Speaker #0Du coup, il y a une question que je me pose, c'est le questionnement de la légitimité quand on est créateur de contenu, parce que c'est vrai que j'ai l'impression qu'il y a personne qui en parle, je trouve ça triste. Take your little coffee and let's go. Le titre, c'est moi ou j'ai un truc dans la gorge ? J'ai un truc dans la gorge, c'est pas possible. Le titre est le suivant, est-ce que suis-je légitime en tant que... créateur de contenu. Donc je ne sais pas vraiment comment tourner le titre de cet épisode, mais en gros vous avez compris. Mais il y a plusieurs questionnements que je me pose. En gros, est-ce que moi, pour avoir ma place dans cette sphère de réseaux sociaux, dans cette sphère de création de contenu, de divertissement, si moi je suis légitime Tim Cos à créer du contenu, que ce soit, je ne sais pas, partager des conseils, des anecdotes, sachant que je ne me considère pas comme un expert. Je ne suis clairement pas un expert, que ce soit dans la mode ou la beauté. Je n'ai pas fait un master. pas chez vous. pas fait de grandes écoles de commerce comme les FAP, les SCOM ou il y en a d'autres, je les ai pas en tête mais il y en a d'autres. J'ai pas fait de licence, machin et tout, de luxurie, mode, fashion, luxurie. Est-ce qu'il faut vraiment être un expert ? Oui, je suis pas un expert et toutes ces questions, je me dis est-ce que finalement on peut tous être crainteur de contenu si on n'a pas une ex... une expertise, quoi. Des questions que je me pose souvent. Donc, du coup, je pense que c'est important de le savoir. Moi, il faut savoir que je suis né dans les années 2000, en 2002. Et en 2002, c'est l'ère de la création des réseaux sociaux. Donc, j'ai grandi, même si je ne l'utilisais pas. J'ai grandi avec la fin de l'ère de MSN et, on va dire, l'apogée de Facebook, en 2010. Avec ça. Je me rappelle encore que je prenais l'ordinateur. Que je prenais l'ordinateur de ma maman pour créer mon compte Facebook. Et j'avais tout à peine 13 ans Je crois que j'avais même pas 13 ans quand je l'ai créé Je crois que j'avais menti sur mon âge Parce que si j'avais pas 13 ans je pouvais pas créer mon compte Je sais même pas comment je fais pour créer mon compte Je sais plus Et c'était stylé à l'époque C'était stylé d'avoir un compte Facebook Tout le monde avait ses photos Tout le monde partageait ses trucs J'avais ajouté en favori Je m'étais abonné à des mecs que je trouvais sexy dans le collège Bref J'avais J'avais aucun intérêt à faire ça Tellement pire que certains m'ont trouvé complètement ridicule Et j'ai commencé à subir du harcèlement A l'époque clairement sur Facebook aussi Alors que voilà Et arrivé aussi un peu plus tard après Les débuts de Instagram Et de Twitter Mais ça je crois que c'était en 2012 Du coup on revient à nos moutons En fait la question est de savoir Si on peut avoir sa place dans le game Et si moi aussi je peux créer quelque chose, que ce soit une idée, un mouvement ou du divertissement, parce que je trouve qu'il y a déjà tellement de personnes qui le font déjà, avec un certain niveau de perfection, juste incroyable. Attendez, j'ai mon chat. Mimi, enlève-toi. Que ça soit le montage, que ça soit les carousels sur Instagram, que ça soit les collaborations, les voyages presse et des photos de dingue. Et certains ont des concepts sur YouTube qui sont tellement... où ils font des trucs 24h dans les hôtels de luxe 24h on teste une chambre à deux attendez Mimi enlève toi allez s'il te plaît t'es en plein milieu tu m'as fait perdre dans mon fil je sais plus ce que je disais du coup il y a plus de simplicité c'est toujours plus à croire que c'est limite une course à faire toujours plus c'est toujours le meilleur comme si il fallait se rechercher des trucs toujours plus innovants et du coup on se demande vraiment si on peut avoir sa place en fait clairement on peut en venir à se demander finalement qu'est-ce que je peux apporter de plus en fait qu'est-ce que je peux apporter de plus qui est peut-être déjà dans le marché si j'ai pas une si allez ça peut être une grosse personnalité s'inventer un personnage être un expert du coup mais sinon papa juste poster une vidéo et profiter, non papa je pense qu'à mon sens c'est saturé à moins d'être l'enfant ou d'être une personne connue la première personne à qui je pense, c'est directement le frère de Thibaut InShape qui s'appelle Antoine. Bon, je le connais pas, mais je pense qu'il a l'air sympa. Qui maintenant se maquille, qui fait des vidéos de maquillage. Il a fait le buzz. Quand il a parlé, j'ai un peu la sensation un peu qu'il piquait mon message, mais dans la facilité. Je sais pas si vous voyez ce que je veux dire. En fait, le mec, il est pas parti d'en bas. Après, tant mieux pour lui. C'est une chance, tant mieux pour lui. Mais il est pas parti d'en bas. Il a pas essayé de construire une audience sans avoir déjà une notoriété. Lui, il a déjà une notoriété parce qu'il est déjà... Merci. pouvait être connu très rapidement. Par son frère, sachant qu'on l'avait déjà vu dans des vidéos de son frère sur YouTube il y a plusieurs années en arrière. Donc il était déjà un petit peu dans la lumière indirectement. Donc je trouve que c'est un peu trop facile. Après tant mieux pour eux, tant mieux pour lui plutôt, tant mieux. Mais je trouve que c'est dommage parce que c'est trop facile. Et après son message est bien. Derrière tout ça il y a un message comme quoi il veut démocratiser un peu le maquillage chez les hommes. Franchement c'est sympa. Mais j'avais l'impression un peu qu'il me volait un peu mon message mais dans la facilité. Et je trouvais ça dommage. Après c'est que mon avis bien évidemment. Et comme je vous le disais. Aujourd'hui, je trouve que c'est compliqué de se lancer et surtout de rester motivé, que ce soit sur YouTube, sur Instagram ou même sur TikTok, peu importe. Même si c'est vrai que depuis quelques années, c'est saturé et que je me dis que quand on se lance dans une activité sur Internet, je trouve que l'impact et l'audience, en fait, elle ne va pas venir forcément tout de suite. En fait, elle va venir sur le long terme. Je n'ai pas envie de vous dire ça parce que j'ai fait des études de sup quand même, mais voilà. longtemps créateur de contenu j'avais à l'époque un blog je voulais encore d'ailleurs poste plus rien mais je l'ai encore et j'ai payé la gp le renouvellement de la licence pour avoir ma en mon propre nom et mon propre titre acheté pps mon nom de domaine du voilà j'ai racheté mon nom de domaine exactement les payer 96 euros je les paye tous les ans et au moins ça fait gagner en référencement mais c'est un peu nul parce que finalement je n'écris plus dessus mais oui Oui, c'était tendance, c'était bien, quoi. Et comme je vous le disais, il y a... plusieurs moyens pour créer du contenu, mais après, il faut savoir lequel on veut, quel format, sur quel outil, enfin bref, c'est très très vaste tout ça. Et oui, comme je vous disais, depuis quelques années, c'est bizarre, mais si on veut se lancer sur les réseaux, je trouve qu'il faut être sûr de soi et avoir un vrai projet. Avoir un projet... J'arrive plus à parler français. Avoir un vrai projet, et je trouve ça dommage, mais aujourd'hui, comme je vous le disais tout à l'heure, en fait, on peut pas se lancer pour se lancer sur les réseaux. Avant, on pouvait le faire sur YouTube. ou à l'arrivée des réseaux comme à l'époque Musical.ly après être devenu TikTok, où ça marchait à tous les coups. Les algorithmes étaient hyper simples. Un exemple, je ne sais pas, mais c'était de YouTube de 2005 à 2010. En gros, c'était avoir un titre un peu plus à clic, et faire ça, du coup, ça faisait monter en audience. Et même si la vidéo n'était pas forcément avec un vrai fond, et ça n'avait pas forcément de vrai watch time, donc le watch time, c'est le nombre de personnes qui restent longtemps sur la vidéo, Si je ne me trompe pas, c'était le nombre de personnes qui cliquent sur ta vidéo. Donc si tu cliques sur la vidéo, mais que même tu ne la regardes pas en entière, ce n'est pas grave, tu as cliqué dessus, donc elle va être proposée à d'autres personnes, donc plus d'élargissement de cible, donc plus de vues. Et sauf qu'après 2012, l'objectif de YouTube, donc l'algorithme, change. Et là, ce n'est plus les nombres de clics, mais c'est le nombre de watch time. Donc le nombre de watch time, c'est le nombre de temps de visionnage. Et je pense directement à Lena Situation qui arrive en 2016, je crois 2016-2017, qui au début faisait des vidéos un peu classiques et qui après avec le temps, au bout de même pas un mois, un mois et demi, elle nous sortait des vidéos qui étaient dignes d'un film hollywoodien. C'était juste incroyable. Elle a réussi à se démarquer de la concurrence en faisant ce que faisait une américaine mais version française. Et elle a tout fait péter. Et là, alors, elle est partie de rien du tout. Elle est partie de filmer chez ses parents, et là aujourd'hui elle a plus de presque 5 millions d'abonnés sur Instagram. Elle va faire des défilés de mode, des voyages et tout. Mais elle a été régulière et je pense qu'elle s'est lancée aussi un peu au bon moment, je veux dire. Après, je sais qu'il faut être régulier aussi. Régulier et réactif sur les réseaux sociaux. C'est vrai que ça c'est une chose que j'ai eu du mal à appliquer. Et je m'en veux d'ailleurs. C'est une grosse erreur de ma part que j'ai fait quand j'étais étudiant. Mais j'en ai pris conscience. Et c'est vrai que... Ciao ! c'est pas une obligation mais c'est une forte recommandation si on va avoir une audience engagée et si on va avoir l'interaction donc l'interaction c'est hyper important barrage de rien vous apprendre parce que je suis pas là pour faire un cours de marketing franchement pas du tout en fait c'est un oeil mais oui partie moins l'interaction que ce soit les lacs les j'aime les commentaires si les gens qui enregistrent si les gens qui partagent avec leur entourage leur cercle entourage des amis peu importe Du coup, ça va créer de l'attraction sur la publication. Et du coup, le réseau social, peu importe lequel, peu importe lequel, que ce soit Facebook, que ce soit Twitter, enfin Twitter, maintenant il s'appelle X, enseignement Twitter, merci, j'ai dit Reddits Presley, n'importe quoi. Elon Musk, de l'avoir appelé X, l'intérêt, je ne sais pas. Je trouve qu'il est trop extrême. Même si oui, il a inventé des choses, oui, il a une facilité d'aborder... Peu importe le thème, il a une manière de parler qui est intéressante au niveau business. C'est un vrai businessman. Mais je trouve que politiquement parlant, il s'est placé avec les mauvaises personnes. Il a fait des choses pas top. Dernièrement, on a vu avec Donald Trump. Apparemment, j'ai entendu dire qu'il s'était retiré. Même si c'est retiré pour moi, quand c'est fait, c'est fait. Il ne faut pas non plus toujours juger avec le passé. Mais là, ça reste quand même assez récent. C'est vrai qu'il a fait des choses. Enfin bref, pas rentrer là-dedans non plus. Mais ouais, il faut être régulier parce que si t'es pas régulier bah du coup tu seras pas bien avant Et ça, ça c'était pas le cas avant Avant tu postais une publication, ta publication elle faisait toujours 300 likes mais ça c'est fini ça maintenant Les algorithmes sont beaucoup plus approfondis Et aussi il faut avoir un mental de winner Pourquoi ? Parce que déjà ça peut faire un peu lien avec ce que je disais tout à l'heure Faut avoir un mental de winner parce qu'en fait il faut pas... Bah il faut clairement pas... Il ne faut pas laisser tomber. Il faut continuer à publier, à progresser, à évoluer. Du coup, à force de publier, à devenir un expert dans le domaine. On peut devenir un expert dans ce domaine avec le temps aussi. Je vais même vous dire un truc. Vous allez rire. Dites-vous que moi, à l'époque, ça me fait rire. Vous allez voir pourquoi. En deux semaines, j'avais pris 16 abonnés. Je faisais entre 300 à 2 000 vues sous toutes mes vidéos. En fait, j'étais un peu le Michou, le Inukstak de l'époque, parce qu'on est de la même génération. Donc, on avait un an d'écart. On a un an d'écart, on est en gros de la même génération. À l'époque, je faisais déjà, bon, c'est plus le cas, mais à l'époque, je faisais déjà des vidéos YouTube où je présentais des shampoings, des gels douche. Je montrais mon dentifrice et tout. Et ces vidéos marchaient super bien. Je me rappelle, en deux jours, je faisais 1 000, 2 000, 3 000 vues. J'avais beaucoup de likes, sauf que j'avais quoi, 13, 14, 15 ans. Sauf que quand mes parents sont tombés sur ça et qu'ils m'ont appris la cause de ma sœur, ils ont décidé, étant donné que j'étais mineur, ils n'ont même pas cherché à comprendre, sachant que je faisais des vues et que je pouvais peut-être potentiellement gagner de l'argent. Mais bon, à cette époque-là, je ne pensais pas du tout à ça. Je ne pensais pas du tout, je le faisais vraiment dans une vibe de rigolade. Et ils n'ont même pas cherché à comprendre, ils n'ont même pas cherché à savoir pourquoi je faisais ça. Parce que je faisais ça, parce que ça me faisait du bien, parce que je subissais du harcèlement au collège. Donc c'était une manière pour moi de me mettre dans ma bulle. Ils ont même pas cherché à comprendre. Bon, c'est pas grave, c'est fait, c'est fait. Et ils ont supprimé ma chaîne. Voilà. Sauf que c'est dommage parce que je suis sûr qu'à l'heure actuelle, j'aurais pu être millionnaire. Je mets ma main à couper que j'aurais pu être millionnaire. Et j'aurais pu être le InoxTag de maintenant, qui a 5 ou 10 millions d'abonnés sur Instagram. Il fait tout péter, il y a des marques de partout dans le monde, enfin bref. Voilà, sauf qu'on m'a supprimé mon truc, mais bon, c'est pas grave. Et c'est fou, ça prenait une ampleur de dingue. Juste une vidéo marchait tellement bien. Et le pire, c'est que même les gens du collège m'en parlaient. Même si j'avais commencé déjà à avoir de la jalousie. Parce que c'était innovant, c'était tout nouveau. Donc les gens étaient jaloux que je fasse des vidéos sur YouTube. Et il me fallait un énorme culot aussi. Un énorme culot pour... prendre son téléphone, son tout premier, premier, premier téléphone qui était à l'époque, je me rappelle, quand j'étais en 5e, c'était le Sony Xperia V1, Z1, ZE, je ne sais plus, un téléphone éclataxe, mais c'était mon premier téléphone, c'était mon bébé, et truc de dingue, j'avais carrément fait un truc, c'est que du coup, quand j'étais au collège aussi, du coup, il est arrivé en 2012, 2013, donc quand je suis arrivé en 6e 5e Le début d'Instagram. Donc, j'étais à fond dans ce réseau social. Je mettais toute ma vie dessus. Et je vais même vous dire un truc. J'avais un compte Instagram. J'avais eu plus de 2500 abonnés. En 4, 5, 3 semaines. Même pas un mois. Je ne sais même plus. En tout cas, très rapidement, j'ai eu beaucoup d'abonnés. En fait, je me servais d'Instagram. Pour partager mes posts. Et pour partager des liens. déjà de mes vidéos YouTube. Donc, imaginez déjà à l'époque l'énorme effet de levée que ça faisait. Je n'avais même pas besoin, à l'époque, de mettre de hashtag. J'avais déjà inconsciemment ce côté business et marketing quand j'étais petit. J'essayais de soigner mon feed sur Instagram avec un minimum d'esthétique, un minimum d'esthétisme où il fallait que les couleurs soient appropriées où chaque nouvelle semaine, je publiais, je partageais mon... ma vidéo YouTube, et je partageais aussi des thématiques. Je me rappelle, c'était trop drôle. Je partageais plein de photos, que ce soit des séries, comme à l'époque Vampire Diaries. Il y avait aussi l'arrivée de Lady Gaga, l'extension de Lady Gaga. Il y avait les anges de la télé-réalité, avec Nabila, les anges 5, la mode swag. On était swag avec les casquettes, les grosses casquettes. Il y avait aussi Percy Jackson. Percy Jackson c'était les films que je kiffais à l'époque les One Direction aussi et si en gros je partageais un peu mes coups de coeur et mes envies, j'envahissais Instagram de publication les personnes qui s'abonnent à moi elle les avait au moins dans leur feed quand elle clique ouvrir instagram au moins quatre ou cinq publications j'ai publié des tonnes de publications par jour je sais pas où je trouvais la force mais je le faisais il est pire du pire c'est que ça marchait alors dites vous que à l'heure actuelle je vous parle ce que j'aurais pu être c'est pas grave parce que l'on peut pas et par an décidons décider de tout me supprimer par remis en arrière Voilà. Pourtant, je ne publiais pas mes fesses, quoi. Franchement, je montrais juste un shampoing et un dentifrice. Ce n'était pas non plus... Voilà. Mais pour eux, ce n'était pas normal de faire ça. J'étais trop petit, machin. C'est dommage, hein. Vous voyez, c'est dommage parce que je n'ai même pas eu le temps de dialoguer et je n'ai même pas eu le temps de leur expliquer. Ils n'ont même pas cherché à comprendre. Ma mère, elle a pris son ordinateur et elle m'a dit de le supprimer sous ses yeux. Donc, j'ai dit OK. Je me suis exécuté. J'ai fait les derniers paramètres. Ça m'a brûlé, je vous jure. La sensation que j'ai eu quand j'ai dû supprimer ma chaîne Ça a été une horreur Ça m'a vraiment fait mal Mais vraiment sincèrement Et après plein de gens au collège me disaient Mais ta prochaine vidéo elle sort quand et tout Bah non y'en aura plus du coup Parce que ma mère m'a dit que c'était pas bien Et tout pour moi C'est vraiment dommage Si ça se trouve à l'heure actuelle j'aurais été une star Imaginez Je suis sûr que je serais devenu le Inostag ou le Michoud maintenant Ah mais j'en ai même ma main à couper, mais clairement. Alors du coup, moi je me considère un peu comme les oubliés. Je me considère un peu comme les oubliés, comme ceux qui ont commencé YouTube quand YouTube est arrivé, et qui faisaient YouTube pour le kiff, pour le plaisir. Et on pensait pas à l'argent. Quand t'as 12, 13, 14, 15 ans, tu penses pas forcément... Bon, maintenant peut-être, avec TikTok et tout ce qui se passe, mais à l'époque, c'était pas pareil. A l'époque je le faisais parce que ça me faisait du bien, je me mettais dans ma chambre, je l'enregistrais avec mon téléphone, je faisais des trucs mais complètement éclatants, c'est complètement débile. Je montrais mes ongles, je montrais le soleil, je faisais des tags en mode c'est quoi tes meilleures séries, c'est quoi tes meilleures chansons du moment. Mais ça marchait, putain ça marchait, le pire c'est que ça marchait. On a tout enlevé, c'est dommage mais c'est pas grave, on va revenir sur ça, c'est pas grave, ça a été fait, ça a été fait. Dommage, je suis passé à côté je pense de plein d'opportunités et ça aurait pu changer ma vie je pense. Mais oui, il est vrai que maintenant qu'on fait une vidéo YouTube, il faut qu'elle soit pertinente, captivante. Il faut avoir un truc en plus avec sa personnalité. Je suis mal, on manque de respect de bio micro. Il faut un minimum à travailler sur le montage, il faut aussi... connaître un peu, s'y connaître un peu en visuel. Moi, j'appelle ça du copywriting, mais en fait, ce n'est pas vraiment du copywriting. Copywriting, c'est une technique de vente en marketing, mais ce n'est pas vraiment ça. En gros, c'est mettre un titre accrocheur avec des mots-clés pour faire marcher le référencement et pour que la vidéo apparaisse plus vite et qu'elle monte plus vite en boost. C'est un peu ça. Mais avant, il n'y avait pas besoin de tout ça. Avant, il n'y avait pas besoin de tout ça. Mais en fait, il faut savoir être patient. Il faut être... patient et la patience est la clé combien de personnes me l'ont dit la patience est la clé alors on ne peut pas tout avoir en 24 heures c'est pas possible même avec la meilleure des stratégies tu peux pas tout avoir en 24 heures sauf si tu fais un bad buzz ou que justement tu fais tu es sur une tendance et que la vie à fait je reviens si je suis allongé dans mon lit je suis en train de m'endormir vous savez que ça fait deux fois que je voulais c'est deux fois que je dors Littéralement. Je sais même plus ce que je vous disais, je suis en train de m'endormir. Une fois même avec la meilleure des stratégies, si c'est pas sur le long terme, ça marchera pas. Imagine tu crées du contenu pendant deux mois, tu fais un truc de fou, ça rythme chez peu rien pendant six mois, ben ça sert à rien. Franchement ça sert à rien. Et puis... Alors ensuite, une autre idée, c'est que les algorithmes changent. En fait les algorithmes des réseaux sociaux peuvent changer. et si on n'est pas, et peuvent changer et ont déjà changé récemment, notamment Instagram et TikTok aussi, je crois. Et ça ne fonctionne pas comme il y a quelques années en arrière. Donc, il faut être à la page parce que ça peut remettre en question notre direction artistique et notre manière de mettre en place les publications sur nos réseaux. Après, attention, si la personne se dit demain, je vais sur les réseaux et je m'en fous, de m'être mis en avant et j'ai pas besoin de communauter et je publie que pour publier bah sans fou peut-être que ça marchera peut-être que c'est bien aussi ça peut être une stratégie d'être authentique et de kiffer en vrai pourquoi pas je suis pas sûr que ça marche mais des fois c'est bien c'est ça qui est bien aussi j'étais retombé sur une j'ai écouté un podcast de Antoine BM qui disait qu'il y avait il suivait un mec sur Youtube qui fait des vidéos où il ne fait pas de montage. Donc en fait, il fait des vidéos, il se filme. Mais trop bien, il fait des vidéos tous les jours, il ne fait aucun montage. Il se filme dans sa vie quotidienne et on le voit en train d'évoluer dans son projet. Et c'est trop bien parce que, comme il disait, en fait, ça crée une intimité où on le voit avec des mots parasites, on l'entend avec des mots parasites, quand il y a des blancs dans la vidéo, quand il réfléchit. Et c'était un peu comme les tout débuts de YouTube. En 2006, 2008, 2010, il n'y avait pas trop de montage. Les gens étaient très naturels. En fait, de faire ça, ça a créé une vraie intimité avec sa communauté. Et apparemment, ça a bien marché. Donc comme quoi, des fois, ou même juste de se faire un facecam, un camface, facecam, je ne sais pas comment on dit, de se mettre devant sa caméra et de parler, sans forcément faire 30 000 millions de montage. Comme maintenant, on voit, il y en a qui ont des setups de dingue. Ils ont des caméras, ils ont 3, 4 caméras qui tournent autour d'eux. Ils ont 4 grosses ringlights, c'est n'importe quoi. Je fais que bailler depuis tout à l'heure, c'est horrible. Mais du coup, pour en revenir à la question principale, est-ce que je suis légitime en tant que créateur de contenu ? De toute manière, à cette question, il n'y a que moi qui pourra trouver la réponse. Je suis mon propre problème et je suis ma propre réponse. Waouh, c'était beau ça. Mais le problème, c'est que ce qui est dommage, c'est qu'il y a beaucoup de remises en question. Beaucoup de remises en question qui déclenchent du coup beaucoup d'incertitudes. Et peut-être aussi, ça révèle peut-être aussi un peu un manque de confiance en moi, en soi. C'est possible. Mais il faut aussi arrêter de croire qu'il faut être le meilleur. Je pense qu'il faut clairement arrêter de croire qu'il faut être le meilleur. Qu'il faut être le plus gros expert dans sa branche, dans son domaine. Et qu'on peut créer du contenu pour tout le monde. Pour certains, c'est un conditionnement de vie. Quand je dis ça, c'est que pour certains, ils vont vous dire qu'ils vont réussir. Et se démarquer de la concurrence. Ce qui n'est pas totalement faux. Mais ça dépend comment on tourne la chose. Qu'il faut être un expert. C'est sûr que... Si demain tu veux parler, je sais pas de... Je sais pas comment dire. Oh là là. Oh, faut plus que je mette sur le lit, moi, putain. Ah. On appelle ça. Ah oui. Si demain tu fais un élevage de tortues, un élevage de tortues, je préfère parler à quelqu'un qui s'y connaît, qui a sa passion, il fait ça depuis 10 ans, et qui se place comme un expert, quoi. Si je veux me lancer dans l'apiculture, ou dans l'agriculture... Faire parler à quelqu'un qui est passionné, qui est un expert, ou à un mec qui a lu un livre et qui va trop cracher tout son livre, tout le livre qu'il a lu sans vraiment comprendre ce qu'il dit. Je ne sais pas si vous suivez un peu ce que je veux dire. Et du coup, en fait, je réponds un peu à toute la question. Est-ce que je suis légitime en tant que créateur de contenu ? Je pense que oui. Après, je ne suis pas psychologue, mais c'est uniquement mon avis. Pour certains, quand je me réponds... Je me répète, pour certains, c'est un conditionnement de vie. Pour moi, je ne le vois pas comme ça. Mais pour certains, c'est une compétition. Pour certains, la vie est une compétition. Pour moi, la vie est une aventure. Pour moi, la vie n'est pas une compétition. Ce n'est pas pareil. Mais ceux qui pensent que la vie est une compétition, je peux comprendre. Ils vont vous dire que c'est pour être le meilleur de soi-même, que c'est pour se dépasser, pour être la meilleure version de soi-même, que tous les jours, on fasse des choses qui nous améliorent, de ne pas se coucher bête, d'en apprendre tous les jours. De devenir le meilleur, machin et tout. Pour se dépasser psychologiquement, mentalement, psychiquement, pas de problème. Pas de problème. Mais finalement, si tu veux faire en sorte d'être toujours le meilleur, est-ce que tu le fais pour toi ou est-ce que tu le fais pour les autres et pour le regard des gens ? C'est là qu'il faut stratégie. On dirait qu'on a un cours de psychologie à la fac. La réponse est oui. Je pense qu'on a tous sa place. On peut tous créer du contenu. sans avoir un minimum de réflexion en amont. Et les résultats, ou en tout cas, on n'est pas obligé de faire un cahier des charges énorme juste pour avoir des réseaux sociaux. Ce n'est pas comme si on faisait un vrai, vrai, vrai, vrai projet. Après, ça dépend. Si c'est un projet, par exemple, demain, tu veux créer ta marque de vêtements, là, oui, OK. Il vaut mieux peut-être avoir un cahier des charges et avoir une catégorie réseaux sociaux et tout planifier en amont avec un planning. Là, oui, OK. Mais si tu veux juste faire des vidéos pour le fun. faire tout ça, est-ce que c'est utile ? Je ne suis pas sûr. Et du coup, oui, les résultats ne vont pas venir tout de suite. Mais oui, il faut utiliser des petites astuces comme ça, comme par exemple « Mais ça ne mange pas de pain » , comme poster une à deux fois par semaine, mais sur le long terme. Pas publier une fois tous les quatre mois. Moi, l'algorithme, il va comprendre le rythme habituel de publication, ce qu'on veut mettre, et c'est des effets leviers, mais je trouve que c'est un sujet qui est hyper intéressant. Et il y a... tellement de trucs à dire. C'est vrai que maintenant, j'ai l'impression que, ouais, je trouve que l'univers de la création de contenu, elle a beaucoup changé. Elle n'est pas pareille qu'avant. Surtout que j'en ai déjà parlé, mais je le redis. J'ai l'impression que les vrais créateurs de contenu ne sont pas mis en avant. Ils ne sont pas réellement assez mis en avant. Même si on applique la stratégie que je vous ai dit tout à l'heure, on met en avant plutôt d'autres personnes. Là, je l'ai vu récemment. D'ailleurs, j'en ai déjà parlé, je crois, mais je le redis. sur Spotify, quand on crée un podcast ou quand on fait des audios ou des épisodes, c'est triste mais vous allez voir dans le top 20 des meilleurs podcasts on retrouve quand même des personnes qui publient des podcasts qui ne sont pas des podcasts quand même on a une humoriste qui s'appelle natoo elle fait partie du top 30 sa vidéo est sponsorisée écoutez bien vous allez rire et c'est un truc de dingue c'est je trouve ça aberrant mais je trouve ça même dégueulasse d'ailleurs ça me dégoûte mais malheureusement cette business c'est comme ça c'est qu'elle repartage des vidéos youtube d'humour qu'elle a fait il ya cinq six sept dix ans en arrière sur Spotify, ouais. En fait, vu que maintenant, sur Spotify, on peut mettre un format audio et vidéo, maintenant, plein de personnes mettent des vidéos de tout et de n'importe quoi. Et elles font passer comme un podcast. Je vais prendre directement un Log5, même si je l'aime bien, il n'est pas Logan. Il fait des vidéos, c'est un mec où il met des perruques. Eh bien, il fait pareil. Le mec, il fait partie du top 15 de Spotify. En quel moment c'est un podcast ? À quel moment c'est un moment de réflexion ? Et c'est dommage de... de mettre en avant ce genre de contenu, sachant qu'il est déjà en avant de partout. Il est sponsorisé, il gagne du fric, alors que les gens qui font du vrai contenu, qui se tuent tous les jours, ben les vrais créateurs de contenu. Alors attention, je ne dis pas que ces gens-là ne sont pas de vrais créateurs de contenu, bien au contraire. Je trouve ça dommage. Je trouve ça dommage, je trouve que c'est la facilité, et je trouve que ça vient un peu gâcher les vrais créateurs, donner un peu de boost au nouveau. Je pense que... Je pense que ça peut être pas mal. Ou je sais pas, mettre un système où, par exemple, pendant les 4-5 premiers épisodes ou les 10 premiers épisodes, il y a un effet un peu de boost pour booster un peu les vues et les écoutes. Éventuellement, ça peut être pas mal parce que quand on fait des épisodes et qu'on a que 3, 4, 5, 10, 15, 20 écoutes, franchement, c'est pas ouf. Donc, il faut vraiment avoir un mental d'acier et ne pas lâcher l'affaire. Et... Ouais, vraiment, oui. Et aussi, je serais... Aussi, j'en ai déjà parlé tout à l'heure, mais je me répète, on est dans une ère J'ai l'impression où tout doit être multiplié En fait c'est bizarre ce que je vais vous dire Mais avant on avait L'ère où il y avait des vlogs Classiques où les gens parlaient et tout Après décliner la situation est arrivé en 2016 Ca a été un truc de dingue Comme je vous le disais tout à l'heure Elle a fait un mode un peu à l'américaine Les gens ont été retournés Elle a clairement retourné le game Elle a tiré sur tout le monde Dans le bon sens du terme Elle a tiré sur tout le monde Il y a plein de gens qui se sont remis en question Il y a plein de gens qui se sont remis en question. Je ne sais pas, moi je dis les choses, après peut-être que je me trompe, mais j'ai regardé plein de vidéos du style Andrew Phoenix, Marie Lopez, j'ai regardé aussi Naomi Makeup Touch, Je ne suis pas jolie, c'est des vlogs où c'est des gens qui parlent de leur vie classique. Et à côté de ça, qui sont là depuis 10 ans, plus de 10 ans maintenant, et à côté de ça, on a une fille de jeunette qui arrive, qui sort de l'école de mode, et qui fait des vidéos avec Adobe, avec Photoshop, Adobe et tout, elle fait des... Des montages de malade on dirait une série américaine. Alors que la meuf elle a tout appris sur Youtube. Elle a tout appris sur Youtube comme tout le monde. Elle se couchait à 3h du matin et elle bossait comme une dingue. Sauf qu'elle a tellement fait les trucs correctement que les gens ont kiffé. Et les autres qui faisaient des vlogs classiques. Elles se sont dit est-ce que finalement notre place elle est réellement là quoi. Est-ce qu'on est encore légitime à créer du contenu. Après d'autres personnes ont créé ça. Et c'est des questions que je peux comprendre. Mais finalement ils ont continué à créer du contenu. D'autres ont arrêté. Et oui, là, il y a aussi les trucs qu'il faut toujours en faire plus, qu'il faut toujours avoir un meilleur setup. J'en ai déjà parlé, mais je me répète. Et c'est triste. C'est triste de vouloir toujours faire plus, toujours faire plus gros, avoir une meilleure équipe. Et c'est dommage de ne pas juste se mettre devant la caméra, comme à l'époque, et parler d'un sujet ou d'un thème. Des fois, c'est plus cocooning que toujours vouloir faire des projets en gros, dépenser de l'argent, machin. C'est bon, quoi. On a compris. Je pense que si j'ai un dernier truc à dire... pour cet épisode, il serait bien qu'il y ait des influenceurs. En tout cas, je n'aime pas dire ce mot influenceurs parce que je n'aime pas ce mot. Des créateurs de contenu. Que ça soit, peu importe la thématique, mais qui ont des podcasts plus principalement. Au lieu ou des vidéos ou des chaînes YouTube. Au lieu de s'inviter entre entre youtubeurs et youtubeuses, entre créateurs de contenu et qui parlent un peu du monde de l'influence, de l'évolution du monde de l'influence, qu'ils invitent des abonnés. Invitez des abonnés. Parlez avec vos abonnés, avoir un peu la vision de nous en tant que consommateurs. C'est toujours la vision d'influenceurs entre eux, quand ils font leur shooting, quand ils font leur interview presse, mais jamais l'avis de nous. Je pense que ça va être intéressant un peu d'avoir notre avis à nous et personne ne se met notre place, pardon, et personne n'a envie de savoir ce que nous on pense et si notre avis a évolué ou pas depuis quelques années. Alors, ça met toujours en place des marques qui ont évolué, que leur avis a évolué et tout, que la mentalité des influenceurs ont évolué. on parle jamais de nous alors que c'est grâce à nous je pense que c'est important de le ralacher de le répéter de temps en temps que si certains sont là même si tout le monde en est là c'est un peu grâce à nous aussi parce qu'on regarde on like on partage les vidéos de certaines personnes et c'est vrai que des fois de nous demander un peu notre avis je pense que ça peut faire pas de mal et ça peut être constructif même si il y a toujours des haters je pense que ça peut être quand même constructif alors oui les guys je m'étais envoyé un message mais Merci. Je n'arrive pas à le retrouver. Ce message, impossible de le retrouver. Parce qu'en fait, il y avait d'autres thématiques que je voulais aborder. Mais je n'arrive pas à le retrouver. C'est bizarre. Je ne sais même pas où je l'ai noté. En gros, les deux autres parties. Parce que pour moi, en fait, cet épisode n'est clairement pas complet. Je pense et je trouve qu'il manque des choses. Par exemple, déjà, je pense que ça a été évoqué. Mais je ne suis pas sûr que c'est le matériel. Le matériel, c'est vrai que quand on est créateur de contenu. on nous fait penser qu'il faut toujours avoir la meilleure caméra, le meilleur setup, mais pas forcément. Des fois, il ne suffit de pas grand-chose pour que ça fonctionne. Voilà, il ne faut pas se mettre la pression pour ça. Après, on n'allait pas faire un prêt étudiant, on n'allait pas faire un prêt pour acheter la meilleure caméra Sony ZV-1 ou Sony ZV-E à 800 balles. Maintenant, on a des téléphones qui permettent de filmer, je pense, avec une assez bonne caméra. Surtout que vous allez rire, mais j'ai remarqué que le reel, ce que je faisais... qui était éclataxe, avec pas forcément des bonnes intégrations en écran et tout, c'est ceux qui marchaient le mieux. Alors que quand je mettais des relights, quand je mettais ce qu'il fallait en fond, en décoration, ça ne marchait pas du tout. Comme quoi, des fois, il suffit juste d'être classique, on va dire ça comme ça, et ça marche mieux. C'est bizarre. Oui, parce qu'en fait, quand j'ai fait mon montage, je me suis réécouté, et je me suis dit qu'il n'y a pas... plein de choses que je n'ai pas évoquées. Mais encore une fois, c'est un sujet qui est tellement vaste, la légitimité. Il y a plein de choses que j'ai évoquées, mais je ne suis pas entré dans les détails. Comme le fait de se comparer, qu'il ne faut pas se comparer aux autres. Parce qu'on peut s'inspirer. On peut regarder ce que font les autres. On peut s'inspirer. Il ne faut pas penser que les autres sont des concurrents. Il faut essayer de faire mieux qu'eux. Même si on arrive à faire mieux qu'eux, on ne pourra jamais le faire de la même manière qu'eux. Parce que je pense que chaque... créateur de contenu à sa touche personnelle à son petit truc que les autres n'ont pas et c'est un peu aussi ce qui fait que certaines personnes accrochent et kiffent du coup d'écouter ou de suivre ces personnes clairement. Et ensuite, il y avait autre chose aussi que je voulais évoquer, je sais plus, je l'ai noté, mais j'arrive pas à le retrouver. C'est bizarre, je l'avais mis dans mes notes, mais je ne le retrouve plus. Ou sinon, c'était par SMS. Sinon, je me le suis envoyé par SMS à moi tout seul, ce qui est possible. Non, non, non. Ouais, du coup, je sais plus ce que je voulais dire. On a parlé du matériel, on a parlé de ça, la comparaison et de la patience. Les guys, il faut vraiment, vraiment avoir de la patience. C'est un des atouts clés. Il faut être patient, il faut savoir attendre, il ne faut pas vouloir tout tout de suite, surtout dans l'ère où on est en 2025 et qu'il y a énormément pas de concurrence, mais il y a énormément de créateurs de contenu dans tous les sens du terme. En plus, plus on avance dans le temps, plus il y a des nouvelles plateformes. On l'a vu, depuis quelques années, on a d'autres plateformes qui sont plus tournées vers les contenus de charme. On a les fans, on a Mime. Là, j'ai vu qu'il y a apparemment Dailymotion qui essaye de revenir en comeback. J'ai essayé de m'y mettre dessus, mais c'est trop compliqué. L'ergonomie du truc est éclataxe. C'est dommage, parce que Dailymotion, c'est français. C'est le YouTube français. Et c'est vraiment dommage. Il y a des gens qui disent que dessus, que Dailymotion, dans quelques années, ça va monter en puissance et tout. Mais moi, j'ai du mal à y croire. Ils auront tapé toute l'application. Ils auront tapé toute l'ergonomie. Mais même avec ça, je trouve que ça manque de peps. Et là, j'ai vu qu'avec un truc, je l'ai vu sur Madame Figaro. Je l'ai vu ce matin ou hier soir, je ne sais pas, en notification sur mon ordinateur. qu'il y a une application qui s'appelle je sais plus comment elle s'appelle je sais plus comment elle s'appelle Ausha 5 Ausha Ausha Ausha je sais pas comment on dit en gros c'est un peu comme TikTok mais c'est pour tout ce qui est édition de courrier créateur de contenu et abonnement payant abonnement payant en fait ça regroupe un peu vous allez rire mais je l'ai pas utilisé encore mais je crois que ça regroupe un peu les contenus payants et la création de contenu gratuit donc je pense que ça peut être pas mal et en fait apparemment c'est en train de monter en puissance Et ça risque d'arriver un peu partout. Donc c'est encore un réseau social qui existe, que personne ne connaissait avant tout ça. Et ouais, je pense que ça peut être intéressant de s'y mettre. Mais après, je pense qu'il faut quand même savoir où publier, même si on n'est pas trop dans la stratégie, même si on n'a pas fait de marketing. Je pense qu'il faut quand même savoir où on publie et à qui on veut essayer de s'adresser quand même un minimum. Si je veux m'adresser à des jeunes, je ne vais pas poster des photos ou des vidéos. ou de la photographie ou du graphisme sur Facebook. Bon, ça peut servir, hein. Mais Facebook, c'est plus les 30, 35 ans, 40 ans. Voilà, c'est pas... Honnêtement, à Facebook, j'allais quand j'étais petit. J'avais oublié de créer mon compte Facebook à l'époque. Je ne sais pas si ma vie dessus. Mais maintenant, je n'y vais plus. Enfin, franchement, très rarement. Mais il y a quand même encore beaucoup de gens qui y vont. Mais ce n'est pas notre génération à nous. Donc après, à voir et à savoir où publier ces posts, quoi, clairement. De toute manière, il y a plein de sujets où je vais. Je n'y vais pas en profondeur. Mais c'est dommage. Je sais que c'était bon sujet. Mais je me le note. Et dès que j'aurai une réflexion supplémentaire, tout simplement, je le rajouterai en épisode général. Je ne sais pas. Je suis un peu fatigué là. Je commence un peu à perdre mes mots. Je me suis levé à 7h ou 6h et quelques pour avancer mes démontages, avancer mes projets. pour après devoir me préparer en 30 minutes pour qu'on va vite partir de chez moi pour aller au travail. En plus, j'ai repris, parce que si vous me suivez un peu, je me suis un peu blessé au poignet. Qu'est-ce que tu fais, Mimi ? Donc, je parle à mon chat. Souris ! Et du coup, c'est un peu compliqué, doucement mais sûrement. Voilà, il va tous les loulous. Donc du coup, n'hésitez pas à mettre une petite note, une petite étoile sur 5. ce que vous en pensez. Par contre, n'hésitez pas à vous abonner à mon compte Instagram, c'est Timcos2909. Allez voir mon contenu parce que je suis quand même assez réactif sur Instagram. Enfin, en tout cas, j'essaye. Bah du coup, vous allez voir ma tête aussi. Logique ! Et à la semaine prochaine pour le prochain podcast. Allez ! La bise !