin, de nombre de virements ou autre, il changera de banque que s'il y a une liquidation dans trois quarts des cas. Donc on perd des clients quand ceux-ci ferment leur société, ce qui est assez logique. Donc mon persona, c'est tout ce qui se passe avant ce fameux moment du dépôt de capital. Et ça commence... Alors, en fait, on a plein de personnels dans la banque. Tu vois, même chez... On a le personnel auto-entrepreneur, mais chez les auto-entrepreneurs, on va avoir du livreur, on va avoir du bâtiment, donc c'est déjà plus les mêmes. Je vais avoir de l'infirmière libérale, je vais avoir... du freelance, web designer, ce genre de choses. Donc, j'ai une multiplicité de personas qui est absolument énorme. Et je ne sais plus où je voulais en venir. Mais en gros, je suis parti du postulat qu'à partir du moment où on pense à quitter sa boîte, c'est potentiellement le moment où on pense à créer une entreprise, se lancer. Et donc, les premiers contenus, on va dire les plus top au final, ça va être modèle de rupture conventionnelle, ce genre de choses. comment toucher son chômage en lançant son AE, ce genre de choses. Et puis après, je vais faire tous les sujets possibles, tous les sujets de l'AE, le chômage, la retraite, comment se lancer, les démarches, ces coins cabisses. Après, je vais traiter tous mes personnes associées. C'est quoi une SASU, le guide de la SASU, comment créer une SASU en quatre étapes, est-ce que je peux créer une SASU gratuitement, c'est quoi le prix de création d'une SASU. Bref, je vais vraiment tacler tous les sujets possibles qui, dans mon scope, arrivent avant le dépôt de capital, avant la bancarisation. Parce qu'après, on va quand même en faire. Mais on va dire que c'est 10% de notre production. Ce qui vient après, c'est quand même beaucoup plus compliqué d'aller faire switcher un client. On pourra le faire switcher sur des contenus très experts, sur des gens qui ont des besoins très spécifiques. Par exemple, j'ai besoin de faire des virements à l'international. Je me suis rendu compte que mon compte pro actuel, il n'est pas bon. Donc je commence à me renseigner, c'est quoi un virement international, comment ça fonctionne, qui fait ça. Et là, ça serait bien d'avoir du shine parce qu'on le fait et parce qu'on a envie qu'ils viennent pour cette feature. Mais on est déjà plus à la marge. On est plus un persona connaisseur. Et en fait, le persona connaisseur, souvent, c'est aussi le patron de sa boîte. Donc ça reste des AE. Ce n'est pas le segment de clientèle sur lequel aujourd'hui on a envie d'aller. C'est plus TPE, PME. Donc voilà.
- Speaker #0
Ça suit beaucoup le customer journey de… je suis salarié et j'envisage un petit truc jusqu'à, ok, j'ai effectivement mon compte et mon business qui tourne. En fait, tu as vraiment listé toutes les étapes mentales par lesquelles la personnelle passe. Et tu as fait en sorte d'avoir le bon contenu à chaque étape.
- Speaker #1
C'est ça. Et ça a été une vraie prise de tête de construire toute la catégorisation de ce site-là parce qu'on avait tellement de sujets à adresser. Les aides financières pour créer son entreprise. Ok, les aides par région. département et machin et ça ça marche trop bien tu t'appelles est d'entreprise guadeloupe et d'entreprise normandie il ya chaîne qui pop juste après le site de la région tu sais que tu as du bon persona ouais c'est peut-être un petit peu early mais vu que vous travaillez sur le north ring etc derrière vous savez que a priori voilà vous êtes up of mind justement l'objectif de ces lignes magnètes c'est de courir le plus possible de trafic nativement général on n'a pas un livre magnètes pour tous nos contenus encore donc aujourd'hui on arrive sur aide reprise en normandie n'a pas le petit contenu qui fait qu'on a les mails et star mais mais là on est du coup on n'est plus sûr d'un auto ouais j'ai vu chagrin une première fois et le jour où je vais réfléchir à créer ma boîte me bancariser j'aurais le choix j'irai sur un comparateur en ligne je verrai shine conto finum et je ne sais qui d'autre et il repensera peut-être à chagrin à ce moment là on est plus sur la partie noto et en termes de contenu ça va très loin comment ouvrir un restaurant Comment ouvrir une pizzeria, comment ouvrir une poissonnerie, ce genre de choses. En fait, c'est très niche. Alors, ça fait beaucoup de visites, c'est assez drôle. Mais on est quand même sur des personnages assez intéressants. On sait qu'ils vont passer à l'action.
- Speaker #0
Clairement. Clairement. Ok, super intéressant. J'ai envie qu'on ouvre un peu une espèce de porte sur comment être productif quand on fait du content. Parce qu'on en parlait juste avant, mais bon, le côté un peu painful du content, c'est que c'est du temps incompressible, ça prend du temps, etc. Comment est-ce que vous vous y prenez pour être productif et notamment est-ce que vous utilisez des IA ?
- Speaker #2
Oui, alors on a Dust qui du coup rassemble plusieurs, ça nous permet d'accéder à JGPT, Cloud et compagnie. Donc moi j'ai un peu forcé mon équipe à s'en servir. Donc régulièrement on fait des trainings, encore là dans deux jours. Un training, on va chacune se présenter, nos assistants qu'on a itérés, parce que les V1, c'était clairement pas ça. Donc on a demandé des conseils à droite à gauche. Et donc du coup, on s'est auto-formés, on a regardé pas mal de vidéos, etc. pour vraiment s'y mettre. Moi, de base, évidemment, je me dis, oula, l'IA pour du content. Sauf qu'en fait, je pense que c'est vraiment pas la bonne approche. Il faut savoir s'en servir, ça va être un allié. Et c'est hyper utile qu'on prenne ce tournant. Donc... C'est vrai que j'ai un peu forcé l'équipe en disant il faut qu'on prenne le pli, il faut qu'on prenne le pli, dans un mois il faut qu'on ait créé nos assistants, qu'on ait fait des tests sur ça, ça, ça. Chacune prend son scope et teste. Et en fait on se rend compte que oui ça peut être utile sur plein de choses. En copywriting pur, pour l'instant, pour créer un titre, un truc hyper percutant, franchement, jusque-là, je trouve que dans mon équipe, on est encore... Enfin, pour l'instant, on est meilleurs. Je pense que ça va peut-être changer. Mais je trouve que le temps que ça prend pour avoir un truc un peu bateau, quand même, c'est pas fou.
- Speaker #0
Oui, puis un titre de 10 mots. Ton compte, il te prend deux heures à écrire. C'est ça,
- Speaker #2
exactement.
- Speaker #0
Viens, je te sors de 10 mots.
- Speaker #2
Là-dessus, ouais, j'y crois pas trop. Par contre, nous, on s'en sert beaucoup pour, par exemple, se dire, on a un article, on veut en faire une vidéo. OK, on met l'article et on va lui demander de nous faire une V1 de script. Ça, ça va être très utile. On s'en sert beaucoup pour faire des V1 d'articles. On va s'en servir pour faire de la veille. Il y a des fois où, je ne sais pas, par exemple, je voulais m'inspirer de code TikTok, de boîte B2B. Alors, j'ai quelques exemples en tête de Notion, de machin. Mais en fait, je lui ai demandé de me donner plein d'exemples de chaînes TikTok. Il m'a donné plein de liens et en fait, il y en a plein auxquels je n'aurais vraiment pas pensé. Donc, ça m'a fait gagner un temps fou. On va lui demander de nous donner plein d'idées, justement des idées de contenu. En fait, si on lui explique vraiment la cible, le personnage, le bailleur narratif va permettre, je pense, d'avoir des idées encore plus fines. Donc, pour de la génération d'idées, ça nous a pas mal servi pour reformuler. Je trouve qu'il est bon. se dire, ok, des fois, nous, on écrit la V1, mais il y a des phrases trop longues, machin, etc. Est-ce que tu peux nous faire une V2 qui soit plus authentique, conversationnelle, naturelle, moins commerciale, pushy, etc. Là, je le trouve plutôt bon. Voilà, donc on s'en sert pour plein de choses. Et puis après, il y a des trucs plus d'orgas qui est, quand on fait un meeting, il nous fait un compte-rendu. Enfin, voilà, il y a toutes ces choses-là, mais qui ne sont pas du tout liées au content, mais liées à plus des méthodes de travail. Donc, mais je trouve que sur de l'écriture, pure sur vraiment nous créer je trouve que sa V1 ne sera jamais mieux qu'un vrai content manager je trouve qu'il fait plus la version de quelqu'un qui n'écrit pas hyper bien alors peut-être que c'est nos prompts qui ne sont pas très bien décrits mais on travaille beaucoup sur les prompts les assistants sur Dust mais je trouve que ça ressemble un peu tout le temps en fait mais ça fait gagner beaucoup de temps en V1 par contre ah bah c'est clair et tu vois tous les mails de Nurture quand tu fais des workflows où il y a 5 mails et tu hyper personnalises donc tu fais en fonction de la convention collective de la taille du persona très vite, tu as des trucs tu peux avoir des centaines de mails là dessus franchement j'ai passé un peu de temps à faire l'assistant mais en fait derrière il me fait des V1 qui sont quand même très très bien je lui demande de pusher tel contenu je lui dis ça c'est tofu, ça c'est beau fou et franchement c'est pas mal et puis moi je trouve
- Speaker #0
Alors après, c'est peut-être parce que mon métier, ce n'est pas de faire du contenu, mais il s'avère que j'en produis quand même beaucoup. Et même après des années à écrire des trucs, j'ai souvent le syndrome de la page blanche. Là, je ne l'ai plus.
- Speaker #2
ça c'est quand même davantage en génération d'idées structure où des fois je sais pas on veut faire des vidéos, on veut trouver des fun facts au début bon bah en fait trouver des fun facts ça prend vachement de temps pour ce genre de choses 100%
- Speaker #0
d'accord trouver des exemples tous ces petits trucs là
- Speaker #2
ça ça va être hyper utile bon après il faut vérifier parce qu'il y a un paquet de choses qui sont un peu inventées mais et on apprend encore à s'en servir en fait chaque semaine on découvre des nouveaux usages et en fait ce que je trouve hyper intéressant notamment dans le côté management d'une équipe c'est que là la personne qui est la meilleure chez nous c'est notre alternante et c'est pas un hasard c'est qu'en fait c'est la plus jeune et en fait elle s'en sert ... pour tout, c'est notre champion de Dust et c'est elle qui nous fait la dernière fois, c'est elle qui nous a fait le training et en fait c'est ça que je trouve génial c'est de te dire, en fait elle nous apprend des choses elle nous challenge et je trouve ça génial que ce soit l'alternante qui fasse ça c'est un peu une espèce d'inversion du rapport de force par rapport à cette connaissance là c'est un peu le mentoring inversé, c'est les jeunes qui apprennent aux vieux c'est très bien comme ça je retire mon point sur le mix qualité quantité ouais
- Speaker #1
pour faire ça comment est ce que enfin j'imagine qu'il ya aussi un enjeu de staffing donc ce que tu crois que tu disais au début vous avez dit freelance rédacteur c'est ça alors on a en gros on a créé ce qu'on appelle une machine à contenu donc moi je vais arriver avec ce concept là qu'on a beaucoup amélioré avec le content manager de l'époque que je salue théo salut tu regardais Mais en gros, pour faire de la qualité en quantité, il faut donner de la liberté à ton rédacteur. Si tu commences à gérer des briefs à la main que tu envoies par mail à tous tes rédacteurs un par un, tu vas te faire du mal toi-même en tant que gérant de tout ça, parce que ça va te faire un flot d'informations qui est énorme. Du coup, le concept de la machine à contenu, c'est vraiment que tu vas rédiger du contenu pour nous. que tu vas choisir au sein d'une liste qui est prédéfinie et tu vas il n'y a pas de condition de quantité dire que si tu as tu as envie de travail de faire trois articles par mois tu fais trois articles par mois si tu veux en faire zéro temps fait zéro si en ce moment tu es chaud tu as envie d'en faire 15 ans fait 15 donc en gros tous les fonctionnent en trimestre tous les trimestres on envoie tout ça c'est bien air table nous on a une base de données air table où on met tous nos sujets On prépare tous ces sujets, donc en gros, là aujourd'hui, on fait 90 sujets par trimestre, donc en gros à peu près un article par jour.
- Speaker #0
Donc attends, quand tu parles de sujets, ce n'est pas des keywords, c'est vraiment des titres de sujets ?
- Speaker #1
En fait, on limite le risque que, en fait, si tu donnes juste le mot-clé, il y a un risque de mauvaise interprétation de l'angle. Tout à fait. Et vraiment, ce qui fait la différence en référencement et en contenu, c'est comment tu angles un sujet précis, comment tu le copyright même, j'ai envie de dire. C'est ce qui fait vraiment la différence aujourd'hui pour être premier. Donc nous, on envoie 90 sujets où il y a déjà le titre, il y a un petit brief à chaque fois, il y a tout un tas d'informations, il y a le nombre de mots, il y a la future catégorie. On essaie de rendre le truc le plus riche possible. On les intègre dans un Rtable et eux ont un système d'interface où il y a une liste et ils peuvent cocher les articles qui les intéressent le plus et ils vont les rédiger pour nous et ils vont nous livrer après avec tout un système d'interface sur Rtable. Et donc vraiment... Ce qui nous permet de faire de la qualité et de la quantité en même temps, c'est d'abord ça, c'est cette philosophie de, dans mon réseau de rédacteurs, j'ai des juristes par exemple, ils sont beaucoup plus affinitaires avec des contenus, comment créer sa salle de vue par exemple. Donc ils vont automatiquement plutôt choisir ces sujets-là où ils sont bons, ils vont rédiger vite. Donc pour eux, c'est un bon deal. Et à l'inverse, je vais avoir des gens plus spécialisés sur l'auto-entreprise, sur des sujets plus… tout type de sujets. et le fait de pas mettre de pression aux résultats c'est à dire cette ce mois ci tu m'en fais 5 et ben pareil en respectant leur rythme et leurs affinités déjà tu garantis une grosse qualité et après le deuxième secret c'est la partie formation en fait quand moi je suis passé de easyboyudf à shine j'ai importé les meilleurs en gros chez easyboyudf j'avais 20 rédacteurs j'ai gardé les 5-6 meilleurs on en a recruté quelques autres aussi depuis mais en fait c'est tout simplement de l'humain Il y a vraiment des gens qui bossent super bien, le contenu, nous on fait pas du tout d'IA, on pense que chacun à sa patte et on cherche vraiment des gens qui écrivent bien et qui connaissent a priori des sujets. Donc on a quand même pris des gens qui sont capables de, qui ont des background juridiques sur nos thématiques etc. Il y a tout un système de formation. Quand tu commences à travailler pour nous chez Shine, en fait, tu as des formations de base, c'est à dire qu'on va prendre deux heures, on va te dire voilà on est CEO, on fait les liens internes comme ça. On met le gras comme ça, on fait comme ci comme ci comme ci comme ça, ce qui est très théorique. Regarde ça c'est les articles qui marchent super bien, dont on est super fier et dont toi tu dois t'inspirer pour le livrable final. Et en gros, pendant cinq articles on va rien dire. On va les payer les articles, même s'ils sont pas bien. On te laisse cinq articles et on voit comment tu as digéré l'information, ce qu'on t'a donné. Et après ces cinq articles là, c'est toujours pas fini, on fait un premier vrai audit. On prend le temps, on prend une heure, une heure et demie par personne. Et regarde, là, je pense que sur ce point-là, tu aurais pu faire mieux. Sur ce point-là, tu aurais pu faire mieux. Par contre, là, tu as fait bien, etc. En fait, c'est de la formation. Mais on laisse le temps aux gens de faire des erreurs parce que ça nous permet de voir tout de suite ce qu'il faut corriger avec la personne. Par exemple, sur tes cinq articles, l'intro, elle n'est pas catchy, elle n'est pas comme nous, on aime bien. On va souligner ce point-là particulièrement. Là, les liens internes... tu ne les fais pas de la bonne manière, entre guillemets. En fait, on voit la récurrence des problèmes et du coup, on peut vite agir. Et après, il y a un deuxième audit au bout de 10 et là, on définit si on travaille ensemble sur du long terme. Une fois que tu es un peu dans le réseau, on te fait confiance a priori. Oui,
- Speaker #0
tu as fait tes preuves, let's go.
- Speaker #1
C'est ça. Donc ça, on va dire que c'est des formations individuelles pour chaque rédacteur. Et après, tu as des formations plus globales. Donc, il y a une formation brand. Comment on parle de Shine ? Shine c'est une marque qui est très forte, écriture inclusive, ça c'était un challenge par exemple pour travailler avec les freelances. Tous n'ont pas forcément l'habitude, c'est politisé, il a fallu faire en sorte qu'on puisse le faire. Tous les sujets RSE, écologie, etc. Il y a des contenus que je n'ai pas pu publier par exemple et des contenus qu'on fait exprès, qu'on publie exprès pour être un petit peu dans le mood. Pour affirmer quelque chose. il faut que nos rédacteurs aient toujours ces deux gros aspects-là dans leur rédaction, RSE, brand et expertise, pour avoir un contenu qui soit shine. ok donc ça c'est des sessions collectives par exemple tout notre réseau de deux rédacteurs a fait une fresque du climat avec notre responsable rs chez shine ah ouais et c'est pas mal oui c'est des externes mais vous les embarquez dans votre culture interne complètement et c'est ce qui fait franchement la dif il ya
- Speaker #0
des rédacteurs qui je bosse depuis quatre ans oui en même temps c'est des gens qui vont parler de la marque bien sûr le fait qu'ils parlent de la marque c'est quand même hyper important effectivement qu'ils soient qui comprennent la culture et le meilleur moyen de comprendre la culture c'est d'en faire partie.
- Speaker #1
Bien sûr et puis le seul problème à cette manière de faire je dirais c'est la mise en avant du produit foncièrement. Je pense qu'on produit un très très bon contenu mais pour mettre en avant ton produit, si tu n'es pas in-house, c'est quand même compliqué. Si tu n'es pas PMM, Product Management Marketing, c'est compliqué quand tu ne connais pas le produit d'en parler comme si c'était le sien. Je te donne un exemple. nous on a un logiciel de facturation qui est super, bon bah si tu fais jamais de facture que tu connais pas le produit c'est quand même dur d'être enthousiaste dans l'article où c'est intéressant d'en parler tu vas dire bon bah
- Speaker #0
Shine a un outil de facturation on a parlé d'IA mais c'est quoi les autres éléments que vous avez pour essayer d'être plus productif possible je pense que c'est plus des
- Speaker #2
Un état d'esprit que je vais essayer d'insuffler, qui est... Déjà, pour moi, le tracking est hyper important là-dessus. C'est-à-dire, en fait, OK, vous avez passé... Ça, c'est un des trucs qui vous a pris le plus de temps. Vous avez passé quatre jours à écrire ça. Ça a quasiment rien ramené. On voit que c'est dans le flop 20 de notre tableau Looker. En fait, on arrête. C'est pas la peine, quoi. Donc déjà, je trouve que regarder la data va aider à ne pas le faire pour rien. Ensuite, il y a se dire... Moi, c'est le truc des 3 R, reuse, reduce, recycle. Je dis, on a fait tel ça, je pense qu'elles n'en peuvent plus. Mais je dis elles, parce que ce ne sont que des filles. Et en fait, c'est de se dire, déjà, on réduit. Parce que toujours pareil, comme on veut produire, produire, produire, en fait, on ne diffuse plus. Sauf qu'en fait, non, on attend. On produit, on diffuse. On produit, on diffuse. On attend de voir si ça marche avant de reproduire, etc. Donc ça, hyper important. Quand on réduit aussi, ça veut dire avant de lancer un contenu, il faut s'assurer que ça va servir. Parce que des fois, on crée une vidéo et puis après, personne ne s'en sert. OK, on va s'assurer que Gross Sales s'en serve. Ah, Product aussi, ils ont un besoin. OK, on mutualise. Donc, c'est faire le tour des équipes et se dire, plus il y a d'équipes qui le veulent, plus on va le prioriser. Mixer ça évidemment avec les prix au business qui restent, ce qu'on a toujours en tête. Ensuite, c'est recycler, réutiliser, c'est de se dire, c'est le classique, mais un contenu, il ne va pas servir qu'une fois, donc c'est des marronniers, donc il va servir plusieurs fois dans l'année, etc. Et l'autre classique aussi, qui est qu'un webinar peut devenir un article, un podcast, ça, c'est les trucs classiques, mais voilà, qu'il faut garder en tête. Je pense que c'est beaucoup ça. Et ensuite, il y a un moment où quand un format marche bien, il ne faut pas tout réinventer tout le temps. Donc oui, il y a des fois où il faut sortir de sa zone de confort, il faut challenger les choses. Mais en fait, il y a un moment où quelque chose marche très bien. Continuons, continuons. Et puis, au bout d'un moment, on va... N'attendons pas que ça décline, mais il y a un moment où on va... En fait, c'est pour ça que les filles de mon équipe, c'est pour ça que je les trouve incroyables, c'est qu'avant même que je leur dise, là, il va falloir challenger le format du webinar, en fait, à un moment, elles vont arriver et me dire, je voudrais proposer autre chose parce que ça marche hyper bien, mais je pense que ça pourrait marcher encore plus. Et ça marche, en fait. Et en fait, c'est d'un côté, ça roule et donc du coup, ça leur fait... Enfin, elles passent de moins en moins de temps parce qu'elles maîtrisent ce qu'elles font. Et puis, il y a toujours un moment où elles vont se dire, tiens, là, je vais pouvoir ajouter quelque chose. Et en fait, ça, je pense que c'est hyper bénéfique parce que tout roule, donc c'est fluide. Mais tu vas te rajouter un petit truc qui va faire que, un, ça marche mieux. Et puis toi, tu es plus motivé parce que du coup, tu fais quelque chose de nouveau. Et ça, je pense que c'est hyper utile. Et puis, c'est aussi de se dire... En fait, c'est l'art de dire non. Moi, j'ai fait des trainings à mon équipe sur dire non. Parce que... En fait, comme on a aussi voulu à un moment se positionner en business partner, être l'agence conseil en contenu, le risque, c'est de dire oui à tout. Et si tu dis non, comme je disais une fois, deux fois, trois fois, on ne sollicite plus. Donc, en fait, tu dis oui à tout, sauf que tu as trop de choses et tu commences à produire. Et puis, tu te rends compte qu'en fait, ils ne s'en servent pas parce qu'une fois, on t'a demandé quelque chose, tu as voulu le faire tout de suite. Sauf qu'en fait, si tu avais attendu deux mois, on ne te l'aurait jamais redemandé parce que ce n'était peut-être pas très utile. Donc, c'est aussi de se dire OK, en fait, on priorise. Est-ce que c'est pris au business, etc. ? Et on va voir, on va proposer des solutions. Est-ce qu'on ne peut pas mutualiser avec un autre contenu ? Il y a des fois, on se rend compte que nous, on fait une vidéo sur le même sujet. On va juste adapter le format et ça va servir pour deux équipes. Et c'est de se dire... Il y a aussi des choses où on va le faire, et d'autres où on va avoir un oeil dessus, on va juste être en consulting. C'est aussi savoir quel rôle avoir en fonction de l'enjeu. Et il y a des fois où, oui, peut-être que si on l'avait fait, ça aurait été peut-être encore mieux fait, parce que c'est notre métier, et que quelqu'un qui n'a jamais fait de vidéo et créé un script, en vrai, c'est hyper dur. Mais si l'enjeu n'est pas la priorité numéro un, Si on a juste un rôle de consulting et qu'on vient de challenger certains points, en fait, ce n'est pas grave, ça suffit. Et la fois d'après, on les aidera complètement parce que tout le monde aura mieux anticipé, etc. Donc, je pense que c'est…
- Speaker #0
C'est aussi faire preuve de leadership, en fait, ce que tu dis. C'est avoir une posture de leader sur ton sujet. Et savoir dire non, c'est aussi avoir une posture de leadership.
- Speaker #2
Et puis aussi, on se rend compte qu'il y a des sujets, il y a tous des moments où on a envie de développer un truc. Et en fait, Payfit, c'est aussi une boîte qui va très vite. Donc, il y a des fois où on se rend compte que deux mois après, le sujet, il n'est plus d'actu. Et il y a des fois où on le sent aussi. On se dit, ok, alors ça, ça fait trois fois qu'on nous le demande. Ce serait peut-être vraiment bien qu'on le priorise. Ok, on va revoir la roadmap parce qu'en fait, là, il faut vraiment que... Enfin, moi, j'estime qu'en fait, là, il faut qu'on bouscule notre roadmap pour ça. Et à l'inverse, il y a des choses où je me dis, attention, ça, on n'est pas du tout sûr. Attendons d'abord. attendons d'avoir justement de la data, des insights côté sales pour s'assurer que là, on part dans la bonne direction. Et en fait, il y a des fois où on se dit que ça ne fonctionne pas. Je ne sais pas, telle intuition qu'on avait, on voulait se positionner sur, je n'en sais rien, telle convention, ça ne marche pas. Heureusement que tout d'un coup, on n'a pas développé 10 cas clients de cette convention. Donc, c'est temporisé et je pense que c'est hyper important.
- Speaker #0
de savoir dire non de temps en temps surtout dans une boîte en croissance comme celle de Payfit parce que sinon tu te fais vraiment écraser tu te fais écraser et tu t'éparpilles et du coup tu fais tout je pense que tu ne fais pas forcément très bien tu ne le diffuses pas assez donc ça ne marche pas bien donc tu ne valorises pas ton travail et du coup tu te dis c'est parce que j'en fais sûrement pas assez et du coup c'est vraiment l'espèce de cercle vicieux c'est ça et en fait c'est aussi des fois dire là on vous a fait un seul contenu ...
- Speaker #2
mais c'est un master, c'est un contenu premium. Et en fait, il va aider beaucoup plus que 5 tout petits contenus.
- Speaker #0
Ouais, clairement.
- Speaker #2
Pas hyper utiles. Et puis, c'est aussi se dire à quel point c'est quelque chose qu'ils vont pouvoir réutiliser. OK, c'est un truc, là, c'est parce qu'il y a une actu chaude, mais on sait que dans une semaine, on n'en parle plus. On va développer un contenu, mais avec un minimum d'effort. C'est ça aussi, c'est le temps passé. Quel est le temps qu'on va passer ? Et se dire, OK, ça, c'est un sujet qui va durer deux semaines, mais c'est ultra important, tout le monde va en parler. Ok, on fait un truc très court et on adapte quel est le bon format, c'est aussi ça.