Description
Pour celles-et-ceux dont l’absence d’un être cher fait voir le monde en Bleu… Ne perdez pas l’espoir. Rappelez-vous que chaque porte peut cacher une silhouette familière. Il vous suffit de la laisser entrer.
Il s’agit d’une chanson aux allures de berceuse enfantine — un conte onirique où tournoient dragons et châteaux, papillons et oiseaux bleus. Sous ses couleurs d’enfance se cache pourtant une mélodie plus grave, où chaque mot semble suspendu entre rêve et réalité.
Derrière la douceur du récit s’étend une ombre : celle d’un monde vu en bleu, teinte de nostalgie et de mélancolie. L’histoire suit un être dont les rêves se sont assombris à la mort d’un petit oiseau bleu — messager d’un autre monde, porteur d’un anneau mystérieux. L’absence de l’être aimée prend les traits d’un oiseau privé de son envol. Guidé par cette vision, il traverse des royaumes fantasmagoriques, affronte des dragons et un roi aux larmes empoisonnées, jusqu’à plonger dans les ténèbres mêmes de l’âme.
Puis, soudain, le rêve s’interrompt. Le bleu s’éteint. L’homme se réveille dans une chambre d’hôpital — retour brutal à la réalité, au bord du silence. On comprend alors que le voyage n’était qu’une dérive intérieure, celle d’un cœur qui a voulu s’éteindre.
Mais dans ce silence, une présence frappe doucement à la porte. Sa meilleure amie. Et lui, d’une voix faible mais vivante, dit : « C’est t’ouvert. »
Ces mots, en langue des oiseaux, se transforment : c’est tout vert.
Le bleu du chagrin s’efface alors devant le vert de la vie — couleur de l’eau, de la renaissance, de l’espoir.
Ainsi, la mort se fait passage, et la douleur, promesse de recommencement, laissant place à la vie.
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