undefined cover
undefined cover
Top 14, ça ira mieux demain cover
Top 14, ça ira mieux demain cover
crunch

Top 14, ça ira mieux demain

Top 14, ça ira mieux demain

24min |07/09/2020
Play
undefined cover
undefined cover
Top 14, ça ira mieux demain cover
Top 14, ça ira mieux demain cover
crunch

Top 14, ça ira mieux demain

Top 14, ça ira mieux demain

24min |07/09/2020
Play

Description

La saison passée, le Championnat s’était terminé en eau de boudin dès le mois de mars, sans phases finales et sans Brennus à cause de la pandémie. Les amoureux du rugby ont retrouvé leur Top 14 le week-end dernier avec plaisir… Mais le jeu était-il de la partie ?

Il s’agissait de voir comment les corps avaient encaissé ces six mois sans match. Les esprits sont régénérés comme jamais, les joueurs l’affirment. Mais cette fraîcheur s’est-elle retrouvée sur les terrains du Top 14 ? Hormis un savoureux Clermont-Toulouse dimanche soir (33-30), le rugby français s’est surtout illustré par son manque de guiboles et de jus. Les conséquences d’une préparation altérée, principalement sans matches amicaux à cause du coronavirus, sont-elles durables ?

Chaque saison, le rugby se réinvente et change ses règles. L’objectif, ces dernières années, était de préserver l’intégrité physique des joueurs. Cette fois, ce sont les gratteurs qu’on veut protéger dans les rucks, en les récompensant plus vite lorsqu’ils contestent. L’objectif est qu’ils ne soient plus aussi souvent percutés par les soutiens de l’équipe adverse. Mais cette règle a fait gonfler les statistiques des pénalités (34 en moyenne par match sur cette première journée de Championnat) et haché les rencontres. Ces mesures décidées par World rugby mettent-elles le jeu en danger ?

Animé par Chrystelle Bonnet, avec Aurélien Bouisset, Clément Dossin et Thomas Perotto. Réalisé par Roland Richard.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

La saison passée, le Championnat s’était terminé en eau de boudin dès le mois de mars, sans phases finales et sans Brennus à cause de la pandémie. Les amoureux du rugby ont retrouvé leur Top 14 le week-end dernier avec plaisir… Mais le jeu était-il de la partie ?

Il s’agissait de voir comment les corps avaient encaissé ces six mois sans match. Les esprits sont régénérés comme jamais, les joueurs l’affirment. Mais cette fraîcheur s’est-elle retrouvée sur les terrains du Top 14 ? Hormis un savoureux Clermont-Toulouse dimanche soir (33-30), le rugby français s’est surtout illustré par son manque de guiboles et de jus. Les conséquences d’une préparation altérée, principalement sans matches amicaux à cause du coronavirus, sont-elles durables ?

Chaque saison, le rugby se réinvente et change ses règles. L’objectif, ces dernières années, était de préserver l’intégrité physique des joueurs. Cette fois, ce sont les gratteurs qu’on veut protéger dans les rucks, en les récompensant plus vite lorsqu’ils contestent. L’objectif est qu’ils ne soient plus aussi souvent percutés par les soutiens de l’équipe adverse. Mais cette règle a fait gonfler les statistiques des pénalités (34 en moyenne par match sur cette première journée de Championnat) et haché les rencontres. Ces mesures décidées par World rugby mettent-elles le jeu en danger ?

Animé par Chrystelle Bonnet, avec Aurélien Bouisset, Clément Dossin et Thomas Perotto. Réalisé par Roland Richard.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like

Description

La saison passée, le Championnat s’était terminé en eau de boudin dès le mois de mars, sans phases finales et sans Brennus à cause de la pandémie. Les amoureux du rugby ont retrouvé leur Top 14 le week-end dernier avec plaisir… Mais le jeu était-il de la partie ?

Il s’agissait de voir comment les corps avaient encaissé ces six mois sans match. Les esprits sont régénérés comme jamais, les joueurs l’affirment. Mais cette fraîcheur s’est-elle retrouvée sur les terrains du Top 14 ? Hormis un savoureux Clermont-Toulouse dimanche soir (33-30), le rugby français s’est surtout illustré par son manque de guiboles et de jus. Les conséquences d’une préparation altérée, principalement sans matches amicaux à cause du coronavirus, sont-elles durables ?

Chaque saison, le rugby se réinvente et change ses règles. L’objectif, ces dernières années, était de préserver l’intégrité physique des joueurs. Cette fois, ce sont les gratteurs qu’on veut protéger dans les rucks, en les récompensant plus vite lorsqu’ils contestent. L’objectif est qu’ils ne soient plus aussi souvent percutés par les soutiens de l’équipe adverse. Mais cette règle a fait gonfler les statistiques des pénalités (34 en moyenne par match sur cette première journée de Championnat) et haché les rencontres. Ces mesures décidées par World rugby mettent-elles le jeu en danger ?

Animé par Chrystelle Bonnet, avec Aurélien Bouisset, Clément Dossin et Thomas Perotto. Réalisé par Roland Richard.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

La saison passée, le Championnat s’était terminé en eau de boudin dès le mois de mars, sans phases finales et sans Brennus à cause de la pandémie. Les amoureux du rugby ont retrouvé leur Top 14 le week-end dernier avec plaisir… Mais le jeu était-il de la partie ?

Il s’agissait de voir comment les corps avaient encaissé ces six mois sans match. Les esprits sont régénérés comme jamais, les joueurs l’affirment. Mais cette fraîcheur s’est-elle retrouvée sur les terrains du Top 14 ? Hormis un savoureux Clermont-Toulouse dimanche soir (33-30), le rugby français s’est surtout illustré par son manque de guiboles et de jus. Les conséquences d’une préparation altérée, principalement sans matches amicaux à cause du coronavirus, sont-elles durables ?

Chaque saison, le rugby se réinvente et change ses règles. L’objectif, ces dernières années, était de préserver l’intégrité physique des joueurs. Cette fois, ce sont les gratteurs qu’on veut protéger dans les rucks, en les récompensant plus vite lorsqu’ils contestent. L’objectif est qu’ils ne soient plus aussi souvent percutés par les soutiens de l’équipe adverse. Mais cette règle a fait gonfler les statistiques des pénalités (34 en moyenne par match sur cette première journée de Championnat) et haché les rencontres. Ces mesures décidées par World rugby mettent-elles le jeu en danger ?

Animé par Chrystelle Bonnet, avec Aurélien Bouisset, Clément Dossin et Thomas Perotto. Réalisé par Roland Richard.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like