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La fragilité d’un artiste à nu sur les réseaux

La fragilité d’un artiste à nu sur les réseaux

26min |17/10/2025
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La fragilité d’un artiste à nu sur les réseaux

26min |17/10/2025
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Description

Il est temps de dire les choses !!

Dans cet épisode, je parle sans filtre des revers du digital : les critiques, les comparaisons, la pression de devoir être “parfait” ! Je te partage ma vision, mes émotions et quelques vérités qu’on oublie souvent derrière les écrans.


Je suis vrai et sans filtre, pour tous ceux qui refusent de se travestir pour être aimés.

Je suis moi-même et ça plait tant mieux, ça plait pas ok et alors ?

#authenticité #êtresoi #podcastfrançais #sansfiltre #vraieparole #réseauxsociaux


QUI SUIS-JE 
❀ Je ne suis ni freelance, ni millionnaire. 

❀ Juste un simple jeune de 23 ans qui partage son quotidien.


MES RÉSEAUX SOCIAUX
Instagram ➣ https://www.instagram.com/timcos2909/

Site Internet ➣ https://timcos.fr/

Adresse mail de contact ➣ tomvlog34@gmail.com


🎔🎔𝗥𝗗𝗩 la semaine 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗮𝗶𝗻e 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘂𝗻 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹 𝗲́𝗽𝗶𝘀𝗼𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗕𝗶𝘇𝘇𝘇𝘇𝘇🎔🎔


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ouais, c'est moi

  • Speaker #1

    Hello les gars Je crois que vous allez tous très très bien Bah écoutez, moi ça va Aujourd'hui on se retrouve pour un nouvel épisode Donc là je suis venu avec mon Attendez je m'étouffe, attendez, attendez Une diva s'étouffe quand même, attendez Oh my gosh Reste en vie Believe in your dream, believe in yourself Non, oh je suis une vraie folasse aujourd'hui Du coup les guys, je suis trop content de vous parler Je suis excitin du cul. Non, je rigole. Pas du tout, calme Thomas, calme-toi. Canalisation des émotions, très important. Du coup les guys, j'espère que vous allez bien. Donc là, je suis dans ma voiture, parce que vous savez que malheureusement, j'enregistre mes podcasts dans ma voiture. J'ai pris l'habitude. Bref, j'en ai déjà parlé, donc on ne va pas rentrer là-dedans. Dans cet épisode, les guys, encore une fois... C'est évident et il est clair que je n'ai pas fait de thématique précise pour cet épisode. Donc on va parler un peu de tout, de ce qui se passe en ce moment un peu dans ma vie, mais rapidos. Mais je voulais quand même vous faire cet épisode parce que j'ai envie d'être régulier. J'ai envie d'avoir une certaine régularité et une permanence, on va dire ça, avoir une permanence régulière. Je pense que ça se dit, je pense que c'est français pour mon podcast. surtout que Je suis trop content les guys. Alors attendez, attendez, attendez. On va mettre le jingle avant. Comme je dis à chaque fois, take your little cozy and let's go. Les guys, du coup, first point. Je suis trop content parce que maintenant, quand je tape cozy podcast sur Google, il ne me le trouvait pas. Et maintenant, quand je tape cozy podcast sur Internet, il me met enfin Enfin, les recherches de mon site internet, Apple Podcasts, Spotify, Anchor et d'autres que je ne connais pas mais qui sont sûrement partagées sur d'autres plateformes, je suppose. Je suis trop content. Je suis trop content. Ça veut dire que c'est en train de marcher, que ça évolue étape par étape et je suis mais very excited. J'adore. Donc là, je suis dans ma voiture. J'ai mis le chauffage. Je vais l'éteindre parce que l'essence m'inzit. Du coup les guys, je pense que vous devez sûrement capter que j'ai un... Le son est peut-être meilleur, je sais pas. Je pense qu'il est meilleur. En fait, c'est mon... C'est le micro... Le micro de la marque... Je sais plus la marque que c'est. Moi j'avais... Je sais plus la marque que c'est. En tout cas, c'est la marque Rode. Voilà, c'est le micro de la marque Rode. Le micro poche. Micro cravate poche de la marque Rode. Là, je suis dans ma voiture. Je vais vous parler un petit peu. Je suis... pas mal de choses à vous dire. Déjà, dans un premier temps, la régularité. Du coup, juste pour vous dire que mon leçon doit être meilleure, je ne sais pas, en tout cas, j'avais envie de changer pour voir. Dites-moi en commentaire ou envoyez-moi un DM sur mes réseaux sociaux. C'est Timcoz2909, mon Instagram. Ou sinon, vous me laissez un petit commentaire sur Apple Podcast ou Spotify Podcast, comme vous voulez. Mais n'hésitez pas vraiment à interagir, à mettre des étoiles aussi. et à évaluer mon podcast. Soyez honnêtes parce que, voilà, au moins, vous le notez. Si vous voulez me déglinguer, vous me déglinguez. Et si vous le trouvez intéressant, n'hésitez pas, vraiment, parce que j'ai beaucoup d'écoutes, mais je n'ai pas beaucoup de personnes qui m'aident des étoiles, qui s'abonnent. Vraiment, n'hésitez pas parce que ça peut me permettre, du coup, je parle très vite. Ça peut me permettre de monter dans le classement, d'avoir un meilleur visionnage et d'être plus... d'avoir une amplitude de partage en automatisme par les plateformes donc je pense... Ah j'ai un moustique qui vient de rentrer dans ma voiture Ah bah oui j'ai mes lumières qui sont allumées aussi Oh l'horreur Oh non Non Il va me piquer, il va me bouffer Elle ne veut pas s'éteindre, elle ne veut pas s'éteindre les lumières Et tenez-vous s'il vous plaît

  • Speaker #2

    Et, et

  • Speaker #1

    On s'en fiche Puisque je vous disais Ah ça y est, ok j'ai compris, j'ai compris Ok je crois que j'ai compris Et euh Et du coup, ouais, donc là, on va voir où ça... Il ne veut pas sortir. Allez ! Tiens, ce n'est pas possible, ça. Ça va être des moussiques de merde comme ça, là. Du coup, les gars, je vous disais que je suis content pour la régularité. Il faut que ça continue. Il ne faut pas que je baisse les bras. Et on continue ensemble, on progresse ensemble. Et je vais vous prouver qu'on peut réussir en partant d'en bas. Il faut avoir de l'ambition. Il faut continuer à croire en ses rêves, à croire à ce qu'on est capable, ne pas écouter les autres. On est notre seul arbitre. Il n'y a que nous qui pouvons décider réellement de ce que nous sommes capables. Personne ne peut juger de quoi on est capable et personne ne peut dire ce qu'on doit faire ou ne pas faire. indirectement. Après, si on est sous tutelle au curatel, là, c'est autre chose. Mais je parle de 98% des cas, on est nous-mêmes notre propre arbitre, clairement. Si on est dans le négatif, il y aura du négatif qui va arriver, c'est tout à fait... C'est même la loi de l'attraction, c'est normal. Quand on est très négatif, il n'y a que de la négativité qui nous retombe dessus. Et quand on est positif, qu'on essaye de positiver au max, les choses positives nous arrivent. Là, je ne vais pas entrer dans les détails, mais je vais peut-être avoir un appartement. Pour ne pas vous rejouer, excusez-moi, je suis naturel avec vous. Parce que quand je vous parle, ça prouve que quand je parle au micro, ça me détend tellement. En fait, je me relaxe, je me pose, je prends du recul sur les choses, je pèse les mots. Quand je pèse les mots, c'est-à-dire que je ne suis pas une folasse qui parle. Bon, ok, la petite folasse du coin peut revenir. Voilà. mais il faut être sérieux c'est important d'être sérieux quand même surtout que j'ai fait un entretien récemment bon je ne vous dirai pas dans quelle case dans quelle cause mais j'ai fait un entretien récemment et on m'a dit qu'il fallait que j'arrive à canaliser mes émotions, que j'étais une personne qui avait beaucoup de peps, beaucoup d'émotions qui débordait de créativité ça on me l'a toujours dit et qu'il fallait que j'arrive à canaliser mes émotions parce que pour un certain type de post il faut savoir prendre du recul et être calme Merci. Le problème, c'est que je suis quelqu'un de calme, je suis quelqu'un de calme, de travaillé, avec de la mature idée. Après, je n'ai pas besoin de me justifier ici de pourquoi mon entretien s'est bien passé, mais je n'ai pas été pris. Là n'est pas la cause. La cause est que je pense que je suis jeune, que j'ai eu 23 ans, et c'est sûr qu'ils préfèrent peut-être prendre une personne qui a 15 ans de plus que moi, qui a peut-être une quarantaine d'années, ou 35, ou 40 ans, qu'un jeune de 23 ans. Je peux tout à fait comprendre. La personne de 23 ans n'a pas encore tout vu, elle manque encore de maturité et je peux comprendre. Mais dans le sens où moi je trouve ça dommage, parce que je trouve ça dommage dans le sens où je pense qu'il faut faire un peu évoluer les mentalités. Après je ne critique pas la décision qui a été prise par cette direction et par ces ressources humaines. Attention bien évidemment, on est bien d'accord. Mais je pense qu'il faut donner la chance aussi un peu aux jeunes, dans le sens où je pense que les jeunes ont quelque chose à apporter. Je pense que les jeunes ont de la fraîcheur à apporter. Et justement, je pense qu'il faut savoir donner la chance aux jeunes et justement leur apprendre le métier, pas leur apprendre la vie. Attention, mais leur apprendre le métier. En plus, nous les jeunes, c'est nous l'avenir de la France. L'avenir de la France, ce n'est pas les personnes... Pardon, attention, je ne critique personne. Il faut dire les choses. L'avenir de la France, ce n'est pas les personnes qui ont 40, 45 ans, 50 ans. L'alliant de la France, c'est les personnes qui ont 18, 20, 25, 30 ans, qui rentrent sur le marché du travail. Sauf que maintenant, on est la génération Z, on est trop mal vu. Parce que je ne suis pas millenial, je suis né dans les années 2000, je suis né en 2002 exactement. Les années 2000, 2002, je trouve pour ma part, déjà au début, certains sont un peu perdus, ils ne savent pas où ils veulent aller, mais pour d'autres, on est très mal vu. La génération Z, on est mal vu. On est catégorisé comme instable. Je parle pour ma expérience, même quand je parle avec des copines, quand je vais boire des verres avec des copines, mais pas tout le temps. Et attention, l'habit d'alcool est dangereux pour la santé, je précise. On a l'impression que les personnes qui ont entre 20 et 30 ans, ou un peu moins, c'est 20-25, 20-26, on est mal perçu quand on veut postuler à une société, à un poste, quand on se propose à des stages, à des alternances. Et en fait, c'est le motif de refus. On ne nous le dira pas, en fait, réellement. Et ça, je trouve ça dommage. Et ça, j'ai l'impression que c'est aussi un peu à cause des réseaux sociaux, parce que les réseaux sociaux, ils ont propagé des images et une vague de personnes qui étaient dans la génération Z, qui, en tout cas pour ma part, ne me ressemblent pas. Vous voyez, j'ai vu des TikTok la dernière fois, où c'est une fille qui disait qu'elle faisait 8h, 16h30. 16h30, c'était la première devant la porte pour partir. Et ça, c'est la nouvelle génération Z. Ben non. moi je ne fais pas comme ça, moi je fais des heures sup moi je kiffe mon travail je ne suis pas là à partir déjà à 14h ou à 16h30 ou à me préparer déjà mes affaires comme quand j'étais en cours en études sup, quand j'étais en cours je savais que le cours allait terminer dans 10 minutes je commençais déjà à ranger mes affaires là tu es dans le milieu pro, tu ne commences pas à ranger tes affaires tu danses déjà 5 minutes avant après chacun fait ce qu'il veut bien évidemment mais pour moi il faut toujours en faire un peu plus il faut toujours en faire plus que la majorité Il faut toujours se démarquer, il faut toujours avoir un petit plan B, toujours faire plus que la moyenne. Quand j'étais étudiant, c'est toujours la chose que je me suis dit. Essayer de faire plus que la moyenne. Même si j'avais du mal, j'ai eu du mal. J'ai eu une petite période, une petite période un peu longue d'ailleurs. Un peu compliquée par le burn-out. Mais je me suis remis beaucoup en question. J'ai posé beaucoup de questions sur ma vie, sur moi-même. Je me suis beaucoup recherché aussi sexuellement. Voilà, vestimentairement parlant aussi. Ça, j'en ai déjà parlé. Je ne connaissais pas trop mon style. Je suis passé par plein d'étapes. Je suis passé par l'étape gothique. Gothique, pas gothique, mais classe, sexy. Je portais des talons. Je portais des talons un peu punk. Je portais des talons noirs dark. Je pouvais faire des maquages très dark. Je pouvais m'habiller hyper blanc, hyper sainte, hyper petite plume de la nuit. Je me cherchais, en fait. Je me cherchais, je pense, vestimentairement parlant, sexuellement. et j'essayais aussi de faire de main posée, en fait, je pense. Peut-être que je manquais de confiance en moi. Bon, là, je vais beaucoup trop loin, je pars dans tous les sens, mais c'est pas grave. C'est l'art du podcast. De toute manière, cet épisode, il n'aura pas de thème précis. Je parlerai un peu de tout et de rien. Par contre, j'ai déjà quand même à le préciser, je pense que c'est important. Si j'ai du mal à articuler, j'en ai déjà parlé, mais je vous le redis. Je vous tutoie, on se voit ou on se tutoie ? I don't know, I'm so sorry, bitch. Non, du coup, j'ai un problème d'articulation, parce qu'en fait, quand j'étais petit, je me suis fait opérer du frein lingual. Le frein lingual, c'est le frein, c'est le frein, n'importe quoi. C'est le fil qui est en dessous de la langue. En fait, on a dû me l'opérer. Là, je me justifie pour que vous compreniez. Parce qu'on m'a déjà fait la réflexion que je n'articulais pas assez. Et j'essaie de faire vraiment des efforts. En plus... Après cette opération, j'ai fait pendant deux ans de la rééducation maxillofaciale. Je crois qu'on dit comme ça, je ne sais plus. Maxillofaciale, je ne sais plus, je crois qu'on dit comme ça. J'en ai déjà parlé, je me répète presque à beaucoup d'épisodes sur ce sujet, et c'est important. Voilà, c'est comme les personnes qui zozotent, on a du mal. On a du mal, on essaye, on fait vraiment des efforts. Au quotidien, ce n'est pas toujours agréable. surtout en milieu pro aussi, d'essayer de parler clairement devant tout le monde, d'où aussi l'intérêt. Si vous avez écouté mon épisode de podcast que j'ai fait juste avant, je parle de l'art oratoire et que l'art oratoire me plaît. La rhétorique, utiliser le son de sa voix, jouer avec les mélodies, je trouve ça hyper intéressant. Avec mon problématique de frein lingual, je pense que ça peut être hyper intéressant. pour jouer sur l'articulation, sur la méthodologie de langue, d'accentuer les mots, de bien utiliser la langue française, d'utiliser des bons mots, des bonnes techniques de grammaire et d'orthographe française. Je trouve que ça peut être hyper intéressant. Donc voilà, petit point sur ça, au moins on est clair. Donc du coup les gars, je vais changer de sujet. On va partir sur un autre sujet. J'étais au travail et du coup, il y a des collègues de travail qui sont tombés sur mes réseaux sociaux. Donc moi, sur mes réseaux sociaux, il faut savoir que moi, je partage de la mode, de la beauté et du lifestyle. Donc le lifestyle, je partage mon quotidien. Donc je filme mon appartement, je filme mon bordel, mon quotidien. Quand je fais la vaisselle, quand je range, je fais des avant-après. Voilà. Et ça fait partie de mon quotidien. Et j'ai toujours fait ça. J'ai toujours aimé faire ça. Et là, ce n'est pas la semaine dernière. Il n'y a pas un collègue qui me dit

  • Speaker #3

    « Si tu as quelque chose à améliorer, tu as beaucoup de qualité, mais si tu as un défaut, je pense que c'est ton manque d'hygiène. »

  • Speaker #2

    Quand il m'a dit ça, je vous avoue que je n'ai pas trop compris.

  • Speaker #1

    Et je lui ai dit « Attends, tu as dit quoi là ? »

  • Speaker #3

    Il m'a dit « Je trouve que tu as beaucoup de qualité, mais tu as aussi un défaut. » que j'ai pu apercevoir, c'est ton manque d'hygiène.

  • Speaker #1

    Et quand il m'a dit ça, je me suis dit, waouh, le culot. Et en fait, il m'a dit oui,

  • Speaker #3

    parce que j'ai vu sur tes réseaux sociaux,

  • Speaker #1

    et là, j'ai capté direct, j'ai capté direct. En fait, c'est un jugement sur ce qu'il a vu. Il a dit oui,

  • Speaker #3

    mais ce que tu montres sur les réseaux sociaux, normalement, c'est censé.

  • Speaker #1

    Et c'est là, en fait, la problématique. Et c'est pour ça que je fais aussi cet épisode.

  • Speaker #3

    il m'a dit quand tu montres Quelque chose sur les réseaux sociaux, normalement ça fait pour t'embellir, ça fait pour te rendre joli, joyeux, sexy, classe, c'est pas fait pour te dégrader.

  • Speaker #1

    Bah en fait non, moi sur mes réseaux sociaux je suis naturel. Je montre le avant-après, mon appartement, quand il est que j'ai peut-être pas eu le temps de le nettoyer. Et du coup, après, je fais l'aspirateur, le ménage, le repassage, je fais tout. Les WC, les toilettes, je fais tout d'un coup. Ou sinon, je passe un petit coup d'aspirateur vite fait les mercredis. Et après, le week-end, je lave tout. Mais je ne vais pas m'amuser à faire l'aspirateur, le pavé, les vitres tous les jours. À un moment donné, il faut être concret et correct aussi. après s'il y a des personnes qui sont comme ça parfait pour eux. Mais moi, ce n'est pas mon cas. Et je trouve ça dommage. Je trouve ça dommage, cette réflexion. Je l'ai prise en considération. Je l'ai notée dans ma tête. Et du coup, j'en ai parlé avec ma sœur tout à l'heure. Elle m'a dit,

  • Speaker #4

    tu devrais arrêter de montrer des choses intimes de ta vie.

  • Speaker #1

    Le problème, c'est que ça fait partie de moi. J'ai toujours été comme ça. J'ai toujours partagé des choses sur mes réseaux sociaux. Donc, je me dis, est-ce qu'il n'y aurait pas peut-être une limite à ne pas dépasser ? Comme quand on montre des enfants, quand on filme le quotidien des enfants qu'on en a, comme les personnages de télé-réalité qui ont carrément créé des comptes sociaux pour leurs enfants. Et ils postent des photos d'eux en maillot de bain ou en train de rigoler avec des jouets de Noël. Sauf qu'ils ne savent pas qu'il n'y a pas réellement de consentement. Ça, c'est... Ça, c'est mon avis. Attention. Après, chacun a son avis. Pour moi, il n'y a pas de consentement. Le petit ne capte pas ce que tu fais. Autant, dans 10 ou 15 ans, il va être déçu parce que sa vie sera déjà partagée sur Internet. Et en plus, je vais aller plus loin, les guys. En plus, avec l'ère de l'intelligence artificielle, on a de plus en plus de vidéos qui sont fausses ou c'est des bébés qui courent de partout, qui font des vidéos. Enfin bref, c'est des fausses vidéos. Sauf que le visage de la vidéo, il est pris où, ce visage ? Il est pris dans d'autres choses. Je regarde quand même autour de moi parce que même si je suis à l'une aile, je remets la sécurité. On ne sait jamais. Bref, je ne sais pas où je suis parti un peu trop loin, les guys. Mais vous m'avez compris. Il faut faire attention à tout ça. Il faut vraiment faire attention à tout ça. Il faut bien faire les choses, bien réfléchir avant de prendre des décisions. Parce que des fois, il n'y a pas de retour en arrière. À partir du moment où c'est sur Internet, c'est sur Internet. Mais pour moi, en fait, ça fait partie de mon quotidien. J'ai toujours créé des guides depuis que je suis petit. J'ai toujours aimé la création de contenu. J'ai fait de la peinture, j'ai adoré le dessin, je dessinais avec mon papa, j'avais de la pâte à modeler, j'avais des crayons, j'avais plein de stylos, j'avais des feutres de toutes les couleurs, j'avais des mandalas. J'ai toujours été dans le milieu créatif. J'adorais les magazines. Quand j'étais petit, j'adorais les magazines de mode. Je regardais comment c'était fait, les magazines, la manière dont c'était fait. Je trouvais ça juste incroyable. Rien que le magazine pour les petits à l'époque quand je regardais Disney Channel. Comme les grands posters avec Bella Thorne et Zendaya pour ceux qui ont la ref. Zendaya, c'est le café Shake It Up Chicago sur Disney Channel. Ou même Anna Montana by Miley Cyrus. Pour ceux qui n'ont pas l'arrêt, c'est celle qui chante I keep hunting the flowers, la la la, les merveilles aériennes. Bref, vous m'avez compris. Et je trouve ça juste incroyable, la communication, le marketing, la typographie. Ça m'a toujours plu en fait, ce milieu m'a toujours plu. Donc je ne vais pas m'arrêter parce qu'il y a un collègue qui m'a dit je trouve que tu manques d'hygiène, mais je trouve que c'est culotté de me dire ça. Après, c'est son avis. À partir du moment où on s'expose sur les réseaux sociaux, Il faut qu'on s'attende à avoir de la haine ou avoir des gens gentils. C'est obligé. On ne peut pas ne que avoir des personnes qui ont un avis positif. Quand j'entends des personnes qui disent « Alors moi,

  • Speaker #0

    j'ai une communauté, c'est que des amours. »

  • Speaker #1

    Tu as 2 millions d'abonnés, ne me dis pas qu'il n'y a pas 10 ou 2% qui ne te déglinguent pas, ce n'est pas possible. Ou qui ne t'envoient pas des menaces de mort, mais qui ne te disent pas « t'es nul » ou « t'es une merde » ou « qu'est-ce que c'est que ça » ou « j'ai envie de vomir » . Du coup, ça m'a aidé à aller chier. Ça m'a aidé à aller faire caca aux toilettes. J'envoie des trucs comme ça des fois. Et c'est des gens qui sont nuls. Ils n'ont rien à apporter. Ils ne devraient même pas regarder ces vidéos-là. Donc moi, quand j'ai des commentaires comme ça, moi, je les bloque. Et certains, je les signale. J'ai eu des commentaires de haine méchants. Je me suis fait déglinguer. Sur certaines de mes vidéos qui ont le plus marché, j'ai une vidéo qui a atteint presque 300 000 vues, 290 000 ou 303 000 vues, je ne sais plus. Dans les commentaires, je me suis fait déglinguer. Et heureusement que j'ai des personnes que je ne connais pas, qui sont venues en mon soutien. Quel est l'intérêt de poster un commentaire comme ça ? Voilà, après c'est les réseaux sociaux, là c'est encore un grand débat que j'ouvre, je vais le clôturer vite parce que je ne veux pas que cet épisode dure trop longtemps, mais c'est un vrai débat. Est-ce qu'à partir du moment où on va sur les réseaux sociaux et qu'on s'expose, est-ce qu'on peut s'attendre à tout ou est-ce qu'on peut nous-mêmes poser des limites ? Voilà, tout là est l'art des choses, tout là est l'art de la conversation, du dialogue, de bien réfléchir à ce qu'on fait. Est-ce que je le poste ? Est-ce que je ne le poste pas ? Est-ce que si je le poste, je vais regretter ? Est-ce que si je le poste, je ne vais pas regretter ? Dans ce cas-là, on a déjà la réponse de savoir si on va le publier ou pas. C'est super important. Je vais être honnête avec vous. Moi, il m'est arrivé des fois où j'ai fait des épisodes de podcast que je ne voulais pas poster ou des reels que je ne voulais pas poster. Je me suis dit que ça ne va pas plaire. Les choses que je raconte, c'est trop personnel. On peut... Je peux me faire renvoyer par ma société parce que j'ai parlé de moi qui était sous pression, alors que ça n'avait rien à voir indirectement avec la société. Vous voyez, je vais encore une fois dire que je prends des risques à parler de choses comme ça, mais en fait non, parce que j'adore mon travail, j'adore ce que je fais, j'adore me lever le matin pour aller bosser, je fais mes chiffres, je fais mes stats. Mais comme toute société, on a une pression, on a des acceptations, on a des refus, on monte en grade, on monte pas en grade, on prend du temps, on s'intègre. On a des collègues qu'on aime bien, on a d'autres qu'on n'aime pas. C'est normal, c'est pas le monde des bisounours. À un moment donné, il faut arrêter. Pas dans le monde des bisounours, c'est tout à fait normal, on peut pas être parfait. L'être humain n'est pas parfait. Sinon, imaginez, on serait parfait. Les guys, entre nous, on se ferait chier. Si on serait tous parfaits et si on se ressemblerait tous, on se ferait chier, clairement. Mais oui, du coup, venant de la part de mon collègue, ça m'a fait chier parce que je l'appréciais bien, tu vois. C'est hyper gênant parce que je suis dans ma voiture et vu qu'il fait nuit, il y a de la buée qui se met derrière. Il y a des mecs au fond, ils doivent penser que je suis en train de baiser dans la voiture. Pardon, je parle mal, ce qui n'est pas le cas du tout. Je suis juste en train de parler dans un micro. Du coup, je fais de l'air, je dégage de l'air chaud. Et vu que du coup, je dégage de l'air chaud, ils doivent penser que je fais des tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam dans la voiture. Ce qui n'est pas le cas du tout. Bref. Ouais, donc voilà. Sinon, rien de plus à vous dire, les guys. Après, je l'ai clairement dit, je l'adore. Enfin, ce collègue, je l'adore. Attention, ce n'est pas mon ami, mais je l'aime bien. Je lui ai clairement dit que je sais qui je suis, je sais ce que je fais et que si j'ai des conseils à recevoir de quelqu'un, ce serait mon daron et ma mère et personne d'autre, en fait. Je sais ce que je fais, je sais où je vais. Après, j'écoute, j'entends. Et après, c'est à moi de faire la part des choses. Je prends ou je laisse. Mais je suis ouvert au dialogue. Tu veux me donner ton avis, je le prends. Après, j'en fais ce que je veux. Voilà. Mais c'est dommage de se bloquer que à ça. Parce que, encore une fois, je me justifie indirectement. Je ne pense pas avoir un manque d'hygiène. Voilà. Enfin, franchement, c'est ridicule, quoi. Je ne vais pas me justifier ici parce que ça ne sert à rien, en fait. Même d'en parler, en fait, ça me dégoûte. Même de devoir en parler, ça me dégoûte. Mais c'est intéressant d'en parler parce que je pense que ça prouve que les réseaux sociaux, certaines personnes pensent qu'on met sur les réseaux sociaux les choses pour nous embellir. Et après, ce n'est pas méchant parce qu'en fait, je pense que dans la manière dont cette personne me l'a dit, c'était pour me dire, mais pas des choses comme ça, mais des choses plutôt pour t'embellir. Sauf que je comprends. Sauf que moi, je ne suis pas du style à montrer mon appartement quand il est toujours parfait. à filmer mon appartement quand il est toujours magnifiquement rangé, quand il y a la table qui brille. Non, des fois, je le filme, je suis en train de travailler dessus, il y a un peu de poussière. C'est normal. Des fois, je filme, je suis en train de parler, j'ai un, deux, trois casseroles dans le truc. Oui, parce que j'ai mangé à midi et je n'ai pas forcément nettoyé les casseroles tout de suite. Je le ferai le soir. Ce sont des détails que beaucoup de personnes perçoivent et je comprends. Je comprends tout à fait. Mais après, ça se travaille. Enfin, ça se travaille. Ça se travaille dans le sens où, quand je filme, non, même pas, ça se travaille. Même pas. Je vais rester qui je suis. Et voilà. Après, j'ai pris en compte son commentaire et ça s'arrête là. Voilà, clairement. Par contre, les guys, je vais vraiment clôturer cet épisode ici. Par contre, je vais vraiment essayer de faire des efforts, de faire en sorte d'avoir, pour chaque épisode, un thème précis, une thématique précise et de se lancer sur la thématique. N'hésitez pas... à me proposer en DM sur Instagram des thématiques. Et après, à partir de là, moi, je lancerai le dialogue, j'ouvrirai le dialogue et je vous donnerai mes avis, ce que j'en pense, pour vraiment être en interaction. avec vous, clairement, ça peut être super intéressant. Je vais essayer de reprendre les carnets sonores. Les carnets sonores, c'était... C'était... En fait, c'est plein de petits moments que je me filme, que je m'enregistre en audio sur deux mois. Par exemple, je peux parler demain, après demain, dans trois jours, dans quinze jours. Après, je remets tout en un seul audio. Après, je le publie. Et ça fait un carnet sonore sur... 2 mois. Donc ça fait un peu comme un vlog en mode audio sur 2 mois. Et le premier que j'ai posté, il a fait je crois entre 15 et 20 écoutes. C'est pas énorme, mais écoutez, c'est déjà ça. C'est mieux que rien. Donc on va pas se plaindre. C'est déjà ça. Voilà. Donc ça veut dire que plus les jours passent, plus mes stats augmentent. Donc je suis content. Je suis sur la bonne voie. J'ai encore beaucoup de choses à apprendre. J'ai encore beaucoup de choses à m'améliorer. Je continue. Je ne vais pas baisser les bras. Keep going. Keep going. Believe in yourself. Believe in myself. Je suis capable de le faire. Je vais y arriver. Je n'ai pas lâché l'affaire. Je sais où je vais. Je sais ce que je veux faire dans ma vie. Et voilà, tout simplement. En tout cas, merci d'être là, les guys. Merci à ceux qui me soutiennent. Ceux qui sont là depuis le début. Ceux qui repartagent. Ceux qui laissent des commentaires ou qui me suivent sur les réseaux sociaux. Ça me fait super plaisir. Je ne suis pas prêt d'arrêter. C'est que le début. C'est le début de grandes, grandes choses. Donc, comme je vous dis à chaque fois, merci beaucoup. Merci, les gars. Et je vous dis à la prochaine fois pour un nouvel épisode.

  • Speaker #2

    La bise.

Description

Il est temps de dire les choses !!

Dans cet épisode, je parle sans filtre des revers du digital : les critiques, les comparaisons, la pression de devoir être “parfait” ! Je te partage ma vision, mes émotions et quelques vérités qu’on oublie souvent derrière les écrans.


Je suis vrai et sans filtre, pour tous ceux qui refusent de se travestir pour être aimés.

Je suis moi-même et ça plait tant mieux, ça plait pas ok et alors ?

#authenticité #êtresoi #podcastfrançais #sansfiltre #vraieparole #réseauxsociaux


QUI SUIS-JE 
❀ Je ne suis ni freelance, ni millionnaire. 

❀ Juste un simple jeune de 23 ans qui partage son quotidien.


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🎔🎔𝗥𝗗𝗩 la semaine 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗮𝗶𝗻e 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘂𝗻 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹 𝗲́𝗽𝗶𝘀𝗼𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗕𝗶𝘇𝘇𝘇𝘇𝘇🎔🎔


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Transcription

  • Speaker #0

    Ouais, c'est moi

  • Speaker #1

    Hello les gars Je crois que vous allez tous très très bien Bah écoutez, moi ça va Aujourd'hui on se retrouve pour un nouvel épisode Donc là je suis venu avec mon Attendez je m'étouffe, attendez, attendez Une diva s'étouffe quand même, attendez Oh my gosh Reste en vie Believe in your dream, believe in yourself Non, oh je suis une vraie folasse aujourd'hui Du coup les guys, je suis trop content de vous parler Je suis excitin du cul. Non, je rigole. Pas du tout, calme Thomas, calme-toi. Canalisation des émotions, très important. Du coup les guys, j'espère que vous allez bien. Donc là, je suis dans ma voiture, parce que vous savez que malheureusement, j'enregistre mes podcasts dans ma voiture. J'ai pris l'habitude. Bref, j'en ai déjà parlé, donc on ne va pas rentrer là-dedans. Dans cet épisode, les guys, encore une fois... C'est évident et il est clair que je n'ai pas fait de thématique précise pour cet épisode. Donc on va parler un peu de tout, de ce qui se passe en ce moment un peu dans ma vie, mais rapidos. Mais je voulais quand même vous faire cet épisode parce que j'ai envie d'être régulier. J'ai envie d'avoir une certaine régularité et une permanence, on va dire ça, avoir une permanence régulière. Je pense que ça se dit, je pense que c'est français pour mon podcast. surtout que Je suis trop content les guys. Alors attendez, attendez, attendez. On va mettre le jingle avant. Comme je dis à chaque fois, take your little cozy and let's go. Les guys, du coup, first point. Je suis trop content parce que maintenant, quand je tape cozy podcast sur Google, il ne me le trouvait pas. Et maintenant, quand je tape cozy podcast sur Internet, il me met enfin Enfin, les recherches de mon site internet, Apple Podcasts, Spotify, Anchor et d'autres que je ne connais pas mais qui sont sûrement partagées sur d'autres plateformes, je suppose. Je suis trop content. Je suis trop content. Ça veut dire que c'est en train de marcher, que ça évolue étape par étape et je suis mais very excited. J'adore. Donc là, je suis dans ma voiture. J'ai mis le chauffage. Je vais l'éteindre parce que l'essence m'inzit. Du coup les guys, je pense que vous devez sûrement capter que j'ai un... Le son est peut-être meilleur, je sais pas. Je pense qu'il est meilleur. En fait, c'est mon... C'est le micro... Le micro de la marque... Je sais plus la marque que c'est. Moi j'avais... Je sais plus la marque que c'est. En tout cas, c'est la marque Rode. Voilà, c'est le micro de la marque Rode. Le micro poche. Micro cravate poche de la marque Rode. Là, je suis dans ma voiture. Je vais vous parler un petit peu. Je suis... pas mal de choses à vous dire. Déjà, dans un premier temps, la régularité. Du coup, juste pour vous dire que mon leçon doit être meilleure, je ne sais pas, en tout cas, j'avais envie de changer pour voir. Dites-moi en commentaire ou envoyez-moi un DM sur mes réseaux sociaux. C'est Timcoz2909, mon Instagram. Ou sinon, vous me laissez un petit commentaire sur Apple Podcast ou Spotify Podcast, comme vous voulez. Mais n'hésitez pas vraiment à interagir, à mettre des étoiles aussi. et à évaluer mon podcast. Soyez honnêtes parce que, voilà, au moins, vous le notez. Si vous voulez me déglinguer, vous me déglinguez. Et si vous le trouvez intéressant, n'hésitez pas, vraiment, parce que j'ai beaucoup d'écoutes, mais je n'ai pas beaucoup de personnes qui m'aident des étoiles, qui s'abonnent. Vraiment, n'hésitez pas parce que ça peut me permettre, du coup, je parle très vite. Ça peut me permettre de monter dans le classement, d'avoir un meilleur visionnage et d'être plus... d'avoir une amplitude de partage en automatisme par les plateformes donc je pense... Ah j'ai un moustique qui vient de rentrer dans ma voiture Ah bah oui j'ai mes lumières qui sont allumées aussi Oh l'horreur Oh non Non Il va me piquer, il va me bouffer Elle ne veut pas s'éteindre, elle ne veut pas s'éteindre les lumières Et tenez-vous s'il vous plaît

  • Speaker #2

    Et, et

  • Speaker #1

    On s'en fiche Puisque je vous disais Ah ça y est, ok j'ai compris, j'ai compris Ok je crois que j'ai compris Et euh Et du coup, ouais, donc là, on va voir où ça... Il ne veut pas sortir. Allez ! Tiens, ce n'est pas possible, ça. Ça va être des moussiques de merde comme ça, là. Du coup, les gars, je vous disais que je suis content pour la régularité. Il faut que ça continue. Il ne faut pas que je baisse les bras. Et on continue ensemble, on progresse ensemble. Et je vais vous prouver qu'on peut réussir en partant d'en bas. Il faut avoir de l'ambition. Il faut continuer à croire en ses rêves, à croire à ce qu'on est capable, ne pas écouter les autres. On est notre seul arbitre. Il n'y a que nous qui pouvons décider réellement de ce que nous sommes capables. Personne ne peut juger de quoi on est capable et personne ne peut dire ce qu'on doit faire ou ne pas faire. indirectement. Après, si on est sous tutelle au curatel, là, c'est autre chose. Mais je parle de 98% des cas, on est nous-mêmes notre propre arbitre, clairement. Si on est dans le négatif, il y aura du négatif qui va arriver, c'est tout à fait... C'est même la loi de l'attraction, c'est normal. Quand on est très négatif, il n'y a que de la négativité qui nous retombe dessus. Et quand on est positif, qu'on essaye de positiver au max, les choses positives nous arrivent. Là, je ne vais pas entrer dans les détails, mais je vais peut-être avoir un appartement. Pour ne pas vous rejouer, excusez-moi, je suis naturel avec vous. Parce que quand je vous parle, ça prouve que quand je parle au micro, ça me détend tellement. En fait, je me relaxe, je me pose, je prends du recul sur les choses, je pèse les mots. Quand je pèse les mots, c'est-à-dire que je ne suis pas une folasse qui parle. Bon, ok, la petite folasse du coin peut revenir. Voilà. mais il faut être sérieux c'est important d'être sérieux quand même surtout que j'ai fait un entretien récemment bon je ne vous dirai pas dans quelle case dans quelle cause mais j'ai fait un entretien récemment et on m'a dit qu'il fallait que j'arrive à canaliser mes émotions, que j'étais une personne qui avait beaucoup de peps, beaucoup d'émotions qui débordait de créativité ça on me l'a toujours dit et qu'il fallait que j'arrive à canaliser mes émotions parce que pour un certain type de post il faut savoir prendre du recul et être calme Merci. Le problème, c'est que je suis quelqu'un de calme, je suis quelqu'un de calme, de travaillé, avec de la mature idée. Après, je n'ai pas besoin de me justifier ici de pourquoi mon entretien s'est bien passé, mais je n'ai pas été pris. Là n'est pas la cause. La cause est que je pense que je suis jeune, que j'ai eu 23 ans, et c'est sûr qu'ils préfèrent peut-être prendre une personne qui a 15 ans de plus que moi, qui a peut-être une quarantaine d'années, ou 35, ou 40 ans, qu'un jeune de 23 ans. Je peux tout à fait comprendre. La personne de 23 ans n'a pas encore tout vu, elle manque encore de maturité et je peux comprendre. Mais dans le sens où moi je trouve ça dommage, parce que je trouve ça dommage dans le sens où je pense qu'il faut faire un peu évoluer les mentalités. Après je ne critique pas la décision qui a été prise par cette direction et par ces ressources humaines. Attention bien évidemment, on est bien d'accord. Mais je pense qu'il faut donner la chance aussi un peu aux jeunes, dans le sens où je pense que les jeunes ont quelque chose à apporter. Je pense que les jeunes ont de la fraîcheur à apporter. Et justement, je pense qu'il faut savoir donner la chance aux jeunes et justement leur apprendre le métier, pas leur apprendre la vie. Attention, mais leur apprendre le métier. En plus, nous les jeunes, c'est nous l'avenir de la France. L'avenir de la France, ce n'est pas les personnes... Pardon, attention, je ne critique personne. Il faut dire les choses. L'avenir de la France, ce n'est pas les personnes qui ont 40, 45 ans, 50 ans. L'alliant de la France, c'est les personnes qui ont 18, 20, 25, 30 ans, qui rentrent sur le marché du travail. Sauf que maintenant, on est la génération Z, on est trop mal vu. Parce que je ne suis pas millenial, je suis né dans les années 2000, je suis né en 2002 exactement. Les années 2000, 2002, je trouve pour ma part, déjà au début, certains sont un peu perdus, ils ne savent pas où ils veulent aller, mais pour d'autres, on est très mal vu. La génération Z, on est mal vu. On est catégorisé comme instable. Je parle pour ma expérience, même quand je parle avec des copines, quand je vais boire des verres avec des copines, mais pas tout le temps. Et attention, l'habit d'alcool est dangereux pour la santé, je précise. On a l'impression que les personnes qui ont entre 20 et 30 ans, ou un peu moins, c'est 20-25, 20-26, on est mal perçu quand on veut postuler à une société, à un poste, quand on se propose à des stages, à des alternances. Et en fait, c'est le motif de refus. On ne nous le dira pas, en fait, réellement. Et ça, je trouve ça dommage. Et ça, j'ai l'impression que c'est aussi un peu à cause des réseaux sociaux, parce que les réseaux sociaux, ils ont propagé des images et une vague de personnes qui étaient dans la génération Z, qui, en tout cas pour ma part, ne me ressemblent pas. Vous voyez, j'ai vu des TikTok la dernière fois, où c'est une fille qui disait qu'elle faisait 8h, 16h30. 16h30, c'était la première devant la porte pour partir. Et ça, c'est la nouvelle génération Z. Ben non. moi je ne fais pas comme ça, moi je fais des heures sup moi je kiffe mon travail je ne suis pas là à partir déjà à 14h ou à 16h30 ou à me préparer déjà mes affaires comme quand j'étais en cours en études sup, quand j'étais en cours je savais que le cours allait terminer dans 10 minutes je commençais déjà à ranger mes affaires là tu es dans le milieu pro, tu ne commences pas à ranger tes affaires tu danses déjà 5 minutes avant après chacun fait ce qu'il veut bien évidemment mais pour moi il faut toujours en faire un peu plus il faut toujours en faire plus que la majorité Il faut toujours se démarquer, il faut toujours avoir un petit plan B, toujours faire plus que la moyenne. Quand j'étais étudiant, c'est toujours la chose que je me suis dit. Essayer de faire plus que la moyenne. Même si j'avais du mal, j'ai eu du mal. J'ai eu une petite période, une petite période un peu longue d'ailleurs. Un peu compliquée par le burn-out. Mais je me suis remis beaucoup en question. J'ai posé beaucoup de questions sur ma vie, sur moi-même. Je me suis beaucoup recherché aussi sexuellement. Voilà, vestimentairement parlant aussi. Ça, j'en ai déjà parlé. Je ne connaissais pas trop mon style. Je suis passé par plein d'étapes. Je suis passé par l'étape gothique. Gothique, pas gothique, mais classe, sexy. Je portais des talons. Je portais des talons un peu punk. Je portais des talons noirs dark. Je pouvais faire des maquages très dark. Je pouvais m'habiller hyper blanc, hyper sainte, hyper petite plume de la nuit. Je me cherchais, en fait. Je me cherchais, je pense, vestimentairement parlant, sexuellement. et j'essayais aussi de faire de main posée, en fait, je pense. Peut-être que je manquais de confiance en moi. Bon, là, je vais beaucoup trop loin, je pars dans tous les sens, mais c'est pas grave. C'est l'art du podcast. De toute manière, cet épisode, il n'aura pas de thème précis. Je parlerai un peu de tout et de rien. Par contre, j'ai déjà quand même à le préciser, je pense que c'est important. Si j'ai du mal à articuler, j'en ai déjà parlé, mais je vous le redis. Je vous tutoie, on se voit ou on se tutoie ? I don't know, I'm so sorry, bitch. Non, du coup, j'ai un problème d'articulation, parce qu'en fait, quand j'étais petit, je me suis fait opérer du frein lingual. Le frein lingual, c'est le frein, c'est le frein, n'importe quoi. C'est le fil qui est en dessous de la langue. En fait, on a dû me l'opérer. Là, je me justifie pour que vous compreniez. Parce qu'on m'a déjà fait la réflexion que je n'articulais pas assez. Et j'essaie de faire vraiment des efforts. En plus... Après cette opération, j'ai fait pendant deux ans de la rééducation maxillofaciale. Je crois qu'on dit comme ça, je ne sais plus. Maxillofaciale, je ne sais plus, je crois qu'on dit comme ça. J'en ai déjà parlé, je me répète presque à beaucoup d'épisodes sur ce sujet, et c'est important. Voilà, c'est comme les personnes qui zozotent, on a du mal. On a du mal, on essaye, on fait vraiment des efforts. Au quotidien, ce n'est pas toujours agréable. surtout en milieu pro aussi, d'essayer de parler clairement devant tout le monde, d'où aussi l'intérêt. Si vous avez écouté mon épisode de podcast que j'ai fait juste avant, je parle de l'art oratoire et que l'art oratoire me plaît. La rhétorique, utiliser le son de sa voix, jouer avec les mélodies, je trouve ça hyper intéressant. Avec mon problématique de frein lingual, je pense que ça peut être hyper intéressant. pour jouer sur l'articulation, sur la méthodologie de langue, d'accentuer les mots, de bien utiliser la langue française, d'utiliser des bons mots, des bonnes techniques de grammaire et d'orthographe française. Je trouve que ça peut être hyper intéressant. Donc voilà, petit point sur ça, au moins on est clair. Donc du coup les gars, je vais changer de sujet. On va partir sur un autre sujet. J'étais au travail et du coup, il y a des collègues de travail qui sont tombés sur mes réseaux sociaux. Donc moi, sur mes réseaux sociaux, il faut savoir que moi, je partage de la mode, de la beauté et du lifestyle. Donc le lifestyle, je partage mon quotidien. Donc je filme mon appartement, je filme mon bordel, mon quotidien. Quand je fais la vaisselle, quand je range, je fais des avant-après. Voilà. Et ça fait partie de mon quotidien. Et j'ai toujours fait ça. J'ai toujours aimé faire ça. Et là, ce n'est pas la semaine dernière. Il n'y a pas un collègue qui me dit

  • Speaker #3

    « Si tu as quelque chose à améliorer, tu as beaucoup de qualité, mais si tu as un défaut, je pense que c'est ton manque d'hygiène. »

  • Speaker #2

    Quand il m'a dit ça, je vous avoue que je n'ai pas trop compris.

  • Speaker #1

    Et je lui ai dit « Attends, tu as dit quoi là ? »

  • Speaker #3

    Il m'a dit « Je trouve que tu as beaucoup de qualité, mais tu as aussi un défaut. » que j'ai pu apercevoir, c'est ton manque d'hygiène.

  • Speaker #1

    Et quand il m'a dit ça, je me suis dit, waouh, le culot. Et en fait, il m'a dit oui,

  • Speaker #3

    parce que j'ai vu sur tes réseaux sociaux,

  • Speaker #1

    et là, j'ai capté direct, j'ai capté direct. En fait, c'est un jugement sur ce qu'il a vu. Il a dit oui,

  • Speaker #3

    mais ce que tu montres sur les réseaux sociaux, normalement, c'est censé.

  • Speaker #1

    Et c'est là, en fait, la problématique. Et c'est pour ça que je fais aussi cet épisode.

  • Speaker #3

    il m'a dit quand tu montres Quelque chose sur les réseaux sociaux, normalement ça fait pour t'embellir, ça fait pour te rendre joli, joyeux, sexy, classe, c'est pas fait pour te dégrader.

  • Speaker #1

    Bah en fait non, moi sur mes réseaux sociaux je suis naturel. Je montre le avant-après, mon appartement, quand il est que j'ai peut-être pas eu le temps de le nettoyer. Et du coup, après, je fais l'aspirateur, le ménage, le repassage, je fais tout. Les WC, les toilettes, je fais tout d'un coup. Ou sinon, je passe un petit coup d'aspirateur vite fait les mercredis. Et après, le week-end, je lave tout. Mais je ne vais pas m'amuser à faire l'aspirateur, le pavé, les vitres tous les jours. À un moment donné, il faut être concret et correct aussi. après s'il y a des personnes qui sont comme ça parfait pour eux. Mais moi, ce n'est pas mon cas. Et je trouve ça dommage. Je trouve ça dommage, cette réflexion. Je l'ai prise en considération. Je l'ai notée dans ma tête. Et du coup, j'en ai parlé avec ma sœur tout à l'heure. Elle m'a dit,

  • Speaker #4

    tu devrais arrêter de montrer des choses intimes de ta vie.

  • Speaker #1

    Le problème, c'est que ça fait partie de moi. J'ai toujours été comme ça. J'ai toujours partagé des choses sur mes réseaux sociaux. Donc, je me dis, est-ce qu'il n'y aurait pas peut-être une limite à ne pas dépasser ? Comme quand on montre des enfants, quand on filme le quotidien des enfants qu'on en a, comme les personnages de télé-réalité qui ont carrément créé des comptes sociaux pour leurs enfants. Et ils postent des photos d'eux en maillot de bain ou en train de rigoler avec des jouets de Noël. Sauf qu'ils ne savent pas qu'il n'y a pas réellement de consentement. Ça, c'est... Ça, c'est mon avis. Attention. Après, chacun a son avis. Pour moi, il n'y a pas de consentement. Le petit ne capte pas ce que tu fais. Autant, dans 10 ou 15 ans, il va être déçu parce que sa vie sera déjà partagée sur Internet. Et en plus, je vais aller plus loin, les guys. En plus, avec l'ère de l'intelligence artificielle, on a de plus en plus de vidéos qui sont fausses ou c'est des bébés qui courent de partout, qui font des vidéos. Enfin bref, c'est des fausses vidéos. Sauf que le visage de la vidéo, il est pris où, ce visage ? Il est pris dans d'autres choses. Je regarde quand même autour de moi parce que même si je suis à l'une aile, je remets la sécurité. On ne sait jamais. Bref, je ne sais pas où je suis parti un peu trop loin, les guys. Mais vous m'avez compris. Il faut faire attention à tout ça. Il faut vraiment faire attention à tout ça. Il faut bien faire les choses, bien réfléchir avant de prendre des décisions. Parce que des fois, il n'y a pas de retour en arrière. À partir du moment où c'est sur Internet, c'est sur Internet. Mais pour moi, en fait, ça fait partie de mon quotidien. J'ai toujours créé des guides depuis que je suis petit. J'ai toujours aimé la création de contenu. J'ai fait de la peinture, j'ai adoré le dessin, je dessinais avec mon papa, j'avais de la pâte à modeler, j'avais des crayons, j'avais plein de stylos, j'avais des feutres de toutes les couleurs, j'avais des mandalas. J'ai toujours été dans le milieu créatif. J'adorais les magazines. Quand j'étais petit, j'adorais les magazines de mode. Je regardais comment c'était fait, les magazines, la manière dont c'était fait. Je trouvais ça juste incroyable. Rien que le magazine pour les petits à l'époque quand je regardais Disney Channel. Comme les grands posters avec Bella Thorne et Zendaya pour ceux qui ont la ref. Zendaya, c'est le café Shake It Up Chicago sur Disney Channel. Ou même Anna Montana by Miley Cyrus. Pour ceux qui n'ont pas l'arrêt, c'est celle qui chante I keep hunting the flowers, la la la, les merveilles aériennes. Bref, vous m'avez compris. Et je trouve ça juste incroyable, la communication, le marketing, la typographie. Ça m'a toujours plu en fait, ce milieu m'a toujours plu. Donc je ne vais pas m'arrêter parce qu'il y a un collègue qui m'a dit je trouve que tu manques d'hygiène, mais je trouve que c'est culotté de me dire ça. Après, c'est son avis. À partir du moment où on s'expose sur les réseaux sociaux, Il faut qu'on s'attende à avoir de la haine ou avoir des gens gentils. C'est obligé. On ne peut pas ne que avoir des personnes qui ont un avis positif. Quand j'entends des personnes qui disent « Alors moi,

  • Speaker #0

    j'ai une communauté, c'est que des amours. »

  • Speaker #1

    Tu as 2 millions d'abonnés, ne me dis pas qu'il n'y a pas 10 ou 2% qui ne te déglinguent pas, ce n'est pas possible. Ou qui ne t'envoient pas des menaces de mort, mais qui ne te disent pas « t'es nul » ou « t'es une merde » ou « qu'est-ce que c'est que ça » ou « j'ai envie de vomir » . Du coup, ça m'a aidé à aller chier. Ça m'a aidé à aller faire caca aux toilettes. J'envoie des trucs comme ça des fois. Et c'est des gens qui sont nuls. Ils n'ont rien à apporter. Ils ne devraient même pas regarder ces vidéos-là. Donc moi, quand j'ai des commentaires comme ça, moi, je les bloque. Et certains, je les signale. J'ai eu des commentaires de haine méchants. Je me suis fait déglinguer. Sur certaines de mes vidéos qui ont le plus marché, j'ai une vidéo qui a atteint presque 300 000 vues, 290 000 ou 303 000 vues, je ne sais plus. Dans les commentaires, je me suis fait déglinguer. Et heureusement que j'ai des personnes que je ne connais pas, qui sont venues en mon soutien. Quel est l'intérêt de poster un commentaire comme ça ? Voilà, après c'est les réseaux sociaux, là c'est encore un grand débat que j'ouvre, je vais le clôturer vite parce que je ne veux pas que cet épisode dure trop longtemps, mais c'est un vrai débat. Est-ce qu'à partir du moment où on va sur les réseaux sociaux et qu'on s'expose, est-ce qu'on peut s'attendre à tout ou est-ce qu'on peut nous-mêmes poser des limites ? Voilà, tout là est l'art des choses, tout là est l'art de la conversation, du dialogue, de bien réfléchir à ce qu'on fait. Est-ce que je le poste ? Est-ce que je ne le poste pas ? Est-ce que si je le poste, je vais regretter ? Est-ce que si je le poste, je ne vais pas regretter ? Dans ce cas-là, on a déjà la réponse de savoir si on va le publier ou pas. C'est super important. Je vais être honnête avec vous. Moi, il m'est arrivé des fois où j'ai fait des épisodes de podcast que je ne voulais pas poster ou des reels que je ne voulais pas poster. Je me suis dit que ça ne va pas plaire. Les choses que je raconte, c'est trop personnel. On peut... Je peux me faire renvoyer par ma société parce que j'ai parlé de moi qui était sous pression, alors que ça n'avait rien à voir indirectement avec la société. Vous voyez, je vais encore une fois dire que je prends des risques à parler de choses comme ça, mais en fait non, parce que j'adore mon travail, j'adore ce que je fais, j'adore me lever le matin pour aller bosser, je fais mes chiffres, je fais mes stats. Mais comme toute société, on a une pression, on a des acceptations, on a des refus, on monte en grade, on monte pas en grade, on prend du temps, on s'intègre. On a des collègues qu'on aime bien, on a d'autres qu'on n'aime pas. C'est normal, c'est pas le monde des bisounours. À un moment donné, il faut arrêter. Pas dans le monde des bisounours, c'est tout à fait normal, on peut pas être parfait. L'être humain n'est pas parfait. Sinon, imaginez, on serait parfait. Les guys, entre nous, on se ferait chier. Si on serait tous parfaits et si on se ressemblerait tous, on se ferait chier, clairement. Mais oui, du coup, venant de la part de mon collègue, ça m'a fait chier parce que je l'appréciais bien, tu vois. C'est hyper gênant parce que je suis dans ma voiture et vu qu'il fait nuit, il y a de la buée qui se met derrière. Il y a des mecs au fond, ils doivent penser que je suis en train de baiser dans la voiture. Pardon, je parle mal, ce qui n'est pas le cas du tout. Je suis juste en train de parler dans un micro. Du coup, je fais de l'air, je dégage de l'air chaud. Et vu que du coup, je dégage de l'air chaud, ils doivent penser que je fais des tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam dans la voiture. Ce qui n'est pas le cas du tout. Bref. Ouais, donc voilà. Sinon, rien de plus à vous dire, les guys. Après, je l'ai clairement dit, je l'adore. Enfin, ce collègue, je l'adore. Attention, ce n'est pas mon ami, mais je l'aime bien. Je lui ai clairement dit que je sais qui je suis, je sais ce que je fais et que si j'ai des conseils à recevoir de quelqu'un, ce serait mon daron et ma mère et personne d'autre, en fait. Je sais ce que je fais, je sais où je vais. Après, j'écoute, j'entends. Et après, c'est à moi de faire la part des choses. Je prends ou je laisse. Mais je suis ouvert au dialogue. Tu veux me donner ton avis, je le prends. Après, j'en fais ce que je veux. Voilà. Mais c'est dommage de se bloquer que à ça. Parce que, encore une fois, je me justifie indirectement. Je ne pense pas avoir un manque d'hygiène. Voilà. Enfin, franchement, c'est ridicule, quoi. Je ne vais pas me justifier ici parce que ça ne sert à rien, en fait. Même d'en parler, en fait, ça me dégoûte. Même de devoir en parler, ça me dégoûte. Mais c'est intéressant d'en parler parce que je pense que ça prouve que les réseaux sociaux, certaines personnes pensent qu'on met sur les réseaux sociaux les choses pour nous embellir. Et après, ce n'est pas méchant parce qu'en fait, je pense que dans la manière dont cette personne me l'a dit, c'était pour me dire, mais pas des choses comme ça, mais des choses plutôt pour t'embellir. Sauf que je comprends. Sauf que moi, je ne suis pas du style à montrer mon appartement quand il est toujours parfait. à filmer mon appartement quand il est toujours magnifiquement rangé, quand il y a la table qui brille. Non, des fois, je le filme, je suis en train de travailler dessus, il y a un peu de poussière. C'est normal. Des fois, je filme, je suis en train de parler, j'ai un, deux, trois casseroles dans le truc. Oui, parce que j'ai mangé à midi et je n'ai pas forcément nettoyé les casseroles tout de suite. Je le ferai le soir. Ce sont des détails que beaucoup de personnes perçoivent et je comprends. Je comprends tout à fait. Mais après, ça se travaille. Enfin, ça se travaille. Ça se travaille dans le sens où, quand je filme, non, même pas, ça se travaille. Même pas. Je vais rester qui je suis. Et voilà. Après, j'ai pris en compte son commentaire et ça s'arrête là. Voilà, clairement. Par contre, les guys, je vais vraiment clôturer cet épisode ici. Par contre, je vais vraiment essayer de faire des efforts, de faire en sorte d'avoir, pour chaque épisode, un thème précis, une thématique précise et de se lancer sur la thématique. N'hésitez pas... à me proposer en DM sur Instagram des thématiques. Et après, à partir de là, moi, je lancerai le dialogue, j'ouvrirai le dialogue et je vous donnerai mes avis, ce que j'en pense, pour vraiment être en interaction. avec vous, clairement, ça peut être super intéressant. Je vais essayer de reprendre les carnets sonores. Les carnets sonores, c'était... C'était... En fait, c'est plein de petits moments que je me filme, que je m'enregistre en audio sur deux mois. Par exemple, je peux parler demain, après demain, dans trois jours, dans quinze jours. Après, je remets tout en un seul audio. Après, je le publie. Et ça fait un carnet sonore sur... 2 mois. Donc ça fait un peu comme un vlog en mode audio sur 2 mois. Et le premier que j'ai posté, il a fait je crois entre 15 et 20 écoutes. C'est pas énorme, mais écoutez, c'est déjà ça. C'est mieux que rien. Donc on va pas se plaindre. C'est déjà ça. Voilà. Donc ça veut dire que plus les jours passent, plus mes stats augmentent. Donc je suis content. Je suis sur la bonne voie. J'ai encore beaucoup de choses à apprendre. J'ai encore beaucoup de choses à m'améliorer. Je continue. Je ne vais pas baisser les bras. Keep going. Keep going. Believe in yourself. Believe in myself. Je suis capable de le faire. Je vais y arriver. Je n'ai pas lâché l'affaire. Je sais où je vais. Je sais ce que je veux faire dans ma vie. Et voilà, tout simplement. En tout cas, merci d'être là, les guys. Merci à ceux qui me soutiennent. Ceux qui sont là depuis le début. Ceux qui repartagent. Ceux qui laissent des commentaires ou qui me suivent sur les réseaux sociaux. Ça me fait super plaisir. Je ne suis pas prêt d'arrêter. C'est que le début. C'est le début de grandes, grandes choses. Donc, comme je vous dis à chaque fois, merci beaucoup. Merci, les gars. Et je vous dis à la prochaine fois pour un nouvel épisode.

  • Speaker #2

    La bise.

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Il est temps de dire les choses !!

Dans cet épisode, je parle sans filtre des revers du digital : les critiques, les comparaisons, la pression de devoir être “parfait” ! Je te partage ma vision, mes émotions et quelques vérités qu’on oublie souvent derrière les écrans.


Je suis vrai et sans filtre, pour tous ceux qui refusent de se travestir pour être aimés.

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#authenticité #êtresoi #podcastfrançais #sansfiltre #vraieparole #réseauxsociaux


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🎔🎔𝗥𝗗𝗩 la semaine 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗮𝗶𝗻e 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘂𝗻 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹 𝗲́𝗽𝗶𝘀𝗼𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗕𝗶𝘇𝘇𝘇𝘇𝘇🎔🎔


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Transcription

  • Speaker #0

    Ouais, c'est moi

  • Speaker #1

    Hello les gars Je crois que vous allez tous très très bien Bah écoutez, moi ça va Aujourd'hui on se retrouve pour un nouvel épisode Donc là je suis venu avec mon Attendez je m'étouffe, attendez, attendez Une diva s'étouffe quand même, attendez Oh my gosh Reste en vie Believe in your dream, believe in yourself Non, oh je suis une vraie folasse aujourd'hui Du coup les guys, je suis trop content de vous parler Je suis excitin du cul. Non, je rigole. Pas du tout, calme Thomas, calme-toi. Canalisation des émotions, très important. Du coup les guys, j'espère que vous allez bien. Donc là, je suis dans ma voiture, parce que vous savez que malheureusement, j'enregistre mes podcasts dans ma voiture. J'ai pris l'habitude. Bref, j'en ai déjà parlé, donc on ne va pas rentrer là-dedans. Dans cet épisode, les guys, encore une fois... C'est évident et il est clair que je n'ai pas fait de thématique précise pour cet épisode. Donc on va parler un peu de tout, de ce qui se passe en ce moment un peu dans ma vie, mais rapidos. Mais je voulais quand même vous faire cet épisode parce que j'ai envie d'être régulier. J'ai envie d'avoir une certaine régularité et une permanence, on va dire ça, avoir une permanence régulière. Je pense que ça se dit, je pense que c'est français pour mon podcast. surtout que Je suis trop content les guys. Alors attendez, attendez, attendez. On va mettre le jingle avant. Comme je dis à chaque fois, take your little cozy and let's go. Les guys, du coup, first point. Je suis trop content parce que maintenant, quand je tape cozy podcast sur Google, il ne me le trouvait pas. Et maintenant, quand je tape cozy podcast sur Internet, il me met enfin Enfin, les recherches de mon site internet, Apple Podcasts, Spotify, Anchor et d'autres que je ne connais pas mais qui sont sûrement partagées sur d'autres plateformes, je suppose. Je suis trop content. Je suis trop content. Ça veut dire que c'est en train de marcher, que ça évolue étape par étape et je suis mais very excited. J'adore. Donc là, je suis dans ma voiture. J'ai mis le chauffage. Je vais l'éteindre parce que l'essence m'inzit. Du coup les guys, je pense que vous devez sûrement capter que j'ai un... Le son est peut-être meilleur, je sais pas. Je pense qu'il est meilleur. En fait, c'est mon... C'est le micro... Le micro de la marque... Je sais plus la marque que c'est. Moi j'avais... Je sais plus la marque que c'est. En tout cas, c'est la marque Rode. Voilà, c'est le micro de la marque Rode. Le micro poche. Micro cravate poche de la marque Rode. Là, je suis dans ma voiture. Je vais vous parler un petit peu. Je suis... pas mal de choses à vous dire. Déjà, dans un premier temps, la régularité. Du coup, juste pour vous dire que mon leçon doit être meilleure, je ne sais pas, en tout cas, j'avais envie de changer pour voir. Dites-moi en commentaire ou envoyez-moi un DM sur mes réseaux sociaux. C'est Timcoz2909, mon Instagram. Ou sinon, vous me laissez un petit commentaire sur Apple Podcast ou Spotify Podcast, comme vous voulez. Mais n'hésitez pas vraiment à interagir, à mettre des étoiles aussi. et à évaluer mon podcast. Soyez honnêtes parce que, voilà, au moins, vous le notez. Si vous voulez me déglinguer, vous me déglinguez. Et si vous le trouvez intéressant, n'hésitez pas, vraiment, parce que j'ai beaucoup d'écoutes, mais je n'ai pas beaucoup de personnes qui m'aident des étoiles, qui s'abonnent. Vraiment, n'hésitez pas parce que ça peut me permettre, du coup, je parle très vite. Ça peut me permettre de monter dans le classement, d'avoir un meilleur visionnage et d'être plus... d'avoir une amplitude de partage en automatisme par les plateformes donc je pense... Ah j'ai un moustique qui vient de rentrer dans ma voiture Ah bah oui j'ai mes lumières qui sont allumées aussi Oh l'horreur Oh non Non Il va me piquer, il va me bouffer Elle ne veut pas s'éteindre, elle ne veut pas s'éteindre les lumières Et tenez-vous s'il vous plaît

  • Speaker #2

    Et, et

  • Speaker #1

    On s'en fiche Puisque je vous disais Ah ça y est, ok j'ai compris, j'ai compris Ok je crois que j'ai compris Et euh Et du coup, ouais, donc là, on va voir où ça... Il ne veut pas sortir. Allez ! Tiens, ce n'est pas possible, ça. Ça va être des moussiques de merde comme ça, là. Du coup, les gars, je vous disais que je suis content pour la régularité. Il faut que ça continue. Il ne faut pas que je baisse les bras. Et on continue ensemble, on progresse ensemble. Et je vais vous prouver qu'on peut réussir en partant d'en bas. Il faut avoir de l'ambition. Il faut continuer à croire en ses rêves, à croire à ce qu'on est capable, ne pas écouter les autres. On est notre seul arbitre. Il n'y a que nous qui pouvons décider réellement de ce que nous sommes capables. Personne ne peut juger de quoi on est capable et personne ne peut dire ce qu'on doit faire ou ne pas faire. indirectement. Après, si on est sous tutelle au curatel, là, c'est autre chose. Mais je parle de 98% des cas, on est nous-mêmes notre propre arbitre, clairement. Si on est dans le négatif, il y aura du négatif qui va arriver, c'est tout à fait... C'est même la loi de l'attraction, c'est normal. Quand on est très négatif, il n'y a que de la négativité qui nous retombe dessus. Et quand on est positif, qu'on essaye de positiver au max, les choses positives nous arrivent. Là, je ne vais pas entrer dans les détails, mais je vais peut-être avoir un appartement. Pour ne pas vous rejouer, excusez-moi, je suis naturel avec vous. Parce que quand je vous parle, ça prouve que quand je parle au micro, ça me détend tellement. En fait, je me relaxe, je me pose, je prends du recul sur les choses, je pèse les mots. Quand je pèse les mots, c'est-à-dire que je ne suis pas une folasse qui parle. Bon, ok, la petite folasse du coin peut revenir. Voilà. mais il faut être sérieux c'est important d'être sérieux quand même surtout que j'ai fait un entretien récemment bon je ne vous dirai pas dans quelle case dans quelle cause mais j'ai fait un entretien récemment et on m'a dit qu'il fallait que j'arrive à canaliser mes émotions, que j'étais une personne qui avait beaucoup de peps, beaucoup d'émotions qui débordait de créativité ça on me l'a toujours dit et qu'il fallait que j'arrive à canaliser mes émotions parce que pour un certain type de post il faut savoir prendre du recul et être calme Merci. Le problème, c'est que je suis quelqu'un de calme, je suis quelqu'un de calme, de travaillé, avec de la mature idée. Après, je n'ai pas besoin de me justifier ici de pourquoi mon entretien s'est bien passé, mais je n'ai pas été pris. Là n'est pas la cause. La cause est que je pense que je suis jeune, que j'ai eu 23 ans, et c'est sûr qu'ils préfèrent peut-être prendre une personne qui a 15 ans de plus que moi, qui a peut-être une quarantaine d'années, ou 35, ou 40 ans, qu'un jeune de 23 ans. Je peux tout à fait comprendre. La personne de 23 ans n'a pas encore tout vu, elle manque encore de maturité et je peux comprendre. Mais dans le sens où moi je trouve ça dommage, parce que je trouve ça dommage dans le sens où je pense qu'il faut faire un peu évoluer les mentalités. Après je ne critique pas la décision qui a été prise par cette direction et par ces ressources humaines. Attention bien évidemment, on est bien d'accord. Mais je pense qu'il faut donner la chance aussi un peu aux jeunes, dans le sens où je pense que les jeunes ont quelque chose à apporter. Je pense que les jeunes ont de la fraîcheur à apporter. Et justement, je pense qu'il faut savoir donner la chance aux jeunes et justement leur apprendre le métier, pas leur apprendre la vie. Attention, mais leur apprendre le métier. En plus, nous les jeunes, c'est nous l'avenir de la France. L'avenir de la France, ce n'est pas les personnes... Pardon, attention, je ne critique personne. Il faut dire les choses. L'avenir de la France, ce n'est pas les personnes qui ont 40, 45 ans, 50 ans. L'alliant de la France, c'est les personnes qui ont 18, 20, 25, 30 ans, qui rentrent sur le marché du travail. Sauf que maintenant, on est la génération Z, on est trop mal vu. Parce que je ne suis pas millenial, je suis né dans les années 2000, je suis né en 2002 exactement. Les années 2000, 2002, je trouve pour ma part, déjà au début, certains sont un peu perdus, ils ne savent pas où ils veulent aller, mais pour d'autres, on est très mal vu. La génération Z, on est mal vu. On est catégorisé comme instable. Je parle pour ma expérience, même quand je parle avec des copines, quand je vais boire des verres avec des copines, mais pas tout le temps. Et attention, l'habit d'alcool est dangereux pour la santé, je précise. On a l'impression que les personnes qui ont entre 20 et 30 ans, ou un peu moins, c'est 20-25, 20-26, on est mal perçu quand on veut postuler à une société, à un poste, quand on se propose à des stages, à des alternances. Et en fait, c'est le motif de refus. On ne nous le dira pas, en fait, réellement. Et ça, je trouve ça dommage. Et ça, j'ai l'impression que c'est aussi un peu à cause des réseaux sociaux, parce que les réseaux sociaux, ils ont propagé des images et une vague de personnes qui étaient dans la génération Z, qui, en tout cas pour ma part, ne me ressemblent pas. Vous voyez, j'ai vu des TikTok la dernière fois, où c'est une fille qui disait qu'elle faisait 8h, 16h30. 16h30, c'était la première devant la porte pour partir. Et ça, c'est la nouvelle génération Z. Ben non. moi je ne fais pas comme ça, moi je fais des heures sup moi je kiffe mon travail je ne suis pas là à partir déjà à 14h ou à 16h30 ou à me préparer déjà mes affaires comme quand j'étais en cours en études sup, quand j'étais en cours je savais que le cours allait terminer dans 10 minutes je commençais déjà à ranger mes affaires là tu es dans le milieu pro, tu ne commences pas à ranger tes affaires tu danses déjà 5 minutes avant après chacun fait ce qu'il veut bien évidemment mais pour moi il faut toujours en faire un peu plus il faut toujours en faire plus que la majorité Il faut toujours se démarquer, il faut toujours avoir un petit plan B, toujours faire plus que la moyenne. Quand j'étais étudiant, c'est toujours la chose que je me suis dit. Essayer de faire plus que la moyenne. Même si j'avais du mal, j'ai eu du mal. J'ai eu une petite période, une petite période un peu longue d'ailleurs. Un peu compliquée par le burn-out. Mais je me suis remis beaucoup en question. J'ai posé beaucoup de questions sur ma vie, sur moi-même. Je me suis beaucoup recherché aussi sexuellement. Voilà, vestimentairement parlant aussi. Ça, j'en ai déjà parlé. Je ne connaissais pas trop mon style. Je suis passé par plein d'étapes. Je suis passé par l'étape gothique. Gothique, pas gothique, mais classe, sexy. Je portais des talons. Je portais des talons un peu punk. Je portais des talons noirs dark. Je pouvais faire des maquages très dark. Je pouvais m'habiller hyper blanc, hyper sainte, hyper petite plume de la nuit. Je me cherchais, en fait. Je me cherchais, je pense, vestimentairement parlant, sexuellement. et j'essayais aussi de faire de main posée, en fait, je pense. Peut-être que je manquais de confiance en moi. Bon, là, je vais beaucoup trop loin, je pars dans tous les sens, mais c'est pas grave. C'est l'art du podcast. De toute manière, cet épisode, il n'aura pas de thème précis. Je parlerai un peu de tout et de rien. Par contre, j'ai déjà quand même à le préciser, je pense que c'est important. Si j'ai du mal à articuler, j'en ai déjà parlé, mais je vous le redis. Je vous tutoie, on se voit ou on se tutoie ? I don't know, I'm so sorry, bitch. Non, du coup, j'ai un problème d'articulation, parce qu'en fait, quand j'étais petit, je me suis fait opérer du frein lingual. Le frein lingual, c'est le frein, c'est le frein, n'importe quoi. C'est le fil qui est en dessous de la langue. En fait, on a dû me l'opérer. Là, je me justifie pour que vous compreniez. Parce qu'on m'a déjà fait la réflexion que je n'articulais pas assez. Et j'essaie de faire vraiment des efforts. En plus... Après cette opération, j'ai fait pendant deux ans de la rééducation maxillofaciale. Je crois qu'on dit comme ça, je ne sais plus. Maxillofaciale, je ne sais plus, je crois qu'on dit comme ça. J'en ai déjà parlé, je me répète presque à beaucoup d'épisodes sur ce sujet, et c'est important. Voilà, c'est comme les personnes qui zozotent, on a du mal. On a du mal, on essaye, on fait vraiment des efforts. Au quotidien, ce n'est pas toujours agréable. surtout en milieu pro aussi, d'essayer de parler clairement devant tout le monde, d'où aussi l'intérêt. Si vous avez écouté mon épisode de podcast que j'ai fait juste avant, je parle de l'art oratoire et que l'art oratoire me plaît. La rhétorique, utiliser le son de sa voix, jouer avec les mélodies, je trouve ça hyper intéressant. Avec mon problématique de frein lingual, je pense que ça peut être hyper intéressant. pour jouer sur l'articulation, sur la méthodologie de langue, d'accentuer les mots, de bien utiliser la langue française, d'utiliser des bons mots, des bonnes techniques de grammaire et d'orthographe française. Je trouve que ça peut être hyper intéressant. Donc voilà, petit point sur ça, au moins on est clair. Donc du coup les gars, je vais changer de sujet. On va partir sur un autre sujet. J'étais au travail et du coup, il y a des collègues de travail qui sont tombés sur mes réseaux sociaux. Donc moi, sur mes réseaux sociaux, il faut savoir que moi, je partage de la mode, de la beauté et du lifestyle. Donc le lifestyle, je partage mon quotidien. Donc je filme mon appartement, je filme mon bordel, mon quotidien. Quand je fais la vaisselle, quand je range, je fais des avant-après. Voilà. Et ça fait partie de mon quotidien. Et j'ai toujours fait ça. J'ai toujours aimé faire ça. Et là, ce n'est pas la semaine dernière. Il n'y a pas un collègue qui me dit

  • Speaker #3

    « Si tu as quelque chose à améliorer, tu as beaucoup de qualité, mais si tu as un défaut, je pense que c'est ton manque d'hygiène. »

  • Speaker #2

    Quand il m'a dit ça, je vous avoue que je n'ai pas trop compris.

  • Speaker #1

    Et je lui ai dit « Attends, tu as dit quoi là ? »

  • Speaker #3

    Il m'a dit « Je trouve que tu as beaucoup de qualité, mais tu as aussi un défaut. » que j'ai pu apercevoir, c'est ton manque d'hygiène.

  • Speaker #1

    Et quand il m'a dit ça, je me suis dit, waouh, le culot. Et en fait, il m'a dit oui,

  • Speaker #3

    parce que j'ai vu sur tes réseaux sociaux,

  • Speaker #1

    et là, j'ai capté direct, j'ai capté direct. En fait, c'est un jugement sur ce qu'il a vu. Il a dit oui,

  • Speaker #3

    mais ce que tu montres sur les réseaux sociaux, normalement, c'est censé.

  • Speaker #1

    Et c'est là, en fait, la problématique. Et c'est pour ça que je fais aussi cet épisode.

  • Speaker #3

    il m'a dit quand tu montres Quelque chose sur les réseaux sociaux, normalement ça fait pour t'embellir, ça fait pour te rendre joli, joyeux, sexy, classe, c'est pas fait pour te dégrader.

  • Speaker #1

    Bah en fait non, moi sur mes réseaux sociaux je suis naturel. Je montre le avant-après, mon appartement, quand il est que j'ai peut-être pas eu le temps de le nettoyer. Et du coup, après, je fais l'aspirateur, le ménage, le repassage, je fais tout. Les WC, les toilettes, je fais tout d'un coup. Ou sinon, je passe un petit coup d'aspirateur vite fait les mercredis. Et après, le week-end, je lave tout. Mais je ne vais pas m'amuser à faire l'aspirateur, le pavé, les vitres tous les jours. À un moment donné, il faut être concret et correct aussi. après s'il y a des personnes qui sont comme ça parfait pour eux. Mais moi, ce n'est pas mon cas. Et je trouve ça dommage. Je trouve ça dommage, cette réflexion. Je l'ai prise en considération. Je l'ai notée dans ma tête. Et du coup, j'en ai parlé avec ma sœur tout à l'heure. Elle m'a dit,

  • Speaker #4

    tu devrais arrêter de montrer des choses intimes de ta vie.

  • Speaker #1

    Le problème, c'est que ça fait partie de moi. J'ai toujours été comme ça. J'ai toujours partagé des choses sur mes réseaux sociaux. Donc, je me dis, est-ce qu'il n'y aurait pas peut-être une limite à ne pas dépasser ? Comme quand on montre des enfants, quand on filme le quotidien des enfants qu'on en a, comme les personnages de télé-réalité qui ont carrément créé des comptes sociaux pour leurs enfants. Et ils postent des photos d'eux en maillot de bain ou en train de rigoler avec des jouets de Noël. Sauf qu'ils ne savent pas qu'il n'y a pas réellement de consentement. Ça, c'est... Ça, c'est mon avis. Attention. Après, chacun a son avis. Pour moi, il n'y a pas de consentement. Le petit ne capte pas ce que tu fais. Autant, dans 10 ou 15 ans, il va être déçu parce que sa vie sera déjà partagée sur Internet. Et en plus, je vais aller plus loin, les guys. En plus, avec l'ère de l'intelligence artificielle, on a de plus en plus de vidéos qui sont fausses ou c'est des bébés qui courent de partout, qui font des vidéos. Enfin bref, c'est des fausses vidéos. Sauf que le visage de la vidéo, il est pris où, ce visage ? Il est pris dans d'autres choses. Je regarde quand même autour de moi parce que même si je suis à l'une aile, je remets la sécurité. On ne sait jamais. Bref, je ne sais pas où je suis parti un peu trop loin, les guys. Mais vous m'avez compris. Il faut faire attention à tout ça. Il faut vraiment faire attention à tout ça. Il faut bien faire les choses, bien réfléchir avant de prendre des décisions. Parce que des fois, il n'y a pas de retour en arrière. À partir du moment où c'est sur Internet, c'est sur Internet. Mais pour moi, en fait, ça fait partie de mon quotidien. J'ai toujours créé des guides depuis que je suis petit. J'ai toujours aimé la création de contenu. J'ai fait de la peinture, j'ai adoré le dessin, je dessinais avec mon papa, j'avais de la pâte à modeler, j'avais des crayons, j'avais plein de stylos, j'avais des feutres de toutes les couleurs, j'avais des mandalas. J'ai toujours été dans le milieu créatif. J'adorais les magazines. Quand j'étais petit, j'adorais les magazines de mode. Je regardais comment c'était fait, les magazines, la manière dont c'était fait. Je trouvais ça juste incroyable. Rien que le magazine pour les petits à l'époque quand je regardais Disney Channel. Comme les grands posters avec Bella Thorne et Zendaya pour ceux qui ont la ref. Zendaya, c'est le café Shake It Up Chicago sur Disney Channel. Ou même Anna Montana by Miley Cyrus. Pour ceux qui n'ont pas l'arrêt, c'est celle qui chante I keep hunting the flowers, la la la, les merveilles aériennes. Bref, vous m'avez compris. Et je trouve ça juste incroyable, la communication, le marketing, la typographie. Ça m'a toujours plu en fait, ce milieu m'a toujours plu. Donc je ne vais pas m'arrêter parce qu'il y a un collègue qui m'a dit je trouve que tu manques d'hygiène, mais je trouve que c'est culotté de me dire ça. Après, c'est son avis. À partir du moment où on s'expose sur les réseaux sociaux, Il faut qu'on s'attende à avoir de la haine ou avoir des gens gentils. C'est obligé. On ne peut pas ne que avoir des personnes qui ont un avis positif. Quand j'entends des personnes qui disent « Alors moi,

  • Speaker #0

    j'ai une communauté, c'est que des amours. »

  • Speaker #1

    Tu as 2 millions d'abonnés, ne me dis pas qu'il n'y a pas 10 ou 2% qui ne te déglinguent pas, ce n'est pas possible. Ou qui ne t'envoient pas des menaces de mort, mais qui ne te disent pas « t'es nul » ou « t'es une merde » ou « qu'est-ce que c'est que ça » ou « j'ai envie de vomir » . Du coup, ça m'a aidé à aller chier. Ça m'a aidé à aller faire caca aux toilettes. J'envoie des trucs comme ça des fois. Et c'est des gens qui sont nuls. Ils n'ont rien à apporter. Ils ne devraient même pas regarder ces vidéos-là. Donc moi, quand j'ai des commentaires comme ça, moi, je les bloque. Et certains, je les signale. J'ai eu des commentaires de haine méchants. Je me suis fait déglinguer. Sur certaines de mes vidéos qui ont le plus marché, j'ai une vidéo qui a atteint presque 300 000 vues, 290 000 ou 303 000 vues, je ne sais plus. Dans les commentaires, je me suis fait déglinguer. Et heureusement que j'ai des personnes que je ne connais pas, qui sont venues en mon soutien. Quel est l'intérêt de poster un commentaire comme ça ? Voilà, après c'est les réseaux sociaux, là c'est encore un grand débat que j'ouvre, je vais le clôturer vite parce que je ne veux pas que cet épisode dure trop longtemps, mais c'est un vrai débat. Est-ce qu'à partir du moment où on va sur les réseaux sociaux et qu'on s'expose, est-ce qu'on peut s'attendre à tout ou est-ce qu'on peut nous-mêmes poser des limites ? Voilà, tout là est l'art des choses, tout là est l'art de la conversation, du dialogue, de bien réfléchir à ce qu'on fait. Est-ce que je le poste ? Est-ce que je ne le poste pas ? Est-ce que si je le poste, je vais regretter ? Est-ce que si je le poste, je ne vais pas regretter ? Dans ce cas-là, on a déjà la réponse de savoir si on va le publier ou pas. C'est super important. Je vais être honnête avec vous. Moi, il m'est arrivé des fois où j'ai fait des épisodes de podcast que je ne voulais pas poster ou des reels que je ne voulais pas poster. Je me suis dit que ça ne va pas plaire. Les choses que je raconte, c'est trop personnel. On peut... Je peux me faire renvoyer par ma société parce que j'ai parlé de moi qui était sous pression, alors que ça n'avait rien à voir indirectement avec la société. Vous voyez, je vais encore une fois dire que je prends des risques à parler de choses comme ça, mais en fait non, parce que j'adore mon travail, j'adore ce que je fais, j'adore me lever le matin pour aller bosser, je fais mes chiffres, je fais mes stats. Mais comme toute société, on a une pression, on a des acceptations, on a des refus, on monte en grade, on monte pas en grade, on prend du temps, on s'intègre. On a des collègues qu'on aime bien, on a d'autres qu'on n'aime pas. C'est normal, c'est pas le monde des bisounours. À un moment donné, il faut arrêter. Pas dans le monde des bisounours, c'est tout à fait normal, on peut pas être parfait. L'être humain n'est pas parfait. Sinon, imaginez, on serait parfait. Les guys, entre nous, on se ferait chier. Si on serait tous parfaits et si on se ressemblerait tous, on se ferait chier, clairement. Mais oui, du coup, venant de la part de mon collègue, ça m'a fait chier parce que je l'appréciais bien, tu vois. C'est hyper gênant parce que je suis dans ma voiture et vu qu'il fait nuit, il y a de la buée qui se met derrière. Il y a des mecs au fond, ils doivent penser que je suis en train de baiser dans la voiture. Pardon, je parle mal, ce qui n'est pas le cas du tout. Je suis juste en train de parler dans un micro. Du coup, je fais de l'air, je dégage de l'air chaud. Et vu que du coup, je dégage de l'air chaud, ils doivent penser que je fais des tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam dans la voiture. Ce qui n'est pas le cas du tout. Bref. Ouais, donc voilà. Sinon, rien de plus à vous dire, les guys. Après, je l'ai clairement dit, je l'adore. Enfin, ce collègue, je l'adore. Attention, ce n'est pas mon ami, mais je l'aime bien. Je lui ai clairement dit que je sais qui je suis, je sais ce que je fais et que si j'ai des conseils à recevoir de quelqu'un, ce serait mon daron et ma mère et personne d'autre, en fait. Je sais ce que je fais, je sais où je vais. Après, j'écoute, j'entends. Et après, c'est à moi de faire la part des choses. Je prends ou je laisse. Mais je suis ouvert au dialogue. Tu veux me donner ton avis, je le prends. Après, j'en fais ce que je veux. Voilà. Mais c'est dommage de se bloquer que à ça. Parce que, encore une fois, je me justifie indirectement. Je ne pense pas avoir un manque d'hygiène. Voilà. Enfin, franchement, c'est ridicule, quoi. Je ne vais pas me justifier ici parce que ça ne sert à rien, en fait. Même d'en parler, en fait, ça me dégoûte. Même de devoir en parler, ça me dégoûte. Mais c'est intéressant d'en parler parce que je pense que ça prouve que les réseaux sociaux, certaines personnes pensent qu'on met sur les réseaux sociaux les choses pour nous embellir. Et après, ce n'est pas méchant parce qu'en fait, je pense que dans la manière dont cette personne me l'a dit, c'était pour me dire, mais pas des choses comme ça, mais des choses plutôt pour t'embellir. Sauf que je comprends. Sauf que moi, je ne suis pas du style à montrer mon appartement quand il est toujours parfait. à filmer mon appartement quand il est toujours magnifiquement rangé, quand il y a la table qui brille. Non, des fois, je le filme, je suis en train de travailler dessus, il y a un peu de poussière. C'est normal. Des fois, je filme, je suis en train de parler, j'ai un, deux, trois casseroles dans le truc. Oui, parce que j'ai mangé à midi et je n'ai pas forcément nettoyé les casseroles tout de suite. Je le ferai le soir. Ce sont des détails que beaucoup de personnes perçoivent et je comprends. Je comprends tout à fait. Mais après, ça se travaille. Enfin, ça se travaille. Ça se travaille dans le sens où, quand je filme, non, même pas, ça se travaille. Même pas. Je vais rester qui je suis. Et voilà. Après, j'ai pris en compte son commentaire et ça s'arrête là. Voilà, clairement. Par contre, les guys, je vais vraiment clôturer cet épisode ici. Par contre, je vais vraiment essayer de faire des efforts, de faire en sorte d'avoir, pour chaque épisode, un thème précis, une thématique précise et de se lancer sur la thématique. N'hésitez pas... à me proposer en DM sur Instagram des thématiques. Et après, à partir de là, moi, je lancerai le dialogue, j'ouvrirai le dialogue et je vous donnerai mes avis, ce que j'en pense, pour vraiment être en interaction. avec vous, clairement, ça peut être super intéressant. Je vais essayer de reprendre les carnets sonores. Les carnets sonores, c'était... C'était... En fait, c'est plein de petits moments que je me filme, que je m'enregistre en audio sur deux mois. Par exemple, je peux parler demain, après demain, dans trois jours, dans quinze jours. Après, je remets tout en un seul audio. Après, je le publie. Et ça fait un carnet sonore sur... 2 mois. Donc ça fait un peu comme un vlog en mode audio sur 2 mois. Et le premier que j'ai posté, il a fait je crois entre 15 et 20 écoutes. C'est pas énorme, mais écoutez, c'est déjà ça. C'est mieux que rien. Donc on va pas se plaindre. C'est déjà ça. Voilà. Donc ça veut dire que plus les jours passent, plus mes stats augmentent. Donc je suis content. Je suis sur la bonne voie. J'ai encore beaucoup de choses à apprendre. J'ai encore beaucoup de choses à m'améliorer. Je continue. Je ne vais pas baisser les bras. Keep going. Keep going. Believe in yourself. Believe in myself. Je suis capable de le faire. Je vais y arriver. Je n'ai pas lâché l'affaire. Je sais où je vais. Je sais ce que je veux faire dans ma vie. Et voilà, tout simplement. En tout cas, merci d'être là, les guys. Merci à ceux qui me soutiennent. Ceux qui sont là depuis le début. Ceux qui repartagent. Ceux qui laissent des commentaires ou qui me suivent sur les réseaux sociaux. Ça me fait super plaisir. Je ne suis pas prêt d'arrêter. C'est que le début. C'est le début de grandes, grandes choses. Donc, comme je vous dis à chaque fois, merci beaucoup. Merci, les gars. Et je vous dis à la prochaine fois pour un nouvel épisode.

  • Speaker #2

    La bise.

Description

Il est temps de dire les choses !!

Dans cet épisode, je parle sans filtre des revers du digital : les critiques, les comparaisons, la pression de devoir être “parfait” ! Je te partage ma vision, mes émotions et quelques vérités qu’on oublie souvent derrière les écrans.


Je suis vrai et sans filtre, pour tous ceux qui refusent de se travestir pour être aimés.

Je suis moi-même et ça plait tant mieux, ça plait pas ok et alors ?

#authenticité #êtresoi #podcastfrançais #sansfiltre #vraieparole #réseauxsociaux


QUI SUIS-JE 
❀ Je ne suis ni freelance, ni millionnaire. 

❀ Juste un simple jeune de 23 ans qui partage son quotidien.


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    Ouais, c'est moi

  • Speaker #1

    Hello les gars Je crois que vous allez tous très très bien Bah écoutez, moi ça va Aujourd'hui on se retrouve pour un nouvel épisode Donc là je suis venu avec mon Attendez je m'étouffe, attendez, attendez Une diva s'étouffe quand même, attendez Oh my gosh Reste en vie Believe in your dream, believe in yourself Non, oh je suis une vraie folasse aujourd'hui Du coup les guys, je suis trop content de vous parler Je suis excitin du cul. Non, je rigole. Pas du tout, calme Thomas, calme-toi. Canalisation des émotions, très important. Du coup les guys, j'espère que vous allez bien. Donc là, je suis dans ma voiture, parce que vous savez que malheureusement, j'enregistre mes podcasts dans ma voiture. J'ai pris l'habitude. Bref, j'en ai déjà parlé, donc on ne va pas rentrer là-dedans. Dans cet épisode, les guys, encore une fois... C'est évident et il est clair que je n'ai pas fait de thématique précise pour cet épisode. Donc on va parler un peu de tout, de ce qui se passe en ce moment un peu dans ma vie, mais rapidos. Mais je voulais quand même vous faire cet épisode parce que j'ai envie d'être régulier. J'ai envie d'avoir une certaine régularité et une permanence, on va dire ça, avoir une permanence régulière. Je pense que ça se dit, je pense que c'est français pour mon podcast. surtout que Je suis trop content les guys. Alors attendez, attendez, attendez. On va mettre le jingle avant. Comme je dis à chaque fois, take your little cozy and let's go. Les guys, du coup, first point. Je suis trop content parce que maintenant, quand je tape cozy podcast sur Google, il ne me le trouvait pas. Et maintenant, quand je tape cozy podcast sur Internet, il me met enfin Enfin, les recherches de mon site internet, Apple Podcasts, Spotify, Anchor et d'autres que je ne connais pas mais qui sont sûrement partagées sur d'autres plateformes, je suppose. Je suis trop content. Je suis trop content. Ça veut dire que c'est en train de marcher, que ça évolue étape par étape et je suis mais very excited. J'adore. Donc là, je suis dans ma voiture. J'ai mis le chauffage. Je vais l'éteindre parce que l'essence m'inzit. Du coup les guys, je pense que vous devez sûrement capter que j'ai un... Le son est peut-être meilleur, je sais pas. Je pense qu'il est meilleur. En fait, c'est mon... C'est le micro... Le micro de la marque... Je sais plus la marque que c'est. Moi j'avais... Je sais plus la marque que c'est. En tout cas, c'est la marque Rode. Voilà, c'est le micro de la marque Rode. Le micro poche. Micro cravate poche de la marque Rode. Là, je suis dans ma voiture. Je vais vous parler un petit peu. Je suis... pas mal de choses à vous dire. Déjà, dans un premier temps, la régularité. Du coup, juste pour vous dire que mon leçon doit être meilleure, je ne sais pas, en tout cas, j'avais envie de changer pour voir. Dites-moi en commentaire ou envoyez-moi un DM sur mes réseaux sociaux. C'est Timcoz2909, mon Instagram. Ou sinon, vous me laissez un petit commentaire sur Apple Podcast ou Spotify Podcast, comme vous voulez. Mais n'hésitez pas vraiment à interagir, à mettre des étoiles aussi. et à évaluer mon podcast. Soyez honnêtes parce que, voilà, au moins, vous le notez. Si vous voulez me déglinguer, vous me déglinguez. Et si vous le trouvez intéressant, n'hésitez pas, vraiment, parce que j'ai beaucoup d'écoutes, mais je n'ai pas beaucoup de personnes qui m'aident des étoiles, qui s'abonnent. Vraiment, n'hésitez pas parce que ça peut me permettre, du coup, je parle très vite. Ça peut me permettre de monter dans le classement, d'avoir un meilleur visionnage et d'être plus... d'avoir une amplitude de partage en automatisme par les plateformes donc je pense... Ah j'ai un moustique qui vient de rentrer dans ma voiture Ah bah oui j'ai mes lumières qui sont allumées aussi Oh l'horreur Oh non Non Il va me piquer, il va me bouffer Elle ne veut pas s'éteindre, elle ne veut pas s'éteindre les lumières Et tenez-vous s'il vous plaît

  • Speaker #2

    Et, et

  • Speaker #1

    On s'en fiche Puisque je vous disais Ah ça y est, ok j'ai compris, j'ai compris Ok je crois que j'ai compris Et euh Et du coup, ouais, donc là, on va voir où ça... Il ne veut pas sortir. Allez ! Tiens, ce n'est pas possible, ça. Ça va être des moussiques de merde comme ça, là. Du coup, les gars, je vous disais que je suis content pour la régularité. Il faut que ça continue. Il ne faut pas que je baisse les bras. Et on continue ensemble, on progresse ensemble. Et je vais vous prouver qu'on peut réussir en partant d'en bas. Il faut avoir de l'ambition. Il faut continuer à croire en ses rêves, à croire à ce qu'on est capable, ne pas écouter les autres. On est notre seul arbitre. Il n'y a que nous qui pouvons décider réellement de ce que nous sommes capables. Personne ne peut juger de quoi on est capable et personne ne peut dire ce qu'on doit faire ou ne pas faire. indirectement. Après, si on est sous tutelle au curatel, là, c'est autre chose. Mais je parle de 98% des cas, on est nous-mêmes notre propre arbitre, clairement. Si on est dans le négatif, il y aura du négatif qui va arriver, c'est tout à fait... C'est même la loi de l'attraction, c'est normal. Quand on est très négatif, il n'y a que de la négativité qui nous retombe dessus. Et quand on est positif, qu'on essaye de positiver au max, les choses positives nous arrivent. Là, je ne vais pas entrer dans les détails, mais je vais peut-être avoir un appartement. Pour ne pas vous rejouer, excusez-moi, je suis naturel avec vous. Parce que quand je vous parle, ça prouve que quand je parle au micro, ça me détend tellement. En fait, je me relaxe, je me pose, je prends du recul sur les choses, je pèse les mots. Quand je pèse les mots, c'est-à-dire que je ne suis pas une folasse qui parle. Bon, ok, la petite folasse du coin peut revenir. Voilà. mais il faut être sérieux c'est important d'être sérieux quand même surtout que j'ai fait un entretien récemment bon je ne vous dirai pas dans quelle case dans quelle cause mais j'ai fait un entretien récemment et on m'a dit qu'il fallait que j'arrive à canaliser mes émotions, que j'étais une personne qui avait beaucoup de peps, beaucoup d'émotions qui débordait de créativité ça on me l'a toujours dit et qu'il fallait que j'arrive à canaliser mes émotions parce que pour un certain type de post il faut savoir prendre du recul et être calme Merci. Le problème, c'est que je suis quelqu'un de calme, je suis quelqu'un de calme, de travaillé, avec de la mature idée. Après, je n'ai pas besoin de me justifier ici de pourquoi mon entretien s'est bien passé, mais je n'ai pas été pris. Là n'est pas la cause. La cause est que je pense que je suis jeune, que j'ai eu 23 ans, et c'est sûr qu'ils préfèrent peut-être prendre une personne qui a 15 ans de plus que moi, qui a peut-être une quarantaine d'années, ou 35, ou 40 ans, qu'un jeune de 23 ans. Je peux tout à fait comprendre. La personne de 23 ans n'a pas encore tout vu, elle manque encore de maturité et je peux comprendre. Mais dans le sens où moi je trouve ça dommage, parce que je trouve ça dommage dans le sens où je pense qu'il faut faire un peu évoluer les mentalités. Après je ne critique pas la décision qui a été prise par cette direction et par ces ressources humaines. Attention bien évidemment, on est bien d'accord. Mais je pense qu'il faut donner la chance aussi un peu aux jeunes, dans le sens où je pense que les jeunes ont quelque chose à apporter. Je pense que les jeunes ont de la fraîcheur à apporter. Et justement, je pense qu'il faut savoir donner la chance aux jeunes et justement leur apprendre le métier, pas leur apprendre la vie. Attention, mais leur apprendre le métier. En plus, nous les jeunes, c'est nous l'avenir de la France. L'avenir de la France, ce n'est pas les personnes... Pardon, attention, je ne critique personne. Il faut dire les choses. L'avenir de la France, ce n'est pas les personnes qui ont 40, 45 ans, 50 ans. L'alliant de la France, c'est les personnes qui ont 18, 20, 25, 30 ans, qui rentrent sur le marché du travail. Sauf que maintenant, on est la génération Z, on est trop mal vu. Parce que je ne suis pas millenial, je suis né dans les années 2000, je suis né en 2002 exactement. Les années 2000, 2002, je trouve pour ma part, déjà au début, certains sont un peu perdus, ils ne savent pas où ils veulent aller, mais pour d'autres, on est très mal vu. La génération Z, on est mal vu. On est catégorisé comme instable. Je parle pour ma expérience, même quand je parle avec des copines, quand je vais boire des verres avec des copines, mais pas tout le temps. Et attention, l'habit d'alcool est dangereux pour la santé, je précise. On a l'impression que les personnes qui ont entre 20 et 30 ans, ou un peu moins, c'est 20-25, 20-26, on est mal perçu quand on veut postuler à une société, à un poste, quand on se propose à des stages, à des alternances. Et en fait, c'est le motif de refus. On ne nous le dira pas, en fait, réellement. Et ça, je trouve ça dommage. Et ça, j'ai l'impression que c'est aussi un peu à cause des réseaux sociaux, parce que les réseaux sociaux, ils ont propagé des images et une vague de personnes qui étaient dans la génération Z, qui, en tout cas pour ma part, ne me ressemblent pas. Vous voyez, j'ai vu des TikTok la dernière fois, où c'est une fille qui disait qu'elle faisait 8h, 16h30. 16h30, c'était la première devant la porte pour partir. Et ça, c'est la nouvelle génération Z. Ben non. moi je ne fais pas comme ça, moi je fais des heures sup moi je kiffe mon travail je ne suis pas là à partir déjà à 14h ou à 16h30 ou à me préparer déjà mes affaires comme quand j'étais en cours en études sup, quand j'étais en cours je savais que le cours allait terminer dans 10 minutes je commençais déjà à ranger mes affaires là tu es dans le milieu pro, tu ne commences pas à ranger tes affaires tu danses déjà 5 minutes avant après chacun fait ce qu'il veut bien évidemment mais pour moi il faut toujours en faire un peu plus il faut toujours en faire plus que la majorité Il faut toujours se démarquer, il faut toujours avoir un petit plan B, toujours faire plus que la moyenne. Quand j'étais étudiant, c'est toujours la chose que je me suis dit. Essayer de faire plus que la moyenne. Même si j'avais du mal, j'ai eu du mal. J'ai eu une petite période, une petite période un peu longue d'ailleurs. Un peu compliquée par le burn-out. Mais je me suis remis beaucoup en question. J'ai posé beaucoup de questions sur ma vie, sur moi-même. Je me suis beaucoup recherché aussi sexuellement. Voilà, vestimentairement parlant aussi. Ça, j'en ai déjà parlé. Je ne connaissais pas trop mon style. Je suis passé par plein d'étapes. Je suis passé par l'étape gothique. Gothique, pas gothique, mais classe, sexy. Je portais des talons. Je portais des talons un peu punk. Je portais des talons noirs dark. Je pouvais faire des maquages très dark. Je pouvais m'habiller hyper blanc, hyper sainte, hyper petite plume de la nuit. Je me cherchais, en fait. Je me cherchais, je pense, vestimentairement parlant, sexuellement. et j'essayais aussi de faire de main posée, en fait, je pense. Peut-être que je manquais de confiance en moi. Bon, là, je vais beaucoup trop loin, je pars dans tous les sens, mais c'est pas grave. C'est l'art du podcast. De toute manière, cet épisode, il n'aura pas de thème précis. Je parlerai un peu de tout et de rien. Par contre, j'ai déjà quand même à le préciser, je pense que c'est important. Si j'ai du mal à articuler, j'en ai déjà parlé, mais je vous le redis. Je vous tutoie, on se voit ou on se tutoie ? I don't know, I'm so sorry, bitch. Non, du coup, j'ai un problème d'articulation, parce qu'en fait, quand j'étais petit, je me suis fait opérer du frein lingual. Le frein lingual, c'est le frein, c'est le frein, n'importe quoi. C'est le fil qui est en dessous de la langue. En fait, on a dû me l'opérer. Là, je me justifie pour que vous compreniez. Parce qu'on m'a déjà fait la réflexion que je n'articulais pas assez. Et j'essaie de faire vraiment des efforts. En plus... Après cette opération, j'ai fait pendant deux ans de la rééducation maxillofaciale. Je crois qu'on dit comme ça, je ne sais plus. Maxillofaciale, je ne sais plus, je crois qu'on dit comme ça. J'en ai déjà parlé, je me répète presque à beaucoup d'épisodes sur ce sujet, et c'est important. Voilà, c'est comme les personnes qui zozotent, on a du mal. On a du mal, on essaye, on fait vraiment des efforts. Au quotidien, ce n'est pas toujours agréable. surtout en milieu pro aussi, d'essayer de parler clairement devant tout le monde, d'où aussi l'intérêt. Si vous avez écouté mon épisode de podcast que j'ai fait juste avant, je parle de l'art oratoire et que l'art oratoire me plaît. La rhétorique, utiliser le son de sa voix, jouer avec les mélodies, je trouve ça hyper intéressant. Avec mon problématique de frein lingual, je pense que ça peut être hyper intéressant. pour jouer sur l'articulation, sur la méthodologie de langue, d'accentuer les mots, de bien utiliser la langue française, d'utiliser des bons mots, des bonnes techniques de grammaire et d'orthographe française. Je trouve que ça peut être hyper intéressant. Donc voilà, petit point sur ça, au moins on est clair. Donc du coup les gars, je vais changer de sujet. On va partir sur un autre sujet. J'étais au travail et du coup, il y a des collègues de travail qui sont tombés sur mes réseaux sociaux. Donc moi, sur mes réseaux sociaux, il faut savoir que moi, je partage de la mode, de la beauté et du lifestyle. Donc le lifestyle, je partage mon quotidien. Donc je filme mon appartement, je filme mon bordel, mon quotidien. Quand je fais la vaisselle, quand je range, je fais des avant-après. Voilà. Et ça fait partie de mon quotidien. Et j'ai toujours fait ça. J'ai toujours aimé faire ça. Et là, ce n'est pas la semaine dernière. Il n'y a pas un collègue qui me dit

  • Speaker #3

    « Si tu as quelque chose à améliorer, tu as beaucoup de qualité, mais si tu as un défaut, je pense que c'est ton manque d'hygiène. »

  • Speaker #2

    Quand il m'a dit ça, je vous avoue que je n'ai pas trop compris.

  • Speaker #1

    Et je lui ai dit « Attends, tu as dit quoi là ? »

  • Speaker #3

    Il m'a dit « Je trouve que tu as beaucoup de qualité, mais tu as aussi un défaut. » que j'ai pu apercevoir, c'est ton manque d'hygiène.

  • Speaker #1

    Et quand il m'a dit ça, je me suis dit, waouh, le culot. Et en fait, il m'a dit oui,

  • Speaker #3

    parce que j'ai vu sur tes réseaux sociaux,

  • Speaker #1

    et là, j'ai capté direct, j'ai capté direct. En fait, c'est un jugement sur ce qu'il a vu. Il a dit oui,

  • Speaker #3

    mais ce que tu montres sur les réseaux sociaux, normalement, c'est censé.

  • Speaker #1

    Et c'est là, en fait, la problématique. Et c'est pour ça que je fais aussi cet épisode.

  • Speaker #3

    il m'a dit quand tu montres Quelque chose sur les réseaux sociaux, normalement ça fait pour t'embellir, ça fait pour te rendre joli, joyeux, sexy, classe, c'est pas fait pour te dégrader.

  • Speaker #1

    Bah en fait non, moi sur mes réseaux sociaux je suis naturel. Je montre le avant-après, mon appartement, quand il est que j'ai peut-être pas eu le temps de le nettoyer. Et du coup, après, je fais l'aspirateur, le ménage, le repassage, je fais tout. Les WC, les toilettes, je fais tout d'un coup. Ou sinon, je passe un petit coup d'aspirateur vite fait les mercredis. Et après, le week-end, je lave tout. Mais je ne vais pas m'amuser à faire l'aspirateur, le pavé, les vitres tous les jours. À un moment donné, il faut être concret et correct aussi. après s'il y a des personnes qui sont comme ça parfait pour eux. Mais moi, ce n'est pas mon cas. Et je trouve ça dommage. Je trouve ça dommage, cette réflexion. Je l'ai prise en considération. Je l'ai notée dans ma tête. Et du coup, j'en ai parlé avec ma sœur tout à l'heure. Elle m'a dit,

  • Speaker #4

    tu devrais arrêter de montrer des choses intimes de ta vie.

  • Speaker #1

    Le problème, c'est que ça fait partie de moi. J'ai toujours été comme ça. J'ai toujours partagé des choses sur mes réseaux sociaux. Donc, je me dis, est-ce qu'il n'y aurait pas peut-être une limite à ne pas dépasser ? Comme quand on montre des enfants, quand on filme le quotidien des enfants qu'on en a, comme les personnages de télé-réalité qui ont carrément créé des comptes sociaux pour leurs enfants. Et ils postent des photos d'eux en maillot de bain ou en train de rigoler avec des jouets de Noël. Sauf qu'ils ne savent pas qu'il n'y a pas réellement de consentement. Ça, c'est... Ça, c'est mon avis. Attention. Après, chacun a son avis. Pour moi, il n'y a pas de consentement. Le petit ne capte pas ce que tu fais. Autant, dans 10 ou 15 ans, il va être déçu parce que sa vie sera déjà partagée sur Internet. Et en plus, je vais aller plus loin, les guys. En plus, avec l'ère de l'intelligence artificielle, on a de plus en plus de vidéos qui sont fausses ou c'est des bébés qui courent de partout, qui font des vidéos. Enfin bref, c'est des fausses vidéos. Sauf que le visage de la vidéo, il est pris où, ce visage ? Il est pris dans d'autres choses. Je regarde quand même autour de moi parce que même si je suis à l'une aile, je remets la sécurité. On ne sait jamais. Bref, je ne sais pas où je suis parti un peu trop loin, les guys. Mais vous m'avez compris. Il faut faire attention à tout ça. Il faut vraiment faire attention à tout ça. Il faut bien faire les choses, bien réfléchir avant de prendre des décisions. Parce que des fois, il n'y a pas de retour en arrière. À partir du moment où c'est sur Internet, c'est sur Internet. Mais pour moi, en fait, ça fait partie de mon quotidien. J'ai toujours créé des guides depuis que je suis petit. J'ai toujours aimé la création de contenu. J'ai fait de la peinture, j'ai adoré le dessin, je dessinais avec mon papa, j'avais de la pâte à modeler, j'avais des crayons, j'avais plein de stylos, j'avais des feutres de toutes les couleurs, j'avais des mandalas. J'ai toujours été dans le milieu créatif. J'adorais les magazines. Quand j'étais petit, j'adorais les magazines de mode. Je regardais comment c'était fait, les magazines, la manière dont c'était fait. Je trouvais ça juste incroyable. Rien que le magazine pour les petits à l'époque quand je regardais Disney Channel. Comme les grands posters avec Bella Thorne et Zendaya pour ceux qui ont la ref. Zendaya, c'est le café Shake It Up Chicago sur Disney Channel. Ou même Anna Montana by Miley Cyrus. Pour ceux qui n'ont pas l'arrêt, c'est celle qui chante I keep hunting the flowers, la la la, les merveilles aériennes. Bref, vous m'avez compris. Et je trouve ça juste incroyable, la communication, le marketing, la typographie. Ça m'a toujours plu en fait, ce milieu m'a toujours plu. Donc je ne vais pas m'arrêter parce qu'il y a un collègue qui m'a dit je trouve que tu manques d'hygiène, mais je trouve que c'est culotté de me dire ça. Après, c'est son avis. À partir du moment où on s'expose sur les réseaux sociaux, Il faut qu'on s'attende à avoir de la haine ou avoir des gens gentils. C'est obligé. On ne peut pas ne que avoir des personnes qui ont un avis positif. Quand j'entends des personnes qui disent « Alors moi,

  • Speaker #0

    j'ai une communauté, c'est que des amours. »

  • Speaker #1

    Tu as 2 millions d'abonnés, ne me dis pas qu'il n'y a pas 10 ou 2% qui ne te déglinguent pas, ce n'est pas possible. Ou qui ne t'envoient pas des menaces de mort, mais qui ne te disent pas « t'es nul » ou « t'es une merde » ou « qu'est-ce que c'est que ça » ou « j'ai envie de vomir » . Du coup, ça m'a aidé à aller chier. Ça m'a aidé à aller faire caca aux toilettes. J'envoie des trucs comme ça des fois. Et c'est des gens qui sont nuls. Ils n'ont rien à apporter. Ils ne devraient même pas regarder ces vidéos-là. Donc moi, quand j'ai des commentaires comme ça, moi, je les bloque. Et certains, je les signale. J'ai eu des commentaires de haine méchants. Je me suis fait déglinguer. Sur certaines de mes vidéos qui ont le plus marché, j'ai une vidéo qui a atteint presque 300 000 vues, 290 000 ou 303 000 vues, je ne sais plus. Dans les commentaires, je me suis fait déglinguer. Et heureusement que j'ai des personnes que je ne connais pas, qui sont venues en mon soutien. Quel est l'intérêt de poster un commentaire comme ça ? Voilà, après c'est les réseaux sociaux, là c'est encore un grand débat que j'ouvre, je vais le clôturer vite parce que je ne veux pas que cet épisode dure trop longtemps, mais c'est un vrai débat. Est-ce qu'à partir du moment où on va sur les réseaux sociaux et qu'on s'expose, est-ce qu'on peut s'attendre à tout ou est-ce qu'on peut nous-mêmes poser des limites ? Voilà, tout là est l'art des choses, tout là est l'art de la conversation, du dialogue, de bien réfléchir à ce qu'on fait. Est-ce que je le poste ? Est-ce que je ne le poste pas ? Est-ce que si je le poste, je vais regretter ? Est-ce que si je le poste, je ne vais pas regretter ? Dans ce cas-là, on a déjà la réponse de savoir si on va le publier ou pas. C'est super important. Je vais être honnête avec vous. Moi, il m'est arrivé des fois où j'ai fait des épisodes de podcast que je ne voulais pas poster ou des reels que je ne voulais pas poster. Je me suis dit que ça ne va pas plaire. Les choses que je raconte, c'est trop personnel. On peut... Je peux me faire renvoyer par ma société parce que j'ai parlé de moi qui était sous pression, alors que ça n'avait rien à voir indirectement avec la société. Vous voyez, je vais encore une fois dire que je prends des risques à parler de choses comme ça, mais en fait non, parce que j'adore mon travail, j'adore ce que je fais, j'adore me lever le matin pour aller bosser, je fais mes chiffres, je fais mes stats. Mais comme toute société, on a une pression, on a des acceptations, on a des refus, on monte en grade, on monte pas en grade, on prend du temps, on s'intègre. On a des collègues qu'on aime bien, on a d'autres qu'on n'aime pas. C'est normal, c'est pas le monde des bisounours. À un moment donné, il faut arrêter. Pas dans le monde des bisounours, c'est tout à fait normal, on peut pas être parfait. L'être humain n'est pas parfait. Sinon, imaginez, on serait parfait. Les guys, entre nous, on se ferait chier. Si on serait tous parfaits et si on se ressemblerait tous, on se ferait chier, clairement. Mais oui, du coup, venant de la part de mon collègue, ça m'a fait chier parce que je l'appréciais bien, tu vois. C'est hyper gênant parce que je suis dans ma voiture et vu qu'il fait nuit, il y a de la buée qui se met derrière. Il y a des mecs au fond, ils doivent penser que je suis en train de baiser dans la voiture. Pardon, je parle mal, ce qui n'est pas le cas du tout. Je suis juste en train de parler dans un micro. Du coup, je fais de l'air, je dégage de l'air chaud. Et vu que du coup, je dégage de l'air chaud, ils doivent penser que je fais des tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam-tam dans la voiture. Ce qui n'est pas le cas du tout. Bref. Ouais, donc voilà. Sinon, rien de plus à vous dire, les guys. Après, je l'ai clairement dit, je l'adore. Enfin, ce collègue, je l'adore. Attention, ce n'est pas mon ami, mais je l'aime bien. Je lui ai clairement dit que je sais qui je suis, je sais ce que je fais et que si j'ai des conseils à recevoir de quelqu'un, ce serait mon daron et ma mère et personne d'autre, en fait. Je sais ce que je fais, je sais où je vais. Après, j'écoute, j'entends. Et après, c'est à moi de faire la part des choses. Je prends ou je laisse. Mais je suis ouvert au dialogue. Tu veux me donner ton avis, je le prends. Après, j'en fais ce que je veux. Voilà. Mais c'est dommage de se bloquer que à ça. Parce que, encore une fois, je me justifie indirectement. Je ne pense pas avoir un manque d'hygiène. Voilà. Enfin, franchement, c'est ridicule, quoi. Je ne vais pas me justifier ici parce que ça ne sert à rien, en fait. Même d'en parler, en fait, ça me dégoûte. Même de devoir en parler, ça me dégoûte. Mais c'est intéressant d'en parler parce que je pense que ça prouve que les réseaux sociaux, certaines personnes pensent qu'on met sur les réseaux sociaux les choses pour nous embellir. Et après, ce n'est pas méchant parce qu'en fait, je pense que dans la manière dont cette personne me l'a dit, c'était pour me dire, mais pas des choses comme ça, mais des choses plutôt pour t'embellir. Sauf que je comprends. Sauf que moi, je ne suis pas du style à montrer mon appartement quand il est toujours parfait. à filmer mon appartement quand il est toujours magnifiquement rangé, quand il y a la table qui brille. Non, des fois, je le filme, je suis en train de travailler dessus, il y a un peu de poussière. C'est normal. Des fois, je filme, je suis en train de parler, j'ai un, deux, trois casseroles dans le truc. Oui, parce que j'ai mangé à midi et je n'ai pas forcément nettoyé les casseroles tout de suite. Je le ferai le soir. Ce sont des détails que beaucoup de personnes perçoivent et je comprends. Je comprends tout à fait. Mais après, ça se travaille. Enfin, ça se travaille. Ça se travaille dans le sens où, quand je filme, non, même pas, ça se travaille. Même pas. Je vais rester qui je suis. Et voilà. Après, j'ai pris en compte son commentaire et ça s'arrête là. Voilà, clairement. Par contre, les guys, je vais vraiment clôturer cet épisode ici. Par contre, je vais vraiment essayer de faire des efforts, de faire en sorte d'avoir, pour chaque épisode, un thème précis, une thématique précise et de se lancer sur la thématique. N'hésitez pas... à me proposer en DM sur Instagram des thématiques. Et après, à partir de là, moi, je lancerai le dialogue, j'ouvrirai le dialogue et je vous donnerai mes avis, ce que j'en pense, pour vraiment être en interaction. avec vous, clairement, ça peut être super intéressant. Je vais essayer de reprendre les carnets sonores. Les carnets sonores, c'était... C'était... En fait, c'est plein de petits moments que je me filme, que je m'enregistre en audio sur deux mois. Par exemple, je peux parler demain, après demain, dans trois jours, dans quinze jours. Après, je remets tout en un seul audio. Après, je le publie. Et ça fait un carnet sonore sur... 2 mois. Donc ça fait un peu comme un vlog en mode audio sur 2 mois. Et le premier que j'ai posté, il a fait je crois entre 15 et 20 écoutes. C'est pas énorme, mais écoutez, c'est déjà ça. C'est mieux que rien. Donc on va pas se plaindre. C'est déjà ça. Voilà. Donc ça veut dire que plus les jours passent, plus mes stats augmentent. Donc je suis content. Je suis sur la bonne voie. J'ai encore beaucoup de choses à apprendre. J'ai encore beaucoup de choses à m'améliorer. Je continue. Je ne vais pas baisser les bras. Keep going. Keep going. Believe in yourself. Believe in myself. Je suis capable de le faire. Je vais y arriver. Je n'ai pas lâché l'affaire. Je sais où je vais. Je sais ce que je veux faire dans ma vie. Et voilà, tout simplement. En tout cas, merci d'être là, les guys. Merci à ceux qui me soutiennent. Ceux qui sont là depuis le début. Ceux qui repartagent. Ceux qui laissent des commentaires ou qui me suivent sur les réseaux sociaux. Ça me fait super plaisir. Je ne suis pas prêt d'arrêter. C'est que le début. C'est le début de grandes, grandes choses. Donc, comme je vous dis à chaque fois, merci beaucoup. Merci, les gars. Et je vous dis à la prochaine fois pour un nouvel épisode.

  • Speaker #2

    La bise.

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