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Dans la Tête d'un Setter Closer

Épisode 1 : Alex - Une Masterclass à lui tout seul !

Épisode 1 : Alex - Une Masterclass à lui tout seul !

24min |10/05/2025|

27

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Dans la Tête d'un Setter Closer

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24min |10/05/2025|

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Description

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🎙️ Envie de savoir comment on passe de vendeur chez But à coach star du closing ?

Dans cet épisode 1 de Dans la tête d’un Setter Closer, je t’emmène à la rencontre d’Alex, une des figures emblématiques de Closing Mastery. Quatre ans après avoir quitté le salariat, Alex est devenu closer, puis super closer, sales manager, et aujourd’hui entrepreneur à succès.

👉 On parle de :

  • ses débuts timides en vente,

  • son premier close à 300 € en 30 minutes,

  • son ascension fulgurante,

  • ses conseils pour les débutants,

  • et son passage à l’entrepreneuriat dans l’immobilier.

💡 Ce podcast est pour toi si :

  • tu cherches un revenu complémentaire ou une reconversion,

  • tu veux découvrir le vrai quotidien du closing (sans filtre),

  • tu veux apprendre des meilleurs et t’inspirer d’histoires vraies.

✨ Pourquoi écouter cet épisode ?
Parce que tu vas découvrir que le setting et le closing, c’est bien plus qu’un métier. C’est un ascenseur social, un levier pour reprendre le contrôle de ta vie et de tes revenus.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    7 heures ou closeur ? Deux approches, mais une seule mission. Guider le prospect là où il doute, là où chaque mot peut faire pencher la balance. Pas de closing sans un bon setting. Ici, je te partage l'envers du décor sans filtre, sans bullshit. Ausha parce que dans la tête d'un 7 heures closeur, ça bouillonne en permanence. Si toi aussi tu veux générer des revenus prévisibles grâce au setting et au closing, clique sur le lien dans la description. pour découvrir la masterclass gratuite de Closing Mastery. Tu écoutes, dans la tête d'un setter-closer, le podcast qui t'emmène là où tout se joue, dans la tête du prospect, dans l'énergie de l'appel, dans ces micro-décisions qui font toute la différence. Moi, c'est Olivier. Et ici, je te raconte les coulisses du setting et du closing. Je te partage mon quotidien, mon ressenti et mes résultats, mais aussi des moments forts. partagé par d'autres setters closer, des interviews avec des coachs et des leaders du game, ceux qui génèrent 5, 10, parfois même plus de 20 cas par mois. Et oui, incroyable, hein ? Ensemble, on décrit ce qui marche, ce qui coince et comment, toi aussi, tu peux faire ta place dans cette industrie. Ok ! Eh bien, du coup, pour notre épisode 1, comme promis, c'est notre interview avec Alex. C'est un épisode vraiment spécial, avec beaucoup d'émotion. Alex, vendeur chez Butte il y a 4 ans, c'est aujourd'hui l'une des figures emblématiques de Closing Mastery, connu comme le vendeur chez Butte devenu super closer. Il est passé de closer à super closer, de super closer à sales manager, puis coach dans la formation de Closing Mastery. Et aujourd'hui, il forme les leaders de demain. J'avoue, c'est lui aussi qui m'a repéré et qui m'a permis d'intégrer l'équipe de Closing Mastery. Et donc, je voulais vraiment faire cet épisode, ce premier épisode avec lui avant son départ. Donc cet épisode, en fait, c'est un hommage. C'est un moment fort parce qu'Alex quitte... l'équipe de Closing Mastery, pour un nouveau projet. C'est une bonne nouvelle, en tout cas. Et je voulais marquer le coup avec cet épisode 1 de mon podcast. Donc du coup, Alex, bonjour. Bonjour Olivier. Voilà,

  • Speaker #1

    est-ce que tu peux,

  • Speaker #0

    avant de rentrer dans... les causes de ton départ et vers ton nouveau projet vers lequel tu t'envoles. Est-ce que tu peux déjà nous reparler de ta vie avant le closing ?

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr. Alors moi, pour ceux qui ne me connaissent pas, concrètement, j'ai fait un petit peu d'études. J'ai fait un BEP, Vente Action Marchande, puis un bac pro commerce. Voilà, j'ai commencé tout de suite dans le monde de la vente. Alors, ce n'était pas forcément un choix. C'était plus au départ, en tout cas, parce que je ne sais pas vraiment ce que je voulais faire de ma vie. C'était un petit peu compliqué pour moi à mes débuts parce que j'étais très timide. J'étais pas à l'aise à l'idée d'aller au contact des gens pour leur demander s'ils avaient besoin. Voilà, tout simplement. Je me suis formé un peu à la dire. J'étais dans un petit magasin de sport. C'était sur Paris, dans le 18ème, rue Ordonnaire. Je me rappelle, à l'époque, le magasin s'appelait le magasin. C'était un magasin de fringues, de sport, de sportwear, de survêtements, de chaussures. Ça m'a appris, tout simplement. à rentrer en contact des personnes, à les renseigner, à les aider, à les accompagner. Puis ensuite, j'ai enchaîné sur un bac pro. Le bac pro, j'étais dans une petite quincaillerie. Je vendais des produits d'entretien, des produits ménagers, de l'outillage concrètement. J'ai fait ça pendant deux ans. Et puis ensuite, j'ai enchaîné chez Disney Store. Donc rien à voir, c'est un univers complètement différent où je vendais des jouets pour enfants et concrètement de la magie. Et à cette époque-là, en fait... Vraiment, j'avais connecté avec la vente parce qu'il y avait ce qu'on appelle la Magic Touch. C'était l'univers Disney où les gens rentraient dans le magasin avec vraiment des yeux émerveillés. Je sentais vraiment que j'apportais de la valeur aux gens et surtout que je leur racontais une histoire. C'est ce que j'ai aimé chez Disney. J'ai travaillé cinq ans là-bas en tant que vendeur. Et à cette époque-là, ma maman est passée en retraite. Pré-retraite. Donc, on l'a déménagé. Et là, plus de Disney. Voilà, plus de Disney. On est parti du côté de la Mayenne. Et là, tout le monde connaît l'histoire où je suis rentré chez Butte. Oui. Pour passer en tant que vendeur chez Butte. Donc, j'avais vraiment un cursus très classique. Mais il y avait quand même ce petit côté en moi où je me sentais quand même dans une routine. Et tu sais, Olivier, en tant que vendeur, quand on est vraiment à la base, On ne gagne pas très bien notre vie. Moi, j'étais au SMIC et je n'avais pas forcément ce... Comment dire ? Je ne sentais pas que les personnes comptaient vraiment sur moi. C'est à dire que je me sentais bien dans ce que je faisais Je sentais que j'apportais de la valeur aux personnes et que je me sentais bien dans mon métier. Mais je ne me sentais pas forcément valorisé et j'avais l'impression que je tournais un petit peu en rond. Et à cette époque-là, j'approchais de la trentaine. Donc je sentais qu'il y avait encore des choses à faire pour moi.

  • Speaker #0

    Alors le moment charnière justement, où tu as entendu parler du closing, ça s'est passé comment ? Et les croyances limitantes que tu pouvais avoir par rapport à ce domaine d'actifs ? Parce qu'à l'époque, c'était encore moins connu qu'aujourd'hui. Oui,

  • Speaker #1

    bien sûr. C'est tout con, je pense, comme beaucoup de gens. J'étais sur Internet, j'essayais de regarder des solutions pour mieux gagner ma vie, je pense, comme beaucoup. Et je suis tombé sur une publicité de Closing Mastery, avec Lisma, qui parlait de cette opportunité du closing.

  • Speaker #0

    C'était il y a combien de temps, ça ?

  • Speaker #1

    C'était début 2021, on était au mois de mars-avril 2021.

  • Speaker #0

    Il y a 3 ans quoi disons.

  • Speaker #1

    Il y a 4 ans, ouais, jour pour jour.

  • Speaker #0

    Il y a vraiment 4 ans.

  • Speaker #1

    Donc moi je vois cette publicité, alors au départ je regarde ça avec la curiosité mais aussi un petit peu de scepticisme. Je me disais bon voilà, ça a l'air intéressant, mais est-ce que vraiment il y a des gens qui font ça et tout ça ? Et puis le temps passe, une semaine, deux semaines, je revois cette publicité puis... À un moment donné, dans mon esprit, je me suis dit, bon, en vrai, c'est cohérent parce que la vente de formation en ligne, moi, j'étais déjà consommateur de formation en ligne.

  • Speaker #0

    De formation en ligne,

  • Speaker #1

    d'accord. Voilà, donc je me suis dit, oui, ça fait du sens, en fait, ça reste de la vente. Sauf que là, je vends des produits digitaux. Et effectivement, si je prends les gens au téléphone, je n'ai pas besoin d'être dans un magasin. Donc, moi, je me suis auto-convaincu, auto-persuadé que non, mais en fait, c'est cohérent et ça me paraît logique. Alors j'avais quand même cette question de est-ce que réellement... je vais pouvoir trouver un job et quelqu'un qui recherche un closer, mais ça me paraissait cohérent, donc je me suis dit, allez.

  • Speaker #0

    Tu t'es auto-closé, comme certains, c'est pas tout le monde, mais il y en a beaucoup qui font ça, ils auto-closent.

  • Speaker #1

    Alors j'ai pris cet appel, du coup, et puis à ce moment-là, je suis tombé sur Ben, qui est le broi droit d'ISMA, à l'époque, on a échangé, on a sympathisé, j'ai trouvé vraiment très sympa comme gars, et puis au bout de quelques jours, je me suis laissé convaincre, et je me suis dit, non mais là, il y a un truc à faire, alors j'ai rejoint. J'étais à des mille lieux d'imaginer à quel point ça allait impacter les douleurs de ma vie.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors tes débuts, tes premiers calls, tes premières galères, tes premières commissions, tes premières réactions ?

  • Speaker #1

    À ce moment-là, moi je travaille chez Butte. Donc ça veut dire que je me forme en parallèle de mon travail. à mi-temps ce qui était génial c'est qu'il y avait des gens qui intégraient cet écosystème qui avaient exactement le même état d'esprit que moi parce qu'ils voulaient y arriver c'est toujours le cas aujourd'hui bien sûr c'est toujours le cas aujourd'hui mais à cette époque là c'était vraiment tout nouveau pour moi donc tu sais c'était aussi le côté frais le côté nouveau que je ressentais et voilà donc je fais ça à côté du travail on me donne ma chance concrètement au bout de quelques mois ... au bout d'un mois et demi à peu près, de prendre mes premiers appels. Et là, je me lance, concrètement, dans l'activité. Donc, je prends mon premier call, c'était, alors, je ne me rappelle plus exactement, mais c'était en juin 2021. Pour en juin 2021. Et au bout de mon troisième call, je fais mon premier close. Et là, Olivier, franchement, je souhaite à tous nos auditeurs, toutes les personnes qui me regardent, de ressentir ce sentiment-là. Parce que c'est un sentiment qui est... Il est indescriptible, il est incroyable en fait. Ça entremêle la fierté personnelle, le fait de ce sentiment profond de dire j'y suis arrivé. Je me suis donné un fond pendant plusieurs mois et là ça marche. Donc on a une fierté personnelle.

  • Speaker #0

    c'est possible.

  • Speaker #1

    Ça y est, ça y est, j'y suis arrivé, j'y arrive. C'est incroyable. Le côté bien sûr pécunier, on ne va pas se cacher, premier close, on se dit, en tout cas pour ma part, 1400 euros Olivier, je fais mon premier close, je gagne quasiment 300 euros, je me dis attends sur un appel de 30 minutes je prends 300 balles à un moment donné voilà tu comprends vite la logique tu dis attends j'en fais quatre comme ça je gagne ce que je gagne en mois de travail donc c'est il ya un truc qui se passe d'un point de vue de la croyance liée à l'argent et voilà au fonctionnement de l'économie qui donc du coup après ça tu as carrément décidé de laisser but et de passer direct à direct moins ça d'après combien de temps en fait le passage en fait le premier close ça pète un truc dans mon cerveau la semaine d'après a forcément je commence continuer à prendre des appels moi je prends les deux appels 1 le midi entre midi et 2 et 1 le soir donc en fait je me disais quand je suis au magasin je perds l'argent parce que je peux apprendre beaucoup plus de col je pourrais enchaîner la fondue moi tu as donné ta donne j'ai donné madame directement bon

  • Speaker #0

    ça c'est pas conseillé à tous les auditeurs qui ont fait à 10 ans à faire au moins trois mois mais bon mais en fait en fait olivier le calcul il est simple moi je me suis dit même si je gagne 1000 euros

  • Speaker #1

    J'étais chez ma maman, j'étais... Alors, après, c'est mon histoire. Moi, j'étais hébergé chez ma maman à cette époque-là, parce que je l'avais suivi en Mayenne. Je me suis dit, écoute, même si je gagne 1 000 euros, en fait, ce que je vais récupérer en termes de liberté, ça n'a pas de valeur, parce que ça va me permettre, derrière, même d'entreprendre d'autres projets ou quoi que ce soit. Donc, même en termes de rémunération, si je n'arrive pas à aller chercher autant que ce que je gagne chez Butte, je suis gagnant, parce que ça va me permettre de continuer à pousser... derrière je récupère mon temps et c'était plus important et en vrai voilà je savais que si j'avais fait une fois que je me donnais à fond je serai en capacité à les chercher 2000 3000 4000 et plus donc pour guérir ça fait sens instantanément donc du coup après tu as commencé à

  • Speaker #0

    commencer ton activité à temps plein c'est la carte des cartes et barbier car les cartes et cartes et parce que Juste pour mes mots, Alex a formé... pratiquement tous les closeurs, en tout cas une grande quantité de closeurs. Moi, malheureusement, c'est lui qui m'a recruté, ça fait un mois et demi qu'on bosse ensemble et il m'annonce qu'il se barre. Donc du coup, il n'est plus là, mon Alex.

  • Speaker #1

    Je reste là, mais on ne va dire pas... Pas dans le même écosystème.

  • Speaker #0

    Non, pas dans le même écosystème. Je n'aurais plus la chance d'être coaché par toi personnellement une fois par semaine. C'était trop top. J'étais trop content. C'est Jacques. On va parler de Jacques. C'est aussi quelqu'un que tu as formé. C'est lui qui va aussi continuer à se créer de moi.

  • Speaker #1

    Très bon manager aussi, Jacques. Moi, c'est un parcours. Je suis vraiment fier au final parce que c'est là où tu vois l'impact qu'une décision peut avoir dans la vie de quelqu'un. Parce qu'autre avis que moi.

  • Speaker #0

    Tu as plein de petits aussi.

  • Speaker #1

    Carrément.

  • Speaker #0

    Tu as plein de petits.

  • Speaker #1

    Mais c'est ça.

  • Speaker #0

    Tu as un coach qui va reprendre tes coachings au niveau de la formation. C'est ça. Après, tu es devenu closer, super closer. Et après, sales manager. Donc, tu t'es retrouvé à gérer une équipe de 25 closers ?

  • Speaker #1

    C'est ça. Parce qu'en fait, si tu veux, Olivier, ça s'est fait naturellement. En fait, moi, quand j'ai commencé le closing, j'ai eu la chance d'être l'un des premiers à intégrer ces équipes. Donc, forcément, quand j'ai commencé à performer, je donnais aussi un petit peu de mes tips, de mes méthodes, mes techniques à d'autres closers pour qu'ils puissent aussi performer. Moi, j'adorais me sentir dans un environnement où on était en train de gagner, où ça marchait, où on progressait. Et au fur et à mesure, j'ai commencé à donner des cours vraiment de manière spontanée, à des personnes qui me disaient Alex.

  • Speaker #0

    Moi, mes premiers coachings au sein de… En tout cas, c'était mon coach préféré quand j'étais au sein de la formation. J'ai kiffé tes coachings. C'est gentil.

  • Speaker #1

    C'était important qu'on se retrouve ensemble, qu'on puisse partager de la bonne humeur, de la joie et surtout partager nos wins et qu'on essaye vraiment de se motiver à fond pour aller chercher encore plus. Moi, c'était ça. Pourquoi ne pas se limiter à 2-3 000 euros alors qu'on peut aller chercher plus donc bien sûr ça s'est fait comme ça et effectivement dans le parcours j'ai amené jacques à rejoindre l'écosystème et à l'époque jacques n'avait pas les fonds pour rejoindre et il a vendu sa voiture voilà quand j'ai échangé avec lui voilà il parle de cette rendre over je dis ben jacques en vrai en vrai des toits à moi ce que ça pourrait pas être plus pertinent que tu récupères aussi un petit peu de trésorerie tu achètes une voiture un peu moins puissante mais ça va te permettre de démarrer et puis me dis mais en vrai à l'aigle vous y avez pensé. On dit enfin. en fait, ce que tu me dis là, j'étais déjà en train d'y penser, et en vrai, tu as raison, ça peut être la solution. Et deux semaines plus tard, il a rejoint, et aujourd'hui, tu vois, comme moi, il a progressé, il a fait ses... C'est lui le boss des closers,

  • Speaker #0

    et des setters aussi,

  • Speaker #1

    d'ailleurs. Pas que des closers. Je crois que c'est Vincent, le boss des setters.

  • Speaker #0

    Ok, ok.

  • Speaker #1

    Vincent qui est rentré aussi chez Closing Mastery il y a des années.

  • Speaker #0

    Oui, alors Vincent, c'est encore une autre histoire. On le voit dans les vidéos de témoignages. Mais c'est pareil, c'est toi qui t'en es occupé, non ? Tu l'as formé ? Alors non,

  • Speaker #1

    du tout. Ça, pour le coup, c'est vraiment Ben qui l'a formé.

  • Speaker #0

    Ben, OK. Ben aussi, il a formé un sacré nombre.

  • Speaker #1

    Et moi, et moi.

  • Speaker #0

    Avec le plaisir et de cette heure. Et Ismaël aussi, je suppose. Voilà, après un petit mois et demi à bosser avec toi et à t'apprécier non seulement en tant que coach dans le cadre de la formation, mais après en tant que sales manager, ta bienveillance et tout le reste des qualités que je ne vais pas nommer ici, tu nous annonces quoi ? Tu nous annonces en fait ton départ. Alors, tu peux nous situer quand même en termes de… parce que ça peut intéresser aussi les… Les auditeurs ? En tant que closer, tu tournais aux alentours de combien en termes de revenus ?

  • Speaker #1

    Alors là, ça variait, mais en gros, j'étais entre 3 000 et 4 500 euros par mois.

  • Speaker #0

    D'accord. Et sales manager ?

  • Speaker #1

    Sales manager, pareil, ça dépend des mois, mais en général, j'étais entre 5 000 et 8 000 euros par mois.

  • Speaker #0

    D'accord, d'accord. Bon ben voilà, et donc après 4 ans, encore plus du coup, et tu nous annonces notre départ. Alors là je te laisse la première de nous expliquer.

  • Speaker #1

    En fait, Olivier, moi toute ma vie, j'ai accompagné des personnes à prendre des décisions fortes pour changer leur situation concrètement. Donc ce qu'on appelle sortir de la zone de confort pour aller vers ce que moi j'appelle la zone d'apprentissage. Mais cette zone d'apprentissage, elle est inconfortable. Parce que c'est le moment où on se remet en question, on doit réapprendre et on doit redescendre finalement des acquis.

  • Speaker #0

    Je comprends.

  • Speaker #1

    Et oui, donc tu vois exactement de quoi je parle. Et moi, dans ce que je fais, j'adore ce que je fais. Vraiment, des personnes comme toi Olivier, ça me fait un kiff total. Oui, il faut que je le fasse. C'est un kiff total. Je vois des… C'est un renouveau en fait. C'est comme une renaissance. La personne qui fait l'entraide, qui apprend de se dépasser, de partager. Pour moi, c'est génial. C'est un sentiment qui est incroyable. Et moi, dans mon parcours, j'ai été amené à accompagner des cinquantaines, des centaines de personnes au travers de mon statut de coach. Donc, j'ai vu toutes ces personnes progresser. mais moi à un moment donné je me suis dit, OK, ce que je fais aujourd'hui, je le fais bien. Je me sens bien. Mais est-ce que quelque part, je ne serai pas aujourd'hui dans ma zone de confort ?

  • Speaker #0

    Je ne serai pas dans ma petite routine ou une grosse routine.

  • Speaker #1

    Exactement. Et alors, bon, ça, c'est la vie qui veut ça. Mais dans le closing, j'ai été amené à rencontrer d'autres personnes, d'autres infopreneurs. Et j'ai fait la rencontre d'une personne avec laquelle je me suis associé pour un programme d'accompagnement en investissement immobilier. Pas que d'ailleurs, c'est de l'investissement immobilier, mais aussi du placement financier. c'est des voilà des patients à haut rendement et j'ai trouvé ça cohérent parce que moi en tant que qu'entrepreneur pas en tant que manager que ces managers à l'immobilier ça me parlait parce que c'est du patrimoine c'est sécurisé son avis je sais que c'est une de tes passions alors il me l'a pas dit mais je les ai vus dans

  • Speaker #0

    les vidéos témoignages que j'ai écouté avant de rentrer chez closing master et tu disais ouais de mes passions c'est l'immobilier tata dit à d'adapter. Enfin, voilà,

  • Speaker #1

    quoi. Tout à fait. Et donc,

  • Speaker #0

    du coup, ça paraît logique, en fait. que tu te lances dans ce programme. Allô,

  • Speaker #1

    Jemais.

  • Speaker #0

    Donc, c'est pour montrer aux auditeurs, en fait, qu'il y a vraiment la possibilité d'évoluer. Ce n'est pas de closer, tu es passé de closer à super closer, sales manager, et maintenant associé carrément d'un super accompagnement.

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    C'est carrément top. Et tout ça en quatre ans ?

  • Speaker #1

    Tout ça en quatre ans. Mais c'est vrai qu'on ne se rend pas compte, en fait, parce que... quand on rejoint cette aventure-là, ce n'est pas uniquement du closing, c'est aussi des rencontres humaines. C'est des rencontres avec des opportunités, c'est ouvrir son esprit à plein d'autres choses. L'immobilier, moi, j'étais déjà attiré par cet univers-là, mais le closing m'a servi de levier pour pouvoir accélérer aussi des investissements immo. Donc, en fait, moi, je considère que ça reste aussi de l'entrepreneuriat, en tout cas aux personnes qui restent ouvertes à d'autres domaines. Et effectivement, dans ce cadre-là, j'étais amené à rencontrer d'autres personnes. Et c'est ce qui fait que derrière, je me suis dit, allez effectivement il y a un beau projet qui m'a l'air vraiment goûteur, dans lequel je me reconnais je me sens bien, auquel on met les mains au centre de l'accompagnement donc je me suis dit allez, il faut que je sorte de ma zone de confort et pourquoi pas redonner ce que j'ai appris dans l'écosystème Mastery à d'autres personnes pour les aider à performer et à évoluer,

  • Speaker #0

    et pour moi ça faisait du sens Je suis super content pour toi mais en même temps je suis triste je me sens complètement c'est pour expliquer aux auditeurs le genre de rapport qui peut s'installer en fait parce qu'on se connaît connaissait pas il ya quelques mois de ça et je sais pas bien sûr en tout cas voilà quoi et ben ouais je me sens comme un orphelin à la fin du mois tu te casses c'est à dire dans trois quatre jours et puis on peut voilà tu vas partir vers d'autres cieux et on est mais mais mais tu vois olivier dans notre rencontre tu m'as mis aussi en relation avec des personnes voilà

  • Speaker #1

    on en qui tu croyais, en qui tu fais confiance.

  • Speaker #0

    Je vais dire mon petit-enfant.

  • Speaker #1

    Tu vois, les liens se font. De toute façon, les connexions sont là, Olivier. Peu importe. Quel est le cas, si ça vous plaît. On sera en contact. Il n'y a pas de...

  • Speaker #0

    Un petit dernier mot pour ce que tu aimerais dire à ceux qui débutent dans le setting ou le closing ?

  • Speaker #1

    À ceux qui débutent ? Alors, c'est un petit peu paradoxal ce que je vais dire, parce que dans le monde du closing, c'est vrai que la performance, elle est au centre de tout. Un closer, il est évalué au niveau de sa compétence et de son taux de conversion. Il ne résume pas. Des résultats. C'est le mot que je cherchais. Mais moi, ce que je vous conseille, c'est détachez-vous au maximum du résultat. Parce que, non mais c'est pourquoi je dis ça. Parce que tu m'as posé la question par rapport à un closer qui débute. En fait, si l'objectif est uniquement centré sur le résultat, ça ne marchera pas. Bien sûr que l'objectif à terme, c'est d'avoir du résultat, que ça fonctionne, de closer, de gagner sa vie. Mais le plus important, c'est de se concentrer sur déjà un, comment on se sent, et deux, dans la volonté de s'améliorer. Parce que même si les résultats ne sont pas là tout de suite, Si on est dans la volonté de faire mieux et de s'améliorer, les résultats vont arriver. Donc, en fait,

  • Speaker #0

    c'est avoir un mindset particulier.

  • Speaker #1

    C'est ça. Alors, on n'est pas dans le monde des bisounours. Je ne dis pas… Non. Voilà. Mais en revanche, une chose est certaine, c'est que si un closeur, au départ, est uniquement focalisé sur le résultat, ça va être quelque chose de bloquant pour lui parce qu'il va se paralyser, se bloquer… Se stresser. Se stresser. Il ne sera plus dans les bonnes conditions pour envoyer des bonnes ondes. à la personne qui est en face pour réellement être à son écoute et l'aider à prendre une décision.

  • Speaker #0

    D'accord. Du coup, j'allais te dire un conseil, tu viens de le donner. Tu ne te souviens pas.

  • Speaker #1

    Un conseil pour une personne qui débute, ça veut dire qu'il est déjà dedans. Normalement, il sait pourquoi il y est et il va mettre la motivation. Moi, je lui dis, en tout cas, si... si ce conseil peut vraiment servir. Ne lâche rien, parce que au final, c'est vraiment une aventure, c'est un parcours unique à chacun, propre à chacun, mon histoire. Je la donne parce qu'effectivement, je pense qu'elle pourrait inspirer des personnes. Mais chaque personne a sa propre histoire. Et moi, je ne sais plus où j'avais entendu ça. mais pour moi j'ai trouvé que ça faisait du sens. Il disait qu'en fait on ne peut pas perdre dans la mesure où on n'abandonne pas. J'ai trouvé ça très vrai. En fait on perd dans la mesure où on abandonne. Une personne qui ne lâche pas, qui continue à avancer malgré les difficultés qui peuvent arriver, malgré les obstacles, mais qui ne lâche pas et qui est toujours dans cette volonté d'aller chercher la meilleure version de soi-même et de progresser. Il y a un moment donné où c'est le secret de la réussite. Elle va y arriver. Bien sûr.

  • Speaker #0

    Tout à fait d'accord. Et un dernier petit mot pour ceux qui doutent. C'est-à-dire ceux qui n'ont pas encore fait le pas. Je ne veux pas aller jusqu'au coup d'une action, mais juste pour ceux qui doutent.

  • Speaker #1

    Ceux qui doutent, posez-vous la question. Qu'est-ce que vous avez à perdre ? Pour moi, c'est ça. En tout cas, moi, en ce qui me concernait. J'avais pas grand chose à perdre si ce n'était un travail en CDI. Bon, voilà, il faut se poser la question, qu'est-ce que je veux réellement dans la vie ? Est-ce que le jeu en vaut la chandelle ? Et se poser la question, qu'est-ce que je veux vraiment ? Est-ce qu'aujourd'hui, je veux plus ? Est-ce que je veux plus ? Est-ce que je veux me donner les moyens d'aller chercher plus ? Si cette question vous amène à la réponse d'un oui, concrètement, oui, à un moment donné, de toute façon, il faudra... forcément prendre une décision, peu importe si c'est le closing, si c'est autre chose, mais il faudra prendre une décision et cette décision elle passera forcément par le fait de sortir de sa zone de confort, donc il y a un moment où il faut se faire confiance et puis il faut...

  • Speaker #0

    On arrive à la fin de notre premier épisode. En tout cas, Alex, moi, je te remercie déjà. C'est un plaisir de partager. Ce que tu as pu me transmettre déjà dans le cadre de tes coachings en tant que sales manager. Je voudrais vraiment te souhaiter la meilleure fortune possible dans ta nouvelle aventure. Et puis, voilà. Donc, en tout cas, toi, l'auditeur qui nous écoute, si cet épisode t'a inspiré, t'as mis une claque ou t'as donné l'envie d'en savoir plus, écoute, fonce découvrir la masterclass gratuite de Closing Mastery. C'est ce même programme qui a transformé la vie d'Alex et la mienne. Un petit mot, Alex ? Conclusion ?

  • Speaker #1

    Merci Olivier de m'avoir reçu. Et j'espère que tous les auditeurs seront portés par tes podcasts parce que moi, je m'appartiens aussi à ce projet. Je trouve ça génial. Et tu as déjà quelques mots à dire.

  • Speaker #0

    C'est top.

  • Speaker #1

    C'est top.

  • Speaker #0

    Merci Olivier. Tu es une personne trop bienveillante.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup Olivier.

  • Speaker #0

    Bon, merci à tous et puis au revoir. Au prochain épisode. Au revoir.

  • Speaker #1

    Ciao, ciao.

Chapters

  • Chapitre 1 Introduction

    00:36

  • Chapitre 2 Retour aux sources : la vie avant le closing

    01:16

  • Chapitre 3 La montée en puissance

    07:22

  • Chapitre 4 Le départ et la nouvelle aventure

    14:23

  • Chapitre 5 Message à la communauté

    19:16

  • Chapitre 6 Outro personnelle

    23:15

Description

💥 Découvre la Masterclass gratuite de Closing Mastery → clique ici
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🎙️ Envie de savoir comment on passe de vendeur chez But à coach star du closing ?

Dans cet épisode 1 de Dans la tête d’un Setter Closer, je t’emmène à la rencontre d’Alex, une des figures emblématiques de Closing Mastery. Quatre ans après avoir quitté le salariat, Alex est devenu closer, puis super closer, sales manager, et aujourd’hui entrepreneur à succès.

👉 On parle de :

  • ses débuts timides en vente,

  • son premier close à 300 € en 30 minutes,

  • son ascension fulgurante,

  • ses conseils pour les débutants,

  • et son passage à l’entrepreneuriat dans l’immobilier.

💡 Ce podcast est pour toi si :

  • tu cherches un revenu complémentaire ou une reconversion,

  • tu veux découvrir le vrai quotidien du closing (sans filtre),

  • tu veux apprendre des meilleurs et t’inspirer d’histoires vraies.

✨ Pourquoi écouter cet épisode ?
Parce que tu vas découvrir que le setting et le closing, c’est bien plus qu’un métier. C’est un ascenseur social, un levier pour reprendre le contrôle de ta vie et de tes revenus.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    7 heures ou closeur ? Deux approches, mais une seule mission. Guider le prospect là où il doute, là où chaque mot peut faire pencher la balance. Pas de closing sans un bon setting. Ici, je te partage l'envers du décor sans filtre, sans bullshit. Ausha parce que dans la tête d'un 7 heures closeur, ça bouillonne en permanence. Si toi aussi tu veux générer des revenus prévisibles grâce au setting et au closing, clique sur le lien dans la description. pour découvrir la masterclass gratuite de Closing Mastery. Tu écoutes, dans la tête d'un setter-closer, le podcast qui t'emmène là où tout se joue, dans la tête du prospect, dans l'énergie de l'appel, dans ces micro-décisions qui font toute la différence. Moi, c'est Olivier. Et ici, je te raconte les coulisses du setting et du closing. Je te partage mon quotidien, mon ressenti et mes résultats, mais aussi des moments forts. partagé par d'autres setters closer, des interviews avec des coachs et des leaders du game, ceux qui génèrent 5, 10, parfois même plus de 20 cas par mois. Et oui, incroyable, hein ? Ensemble, on décrit ce qui marche, ce qui coince et comment, toi aussi, tu peux faire ta place dans cette industrie. Ok ! Eh bien, du coup, pour notre épisode 1, comme promis, c'est notre interview avec Alex. C'est un épisode vraiment spécial, avec beaucoup d'émotion. Alex, vendeur chez Butte il y a 4 ans, c'est aujourd'hui l'une des figures emblématiques de Closing Mastery, connu comme le vendeur chez Butte devenu super closer. Il est passé de closer à super closer, de super closer à sales manager, puis coach dans la formation de Closing Mastery. Et aujourd'hui, il forme les leaders de demain. J'avoue, c'est lui aussi qui m'a repéré et qui m'a permis d'intégrer l'équipe de Closing Mastery. Et donc, je voulais vraiment faire cet épisode, ce premier épisode avec lui avant son départ. Donc cet épisode, en fait, c'est un hommage. C'est un moment fort parce qu'Alex quitte... l'équipe de Closing Mastery, pour un nouveau projet. C'est une bonne nouvelle, en tout cas. Et je voulais marquer le coup avec cet épisode 1 de mon podcast. Donc du coup, Alex, bonjour. Bonjour Olivier. Voilà,

  • Speaker #1

    est-ce que tu peux,

  • Speaker #0

    avant de rentrer dans... les causes de ton départ et vers ton nouveau projet vers lequel tu t'envoles. Est-ce que tu peux déjà nous reparler de ta vie avant le closing ?

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr. Alors moi, pour ceux qui ne me connaissent pas, concrètement, j'ai fait un petit peu d'études. J'ai fait un BEP, Vente Action Marchande, puis un bac pro commerce. Voilà, j'ai commencé tout de suite dans le monde de la vente. Alors, ce n'était pas forcément un choix. C'était plus au départ, en tout cas, parce que je ne sais pas vraiment ce que je voulais faire de ma vie. C'était un petit peu compliqué pour moi à mes débuts parce que j'étais très timide. J'étais pas à l'aise à l'idée d'aller au contact des gens pour leur demander s'ils avaient besoin. Voilà, tout simplement. Je me suis formé un peu à la dire. J'étais dans un petit magasin de sport. C'était sur Paris, dans le 18ème, rue Ordonnaire. Je me rappelle, à l'époque, le magasin s'appelait le magasin. C'était un magasin de fringues, de sport, de sportwear, de survêtements, de chaussures. Ça m'a appris, tout simplement. à rentrer en contact des personnes, à les renseigner, à les aider, à les accompagner. Puis ensuite, j'ai enchaîné sur un bac pro. Le bac pro, j'étais dans une petite quincaillerie. Je vendais des produits d'entretien, des produits ménagers, de l'outillage concrètement. J'ai fait ça pendant deux ans. Et puis ensuite, j'ai enchaîné chez Disney Store. Donc rien à voir, c'est un univers complètement différent où je vendais des jouets pour enfants et concrètement de la magie. Et à cette époque-là, en fait... Vraiment, j'avais connecté avec la vente parce qu'il y avait ce qu'on appelle la Magic Touch. C'était l'univers Disney où les gens rentraient dans le magasin avec vraiment des yeux émerveillés. Je sentais vraiment que j'apportais de la valeur aux gens et surtout que je leur racontais une histoire. C'est ce que j'ai aimé chez Disney. J'ai travaillé cinq ans là-bas en tant que vendeur. Et à cette époque-là, ma maman est passée en retraite. Pré-retraite. Donc, on l'a déménagé. Et là, plus de Disney. Voilà, plus de Disney. On est parti du côté de la Mayenne. Et là, tout le monde connaît l'histoire où je suis rentré chez Butte. Oui. Pour passer en tant que vendeur chez Butte. Donc, j'avais vraiment un cursus très classique. Mais il y avait quand même ce petit côté en moi où je me sentais quand même dans une routine. Et tu sais, Olivier, en tant que vendeur, quand on est vraiment à la base, On ne gagne pas très bien notre vie. Moi, j'étais au SMIC et je n'avais pas forcément ce... Comment dire ? Je ne sentais pas que les personnes comptaient vraiment sur moi. C'est à dire que je me sentais bien dans ce que je faisais Je sentais que j'apportais de la valeur aux personnes et que je me sentais bien dans mon métier. Mais je ne me sentais pas forcément valorisé et j'avais l'impression que je tournais un petit peu en rond. Et à cette époque-là, j'approchais de la trentaine. Donc je sentais qu'il y avait encore des choses à faire pour moi.

  • Speaker #0

    Alors le moment charnière justement, où tu as entendu parler du closing, ça s'est passé comment ? Et les croyances limitantes que tu pouvais avoir par rapport à ce domaine d'actifs ? Parce qu'à l'époque, c'était encore moins connu qu'aujourd'hui. Oui,

  • Speaker #1

    bien sûr. C'est tout con, je pense, comme beaucoup de gens. J'étais sur Internet, j'essayais de regarder des solutions pour mieux gagner ma vie, je pense, comme beaucoup. Et je suis tombé sur une publicité de Closing Mastery, avec Lisma, qui parlait de cette opportunité du closing.

  • Speaker #0

    C'était il y a combien de temps, ça ?

  • Speaker #1

    C'était début 2021, on était au mois de mars-avril 2021.

  • Speaker #0

    Il y a 3 ans quoi disons.

  • Speaker #1

    Il y a 4 ans, ouais, jour pour jour.

  • Speaker #0

    Il y a vraiment 4 ans.

  • Speaker #1

    Donc moi je vois cette publicité, alors au départ je regarde ça avec la curiosité mais aussi un petit peu de scepticisme. Je me disais bon voilà, ça a l'air intéressant, mais est-ce que vraiment il y a des gens qui font ça et tout ça ? Et puis le temps passe, une semaine, deux semaines, je revois cette publicité puis... À un moment donné, dans mon esprit, je me suis dit, bon, en vrai, c'est cohérent parce que la vente de formation en ligne, moi, j'étais déjà consommateur de formation en ligne.

  • Speaker #0

    De formation en ligne,

  • Speaker #1

    d'accord. Voilà, donc je me suis dit, oui, ça fait du sens, en fait, ça reste de la vente. Sauf que là, je vends des produits digitaux. Et effectivement, si je prends les gens au téléphone, je n'ai pas besoin d'être dans un magasin. Donc, moi, je me suis auto-convaincu, auto-persuadé que non, mais en fait, c'est cohérent et ça me paraît logique. Alors j'avais quand même cette question de est-ce que réellement... je vais pouvoir trouver un job et quelqu'un qui recherche un closer, mais ça me paraissait cohérent, donc je me suis dit, allez.

  • Speaker #0

    Tu t'es auto-closé, comme certains, c'est pas tout le monde, mais il y en a beaucoup qui font ça, ils auto-closent.

  • Speaker #1

    Alors j'ai pris cet appel, du coup, et puis à ce moment-là, je suis tombé sur Ben, qui est le broi droit d'ISMA, à l'époque, on a échangé, on a sympathisé, j'ai trouvé vraiment très sympa comme gars, et puis au bout de quelques jours, je me suis laissé convaincre, et je me suis dit, non mais là, il y a un truc à faire, alors j'ai rejoint. J'étais à des mille lieux d'imaginer à quel point ça allait impacter les douleurs de ma vie.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors tes débuts, tes premiers calls, tes premières galères, tes premières commissions, tes premières réactions ?

  • Speaker #1

    À ce moment-là, moi je travaille chez Butte. Donc ça veut dire que je me forme en parallèle de mon travail. à mi-temps ce qui était génial c'est qu'il y avait des gens qui intégraient cet écosystème qui avaient exactement le même état d'esprit que moi parce qu'ils voulaient y arriver c'est toujours le cas aujourd'hui bien sûr c'est toujours le cas aujourd'hui mais à cette époque là c'était vraiment tout nouveau pour moi donc tu sais c'était aussi le côté frais le côté nouveau que je ressentais et voilà donc je fais ça à côté du travail on me donne ma chance concrètement au bout de quelques mois ... au bout d'un mois et demi à peu près, de prendre mes premiers appels. Et là, je me lance, concrètement, dans l'activité. Donc, je prends mon premier call, c'était, alors, je ne me rappelle plus exactement, mais c'était en juin 2021. Pour en juin 2021. Et au bout de mon troisième call, je fais mon premier close. Et là, Olivier, franchement, je souhaite à tous nos auditeurs, toutes les personnes qui me regardent, de ressentir ce sentiment-là. Parce que c'est un sentiment qui est... Il est indescriptible, il est incroyable en fait. Ça entremêle la fierté personnelle, le fait de ce sentiment profond de dire j'y suis arrivé. Je me suis donné un fond pendant plusieurs mois et là ça marche. Donc on a une fierté personnelle.

  • Speaker #0

    c'est possible.

  • Speaker #1

    Ça y est, ça y est, j'y suis arrivé, j'y arrive. C'est incroyable. Le côté bien sûr pécunier, on ne va pas se cacher, premier close, on se dit, en tout cas pour ma part, 1400 euros Olivier, je fais mon premier close, je gagne quasiment 300 euros, je me dis attends sur un appel de 30 minutes je prends 300 balles à un moment donné voilà tu comprends vite la logique tu dis attends j'en fais quatre comme ça je gagne ce que je gagne en mois de travail donc c'est il ya un truc qui se passe d'un point de vue de la croyance liée à l'argent et voilà au fonctionnement de l'économie qui donc du coup après ça tu as carrément décidé de laisser but et de passer direct à direct moins ça d'après combien de temps en fait le passage en fait le premier close ça pète un truc dans mon cerveau la semaine d'après a forcément je commence continuer à prendre des appels moi je prends les deux appels 1 le midi entre midi et 2 et 1 le soir donc en fait je me disais quand je suis au magasin je perds l'argent parce que je peux apprendre beaucoup plus de col je pourrais enchaîner la fondue moi tu as donné ta donne j'ai donné madame directement bon

  • Speaker #0

    ça c'est pas conseillé à tous les auditeurs qui ont fait à 10 ans à faire au moins trois mois mais bon mais en fait en fait olivier le calcul il est simple moi je me suis dit même si je gagne 1000 euros

  • Speaker #1

    J'étais chez ma maman, j'étais... Alors, après, c'est mon histoire. Moi, j'étais hébergé chez ma maman à cette époque-là, parce que je l'avais suivi en Mayenne. Je me suis dit, écoute, même si je gagne 1 000 euros, en fait, ce que je vais récupérer en termes de liberté, ça n'a pas de valeur, parce que ça va me permettre, derrière, même d'entreprendre d'autres projets ou quoi que ce soit. Donc, même en termes de rémunération, si je n'arrive pas à aller chercher autant que ce que je gagne chez Butte, je suis gagnant, parce que ça va me permettre de continuer à pousser... derrière je récupère mon temps et c'était plus important et en vrai voilà je savais que si j'avais fait une fois que je me donnais à fond je serai en capacité à les chercher 2000 3000 4000 et plus donc pour guérir ça fait sens instantanément donc du coup après tu as commencé à

  • Speaker #0

    commencer ton activité à temps plein c'est la carte des cartes et barbier car les cartes et cartes et parce que Juste pour mes mots, Alex a formé... pratiquement tous les closeurs, en tout cas une grande quantité de closeurs. Moi, malheureusement, c'est lui qui m'a recruté, ça fait un mois et demi qu'on bosse ensemble et il m'annonce qu'il se barre. Donc du coup, il n'est plus là, mon Alex.

  • Speaker #1

    Je reste là, mais on ne va dire pas... Pas dans le même écosystème.

  • Speaker #0

    Non, pas dans le même écosystème. Je n'aurais plus la chance d'être coaché par toi personnellement une fois par semaine. C'était trop top. J'étais trop content. C'est Jacques. On va parler de Jacques. C'est aussi quelqu'un que tu as formé. C'est lui qui va aussi continuer à se créer de moi.

  • Speaker #1

    Très bon manager aussi, Jacques. Moi, c'est un parcours. Je suis vraiment fier au final parce que c'est là où tu vois l'impact qu'une décision peut avoir dans la vie de quelqu'un. Parce qu'autre avis que moi.

  • Speaker #0

    Tu as plein de petits aussi.

  • Speaker #1

    Carrément.

  • Speaker #0

    Tu as plein de petits.

  • Speaker #1

    Mais c'est ça.

  • Speaker #0

    Tu as un coach qui va reprendre tes coachings au niveau de la formation. C'est ça. Après, tu es devenu closer, super closer. Et après, sales manager. Donc, tu t'es retrouvé à gérer une équipe de 25 closers ?

  • Speaker #1

    C'est ça. Parce qu'en fait, si tu veux, Olivier, ça s'est fait naturellement. En fait, moi, quand j'ai commencé le closing, j'ai eu la chance d'être l'un des premiers à intégrer ces équipes. Donc, forcément, quand j'ai commencé à performer, je donnais aussi un petit peu de mes tips, de mes méthodes, mes techniques à d'autres closers pour qu'ils puissent aussi performer. Moi, j'adorais me sentir dans un environnement où on était en train de gagner, où ça marchait, où on progressait. Et au fur et à mesure, j'ai commencé à donner des cours vraiment de manière spontanée, à des personnes qui me disaient Alex.

  • Speaker #0

    Moi, mes premiers coachings au sein de… En tout cas, c'était mon coach préféré quand j'étais au sein de la formation. J'ai kiffé tes coachings. C'est gentil.

  • Speaker #1

    C'était important qu'on se retrouve ensemble, qu'on puisse partager de la bonne humeur, de la joie et surtout partager nos wins et qu'on essaye vraiment de se motiver à fond pour aller chercher encore plus. Moi, c'était ça. Pourquoi ne pas se limiter à 2-3 000 euros alors qu'on peut aller chercher plus donc bien sûr ça s'est fait comme ça et effectivement dans le parcours j'ai amené jacques à rejoindre l'écosystème et à l'époque jacques n'avait pas les fonds pour rejoindre et il a vendu sa voiture voilà quand j'ai échangé avec lui voilà il parle de cette rendre over je dis ben jacques en vrai en vrai des toits à moi ce que ça pourrait pas être plus pertinent que tu récupères aussi un petit peu de trésorerie tu achètes une voiture un peu moins puissante mais ça va te permettre de démarrer et puis me dis mais en vrai à l'aigle vous y avez pensé. On dit enfin. en fait, ce que tu me dis là, j'étais déjà en train d'y penser, et en vrai, tu as raison, ça peut être la solution. Et deux semaines plus tard, il a rejoint, et aujourd'hui, tu vois, comme moi, il a progressé, il a fait ses... C'est lui le boss des closers,

  • Speaker #0

    et des setters aussi,

  • Speaker #1

    d'ailleurs. Pas que des closers. Je crois que c'est Vincent, le boss des setters.

  • Speaker #0

    Ok, ok.

  • Speaker #1

    Vincent qui est rentré aussi chez Closing Mastery il y a des années.

  • Speaker #0

    Oui, alors Vincent, c'est encore une autre histoire. On le voit dans les vidéos de témoignages. Mais c'est pareil, c'est toi qui t'en es occupé, non ? Tu l'as formé ? Alors non,

  • Speaker #1

    du tout. Ça, pour le coup, c'est vraiment Ben qui l'a formé.

  • Speaker #0

    Ben, OK. Ben aussi, il a formé un sacré nombre.

  • Speaker #1

    Et moi, et moi.

  • Speaker #0

    Avec le plaisir et de cette heure. Et Ismaël aussi, je suppose. Voilà, après un petit mois et demi à bosser avec toi et à t'apprécier non seulement en tant que coach dans le cadre de la formation, mais après en tant que sales manager, ta bienveillance et tout le reste des qualités que je ne vais pas nommer ici, tu nous annonces quoi ? Tu nous annonces en fait ton départ. Alors, tu peux nous situer quand même en termes de… parce que ça peut intéresser aussi les… Les auditeurs ? En tant que closer, tu tournais aux alentours de combien en termes de revenus ?

  • Speaker #1

    Alors là, ça variait, mais en gros, j'étais entre 3 000 et 4 500 euros par mois.

  • Speaker #0

    D'accord. Et sales manager ?

  • Speaker #1

    Sales manager, pareil, ça dépend des mois, mais en général, j'étais entre 5 000 et 8 000 euros par mois.

  • Speaker #0

    D'accord, d'accord. Bon ben voilà, et donc après 4 ans, encore plus du coup, et tu nous annonces notre départ. Alors là je te laisse la première de nous expliquer.

  • Speaker #1

    En fait, Olivier, moi toute ma vie, j'ai accompagné des personnes à prendre des décisions fortes pour changer leur situation concrètement. Donc ce qu'on appelle sortir de la zone de confort pour aller vers ce que moi j'appelle la zone d'apprentissage. Mais cette zone d'apprentissage, elle est inconfortable. Parce que c'est le moment où on se remet en question, on doit réapprendre et on doit redescendre finalement des acquis.

  • Speaker #0

    Je comprends.

  • Speaker #1

    Et oui, donc tu vois exactement de quoi je parle. Et moi, dans ce que je fais, j'adore ce que je fais. Vraiment, des personnes comme toi Olivier, ça me fait un kiff total. Oui, il faut que je le fasse. C'est un kiff total. Je vois des… C'est un renouveau en fait. C'est comme une renaissance. La personne qui fait l'entraide, qui apprend de se dépasser, de partager. Pour moi, c'est génial. C'est un sentiment qui est incroyable. Et moi, dans mon parcours, j'ai été amené à accompagner des cinquantaines, des centaines de personnes au travers de mon statut de coach. Donc, j'ai vu toutes ces personnes progresser. mais moi à un moment donné je me suis dit, OK, ce que je fais aujourd'hui, je le fais bien. Je me sens bien. Mais est-ce que quelque part, je ne serai pas aujourd'hui dans ma zone de confort ?

  • Speaker #0

    Je ne serai pas dans ma petite routine ou une grosse routine.

  • Speaker #1

    Exactement. Et alors, bon, ça, c'est la vie qui veut ça. Mais dans le closing, j'ai été amené à rencontrer d'autres personnes, d'autres infopreneurs. Et j'ai fait la rencontre d'une personne avec laquelle je me suis associé pour un programme d'accompagnement en investissement immobilier. Pas que d'ailleurs, c'est de l'investissement immobilier, mais aussi du placement financier. c'est des voilà des patients à haut rendement et j'ai trouvé ça cohérent parce que moi en tant que qu'entrepreneur pas en tant que manager que ces managers à l'immobilier ça me parlait parce que c'est du patrimoine c'est sécurisé son avis je sais que c'est une de tes passions alors il me l'a pas dit mais je les ai vus dans

  • Speaker #0

    les vidéos témoignages que j'ai écouté avant de rentrer chez closing master et tu disais ouais de mes passions c'est l'immobilier tata dit à d'adapter. Enfin, voilà,

  • Speaker #1

    quoi. Tout à fait. Et donc,

  • Speaker #0

    du coup, ça paraît logique, en fait. que tu te lances dans ce programme. Allô,

  • Speaker #1

    Jemais.

  • Speaker #0

    Donc, c'est pour montrer aux auditeurs, en fait, qu'il y a vraiment la possibilité d'évoluer. Ce n'est pas de closer, tu es passé de closer à super closer, sales manager, et maintenant associé carrément d'un super accompagnement.

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    C'est carrément top. Et tout ça en quatre ans ?

  • Speaker #1

    Tout ça en quatre ans. Mais c'est vrai qu'on ne se rend pas compte, en fait, parce que... quand on rejoint cette aventure-là, ce n'est pas uniquement du closing, c'est aussi des rencontres humaines. C'est des rencontres avec des opportunités, c'est ouvrir son esprit à plein d'autres choses. L'immobilier, moi, j'étais déjà attiré par cet univers-là, mais le closing m'a servi de levier pour pouvoir accélérer aussi des investissements immo. Donc, en fait, moi, je considère que ça reste aussi de l'entrepreneuriat, en tout cas aux personnes qui restent ouvertes à d'autres domaines. Et effectivement, dans ce cadre-là, j'étais amené à rencontrer d'autres personnes. Et c'est ce qui fait que derrière, je me suis dit, allez effectivement il y a un beau projet qui m'a l'air vraiment goûteur, dans lequel je me reconnais je me sens bien, auquel on met les mains au centre de l'accompagnement donc je me suis dit allez, il faut que je sorte de ma zone de confort et pourquoi pas redonner ce que j'ai appris dans l'écosystème Mastery à d'autres personnes pour les aider à performer et à évoluer,

  • Speaker #0

    et pour moi ça faisait du sens Je suis super content pour toi mais en même temps je suis triste je me sens complètement c'est pour expliquer aux auditeurs le genre de rapport qui peut s'installer en fait parce qu'on se connaît connaissait pas il ya quelques mois de ça et je sais pas bien sûr en tout cas voilà quoi et ben ouais je me sens comme un orphelin à la fin du mois tu te casses c'est à dire dans trois quatre jours et puis on peut voilà tu vas partir vers d'autres cieux et on est mais mais mais tu vois olivier dans notre rencontre tu m'as mis aussi en relation avec des personnes voilà

  • Speaker #1

    on en qui tu croyais, en qui tu fais confiance.

  • Speaker #0

    Je vais dire mon petit-enfant.

  • Speaker #1

    Tu vois, les liens se font. De toute façon, les connexions sont là, Olivier. Peu importe. Quel est le cas, si ça vous plaît. On sera en contact. Il n'y a pas de...

  • Speaker #0

    Un petit dernier mot pour ce que tu aimerais dire à ceux qui débutent dans le setting ou le closing ?

  • Speaker #1

    À ceux qui débutent ? Alors, c'est un petit peu paradoxal ce que je vais dire, parce que dans le monde du closing, c'est vrai que la performance, elle est au centre de tout. Un closer, il est évalué au niveau de sa compétence et de son taux de conversion. Il ne résume pas. Des résultats. C'est le mot que je cherchais. Mais moi, ce que je vous conseille, c'est détachez-vous au maximum du résultat. Parce que, non mais c'est pourquoi je dis ça. Parce que tu m'as posé la question par rapport à un closer qui débute. En fait, si l'objectif est uniquement centré sur le résultat, ça ne marchera pas. Bien sûr que l'objectif à terme, c'est d'avoir du résultat, que ça fonctionne, de closer, de gagner sa vie. Mais le plus important, c'est de se concentrer sur déjà un, comment on se sent, et deux, dans la volonté de s'améliorer. Parce que même si les résultats ne sont pas là tout de suite, Si on est dans la volonté de faire mieux et de s'améliorer, les résultats vont arriver. Donc, en fait,

  • Speaker #0

    c'est avoir un mindset particulier.

  • Speaker #1

    C'est ça. Alors, on n'est pas dans le monde des bisounours. Je ne dis pas… Non. Voilà. Mais en revanche, une chose est certaine, c'est que si un closeur, au départ, est uniquement focalisé sur le résultat, ça va être quelque chose de bloquant pour lui parce qu'il va se paralyser, se bloquer… Se stresser. Se stresser. Il ne sera plus dans les bonnes conditions pour envoyer des bonnes ondes. à la personne qui est en face pour réellement être à son écoute et l'aider à prendre une décision.

  • Speaker #0

    D'accord. Du coup, j'allais te dire un conseil, tu viens de le donner. Tu ne te souviens pas.

  • Speaker #1

    Un conseil pour une personne qui débute, ça veut dire qu'il est déjà dedans. Normalement, il sait pourquoi il y est et il va mettre la motivation. Moi, je lui dis, en tout cas, si... si ce conseil peut vraiment servir. Ne lâche rien, parce que au final, c'est vraiment une aventure, c'est un parcours unique à chacun, propre à chacun, mon histoire. Je la donne parce qu'effectivement, je pense qu'elle pourrait inspirer des personnes. Mais chaque personne a sa propre histoire. Et moi, je ne sais plus où j'avais entendu ça. mais pour moi j'ai trouvé que ça faisait du sens. Il disait qu'en fait on ne peut pas perdre dans la mesure où on n'abandonne pas. J'ai trouvé ça très vrai. En fait on perd dans la mesure où on abandonne. Une personne qui ne lâche pas, qui continue à avancer malgré les difficultés qui peuvent arriver, malgré les obstacles, mais qui ne lâche pas et qui est toujours dans cette volonté d'aller chercher la meilleure version de soi-même et de progresser. Il y a un moment donné où c'est le secret de la réussite. Elle va y arriver. Bien sûr.

  • Speaker #0

    Tout à fait d'accord. Et un dernier petit mot pour ceux qui doutent. C'est-à-dire ceux qui n'ont pas encore fait le pas. Je ne veux pas aller jusqu'au coup d'une action, mais juste pour ceux qui doutent.

  • Speaker #1

    Ceux qui doutent, posez-vous la question. Qu'est-ce que vous avez à perdre ? Pour moi, c'est ça. En tout cas, moi, en ce qui me concernait. J'avais pas grand chose à perdre si ce n'était un travail en CDI. Bon, voilà, il faut se poser la question, qu'est-ce que je veux réellement dans la vie ? Est-ce que le jeu en vaut la chandelle ? Et se poser la question, qu'est-ce que je veux vraiment ? Est-ce qu'aujourd'hui, je veux plus ? Est-ce que je veux plus ? Est-ce que je veux me donner les moyens d'aller chercher plus ? Si cette question vous amène à la réponse d'un oui, concrètement, oui, à un moment donné, de toute façon, il faudra... forcément prendre une décision, peu importe si c'est le closing, si c'est autre chose, mais il faudra prendre une décision et cette décision elle passera forcément par le fait de sortir de sa zone de confort, donc il y a un moment où il faut se faire confiance et puis il faut...

  • Speaker #0

    On arrive à la fin de notre premier épisode. En tout cas, Alex, moi, je te remercie déjà. C'est un plaisir de partager. Ce que tu as pu me transmettre déjà dans le cadre de tes coachings en tant que sales manager. Je voudrais vraiment te souhaiter la meilleure fortune possible dans ta nouvelle aventure. Et puis, voilà. Donc, en tout cas, toi, l'auditeur qui nous écoute, si cet épisode t'a inspiré, t'as mis une claque ou t'as donné l'envie d'en savoir plus, écoute, fonce découvrir la masterclass gratuite de Closing Mastery. C'est ce même programme qui a transformé la vie d'Alex et la mienne. Un petit mot, Alex ? Conclusion ?

  • Speaker #1

    Merci Olivier de m'avoir reçu. Et j'espère que tous les auditeurs seront portés par tes podcasts parce que moi, je m'appartiens aussi à ce projet. Je trouve ça génial. Et tu as déjà quelques mots à dire.

  • Speaker #0

    C'est top.

  • Speaker #1

    C'est top.

  • Speaker #0

    Merci Olivier. Tu es une personne trop bienveillante.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup Olivier.

  • Speaker #0

    Bon, merci à tous et puis au revoir. Au prochain épisode. Au revoir.

  • Speaker #1

    Ciao, ciao.

Chapters

  • Chapitre 1 Introduction

    00:36

  • Chapitre 2 Retour aux sources : la vie avant le closing

    01:16

  • Chapitre 3 La montée en puissance

    07:22

  • Chapitre 4 Le départ et la nouvelle aventure

    14:23

  • Chapitre 5 Message à la communauté

    19:16

  • Chapitre 6 Outro personnelle

    23:15

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  • ses conseils pour les débutants,

  • et son passage à l’entrepreneuriat dans l’immobilier.

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  • tu veux apprendre des meilleurs et t’inspirer d’histoires vraies.

✨ Pourquoi écouter cet épisode ?
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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    7 heures ou closeur ? Deux approches, mais une seule mission. Guider le prospect là où il doute, là où chaque mot peut faire pencher la balance. Pas de closing sans un bon setting. Ici, je te partage l'envers du décor sans filtre, sans bullshit. Ausha parce que dans la tête d'un 7 heures closeur, ça bouillonne en permanence. Si toi aussi tu veux générer des revenus prévisibles grâce au setting et au closing, clique sur le lien dans la description. pour découvrir la masterclass gratuite de Closing Mastery. Tu écoutes, dans la tête d'un setter-closer, le podcast qui t'emmène là où tout se joue, dans la tête du prospect, dans l'énergie de l'appel, dans ces micro-décisions qui font toute la différence. Moi, c'est Olivier. Et ici, je te raconte les coulisses du setting et du closing. Je te partage mon quotidien, mon ressenti et mes résultats, mais aussi des moments forts. partagé par d'autres setters closer, des interviews avec des coachs et des leaders du game, ceux qui génèrent 5, 10, parfois même plus de 20 cas par mois. Et oui, incroyable, hein ? Ensemble, on décrit ce qui marche, ce qui coince et comment, toi aussi, tu peux faire ta place dans cette industrie. Ok ! Eh bien, du coup, pour notre épisode 1, comme promis, c'est notre interview avec Alex. C'est un épisode vraiment spécial, avec beaucoup d'émotion. Alex, vendeur chez Butte il y a 4 ans, c'est aujourd'hui l'une des figures emblématiques de Closing Mastery, connu comme le vendeur chez Butte devenu super closer. Il est passé de closer à super closer, de super closer à sales manager, puis coach dans la formation de Closing Mastery. Et aujourd'hui, il forme les leaders de demain. J'avoue, c'est lui aussi qui m'a repéré et qui m'a permis d'intégrer l'équipe de Closing Mastery. Et donc, je voulais vraiment faire cet épisode, ce premier épisode avec lui avant son départ. Donc cet épisode, en fait, c'est un hommage. C'est un moment fort parce qu'Alex quitte... l'équipe de Closing Mastery, pour un nouveau projet. C'est une bonne nouvelle, en tout cas. Et je voulais marquer le coup avec cet épisode 1 de mon podcast. Donc du coup, Alex, bonjour. Bonjour Olivier. Voilà,

  • Speaker #1

    est-ce que tu peux,

  • Speaker #0

    avant de rentrer dans... les causes de ton départ et vers ton nouveau projet vers lequel tu t'envoles. Est-ce que tu peux déjà nous reparler de ta vie avant le closing ?

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr. Alors moi, pour ceux qui ne me connaissent pas, concrètement, j'ai fait un petit peu d'études. J'ai fait un BEP, Vente Action Marchande, puis un bac pro commerce. Voilà, j'ai commencé tout de suite dans le monde de la vente. Alors, ce n'était pas forcément un choix. C'était plus au départ, en tout cas, parce que je ne sais pas vraiment ce que je voulais faire de ma vie. C'était un petit peu compliqué pour moi à mes débuts parce que j'étais très timide. J'étais pas à l'aise à l'idée d'aller au contact des gens pour leur demander s'ils avaient besoin. Voilà, tout simplement. Je me suis formé un peu à la dire. J'étais dans un petit magasin de sport. C'était sur Paris, dans le 18ème, rue Ordonnaire. Je me rappelle, à l'époque, le magasin s'appelait le magasin. C'était un magasin de fringues, de sport, de sportwear, de survêtements, de chaussures. Ça m'a appris, tout simplement. à rentrer en contact des personnes, à les renseigner, à les aider, à les accompagner. Puis ensuite, j'ai enchaîné sur un bac pro. Le bac pro, j'étais dans une petite quincaillerie. Je vendais des produits d'entretien, des produits ménagers, de l'outillage concrètement. J'ai fait ça pendant deux ans. Et puis ensuite, j'ai enchaîné chez Disney Store. Donc rien à voir, c'est un univers complètement différent où je vendais des jouets pour enfants et concrètement de la magie. Et à cette époque-là, en fait... Vraiment, j'avais connecté avec la vente parce qu'il y avait ce qu'on appelle la Magic Touch. C'était l'univers Disney où les gens rentraient dans le magasin avec vraiment des yeux émerveillés. Je sentais vraiment que j'apportais de la valeur aux gens et surtout que je leur racontais une histoire. C'est ce que j'ai aimé chez Disney. J'ai travaillé cinq ans là-bas en tant que vendeur. Et à cette époque-là, ma maman est passée en retraite. Pré-retraite. Donc, on l'a déménagé. Et là, plus de Disney. Voilà, plus de Disney. On est parti du côté de la Mayenne. Et là, tout le monde connaît l'histoire où je suis rentré chez Butte. Oui. Pour passer en tant que vendeur chez Butte. Donc, j'avais vraiment un cursus très classique. Mais il y avait quand même ce petit côté en moi où je me sentais quand même dans une routine. Et tu sais, Olivier, en tant que vendeur, quand on est vraiment à la base, On ne gagne pas très bien notre vie. Moi, j'étais au SMIC et je n'avais pas forcément ce... Comment dire ? Je ne sentais pas que les personnes comptaient vraiment sur moi. C'est à dire que je me sentais bien dans ce que je faisais Je sentais que j'apportais de la valeur aux personnes et que je me sentais bien dans mon métier. Mais je ne me sentais pas forcément valorisé et j'avais l'impression que je tournais un petit peu en rond. Et à cette époque-là, j'approchais de la trentaine. Donc je sentais qu'il y avait encore des choses à faire pour moi.

  • Speaker #0

    Alors le moment charnière justement, où tu as entendu parler du closing, ça s'est passé comment ? Et les croyances limitantes que tu pouvais avoir par rapport à ce domaine d'actifs ? Parce qu'à l'époque, c'était encore moins connu qu'aujourd'hui. Oui,

  • Speaker #1

    bien sûr. C'est tout con, je pense, comme beaucoup de gens. J'étais sur Internet, j'essayais de regarder des solutions pour mieux gagner ma vie, je pense, comme beaucoup. Et je suis tombé sur une publicité de Closing Mastery, avec Lisma, qui parlait de cette opportunité du closing.

  • Speaker #0

    C'était il y a combien de temps, ça ?

  • Speaker #1

    C'était début 2021, on était au mois de mars-avril 2021.

  • Speaker #0

    Il y a 3 ans quoi disons.

  • Speaker #1

    Il y a 4 ans, ouais, jour pour jour.

  • Speaker #0

    Il y a vraiment 4 ans.

  • Speaker #1

    Donc moi je vois cette publicité, alors au départ je regarde ça avec la curiosité mais aussi un petit peu de scepticisme. Je me disais bon voilà, ça a l'air intéressant, mais est-ce que vraiment il y a des gens qui font ça et tout ça ? Et puis le temps passe, une semaine, deux semaines, je revois cette publicité puis... À un moment donné, dans mon esprit, je me suis dit, bon, en vrai, c'est cohérent parce que la vente de formation en ligne, moi, j'étais déjà consommateur de formation en ligne.

  • Speaker #0

    De formation en ligne,

  • Speaker #1

    d'accord. Voilà, donc je me suis dit, oui, ça fait du sens, en fait, ça reste de la vente. Sauf que là, je vends des produits digitaux. Et effectivement, si je prends les gens au téléphone, je n'ai pas besoin d'être dans un magasin. Donc, moi, je me suis auto-convaincu, auto-persuadé que non, mais en fait, c'est cohérent et ça me paraît logique. Alors j'avais quand même cette question de est-ce que réellement... je vais pouvoir trouver un job et quelqu'un qui recherche un closer, mais ça me paraissait cohérent, donc je me suis dit, allez.

  • Speaker #0

    Tu t'es auto-closé, comme certains, c'est pas tout le monde, mais il y en a beaucoup qui font ça, ils auto-closent.

  • Speaker #1

    Alors j'ai pris cet appel, du coup, et puis à ce moment-là, je suis tombé sur Ben, qui est le broi droit d'ISMA, à l'époque, on a échangé, on a sympathisé, j'ai trouvé vraiment très sympa comme gars, et puis au bout de quelques jours, je me suis laissé convaincre, et je me suis dit, non mais là, il y a un truc à faire, alors j'ai rejoint. J'étais à des mille lieux d'imaginer à quel point ça allait impacter les douleurs de ma vie.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors tes débuts, tes premiers calls, tes premières galères, tes premières commissions, tes premières réactions ?

  • Speaker #1

    À ce moment-là, moi je travaille chez Butte. Donc ça veut dire que je me forme en parallèle de mon travail. à mi-temps ce qui était génial c'est qu'il y avait des gens qui intégraient cet écosystème qui avaient exactement le même état d'esprit que moi parce qu'ils voulaient y arriver c'est toujours le cas aujourd'hui bien sûr c'est toujours le cas aujourd'hui mais à cette époque là c'était vraiment tout nouveau pour moi donc tu sais c'était aussi le côté frais le côté nouveau que je ressentais et voilà donc je fais ça à côté du travail on me donne ma chance concrètement au bout de quelques mois ... au bout d'un mois et demi à peu près, de prendre mes premiers appels. Et là, je me lance, concrètement, dans l'activité. Donc, je prends mon premier call, c'était, alors, je ne me rappelle plus exactement, mais c'était en juin 2021. Pour en juin 2021. Et au bout de mon troisième call, je fais mon premier close. Et là, Olivier, franchement, je souhaite à tous nos auditeurs, toutes les personnes qui me regardent, de ressentir ce sentiment-là. Parce que c'est un sentiment qui est... Il est indescriptible, il est incroyable en fait. Ça entremêle la fierté personnelle, le fait de ce sentiment profond de dire j'y suis arrivé. Je me suis donné un fond pendant plusieurs mois et là ça marche. Donc on a une fierté personnelle.

  • Speaker #0

    c'est possible.

  • Speaker #1

    Ça y est, ça y est, j'y suis arrivé, j'y arrive. C'est incroyable. Le côté bien sûr pécunier, on ne va pas se cacher, premier close, on se dit, en tout cas pour ma part, 1400 euros Olivier, je fais mon premier close, je gagne quasiment 300 euros, je me dis attends sur un appel de 30 minutes je prends 300 balles à un moment donné voilà tu comprends vite la logique tu dis attends j'en fais quatre comme ça je gagne ce que je gagne en mois de travail donc c'est il ya un truc qui se passe d'un point de vue de la croyance liée à l'argent et voilà au fonctionnement de l'économie qui donc du coup après ça tu as carrément décidé de laisser but et de passer direct à direct moins ça d'après combien de temps en fait le passage en fait le premier close ça pète un truc dans mon cerveau la semaine d'après a forcément je commence continuer à prendre des appels moi je prends les deux appels 1 le midi entre midi et 2 et 1 le soir donc en fait je me disais quand je suis au magasin je perds l'argent parce que je peux apprendre beaucoup plus de col je pourrais enchaîner la fondue moi tu as donné ta donne j'ai donné madame directement bon

  • Speaker #0

    ça c'est pas conseillé à tous les auditeurs qui ont fait à 10 ans à faire au moins trois mois mais bon mais en fait en fait olivier le calcul il est simple moi je me suis dit même si je gagne 1000 euros

  • Speaker #1

    J'étais chez ma maman, j'étais... Alors, après, c'est mon histoire. Moi, j'étais hébergé chez ma maman à cette époque-là, parce que je l'avais suivi en Mayenne. Je me suis dit, écoute, même si je gagne 1 000 euros, en fait, ce que je vais récupérer en termes de liberté, ça n'a pas de valeur, parce que ça va me permettre, derrière, même d'entreprendre d'autres projets ou quoi que ce soit. Donc, même en termes de rémunération, si je n'arrive pas à aller chercher autant que ce que je gagne chez Butte, je suis gagnant, parce que ça va me permettre de continuer à pousser... derrière je récupère mon temps et c'était plus important et en vrai voilà je savais que si j'avais fait une fois que je me donnais à fond je serai en capacité à les chercher 2000 3000 4000 et plus donc pour guérir ça fait sens instantanément donc du coup après tu as commencé à

  • Speaker #0

    commencer ton activité à temps plein c'est la carte des cartes et barbier car les cartes et cartes et parce que Juste pour mes mots, Alex a formé... pratiquement tous les closeurs, en tout cas une grande quantité de closeurs. Moi, malheureusement, c'est lui qui m'a recruté, ça fait un mois et demi qu'on bosse ensemble et il m'annonce qu'il se barre. Donc du coup, il n'est plus là, mon Alex.

  • Speaker #1

    Je reste là, mais on ne va dire pas... Pas dans le même écosystème.

  • Speaker #0

    Non, pas dans le même écosystème. Je n'aurais plus la chance d'être coaché par toi personnellement une fois par semaine. C'était trop top. J'étais trop content. C'est Jacques. On va parler de Jacques. C'est aussi quelqu'un que tu as formé. C'est lui qui va aussi continuer à se créer de moi.

  • Speaker #1

    Très bon manager aussi, Jacques. Moi, c'est un parcours. Je suis vraiment fier au final parce que c'est là où tu vois l'impact qu'une décision peut avoir dans la vie de quelqu'un. Parce qu'autre avis que moi.

  • Speaker #0

    Tu as plein de petits aussi.

  • Speaker #1

    Carrément.

  • Speaker #0

    Tu as plein de petits.

  • Speaker #1

    Mais c'est ça.

  • Speaker #0

    Tu as un coach qui va reprendre tes coachings au niveau de la formation. C'est ça. Après, tu es devenu closer, super closer. Et après, sales manager. Donc, tu t'es retrouvé à gérer une équipe de 25 closers ?

  • Speaker #1

    C'est ça. Parce qu'en fait, si tu veux, Olivier, ça s'est fait naturellement. En fait, moi, quand j'ai commencé le closing, j'ai eu la chance d'être l'un des premiers à intégrer ces équipes. Donc, forcément, quand j'ai commencé à performer, je donnais aussi un petit peu de mes tips, de mes méthodes, mes techniques à d'autres closers pour qu'ils puissent aussi performer. Moi, j'adorais me sentir dans un environnement où on était en train de gagner, où ça marchait, où on progressait. Et au fur et à mesure, j'ai commencé à donner des cours vraiment de manière spontanée, à des personnes qui me disaient Alex.

  • Speaker #0

    Moi, mes premiers coachings au sein de… En tout cas, c'était mon coach préféré quand j'étais au sein de la formation. J'ai kiffé tes coachings. C'est gentil.

  • Speaker #1

    C'était important qu'on se retrouve ensemble, qu'on puisse partager de la bonne humeur, de la joie et surtout partager nos wins et qu'on essaye vraiment de se motiver à fond pour aller chercher encore plus. Moi, c'était ça. Pourquoi ne pas se limiter à 2-3 000 euros alors qu'on peut aller chercher plus donc bien sûr ça s'est fait comme ça et effectivement dans le parcours j'ai amené jacques à rejoindre l'écosystème et à l'époque jacques n'avait pas les fonds pour rejoindre et il a vendu sa voiture voilà quand j'ai échangé avec lui voilà il parle de cette rendre over je dis ben jacques en vrai en vrai des toits à moi ce que ça pourrait pas être plus pertinent que tu récupères aussi un petit peu de trésorerie tu achètes une voiture un peu moins puissante mais ça va te permettre de démarrer et puis me dis mais en vrai à l'aigle vous y avez pensé. On dit enfin. en fait, ce que tu me dis là, j'étais déjà en train d'y penser, et en vrai, tu as raison, ça peut être la solution. Et deux semaines plus tard, il a rejoint, et aujourd'hui, tu vois, comme moi, il a progressé, il a fait ses... C'est lui le boss des closers,

  • Speaker #0

    et des setters aussi,

  • Speaker #1

    d'ailleurs. Pas que des closers. Je crois que c'est Vincent, le boss des setters.

  • Speaker #0

    Ok, ok.

  • Speaker #1

    Vincent qui est rentré aussi chez Closing Mastery il y a des années.

  • Speaker #0

    Oui, alors Vincent, c'est encore une autre histoire. On le voit dans les vidéos de témoignages. Mais c'est pareil, c'est toi qui t'en es occupé, non ? Tu l'as formé ? Alors non,

  • Speaker #1

    du tout. Ça, pour le coup, c'est vraiment Ben qui l'a formé.

  • Speaker #0

    Ben, OK. Ben aussi, il a formé un sacré nombre.

  • Speaker #1

    Et moi, et moi.

  • Speaker #0

    Avec le plaisir et de cette heure. Et Ismaël aussi, je suppose. Voilà, après un petit mois et demi à bosser avec toi et à t'apprécier non seulement en tant que coach dans le cadre de la formation, mais après en tant que sales manager, ta bienveillance et tout le reste des qualités que je ne vais pas nommer ici, tu nous annonces quoi ? Tu nous annonces en fait ton départ. Alors, tu peux nous situer quand même en termes de… parce que ça peut intéresser aussi les… Les auditeurs ? En tant que closer, tu tournais aux alentours de combien en termes de revenus ?

  • Speaker #1

    Alors là, ça variait, mais en gros, j'étais entre 3 000 et 4 500 euros par mois.

  • Speaker #0

    D'accord. Et sales manager ?

  • Speaker #1

    Sales manager, pareil, ça dépend des mois, mais en général, j'étais entre 5 000 et 8 000 euros par mois.

  • Speaker #0

    D'accord, d'accord. Bon ben voilà, et donc après 4 ans, encore plus du coup, et tu nous annonces notre départ. Alors là je te laisse la première de nous expliquer.

  • Speaker #1

    En fait, Olivier, moi toute ma vie, j'ai accompagné des personnes à prendre des décisions fortes pour changer leur situation concrètement. Donc ce qu'on appelle sortir de la zone de confort pour aller vers ce que moi j'appelle la zone d'apprentissage. Mais cette zone d'apprentissage, elle est inconfortable. Parce que c'est le moment où on se remet en question, on doit réapprendre et on doit redescendre finalement des acquis.

  • Speaker #0

    Je comprends.

  • Speaker #1

    Et oui, donc tu vois exactement de quoi je parle. Et moi, dans ce que je fais, j'adore ce que je fais. Vraiment, des personnes comme toi Olivier, ça me fait un kiff total. Oui, il faut que je le fasse. C'est un kiff total. Je vois des… C'est un renouveau en fait. C'est comme une renaissance. La personne qui fait l'entraide, qui apprend de se dépasser, de partager. Pour moi, c'est génial. C'est un sentiment qui est incroyable. Et moi, dans mon parcours, j'ai été amené à accompagner des cinquantaines, des centaines de personnes au travers de mon statut de coach. Donc, j'ai vu toutes ces personnes progresser. mais moi à un moment donné je me suis dit, OK, ce que je fais aujourd'hui, je le fais bien. Je me sens bien. Mais est-ce que quelque part, je ne serai pas aujourd'hui dans ma zone de confort ?

  • Speaker #0

    Je ne serai pas dans ma petite routine ou une grosse routine.

  • Speaker #1

    Exactement. Et alors, bon, ça, c'est la vie qui veut ça. Mais dans le closing, j'ai été amené à rencontrer d'autres personnes, d'autres infopreneurs. Et j'ai fait la rencontre d'une personne avec laquelle je me suis associé pour un programme d'accompagnement en investissement immobilier. Pas que d'ailleurs, c'est de l'investissement immobilier, mais aussi du placement financier. c'est des voilà des patients à haut rendement et j'ai trouvé ça cohérent parce que moi en tant que qu'entrepreneur pas en tant que manager que ces managers à l'immobilier ça me parlait parce que c'est du patrimoine c'est sécurisé son avis je sais que c'est une de tes passions alors il me l'a pas dit mais je les ai vus dans

  • Speaker #0

    les vidéos témoignages que j'ai écouté avant de rentrer chez closing master et tu disais ouais de mes passions c'est l'immobilier tata dit à d'adapter. Enfin, voilà,

  • Speaker #1

    quoi. Tout à fait. Et donc,

  • Speaker #0

    du coup, ça paraît logique, en fait. que tu te lances dans ce programme. Allô,

  • Speaker #1

    Jemais.

  • Speaker #0

    Donc, c'est pour montrer aux auditeurs, en fait, qu'il y a vraiment la possibilité d'évoluer. Ce n'est pas de closer, tu es passé de closer à super closer, sales manager, et maintenant associé carrément d'un super accompagnement.

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    C'est carrément top. Et tout ça en quatre ans ?

  • Speaker #1

    Tout ça en quatre ans. Mais c'est vrai qu'on ne se rend pas compte, en fait, parce que... quand on rejoint cette aventure-là, ce n'est pas uniquement du closing, c'est aussi des rencontres humaines. C'est des rencontres avec des opportunités, c'est ouvrir son esprit à plein d'autres choses. L'immobilier, moi, j'étais déjà attiré par cet univers-là, mais le closing m'a servi de levier pour pouvoir accélérer aussi des investissements immo. Donc, en fait, moi, je considère que ça reste aussi de l'entrepreneuriat, en tout cas aux personnes qui restent ouvertes à d'autres domaines. Et effectivement, dans ce cadre-là, j'étais amené à rencontrer d'autres personnes. Et c'est ce qui fait que derrière, je me suis dit, allez effectivement il y a un beau projet qui m'a l'air vraiment goûteur, dans lequel je me reconnais je me sens bien, auquel on met les mains au centre de l'accompagnement donc je me suis dit allez, il faut que je sorte de ma zone de confort et pourquoi pas redonner ce que j'ai appris dans l'écosystème Mastery à d'autres personnes pour les aider à performer et à évoluer,

  • Speaker #0

    et pour moi ça faisait du sens Je suis super content pour toi mais en même temps je suis triste je me sens complètement c'est pour expliquer aux auditeurs le genre de rapport qui peut s'installer en fait parce qu'on se connaît connaissait pas il ya quelques mois de ça et je sais pas bien sûr en tout cas voilà quoi et ben ouais je me sens comme un orphelin à la fin du mois tu te casses c'est à dire dans trois quatre jours et puis on peut voilà tu vas partir vers d'autres cieux et on est mais mais mais tu vois olivier dans notre rencontre tu m'as mis aussi en relation avec des personnes voilà

  • Speaker #1

    on en qui tu croyais, en qui tu fais confiance.

  • Speaker #0

    Je vais dire mon petit-enfant.

  • Speaker #1

    Tu vois, les liens se font. De toute façon, les connexions sont là, Olivier. Peu importe. Quel est le cas, si ça vous plaît. On sera en contact. Il n'y a pas de...

  • Speaker #0

    Un petit dernier mot pour ce que tu aimerais dire à ceux qui débutent dans le setting ou le closing ?

  • Speaker #1

    À ceux qui débutent ? Alors, c'est un petit peu paradoxal ce que je vais dire, parce que dans le monde du closing, c'est vrai que la performance, elle est au centre de tout. Un closer, il est évalué au niveau de sa compétence et de son taux de conversion. Il ne résume pas. Des résultats. C'est le mot que je cherchais. Mais moi, ce que je vous conseille, c'est détachez-vous au maximum du résultat. Parce que, non mais c'est pourquoi je dis ça. Parce que tu m'as posé la question par rapport à un closer qui débute. En fait, si l'objectif est uniquement centré sur le résultat, ça ne marchera pas. Bien sûr que l'objectif à terme, c'est d'avoir du résultat, que ça fonctionne, de closer, de gagner sa vie. Mais le plus important, c'est de se concentrer sur déjà un, comment on se sent, et deux, dans la volonté de s'améliorer. Parce que même si les résultats ne sont pas là tout de suite, Si on est dans la volonté de faire mieux et de s'améliorer, les résultats vont arriver. Donc, en fait,

  • Speaker #0

    c'est avoir un mindset particulier.

  • Speaker #1

    C'est ça. Alors, on n'est pas dans le monde des bisounours. Je ne dis pas… Non. Voilà. Mais en revanche, une chose est certaine, c'est que si un closeur, au départ, est uniquement focalisé sur le résultat, ça va être quelque chose de bloquant pour lui parce qu'il va se paralyser, se bloquer… Se stresser. Se stresser. Il ne sera plus dans les bonnes conditions pour envoyer des bonnes ondes. à la personne qui est en face pour réellement être à son écoute et l'aider à prendre une décision.

  • Speaker #0

    D'accord. Du coup, j'allais te dire un conseil, tu viens de le donner. Tu ne te souviens pas.

  • Speaker #1

    Un conseil pour une personne qui débute, ça veut dire qu'il est déjà dedans. Normalement, il sait pourquoi il y est et il va mettre la motivation. Moi, je lui dis, en tout cas, si... si ce conseil peut vraiment servir. Ne lâche rien, parce que au final, c'est vraiment une aventure, c'est un parcours unique à chacun, propre à chacun, mon histoire. Je la donne parce qu'effectivement, je pense qu'elle pourrait inspirer des personnes. Mais chaque personne a sa propre histoire. Et moi, je ne sais plus où j'avais entendu ça. mais pour moi j'ai trouvé que ça faisait du sens. Il disait qu'en fait on ne peut pas perdre dans la mesure où on n'abandonne pas. J'ai trouvé ça très vrai. En fait on perd dans la mesure où on abandonne. Une personne qui ne lâche pas, qui continue à avancer malgré les difficultés qui peuvent arriver, malgré les obstacles, mais qui ne lâche pas et qui est toujours dans cette volonté d'aller chercher la meilleure version de soi-même et de progresser. Il y a un moment donné où c'est le secret de la réussite. Elle va y arriver. Bien sûr.

  • Speaker #0

    Tout à fait d'accord. Et un dernier petit mot pour ceux qui doutent. C'est-à-dire ceux qui n'ont pas encore fait le pas. Je ne veux pas aller jusqu'au coup d'une action, mais juste pour ceux qui doutent.

  • Speaker #1

    Ceux qui doutent, posez-vous la question. Qu'est-ce que vous avez à perdre ? Pour moi, c'est ça. En tout cas, moi, en ce qui me concernait. J'avais pas grand chose à perdre si ce n'était un travail en CDI. Bon, voilà, il faut se poser la question, qu'est-ce que je veux réellement dans la vie ? Est-ce que le jeu en vaut la chandelle ? Et se poser la question, qu'est-ce que je veux vraiment ? Est-ce qu'aujourd'hui, je veux plus ? Est-ce que je veux plus ? Est-ce que je veux me donner les moyens d'aller chercher plus ? Si cette question vous amène à la réponse d'un oui, concrètement, oui, à un moment donné, de toute façon, il faudra... forcément prendre une décision, peu importe si c'est le closing, si c'est autre chose, mais il faudra prendre une décision et cette décision elle passera forcément par le fait de sortir de sa zone de confort, donc il y a un moment où il faut se faire confiance et puis il faut...

  • Speaker #0

    On arrive à la fin de notre premier épisode. En tout cas, Alex, moi, je te remercie déjà. C'est un plaisir de partager. Ce que tu as pu me transmettre déjà dans le cadre de tes coachings en tant que sales manager. Je voudrais vraiment te souhaiter la meilleure fortune possible dans ta nouvelle aventure. Et puis, voilà. Donc, en tout cas, toi, l'auditeur qui nous écoute, si cet épisode t'a inspiré, t'as mis une claque ou t'as donné l'envie d'en savoir plus, écoute, fonce découvrir la masterclass gratuite de Closing Mastery. C'est ce même programme qui a transformé la vie d'Alex et la mienne. Un petit mot, Alex ? Conclusion ?

  • Speaker #1

    Merci Olivier de m'avoir reçu. Et j'espère que tous les auditeurs seront portés par tes podcasts parce que moi, je m'appartiens aussi à ce projet. Je trouve ça génial. Et tu as déjà quelques mots à dire.

  • Speaker #0

    C'est top.

  • Speaker #1

    C'est top.

  • Speaker #0

    Merci Olivier. Tu es une personne trop bienveillante.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup Olivier.

  • Speaker #0

    Bon, merci à tous et puis au revoir. Au prochain épisode. Au revoir.

  • Speaker #1

    Ciao, ciao.

Chapters

  • Chapitre 1 Introduction

    00:36

  • Chapitre 2 Retour aux sources : la vie avant le closing

    01:16

  • Chapitre 3 La montée en puissance

    07:22

  • Chapitre 4 Le départ et la nouvelle aventure

    14:23

  • Chapitre 5 Message à la communauté

    19:16

  • Chapitre 6 Outro personnelle

    23:15

Description

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Dans cet épisode 1 de Dans la tête d’un Setter Closer, je t’emmène à la rencontre d’Alex, une des figures emblématiques de Closing Mastery. Quatre ans après avoir quitté le salariat, Alex est devenu closer, puis super closer, sales manager, et aujourd’hui entrepreneur à succès.

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  • son premier close à 300 € en 30 minutes,

  • son ascension fulgurante,

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  • tu veux apprendre des meilleurs et t’inspirer d’histoires vraies.

✨ Pourquoi écouter cet épisode ?
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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    7 heures ou closeur ? Deux approches, mais une seule mission. Guider le prospect là où il doute, là où chaque mot peut faire pencher la balance. Pas de closing sans un bon setting. Ici, je te partage l'envers du décor sans filtre, sans bullshit. Ausha parce que dans la tête d'un 7 heures closeur, ça bouillonne en permanence. Si toi aussi tu veux générer des revenus prévisibles grâce au setting et au closing, clique sur le lien dans la description. pour découvrir la masterclass gratuite de Closing Mastery. Tu écoutes, dans la tête d'un setter-closer, le podcast qui t'emmène là où tout se joue, dans la tête du prospect, dans l'énergie de l'appel, dans ces micro-décisions qui font toute la différence. Moi, c'est Olivier. Et ici, je te raconte les coulisses du setting et du closing. Je te partage mon quotidien, mon ressenti et mes résultats, mais aussi des moments forts. partagé par d'autres setters closer, des interviews avec des coachs et des leaders du game, ceux qui génèrent 5, 10, parfois même plus de 20 cas par mois. Et oui, incroyable, hein ? Ensemble, on décrit ce qui marche, ce qui coince et comment, toi aussi, tu peux faire ta place dans cette industrie. Ok ! Eh bien, du coup, pour notre épisode 1, comme promis, c'est notre interview avec Alex. C'est un épisode vraiment spécial, avec beaucoup d'émotion. Alex, vendeur chez Butte il y a 4 ans, c'est aujourd'hui l'une des figures emblématiques de Closing Mastery, connu comme le vendeur chez Butte devenu super closer. Il est passé de closer à super closer, de super closer à sales manager, puis coach dans la formation de Closing Mastery. Et aujourd'hui, il forme les leaders de demain. J'avoue, c'est lui aussi qui m'a repéré et qui m'a permis d'intégrer l'équipe de Closing Mastery. Et donc, je voulais vraiment faire cet épisode, ce premier épisode avec lui avant son départ. Donc cet épisode, en fait, c'est un hommage. C'est un moment fort parce qu'Alex quitte... l'équipe de Closing Mastery, pour un nouveau projet. C'est une bonne nouvelle, en tout cas. Et je voulais marquer le coup avec cet épisode 1 de mon podcast. Donc du coup, Alex, bonjour. Bonjour Olivier. Voilà,

  • Speaker #1

    est-ce que tu peux,

  • Speaker #0

    avant de rentrer dans... les causes de ton départ et vers ton nouveau projet vers lequel tu t'envoles. Est-ce que tu peux déjà nous reparler de ta vie avant le closing ?

  • Speaker #1

    Oui, bien sûr. Alors moi, pour ceux qui ne me connaissent pas, concrètement, j'ai fait un petit peu d'études. J'ai fait un BEP, Vente Action Marchande, puis un bac pro commerce. Voilà, j'ai commencé tout de suite dans le monde de la vente. Alors, ce n'était pas forcément un choix. C'était plus au départ, en tout cas, parce que je ne sais pas vraiment ce que je voulais faire de ma vie. C'était un petit peu compliqué pour moi à mes débuts parce que j'étais très timide. J'étais pas à l'aise à l'idée d'aller au contact des gens pour leur demander s'ils avaient besoin. Voilà, tout simplement. Je me suis formé un peu à la dire. J'étais dans un petit magasin de sport. C'était sur Paris, dans le 18ème, rue Ordonnaire. Je me rappelle, à l'époque, le magasin s'appelait le magasin. C'était un magasin de fringues, de sport, de sportwear, de survêtements, de chaussures. Ça m'a appris, tout simplement. à rentrer en contact des personnes, à les renseigner, à les aider, à les accompagner. Puis ensuite, j'ai enchaîné sur un bac pro. Le bac pro, j'étais dans une petite quincaillerie. Je vendais des produits d'entretien, des produits ménagers, de l'outillage concrètement. J'ai fait ça pendant deux ans. Et puis ensuite, j'ai enchaîné chez Disney Store. Donc rien à voir, c'est un univers complètement différent où je vendais des jouets pour enfants et concrètement de la magie. Et à cette époque-là, en fait... Vraiment, j'avais connecté avec la vente parce qu'il y avait ce qu'on appelle la Magic Touch. C'était l'univers Disney où les gens rentraient dans le magasin avec vraiment des yeux émerveillés. Je sentais vraiment que j'apportais de la valeur aux gens et surtout que je leur racontais une histoire. C'est ce que j'ai aimé chez Disney. J'ai travaillé cinq ans là-bas en tant que vendeur. Et à cette époque-là, ma maman est passée en retraite. Pré-retraite. Donc, on l'a déménagé. Et là, plus de Disney. Voilà, plus de Disney. On est parti du côté de la Mayenne. Et là, tout le monde connaît l'histoire où je suis rentré chez Butte. Oui. Pour passer en tant que vendeur chez Butte. Donc, j'avais vraiment un cursus très classique. Mais il y avait quand même ce petit côté en moi où je me sentais quand même dans une routine. Et tu sais, Olivier, en tant que vendeur, quand on est vraiment à la base, On ne gagne pas très bien notre vie. Moi, j'étais au SMIC et je n'avais pas forcément ce... Comment dire ? Je ne sentais pas que les personnes comptaient vraiment sur moi. C'est à dire que je me sentais bien dans ce que je faisais Je sentais que j'apportais de la valeur aux personnes et que je me sentais bien dans mon métier. Mais je ne me sentais pas forcément valorisé et j'avais l'impression que je tournais un petit peu en rond. Et à cette époque-là, j'approchais de la trentaine. Donc je sentais qu'il y avait encore des choses à faire pour moi.

  • Speaker #0

    Alors le moment charnière justement, où tu as entendu parler du closing, ça s'est passé comment ? Et les croyances limitantes que tu pouvais avoir par rapport à ce domaine d'actifs ? Parce qu'à l'époque, c'était encore moins connu qu'aujourd'hui. Oui,

  • Speaker #1

    bien sûr. C'est tout con, je pense, comme beaucoup de gens. J'étais sur Internet, j'essayais de regarder des solutions pour mieux gagner ma vie, je pense, comme beaucoup. Et je suis tombé sur une publicité de Closing Mastery, avec Lisma, qui parlait de cette opportunité du closing.

  • Speaker #0

    C'était il y a combien de temps, ça ?

  • Speaker #1

    C'était début 2021, on était au mois de mars-avril 2021.

  • Speaker #0

    Il y a 3 ans quoi disons.

  • Speaker #1

    Il y a 4 ans, ouais, jour pour jour.

  • Speaker #0

    Il y a vraiment 4 ans.

  • Speaker #1

    Donc moi je vois cette publicité, alors au départ je regarde ça avec la curiosité mais aussi un petit peu de scepticisme. Je me disais bon voilà, ça a l'air intéressant, mais est-ce que vraiment il y a des gens qui font ça et tout ça ? Et puis le temps passe, une semaine, deux semaines, je revois cette publicité puis... À un moment donné, dans mon esprit, je me suis dit, bon, en vrai, c'est cohérent parce que la vente de formation en ligne, moi, j'étais déjà consommateur de formation en ligne.

  • Speaker #0

    De formation en ligne,

  • Speaker #1

    d'accord. Voilà, donc je me suis dit, oui, ça fait du sens, en fait, ça reste de la vente. Sauf que là, je vends des produits digitaux. Et effectivement, si je prends les gens au téléphone, je n'ai pas besoin d'être dans un magasin. Donc, moi, je me suis auto-convaincu, auto-persuadé que non, mais en fait, c'est cohérent et ça me paraît logique. Alors j'avais quand même cette question de est-ce que réellement... je vais pouvoir trouver un job et quelqu'un qui recherche un closer, mais ça me paraissait cohérent, donc je me suis dit, allez.

  • Speaker #0

    Tu t'es auto-closé, comme certains, c'est pas tout le monde, mais il y en a beaucoup qui font ça, ils auto-closent.

  • Speaker #1

    Alors j'ai pris cet appel, du coup, et puis à ce moment-là, je suis tombé sur Ben, qui est le broi droit d'ISMA, à l'époque, on a échangé, on a sympathisé, j'ai trouvé vraiment très sympa comme gars, et puis au bout de quelques jours, je me suis laissé convaincre, et je me suis dit, non mais là, il y a un truc à faire, alors j'ai rejoint. J'étais à des mille lieux d'imaginer à quel point ça allait impacter les douleurs de ma vie.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors tes débuts, tes premiers calls, tes premières galères, tes premières commissions, tes premières réactions ?

  • Speaker #1

    À ce moment-là, moi je travaille chez Butte. Donc ça veut dire que je me forme en parallèle de mon travail. à mi-temps ce qui était génial c'est qu'il y avait des gens qui intégraient cet écosystème qui avaient exactement le même état d'esprit que moi parce qu'ils voulaient y arriver c'est toujours le cas aujourd'hui bien sûr c'est toujours le cas aujourd'hui mais à cette époque là c'était vraiment tout nouveau pour moi donc tu sais c'était aussi le côté frais le côté nouveau que je ressentais et voilà donc je fais ça à côté du travail on me donne ma chance concrètement au bout de quelques mois ... au bout d'un mois et demi à peu près, de prendre mes premiers appels. Et là, je me lance, concrètement, dans l'activité. Donc, je prends mon premier call, c'était, alors, je ne me rappelle plus exactement, mais c'était en juin 2021. Pour en juin 2021. Et au bout de mon troisième call, je fais mon premier close. Et là, Olivier, franchement, je souhaite à tous nos auditeurs, toutes les personnes qui me regardent, de ressentir ce sentiment-là. Parce que c'est un sentiment qui est... Il est indescriptible, il est incroyable en fait. Ça entremêle la fierté personnelle, le fait de ce sentiment profond de dire j'y suis arrivé. Je me suis donné un fond pendant plusieurs mois et là ça marche. Donc on a une fierté personnelle.

  • Speaker #0

    c'est possible.

  • Speaker #1

    Ça y est, ça y est, j'y suis arrivé, j'y arrive. C'est incroyable. Le côté bien sûr pécunier, on ne va pas se cacher, premier close, on se dit, en tout cas pour ma part, 1400 euros Olivier, je fais mon premier close, je gagne quasiment 300 euros, je me dis attends sur un appel de 30 minutes je prends 300 balles à un moment donné voilà tu comprends vite la logique tu dis attends j'en fais quatre comme ça je gagne ce que je gagne en mois de travail donc c'est il ya un truc qui se passe d'un point de vue de la croyance liée à l'argent et voilà au fonctionnement de l'économie qui donc du coup après ça tu as carrément décidé de laisser but et de passer direct à direct moins ça d'après combien de temps en fait le passage en fait le premier close ça pète un truc dans mon cerveau la semaine d'après a forcément je commence continuer à prendre des appels moi je prends les deux appels 1 le midi entre midi et 2 et 1 le soir donc en fait je me disais quand je suis au magasin je perds l'argent parce que je peux apprendre beaucoup plus de col je pourrais enchaîner la fondue moi tu as donné ta donne j'ai donné madame directement bon

  • Speaker #0

    ça c'est pas conseillé à tous les auditeurs qui ont fait à 10 ans à faire au moins trois mois mais bon mais en fait en fait olivier le calcul il est simple moi je me suis dit même si je gagne 1000 euros

  • Speaker #1

    J'étais chez ma maman, j'étais... Alors, après, c'est mon histoire. Moi, j'étais hébergé chez ma maman à cette époque-là, parce que je l'avais suivi en Mayenne. Je me suis dit, écoute, même si je gagne 1 000 euros, en fait, ce que je vais récupérer en termes de liberté, ça n'a pas de valeur, parce que ça va me permettre, derrière, même d'entreprendre d'autres projets ou quoi que ce soit. Donc, même en termes de rémunération, si je n'arrive pas à aller chercher autant que ce que je gagne chez Butte, je suis gagnant, parce que ça va me permettre de continuer à pousser... derrière je récupère mon temps et c'était plus important et en vrai voilà je savais que si j'avais fait une fois que je me donnais à fond je serai en capacité à les chercher 2000 3000 4000 et plus donc pour guérir ça fait sens instantanément donc du coup après tu as commencé à

  • Speaker #0

    commencer ton activité à temps plein c'est la carte des cartes et barbier car les cartes et cartes et parce que Juste pour mes mots, Alex a formé... pratiquement tous les closeurs, en tout cas une grande quantité de closeurs. Moi, malheureusement, c'est lui qui m'a recruté, ça fait un mois et demi qu'on bosse ensemble et il m'annonce qu'il se barre. Donc du coup, il n'est plus là, mon Alex.

  • Speaker #1

    Je reste là, mais on ne va dire pas... Pas dans le même écosystème.

  • Speaker #0

    Non, pas dans le même écosystème. Je n'aurais plus la chance d'être coaché par toi personnellement une fois par semaine. C'était trop top. J'étais trop content. C'est Jacques. On va parler de Jacques. C'est aussi quelqu'un que tu as formé. C'est lui qui va aussi continuer à se créer de moi.

  • Speaker #1

    Très bon manager aussi, Jacques. Moi, c'est un parcours. Je suis vraiment fier au final parce que c'est là où tu vois l'impact qu'une décision peut avoir dans la vie de quelqu'un. Parce qu'autre avis que moi.

  • Speaker #0

    Tu as plein de petits aussi.

  • Speaker #1

    Carrément.

  • Speaker #0

    Tu as plein de petits.

  • Speaker #1

    Mais c'est ça.

  • Speaker #0

    Tu as un coach qui va reprendre tes coachings au niveau de la formation. C'est ça. Après, tu es devenu closer, super closer. Et après, sales manager. Donc, tu t'es retrouvé à gérer une équipe de 25 closers ?

  • Speaker #1

    C'est ça. Parce qu'en fait, si tu veux, Olivier, ça s'est fait naturellement. En fait, moi, quand j'ai commencé le closing, j'ai eu la chance d'être l'un des premiers à intégrer ces équipes. Donc, forcément, quand j'ai commencé à performer, je donnais aussi un petit peu de mes tips, de mes méthodes, mes techniques à d'autres closers pour qu'ils puissent aussi performer. Moi, j'adorais me sentir dans un environnement où on était en train de gagner, où ça marchait, où on progressait. Et au fur et à mesure, j'ai commencé à donner des cours vraiment de manière spontanée, à des personnes qui me disaient Alex.

  • Speaker #0

    Moi, mes premiers coachings au sein de… En tout cas, c'était mon coach préféré quand j'étais au sein de la formation. J'ai kiffé tes coachings. C'est gentil.

  • Speaker #1

    C'était important qu'on se retrouve ensemble, qu'on puisse partager de la bonne humeur, de la joie et surtout partager nos wins et qu'on essaye vraiment de se motiver à fond pour aller chercher encore plus. Moi, c'était ça. Pourquoi ne pas se limiter à 2-3 000 euros alors qu'on peut aller chercher plus donc bien sûr ça s'est fait comme ça et effectivement dans le parcours j'ai amené jacques à rejoindre l'écosystème et à l'époque jacques n'avait pas les fonds pour rejoindre et il a vendu sa voiture voilà quand j'ai échangé avec lui voilà il parle de cette rendre over je dis ben jacques en vrai en vrai des toits à moi ce que ça pourrait pas être plus pertinent que tu récupères aussi un petit peu de trésorerie tu achètes une voiture un peu moins puissante mais ça va te permettre de démarrer et puis me dis mais en vrai à l'aigle vous y avez pensé. On dit enfin. en fait, ce que tu me dis là, j'étais déjà en train d'y penser, et en vrai, tu as raison, ça peut être la solution. Et deux semaines plus tard, il a rejoint, et aujourd'hui, tu vois, comme moi, il a progressé, il a fait ses... C'est lui le boss des closers,

  • Speaker #0

    et des setters aussi,

  • Speaker #1

    d'ailleurs. Pas que des closers. Je crois que c'est Vincent, le boss des setters.

  • Speaker #0

    Ok, ok.

  • Speaker #1

    Vincent qui est rentré aussi chez Closing Mastery il y a des années.

  • Speaker #0

    Oui, alors Vincent, c'est encore une autre histoire. On le voit dans les vidéos de témoignages. Mais c'est pareil, c'est toi qui t'en es occupé, non ? Tu l'as formé ? Alors non,

  • Speaker #1

    du tout. Ça, pour le coup, c'est vraiment Ben qui l'a formé.

  • Speaker #0

    Ben, OK. Ben aussi, il a formé un sacré nombre.

  • Speaker #1

    Et moi, et moi.

  • Speaker #0

    Avec le plaisir et de cette heure. Et Ismaël aussi, je suppose. Voilà, après un petit mois et demi à bosser avec toi et à t'apprécier non seulement en tant que coach dans le cadre de la formation, mais après en tant que sales manager, ta bienveillance et tout le reste des qualités que je ne vais pas nommer ici, tu nous annonces quoi ? Tu nous annonces en fait ton départ. Alors, tu peux nous situer quand même en termes de… parce que ça peut intéresser aussi les… Les auditeurs ? En tant que closer, tu tournais aux alentours de combien en termes de revenus ?

  • Speaker #1

    Alors là, ça variait, mais en gros, j'étais entre 3 000 et 4 500 euros par mois.

  • Speaker #0

    D'accord. Et sales manager ?

  • Speaker #1

    Sales manager, pareil, ça dépend des mois, mais en général, j'étais entre 5 000 et 8 000 euros par mois.

  • Speaker #0

    D'accord, d'accord. Bon ben voilà, et donc après 4 ans, encore plus du coup, et tu nous annonces notre départ. Alors là je te laisse la première de nous expliquer.

  • Speaker #1

    En fait, Olivier, moi toute ma vie, j'ai accompagné des personnes à prendre des décisions fortes pour changer leur situation concrètement. Donc ce qu'on appelle sortir de la zone de confort pour aller vers ce que moi j'appelle la zone d'apprentissage. Mais cette zone d'apprentissage, elle est inconfortable. Parce que c'est le moment où on se remet en question, on doit réapprendre et on doit redescendre finalement des acquis.

  • Speaker #0

    Je comprends.

  • Speaker #1

    Et oui, donc tu vois exactement de quoi je parle. Et moi, dans ce que je fais, j'adore ce que je fais. Vraiment, des personnes comme toi Olivier, ça me fait un kiff total. Oui, il faut que je le fasse. C'est un kiff total. Je vois des… C'est un renouveau en fait. C'est comme une renaissance. La personne qui fait l'entraide, qui apprend de se dépasser, de partager. Pour moi, c'est génial. C'est un sentiment qui est incroyable. Et moi, dans mon parcours, j'ai été amené à accompagner des cinquantaines, des centaines de personnes au travers de mon statut de coach. Donc, j'ai vu toutes ces personnes progresser. mais moi à un moment donné je me suis dit, OK, ce que je fais aujourd'hui, je le fais bien. Je me sens bien. Mais est-ce que quelque part, je ne serai pas aujourd'hui dans ma zone de confort ?

  • Speaker #0

    Je ne serai pas dans ma petite routine ou une grosse routine.

  • Speaker #1

    Exactement. Et alors, bon, ça, c'est la vie qui veut ça. Mais dans le closing, j'ai été amené à rencontrer d'autres personnes, d'autres infopreneurs. Et j'ai fait la rencontre d'une personne avec laquelle je me suis associé pour un programme d'accompagnement en investissement immobilier. Pas que d'ailleurs, c'est de l'investissement immobilier, mais aussi du placement financier. c'est des voilà des patients à haut rendement et j'ai trouvé ça cohérent parce que moi en tant que qu'entrepreneur pas en tant que manager que ces managers à l'immobilier ça me parlait parce que c'est du patrimoine c'est sécurisé son avis je sais que c'est une de tes passions alors il me l'a pas dit mais je les ai vus dans

  • Speaker #0

    les vidéos témoignages que j'ai écouté avant de rentrer chez closing master et tu disais ouais de mes passions c'est l'immobilier tata dit à d'adapter. Enfin, voilà,

  • Speaker #1

    quoi. Tout à fait. Et donc,

  • Speaker #0

    du coup, ça paraît logique, en fait. que tu te lances dans ce programme. Allô,

  • Speaker #1

    Jemais.

  • Speaker #0

    Donc, c'est pour montrer aux auditeurs, en fait, qu'il y a vraiment la possibilité d'évoluer. Ce n'est pas de closer, tu es passé de closer à super closer, sales manager, et maintenant associé carrément d'un super accompagnement.

  • Speaker #1

    Bien sûr.

  • Speaker #0

    C'est carrément top. Et tout ça en quatre ans ?

  • Speaker #1

    Tout ça en quatre ans. Mais c'est vrai qu'on ne se rend pas compte, en fait, parce que... quand on rejoint cette aventure-là, ce n'est pas uniquement du closing, c'est aussi des rencontres humaines. C'est des rencontres avec des opportunités, c'est ouvrir son esprit à plein d'autres choses. L'immobilier, moi, j'étais déjà attiré par cet univers-là, mais le closing m'a servi de levier pour pouvoir accélérer aussi des investissements immo. Donc, en fait, moi, je considère que ça reste aussi de l'entrepreneuriat, en tout cas aux personnes qui restent ouvertes à d'autres domaines. Et effectivement, dans ce cadre-là, j'étais amené à rencontrer d'autres personnes. Et c'est ce qui fait que derrière, je me suis dit, allez effectivement il y a un beau projet qui m'a l'air vraiment goûteur, dans lequel je me reconnais je me sens bien, auquel on met les mains au centre de l'accompagnement donc je me suis dit allez, il faut que je sorte de ma zone de confort et pourquoi pas redonner ce que j'ai appris dans l'écosystème Mastery à d'autres personnes pour les aider à performer et à évoluer,

  • Speaker #0

    et pour moi ça faisait du sens Je suis super content pour toi mais en même temps je suis triste je me sens complètement c'est pour expliquer aux auditeurs le genre de rapport qui peut s'installer en fait parce qu'on se connaît connaissait pas il ya quelques mois de ça et je sais pas bien sûr en tout cas voilà quoi et ben ouais je me sens comme un orphelin à la fin du mois tu te casses c'est à dire dans trois quatre jours et puis on peut voilà tu vas partir vers d'autres cieux et on est mais mais mais tu vois olivier dans notre rencontre tu m'as mis aussi en relation avec des personnes voilà

  • Speaker #1

    on en qui tu croyais, en qui tu fais confiance.

  • Speaker #0

    Je vais dire mon petit-enfant.

  • Speaker #1

    Tu vois, les liens se font. De toute façon, les connexions sont là, Olivier. Peu importe. Quel est le cas, si ça vous plaît. On sera en contact. Il n'y a pas de...

  • Speaker #0

    Un petit dernier mot pour ce que tu aimerais dire à ceux qui débutent dans le setting ou le closing ?

  • Speaker #1

    À ceux qui débutent ? Alors, c'est un petit peu paradoxal ce que je vais dire, parce que dans le monde du closing, c'est vrai que la performance, elle est au centre de tout. Un closer, il est évalué au niveau de sa compétence et de son taux de conversion. Il ne résume pas. Des résultats. C'est le mot que je cherchais. Mais moi, ce que je vous conseille, c'est détachez-vous au maximum du résultat. Parce que, non mais c'est pourquoi je dis ça. Parce que tu m'as posé la question par rapport à un closer qui débute. En fait, si l'objectif est uniquement centré sur le résultat, ça ne marchera pas. Bien sûr que l'objectif à terme, c'est d'avoir du résultat, que ça fonctionne, de closer, de gagner sa vie. Mais le plus important, c'est de se concentrer sur déjà un, comment on se sent, et deux, dans la volonté de s'améliorer. Parce que même si les résultats ne sont pas là tout de suite, Si on est dans la volonté de faire mieux et de s'améliorer, les résultats vont arriver. Donc, en fait,

  • Speaker #0

    c'est avoir un mindset particulier.

  • Speaker #1

    C'est ça. Alors, on n'est pas dans le monde des bisounours. Je ne dis pas… Non. Voilà. Mais en revanche, une chose est certaine, c'est que si un closeur, au départ, est uniquement focalisé sur le résultat, ça va être quelque chose de bloquant pour lui parce qu'il va se paralyser, se bloquer… Se stresser. Se stresser. Il ne sera plus dans les bonnes conditions pour envoyer des bonnes ondes. à la personne qui est en face pour réellement être à son écoute et l'aider à prendre une décision.

  • Speaker #0

    D'accord. Du coup, j'allais te dire un conseil, tu viens de le donner. Tu ne te souviens pas.

  • Speaker #1

    Un conseil pour une personne qui débute, ça veut dire qu'il est déjà dedans. Normalement, il sait pourquoi il y est et il va mettre la motivation. Moi, je lui dis, en tout cas, si... si ce conseil peut vraiment servir. Ne lâche rien, parce que au final, c'est vraiment une aventure, c'est un parcours unique à chacun, propre à chacun, mon histoire. Je la donne parce qu'effectivement, je pense qu'elle pourrait inspirer des personnes. Mais chaque personne a sa propre histoire. Et moi, je ne sais plus où j'avais entendu ça. mais pour moi j'ai trouvé que ça faisait du sens. Il disait qu'en fait on ne peut pas perdre dans la mesure où on n'abandonne pas. J'ai trouvé ça très vrai. En fait on perd dans la mesure où on abandonne. Une personne qui ne lâche pas, qui continue à avancer malgré les difficultés qui peuvent arriver, malgré les obstacles, mais qui ne lâche pas et qui est toujours dans cette volonté d'aller chercher la meilleure version de soi-même et de progresser. Il y a un moment donné où c'est le secret de la réussite. Elle va y arriver. Bien sûr.

  • Speaker #0

    Tout à fait d'accord. Et un dernier petit mot pour ceux qui doutent. C'est-à-dire ceux qui n'ont pas encore fait le pas. Je ne veux pas aller jusqu'au coup d'une action, mais juste pour ceux qui doutent.

  • Speaker #1

    Ceux qui doutent, posez-vous la question. Qu'est-ce que vous avez à perdre ? Pour moi, c'est ça. En tout cas, moi, en ce qui me concernait. J'avais pas grand chose à perdre si ce n'était un travail en CDI. Bon, voilà, il faut se poser la question, qu'est-ce que je veux réellement dans la vie ? Est-ce que le jeu en vaut la chandelle ? Et se poser la question, qu'est-ce que je veux vraiment ? Est-ce qu'aujourd'hui, je veux plus ? Est-ce que je veux plus ? Est-ce que je veux me donner les moyens d'aller chercher plus ? Si cette question vous amène à la réponse d'un oui, concrètement, oui, à un moment donné, de toute façon, il faudra... forcément prendre une décision, peu importe si c'est le closing, si c'est autre chose, mais il faudra prendre une décision et cette décision elle passera forcément par le fait de sortir de sa zone de confort, donc il y a un moment où il faut se faire confiance et puis il faut...

  • Speaker #0

    On arrive à la fin de notre premier épisode. En tout cas, Alex, moi, je te remercie déjà. C'est un plaisir de partager. Ce que tu as pu me transmettre déjà dans le cadre de tes coachings en tant que sales manager. Je voudrais vraiment te souhaiter la meilleure fortune possible dans ta nouvelle aventure. Et puis, voilà. Donc, en tout cas, toi, l'auditeur qui nous écoute, si cet épisode t'a inspiré, t'as mis une claque ou t'as donné l'envie d'en savoir plus, écoute, fonce découvrir la masterclass gratuite de Closing Mastery. C'est ce même programme qui a transformé la vie d'Alex et la mienne. Un petit mot, Alex ? Conclusion ?

  • Speaker #1

    Merci Olivier de m'avoir reçu. Et j'espère que tous les auditeurs seront portés par tes podcasts parce que moi, je m'appartiens aussi à ce projet. Je trouve ça génial. Et tu as déjà quelques mots à dire.

  • Speaker #0

    C'est top.

  • Speaker #1

    C'est top.

  • Speaker #0

    Merci Olivier. Tu es une personne trop bienveillante.

  • Speaker #1

    Merci beaucoup Olivier.

  • Speaker #0

    Bon, merci à tous et puis au revoir. Au prochain épisode. Au revoir.

  • Speaker #1

    Ciao, ciao.

Chapters

  • Chapitre 1 Introduction

    00:36

  • Chapitre 2 Retour aux sources : la vie avant le closing

    01:16

  • Chapitre 3 La montée en puissance

    07:22

  • Chapitre 4 Le départ et la nouvelle aventure

    14:23

  • Chapitre 5 Message à la communauté

    19:16

  • Chapitre 6 Outro personnelle

    23:15

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