Transcription

• Speaker #0

  Dans mes mains ce matin, un cœur en plein chant. Je les vois du dessus et toutes leurs têtes, bouches ouvertes, me font penser à des oisillons dans un nid qui appellent. Le cœur chante 'Alléluia, Alléluia'. Alors dans mon cœur, ça chante aussi. - Chante vers le ciel avec cette foi, quand tu composes, écris, c'est pareil, que ce soit dans l'intensité et l'énergie d'un Alléluia, avec tout ton amour et ta dévotion. Une tension vers le ciel. À l'image des oisillons qui appellent pour la béquée, appelez, avec la même innocence et la même confiance, la béquée divine. Unis ton chant à celui de tes frères et sœurs qui appellent avec toi. Votre Alléluia n'en sera que plus puissant et unira encore d'autres cœurs. Fortifie cette vision, reviens-y, imagine-toi oisillon comme chanteuse d'opéra, déployant ton amour à plein pont. Il n'y a pas d'intermédiaire, de nuance ni de retenue lorsque notre chant s'adresse au divin. C'est de tout cœur, pleinement, désespérément parfois, avec toute ta joie surtout, tout ton corps, toute ton énergie. Tu appelles et tu célèbres. La louange. Ce chant est forcément beau, puisque rien ne l'entrave, et qu'il emporte vers le divin. Ose la louange, ose déposer ton cœur, te consacrer, t'offrir pleinement au divin que tu es aussi. C'est un passage par l'extérieur qui permet à l'intérieur et l'extérieur de s'unir. Chante. - Merci,merci, merci.