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Marianne Vieulés — Arts numériques et poésie cover
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Créations sonores du Lieu multiple

Marianne Vieulés — Arts numériques et poésie

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16min |17/04/2021
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Marianne Vieulés — Arts numériques et poésie

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Description

Marianne Vieulès, 26 ans, est tout juste diplômée de l’Ecole  européenne supérieure de l’image à Poitiers. Elle utilise de nombreux  supports comme les films, les installations et les livres pour ses  œuvres. Aujourd’hui, elle consacre une partie de son travail aux femmes  oubliées de l’histoire de l’informatique. Fascination numérique

Marianne Vieulès se passionne pour l’art numérique. Pendant ses  études, elle est très vite attirée par les machines et l’informatique.  Elle leur trouve beaucoup de poésie : « J’ai toujours vu une certaine  sensibilité à un endroit censé être très froid. C’est quelque chose qui  m’anime que de dire : Non regardez, ça peut aussi être drôle et émouvant  ! »

Des femmes oubliées dans l’informatique

Après avoir construit des machines et des installations grâce à la  programmation électronique, l’artiste s’aperçoit qu’il y a de nombreuses  femmes pionnières de l’informatique mais qu’elles ont toutes été  oubliées. « Quand je travaillais sur la conquête spatiale, (…) je me  suis rendue compte qu’il y avait des personnages comme Margaret Hamilton  qui ont programmé le programme pour atterrir sur la lune dont on ne  parlait pas », explique-t-elle. À partir de là, elle commence à  travailler sur Ada Lovelace, première programmeuse de l’histoire et sur  Hedy Lamarr, actrice mais aussi l’inventrice du WIFI.

Avec Un Lieu à soi,  Marianne propose un essai spéculatif avec pour acteur, le Volcan  Tambora (dont l'éruption en 1815 est contemporaine de la naissance  d'Ada) , Ada Lovelace et son père Lord Byron. La proposition est écrite  en partie par une intelligence  artificielle,  nourrie par les textes d'Ada et de son père. L'IA  esquisse ainsi un dialogue réinventé et qui n’a jamais  eu lieu de leurs vivants, entre le·la premier·e programmeur·euse de  l’Histoire de l’informatique et son père, le poète romantique anglais

Ce projet est soutenu par le contrat de filière arts plastiques et  visuels : Préfète de la Région Nouvelle-Aquitaine, Région  Nouvelle-Aquitaine et ASTRE, Réseau arts plastiques & visuels de  Nouvelle-Aquitaine.

En coproduction  avec le festival Zéro 1 (la Rochelle), l’université de La Rochelle et la Métive (Moutier-d’Ahun) 

Ce poscast a été réalisé durant la résidence de création de Marianne Vieulés au Lieu multiple du  lundi 12 au vendredi 16 avril 2021.

La  création musicale, le montage et la postproduction ont été réalisés par  Patrick Tréguer pour EMF radio.

Durée : 16 mn 34


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Marianne Vieulès, 26 ans, est tout juste diplômée de l’Ecole  européenne supérieure de l’image à Poitiers. Elle utilise de nombreux  supports comme les films, les installations et les livres pour ses  œuvres. Aujourd’hui, elle consacre une partie de son travail aux femmes  oubliées de l’histoire de l’informatique. Fascination numérique

Marianne Vieulès se passionne pour l’art numérique. Pendant ses  études, elle est très vite attirée par les machines et l’informatique.  Elle leur trouve beaucoup de poésie : « J’ai toujours vu une certaine  sensibilité à un endroit censé être très froid. C’est quelque chose qui  m’anime que de dire : Non regardez, ça peut aussi être drôle et émouvant  ! »

Des femmes oubliées dans l’informatique

Après avoir construit des machines et des installations grâce à la  programmation électronique, l’artiste s’aperçoit qu’il y a de nombreuses  femmes pionnières de l’informatique mais qu’elles ont toutes été  oubliées. « Quand je travaillais sur la conquête spatiale, (…) je me  suis rendue compte qu’il y avait des personnages comme Margaret Hamilton  qui ont programmé le programme pour atterrir sur la lune dont on ne  parlait pas », explique-t-elle. À partir de là, elle commence à  travailler sur Ada Lovelace, première programmeuse de l’histoire et sur  Hedy Lamarr, actrice mais aussi l’inventrice du WIFI.

Avec Un Lieu à soi,  Marianne propose un essai spéculatif avec pour acteur, le Volcan  Tambora (dont l'éruption en 1815 est contemporaine de la naissance  d'Ada) , Ada Lovelace et son père Lord Byron. La proposition est écrite  en partie par une intelligence  artificielle,  nourrie par les textes d'Ada et de son père. L'IA  esquisse ainsi un dialogue réinventé et qui n’a jamais  eu lieu de leurs vivants, entre le·la premier·e programmeur·euse de  l’Histoire de l’informatique et son père, le poète romantique anglais

Ce projet est soutenu par le contrat de filière arts plastiques et  visuels : Préfète de la Région Nouvelle-Aquitaine, Région  Nouvelle-Aquitaine et ASTRE, Réseau arts plastiques & visuels de  Nouvelle-Aquitaine.

En coproduction  avec le festival Zéro 1 (la Rochelle), l’université de La Rochelle et la Métive (Moutier-d’Ahun) 

Ce poscast a été réalisé durant la résidence de création de Marianne Vieulés au Lieu multiple du  lundi 12 au vendredi 16 avril 2021.

La  création musicale, le montage et la postproduction ont été réalisés par  Patrick Tréguer pour EMF radio.

Durée : 16 mn 34


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Marianne Vieulès se passionne pour l’art numérique. Pendant ses  études, elle est très vite attirée par les machines et l’informatique.  Elle leur trouve beaucoup de poésie : « J’ai toujours vu une certaine  sensibilité à un endroit censé être très froid. C’est quelque chose qui  m’anime que de dire : Non regardez, ça peut aussi être drôle et émouvant  ! »

Des femmes oubliées dans l’informatique

Après avoir construit des machines et des installations grâce à la  programmation électronique, l’artiste s’aperçoit qu’il y a de nombreuses  femmes pionnières de l’informatique mais qu’elles ont toutes été  oubliées. « Quand je travaillais sur la conquête spatiale, (…) je me  suis rendue compte qu’il y avait des personnages comme Margaret Hamilton  qui ont programmé le programme pour atterrir sur la lune dont on ne  parlait pas », explique-t-elle. À partir de là, elle commence à  travailler sur Ada Lovelace, première programmeuse de l’histoire et sur  Hedy Lamarr, actrice mais aussi l’inventrice du WIFI.

Avec Un Lieu à soi,  Marianne propose un essai spéculatif avec pour acteur, le Volcan  Tambora (dont l'éruption en 1815 est contemporaine de la naissance  d'Ada) , Ada Lovelace et son père Lord Byron. La proposition est écrite  en partie par une intelligence  artificielle,  nourrie par les textes d'Ada et de son père. L'IA  esquisse ainsi un dialogue réinventé et qui n’a jamais  eu lieu de leurs vivants, entre le·la premier·e programmeur·euse de  l’Histoire de l’informatique et son père, le poète romantique anglais

Ce projet est soutenu par le contrat de filière arts plastiques et  visuels : Préfète de la Région Nouvelle-Aquitaine, Région  Nouvelle-Aquitaine et ASTRE, Réseau arts plastiques & visuels de  Nouvelle-Aquitaine.

En coproduction  avec le festival Zéro 1 (la Rochelle), l’université de La Rochelle et la Métive (Moutier-d’Ahun) 

Ce poscast a été réalisé durant la résidence de création de Marianne Vieulés au Lieu multiple du  lundi 12 au vendredi 16 avril 2021.

La  création musicale, le montage et la postproduction ont été réalisés par  Patrick Tréguer pour EMF radio.

Durée : 16 mn 34


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Marianne Vieulès, 26 ans, est tout juste diplômée de l’Ecole  européenne supérieure de l’image à Poitiers. Elle utilise de nombreux  supports comme les films, les installations et les livres pour ses  œuvres. Aujourd’hui, elle consacre une partie de son travail aux femmes  oubliées de l’histoire de l’informatique. Fascination numérique

Marianne Vieulès se passionne pour l’art numérique. Pendant ses  études, elle est très vite attirée par les machines et l’informatique.  Elle leur trouve beaucoup de poésie : « J’ai toujours vu une certaine  sensibilité à un endroit censé être très froid. C’est quelque chose qui  m’anime que de dire : Non regardez, ça peut aussi être drôle et émouvant  ! »

Des femmes oubliées dans l’informatique

Après avoir construit des machines et des installations grâce à la  programmation électronique, l’artiste s’aperçoit qu’il y a de nombreuses  femmes pionnières de l’informatique mais qu’elles ont toutes été  oubliées. « Quand je travaillais sur la conquête spatiale, (…) je me  suis rendue compte qu’il y avait des personnages comme Margaret Hamilton  qui ont programmé le programme pour atterrir sur la lune dont on ne  parlait pas », explique-t-elle. À partir de là, elle commence à  travailler sur Ada Lovelace, première programmeuse de l’histoire et sur  Hedy Lamarr, actrice mais aussi l’inventrice du WIFI.

Avec Un Lieu à soi,  Marianne propose un essai spéculatif avec pour acteur, le Volcan  Tambora (dont l'éruption en 1815 est contemporaine de la naissance  d'Ada) , Ada Lovelace et son père Lord Byron. La proposition est écrite  en partie par une intelligence  artificielle,  nourrie par les textes d'Ada et de son père. L'IA  esquisse ainsi un dialogue réinventé et qui n’a jamais  eu lieu de leurs vivants, entre le·la premier·e programmeur·euse de  l’Histoire de l’informatique et son père, le poète romantique anglais

Ce projet est soutenu par le contrat de filière arts plastiques et  visuels : Préfète de la Région Nouvelle-Aquitaine, Région  Nouvelle-Aquitaine et ASTRE, Réseau arts plastiques & visuels de  Nouvelle-Aquitaine.

En coproduction  avec le festival Zéro 1 (la Rochelle), l’université de La Rochelle et la Métive (Moutier-d’Ahun) 

Ce poscast a été réalisé durant la résidence de création de Marianne Vieulés au Lieu multiple du  lundi 12 au vendredi 16 avril 2021.

La  création musicale, le montage et la postproduction ont été réalisés par  Patrick Tréguer pour EMF radio.

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