Stratégie de contenu B2B et ROI cover
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Conquête

Stratégie de contenu B2B et ROI

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30min |23/10/2024
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Conquête

Stratégie de contenu B2B et ROI

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30min |23/10/2024
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Description

Pour essayer Signitic : https://bit.ly/3z7kmlt


Pour recevoir nos stratégies marketing & growth par email : https://bullishbulldozer.substack.com/

Pour travailler avec Bulldozer - https://bulldozer-collective.com


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Dans cet extrait, je reçois Guillaume Moubeche (CEO de @lempire) et Laurent Levrey (Head of Growth de @Greenly) pour discuter Content.
Ils nous partagent leur stratégie de contenu à l'international, comment ils calculent le ROI du content (ou pas) et comment créer l'effet wahou auprès de son audience.

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OÙ RETROUVER GUILLAUME :
https://www.linkedin.com/in/profit-led-growth/


OÙ RETROUVER LAURENT :
https://www.linkedin.com/in/laurent-levrey-693668116/

TRAVAILLER AVEC BULLDOZER
https://bulldozer-collective.com/

OÙ RETROUVER JORDAN :
https://www.linkedin.com/in/jordanchenevier/

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QU'EST-CE QUE BULLDOZER ?

Bulldozer maximise la performance marketing & commerciale des PMEs et Scale-Ups sur l'ensemble de leur funnel.

Notre modèle hybride agence/collectif nous permet d’accéder aux meilleurs talents du marché et d’agir sur l’ensemble des leviers de performances de nos clients (Outbound, Paid, SEO, ABM, RevOps, Data…).

En 2 ans, notre forte visibilité sur les réseaux, notre pool de talents ainsi que notre vision à 360° du growth nous ont permis d’avoir une forte croissance et d’attirer 200+ clients (Aircall, Alma, Sunology, Hexa…).

Sur les années à venir notre ambition est forte : concevoir et opérer des stratégies “growth” qui font référence dans le monde et ainsi devenir un leader sur le sujet d’ici 2030.

Pour travailler avec nous 👉 https://bulldozer-collective.com/

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TIMECODE :
00:00 - Intro
00:40 - Signitic, notre partenaire
02:00 - Content Strategy


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Les gens n'ont plus besoin de connaître toutes ces tactiques et toutes ces méthodes parce qu'il y en a partout dans le web. Ce qu'ils ont besoin, c'est d'un changement de mindset où ils disent putain, en fait,

  • Speaker #1

    c'est possible Après l'allemagne, ce qui est un peu plus tricky, c'est un peu obligé de traduire l'ensemble de ton site en allemand. Et là, tu sais que tu te remarques dans un chantier qui va quand même te prendre une part de temps non négligeable sur ton quarter.

  • Speaker #0

    En self-service, je n'ai même pas besoin de parler aux gens. En fait, ils ont vu tellement de vidéos et tout qu'ils s'auto-closent.

  • Speaker #1

    C'est quoi ton effet va-vous ? En gros, de le définir, c'est quoi ? Au bout de combien de temps un utilisateur peut le voir ?

  • Speaker #0

    Je pense que ce qui est underrated, c'est des marketeurs qui ont du goût. Et ce qui est overrated, c'est des marketeurs qui maîtrisent soi-disant la data.

  • Speaker #2

    Si vous suivez les contenus qu'on produit avec Bulldozer, que ce soit aussi bien ce podcast avec Conquête sur LinkedIn, notre newsletter ou directement sur notre site web, vous savez qu'on aime partager nos dernières astuces pour augmenter l'acquisition, la conversion, bref, générer plus de business. Et aujourd'hui, j'avais envie de vous parler d'un outil qui est très sous-estimé, notamment sur des sujets de conversion. c'est votre signature email. Votre signature email c'est un moyen très simple de pouvoir diffuser des messages personnalisés auprès des prospects de votre choix. C'est pour ça que c'est très puissant pour des campagnes d'ABM notamment. A titre d'info sur les campagnes ABM qu'on utilise chez Bulldozer auprès de nos clients, la signature email ça peut être jusqu'à 36% de taux de conversion sur des contenus. Donc c'est vraiment très très élevé. C'est pour cette raison qu'on a choisi Signetic en partenaire de Conquête. Signetic c'est une solution de personnalisation d'email qui vous permet de déployer des signatures pour tous les collaborateurs en quelques clics seulement. Il y a une intégration native avec Google Workspace et Microsoft 365. C'est connecté à votre CRM. Vous avez aussi la possibilité de créer directement vos designs dans Canva et de les déployer dans l'outil. Bref, c'est très puissant, très simple d'utilisation. Et avec le code BULLE2R20, vous pouvez bénéficier de 20% de réduction sur l'outil. Merci à Cynetic de proposer cette offre pour les auditeurs de conquête. Allez, on attaque l'épisode. Tu investis beaucoup dans la vidéo notamment. Pourquoi la vidéo t'y croit ? Comment est-ce que ça se passe ? Et aussi, tu vois, un peu le côté multiplateforme, tu vois, du YouTube versus du Insta, etc. Comment est-ce que vous gérez ça ?

  • Speaker #0

    Ouais. En fait, ce qui est assez difficile, j'avoue que je suis un peu schizophrène avec la création de contenu. Et je teste toujours, en permanence, des choses différentes. Et je peux un peu te partager, tu vois, les différents états par lesquels je passe. Ouais. Et souvent, ces états, ils oscillent, en fait, entre... Je dirais peut-être deux parties de ma personnalité. Il y a une partie qui est... Je suis vachement dans le développement personnel, le dépassement de soi, le fait que tu peux partir de pas grand-chose et réussir à changer ta vie, que tu es vraiment maître de ton destin et que tu peux te créer l'environnement que tu as envie de te créer. Et le côté zéro bullshit. Et je te montre vraiment concrètement comment on fait les choses et très méthodique et rentré dans la technique. Et donc... J'oscille très souvent, en fait, quand tu regardes un peu mon contenu et ma chaîne édito, entre la partie inspirationnelle et la partie pratico-pratique. Et en fait, ça cible des gens qui sont un petit peu différents. Mais quand je fais de l'inspirationnel, en général, l'exemple que je prends, c'est si demain, tu demandes à une personne qui a envie de perdre du poids, comment est-ce qu'on fait pour perdre du poids ? Je pense que tu as 100% de la population qui peut répondre, tu vois, et qui te dira, pour perdre du poids, il faut que je fasse plus de sport, que je fasse un peu plus attention à ce que je mange. Et voilà, donc tout le monde le sait, tu vois. Et donc, quand je fais du contenu inspirationnel, ce que je me dis, c'est les gens n'ont plus besoin, en fait, de connaître toutes ces tactiques et toutes ces méthodes parce qu'il y en a partout dans le web. Ce qu'ils ont besoin, c'est d'un changement de mindset où ils se disent, putain, en fait, c'est possible. Et tu vois, le c'est possible... Moi, ça m'est arrivé plein de fois. Ça m'est arrivé quand j'étais aux États-Unis, qu'il y a des gens qui m'ont fait venir parce qu'on avait beaucoup de clients là-bas et qui me payaient pour aller là-bas. Et en fait, qui m'ont fait passer des caps mentalement juste parce qu'ils croyaient en moi. Ou parce qu'ils m'ont dit certaines phrases qui m'ont fait passer un cap. Et donc, le contenu inspirationnel, moi, je l'aime bien parce que je sais que ça a changé la vie de beaucoup de personnes dans mon audience. Parce qu'il y a des fois, ils se sont dit putain, c'est ouf etc. Et après, j'aime beaucoup aussi... La richesse est une base solide sur la pratique parce que je pense qu'il faut passer à l'action et pour passer à l'action, il faut que tu aies des gens qui t'expliquent comment faire. Et donc, c'est un peu les deux contenus que je fais. Évidemment, tu en as un qui attire tout type de population, c'est-à-dire que quand je faisais du contenu inspirationnel, à un moment, j'ai arrêté parce que je commençais à avoir des gens qui me contactaient, qui étaient, tu vois, en mode... Enfin, c'était des trucs très, très deep, tu vois. J'ai déjà reçu des gens en mode, j'allais me suicider, je suis tombé sur cette vidéo. Ça m'a totalement fait un déclic et tout et tout. Et des gens, après, tu sais, qui créent une relation, je crois que ça s'appelle parasociale ou quelque chose comme ça. Mais en fait, ils sont persuadés de te connaître. J'ai des gens, en fait, qui m'envoyaient des messages. et qui répondaient, qui faisaient des blagues, tu vois, enfin, tu lis la conversation. Eux, ils ont une conversation avec toi, mais j'ai jamais répondu, tu vois. Et du coup, ça fait un peu peur. C'est un peu creepy, ouais. Ça fait un peu peur, ouais. Et tu te dis, bon, tu vois, genre, c'est un pouvoir que, est-ce que tu as envie, tu vois, de l'avoir vraiment ou pas, tu vois, c'est, voilà. Et le côté pratico-pratique, ce que j'aimais bien, c'est, bah ouais, tu vois, genre, c'est concret, les gens, ils ont des résultats instantanés qui sont sur des choses qu'ils mettent en place. Donc, il y a le côté... Il faut que tu aies un mindset qui se développe et le côté, il faut que ce soit pratico-pratique. Et donc, globalement, mes réseaux, moi, je les divise de plusieurs manières. Il y a le côté Instagram qui reste en fait, c'est comprendre les réseaux et écrire en fonction des réseaux. Donc Instagram, les gens qui vont sur Insta, ils veulent de l'entertainment. Donc que tu fasses du contenu business ou du contenu aspirationnel, il faut que... Il y a une qualité vidéo, que ça soit sympa, qu'il y ait un capital sympathique qui soit assez fort et qui est du différenciateur. Donc, j'ai testé pas mal de trucs, mais globalement là-dessus, tu vois, j'alterne toujours entre très inspirationnel, donc avec beaucoup de sport, comme je fais beaucoup de sport, ou pratico-pratique avec un format un peu unique qui parle de choses très high level en business. Et mon objectif, c'est de me dire, je prends les gens... vraiment le plus haut du top up funnel, j'essaie de ratisser le plus large possible. Et dans cela, au bout d'un moment, il y a des gens qui vont se dire peut-être que j'aimerais bien en apprendre un peu plus sur le business. Et là, tu vois, je les fais venir sur des masterclass que j'ai pu lancer sur comment trouver tes premiers clients, comment se lancer sur Internet, des trucs comme ça. Donc, ils sont des masterclass gratuites. Et dedans, en fait, je vais parler des outils et je me dis qu'évidemment, si je leur ai apporté assez de valeur et qu'ils ont envie de se lancer, Oui, ils vont prendre un essai gratuit et s'ils trouvent des clients, ils deviendront clients payants. C'est un peu la mentalité. Ensuite, YouTube. YouTube, c'est du contenu qui va être vraiment actionnable en business, donc très lié à la masterclass, les masterclass que je pousse. En général, je les mets sur YouTube, je les mets accessibles à tous. Là, ma stratégie en ce moment, c'est de construire du contenu evergreen. Je me dis que ce contenu, si on le regarde maintenant ou dans trois ans, en fait, les gens, ça aura toujours de la valeur. donc là c'est ce que j'essaye de faire et ensuite après t'as TikTok c'est la même stratégie que Insta je me fais pas chier, enfin tu vois c'est les mêmes vidéos qui sont postées et après LinkedIn, là c'est beaucoup plus du coup ce que je vais appeler South Leadership, donc moi ma vision business et entrepreneurial sur des sujets qui peuvent être un peu plus high level ou très liés à la vision de la boîte, donc ça va être documenter nos milestones... expliquer ma vision parfois sur les marchés économiques, sur les VC versus le bootstrapping, sur typiquement comment recruter, qu'est-ce que doit être un bon leader. Il y a plein de sujets autour de ça. Et ça, l'idée, c'est plutôt de créer une communauté d'entrepreneurs très forte et donc de développer la marque associée aussi à l'Empire et à l'M-List et à tous nos produits en mode j'adhère à sa vision. et à ce que lui a envie de faire et de promouvoir dans l'entrepreneuriat. Donc, je suis intéressé par potentiellement les outils et je deviens client.

  • Speaker #2

    Équipe marketing centralisée. Et ensuite, du coup, comment est-ce que vous localisez notamment vos contenus à l'international ?

  • Speaker #1

    On a une roadmap contents avec un système de tag par pays, etc. En fait, on se pose au début de chaque quarter. On dit OK, voici un peu la location qu'on a envie de faire par rapport aux résultats marketing qu'on a eus. Et après ça, on bosse avec deux traductrices. Après, toutes les personnes qui sont dans l'équipe marketing sont plutôt anglo, enfin sont presque anglophones. On a dans l'équipe copywriter qui est gérée du coup par Inès, on a une anglaise, Cara, et une américaine, Stéphanie. Donc tu vois là, sur tout ce qui va être stratécio, c'est assez simple. Et après, sur des use cases, on a Chloé qui s'occupe de la partie marketing, marketing content, avec le suivi des clients, la création de développement en white paper, use case. Les gens passent, c'est des meilleurs. Là, on a quelqu'un qui va nous aider sur la partie traduction. Et là, l'enjeu qu'on a, c'est qu'on veut internationaliser la strat en Europe. Donc plus seulement les UK, mais tous les pays d'Europe. Donc là, l'idée, c'est de construire une landing page par pays, de le balancer absolument partout et voir où tu as des taux de conversion meilleurs. Tu as des pays, tu vois l'Allemagne, c'est un énorme marché, c'est un gros marché, ils sont assez matures sur le sujet, tu as déjà plein de concurrents, etc. Il y a beaucoup de nos concurrents aussi qui y vont, donc ça paraît un peu évident d'aller là-bas. Après l'Allemagne, ce qui est un peu plus tricky, c'est que tu es un peu obligé de traduire l'ensemble de ton site en allemand. Et là tu sais que tu te remarques dans un chantier qui va quand même te prendre une part de temps non négligeable sur ton quarter. Mais du coup, en interne, on a Cara, Stephanie, américaines, enfin qui sont anglophones, plus une traductrice qui est candidée sur le marché aux Etats-Unis. Même tu vois les éléments de langage des UK et des US, c'est pas forcément les mêmes. Tu te rends toujours compte, donc t'as de l'air adapté, ça te prend du temps, donc ils font un peu structuré le truc. Oui,

  • Speaker #2

    puis d'un point de vue messaging, tu vois, c'est ce qu'on disait, c'est peut-être que sur les US, ça va être un petit peu plus un enjeu de rentabilité, peut-être qu'au UK, ça va être autre chose.

  • Speaker #1

    Ouais, exactement.

  • Speaker #2

    Le contenu inspirationnel, tu vois, tofu, tu vas ratisser large, et donc il y a aussi une réalité, c'est qu'aujourd'hui, la majorité des entrepreneurs, c'est des petits entrepreneurs, sans que ce soit un jugement de valeur, mais il y a énormément de petites boîtes, il y en a très peu de très grosses. Donc ce que je me dis aussi c'est que c'est un contenu qui est, j'imagine, très adapté à une audience de petits entrepreneurs, petites startups, etc. Tu confirmes ?

  • Speaker #0

    Ce que je fais actuellement ? Ouais. Je pense que, je dirais que c'est un mix, mais oui. Je vais dire plutôt globalement oui, mais on a testé des choses un peu différentes, mais on en parlera après. Vas-y, vas-y,

  • Speaker #2

    toi. Et du coup le contenu... plus technique, etc. Là, on risque de toucher une audience déjà un petit peu plus consciente, éduquée, enfin je ne sais pas comment dire ça.

  • Speaker #0

    Plus advanced, on va dire. Exactement.

  • Speaker #2

    Et donc, tu vois, ce que je me dis aussi, c'est que là, aujourd'hui, la stratégie TikTok, Insta, etc. que tu as présenté, c'est peut-être aussi adapté au fait que tu as un positionnement qui est moi, je veux aller toucher un maximum de petits entrepreneurs. Et ça rejoint aussi ce que tu disais tout à l'heure sur la vision de la boîte qui est, nous on veut faire passer les petits de petits à grands. Et du coup, est-ce que tu confirmes que globalement, cette stratégie de contenu, elle a un impact surtout sur de l'acquisition de petits comptes ?

  • Speaker #0

    Ouais, ouais, ouais. En fait, je vais te raconter deux histoires. Mais en gros, globalement, en self-service, donc les gens qui vont sur le site, qui payent sans qu'on leur parle, etc. Cette stratégie, elle fonctionne archi bien parce que c'est facile, tu vois. C'est-à-dire que je n'ai même pas besoin de parler aux gens. En fait, ils ont vu tellement de vidéos et tout qu'ils s'auto-closent.

  • Speaker #2

    Encore une fois, ils ont confiance.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça en fait, parce que tu as la confiance et tu as peu de choses à perdre. Quand tu as un essai gratuit, tu perds un peu de temps si ça ne marche pas. En fait, après par contre, pour donner un exemple assez intéressant, quand j'ai commencé... à produire du contenu sur LinkedIn, parce qu'au début, c'était plutôt LinkedIn et un peu YouTube, je parlais uniquement de sales. Donc, prospection, je parlais que de ça. J'étais moins top of funnel, entrepreneuriat et tout. Aujourd'hui, je dirais que je parle entrepreneuriat, marketing, sales. Ça va être mes gros sujets ou grosses, ça dépend comment on veut l'appeler. Mais en fait, à l'époque, après peut-être six mois à poster du content, Il y a un mec qui me contacte, VP Sales chez Zendesk, donc tu vois, grosse boîte américaine, etc. Enfin, coté en bourse, mais boîte européenne initialement. Et du coup, il me parle et il me dit Ouais, genre, j'ai vu ce que tu fais sur la prospection, on a un nain, je vois en plus qu'il y a Freshdesk qui est concurrent chez nous et qui vous utilise. Je serais curieux qu'on en discute, tu vois. Et du coup, un, deux, trois, quatre, cinq meetings. Au final, ils sont closés, ils commencent à nous utiliser, des résultats de ouf, machin. Ça, tu vois, pour moi, c'est de l'Enterprise. Enfin, tu vois, c'est un équivalent Enterprise. Et en fait, au bout d'un moment, je me dis, putain, je vais lui demander quand même, comment tu as entendu parler de l'Aimlist, tu vois, parce qu'on n'était pas si gros que ça à l'époque. Et en fait, il me dit, non, mais je vois ton contenu tout le temps sur LinkedIn. Et genre, je me suis tapé six mois de mes posts à extraire parce que je scrappais tous les likes, tu vois, des gens et tout. Jamais il n'avait liké un de mes posts. Mais par contre, il le voyait, tu vois. Et ça, c'est un truc, peu importe le type de compte que tu vas targeter. Là, je le vois aujourd'hui et je peux te donner des exemples très concrets. C'est que mon audience, en fait, elle est beaucoup plus large que le type de contenu que je fais. Donc, par exemple, je vais me dire, tiens, ce contenu, il est vraiment pour les CEOs. Tu vois, en mode, je vais parler de la partie finance d'un exit. Donc, tu vois, c'est un truc qui est quand même assez spécifique. Tu vois, en mode... Qu'est-ce que c'est les préférés de stock ? Tu vois, genre je vais parler d'un truc assez précis que j'ai découvert, que j'ai appris, que j'ai envie de partager parce que pour pas que d'autres gens se fassent niquer, tu vois potentiellement. Ben en fait, là-dedans, tu vas avoir des head of sales, des VP sales, des CMO, des mecs en fait qui juste sont intéressés par le business, qui vont trouver le post archivaluable et qui pour eux vont se dire putain tiens j'ai appris un truc, Guillaume il m'a appris un truc, c'est cool. Et donc la prochaine fois que je fais un post, et c'est pour ça que tu vois je varie aussi dans mes posts, Des fois, je vais faire des posts où ça va être chopé. Par exemple, tu vois, on a un hub avec des campagnes de nos users. Donc, les gens peuvent voir les séquences qu'ils ont faits et ils peuvent dupliquer la séquence directement dans leur plateforme Lame List. Ça, je vais faire un post, tu sais, comment and get. Donc, je demande aux gens de commenter et ils auront un lien. En vrai, ce lien, il est accessible à tous. Mais quand tu fais ça, tu as un reach qui est beaucoup plus grand. Ça, tu vois, ça va driver peut-être. Je ne sais pas moi, entre 5 et 10 000 personnes qui sont relevant sur cette page. Là-dedans, tu as des centaines de personnes qui vont créer des comptes. En fait, dedans, oui, il va y avoir des solopreneurs, etc. Mais tu as des équipes sales aussi, tu vois. Et après, je fais un post demain où je dis, j'ai envie de discuter avec des CMO, CRO, Head of Dimension parce que je suis en train de lancer X, Y ou Z. Mon agenda, il est booké full, tu vois. Et en fait, c'est un truc, tu vois, j'ai vachement bataillé entre est-ce que je fais que du tofu pour avoir l'audience la plus large ? Et en fait, comme tu ratisses archi large, les gens, ils vont forcément voir ton... Parce que les gens, on est curieux. Donc, tu vois, quand tu as un poste qui a beaucoup de reach, tu vois, là, j'ai fait un poste, je ne sais pas, il a dû faire 4 millions de reach. Oui, forcément, ça génère des dizaines de milliers de vues sur ton profil. Parce que les gens, ils ont envie de savoir qui tu es. Et quand ils vont voir qui tu es, ils regardent ta boîte et ta boîte, tu vois, et ainsi de suite. Donc j'ai vachement bataillé entre est-ce que je fais que du tofu ou est-ce que je fais que du ultra actionnable pour être en mode très très niche et avoir que des gens dans ma niche et être reconnu, etc. Et en fait, la vérité, c'est qu'aujourd'hui, vu comment fonctionnent les algos, selon moi, il faut que tu fasses les deux. Parce qu'en fait, le ultra broad va te rapporter des gens qui feront partie de ta niche sur ce que tu as envie de convertir. Et donc, en fait, quand tu fais de l'ultra broad et du niche, en fait... t'as des postes qui sont là pour convertir et qui vont avoir potentiellement beaucoup moins de likes, mais toi tu t'en fous tu vois le poste à 4 millions de vues en fait moi c'est un poste je m'en fous ça me passe au dessus de la tête, par contre ça a fait grossir mon audience et dans les gens qui m'ont découvert via ce poste quand je vais faire un poste pour vraiment convertir, closer sur un webinar, une masterclass peu importe, ils le verront et dedans il y en a qui vont convertir Et donc en fait, on parle souvent genre 80-20, etc. Sur les réseaux sociaux, je pense que ce n'est pas 80-20. Je pense que c'est mieux si tu fais, allez, soit tu fais du 95-5 ou du 90-10, mais ça marche très bien, tu vois. Et nous, aujourd'hui, je pense, tu vois, dans l'univers du software, tu vois, on a dépassé 26 millions de revenus récurrents annuels. On projette un peu plus de 10 millions d'euros d'EBITDA. à la fin de l'année, en fait, des marches comme ça, ça n'existe pas, tu vois. Et la raison pour laquelle nos campagnes fonctionnent si bien, notre reach, c'est parce qu'en fait, un, les gens ne savent pas écrire du contenu. Les gens ont peur d'utiliser leur profil pour écrire du contenu. Et donc, du coup, ça reste en fait une mine d'or. C'est que sur LinkedIn, en fait, les gens sous-estiment de ouf LinkedIn, tu vois. Mais en fait, LinkedIn, ce n'est pas LinkedIn Ads. LinkedIn, c'est créer du contenu et tu peux te faire, mais... énormément de thunes, tu peux générer énormément de leads et les gens, ils ne s'en rendent pas compte parce que, en fait, déjà, il y a plusieurs raisons pour ça. Une des raisons principales, c'est LinkedIn. Quand tu bosses en entreprise et je pense qu'en startup, on l'oublie vachement, mais moi, tu vois, j'ai bossé, je suis Procter & Gamble, Hermès, à l'ancienne et tout, ben en fait, tu as des sites que tu ne peux pas consulter quand tu es sur ton ordinateur. Par contre, LinkedIn, c'est le réseau social des entreprises, donc... Tu ne peux pas aller sur Facebook. Moi, chez Procter, je ne pouvais pas aller sur Facebook ou sur TikTok, Insta et tout. Par contre, tu pouvais y aller sur un tel si tu voulais, mais globalement, sur l'ordi, tu ne peux pas. Par contre, être sur LinkedIn au taf, c'est totalement accepté. Et donc, LinkedIn, ils ont un nombre de lurkers, donc de gens qui regardent du contenu et qui passent du temps dessus. Leurs chiffres, ils sont insane, tu vois, en active user, etc. Mais le pourcentage de gens qui créent du contenu, c'est quasiment zéro. Alors qu'Instagram, tout le monde a envie de partager sa life, tu vois. Enfin... T'as des lurkers évidemment sur Insta, mais t'as beaucoup de gens qui sont là, même s'ils ont un compte un peu privé et tout, je mets mes photos de vacances, de mon chien et de ce que je suis en train de manger. Donc en fait, forcément, le volume de contenu créé sur Insta, il est tellement plus grand que la compétition est tellement plus grande versus sur LinkedIn où honnêtement, même si ton post est nul et que t'as pas un gros réseau, je pense que tu feras des centaines, voire des mille, deux mille, trois mille vues. c'est accessible à tous, tu vois. Vraiment. Et après, tu peux monter dans des sphères qui sont des centaines de milliers de vues si tu passes du temps, que tu investis et tout, tu vois. Je dis pas que c'est facile, mais c'est faisable, tu vois.

  • Speaker #2

    Complètement. Donc toi, dans ta team, t'as la partie data, la partie PM, la partie paid, la partie PLG. Donc la partie PLG, j'imagine que c'est beaucoup le sujet de la grosse loupe que t'expliquais tout à l'heure.

  • Speaker #1

    Non, c'est un autre sujet. Donc sur la partie data, il nous manquait quand même un data analyst en recrutant Joshua. qui est très bon et là on est en train de migrer en fait on a utilisé tu vois l'enjeu c'est au bout d'un moment en fait T'as tellement d'outils, t'as vraiment besoin d'avoir un gros engineer, donc là c'est quelqu'un en interne, Luc Camilleau, qui s'en occupe, pour s'assurer que toutes les sources de données soient bien mappées entre tes différents outils, parce qu'en fait, au bout d'un moment, t'as plein de transit, t'as plein de workflow qui pètent, c'est l'enfer. Bien sûr. Donc t'as vraiment besoin de poser ton truc à plat, de dire, ok, t'as Bitcoin, t'as Segment, t'as machin. Tu vois, même sur des... Tu vois, typiquement, il y a une semaine, sur les fournisseurs, on se rendait compte que, je sais pas, t'as plus de 50 champs de spots qui sont enrichis. Au fait, on se rendait compte que les champs n'étaient plus enrichis, donc... Donc tu as besoin d'avoir vraiment un système d'alerte, ce qu'on a donné en monde pas, qui soit précis, et qu'on industrialise le process pour éviter ce type de problème qui est multiplié par le nombre de channels que tu as. Donc Data Analyst, là on fait un peu le shift de... On avait Postog, qui était pas mal, mais ça répondait pas au plusieurs use cases. Donc là on prend Mixpanel, on le plug sur la plateforme, et tu vois l'idée c'est d'aider les AM à identifier des segments du sata intéressants pour faire de l'upsell. Alors qu'avant, ils avaient plutôt des rendez-vous de manière un peu chronique avec les clients. Donc comment le market peut les aider à faire ça ? Et le PLG, on va le lancer demain. C'est sur un produit spécifique qui s'appelle les ACV. Donc les ACV, c'est pareil que le bilan carbone, sauf que c'est pour les produits. Si je caricature, c'est plus pour des boîtes d'industrie. Je t'en ai un petit peu parlé.

  • Speaker #2

    Il y a aussi une particularité de concernant, c'est que du coup, tu es le CEO qui incarne sa boîte.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #2

    Et ça tu penses que, enfin j'en reviens du coup, c'est là où je voulais ouvrir un peu la porte du ROI du contenu.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #2

    Je sais pas si vous êtes vraiment en mesure de le quantifier et tu vois moi, pour info, moi je suis un peu contre quantifier complètement. Ouais. Surtout quand t'es sur du multicanal. En fait on en revient à ce que tu disais tout à l'heure. En fait tout ça, ça participe à la confiance, ça participe bien évidemment à ma conversion etc. De dire mon Insta c'est tant de pourcentage de mon CA et machin. C'est peut-être un peu too much, mais toi en tant que CEO de boîte, tu vois que le fait que toi tu incarnes ta boîte, quel est l'impact derrière aussi sur le revenu de la boîte ?

  • Speaker #0

    Déjà il y a plusieurs trucs, il faut savoir que nous à l'échelle de l'équipe, on est quand même beaucoup à poster dans la boîte, donc tu vois on est une dizaine et on doit reacher, ça se compte en dizaines de millions, chaque mois les personnes... Non, peut-être maintenant un peu moins avec les changements d'algo. Je n'ai pas envie de dire de la merde, mais bon. On va dire par quarter, tu as au moins 15 millions de personnes qui sont riches via les comptes de la boîte. Donc déjà, plusieurs personnes dans ta boîte peuvent documenter ce qu'ils apprennent, créer de la trust, et ce n'est pas forcément réservé aux CEOs. Ça, c'est un point qui est quand même assez important parce que je pense qu'après, on en parlera. Peut-être que c'est du futur de la prospection et tout, mais ça, je pense que c'est assez clé. Ensuite, ta question, c'était sur...

  • Speaker #2

    En tant que CEO, le fait de toi incarner l'impact que tu vois sur le fait que ça génère du business,

  • Speaker #0

    le fait que c'est toi qui fasses le contenu. La partie ROI, etc. Donc en fait, le ROI, c'est que la boîte, je l'ai montée solo jusqu'à 1 million d'ARR. Et donc, je faisais de la prospection, mais aussi beaucoup de contenu. Donc, ce que j'avais par la prospection, en fait, le ROI, il est à différents niveaux. Le ROI, c'est Guillaume qui lance sa première campagne de prospection et qui tape... Je passe 5% de taux de réponse en faisant 5 à 10% de taux de réponse en faisant de l'ultra personnalisation. Et Guillaume, six mois après avoir écrit du contenu, qui prend les gens qui visitent son profil et qui ont potentiellement liké un de ses posts ou commenté un de ses posts et qui tape 50% de meeting book, tu vois. Donc, le ROI, je le vois évidemment dans l'évolution de mes campagnes. Le ROI, je le vois directement sur la top line, donc le MRR, combien on fait de cash. Et donc, moi, le ROI, en fait, j'en suis conscient. Est-ce que je le mesure ? Non, parce que c'est impossible à mesurer. Et aujourd'hui, il y avait un truc que j'avais mis, mais je pense que ce qui est underrated, c'est des marketeurs qui ont du goût, et ce qui est overrated, c'est des marketeurs qui maîtrisent soi-disant la data, ou qui sont data-driven. J'adore. Mais vraiment, en fait. J'adore. Mais pour scaler ça, c'est dur. Et en fait, ça, j'y suis... J'ai eu pareil, tu sais, tu as toujours des phases un peu de schizo, quoi. C'est qu'il y avait des moments pendant très longtemps, tu vois, avec l'équipe, j'étais là, genre, on ne mesure pas, en fait, et je m'en fous. Parce que tant qu'on a de la croissance, en fait, ce qu'on fait, ça fonctionne, tu vois. Le seul problème de cette mentalité, et tu vois, nous, on l'a vu aussi, c'est qu'il y a eu un moment où on a eu un plateau, tu vois. Et moi, je pensais que ta croissance a été exponentielle et que ça restait à vie. Sauf que la croissance, c'est des S-curves. Donc, tu as évidemment une exponentielle. Mais tu as toujours la bosse du S, tu vois, qui fait mal quand tu es en haut. Et c'est pour ça qu'il faut trouver ton next X curve. Et quand tu ne mesures rien, le problème, c'est que c'est dur. Et moi, personnellement, en tant que CEO, j'ai envie de te dire que ça ne me dérange pas trop. Parce que je me dis que j'ai la conviction que ce qu'on fait... À partir du moment où je considère que c'est quali et que ça apporte de la valeur, je suis fine avec ça. Pour les équipes, par contre, c'est beaucoup plus dur. Ah bah, c'est clair. Parce qu'eux, en fait, au bout d'un moment, quand tout marche... Parce que nous, en fait, si tu veux, on a un système pareil, tu vois, de rémunération qui est un peu différent. Donc, tout le monde a des fixes que je considère, genre, assez bien payés de façon générale. Et en plus de ça, dès qu'on atteint des milestones à l'échelle de la boîte, tout le monde prend... L'objectif, c'est que tous les quarters, tout le monde prenne 3 000 euros en plus de son salaire. Tout le monde. Donc, ça va genre des devs, aux marketeurs. Tu vois, on ne fait pas genre de bonus individuel. Et en fait, quand la boîte, du coup, elle est sur un peu un plateau, les gens, tu vois, ça les frustre parce qu'ils n'ont pas ça, etc. Et tu peux le comprendre, même si toi, tu te dis, ben non, genre, on va essayer de faire mieux, on va essayer, tu vois, de se challenger et tout. Le fait de rien mesurer, des fois, ça crée un peu de la frustration.

  • Speaker #1

    Et en fait, on avait parlé avec Brian Alligan, qui est le CEO de HubSpot, ou l'ex-CEO, je ne sais plus, parce qu'il était un peu une consécration, tu sais, genre quand tu utilises... Ah, ça coche, là. C'est assez marrant de le voir, c'est parce que mon CEO lui a envoyé un email pour qu'il le mentore, etc. Ils avaient fait des calls et il a vu la gentillesse de nous inviter, moi et d'autres personnes de l'équipe. Et c'était marrant quand ils se spotent au quotidien de voir le mec qu'il a créé. Et lui, il nous avait donné un conseil. Enfin moi, tu vois, le Biancavon, c'est quand même un produit très complexe. Donc tu vois, c'est pas comme du Lemnis, par exemple, où en fait, tu peux tester le produit assez facilement. En fait tu peux le lancer facilement mais tu as besoin d'être carré au niveau de ton contenu, tu as besoin que tout s'enchaîne bien, que l'effet wow soit très rapide. Dans le cas du bilan carbone, on a pensé à des trucs mais c'est quand même des produits complexes qui demandent beaucoup de catégorisation de données, où tu as des accompagnements de consultants. Donc c'est quand même pas un produit où tu vas avoir un effet wow en deux secondes. C'est des trucs genre, boum, tu apportes un fichier, tu as un tableau, tu vois. Ok, pourquoi pas, mais ça soulève une montagne de problèmes. Donc, le chemin contourné par rapport à ça... C'était de se dire, ok, on peut peut-être le tester sur un autre de nos produits. Il y avait une histoire assez marrante là-dessus, c'est que les ACV, c'est aussi un énorme marché. Et en fait, les ACV, c'est un peu la déclinaison de l'API de l'app. En fait, on a écrit une spin-off de Gany qui s'appelait Willow, qui était uniquement basée sur la partie ACV. Et en fait, eux, ils étaient vraiment sur la partie API, sauf qu'ils ont fait exactement le même raisonnement intellectuel que nous. Ils se sont rendu compte qu'en gros le B2B c'était plus rentable que de l'API où tu vas t'adresser à des consommateurs. Donc ils ont commencé à faire des ACV. Ce qui fait qu'on a dû réintégrer cette boîte au sein de Greenly. Et tu sais on se disait on a créé un concurrent sur la partie ACV. On était là c'est quand même très fort. Mais du coup ce qui est cool c'est que tu vois en autonomie ils ont développé leurs produits. Donc on l'a réimbriqué au sein de Greenly. Ce qui nous a fait gagner énormément de temps. Et plus ils ont recruté des personnes en parallèle donc c'était pas très rare. mais c'était quand même assez marrant. Et du coup, on va faire un test demain, on va ouvrir l'ensemble du site, donc n'importe quel utilisateur qui a reçu le site internet sur la partie ACV pourra avoir une première expérience avec le produit. Donc là, en termes d'étapes, tu as quand même besoin d'être carré sur, par exemple, c'est quoi ton effet RAW ? En gros, de le définir, c'est quoi ? Au bout de combien de temps un utilisateur peut le voir ? Et comment tu traques le bas de ton funnel, enfin le haut de ton funnel, pardon, quand tu as quelqu'un qui va s'inscrire ? jusqu'à l'effet waouh et le nombre de calls clients qu'il y aura avec une personne. Et là l'idée c'est au fait, l'effet waouh c'est en fil des templates. Tu as 250 templates sur différentes catégories de produits. Par exemple tu as un template d'émission de t-shirt, tu t'appuies dessus et en gros c'est déjà catégorisé pour toi. Et à la fin en fait tu as un rapport du poids carbone de tes produits avec un système de récompense. Et tu peux le download. Et en gros l'effet waouh c'est ça tu vois. Et ça c'est un test qu'on va mettre en place sur cette verticale et vu qu'on a quand même un trafic sur le site internet qui est assez important, quand on regarde le taux de conversion par exemple des différentes pages, tu fais une estimation grosso modo de ta tendance utilisateur, t'as celui-là, le produit est assez simple à prendre en main et t'as une possibilité de réserver une démo avec un call avec des sites pour t'aider plus toute la mécanique de ShandyMate. Et après ça tu vois, là c'est vraiment la version MVP simplifiée mais on va rajouter énormément de briques. Tout un système de médaille, comment tu vas plus loin, des simulations de produits, etc. Mais du coup, c'est un premier test qui est fait sur cette partie. Ce qui sera concluant ou pas, hypothétiquement oui, mais c'est ce qu'on va découvrir. C'est quand même un produit aussi assez complexe à prendre en main.

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Dans cet extrait, je reçois Guillaume Moubeche (CEO de @lempire) et Laurent Levrey (Head of Growth de @Greenly) pour discuter Content.
Ils nous partagent leur stratégie de contenu à l'international, comment ils calculent le ROI du content (ou pas) et comment créer l'effet wahou auprès de son audience.

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QU'EST-CE QUE BULLDOZER ?

Bulldozer maximise la performance marketing & commerciale des PMEs et Scale-Ups sur l'ensemble de leur funnel.

Notre modèle hybride agence/collectif nous permet d’accéder aux meilleurs talents du marché et d’agir sur l’ensemble des leviers de performances de nos clients (Outbound, Paid, SEO, ABM, RevOps, Data…).

En 2 ans, notre forte visibilité sur les réseaux, notre pool de talents ainsi que notre vision à 360° du growth nous ont permis d’avoir une forte croissance et d’attirer 200+ clients (Aircall, Alma, Sunology, Hexa…).

Sur les années à venir notre ambition est forte : concevoir et opérer des stratégies “growth” qui font référence dans le monde et ainsi devenir un leader sur le sujet d’ici 2030.

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TIMECODE :
00:00 - Intro
00:40 - Signitic, notre partenaire
02:00 - Content Strategy


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Les gens n'ont plus besoin de connaître toutes ces tactiques et toutes ces méthodes parce qu'il y en a partout dans le web. Ce qu'ils ont besoin, c'est d'un changement de mindset où ils disent putain, en fait,

  • Speaker #1

    c'est possible Après l'allemagne, ce qui est un peu plus tricky, c'est un peu obligé de traduire l'ensemble de ton site en allemand. Et là, tu sais que tu te remarques dans un chantier qui va quand même te prendre une part de temps non négligeable sur ton quarter.

  • Speaker #0

    En self-service, je n'ai même pas besoin de parler aux gens. En fait, ils ont vu tellement de vidéos et tout qu'ils s'auto-closent.

  • Speaker #1

    C'est quoi ton effet va-vous ? En gros, de le définir, c'est quoi ? Au bout de combien de temps un utilisateur peut le voir ?

  • Speaker #0

    Je pense que ce qui est underrated, c'est des marketeurs qui ont du goût. Et ce qui est overrated, c'est des marketeurs qui maîtrisent soi-disant la data.

  • Speaker #2

    Si vous suivez les contenus qu'on produit avec Bulldozer, que ce soit aussi bien ce podcast avec Conquête sur LinkedIn, notre newsletter ou directement sur notre site web, vous savez qu'on aime partager nos dernières astuces pour augmenter l'acquisition, la conversion, bref, générer plus de business. Et aujourd'hui, j'avais envie de vous parler d'un outil qui est très sous-estimé, notamment sur des sujets de conversion. c'est votre signature email. Votre signature email c'est un moyen très simple de pouvoir diffuser des messages personnalisés auprès des prospects de votre choix. C'est pour ça que c'est très puissant pour des campagnes d'ABM notamment. A titre d'info sur les campagnes ABM qu'on utilise chez Bulldozer auprès de nos clients, la signature email ça peut être jusqu'à 36% de taux de conversion sur des contenus. Donc c'est vraiment très très élevé. C'est pour cette raison qu'on a choisi Signetic en partenaire de Conquête. Signetic c'est une solution de personnalisation d'email qui vous permet de déployer des signatures pour tous les collaborateurs en quelques clics seulement. Il y a une intégration native avec Google Workspace et Microsoft 365. C'est connecté à votre CRM. Vous avez aussi la possibilité de créer directement vos designs dans Canva et de les déployer dans l'outil. Bref, c'est très puissant, très simple d'utilisation. Et avec le code BULLE2R20, vous pouvez bénéficier de 20% de réduction sur l'outil. Merci à Cynetic de proposer cette offre pour les auditeurs de conquête. Allez, on attaque l'épisode. Tu investis beaucoup dans la vidéo notamment. Pourquoi la vidéo t'y croit ? Comment est-ce que ça se passe ? Et aussi, tu vois, un peu le côté multiplateforme, tu vois, du YouTube versus du Insta, etc. Comment est-ce que vous gérez ça ?

  • Speaker #0

    Ouais. En fait, ce qui est assez difficile, j'avoue que je suis un peu schizophrène avec la création de contenu. Et je teste toujours, en permanence, des choses différentes. Et je peux un peu te partager, tu vois, les différents états par lesquels je passe. Ouais. Et souvent, ces états, ils oscillent, en fait, entre... Je dirais peut-être deux parties de ma personnalité. Il y a une partie qui est... Je suis vachement dans le développement personnel, le dépassement de soi, le fait que tu peux partir de pas grand-chose et réussir à changer ta vie, que tu es vraiment maître de ton destin et que tu peux te créer l'environnement que tu as envie de te créer. Et le côté zéro bullshit. Et je te montre vraiment concrètement comment on fait les choses et très méthodique et rentré dans la technique. Et donc... J'oscille très souvent, en fait, quand tu regardes un peu mon contenu et ma chaîne édito, entre la partie inspirationnelle et la partie pratico-pratique. Et en fait, ça cible des gens qui sont un petit peu différents. Mais quand je fais de l'inspirationnel, en général, l'exemple que je prends, c'est si demain, tu demandes à une personne qui a envie de perdre du poids, comment est-ce qu'on fait pour perdre du poids ? Je pense que tu as 100% de la population qui peut répondre, tu vois, et qui te dira, pour perdre du poids, il faut que je fasse plus de sport, que je fasse un peu plus attention à ce que je mange. Et voilà, donc tout le monde le sait, tu vois. Et donc, quand je fais du contenu inspirationnel, ce que je me dis, c'est les gens n'ont plus besoin, en fait, de connaître toutes ces tactiques et toutes ces méthodes parce qu'il y en a partout dans le web. Ce qu'ils ont besoin, c'est d'un changement de mindset où ils se disent, putain, en fait, c'est possible. Et tu vois, le c'est possible... Moi, ça m'est arrivé plein de fois. Ça m'est arrivé quand j'étais aux États-Unis, qu'il y a des gens qui m'ont fait venir parce qu'on avait beaucoup de clients là-bas et qui me payaient pour aller là-bas. Et en fait, qui m'ont fait passer des caps mentalement juste parce qu'ils croyaient en moi. Ou parce qu'ils m'ont dit certaines phrases qui m'ont fait passer un cap. Et donc, le contenu inspirationnel, moi, je l'aime bien parce que je sais que ça a changé la vie de beaucoup de personnes dans mon audience. Parce qu'il y a des fois, ils se sont dit putain, c'est ouf etc. Et après, j'aime beaucoup aussi... La richesse est une base solide sur la pratique parce que je pense qu'il faut passer à l'action et pour passer à l'action, il faut que tu aies des gens qui t'expliquent comment faire. Et donc, c'est un peu les deux contenus que je fais. Évidemment, tu en as un qui attire tout type de population, c'est-à-dire que quand je faisais du contenu inspirationnel, à un moment, j'ai arrêté parce que je commençais à avoir des gens qui me contactaient, qui étaient, tu vois, en mode... Enfin, c'était des trucs très, très deep, tu vois. J'ai déjà reçu des gens en mode, j'allais me suicider, je suis tombé sur cette vidéo. Ça m'a totalement fait un déclic et tout et tout. Et des gens, après, tu sais, qui créent une relation, je crois que ça s'appelle parasociale ou quelque chose comme ça. Mais en fait, ils sont persuadés de te connaître. J'ai des gens, en fait, qui m'envoyaient des messages. et qui répondaient, qui faisaient des blagues, tu vois, enfin, tu lis la conversation. Eux, ils ont une conversation avec toi, mais j'ai jamais répondu, tu vois. Et du coup, ça fait un peu peur. C'est un peu creepy, ouais. Ça fait un peu peur, ouais. Et tu te dis, bon, tu vois, genre, c'est un pouvoir que, est-ce que tu as envie, tu vois, de l'avoir vraiment ou pas, tu vois, c'est, voilà. Et le côté pratico-pratique, ce que j'aimais bien, c'est, bah ouais, tu vois, genre, c'est concret, les gens, ils ont des résultats instantanés qui sont sur des choses qu'ils mettent en place. Donc, il y a le côté... Il faut que tu aies un mindset qui se développe et le côté, il faut que ce soit pratico-pratique. Et donc, globalement, mes réseaux, moi, je les divise de plusieurs manières. Il y a le côté Instagram qui reste en fait, c'est comprendre les réseaux et écrire en fonction des réseaux. Donc Instagram, les gens qui vont sur Insta, ils veulent de l'entertainment. Donc que tu fasses du contenu business ou du contenu aspirationnel, il faut que... Il y a une qualité vidéo, que ça soit sympa, qu'il y ait un capital sympathique qui soit assez fort et qui est du différenciateur. Donc, j'ai testé pas mal de trucs, mais globalement là-dessus, tu vois, j'alterne toujours entre très inspirationnel, donc avec beaucoup de sport, comme je fais beaucoup de sport, ou pratico-pratique avec un format un peu unique qui parle de choses très high level en business. Et mon objectif, c'est de me dire, je prends les gens... vraiment le plus haut du top up funnel, j'essaie de ratisser le plus large possible. Et dans cela, au bout d'un moment, il y a des gens qui vont se dire peut-être que j'aimerais bien en apprendre un peu plus sur le business. Et là, tu vois, je les fais venir sur des masterclass que j'ai pu lancer sur comment trouver tes premiers clients, comment se lancer sur Internet, des trucs comme ça. Donc, ils sont des masterclass gratuites. Et dedans, en fait, je vais parler des outils et je me dis qu'évidemment, si je leur ai apporté assez de valeur et qu'ils ont envie de se lancer, Oui, ils vont prendre un essai gratuit et s'ils trouvent des clients, ils deviendront clients payants. C'est un peu la mentalité. Ensuite, YouTube. YouTube, c'est du contenu qui va être vraiment actionnable en business, donc très lié à la masterclass, les masterclass que je pousse. En général, je les mets sur YouTube, je les mets accessibles à tous. Là, ma stratégie en ce moment, c'est de construire du contenu evergreen. Je me dis que ce contenu, si on le regarde maintenant ou dans trois ans, en fait, les gens, ça aura toujours de la valeur. donc là c'est ce que j'essaye de faire et ensuite après t'as TikTok c'est la même stratégie que Insta je me fais pas chier, enfin tu vois c'est les mêmes vidéos qui sont postées et après LinkedIn, là c'est beaucoup plus du coup ce que je vais appeler South Leadership, donc moi ma vision business et entrepreneurial sur des sujets qui peuvent être un peu plus high level ou très liés à la vision de la boîte, donc ça va être documenter nos milestones... expliquer ma vision parfois sur les marchés économiques, sur les VC versus le bootstrapping, sur typiquement comment recruter, qu'est-ce que doit être un bon leader. Il y a plein de sujets autour de ça. Et ça, l'idée, c'est plutôt de créer une communauté d'entrepreneurs très forte et donc de développer la marque associée aussi à l'Empire et à l'M-List et à tous nos produits en mode j'adhère à sa vision. et à ce que lui a envie de faire et de promouvoir dans l'entrepreneuriat. Donc, je suis intéressé par potentiellement les outils et je deviens client.

  • Speaker #2

    Équipe marketing centralisée. Et ensuite, du coup, comment est-ce que vous localisez notamment vos contenus à l'international ?

  • Speaker #1

    On a une roadmap contents avec un système de tag par pays, etc. En fait, on se pose au début de chaque quarter. On dit OK, voici un peu la location qu'on a envie de faire par rapport aux résultats marketing qu'on a eus. Et après ça, on bosse avec deux traductrices. Après, toutes les personnes qui sont dans l'équipe marketing sont plutôt anglo, enfin sont presque anglophones. On a dans l'équipe copywriter qui est gérée du coup par Inès, on a une anglaise, Cara, et une américaine, Stéphanie. Donc tu vois là, sur tout ce qui va être stratécio, c'est assez simple. Et après, sur des use cases, on a Chloé qui s'occupe de la partie marketing, marketing content, avec le suivi des clients, la création de développement en white paper, use case. Les gens passent, c'est des meilleurs. Là, on a quelqu'un qui va nous aider sur la partie traduction. Et là, l'enjeu qu'on a, c'est qu'on veut internationaliser la strat en Europe. Donc plus seulement les UK, mais tous les pays d'Europe. Donc là, l'idée, c'est de construire une landing page par pays, de le balancer absolument partout et voir où tu as des taux de conversion meilleurs. Tu as des pays, tu vois l'Allemagne, c'est un énorme marché, c'est un gros marché, ils sont assez matures sur le sujet, tu as déjà plein de concurrents, etc. Il y a beaucoup de nos concurrents aussi qui y vont, donc ça paraît un peu évident d'aller là-bas. Après l'Allemagne, ce qui est un peu plus tricky, c'est que tu es un peu obligé de traduire l'ensemble de ton site en allemand. Et là tu sais que tu te remarques dans un chantier qui va quand même te prendre une part de temps non négligeable sur ton quarter. Mais du coup, en interne, on a Cara, Stephanie, américaines, enfin qui sont anglophones, plus une traductrice qui est candidée sur le marché aux Etats-Unis. Même tu vois les éléments de langage des UK et des US, c'est pas forcément les mêmes. Tu te rends toujours compte, donc t'as de l'air adapté, ça te prend du temps, donc ils font un peu structuré le truc. Oui,

  • Speaker #2

    puis d'un point de vue messaging, tu vois, c'est ce qu'on disait, c'est peut-être que sur les US, ça va être un petit peu plus un enjeu de rentabilité, peut-être qu'au UK, ça va être autre chose.

  • Speaker #1

    Ouais, exactement.

  • Speaker #2

    Le contenu inspirationnel, tu vois, tofu, tu vas ratisser large, et donc il y a aussi une réalité, c'est qu'aujourd'hui, la majorité des entrepreneurs, c'est des petits entrepreneurs, sans que ce soit un jugement de valeur, mais il y a énormément de petites boîtes, il y en a très peu de très grosses. Donc ce que je me dis aussi c'est que c'est un contenu qui est, j'imagine, très adapté à une audience de petits entrepreneurs, petites startups, etc. Tu confirmes ?

  • Speaker #0

    Ce que je fais actuellement ? Ouais. Je pense que, je dirais que c'est un mix, mais oui. Je vais dire plutôt globalement oui, mais on a testé des choses un peu différentes, mais on en parlera après. Vas-y, vas-y,

  • Speaker #2

    toi. Et du coup le contenu... plus technique, etc. Là, on risque de toucher une audience déjà un petit peu plus consciente, éduquée, enfin je ne sais pas comment dire ça.

  • Speaker #0

    Plus advanced, on va dire. Exactement.

  • Speaker #2

    Et donc, tu vois, ce que je me dis aussi, c'est que là, aujourd'hui, la stratégie TikTok, Insta, etc. que tu as présenté, c'est peut-être aussi adapté au fait que tu as un positionnement qui est moi, je veux aller toucher un maximum de petits entrepreneurs. Et ça rejoint aussi ce que tu disais tout à l'heure sur la vision de la boîte qui est, nous on veut faire passer les petits de petits à grands. Et du coup, est-ce que tu confirmes que globalement, cette stratégie de contenu, elle a un impact surtout sur de l'acquisition de petits comptes ?

  • Speaker #0

    Ouais, ouais, ouais. En fait, je vais te raconter deux histoires. Mais en gros, globalement, en self-service, donc les gens qui vont sur le site, qui payent sans qu'on leur parle, etc. Cette stratégie, elle fonctionne archi bien parce que c'est facile, tu vois. C'est-à-dire que je n'ai même pas besoin de parler aux gens. En fait, ils ont vu tellement de vidéos et tout qu'ils s'auto-closent.

  • Speaker #2

    Encore une fois, ils ont confiance.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça en fait, parce que tu as la confiance et tu as peu de choses à perdre. Quand tu as un essai gratuit, tu perds un peu de temps si ça ne marche pas. En fait, après par contre, pour donner un exemple assez intéressant, quand j'ai commencé... à produire du contenu sur LinkedIn, parce qu'au début, c'était plutôt LinkedIn et un peu YouTube, je parlais uniquement de sales. Donc, prospection, je parlais que de ça. J'étais moins top of funnel, entrepreneuriat et tout. Aujourd'hui, je dirais que je parle entrepreneuriat, marketing, sales. Ça va être mes gros sujets ou grosses, ça dépend comment on veut l'appeler. Mais en fait, à l'époque, après peut-être six mois à poster du content, Il y a un mec qui me contacte, VP Sales chez Zendesk, donc tu vois, grosse boîte américaine, etc. Enfin, coté en bourse, mais boîte européenne initialement. Et du coup, il me parle et il me dit Ouais, genre, j'ai vu ce que tu fais sur la prospection, on a un nain, je vois en plus qu'il y a Freshdesk qui est concurrent chez nous et qui vous utilise. Je serais curieux qu'on en discute, tu vois. Et du coup, un, deux, trois, quatre, cinq meetings. Au final, ils sont closés, ils commencent à nous utiliser, des résultats de ouf, machin. Ça, tu vois, pour moi, c'est de l'Enterprise. Enfin, tu vois, c'est un équivalent Enterprise. Et en fait, au bout d'un moment, je me dis, putain, je vais lui demander quand même, comment tu as entendu parler de l'Aimlist, tu vois, parce qu'on n'était pas si gros que ça à l'époque. Et en fait, il me dit, non, mais je vois ton contenu tout le temps sur LinkedIn. Et genre, je me suis tapé six mois de mes posts à extraire parce que je scrappais tous les likes, tu vois, des gens et tout. Jamais il n'avait liké un de mes posts. Mais par contre, il le voyait, tu vois. Et ça, c'est un truc, peu importe le type de compte que tu vas targeter. Là, je le vois aujourd'hui et je peux te donner des exemples très concrets. C'est que mon audience, en fait, elle est beaucoup plus large que le type de contenu que je fais. Donc, par exemple, je vais me dire, tiens, ce contenu, il est vraiment pour les CEOs. Tu vois, en mode, je vais parler de la partie finance d'un exit. Donc, tu vois, c'est un truc qui est quand même assez spécifique. Tu vois, en mode... Qu'est-ce que c'est les préférés de stock ? Tu vois, genre je vais parler d'un truc assez précis que j'ai découvert, que j'ai appris, que j'ai envie de partager parce que pour pas que d'autres gens se fassent niquer, tu vois potentiellement. Ben en fait, là-dedans, tu vas avoir des head of sales, des VP sales, des CMO, des mecs en fait qui juste sont intéressés par le business, qui vont trouver le post archivaluable et qui pour eux vont se dire putain tiens j'ai appris un truc, Guillaume il m'a appris un truc, c'est cool. Et donc la prochaine fois que je fais un post, et c'est pour ça que tu vois je varie aussi dans mes posts, Des fois, je vais faire des posts où ça va être chopé. Par exemple, tu vois, on a un hub avec des campagnes de nos users. Donc, les gens peuvent voir les séquences qu'ils ont faits et ils peuvent dupliquer la séquence directement dans leur plateforme Lame List. Ça, je vais faire un post, tu sais, comment and get. Donc, je demande aux gens de commenter et ils auront un lien. En vrai, ce lien, il est accessible à tous. Mais quand tu fais ça, tu as un reach qui est beaucoup plus grand. Ça, tu vois, ça va driver peut-être. Je ne sais pas moi, entre 5 et 10 000 personnes qui sont relevant sur cette page. Là-dedans, tu as des centaines de personnes qui vont créer des comptes. En fait, dedans, oui, il va y avoir des solopreneurs, etc. Mais tu as des équipes sales aussi, tu vois. Et après, je fais un post demain où je dis, j'ai envie de discuter avec des CMO, CRO, Head of Dimension parce que je suis en train de lancer X, Y ou Z. Mon agenda, il est booké full, tu vois. Et en fait, c'est un truc, tu vois, j'ai vachement bataillé entre est-ce que je fais que du tofu pour avoir l'audience la plus large ? Et en fait, comme tu ratisses archi large, les gens, ils vont forcément voir ton... Parce que les gens, on est curieux. Donc, tu vois, quand tu as un poste qui a beaucoup de reach, tu vois, là, j'ai fait un poste, je ne sais pas, il a dû faire 4 millions de reach. Oui, forcément, ça génère des dizaines de milliers de vues sur ton profil. Parce que les gens, ils ont envie de savoir qui tu es. Et quand ils vont voir qui tu es, ils regardent ta boîte et ta boîte, tu vois, et ainsi de suite. Donc j'ai vachement bataillé entre est-ce que je fais que du tofu ou est-ce que je fais que du ultra actionnable pour être en mode très très niche et avoir que des gens dans ma niche et être reconnu, etc. Et en fait, la vérité, c'est qu'aujourd'hui, vu comment fonctionnent les algos, selon moi, il faut que tu fasses les deux. Parce qu'en fait, le ultra broad va te rapporter des gens qui feront partie de ta niche sur ce que tu as envie de convertir. Et donc, en fait, quand tu fais de l'ultra broad et du niche, en fait... t'as des postes qui sont là pour convertir et qui vont avoir potentiellement beaucoup moins de likes, mais toi tu t'en fous tu vois le poste à 4 millions de vues en fait moi c'est un poste je m'en fous ça me passe au dessus de la tête, par contre ça a fait grossir mon audience et dans les gens qui m'ont découvert via ce poste quand je vais faire un poste pour vraiment convertir, closer sur un webinar, une masterclass peu importe, ils le verront et dedans il y en a qui vont convertir Et donc en fait, on parle souvent genre 80-20, etc. Sur les réseaux sociaux, je pense que ce n'est pas 80-20. Je pense que c'est mieux si tu fais, allez, soit tu fais du 95-5 ou du 90-10, mais ça marche très bien, tu vois. Et nous, aujourd'hui, je pense, tu vois, dans l'univers du software, tu vois, on a dépassé 26 millions de revenus récurrents annuels. On projette un peu plus de 10 millions d'euros d'EBITDA. à la fin de l'année, en fait, des marches comme ça, ça n'existe pas, tu vois. Et la raison pour laquelle nos campagnes fonctionnent si bien, notre reach, c'est parce qu'en fait, un, les gens ne savent pas écrire du contenu. Les gens ont peur d'utiliser leur profil pour écrire du contenu. Et donc, du coup, ça reste en fait une mine d'or. C'est que sur LinkedIn, en fait, les gens sous-estiment de ouf LinkedIn, tu vois. Mais en fait, LinkedIn, ce n'est pas LinkedIn Ads. LinkedIn, c'est créer du contenu et tu peux te faire, mais... énormément de thunes, tu peux générer énormément de leads et les gens, ils ne s'en rendent pas compte parce que, en fait, déjà, il y a plusieurs raisons pour ça. Une des raisons principales, c'est LinkedIn. Quand tu bosses en entreprise et je pense qu'en startup, on l'oublie vachement, mais moi, tu vois, j'ai bossé, je suis Procter & Gamble, Hermès, à l'ancienne et tout, ben en fait, tu as des sites que tu ne peux pas consulter quand tu es sur ton ordinateur. Par contre, LinkedIn, c'est le réseau social des entreprises, donc... Tu ne peux pas aller sur Facebook. Moi, chez Procter, je ne pouvais pas aller sur Facebook ou sur TikTok, Insta et tout. Par contre, tu pouvais y aller sur un tel si tu voulais, mais globalement, sur l'ordi, tu ne peux pas. Par contre, être sur LinkedIn au taf, c'est totalement accepté. Et donc, LinkedIn, ils ont un nombre de lurkers, donc de gens qui regardent du contenu et qui passent du temps dessus. Leurs chiffres, ils sont insane, tu vois, en active user, etc. Mais le pourcentage de gens qui créent du contenu, c'est quasiment zéro. Alors qu'Instagram, tout le monde a envie de partager sa life, tu vois. Enfin... T'as des lurkers évidemment sur Insta, mais t'as beaucoup de gens qui sont là, même s'ils ont un compte un peu privé et tout, je mets mes photos de vacances, de mon chien et de ce que je suis en train de manger. Donc en fait, forcément, le volume de contenu créé sur Insta, il est tellement plus grand que la compétition est tellement plus grande versus sur LinkedIn où honnêtement, même si ton post est nul et que t'as pas un gros réseau, je pense que tu feras des centaines, voire des mille, deux mille, trois mille vues. c'est accessible à tous, tu vois. Vraiment. Et après, tu peux monter dans des sphères qui sont des centaines de milliers de vues si tu passes du temps, que tu investis et tout, tu vois. Je dis pas que c'est facile, mais c'est faisable, tu vois.

  • Speaker #2

    Complètement. Donc toi, dans ta team, t'as la partie data, la partie PM, la partie paid, la partie PLG. Donc la partie PLG, j'imagine que c'est beaucoup le sujet de la grosse loupe que t'expliquais tout à l'heure.

  • Speaker #1

    Non, c'est un autre sujet. Donc sur la partie data, il nous manquait quand même un data analyst en recrutant Joshua. qui est très bon et là on est en train de migrer en fait on a utilisé tu vois l'enjeu c'est au bout d'un moment en fait T'as tellement d'outils, t'as vraiment besoin d'avoir un gros engineer, donc là c'est quelqu'un en interne, Luc Camilleau, qui s'en occupe, pour s'assurer que toutes les sources de données soient bien mappées entre tes différents outils, parce qu'en fait, au bout d'un moment, t'as plein de transit, t'as plein de workflow qui pètent, c'est l'enfer. Bien sûr. Donc t'as vraiment besoin de poser ton truc à plat, de dire, ok, t'as Bitcoin, t'as Segment, t'as machin. Tu vois, même sur des... Tu vois, typiquement, il y a une semaine, sur les fournisseurs, on se rendait compte que, je sais pas, t'as plus de 50 champs de spots qui sont enrichis. Au fait, on se rendait compte que les champs n'étaient plus enrichis, donc... Donc tu as besoin d'avoir vraiment un système d'alerte, ce qu'on a donné en monde pas, qui soit précis, et qu'on industrialise le process pour éviter ce type de problème qui est multiplié par le nombre de channels que tu as. Donc Data Analyst, là on fait un peu le shift de... On avait Postog, qui était pas mal, mais ça répondait pas au plusieurs use cases. Donc là on prend Mixpanel, on le plug sur la plateforme, et tu vois l'idée c'est d'aider les AM à identifier des segments du sata intéressants pour faire de l'upsell. Alors qu'avant, ils avaient plutôt des rendez-vous de manière un peu chronique avec les clients. Donc comment le market peut les aider à faire ça ? Et le PLG, on va le lancer demain. C'est sur un produit spécifique qui s'appelle les ACV. Donc les ACV, c'est pareil que le bilan carbone, sauf que c'est pour les produits. Si je caricature, c'est plus pour des boîtes d'industrie. Je t'en ai un petit peu parlé.

  • Speaker #2

    Il y a aussi une particularité de concernant, c'est que du coup, tu es le CEO qui incarne sa boîte.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #2

    Et ça tu penses que, enfin j'en reviens du coup, c'est là où je voulais ouvrir un peu la porte du ROI du contenu.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #2

    Je sais pas si vous êtes vraiment en mesure de le quantifier et tu vois moi, pour info, moi je suis un peu contre quantifier complètement. Ouais. Surtout quand t'es sur du multicanal. En fait on en revient à ce que tu disais tout à l'heure. En fait tout ça, ça participe à la confiance, ça participe bien évidemment à ma conversion etc. De dire mon Insta c'est tant de pourcentage de mon CA et machin. C'est peut-être un peu too much, mais toi en tant que CEO de boîte, tu vois que le fait que toi tu incarnes ta boîte, quel est l'impact derrière aussi sur le revenu de la boîte ?

  • Speaker #0

    Déjà il y a plusieurs trucs, il faut savoir que nous à l'échelle de l'équipe, on est quand même beaucoup à poster dans la boîte, donc tu vois on est une dizaine et on doit reacher, ça se compte en dizaines de millions, chaque mois les personnes... Non, peut-être maintenant un peu moins avec les changements d'algo. Je n'ai pas envie de dire de la merde, mais bon. On va dire par quarter, tu as au moins 15 millions de personnes qui sont riches via les comptes de la boîte. Donc déjà, plusieurs personnes dans ta boîte peuvent documenter ce qu'ils apprennent, créer de la trust, et ce n'est pas forcément réservé aux CEOs. Ça, c'est un point qui est quand même assez important parce que je pense qu'après, on en parlera. Peut-être que c'est du futur de la prospection et tout, mais ça, je pense que c'est assez clé. Ensuite, ta question, c'était sur...

  • Speaker #2

    En tant que CEO, le fait de toi incarner l'impact que tu vois sur le fait que ça génère du business,

  • Speaker #0

    le fait que c'est toi qui fasses le contenu. La partie ROI, etc. Donc en fait, le ROI, c'est que la boîte, je l'ai montée solo jusqu'à 1 million d'ARR. Et donc, je faisais de la prospection, mais aussi beaucoup de contenu. Donc, ce que j'avais par la prospection, en fait, le ROI, il est à différents niveaux. Le ROI, c'est Guillaume qui lance sa première campagne de prospection et qui tape... Je passe 5% de taux de réponse en faisant 5 à 10% de taux de réponse en faisant de l'ultra personnalisation. Et Guillaume, six mois après avoir écrit du contenu, qui prend les gens qui visitent son profil et qui ont potentiellement liké un de ses posts ou commenté un de ses posts et qui tape 50% de meeting book, tu vois. Donc, le ROI, je le vois évidemment dans l'évolution de mes campagnes. Le ROI, je le vois directement sur la top line, donc le MRR, combien on fait de cash. Et donc, moi, le ROI, en fait, j'en suis conscient. Est-ce que je le mesure ? Non, parce que c'est impossible à mesurer. Et aujourd'hui, il y avait un truc que j'avais mis, mais je pense que ce qui est underrated, c'est des marketeurs qui ont du goût, et ce qui est overrated, c'est des marketeurs qui maîtrisent soi-disant la data, ou qui sont data-driven. J'adore. Mais vraiment, en fait. J'adore. Mais pour scaler ça, c'est dur. Et en fait, ça, j'y suis... J'ai eu pareil, tu sais, tu as toujours des phases un peu de schizo, quoi. C'est qu'il y avait des moments pendant très longtemps, tu vois, avec l'équipe, j'étais là, genre, on ne mesure pas, en fait, et je m'en fous. Parce que tant qu'on a de la croissance, en fait, ce qu'on fait, ça fonctionne, tu vois. Le seul problème de cette mentalité, et tu vois, nous, on l'a vu aussi, c'est qu'il y a eu un moment où on a eu un plateau, tu vois. Et moi, je pensais que ta croissance a été exponentielle et que ça restait à vie. Sauf que la croissance, c'est des S-curves. Donc, tu as évidemment une exponentielle. Mais tu as toujours la bosse du S, tu vois, qui fait mal quand tu es en haut. Et c'est pour ça qu'il faut trouver ton next X curve. Et quand tu ne mesures rien, le problème, c'est que c'est dur. Et moi, personnellement, en tant que CEO, j'ai envie de te dire que ça ne me dérange pas trop. Parce que je me dis que j'ai la conviction que ce qu'on fait... À partir du moment où je considère que c'est quali et que ça apporte de la valeur, je suis fine avec ça. Pour les équipes, par contre, c'est beaucoup plus dur. Ah bah, c'est clair. Parce qu'eux, en fait, au bout d'un moment, quand tout marche... Parce que nous, en fait, si tu veux, on a un système pareil, tu vois, de rémunération qui est un peu différent. Donc, tout le monde a des fixes que je considère, genre, assez bien payés de façon générale. Et en plus de ça, dès qu'on atteint des milestones à l'échelle de la boîte, tout le monde prend... L'objectif, c'est que tous les quarters, tout le monde prenne 3 000 euros en plus de son salaire. Tout le monde. Donc, ça va genre des devs, aux marketeurs. Tu vois, on ne fait pas genre de bonus individuel. Et en fait, quand la boîte, du coup, elle est sur un peu un plateau, les gens, tu vois, ça les frustre parce qu'ils n'ont pas ça, etc. Et tu peux le comprendre, même si toi, tu te dis, ben non, genre, on va essayer de faire mieux, on va essayer, tu vois, de se challenger et tout. Le fait de rien mesurer, des fois, ça crée un peu de la frustration.

  • Speaker #1

    Et en fait, on avait parlé avec Brian Alligan, qui est le CEO de HubSpot, ou l'ex-CEO, je ne sais plus, parce qu'il était un peu une consécration, tu sais, genre quand tu utilises... Ah, ça coche, là. C'est assez marrant de le voir, c'est parce que mon CEO lui a envoyé un email pour qu'il le mentore, etc. Ils avaient fait des calls et il a vu la gentillesse de nous inviter, moi et d'autres personnes de l'équipe. Et c'était marrant quand ils se spotent au quotidien de voir le mec qu'il a créé. Et lui, il nous avait donné un conseil. Enfin moi, tu vois, le Biancavon, c'est quand même un produit très complexe. Donc tu vois, c'est pas comme du Lemnis, par exemple, où en fait, tu peux tester le produit assez facilement. En fait tu peux le lancer facilement mais tu as besoin d'être carré au niveau de ton contenu, tu as besoin que tout s'enchaîne bien, que l'effet wow soit très rapide. Dans le cas du bilan carbone, on a pensé à des trucs mais c'est quand même des produits complexes qui demandent beaucoup de catégorisation de données, où tu as des accompagnements de consultants. Donc c'est quand même pas un produit où tu vas avoir un effet wow en deux secondes. C'est des trucs genre, boum, tu apportes un fichier, tu as un tableau, tu vois. Ok, pourquoi pas, mais ça soulève une montagne de problèmes. Donc, le chemin contourné par rapport à ça... C'était de se dire, ok, on peut peut-être le tester sur un autre de nos produits. Il y avait une histoire assez marrante là-dessus, c'est que les ACV, c'est aussi un énorme marché. Et en fait, les ACV, c'est un peu la déclinaison de l'API de l'app. En fait, on a écrit une spin-off de Gany qui s'appelait Willow, qui était uniquement basée sur la partie ACV. Et en fait, eux, ils étaient vraiment sur la partie API, sauf qu'ils ont fait exactement le même raisonnement intellectuel que nous. Ils se sont rendu compte qu'en gros le B2B c'était plus rentable que de l'API où tu vas t'adresser à des consommateurs. Donc ils ont commencé à faire des ACV. Ce qui fait qu'on a dû réintégrer cette boîte au sein de Greenly. Et tu sais on se disait on a créé un concurrent sur la partie ACV. On était là c'est quand même très fort. Mais du coup ce qui est cool c'est que tu vois en autonomie ils ont développé leurs produits. Donc on l'a réimbriqué au sein de Greenly. Ce qui nous a fait gagner énormément de temps. Et plus ils ont recruté des personnes en parallèle donc c'était pas très rare. mais c'était quand même assez marrant. Et du coup, on va faire un test demain, on va ouvrir l'ensemble du site, donc n'importe quel utilisateur qui a reçu le site internet sur la partie ACV pourra avoir une première expérience avec le produit. Donc là, en termes d'étapes, tu as quand même besoin d'être carré sur, par exemple, c'est quoi ton effet RAW ? En gros, de le définir, c'est quoi ? Au bout de combien de temps un utilisateur peut le voir ? Et comment tu traques le bas de ton funnel, enfin le haut de ton funnel, pardon, quand tu as quelqu'un qui va s'inscrire ? jusqu'à l'effet waouh et le nombre de calls clients qu'il y aura avec une personne. Et là l'idée c'est au fait, l'effet waouh c'est en fil des templates. Tu as 250 templates sur différentes catégories de produits. Par exemple tu as un template d'émission de t-shirt, tu t'appuies dessus et en gros c'est déjà catégorisé pour toi. Et à la fin en fait tu as un rapport du poids carbone de tes produits avec un système de récompense. Et tu peux le download. Et en gros l'effet waouh c'est ça tu vois. Et ça c'est un test qu'on va mettre en place sur cette verticale et vu qu'on a quand même un trafic sur le site internet qui est assez important, quand on regarde le taux de conversion par exemple des différentes pages, tu fais une estimation grosso modo de ta tendance utilisateur, t'as celui-là, le produit est assez simple à prendre en main et t'as une possibilité de réserver une démo avec un call avec des sites pour t'aider plus toute la mécanique de ShandyMate. Et après ça tu vois, là c'est vraiment la version MVP simplifiée mais on va rajouter énormément de briques. Tout un système de médaille, comment tu vas plus loin, des simulations de produits, etc. Mais du coup, c'est un premier test qui est fait sur cette partie. Ce qui sera concluant ou pas, hypothétiquement oui, mais c'est ce qu'on va découvrir. C'est quand même un produit aussi assez complexe à prendre en main.

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02:00 - Content Strategy


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Les gens n'ont plus besoin de connaître toutes ces tactiques et toutes ces méthodes parce qu'il y en a partout dans le web. Ce qu'ils ont besoin, c'est d'un changement de mindset où ils disent putain, en fait,

  • Speaker #1

    c'est possible Après l'allemagne, ce qui est un peu plus tricky, c'est un peu obligé de traduire l'ensemble de ton site en allemand. Et là, tu sais que tu te remarques dans un chantier qui va quand même te prendre une part de temps non négligeable sur ton quarter.

  • Speaker #0

    En self-service, je n'ai même pas besoin de parler aux gens. En fait, ils ont vu tellement de vidéos et tout qu'ils s'auto-closent.

  • Speaker #1

    C'est quoi ton effet va-vous ? En gros, de le définir, c'est quoi ? Au bout de combien de temps un utilisateur peut le voir ?

  • Speaker #0

    Je pense que ce qui est underrated, c'est des marketeurs qui ont du goût. Et ce qui est overrated, c'est des marketeurs qui maîtrisent soi-disant la data.

  • Speaker #2

    Si vous suivez les contenus qu'on produit avec Bulldozer, que ce soit aussi bien ce podcast avec Conquête sur LinkedIn, notre newsletter ou directement sur notre site web, vous savez qu'on aime partager nos dernières astuces pour augmenter l'acquisition, la conversion, bref, générer plus de business. Et aujourd'hui, j'avais envie de vous parler d'un outil qui est très sous-estimé, notamment sur des sujets de conversion. c'est votre signature email. Votre signature email c'est un moyen très simple de pouvoir diffuser des messages personnalisés auprès des prospects de votre choix. C'est pour ça que c'est très puissant pour des campagnes d'ABM notamment. A titre d'info sur les campagnes ABM qu'on utilise chez Bulldozer auprès de nos clients, la signature email ça peut être jusqu'à 36% de taux de conversion sur des contenus. Donc c'est vraiment très très élevé. C'est pour cette raison qu'on a choisi Signetic en partenaire de Conquête. Signetic c'est une solution de personnalisation d'email qui vous permet de déployer des signatures pour tous les collaborateurs en quelques clics seulement. Il y a une intégration native avec Google Workspace et Microsoft 365. C'est connecté à votre CRM. Vous avez aussi la possibilité de créer directement vos designs dans Canva et de les déployer dans l'outil. Bref, c'est très puissant, très simple d'utilisation. Et avec le code BULLE2R20, vous pouvez bénéficier de 20% de réduction sur l'outil. Merci à Cynetic de proposer cette offre pour les auditeurs de conquête. Allez, on attaque l'épisode. Tu investis beaucoup dans la vidéo notamment. Pourquoi la vidéo t'y croit ? Comment est-ce que ça se passe ? Et aussi, tu vois, un peu le côté multiplateforme, tu vois, du YouTube versus du Insta, etc. Comment est-ce que vous gérez ça ?

  • Speaker #0

    Ouais. En fait, ce qui est assez difficile, j'avoue que je suis un peu schizophrène avec la création de contenu. Et je teste toujours, en permanence, des choses différentes. Et je peux un peu te partager, tu vois, les différents états par lesquels je passe. Ouais. Et souvent, ces états, ils oscillent, en fait, entre... Je dirais peut-être deux parties de ma personnalité. Il y a une partie qui est... Je suis vachement dans le développement personnel, le dépassement de soi, le fait que tu peux partir de pas grand-chose et réussir à changer ta vie, que tu es vraiment maître de ton destin et que tu peux te créer l'environnement que tu as envie de te créer. Et le côté zéro bullshit. Et je te montre vraiment concrètement comment on fait les choses et très méthodique et rentré dans la technique. Et donc... J'oscille très souvent, en fait, quand tu regardes un peu mon contenu et ma chaîne édito, entre la partie inspirationnelle et la partie pratico-pratique. Et en fait, ça cible des gens qui sont un petit peu différents. Mais quand je fais de l'inspirationnel, en général, l'exemple que je prends, c'est si demain, tu demandes à une personne qui a envie de perdre du poids, comment est-ce qu'on fait pour perdre du poids ? Je pense que tu as 100% de la population qui peut répondre, tu vois, et qui te dira, pour perdre du poids, il faut que je fasse plus de sport, que je fasse un peu plus attention à ce que je mange. Et voilà, donc tout le monde le sait, tu vois. Et donc, quand je fais du contenu inspirationnel, ce que je me dis, c'est les gens n'ont plus besoin, en fait, de connaître toutes ces tactiques et toutes ces méthodes parce qu'il y en a partout dans le web. Ce qu'ils ont besoin, c'est d'un changement de mindset où ils se disent, putain, en fait, c'est possible. Et tu vois, le c'est possible... Moi, ça m'est arrivé plein de fois. Ça m'est arrivé quand j'étais aux États-Unis, qu'il y a des gens qui m'ont fait venir parce qu'on avait beaucoup de clients là-bas et qui me payaient pour aller là-bas. Et en fait, qui m'ont fait passer des caps mentalement juste parce qu'ils croyaient en moi. Ou parce qu'ils m'ont dit certaines phrases qui m'ont fait passer un cap. Et donc, le contenu inspirationnel, moi, je l'aime bien parce que je sais que ça a changé la vie de beaucoup de personnes dans mon audience. Parce qu'il y a des fois, ils se sont dit putain, c'est ouf etc. Et après, j'aime beaucoup aussi... La richesse est une base solide sur la pratique parce que je pense qu'il faut passer à l'action et pour passer à l'action, il faut que tu aies des gens qui t'expliquent comment faire. Et donc, c'est un peu les deux contenus que je fais. Évidemment, tu en as un qui attire tout type de population, c'est-à-dire que quand je faisais du contenu inspirationnel, à un moment, j'ai arrêté parce que je commençais à avoir des gens qui me contactaient, qui étaient, tu vois, en mode... Enfin, c'était des trucs très, très deep, tu vois. J'ai déjà reçu des gens en mode, j'allais me suicider, je suis tombé sur cette vidéo. Ça m'a totalement fait un déclic et tout et tout. Et des gens, après, tu sais, qui créent une relation, je crois que ça s'appelle parasociale ou quelque chose comme ça. Mais en fait, ils sont persuadés de te connaître. J'ai des gens, en fait, qui m'envoyaient des messages. et qui répondaient, qui faisaient des blagues, tu vois, enfin, tu lis la conversation. Eux, ils ont une conversation avec toi, mais j'ai jamais répondu, tu vois. Et du coup, ça fait un peu peur. C'est un peu creepy, ouais. Ça fait un peu peur, ouais. Et tu te dis, bon, tu vois, genre, c'est un pouvoir que, est-ce que tu as envie, tu vois, de l'avoir vraiment ou pas, tu vois, c'est, voilà. Et le côté pratico-pratique, ce que j'aimais bien, c'est, bah ouais, tu vois, genre, c'est concret, les gens, ils ont des résultats instantanés qui sont sur des choses qu'ils mettent en place. Donc, il y a le côté... Il faut que tu aies un mindset qui se développe et le côté, il faut que ce soit pratico-pratique. Et donc, globalement, mes réseaux, moi, je les divise de plusieurs manières. Il y a le côté Instagram qui reste en fait, c'est comprendre les réseaux et écrire en fonction des réseaux. Donc Instagram, les gens qui vont sur Insta, ils veulent de l'entertainment. Donc que tu fasses du contenu business ou du contenu aspirationnel, il faut que... Il y a une qualité vidéo, que ça soit sympa, qu'il y ait un capital sympathique qui soit assez fort et qui est du différenciateur. Donc, j'ai testé pas mal de trucs, mais globalement là-dessus, tu vois, j'alterne toujours entre très inspirationnel, donc avec beaucoup de sport, comme je fais beaucoup de sport, ou pratico-pratique avec un format un peu unique qui parle de choses très high level en business. Et mon objectif, c'est de me dire, je prends les gens... vraiment le plus haut du top up funnel, j'essaie de ratisser le plus large possible. Et dans cela, au bout d'un moment, il y a des gens qui vont se dire peut-être que j'aimerais bien en apprendre un peu plus sur le business. Et là, tu vois, je les fais venir sur des masterclass que j'ai pu lancer sur comment trouver tes premiers clients, comment se lancer sur Internet, des trucs comme ça. Donc, ils sont des masterclass gratuites. Et dedans, en fait, je vais parler des outils et je me dis qu'évidemment, si je leur ai apporté assez de valeur et qu'ils ont envie de se lancer, Oui, ils vont prendre un essai gratuit et s'ils trouvent des clients, ils deviendront clients payants. C'est un peu la mentalité. Ensuite, YouTube. YouTube, c'est du contenu qui va être vraiment actionnable en business, donc très lié à la masterclass, les masterclass que je pousse. En général, je les mets sur YouTube, je les mets accessibles à tous. Là, ma stratégie en ce moment, c'est de construire du contenu evergreen. Je me dis que ce contenu, si on le regarde maintenant ou dans trois ans, en fait, les gens, ça aura toujours de la valeur. donc là c'est ce que j'essaye de faire et ensuite après t'as TikTok c'est la même stratégie que Insta je me fais pas chier, enfin tu vois c'est les mêmes vidéos qui sont postées et après LinkedIn, là c'est beaucoup plus du coup ce que je vais appeler South Leadership, donc moi ma vision business et entrepreneurial sur des sujets qui peuvent être un peu plus high level ou très liés à la vision de la boîte, donc ça va être documenter nos milestones... expliquer ma vision parfois sur les marchés économiques, sur les VC versus le bootstrapping, sur typiquement comment recruter, qu'est-ce que doit être un bon leader. Il y a plein de sujets autour de ça. Et ça, l'idée, c'est plutôt de créer une communauté d'entrepreneurs très forte et donc de développer la marque associée aussi à l'Empire et à l'M-List et à tous nos produits en mode j'adhère à sa vision. et à ce que lui a envie de faire et de promouvoir dans l'entrepreneuriat. Donc, je suis intéressé par potentiellement les outils et je deviens client.

  • Speaker #2

    Équipe marketing centralisée. Et ensuite, du coup, comment est-ce que vous localisez notamment vos contenus à l'international ?

  • Speaker #1

    On a une roadmap contents avec un système de tag par pays, etc. En fait, on se pose au début de chaque quarter. On dit OK, voici un peu la location qu'on a envie de faire par rapport aux résultats marketing qu'on a eus. Et après ça, on bosse avec deux traductrices. Après, toutes les personnes qui sont dans l'équipe marketing sont plutôt anglo, enfin sont presque anglophones. On a dans l'équipe copywriter qui est gérée du coup par Inès, on a une anglaise, Cara, et une américaine, Stéphanie. Donc tu vois là, sur tout ce qui va être stratécio, c'est assez simple. Et après, sur des use cases, on a Chloé qui s'occupe de la partie marketing, marketing content, avec le suivi des clients, la création de développement en white paper, use case. Les gens passent, c'est des meilleurs. Là, on a quelqu'un qui va nous aider sur la partie traduction. Et là, l'enjeu qu'on a, c'est qu'on veut internationaliser la strat en Europe. Donc plus seulement les UK, mais tous les pays d'Europe. Donc là, l'idée, c'est de construire une landing page par pays, de le balancer absolument partout et voir où tu as des taux de conversion meilleurs. Tu as des pays, tu vois l'Allemagne, c'est un énorme marché, c'est un gros marché, ils sont assez matures sur le sujet, tu as déjà plein de concurrents, etc. Il y a beaucoup de nos concurrents aussi qui y vont, donc ça paraît un peu évident d'aller là-bas. Après l'Allemagne, ce qui est un peu plus tricky, c'est que tu es un peu obligé de traduire l'ensemble de ton site en allemand. Et là tu sais que tu te remarques dans un chantier qui va quand même te prendre une part de temps non négligeable sur ton quarter. Mais du coup, en interne, on a Cara, Stephanie, américaines, enfin qui sont anglophones, plus une traductrice qui est candidée sur le marché aux Etats-Unis. Même tu vois les éléments de langage des UK et des US, c'est pas forcément les mêmes. Tu te rends toujours compte, donc t'as de l'air adapté, ça te prend du temps, donc ils font un peu structuré le truc. Oui,

  • Speaker #2

    puis d'un point de vue messaging, tu vois, c'est ce qu'on disait, c'est peut-être que sur les US, ça va être un petit peu plus un enjeu de rentabilité, peut-être qu'au UK, ça va être autre chose.

  • Speaker #1

    Ouais, exactement.

  • Speaker #2

    Le contenu inspirationnel, tu vois, tofu, tu vas ratisser large, et donc il y a aussi une réalité, c'est qu'aujourd'hui, la majorité des entrepreneurs, c'est des petits entrepreneurs, sans que ce soit un jugement de valeur, mais il y a énormément de petites boîtes, il y en a très peu de très grosses. Donc ce que je me dis aussi c'est que c'est un contenu qui est, j'imagine, très adapté à une audience de petits entrepreneurs, petites startups, etc. Tu confirmes ?

  • Speaker #0

    Ce que je fais actuellement ? Ouais. Je pense que, je dirais que c'est un mix, mais oui. Je vais dire plutôt globalement oui, mais on a testé des choses un peu différentes, mais on en parlera après. Vas-y, vas-y,

  • Speaker #2

    toi. Et du coup le contenu... plus technique, etc. Là, on risque de toucher une audience déjà un petit peu plus consciente, éduquée, enfin je ne sais pas comment dire ça.

  • Speaker #0

    Plus advanced, on va dire. Exactement.

  • Speaker #2

    Et donc, tu vois, ce que je me dis aussi, c'est que là, aujourd'hui, la stratégie TikTok, Insta, etc. que tu as présenté, c'est peut-être aussi adapté au fait que tu as un positionnement qui est moi, je veux aller toucher un maximum de petits entrepreneurs. Et ça rejoint aussi ce que tu disais tout à l'heure sur la vision de la boîte qui est, nous on veut faire passer les petits de petits à grands. Et du coup, est-ce que tu confirmes que globalement, cette stratégie de contenu, elle a un impact surtout sur de l'acquisition de petits comptes ?

  • Speaker #0

    Ouais, ouais, ouais. En fait, je vais te raconter deux histoires. Mais en gros, globalement, en self-service, donc les gens qui vont sur le site, qui payent sans qu'on leur parle, etc. Cette stratégie, elle fonctionne archi bien parce que c'est facile, tu vois. C'est-à-dire que je n'ai même pas besoin de parler aux gens. En fait, ils ont vu tellement de vidéos et tout qu'ils s'auto-closent.

  • Speaker #2

    Encore une fois, ils ont confiance.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça en fait, parce que tu as la confiance et tu as peu de choses à perdre. Quand tu as un essai gratuit, tu perds un peu de temps si ça ne marche pas. En fait, après par contre, pour donner un exemple assez intéressant, quand j'ai commencé... à produire du contenu sur LinkedIn, parce qu'au début, c'était plutôt LinkedIn et un peu YouTube, je parlais uniquement de sales. Donc, prospection, je parlais que de ça. J'étais moins top of funnel, entrepreneuriat et tout. Aujourd'hui, je dirais que je parle entrepreneuriat, marketing, sales. Ça va être mes gros sujets ou grosses, ça dépend comment on veut l'appeler. Mais en fait, à l'époque, après peut-être six mois à poster du content, Il y a un mec qui me contacte, VP Sales chez Zendesk, donc tu vois, grosse boîte américaine, etc. Enfin, coté en bourse, mais boîte européenne initialement. Et du coup, il me parle et il me dit Ouais, genre, j'ai vu ce que tu fais sur la prospection, on a un nain, je vois en plus qu'il y a Freshdesk qui est concurrent chez nous et qui vous utilise. Je serais curieux qu'on en discute, tu vois. Et du coup, un, deux, trois, quatre, cinq meetings. Au final, ils sont closés, ils commencent à nous utiliser, des résultats de ouf, machin. Ça, tu vois, pour moi, c'est de l'Enterprise. Enfin, tu vois, c'est un équivalent Enterprise. Et en fait, au bout d'un moment, je me dis, putain, je vais lui demander quand même, comment tu as entendu parler de l'Aimlist, tu vois, parce qu'on n'était pas si gros que ça à l'époque. Et en fait, il me dit, non, mais je vois ton contenu tout le temps sur LinkedIn. Et genre, je me suis tapé six mois de mes posts à extraire parce que je scrappais tous les likes, tu vois, des gens et tout. Jamais il n'avait liké un de mes posts. Mais par contre, il le voyait, tu vois. Et ça, c'est un truc, peu importe le type de compte que tu vas targeter. Là, je le vois aujourd'hui et je peux te donner des exemples très concrets. C'est que mon audience, en fait, elle est beaucoup plus large que le type de contenu que je fais. Donc, par exemple, je vais me dire, tiens, ce contenu, il est vraiment pour les CEOs. Tu vois, en mode, je vais parler de la partie finance d'un exit. Donc, tu vois, c'est un truc qui est quand même assez spécifique. Tu vois, en mode... Qu'est-ce que c'est les préférés de stock ? Tu vois, genre je vais parler d'un truc assez précis que j'ai découvert, que j'ai appris, que j'ai envie de partager parce que pour pas que d'autres gens se fassent niquer, tu vois potentiellement. Ben en fait, là-dedans, tu vas avoir des head of sales, des VP sales, des CMO, des mecs en fait qui juste sont intéressés par le business, qui vont trouver le post archivaluable et qui pour eux vont se dire putain tiens j'ai appris un truc, Guillaume il m'a appris un truc, c'est cool. Et donc la prochaine fois que je fais un post, et c'est pour ça que tu vois je varie aussi dans mes posts, Des fois, je vais faire des posts où ça va être chopé. Par exemple, tu vois, on a un hub avec des campagnes de nos users. Donc, les gens peuvent voir les séquences qu'ils ont faits et ils peuvent dupliquer la séquence directement dans leur plateforme Lame List. Ça, je vais faire un post, tu sais, comment and get. Donc, je demande aux gens de commenter et ils auront un lien. En vrai, ce lien, il est accessible à tous. Mais quand tu fais ça, tu as un reach qui est beaucoup plus grand. Ça, tu vois, ça va driver peut-être. Je ne sais pas moi, entre 5 et 10 000 personnes qui sont relevant sur cette page. Là-dedans, tu as des centaines de personnes qui vont créer des comptes. En fait, dedans, oui, il va y avoir des solopreneurs, etc. Mais tu as des équipes sales aussi, tu vois. Et après, je fais un post demain où je dis, j'ai envie de discuter avec des CMO, CRO, Head of Dimension parce que je suis en train de lancer X, Y ou Z. Mon agenda, il est booké full, tu vois. Et en fait, c'est un truc, tu vois, j'ai vachement bataillé entre est-ce que je fais que du tofu pour avoir l'audience la plus large ? Et en fait, comme tu ratisses archi large, les gens, ils vont forcément voir ton... Parce que les gens, on est curieux. Donc, tu vois, quand tu as un poste qui a beaucoup de reach, tu vois, là, j'ai fait un poste, je ne sais pas, il a dû faire 4 millions de reach. Oui, forcément, ça génère des dizaines de milliers de vues sur ton profil. Parce que les gens, ils ont envie de savoir qui tu es. Et quand ils vont voir qui tu es, ils regardent ta boîte et ta boîte, tu vois, et ainsi de suite. Donc j'ai vachement bataillé entre est-ce que je fais que du tofu ou est-ce que je fais que du ultra actionnable pour être en mode très très niche et avoir que des gens dans ma niche et être reconnu, etc. Et en fait, la vérité, c'est qu'aujourd'hui, vu comment fonctionnent les algos, selon moi, il faut que tu fasses les deux. Parce qu'en fait, le ultra broad va te rapporter des gens qui feront partie de ta niche sur ce que tu as envie de convertir. Et donc, en fait, quand tu fais de l'ultra broad et du niche, en fait... t'as des postes qui sont là pour convertir et qui vont avoir potentiellement beaucoup moins de likes, mais toi tu t'en fous tu vois le poste à 4 millions de vues en fait moi c'est un poste je m'en fous ça me passe au dessus de la tête, par contre ça a fait grossir mon audience et dans les gens qui m'ont découvert via ce poste quand je vais faire un poste pour vraiment convertir, closer sur un webinar, une masterclass peu importe, ils le verront et dedans il y en a qui vont convertir Et donc en fait, on parle souvent genre 80-20, etc. Sur les réseaux sociaux, je pense que ce n'est pas 80-20. Je pense que c'est mieux si tu fais, allez, soit tu fais du 95-5 ou du 90-10, mais ça marche très bien, tu vois. Et nous, aujourd'hui, je pense, tu vois, dans l'univers du software, tu vois, on a dépassé 26 millions de revenus récurrents annuels. On projette un peu plus de 10 millions d'euros d'EBITDA. à la fin de l'année, en fait, des marches comme ça, ça n'existe pas, tu vois. Et la raison pour laquelle nos campagnes fonctionnent si bien, notre reach, c'est parce qu'en fait, un, les gens ne savent pas écrire du contenu. Les gens ont peur d'utiliser leur profil pour écrire du contenu. Et donc, du coup, ça reste en fait une mine d'or. C'est que sur LinkedIn, en fait, les gens sous-estiment de ouf LinkedIn, tu vois. Mais en fait, LinkedIn, ce n'est pas LinkedIn Ads. LinkedIn, c'est créer du contenu et tu peux te faire, mais... énormément de thunes, tu peux générer énormément de leads et les gens, ils ne s'en rendent pas compte parce que, en fait, déjà, il y a plusieurs raisons pour ça. Une des raisons principales, c'est LinkedIn. Quand tu bosses en entreprise et je pense qu'en startup, on l'oublie vachement, mais moi, tu vois, j'ai bossé, je suis Procter & Gamble, Hermès, à l'ancienne et tout, ben en fait, tu as des sites que tu ne peux pas consulter quand tu es sur ton ordinateur. Par contre, LinkedIn, c'est le réseau social des entreprises, donc... Tu ne peux pas aller sur Facebook. Moi, chez Procter, je ne pouvais pas aller sur Facebook ou sur TikTok, Insta et tout. Par contre, tu pouvais y aller sur un tel si tu voulais, mais globalement, sur l'ordi, tu ne peux pas. Par contre, être sur LinkedIn au taf, c'est totalement accepté. Et donc, LinkedIn, ils ont un nombre de lurkers, donc de gens qui regardent du contenu et qui passent du temps dessus. Leurs chiffres, ils sont insane, tu vois, en active user, etc. Mais le pourcentage de gens qui créent du contenu, c'est quasiment zéro. Alors qu'Instagram, tout le monde a envie de partager sa life, tu vois. Enfin... T'as des lurkers évidemment sur Insta, mais t'as beaucoup de gens qui sont là, même s'ils ont un compte un peu privé et tout, je mets mes photos de vacances, de mon chien et de ce que je suis en train de manger. Donc en fait, forcément, le volume de contenu créé sur Insta, il est tellement plus grand que la compétition est tellement plus grande versus sur LinkedIn où honnêtement, même si ton post est nul et que t'as pas un gros réseau, je pense que tu feras des centaines, voire des mille, deux mille, trois mille vues. c'est accessible à tous, tu vois. Vraiment. Et après, tu peux monter dans des sphères qui sont des centaines de milliers de vues si tu passes du temps, que tu investis et tout, tu vois. Je dis pas que c'est facile, mais c'est faisable, tu vois.

  • Speaker #2

    Complètement. Donc toi, dans ta team, t'as la partie data, la partie PM, la partie paid, la partie PLG. Donc la partie PLG, j'imagine que c'est beaucoup le sujet de la grosse loupe que t'expliquais tout à l'heure.

  • Speaker #1

    Non, c'est un autre sujet. Donc sur la partie data, il nous manquait quand même un data analyst en recrutant Joshua. qui est très bon et là on est en train de migrer en fait on a utilisé tu vois l'enjeu c'est au bout d'un moment en fait T'as tellement d'outils, t'as vraiment besoin d'avoir un gros engineer, donc là c'est quelqu'un en interne, Luc Camilleau, qui s'en occupe, pour s'assurer que toutes les sources de données soient bien mappées entre tes différents outils, parce qu'en fait, au bout d'un moment, t'as plein de transit, t'as plein de workflow qui pètent, c'est l'enfer. Bien sûr. Donc t'as vraiment besoin de poser ton truc à plat, de dire, ok, t'as Bitcoin, t'as Segment, t'as machin. Tu vois, même sur des... Tu vois, typiquement, il y a une semaine, sur les fournisseurs, on se rendait compte que, je sais pas, t'as plus de 50 champs de spots qui sont enrichis. Au fait, on se rendait compte que les champs n'étaient plus enrichis, donc... Donc tu as besoin d'avoir vraiment un système d'alerte, ce qu'on a donné en monde pas, qui soit précis, et qu'on industrialise le process pour éviter ce type de problème qui est multiplié par le nombre de channels que tu as. Donc Data Analyst, là on fait un peu le shift de... On avait Postog, qui était pas mal, mais ça répondait pas au plusieurs use cases. Donc là on prend Mixpanel, on le plug sur la plateforme, et tu vois l'idée c'est d'aider les AM à identifier des segments du sata intéressants pour faire de l'upsell. Alors qu'avant, ils avaient plutôt des rendez-vous de manière un peu chronique avec les clients. Donc comment le market peut les aider à faire ça ? Et le PLG, on va le lancer demain. C'est sur un produit spécifique qui s'appelle les ACV. Donc les ACV, c'est pareil que le bilan carbone, sauf que c'est pour les produits. Si je caricature, c'est plus pour des boîtes d'industrie. Je t'en ai un petit peu parlé.

  • Speaker #2

    Il y a aussi une particularité de concernant, c'est que du coup, tu es le CEO qui incarne sa boîte.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #2

    Et ça tu penses que, enfin j'en reviens du coup, c'est là où je voulais ouvrir un peu la porte du ROI du contenu.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #2

    Je sais pas si vous êtes vraiment en mesure de le quantifier et tu vois moi, pour info, moi je suis un peu contre quantifier complètement. Ouais. Surtout quand t'es sur du multicanal. En fait on en revient à ce que tu disais tout à l'heure. En fait tout ça, ça participe à la confiance, ça participe bien évidemment à ma conversion etc. De dire mon Insta c'est tant de pourcentage de mon CA et machin. C'est peut-être un peu too much, mais toi en tant que CEO de boîte, tu vois que le fait que toi tu incarnes ta boîte, quel est l'impact derrière aussi sur le revenu de la boîte ?

  • Speaker #0

    Déjà il y a plusieurs trucs, il faut savoir que nous à l'échelle de l'équipe, on est quand même beaucoup à poster dans la boîte, donc tu vois on est une dizaine et on doit reacher, ça se compte en dizaines de millions, chaque mois les personnes... Non, peut-être maintenant un peu moins avec les changements d'algo. Je n'ai pas envie de dire de la merde, mais bon. On va dire par quarter, tu as au moins 15 millions de personnes qui sont riches via les comptes de la boîte. Donc déjà, plusieurs personnes dans ta boîte peuvent documenter ce qu'ils apprennent, créer de la trust, et ce n'est pas forcément réservé aux CEOs. Ça, c'est un point qui est quand même assez important parce que je pense qu'après, on en parlera. Peut-être que c'est du futur de la prospection et tout, mais ça, je pense que c'est assez clé. Ensuite, ta question, c'était sur...

  • Speaker #2

    En tant que CEO, le fait de toi incarner l'impact que tu vois sur le fait que ça génère du business,

  • Speaker #0

    le fait que c'est toi qui fasses le contenu. La partie ROI, etc. Donc en fait, le ROI, c'est que la boîte, je l'ai montée solo jusqu'à 1 million d'ARR. Et donc, je faisais de la prospection, mais aussi beaucoup de contenu. Donc, ce que j'avais par la prospection, en fait, le ROI, il est à différents niveaux. Le ROI, c'est Guillaume qui lance sa première campagne de prospection et qui tape... Je passe 5% de taux de réponse en faisant 5 à 10% de taux de réponse en faisant de l'ultra personnalisation. Et Guillaume, six mois après avoir écrit du contenu, qui prend les gens qui visitent son profil et qui ont potentiellement liké un de ses posts ou commenté un de ses posts et qui tape 50% de meeting book, tu vois. Donc, le ROI, je le vois évidemment dans l'évolution de mes campagnes. Le ROI, je le vois directement sur la top line, donc le MRR, combien on fait de cash. Et donc, moi, le ROI, en fait, j'en suis conscient. Est-ce que je le mesure ? Non, parce que c'est impossible à mesurer. Et aujourd'hui, il y avait un truc que j'avais mis, mais je pense que ce qui est underrated, c'est des marketeurs qui ont du goût, et ce qui est overrated, c'est des marketeurs qui maîtrisent soi-disant la data, ou qui sont data-driven. J'adore. Mais vraiment, en fait. J'adore. Mais pour scaler ça, c'est dur. Et en fait, ça, j'y suis... J'ai eu pareil, tu sais, tu as toujours des phases un peu de schizo, quoi. C'est qu'il y avait des moments pendant très longtemps, tu vois, avec l'équipe, j'étais là, genre, on ne mesure pas, en fait, et je m'en fous. Parce que tant qu'on a de la croissance, en fait, ce qu'on fait, ça fonctionne, tu vois. Le seul problème de cette mentalité, et tu vois, nous, on l'a vu aussi, c'est qu'il y a eu un moment où on a eu un plateau, tu vois. Et moi, je pensais que ta croissance a été exponentielle et que ça restait à vie. Sauf que la croissance, c'est des S-curves. Donc, tu as évidemment une exponentielle. Mais tu as toujours la bosse du S, tu vois, qui fait mal quand tu es en haut. Et c'est pour ça qu'il faut trouver ton next X curve. Et quand tu ne mesures rien, le problème, c'est que c'est dur. Et moi, personnellement, en tant que CEO, j'ai envie de te dire que ça ne me dérange pas trop. Parce que je me dis que j'ai la conviction que ce qu'on fait... À partir du moment où je considère que c'est quali et que ça apporte de la valeur, je suis fine avec ça. Pour les équipes, par contre, c'est beaucoup plus dur. Ah bah, c'est clair. Parce qu'eux, en fait, au bout d'un moment, quand tout marche... Parce que nous, en fait, si tu veux, on a un système pareil, tu vois, de rémunération qui est un peu différent. Donc, tout le monde a des fixes que je considère, genre, assez bien payés de façon générale. Et en plus de ça, dès qu'on atteint des milestones à l'échelle de la boîte, tout le monde prend... L'objectif, c'est que tous les quarters, tout le monde prenne 3 000 euros en plus de son salaire. Tout le monde. Donc, ça va genre des devs, aux marketeurs. Tu vois, on ne fait pas genre de bonus individuel. Et en fait, quand la boîte, du coup, elle est sur un peu un plateau, les gens, tu vois, ça les frustre parce qu'ils n'ont pas ça, etc. Et tu peux le comprendre, même si toi, tu te dis, ben non, genre, on va essayer de faire mieux, on va essayer, tu vois, de se challenger et tout. Le fait de rien mesurer, des fois, ça crée un peu de la frustration.

  • Speaker #1

    Et en fait, on avait parlé avec Brian Alligan, qui est le CEO de HubSpot, ou l'ex-CEO, je ne sais plus, parce qu'il était un peu une consécration, tu sais, genre quand tu utilises... Ah, ça coche, là. C'est assez marrant de le voir, c'est parce que mon CEO lui a envoyé un email pour qu'il le mentore, etc. Ils avaient fait des calls et il a vu la gentillesse de nous inviter, moi et d'autres personnes de l'équipe. Et c'était marrant quand ils se spotent au quotidien de voir le mec qu'il a créé. Et lui, il nous avait donné un conseil. Enfin moi, tu vois, le Biancavon, c'est quand même un produit très complexe. Donc tu vois, c'est pas comme du Lemnis, par exemple, où en fait, tu peux tester le produit assez facilement. En fait tu peux le lancer facilement mais tu as besoin d'être carré au niveau de ton contenu, tu as besoin que tout s'enchaîne bien, que l'effet wow soit très rapide. Dans le cas du bilan carbone, on a pensé à des trucs mais c'est quand même des produits complexes qui demandent beaucoup de catégorisation de données, où tu as des accompagnements de consultants. Donc c'est quand même pas un produit où tu vas avoir un effet wow en deux secondes. C'est des trucs genre, boum, tu apportes un fichier, tu as un tableau, tu vois. Ok, pourquoi pas, mais ça soulève une montagne de problèmes. Donc, le chemin contourné par rapport à ça... C'était de se dire, ok, on peut peut-être le tester sur un autre de nos produits. Il y avait une histoire assez marrante là-dessus, c'est que les ACV, c'est aussi un énorme marché. Et en fait, les ACV, c'est un peu la déclinaison de l'API de l'app. En fait, on a écrit une spin-off de Gany qui s'appelait Willow, qui était uniquement basée sur la partie ACV. Et en fait, eux, ils étaient vraiment sur la partie API, sauf qu'ils ont fait exactement le même raisonnement intellectuel que nous. Ils se sont rendu compte qu'en gros le B2B c'était plus rentable que de l'API où tu vas t'adresser à des consommateurs. Donc ils ont commencé à faire des ACV. Ce qui fait qu'on a dû réintégrer cette boîte au sein de Greenly. Et tu sais on se disait on a créé un concurrent sur la partie ACV. On était là c'est quand même très fort. Mais du coup ce qui est cool c'est que tu vois en autonomie ils ont développé leurs produits. Donc on l'a réimbriqué au sein de Greenly. Ce qui nous a fait gagner énormément de temps. Et plus ils ont recruté des personnes en parallèle donc c'était pas très rare. mais c'était quand même assez marrant. Et du coup, on va faire un test demain, on va ouvrir l'ensemble du site, donc n'importe quel utilisateur qui a reçu le site internet sur la partie ACV pourra avoir une première expérience avec le produit. Donc là, en termes d'étapes, tu as quand même besoin d'être carré sur, par exemple, c'est quoi ton effet RAW ? En gros, de le définir, c'est quoi ? Au bout de combien de temps un utilisateur peut le voir ? Et comment tu traques le bas de ton funnel, enfin le haut de ton funnel, pardon, quand tu as quelqu'un qui va s'inscrire ? jusqu'à l'effet waouh et le nombre de calls clients qu'il y aura avec une personne. Et là l'idée c'est au fait, l'effet waouh c'est en fil des templates. Tu as 250 templates sur différentes catégories de produits. Par exemple tu as un template d'émission de t-shirt, tu t'appuies dessus et en gros c'est déjà catégorisé pour toi. Et à la fin en fait tu as un rapport du poids carbone de tes produits avec un système de récompense. Et tu peux le download. Et en gros l'effet waouh c'est ça tu vois. Et ça c'est un test qu'on va mettre en place sur cette verticale et vu qu'on a quand même un trafic sur le site internet qui est assez important, quand on regarde le taux de conversion par exemple des différentes pages, tu fais une estimation grosso modo de ta tendance utilisateur, t'as celui-là, le produit est assez simple à prendre en main et t'as une possibilité de réserver une démo avec un call avec des sites pour t'aider plus toute la mécanique de ShandyMate. Et après ça tu vois, là c'est vraiment la version MVP simplifiée mais on va rajouter énormément de briques. Tout un système de médaille, comment tu vas plus loin, des simulations de produits, etc. Mais du coup, c'est un premier test qui est fait sur cette partie. Ce qui sera concluant ou pas, hypothétiquement oui, mais c'est ce qu'on va découvrir. C'est quand même un produit aussi assez complexe à prendre en main.

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Dans cet extrait, je reçois Guillaume Moubeche (CEO de @lempire) et Laurent Levrey (Head of Growth de @Greenly) pour discuter Content.
Ils nous partagent leur stratégie de contenu à l'international, comment ils calculent le ROI du content (ou pas) et comment créer l'effet wahou auprès de son audience.

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Notre modèle hybride agence/collectif nous permet d’accéder aux meilleurs talents du marché et d’agir sur l’ensemble des leviers de performances de nos clients (Outbound, Paid, SEO, ABM, RevOps, Data…).

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Sur les années à venir notre ambition est forte : concevoir et opérer des stratégies “growth” qui font référence dans le monde et ainsi devenir un leader sur le sujet d’ici 2030.

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TIMECODE :
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02:00 - Content Strategy


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Transcription

  • Speaker #0

    Les gens n'ont plus besoin de connaître toutes ces tactiques et toutes ces méthodes parce qu'il y en a partout dans le web. Ce qu'ils ont besoin, c'est d'un changement de mindset où ils disent putain, en fait,

  • Speaker #1

    c'est possible Après l'allemagne, ce qui est un peu plus tricky, c'est un peu obligé de traduire l'ensemble de ton site en allemand. Et là, tu sais que tu te remarques dans un chantier qui va quand même te prendre une part de temps non négligeable sur ton quarter.

  • Speaker #0

    En self-service, je n'ai même pas besoin de parler aux gens. En fait, ils ont vu tellement de vidéos et tout qu'ils s'auto-closent.

  • Speaker #1

    C'est quoi ton effet va-vous ? En gros, de le définir, c'est quoi ? Au bout de combien de temps un utilisateur peut le voir ?

  • Speaker #0

    Je pense que ce qui est underrated, c'est des marketeurs qui ont du goût. Et ce qui est overrated, c'est des marketeurs qui maîtrisent soi-disant la data.

  • Speaker #2

    Si vous suivez les contenus qu'on produit avec Bulldozer, que ce soit aussi bien ce podcast avec Conquête sur LinkedIn, notre newsletter ou directement sur notre site web, vous savez qu'on aime partager nos dernières astuces pour augmenter l'acquisition, la conversion, bref, générer plus de business. Et aujourd'hui, j'avais envie de vous parler d'un outil qui est très sous-estimé, notamment sur des sujets de conversion. c'est votre signature email. Votre signature email c'est un moyen très simple de pouvoir diffuser des messages personnalisés auprès des prospects de votre choix. C'est pour ça que c'est très puissant pour des campagnes d'ABM notamment. A titre d'info sur les campagnes ABM qu'on utilise chez Bulldozer auprès de nos clients, la signature email ça peut être jusqu'à 36% de taux de conversion sur des contenus. Donc c'est vraiment très très élevé. C'est pour cette raison qu'on a choisi Signetic en partenaire de Conquête. Signetic c'est une solution de personnalisation d'email qui vous permet de déployer des signatures pour tous les collaborateurs en quelques clics seulement. Il y a une intégration native avec Google Workspace et Microsoft 365. C'est connecté à votre CRM. Vous avez aussi la possibilité de créer directement vos designs dans Canva et de les déployer dans l'outil. Bref, c'est très puissant, très simple d'utilisation. Et avec le code BULLE2R20, vous pouvez bénéficier de 20% de réduction sur l'outil. Merci à Cynetic de proposer cette offre pour les auditeurs de conquête. Allez, on attaque l'épisode. Tu investis beaucoup dans la vidéo notamment. Pourquoi la vidéo t'y croit ? Comment est-ce que ça se passe ? Et aussi, tu vois, un peu le côté multiplateforme, tu vois, du YouTube versus du Insta, etc. Comment est-ce que vous gérez ça ?

  • Speaker #0

    Ouais. En fait, ce qui est assez difficile, j'avoue que je suis un peu schizophrène avec la création de contenu. Et je teste toujours, en permanence, des choses différentes. Et je peux un peu te partager, tu vois, les différents états par lesquels je passe. Ouais. Et souvent, ces états, ils oscillent, en fait, entre... Je dirais peut-être deux parties de ma personnalité. Il y a une partie qui est... Je suis vachement dans le développement personnel, le dépassement de soi, le fait que tu peux partir de pas grand-chose et réussir à changer ta vie, que tu es vraiment maître de ton destin et que tu peux te créer l'environnement que tu as envie de te créer. Et le côté zéro bullshit. Et je te montre vraiment concrètement comment on fait les choses et très méthodique et rentré dans la technique. Et donc... J'oscille très souvent, en fait, quand tu regardes un peu mon contenu et ma chaîne édito, entre la partie inspirationnelle et la partie pratico-pratique. Et en fait, ça cible des gens qui sont un petit peu différents. Mais quand je fais de l'inspirationnel, en général, l'exemple que je prends, c'est si demain, tu demandes à une personne qui a envie de perdre du poids, comment est-ce qu'on fait pour perdre du poids ? Je pense que tu as 100% de la population qui peut répondre, tu vois, et qui te dira, pour perdre du poids, il faut que je fasse plus de sport, que je fasse un peu plus attention à ce que je mange. Et voilà, donc tout le monde le sait, tu vois. Et donc, quand je fais du contenu inspirationnel, ce que je me dis, c'est les gens n'ont plus besoin, en fait, de connaître toutes ces tactiques et toutes ces méthodes parce qu'il y en a partout dans le web. Ce qu'ils ont besoin, c'est d'un changement de mindset où ils se disent, putain, en fait, c'est possible. Et tu vois, le c'est possible... Moi, ça m'est arrivé plein de fois. Ça m'est arrivé quand j'étais aux États-Unis, qu'il y a des gens qui m'ont fait venir parce qu'on avait beaucoup de clients là-bas et qui me payaient pour aller là-bas. Et en fait, qui m'ont fait passer des caps mentalement juste parce qu'ils croyaient en moi. Ou parce qu'ils m'ont dit certaines phrases qui m'ont fait passer un cap. Et donc, le contenu inspirationnel, moi, je l'aime bien parce que je sais que ça a changé la vie de beaucoup de personnes dans mon audience. Parce qu'il y a des fois, ils se sont dit putain, c'est ouf etc. Et après, j'aime beaucoup aussi... La richesse est une base solide sur la pratique parce que je pense qu'il faut passer à l'action et pour passer à l'action, il faut que tu aies des gens qui t'expliquent comment faire. Et donc, c'est un peu les deux contenus que je fais. Évidemment, tu en as un qui attire tout type de population, c'est-à-dire que quand je faisais du contenu inspirationnel, à un moment, j'ai arrêté parce que je commençais à avoir des gens qui me contactaient, qui étaient, tu vois, en mode... Enfin, c'était des trucs très, très deep, tu vois. J'ai déjà reçu des gens en mode, j'allais me suicider, je suis tombé sur cette vidéo. Ça m'a totalement fait un déclic et tout et tout. Et des gens, après, tu sais, qui créent une relation, je crois que ça s'appelle parasociale ou quelque chose comme ça. Mais en fait, ils sont persuadés de te connaître. J'ai des gens, en fait, qui m'envoyaient des messages. et qui répondaient, qui faisaient des blagues, tu vois, enfin, tu lis la conversation. Eux, ils ont une conversation avec toi, mais j'ai jamais répondu, tu vois. Et du coup, ça fait un peu peur. C'est un peu creepy, ouais. Ça fait un peu peur, ouais. Et tu te dis, bon, tu vois, genre, c'est un pouvoir que, est-ce que tu as envie, tu vois, de l'avoir vraiment ou pas, tu vois, c'est, voilà. Et le côté pratico-pratique, ce que j'aimais bien, c'est, bah ouais, tu vois, genre, c'est concret, les gens, ils ont des résultats instantanés qui sont sur des choses qu'ils mettent en place. Donc, il y a le côté... Il faut que tu aies un mindset qui se développe et le côté, il faut que ce soit pratico-pratique. Et donc, globalement, mes réseaux, moi, je les divise de plusieurs manières. Il y a le côté Instagram qui reste en fait, c'est comprendre les réseaux et écrire en fonction des réseaux. Donc Instagram, les gens qui vont sur Insta, ils veulent de l'entertainment. Donc que tu fasses du contenu business ou du contenu aspirationnel, il faut que... Il y a une qualité vidéo, que ça soit sympa, qu'il y ait un capital sympathique qui soit assez fort et qui est du différenciateur. Donc, j'ai testé pas mal de trucs, mais globalement là-dessus, tu vois, j'alterne toujours entre très inspirationnel, donc avec beaucoup de sport, comme je fais beaucoup de sport, ou pratico-pratique avec un format un peu unique qui parle de choses très high level en business. Et mon objectif, c'est de me dire, je prends les gens... vraiment le plus haut du top up funnel, j'essaie de ratisser le plus large possible. Et dans cela, au bout d'un moment, il y a des gens qui vont se dire peut-être que j'aimerais bien en apprendre un peu plus sur le business. Et là, tu vois, je les fais venir sur des masterclass que j'ai pu lancer sur comment trouver tes premiers clients, comment se lancer sur Internet, des trucs comme ça. Donc, ils sont des masterclass gratuites. Et dedans, en fait, je vais parler des outils et je me dis qu'évidemment, si je leur ai apporté assez de valeur et qu'ils ont envie de se lancer, Oui, ils vont prendre un essai gratuit et s'ils trouvent des clients, ils deviendront clients payants. C'est un peu la mentalité. Ensuite, YouTube. YouTube, c'est du contenu qui va être vraiment actionnable en business, donc très lié à la masterclass, les masterclass que je pousse. En général, je les mets sur YouTube, je les mets accessibles à tous. Là, ma stratégie en ce moment, c'est de construire du contenu evergreen. Je me dis que ce contenu, si on le regarde maintenant ou dans trois ans, en fait, les gens, ça aura toujours de la valeur. donc là c'est ce que j'essaye de faire et ensuite après t'as TikTok c'est la même stratégie que Insta je me fais pas chier, enfin tu vois c'est les mêmes vidéos qui sont postées et après LinkedIn, là c'est beaucoup plus du coup ce que je vais appeler South Leadership, donc moi ma vision business et entrepreneurial sur des sujets qui peuvent être un peu plus high level ou très liés à la vision de la boîte, donc ça va être documenter nos milestones... expliquer ma vision parfois sur les marchés économiques, sur les VC versus le bootstrapping, sur typiquement comment recruter, qu'est-ce que doit être un bon leader. Il y a plein de sujets autour de ça. Et ça, l'idée, c'est plutôt de créer une communauté d'entrepreneurs très forte et donc de développer la marque associée aussi à l'Empire et à l'M-List et à tous nos produits en mode j'adhère à sa vision. et à ce que lui a envie de faire et de promouvoir dans l'entrepreneuriat. Donc, je suis intéressé par potentiellement les outils et je deviens client.

  • Speaker #2

    Équipe marketing centralisée. Et ensuite, du coup, comment est-ce que vous localisez notamment vos contenus à l'international ?

  • Speaker #1

    On a une roadmap contents avec un système de tag par pays, etc. En fait, on se pose au début de chaque quarter. On dit OK, voici un peu la location qu'on a envie de faire par rapport aux résultats marketing qu'on a eus. Et après ça, on bosse avec deux traductrices. Après, toutes les personnes qui sont dans l'équipe marketing sont plutôt anglo, enfin sont presque anglophones. On a dans l'équipe copywriter qui est gérée du coup par Inès, on a une anglaise, Cara, et une américaine, Stéphanie. Donc tu vois là, sur tout ce qui va être stratécio, c'est assez simple. Et après, sur des use cases, on a Chloé qui s'occupe de la partie marketing, marketing content, avec le suivi des clients, la création de développement en white paper, use case. Les gens passent, c'est des meilleurs. Là, on a quelqu'un qui va nous aider sur la partie traduction. Et là, l'enjeu qu'on a, c'est qu'on veut internationaliser la strat en Europe. Donc plus seulement les UK, mais tous les pays d'Europe. Donc là, l'idée, c'est de construire une landing page par pays, de le balancer absolument partout et voir où tu as des taux de conversion meilleurs. Tu as des pays, tu vois l'Allemagne, c'est un énorme marché, c'est un gros marché, ils sont assez matures sur le sujet, tu as déjà plein de concurrents, etc. Il y a beaucoup de nos concurrents aussi qui y vont, donc ça paraît un peu évident d'aller là-bas. Après l'Allemagne, ce qui est un peu plus tricky, c'est que tu es un peu obligé de traduire l'ensemble de ton site en allemand. Et là tu sais que tu te remarques dans un chantier qui va quand même te prendre une part de temps non négligeable sur ton quarter. Mais du coup, en interne, on a Cara, Stephanie, américaines, enfin qui sont anglophones, plus une traductrice qui est candidée sur le marché aux Etats-Unis. Même tu vois les éléments de langage des UK et des US, c'est pas forcément les mêmes. Tu te rends toujours compte, donc t'as de l'air adapté, ça te prend du temps, donc ils font un peu structuré le truc. Oui,

  • Speaker #2

    puis d'un point de vue messaging, tu vois, c'est ce qu'on disait, c'est peut-être que sur les US, ça va être un petit peu plus un enjeu de rentabilité, peut-être qu'au UK, ça va être autre chose.

  • Speaker #1

    Ouais, exactement.

  • Speaker #2

    Le contenu inspirationnel, tu vois, tofu, tu vas ratisser large, et donc il y a aussi une réalité, c'est qu'aujourd'hui, la majorité des entrepreneurs, c'est des petits entrepreneurs, sans que ce soit un jugement de valeur, mais il y a énormément de petites boîtes, il y en a très peu de très grosses. Donc ce que je me dis aussi c'est que c'est un contenu qui est, j'imagine, très adapté à une audience de petits entrepreneurs, petites startups, etc. Tu confirmes ?

  • Speaker #0

    Ce que je fais actuellement ? Ouais. Je pense que, je dirais que c'est un mix, mais oui. Je vais dire plutôt globalement oui, mais on a testé des choses un peu différentes, mais on en parlera après. Vas-y, vas-y,

  • Speaker #2

    toi. Et du coup le contenu... plus technique, etc. Là, on risque de toucher une audience déjà un petit peu plus consciente, éduquée, enfin je ne sais pas comment dire ça.

  • Speaker #0

    Plus advanced, on va dire. Exactement.

  • Speaker #2

    Et donc, tu vois, ce que je me dis aussi, c'est que là, aujourd'hui, la stratégie TikTok, Insta, etc. que tu as présenté, c'est peut-être aussi adapté au fait que tu as un positionnement qui est moi, je veux aller toucher un maximum de petits entrepreneurs. Et ça rejoint aussi ce que tu disais tout à l'heure sur la vision de la boîte qui est, nous on veut faire passer les petits de petits à grands. Et du coup, est-ce que tu confirmes que globalement, cette stratégie de contenu, elle a un impact surtout sur de l'acquisition de petits comptes ?

  • Speaker #0

    Ouais, ouais, ouais. En fait, je vais te raconter deux histoires. Mais en gros, globalement, en self-service, donc les gens qui vont sur le site, qui payent sans qu'on leur parle, etc. Cette stratégie, elle fonctionne archi bien parce que c'est facile, tu vois. C'est-à-dire que je n'ai même pas besoin de parler aux gens. En fait, ils ont vu tellement de vidéos et tout qu'ils s'auto-closent.

  • Speaker #2

    Encore une fois, ils ont confiance.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça en fait, parce que tu as la confiance et tu as peu de choses à perdre. Quand tu as un essai gratuit, tu perds un peu de temps si ça ne marche pas. En fait, après par contre, pour donner un exemple assez intéressant, quand j'ai commencé... à produire du contenu sur LinkedIn, parce qu'au début, c'était plutôt LinkedIn et un peu YouTube, je parlais uniquement de sales. Donc, prospection, je parlais que de ça. J'étais moins top of funnel, entrepreneuriat et tout. Aujourd'hui, je dirais que je parle entrepreneuriat, marketing, sales. Ça va être mes gros sujets ou grosses, ça dépend comment on veut l'appeler. Mais en fait, à l'époque, après peut-être six mois à poster du content, Il y a un mec qui me contacte, VP Sales chez Zendesk, donc tu vois, grosse boîte américaine, etc. Enfin, coté en bourse, mais boîte européenne initialement. Et du coup, il me parle et il me dit Ouais, genre, j'ai vu ce que tu fais sur la prospection, on a un nain, je vois en plus qu'il y a Freshdesk qui est concurrent chez nous et qui vous utilise. Je serais curieux qu'on en discute, tu vois. Et du coup, un, deux, trois, quatre, cinq meetings. Au final, ils sont closés, ils commencent à nous utiliser, des résultats de ouf, machin. Ça, tu vois, pour moi, c'est de l'Enterprise. Enfin, tu vois, c'est un équivalent Enterprise. Et en fait, au bout d'un moment, je me dis, putain, je vais lui demander quand même, comment tu as entendu parler de l'Aimlist, tu vois, parce qu'on n'était pas si gros que ça à l'époque. Et en fait, il me dit, non, mais je vois ton contenu tout le temps sur LinkedIn. Et genre, je me suis tapé six mois de mes posts à extraire parce que je scrappais tous les likes, tu vois, des gens et tout. Jamais il n'avait liké un de mes posts. Mais par contre, il le voyait, tu vois. Et ça, c'est un truc, peu importe le type de compte que tu vas targeter. Là, je le vois aujourd'hui et je peux te donner des exemples très concrets. C'est que mon audience, en fait, elle est beaucoup plus large que le type de contenu que je fais. Donc, par exemple, je vais me dire, tiens, ce contenu, il est vraiment pour les CEOs. Tu vois, en mode, je vais parler de la partie finance d'un exit. Donc, tu vois, c'est un truc qui est quand même assez spécifique. Tu vois, en mode... Qu'est-ce que c'est les préférés de stock ? Tu vois, genre je vais parler d'un truc assez précis que j'ai découvert, que j'ai appris, que j'ai envie de partager parce que pour pas que d'autres gens se fassent niquer, tu vois potentiellement. Ben en fait, là-dedans, tu vas avoir des head of sales, des VP sales, des CMO, des mecs en fait qui juste sont intéressés par le business, qui vont trouver le post archivaluable et qui pour eux vont se dire putain tiens j'ai appris un truc, Guillaume il m'a appris un truc, c'est cool. Et donc la prochaine fois que je fais un post, et c'est pour ça que tu vois je varie aussi dans mes posts, Des fois, je vais faire des posts où ça va être chopé. Par exemple, tu vois, on a un hub avec des campagnes de nos users. Donc, les gens peuvent voir les séquences qu'ils ont faits et ils peuvent dupliquer la séquence directement dans leur plateforme Lame List. Ça, je vais faire un post, tu sais, comment and get. Donc, je demande aux gens de commenter et ils auront un lien. En vrai, ce lien, il est accessible à tous. Mais quand tu fais ça, tu as un reach qui est beaucoup plus grand. Ça, tu vois, ça va driver peut-être. Je ne sais pas moi, entre 5 et 10 000 personnes qui sont relevant sur cette page. Là-dedans, tu as des centaines de personnes qui vont créer des comptes. En fait, dedans, oui, il va y avoir des solopreneurs, etc. Mais tu as des équipes sales aussi, tu vois. Et après, je fais un post demain où je dis, j'ai envie de discuter avec des CMO, CRO, Head of Dimension parce que je suis en train de lancer X, Y ou Z. Mon agenda, il est booké full, tu vois. Et en fait, c'est un truc, tu vois, j'ai vachement bataillé entre est-ce que je fais que du tofu pour avoir l'audience la plus large ? Et en fait, comme tu ratisses archi large, les gens, ils vont forcément voir ton... Parce que les gens, on est curieux. Donc, tu vois, quand tu as un poste qui a beaucoup de reach, tu vois, là, j'ai fait un poste, je ne sais pas, il a dû faire 4 millions de reach. Oui, forcément, ça génère des dizaines de milliers de vues sur ton profil. Parce que les gens, ils ont envie de savoir qui tu es. Et quand ils vont voir qui tu es, ils regardent ta boîte et ta boîte, tu vois, et ainsi de suite. Donc j'ai vachement bataillé entre est-ce que je fais que du tofu ou est-ce que je fais que du ultra actionnable pour être en mode très très niche et avoir que des gens dans ma niche et être reconnu, etc. Et en fait, la vérité, c'est qu'aujourd'hui, vu comment fonctionnent les algos, selon moi, il faut que tu fasses les deux. Parce qu'en fait, le ultra broad va te rapporter des gens qui feront partie de ta niche sur ce que tu as envie de convertir. Et donc, en fait, quand tu fais de l'ultra broad et du niche, en fait... t'as des postes qui sont là pour convertir et qui vont avoir potentiellement beaucoup moins de likes, mais toi tu t'en fous tu vois le poste à 4 millions de vues en fait moi c'est un poste je m'en fous ça me passe au dessus de la tête, par contre ça a fait grossir mon audience et dans les gens qui m'ont découvert via ce poste quand je vais faire un poste pour vraiment convertir, closer sur un webinar, une masterclass peu importe, ils le verront et dedans il y en a qui vont convertir Et donc en fait, on parle souvent genre 80-20, etc. Sur les réseaux sociaux, je pense que ce n'est pas 80-20. Je pense que c'est mieux si tu fais, allez, soit tu fais du 95-5 ou du 90-10, mais ça marche très bien, tu vois. Et nous, aujourd'hui, je pense, tu vois, dans l'univers du software, tu vois, on a dépassé 26 millions de revenus récurrents annuels. On projette un peu plus de 10 millions d'euros d'EBITDA. à la fin de l'année, en fait, des marches comme ça, ça n'existe pas, tu vois. Et la raison pour laquelle nos campagnes fonctionnent si bien, notre reach, c'est parce qu'en fait, un, les gens ne savent pas écrire du contenu. Les gens ont peur d'utiliser leur profil pour écrire du contenu. Et donc, du coup, ça reste en fait une mine d'or. C'est que sur LinkedIn, en fait, les gens sous-estiment de ouf LinkedIn, tu vois. Mais en fait, LinkedIn, ce n'est pas LinkedIn Ads. LinkedIn, c'est créer du contenu et tu peux te faire, mais... énormément de thunes, tu peux générer énormément de leads et les gens, ils ne s'en rendent pas compte parce que, en fait, déjà, il y a plusieurs raisons pour ça. Une des raisons principales, c'est LinkedIn. Quand tu bosses en entreprise et je pense qu'en startup, on l'oublie vachement, mais moi, tu vois, j'ai bossé, je suis Procter & Gamble, Hermès, à l'ancienne et tout, ben en fait, tu as des sites que tu ne peux pas consulter quand tu es sur ton ordinateur. Par contre, LinkedIn, c'est le réseau social des entreprises, donc... Tu ne peux pas aller sur Facebook. Moi, chez Procter, je ne pouvais pas aller sur Facebook ou sur TikTok, Insta et tout. Par contre, tu pouvais y aller sur un tel si tu voulais, mais globalement, sur l'ordi, tu ne peux pas. Par contre, être sur LinkedIn au taf, c'est totalement accepté. Et donc, LinkedIn, ils ont un nombre de lurkers, donc de gens qui regardent du contenu et qui passent du temps dessus. Leurs chiffres, ils sont insane, tu vois, en active user, etc. Mais le pourcentage de gens qui créent du contenu, c'est quasiment zéro. Alors qu'Instagram, tout le monde a envie de partager sa life, tu vois. Enfin... T'as des lurkers évidemment sur Insta, mais t'as beaucoup de gens qui sont là, même s'ils ont un compte un peu privé et tout, je mets mes photos de vacances, de mon chien et de ce que je suis en train de manger. Donc en fait, forcément, le volume de contenu créé sur Insta, il est tellement plus grand que la compétition est tellement plus grande versus sur LinkedIn où honnêtement, même si ton post est nul et que t'as pas un gros réseau, je pense que tu feras des centaines, voire des mille, deux mille, trois mille vues. c'est accessible à tous, tu vois. Vraiment. Et après, tu peux monter dans des sphères qui sont des centaines de milliers de vues si tu passes du temps, que tu investis et tout, tu vois. Je dis pas que c'est facile, mais c'est faisable, tu vois.

  • Speaker #2

    Complètement. Donc toi, dans ta team, t'as la partie data, la partie PM, la partie paid, la partie PLG. Donc la partie PLG, j'imagine que c'est beaucoup le sujet de la grosse loupe que t'expliquais tout à l'heure.

  • Speaker #1

    Non, c'est un autre sujet. Donc sur la partie data, il nous manquait quand même un data analyst en recrutant Joshua. qui est très bon et là on est en train de migrer en fait on a utilisé tu vois l'enjeu c'est au bout d'un moment en fait T'as tellement d'outils, t'as vraiment besoin d'avoir un gros engineer, donc là c'est quelqu'un en interne, Luc Camilleau, qui s'en occupe, pour s'assurer que toutes les sources de données soient bien mappées entre tes différents outils, parce qu'en fait, au bout d'un moment, t'as plein de transit, t'as plein de workflow qui pètent, c'est l'enfer. Bien sûr. Donc t'as vraiment besoin de poser ton truc à plat, de dire, ok, t'as Bitcoin, t'as Segment, t'as machin. Tu vois, même sur des... Tu vois, typiquement, il y a une semaine, sur les fournisseurs, on se rendait compte que, je sais pas, t'as plus de 50 champs de spots qui sont enrichis. Au fait, on se rendait compte que les champs n'étaient plus enrichis, donc... Donc tu as besoin d'avoir vraiment un système d'alerte, ce qu'on a donné en monde pas, qui soit précis, et qu'on industrialise le process pour éviter ce type de problème qui est multiplié par le nombre de channels que tu as. Donc Data Analyst, là on fait un peu le shift de... On avait Postog, qui était pas mal, mais ça répondait pas au plusieurs use cases. Donc là on prend Mixpanel, on le plug sur la plateforme, et tu vois l'idée c'est d'aider les AM à identifier des segments du sata intéressants pour faire de l'upsell. Alors qu'avant, ils avaient plutôt des rendez-vous de manière un peu chronique avec les clients. Donc comment le market peut les aider à faire ça ? Et le PLG, on va le lancer demain. C'est sur un produit spécifique qui s'appelle les ACV. Donc les ACV, c'est pareil que le bilan carbone, sauf que c'est pour les produits. Si je caricature, c'est plus pour des boîtes d'industrie. Je t'en ai un petit peu parlé.

  • Speaker #2

    Il y a aussi une particularité de concernant, c'est que du coup, tu es le CEO qui incarne sa boîte.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #2

    Et ça tu penses que, enfin j'en reviens du coup, c'est là où je voulais ouvrir un peu la porte du ROI du contenu.

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #2

    Je sais pas si vous êtes vraiment en mesure de le quantifier et tu vois moi, pour info, moi je suis un peu contre quantifier complètement. Ouais. Surtout quand t'es sur du multicanal. En fait on en revient à ce que tu disais tout à l'heure. En fait tout ça, ça participe à la confiance, ça participe bien évidemment à ma conversion etc. De dire mon Insta c'est tant de pourcentage de mon CA et machin. C'est peut-être un peu too much, mais toi en tant que CEO de boîte, tu vois que le fait que toi tu incarnes ta boîte, quel est l'impact derrière aussi sur le revenu de la boîte ?

  • Speaker #0

    Déjà il y a plusieurs trucs, il faut savoir que nous à l'échelle de l'équipe, on est quand même beaucoup à poster dans la boîte, donc tu vois on est une dizaine et on doit reacher, ça se compte en dizaines de millions, chaque mois les personnes... Non, peut-être maintenant un peu moins avec les changements d'algo. Je n'ai pas envie de dire de la merde, mais bon. On va dire par quarter, tu as au moins 15 millions de personnes qui sont riches via les comptes de la boîte. Donc déjà, plusieurs personnes dans ta boîte peuvent documenter ce qu'ils apprennent, créer de la trust, et ce n'est pas forcément réservé aux CEOs. Ça, c'est un point qui est quand même assez important parce que je pense qu'après, on en parlera. Peut-être que c'est du futur de la prospection et tout, mais ça, je pense que c'est assez clé. Ensuite, ta question, c'était sur...

  • Speaker #2

    En tant que CEO, le fait de toi incarner l'impact que tu vois sur le fait que ça génère du business,

  • Speaker #0

    le fait que c'est toi qui fasses le contenu. La partie ROI, etc. Donc en fait, le ROI, c'est que la boîte, je l'ai montée solo jusqu'à 1 million d'ARR. Et donc, je faisais de la prospection, mais aussi beaucoup de contenu. Donc, ce que j'avais par la prospection, en fait, le ROI, il est à différents niveaux. Le ROI, c'est Guillaume qui lance sa première campagne de prospection et qui tape... Je passe 5% de taux de réponse en faisant 5 à 10% de taux de réponse en faisant de l'ultra personnalisation. Et Guillaume, six mois après avoir écrit du contenu, qui prend les gens qui visitent son profil et qui ont potentiellement liké un de ses posts ou commenté un de ses posts et qui tape 50% de meeting book, tu vois. Donc, le ROI, je le vois évidemment dans l'évolution de mes campagnes. Le ROI, je le vois directement sur la top line, donc le MRR, combien on fait de cash. Et donc, moi, le ROI, en fait, j'en suis conscient. Est-ce que je le mesure ? Non, parce que c'est impossible à mesurer. Et aujourd'hui, il y avait un truc que j'avais mis, mais je pense que ce qui est underrated, c'est des marketeurs qui ont du goût, et ce qui est overrated, c'est des marketeurs qui maîtrisent soi-disant la data, ou qui sont data-driven. J'adore. Mais vraiment, en fait. J'adore. Mais pour scaler ça, c'est dur. Et en fait, ça, j'y suis... J'ai eu pareil, tu sais, tu as toujours des phases un peu de schizo, quoi. C'est qu'il y avait des moments pendant très longtemps, tu vois, avec l'équipe, j'étais là, genre, on ne mesure pas, en fait, et je m'en fous. Parce que tant qu'on a de la croissance, en fait, ce qu'on fait, ça fonctionne, tu vois. Le seul problème de cette mentalité, et tu vois, nous, on l'a vu aussi, c'est qu'il y a eu un moment où on a eu un plateau, tu vois. Et moi, je pensais que ta croissance a été exponentielle et que ça restait à vie. Sauf que la croissance, c'est des S-curves. Donc, tu as évidemment une exponentielle. Mais tu as toujours la bosse du S, tu vois, qui fait mal quand tu es en haut. Et c'est pour ça qu'il faut trouver ton next X curve. Et quand tu ne mesures rien, le problème, c'est que c'est dur. Et moi, personnellement, en tant que CEO, j'ai envie de te dire que ça ne me dérange pas trop. Parce que je me dis que j'ai la conviction que ce qu'on fait... À partir du moment où je considère que c'est quali et que ça apporte de la valeur, je suis fine avec ça. Pour les équipes, par contre, c'est beaucoup plus dur. Ah bah, c'est clair. Parce qu'eux, en fait, au bout d'un moment, quand tout marche... Parce que nous, en fait, si tu veux, on a un système pareil, tu vois, de rémunération qui est un peu différent. Donc, tout le monde a des fixes que je considère, genre, assez bien payés de façon générale. Et en plus de ça, dès qu'on atteint des milestones à l'échelle de la boîte, tout le monde prend... L'objectif, c'est que tous les quarters, tout le monde prenne 3 000 euros en plus de son salaire. Tout le monde. Donc, ça va genre des devs, aux marketeurs. Tu vois, on ne fait pas genre de bonus individuel. Et en fait, quand la boîte, du coup, elle est sur un peu un plateau, les gens, tu vois, ça les frustre parce qu'ils n'ont pas ça, etc. Et tu peux le comprendre, même si toi, tu te dis, ben non, genre, on va essayer de faire mieux, on va essayer, tu vois, de se challenger et tout. Le fait de rien mesurer, des fois, ça crée un peu de la frustration.

  • Speaker #1

    Et en fait, on avait parlé avec Brian Alligan, qui est le CEO de HubSpot, ou l'ex-CEO, je ne sais plus, parce qu'il était un peu une consécration, tu sais, genre quand tu utilises... Ah, ça coche, là. C'est assez marrant de le voir, c'est parce que mon CEO lui a envoyé un email pour qu'il le mentore, etc. Ils avaient fait des calls et il a vu la gentillesse de nous inviter, moi et d'autres personnes de l'équipe. Et c'était marrant quand ils se spotent au quotidien de voir le mec qu'il a créé. Et lui, il nous avait donné un conseil. Enfin moi, tu vois, le Biancavon, c'est quand même un produit très complexe. Donc tu vois, c'est pas comme du Lemnis, par exemple, où en fait, tu peux tester le produit assez facilement. En fait tu peux le lancer facilement mais tu as besoin d'être carré au niveau de ton contenu, tu as besoin que tout s'enchaîne bien, que l'effet wow soit très rapide. Dans le cas du bilan carbone, on a pensé à des trucs mais c'est quand même des produits complexes qui demandent beaucoup de catégorisation de données, où tu as des accompagnements de consultants. Donc c'est quand même pas un produit où tu vas avoir un effet wow en deux secondes. C'est des trucs genre, boum, tu apportes un fichier, tu as un tableau, tu vois. Ok, pourquoi pas, mais ça soulève une montagne de problèmes. Donc, le chemin contourné par rapport à ça... C'était de se dire, ok, on peut peut-être le tester sur un autre de nos produits. Il y avait une histoire assez marrante là-dessus, c'est que les ACV, c'est aussi un énorme marché. Et en fait, les ACV, c'est un peu la déclinaison de l'API de l'app. En fait, on a écrit une spin-off de Gany qui s'appelait Willow, qui était uniquement basée sur la partie ACV. Et en fait, eux, ils étaient vraiment sur la partie API, sauf qu'ils ont fait exactement le même raisonnement intellectuel que nous. Ils se sont rendu compte qu'en gros le B2B c'était plus rentable que de l'API où tu vas t'adresser à des consommateurs. Donc ils ont commencé à faire des ACV. Ce qui fait qu'on a dû réintégrer cette boîte au sein de Greenly. Et tu sais on se disait on a créé un concurrent sur la partie ACV. On était là c'est quand même très fort. Mais du coup ce qui est cool c'est que tu vois en autonomie ils ont développé leurs produits. Donc on l'a réimbriqué au sein de Greenly. Ce qui nous a fait gagner énormément de temps. Et plus ils ont recruté des personnes en parallèle donc c'était pas très rare. mais c'était quand même assez marrant. Et du coup, on va faire un test demain, on va ouvrir l'ensemble du site, donc n'importe quel utilisateur qui a reçu le site internet sur la partie ACV pourra avoir une première expérience avec le produit. Donc là, en termes d'étapes, tu as quand même besoin d'être carré sur, par exemple, c'est quoi ton effet RAW ? En gros, de le définir, c'est quoi ? Au bout de combien de temps un utilisateur peut le voir ? Et comment tu traques le bas de ton funnel, enfin le haut de ton funnel, pardon, quand tu as quelqu'un qui va s'inscrire ? jusqu'à l'effet waouh et le nombre de calls clients qu'il y aura avec une personne. Et là l'idée c'est au fait, l'effet waouh c'est en fil des templates. Tu as 250 templates sur différentes catégories de produits. Par exemple tu as un template d'émission de t-shirt, tu t'appuies dessus et en gros c'est déjà catégorisé pour toi. Et à la fin en fait tu as un rapport du poids carbone de tes produits avec un système de récompense. Et tu peux le download. Et en gros l'effet waouh c'est ça tu vois. Et ça c'est un test qu'on va mettre en place sur cette verticale et vu qu'on a quand même un trafic sur le site internet qui est assez important, quand on regarde le taux de conversion par exemple des différentes pages, tu fais une estimation grosso modo de ta tendance utilisateur, t'as celui-là, le produit est assez simple à prendre en main et t'as une possibilité de réserver une démo avec un call avec des sites pour t'aider plus toute la mécanique de ShandyMate. Et après ça tu vois, là c'est vraiment la version MVP simplifiée mais on va rajouter énormément de briques. Tout un système de médaille, comment tu vas plus loin, des simulations de produits, etc. Mais du coup, c'est un premier test qui est fait sur cette partie. Ce qui sera concluant ou pas, hypothétiquement oui, mais c'est ce qu'on va découvrir. C'est quand même un produit aussi assez complexe à prendre en main.

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