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🧪 L'ENFER AU BOULOT ! Soudain la Folie : Quand un Collègue DÉCHAÎNE l'Horreur Chimique ☣️ | Podcast Horreur cover
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Dans l'ombre des légendes | Podcast Horreur Creepypasta Chandleyr

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09min |24/03/2025
Play
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Description

Êtes-vous prêt à plonger dans l'abîme des ténèbres où la malveillance humaine se mêle à des horreurs inimaginables ? Dans cet épisode captivant de Dans l'ombre des légendes | Podcast Horreur Creepypasta Chandleyr, Charlie Bird Parker nous entraîne dans une histoire terrifiante qui se déroule au cœur d'une scierie de Rouen, en Normandie. Suivez Julien, un jeune étudiant en ingénierie dont l'existence bascule lorsque des symptômes mystérieux commencent à le ronger de l'intérieur. Que se cache-t-il derrière cette maladie inexpliquée qui le consume ?


Alors qu'il lutte contre un empoisonnement insidieux au mercure, orchestré par son collègue malveillant, Marcel, la scierie se transforme en un véritable enfer chimique. Ce récit explore des thèmes poignants tels que la souffrance, la négligence médicale et les dangers invisibles qui nous entourent. Les ouvriers de l'usine sont frappés par une série de maladies mystérieuses, et la police se lance dans une enquête troublante pour découvrir la vérité. Chaque révélation est plus choquante que la précédente, culminant dans une conclusion qui vous laissera sans voix.


Dans cet épisode, vous découvrirez comment Dans l'ombre des légendes dévoile des histoires vraies effrayantes en podcast, abordant les légendes urbaines françaises audio et les récits de meurtres mystérieux en français. Avec une atmosphère oppressante et un ton sombre, cet épisode rappelle les pires cauchemars et nous pousse à réfléchir sur la fragilité de la vie. Les récits creepypasta et les enquêtes criminelles podcast français se mêlent ici pour créer une expérience immersive inoubliable.


Ne manquez pas cette occasion de découvrir un nouveau podcast horreur France qui vous tiendra en haleine. Chaque minute passée à écouter cet épisode vous plongera davantage dans les mystères non résolus de notre société, tout en vous confrontant aux horreurs qui se cachent derrière les murs de l'usine. Que vous soyez un amateur de récits d'horreur audio français ou un passionné de podcast suspense et horreur France, cet épisode de Dans l'ombre des légendes est fait pour vous.


Préparez-vous à être captivé par cette histoire palpitante, où chaque mot résonne comme un écho des souffrances humaines. Écoutez dès maintenant Dans l'ombre des légendes | Podcast Horreur Creepypasta Chandleyr et laissez-vous emporter par les frissons de l'horreur et les mystères qui hantent notre réalité.


Ne manquez aucun épisode de Dans l’Ombre des Légendes ! Abonnez-vous dès maintenant et partagez avec vos proches pour diffuser l'ombre et le mystère. Suivez-nous sur Twitter, Instagram, et Bluesky pour plus de contenu exclusif.

Retrouvez tous les épisodes ici : smartlink.ausha.co/danslombresdeslegendes.

Twitter ► / chandleyr

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Mail ► chandleyr@danslombredeslegendes.fr

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Threadshttps://www.threads.net/@chandleyr


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    au coeur sombre de la normandie en france là où le vent charrie une odeur de rouille et de ruines depuis les usines d'élabré un jeune homme nommé julien laurent titubait dans une vie sur le point de se déchirer en lambeaux innommables c'était le juillet et l'air pesait lourd sur l'étendue industrielle de Rouen, saturée d'une promesse de pourriture. Julien, un étudiant en ingénierie de 23 ans aux yeux trop brillants pour le monde taché de crasse qu'il habitait, se tenait dans la salle de pose de la scierie des Crêpes, où il travaillait comme mécanicien. pendant ses congés d'été. Les néons bourdonnaient comme des mouches mourantes, projetant une lueur maladive sur le linoleum ébréché, et les deux hommes assis à la table, mâchant leurs sandwiches en silence. Ils étaient plus âgés, Henri, un homme sec dans la cinquantaine au visage taillé par des années de rancune, et Marcel, une silhouette massive dont les yeux semblaient se vous transpercer pour contempler un abîme secret. Julien, toujours l'étranger, versa ses céréales dans un bol ébréché, le bruit des flocons résonnant comme une petite rébellion contre le silence. silence oppressant. Il prit son carton de lait sans lactose dans le frigo commun, une nécessité pour son estomac fragile, et s'assit, esquissant un sourire qui resta sans réponse. L'air était vicié ici, chargé d'une malveillance muette qui collait au mur comme une moisissure humide. « Dure journée, hein ? » tenta Julien, sa voix brisant le silence comme un os qui craque. Marcel leva les yeux, son regard froid et reptilien, et haussa les épaules avant de replonger dans son repas. Henri, lui, s'interrompit en pleine bouchée, une grimace tordant ses traits burinés. « Pas bonne, » marmonna-t-il d'une voix rauque. « La tête cogne. L'estomac est en vrac. J'ai l'impression de pourrir de l'intérieur. » Julien Ausha la tête, mal à l'aise et incertain, et enfourna ses céréales pour noyer son malaise. Les deux hommes reprirent en leur silence, et bientôt il s'échappa de la salle de pause, le poids de leur regard pesant sur sa colonne vertébrale. Mais quelques minutes plus tard, alors qu'il se penchait sur une machine rouillée sur le sol de l'usine, une douleur lui déchira l'abdomen. Aiguë, brûlante, vivante, il se plia en deux, haletant. Sa clé tombant de sa main pour heurter le béton dans un clangue métallique. Une nausée monta comme une marée. Et il agrippa son ventre, l'esprit en ébullition. Intolérance au lactose, bien sûr, mais il avait utilisé son lait, n'est-ce pas ? Il tituba jusqu'à la salle de pause, ouvrit le frigo à la volée et le vit. Son carton, seul, intact de toute autre main. La prise de conscience le frappa comme un point. Pas de lactose, pas d'erreur. Quelque chose d'autre le rongeait, quelque chose de tordu. Il regagna à peine sa voiture. Le monde vacillant dans une danse malade, tandis qu'il filait chez lui, dans son petit appartement à l'ombre des flèches gothiques de Rouen. Là, il vomit dans les toilettes, une bile noire et huileuse qui semblait s'agiter en touchant l'eau. Quand il se releva, s'essuyant la bouche, une nouvelle horreur s'insinua. Ses doigts picotaient, puis s'engourdissaient, comme si la vie s'en écoulait. Il fléchit les mains, désespéré, mais la sensation s'étendait, une mort froide et rampante grimpant le long de ses bras. « Maman ! » murmura-t-il dans le téléphone, sa voix tremblante comme celle d'un enfant. « J'ai besoin de toi. » Deux semaines plus tard, Julien était prisonnier de son propre corps, une coquille se consumant dans un lit qui puait la sueur et le désespoir. Sur les conseils de sa mère, il avait vu un médecin qui avait balayé ses plaintes. Surmenage, rien de plus, lui prescrivant des vitamines qui ne faisaient que se moquer de sa souffrance. Les picotements avaient envahi ses avant-bras. Et la nausée était une compagne constante, une sensue aspirant sa volonté. Ce matin-là, il avait décidé de lutter, se doucher, manger, reprendre un semblant de normalité. Mais en titubant vers la salle de bain, ses jambes le trahir, se dérobant comme des brindilles cassantes, il s'accrocha au chambranle, puis s'effondra, rampant jusqu'à son lit, les ongles griffant le plancher, bête blessée se traînant pour mourir. Sa mère le trouva là, pâle et tremblant, et le conduisit à l'hôpital. Une neurologue aux yeux perçants et à l'esprit acéré examina son corps en déroute. Elle l'interrogea sur les drogues, les blessures à la tête, les malédictions familiales, rien ne collait. Elle piqua ses bras et il ne sentit rien d'autre que le vide bourdonnant qui avait englouti ses nerfs. Ses réflexes étaient lents, ses yeux vitreux sous sa lampe stylo. « Inflammation, dit-elle, la voix tendue par l'effroi. Cerveau, moelle épinière, quelque chose vous attaque de l'intérieur. » Agneau ligotait sur l'autel d'un massacre inconnu. Six jours plus tard, la neurologue revint dans sa chambre et se figea. Julien Gisela, parodie grotesque de lui-même, flasque gonflée, son visage un masque boursouflé, ses yeux fixant un néant que personne d'autre ne pouvait voir. Les scanners avaient confirmé l'inflammation, un incendie ravageant son cerveau et son tronc cérébral. Mais aucune infection ne l'expliquait. Auto-immun, supposa-t-elle, mais les médicaments qu'elle lui injecta « Était aussi inutile que des prières à un dieu sourd. Comment vous sentez-vous ? » demanda-t-elle en touchant son épaule. bascula, ses yeux roulant en arrière pour révéler des blancs injectés de sang. Et il croassa. Bouche, métal. Elle cligna des yeux. Goût, oh ! un goût métallique, un indice, un fil dans la tapisserie cauchemardesque, mais qui ne menait nulle part où elle pouvait le suivre. Elle lui tendit un gobelet et il tenta de boire. Mais l'eau coula sur son menton, tâchant sa blouse d'un filet scintillant qui semblait pulser faiblement dans la pénombre. Elle le transféra dans un hôpital universitaire, espérant que des spécialistes pourront le faire. perceraient le voile qu'elles ne pouvaient traverser. Mais eux aussi furent déconcertés, alors que ses reins et son foie commencèrent à lâcher, organes pourrissant dans une enveloppe encore vivante. En septembre, Julien n'était plus qu'un fantôme dans le commun, son corps un champ de bataille, où quelque chose d'ancien et vorace se repaissait. La plupart des médecins abandonnèrent, le soignant comme des jardiniers élagants un arbre mourant. Mais l'un d'eux, un homme émacié au regard fiévreux, refusa de capituler. Il fouilla les revues médicales. traquant les murmures de l'obscur, jusqu'à ce qu'il le trouve, un cas vieux de décennie, des symptômes reflétant ceux de Julien dans un défilé grotesque, crampes, engourdissements, gonflements cérébrales, goûts métalliques, défaillance des organes, une maladie si rare qu'elle n'avait frappé que trois fois en un siècle, un test sanguin le confirma, et le triomphe du médecin se mua en horreur, Julien n'était pas malade, il était empoisonné, du mercure à des doses défiant la raison, coulait dans ses veines, Ce n'était pas un accident, c'était un meurtre, lent et délibéré, et cela signifiait que d'autres étaient en danger. La police déferla, déchirant la vie de Julien comme des vautours sur une charogne. Ils interrogèrent sa famille, ses amis, les drones de l'usine qu'ils connaissaient à peine. Des équipes médico-légales balayèrent son appartement, la scierie, même le frigo de la salle de pause, cherchant la source. Rien. Julien persistait dans son état végétatif, cri muet, emprisonné dans la chair, tandis que l'enquête s'essoufflait. Deux ans passèrent, et la piste refroidit, jusqu'à ce que l'usine se remette à murmurer. Henri, l'homme bourru de ce déjeuner fatidique, s'effondra dans une insuffisance rénale, ses entrailles se liquéfiant sous les machines de dialyse. Un autre ouvrier, Étienne, vingt-six ans et audacieux, se plia en deux sous des douleurs stomacales si féroces qu'elles le mirent à genoux. Personne ne relia les points, la maladie était la malédiction de l'usine, un fléau banal. Jusqu'à ce qu'Étienne s'asseye dans la salle de pause un jour de mai 2018, dépliant son sandwich. Une poudre fine et argentée saupoudrait le pain, scintillante comme les yeux de quelque chose tapis dans l'ombre. Il se figea, le cœur battant, et appela la police. La piste mena à une maison à la périphérie de Rouen, une relique affaissée de pierres et de secrets. À l'étage, tout était ordinaire. Rideau fané, fauteuil grinçant, mais le sous-sol était une plongée dans la folie. Une table métallique luisait sous des ampoules vacillantes, jonchées de béchés et de balances, tandis que des étagères s'élevaient, chargées de bocaux, confitures, peintures, mayonnaise, remplies de liquides scintillants comme la mort liquide. Mercure, plomb, cadmium, un bouillon de sorcière plus létal que le gaz moutarde, concocté par un esprit dérangé. L'architecte de cet enfer était Marcel, le géant silencieux du dernier repas de Julien. Pendant des années, il avait acheté des produits chimiques en ligne. les mélangeant dans son antre souterrain et les saupoudrant sur la nourriture de ses collègues. Un alchimiste de l'agonie testant son art. Les céréales de Julien avaient été saturées de mercure, un poison lent transformant son corps en mausolée. Les sandwiches d'Étienne portèrent du plomb, les repas d'Henri un cocktail de cadmium et de mort. Marcel ne dit rien quand ils l'emmenèrent, son haussement d'épaule un dernier défi. En mars 2019, il fut condamné à perpétuité, bête en cage mais sans remords. Julien mourut dix mois plus tard. Trois ans prisonniers dans son propre crâne, Étienne et Henri subsistent, leur corps marqué par le baiser persistant du poison. Mais l'usine tient toujours debout, ses murs murmurant d'une chose plus ancienne qui a éveillé la faim de Marcel. Certains disent dès que la poudre n'était pas que chimique qu'elle portait le goût du vide, une faim venue d'ailleurs qui se nourrit de chair et d'âme. Et dans la salle de pause tard la nuit, le frigo ronronne une chanson gutturale, attendant le prochain à s'asseoir et manger.

Chapters

  • Introduction à la scierie de Rouen et à Julien

    00:08

  • Les premiers symptômes de Julien

    01:56

  • Visite chez le neurologue et diagnostic mystérieux

    03:56

  • Découverte de l'empoisonnement au mercure

    05:59

  • Révélations sur Marcel et son sombre secret

    08:12

Description

Êtes-vous prêt à plonger dans l'abîme des ténèbres où la malveillance humaine se mêle à des horreurs inimaginables ? Dans cet épisode captivant de Dans l'ombre des légendes | Podcast Horreur Creepypasta Chandleyr, Charlie Bird Parker nous entraîne dans une histoire terrifiante qui se déroule au cœur d'une scierie de Rouen, en Normandie. Suivez Julien, un jeune étudiant en ingénierie dont l'existence bascule lorsque des symptômes mystérieux commencent à le ronger de l'intérieur. Que se cache-t-il derrière cette maladie inexpliquée qui le consume ?


Alors qu'il lutte contre un empoisonnement insidieux au mercure, orchestré par son collègue malveillant, Marcel, la scierie se transforme en un véritable enfer chimique. Ce récit explore des thèmes poignants tels que la souffrance, la négligence médicale et les dangers invisibles qui nous entourent. Les ouvriers de l'usine sont frappés par une série de maladies mystérieuses, et la police se lance dans une enquête troublante pour découvrir la vérité. Chaque révélation est plus choquante que la précédente, culminant dans une conclusion qui vous laissera sans voix.


Dans cet épisode, vous découvrirez comment Dans l'ombre des légendes dévoile des histoires vraies effrayantes en podcast, abordant les légendes urbaines françaises audio et les récits de meurtres mystérieux en français. Avec une atmosphère oppressante et un ton sombre, cet épisode rappelle les pires cauchemars et nous pousse à réfléchir sur la fragilité de la vie. Les récits creepypasta et les enquêtes criminelles podcast français se mêlent ici pour créer une expérience immersive inoubliable.


Ne manquez pas cette occasion de découvrir un nouveau podcast horreur France qui vous tiendra en haleine. Chaque minute passée à écouter cet épisode vous plongera davantage dans les mystères non résolus de notre société, tout en vous confrontant aux horreurs qui se cachent derrière les murs de l'usine. Que vous soyez un amateur de récits d'horreur audio français ou un passionné de podcast suspense et horreur France, cet épisode de Dans l'ombre des légendes est fait pour vous.


Préparez-vous à être captivé par cette histoire palpitante, où chaque mot résonne comme un écho des souffrances humaines. Écoutez dès maintenant Dans l'ombre des légendes | Podcast Horreur Creepypasta Chandleyr et laissez-vous emporter par les frissons de l'horreur et les mystères qui hantent notre réalité.


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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    au coeur sombre de la normandie en france là où le vent charrie une odeur de rouille et de ruines depuis les usines d'élabré un jeune homme nommé julien laurent titubait dans une vie sur le point de se déchirer en lambeaux innommables c'était le juillet et l'air pesait lourd sur l'étendue industrielle de Rouen, saturée d'une promesse de pourriture. Julien, un étudiant en ingénierie de 23 ans aux yeux trop brillants pour le monde taché de crasse qu'il habitait, se tenait dans la salle de pose de la scierie des Crêpes, où il travaillait comme mécanicien. pendant ses congés d'été. Les néons bourdonnaient comme des mouches mourantes, projetant une lueur maladive sur le linoleum ébréché, et les deux hommes assis à la table, mâchant leurs sandwiches en silence. Ils étaient plus âgés, Henri, un homme sec dans la cinquantaine au visage taillé par des années de rancune, et Marcel, une silhouette massive dont les yeux semblaient se vous transpercer pour contempler un abîme secret. Julien, toujours l'étranger, versa ses céréales dans un bol ébréché, le bruit des flocons résonnant comme une petite rébellion contre le silence. silence oppressant. Il prit son carton de lait sans lactose dans le frigo commun, une nécessité pour son estomac fragile, et s'assit, esquissant un sourire qui resta sans réponse. L'air était vicié ici, chargé d'une malveillance muette qui collait au mur comme une moisissure humide. « Dure journée, hein ? » tenta Julien, sa voix brisant le silence comme un os qui craque. Marcel leva les yeux, son regard froid et reptilien, et haussa les épaules avant de replonger dans son repas. Henri, lui, s'interrompit en pleine bouchée, une grimace tordant ses traits burinés. « Pas bonne, » marmonna-t-il d'une voix rauque. « La tête cogne. L'estomac est en vrac. J'ai l'impression de pourrir de l'intérieur. » Julien Ausha la tête, mal à l'aise et incertain, et enfourna ses céréales pour noyer son malaise. Les deux hommes reprirent en leur silence, et bientôt il s'échappa de la salle de pause, le poids de leur regard pesant sur sa colonne vertébrale. Mais quelques minutes plus tard, alors qu'il se penchait sur une machine rouillée sur le sol de l'usine, une douleur lui déchira l'abdomen. Aiguë, brûlante, vivante, il se plia en deux, haletant. Sa clé tombant de sa main pour heurter le béton dans un clangue métallique. Une nausée monta comme une marée. Et il agrippa son ventre, l'esprit en ébullition. Intolérance au lactose, bien sûr, mais il avait utilisé son lait, n'est-ce pas ? Il tituba jusqu'à la salle de pause, ouvrit le frigo à la volée et le vit. Son carton, seul, intact de toute autre main. La prise de conscience le frappa comme un point. Pas de lactose, pas d'erreur. Quelque chose d'autre le rongeait, quelque chose de tordu. Il regagna à peine sa voiture. Le monde vacillant dans une danse malade, tandis qu'il filait chez lui, dans son petit appartement à l'ombre des flèches gothiques de Rouen. Là, il vomit dans les toilettes, une bile noire et huileuse qui semblait s'agiter en touchant l'eau. Quand il se releva, s'essuyant la bouche, une nouvelle horreur s'insinua. Ses doigts picotaient, puis s'engourdissaient, comme si la vie s'en écoulait. Il fléchit les mains, désespéré, mais la sensation s'étendait, une mort froide et rampante grimpant le long de ses bras. « Maman ! » murmura-t-il dans le téléphone, sa voix tremblante comme celle d'un enfant. « J'ai besoin de toi. » Deux semaines plus tard, Julien était prisonnier de son propre corps, une coquille se consumant dans un lit qui puait la sueur et le désespoir. Sur les conseils de sa mère, il avait vu un médecin qui avait balayé ses plaintes. Surmenage, rien de plus, lui prescrivant des vitamines qui ne faisaient que se moquer de sa souffrance. Les picotements avaient envahi ses avant-bras. Et la nausée était une compagne constante, une sensue aspirant sa volonté. Ce matin-là, il avait décidé de lutter, se doucher, manger, reprendre un semblant de normalité. Mais en titubant vers la salle de bain, ses jambes le trahir, se dérobant comme des brindilles cassantes, il s'accrocha au chambranle, puis s'effondra, rampant jusqu'à son lit, les ongles griffant le plancher, bête blessée se traînant pour mourir. Sa mère le trouva là, pâle et tremblant, et le conduisit à l'hôpital. Une neurologue aux yeux perçants et à l'esprit acéré examina son corps en déroute. Elle l'interrogea sur les drogues, les blessures à la tête, les malédictions familiales, rien ne collait. Elle piqua ses bras et il ne sentit rien d'autre que le vide bourdonnant qui avait englouti ses nerfs. Ses réflexes étaient lents, ses yeux vitreux sous sa lampe stylo. « Inflammation, dit-elle, la voix tendue par l'effroi. Cerveau, moelle épinière, quelque chose vous attaque de l'intérieur. » Agneau ligotait sur l'autel d'un massacre inconnu. Six jours plus tard, la neurologue revint dans sa chambre et se figea. Julien Gisela, parodie grotesque de lui-même, flasque gonflée, son visage un masque boursouflé, ses yeux fixant un néant que personne d'autre ne pouvait voir. Les scanners avaient confirmé l'inflammation, un incendie ravageant son cerveau et son tronc cérébral. Mais aucune infection ne l'expliquait. Auto-immun, supposa-t-elle, mais les médicaments qu'elle lui injecta « Était aussi inutile que des prières à un dieu sourd. Comment vous sentez-vous ? » demanda-t-elle en touchant son épaule. bascula, ses yeux roulant en arrière pour révéler des blancs injectés de sang. Et il croassa. Bouche, métal. Elle cligna des yeux. Goût, oh ! un goût métallique, un indice, un fil dans la tapisserie cauchemardesque, mais qui ne menait nulle part où elle pouvait le suivre. Elle lui tendit un gobelet et il tenta de boire. Mais l'eau coula sur son menton, tâchant sa blouse d'un filet scintillant qui semblait pulser faiblement dans la pénombre. Elle le transféra dans un hôpital universitaire, espérant que des spécialistes pourront le faire. perceraient le voile qu'elles ne pouvaient traverser. Mais eux aussi furent déconcertés, alors que ses reins et son foie commencèrent à lâcher, organes pourrissant dans une enveloppe encore vivante. En septembre, Julien n'était plus qu'un fantôme dans le commun, son corps un champ de bataille, où quelque chose d'ancien et vorace se repaissait. La plupart des médecins abandonnèrent, le soignant comme des jardiniers élagants un arbre mourant. Mais l'un d'eux, un homme émacié au regard fiévreux, refusa de capituler. Il fouilla les revues médicales. traquant les murmures de l'obscur, jusqu'à ce qu'il le trouve, un cas vieux de décennie, des symptômes reflétant ceux de Julien dans un défilé grotesque, crampes, engourdissements, gonflements cérébrales, goûts métalliques, défaillance des organes, une maladie si rare qu'elle n'avait frappé que trois fois en un siècle, un test sanguin le confirma, et le triomphe du médecin se mua en horreur, Julien n'était pas malade, il était empoisonné, du mercure à des doses défiant la raison, coulait dans ses veines, Ce n'était pas un accident, c'était un meurtre, lent et délibéré, et cela signifiait que d'autres étaient en danger. La police déferla, déchirant la vie de Julien comme des vautours sur une charogne. Ils interrogèrent sa famille, ses amis, les drones de l'usine qu'ils connaissaient à peine. Des équipes médico-légales balayèrent son appartement, la scierie, même le frigo de la salle de pause, cherchant la source. Rien. Julien persistait dans son état végétatif, cri muet, emprisonné dans la chair, tandis que l'enquête s'essoufflait. Deux ans passèrent, et la piste refroidit, jusqu'à ce que l'usine se remette à murmurer. Henri, l'homme bourru de ce déjeuner fatidique, s'effondra dans une insuffisance rénale, ses entrailles se liquéfiant sous les machines de dialyse. Un autre ouvrier, Étienne, vingt-six ans et audacieux, se plia en deux sous des douleurs stomacales si féroces qu'elles le mirent à genoux. Personne ne relia les points, la maladie était la malédiction de l'usine, un fléau banal. Jusqu'à ce qu'Étienne s'asseye dans la salle de pause un jour de mai 2018, dépliant son sandwich. Une poudre fine et argentée saupoudrait le pain, scintillante comme les yeux de quelque chose tapis dans l'ombre. Il se figea, le cœur battant, et appela la police. La piste mena à une maison à la périphérie de Rouen, une relique affaissée de pierres et de secrets. À l'étage, tout était ordinaire. Rideau fané, fauteuil grinçant, mais le sous-sol était une plongée dans la folie. Une table métallique luisait sous des ampoules vacillantes, jonchées de béchés et de balances, tandis que des étagères s'élevaient, chargées de bocaux, confitures, peintures, mayonnaise, remplies de liquides scintillants comme la mort liquide. Mercure, plomb, cadmium, un bouillon de sorcière plus létal que le gaz moutarde, concocté par un esprit dérangé. L'architecte de cet enfer était Marcel, le géant silencieux du dernier repas de Julien. Pendant des années, il avait acheté des produits chimiques en ligne. les mélangeant dans son antre souterrain et les saupoudrant sur la nourriture de ses collègues. Un alchimiste de l'agonie testant son art. Les céréales de Julien avaient été saturées de mercure, un poison lent transformant son corps en mausolée. Les sandwiches d'Étienne portèrent du plomb, les repas d'Henri un cocktail de cadmium et de mort. Marcel ne dit rien quand ils l'emmenèrent, son haussement d'épaule un dernier défi. En mars 2019, il fut condamné à perpétuité, bête en cage mais sans remords. Julien mourut dix mois plus tard. Trois ans prisonniers dans son propre crâne, Étienne et Henri subsistent, leur corps marqué par le baiser persistant du poison. Mais l'usine tient toujours debout, ses murs murmurant d'une chose plus ancienne qui a éveillé la faim de Marcel. Certains disent dès que la poudre n'était pas que chimique qu'elle portait le goût du vide, une faim venue d'ailleurs qui se nourrit de chair et d'âme. Et dans la salle de pause tard la nuit, le frigo ronronne une chanson gutturale, attendant le prochain à s'asseoir et manger.

Chapters

  • Introduction à la scierie de Rouen et à Julien

    00:08

  • Les premiers symptômes de Julien

    01:56

  • Visite chez le neurologue et diagnostic mystérieux

    03:56

  • Découverte de l'empoisonnement au mercure

    05:59

  • Révélations sur Marcel et son sombre secret

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Êtes-vous prêt à plonger dans l'abîme des ténèbres où la malveillance humaine se mêle à des horreurs inimaginables ? Dans cet épisode captivant de Dans l'ombre des légendes | Podcast Horreur Creepypasta Chandleyr, Charlie Bird Parker nous entraîne dans une histoire terrifiante qui se déroule au cœur d'une scierie de Rouen, en Normandie. Suivez Julien, un jeune étudiant en ingénierie dont l'existence bascule lorsque des symptômes mystérieux commencent à le ronger de l'intérieur. Que se cache-t-il derrière cette maladie inexpliquée qui le consume ?


Alors qu'il lutte contre un empoisonnement insidieux au mercure, orchestré par son collègue malveillant, Marcel, la scierie se transforme en un véritable enfer chimique. Ce récit explore des thèmes poignants tels que la souffrance, la négligence médicale et les dangers invisibles qui nous entourent. Les ouvriers de l'usine sont frappés par une série de maladies mystérieuses, et la police se lance dans une enquête troublante pour découvrir la vérité. Chaque révélation est plus choquante que la précédente, culminant dans une conclusion qui vous laissera sans voix.


Dans cet épisode, vous découvrirez comment Dans l'ombre des légendes dévoile des histoires vraies effrayantes en podcast, abordant les légendes urbaines françaises audio et les récits de meurtres mystérieux en français. Avec une atmosphère oppressante et un ton sombre, cet épisode rappelle les pires cauchemars et nous pousse à réfléchir sur la fragilité de la vie. Les récits creepypasta et les enquêtes criminelles podcast français se mêlent ici pour créer une expérience immersive inoubliable.


Ne manquez pas cette occasion de découvrir un nouveau podcast horreur France qui vous tiendra en haleine. Chaque minute passée à écouter cet épisode vous plongera davantage dans les mystères non résolus de notre société, tout en vous confrontant aux horreurs qui se cachent derrière les murs de l'usine. Que vous soyez un amateur de récits d'horreur audio français ou un passionné de podcast suspense et horreur France, cet épisode de Dans l'ombre des légendes est fait pour vous.


Préparez-vous à être captivé par cette histoire palpitante, où chaque mot résonne comme un écho des souffrances humaines. Écoutez dès maintenant Dans l'ombre des légendes | Podcast Horreur Creepypasta Chandleyr et laissez-vous emporter par les frissons de l'horreur et les mystères qui hantent notre réalité.


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Transcription

  • Speaker #0

    au coeur sombre de la normandie en france là où le vent charrie une odeur de rouille et de ruines depuis les usines d'élabré un jeune homme nommé julien laurent titubait dans une vie sur le point de se déchirer en lambeaux innommables c'était le juillet et l'air pesait lourd sur l'étendue industrielle de Rouen, saturée d'une promesse de pourriture. Julien, un étudiant en ingénierie de 23 ans aux yeux trop brillants pour le monde taché de crasse qu'il habitait, se tenait dans la salle de pose de la scierie des Crêpes, où il travaillait comme mécanicien. pendant ses congés d'été. Les néons bourdonnaient comme des mouches mourantes, projetant une lueur maladive sur le linoleum ébréché, et les deux hommes assis à la table, mâchant leurs sandwiches en silence. Ils étaient plus âgés, Henri, un homme sec dans la cinquantaine au visage taillé par des années de rancune, et Marcel, une silhouette massive dont les yeux semblaient se vous transpercer pour contempler un abîme secret. Julien, toujours l'étranger, versa ses céréales dans un bol ébréché, le bruit des flocons résonnant comme une petite rébellion contre le silence. silence oppressant. Il prit son carton de lait sans lactose dans le frigo commun, une nécessité pour son estomac fragile, et s'assit, esquissant un sourire qui resta sans réponse. L'air était vicié ici, chargé d'une malveillance muette qui collait au mur comme une moisissure humide. « Dure journée, hein ? » tenta Julien, sa voix brisant le silence comme un os qui craque. Marcel leva les yeux, son regard froid et reptilien, et haussa les épaules avant de replonger dans son repas. Henri, lui, s'interrompit en pleine bouchée, une grimace tordant ses traits burinés. « Pas bonne, » marmonna-t-il d'une voix rauque. « La tête cogne. L'estomac est en vrac. J'ai l'impression de pourrir de l'intérieur. » Julien Ausha la tête, mal à l'aise et incertain, et enfourna ses céréales pour noyer son malaise. Les deux hommes reprirent en leur silence, et bientôt il s'échappa de la salle de pause, le poids de leur regard pesant sur sa colonne vertébrale. Mais quelques minutes plus tard, alors qu'il se penchait sur une machine rouillée sur le sol de l'usine, une douleur lui déchira l'abdomen. Aiguë, brûlante, vivante, il se plia en deux, haletant. Sa clé tombant de sa main pour heurter le béton dans un clangue métallique. Une nausée monta comme une marée. Et il agrippa son ventre, l'esprit en ébullition. Intolérance au lactose, bien sûr, mais il avait utilisé son lait, n'est-ce pas ? Il tituba jusqu'à la salle de pause, ouvrit le frigo à la volée et le vit. Son carton, seul, intact de toute autre main. La prise de conscience le frappa comme un point. Pas de lactose, pas d'erreur. Quelque chose d'autre le rongeait, quelque chose de tordu. Il regagna à peine sa voiture. Le monde vacillant dans une danse malade, tandis qu'il filait chez lui, dans son petit appartement à l'ombre des flèches gothiques de Rouen. Là, il vomit dans les toilettes, une bile noire et huileuse qui semblait s'agiter en touchant l'eau. Quand il se releva, s'essuyant la bouche, une nouvelle horreur s'insinua. Ses doigts picotaient, puis s'engourdissaient, comme si la vie s'en écoulait. Il fléchit les mains, désespéré, mais la sensation s'étendait, une mort froide et rampante grimpant le long de ses bras. « Maman ! » murmura-t-il dans le téléphone, sa voix tremblante comme celle d'un enfant. « J'ai besoin de toi. » Deux semaines plus tard, Julien était prisonnier de son propre corps, une coquille se consumant dans un lit qui puait la sueur et le désespoir. Sur les conseils de sa mère, il avait vu un médecin qui avait balayé ses plaintes. Surmenage, rien de plus, lui prescrivant des vitamines qui ne faisaient que se moquer de sa souffrance. Les picotements avaient envahi ses avant-bras. Et la nausée était une compagne constante, une sensue aspirant sa volonté. Ce matin-là, il avait décidé de lutter, se doucher, manger, reprendre un semblant de normalité. Mais en titubant vers la salle de bain, ses jambes le trahir, se dérobant comme des brindilles cassantes, il s'accrocha au chambranle, puis s'effondra, rampant jusqu'à son lit, les ongles griffant le plancher, bête blessée se traînant pour mourir. Sa mère le trouva là, pâle et tremblant, et le conduisit à l'hôpital. Une neurologue aux yeux perçants et à l'esprit acéré examina son corps en déroute. Elle l'interrogea sur les drogues, les blessures à la tête, les malédictions familiales, rien ne collait. Elle piqua ses bras et il ne sentit rien d'autre que le vide bourdonnant qui avait englouti ses nerfs. Ses réflexes étaient lents, ses yeux vitreux sous sa lampe stylo. « Inflammation, dit-elle, la voix tendue par l'effroi. Cerveau, moelle épinière, quelque chose vous attaque de l'intérieur. » Agneau ligotait sur l'autel d'un massacre inconnu. Six jours plus tard, la neurologue revint dans sa chambre et se figea. Julien Gisela, parodie grotesque de lui-même, flasque gonflée, son visage un masque boursouflé, ses yeux fixant un néant que personne d'autre ne pouvait voir. Les scanners avaient confirmé l'inflammation, un incendie ravageant son cerveau et son tronc cérébral. Mais aucune infection ne l'expliquait. Auto-immun, supposa-t-elle, mais les médicaments qu'elle lui injecta « Était aussi inutile que des prières à un dieu sourd. Comment vous sentez-vous ? » demanda-t-elle en touchant son épaule. bascula, ses yeux roulant en arrière pour révéler des blancs injectés de sang. Et il croassa. Bouche, métal. Elle cligna des yeux. Goût, oh ! un goût métallique, un indice, un fil dans la tapisserie cauchemardesque, mais qui ne menait nulle part où elle pouvait le suivre. Elle lui tendit un gobelet et il tenta de boire. Mais l'eau coula sur son menton, tâchant sa blouse d'un filet scintillant qui semblait pulser faiblement dans la pénombre. Elle le transféra dans un hôpital universitaire, espérant que des spécialistes pourront le faire. perceraient le voile qu'elles ne pouvaient traverser. Mais eux aussi furent déconcertés, alors que ses reins et son foie commencèrent à lâcher, organes pourrissant dans une enveloppe encore vivante. En septembre, Julien n'était plus qu'un fantôme dans le commun, son corps un champ de bataille, où quelque chose d'ancien et vorace se repaissait. La plupart des médecins abandonnèrent, le soignant comme des jardiniers élagants un arbre mourant. Mais l'un d'eux, un homme émacié au regard fiévreux, refusa de capituler. Il fouilla les revues médicales. traquant les murmures de l'obscur, jusqu'à ce qu'il le trouve, un cas vieux de décennie, des symptômes reflétant ceux de Julien dans un défilé grotesque, crampes, engourdissements, gonflements cérébrales, goûts métalliques, défaillance des organes, une maladie si rare qu'elle n'avait frappé que trois fois en un siècle, un test sanguin le confirma, et le triomphe du médecin se mua en horreur, Julien n'était pas malade, il était empoisonné, du mercure à des doses défiant la raison, coulait dans ses veines, Ce n'était pas un accident, c'était un meurtre, lent et délibéré, et cela signifiait que d'autres étaient en danger. La police déferla, déchirant la vie de Julien comme des vautours sur une charogne. Ils interrogèrent sa famille, ses amis, les drones de l'usine qu'ils connaissaient à peine. Des équipes médico-légales balayèrent son appartement, la scierie, même le frigo de la salle de pause, cherchant la source. Rien. Julien persistait dans son état végétatif, cri muet, emprisonné dans la chair, tandis que l'enquête s'essoufflait. Deux ans passèrent, et la piste refroidit, jusqu'à ce que l'usine se remette à murmurer. Henri, l'homme bourru de ce déjeuner fatidique, s'effondra dans une insuffisance rénale, ses entrailles se liquéfiant sous les machines de dialyse. Un autre ouvrier, Étienne, vingt-six ans et audacieux, se plia en deux sous des douleurs stomacales si féroces qu'elles le mirent à genoux. Personne ne relia les points, la maladie était la malédiction de l'usine, un fléau banal. Jusqu'à ce qu'Étienne s'asseye dans la salle de pause un jour de mai 2018, dépliant son sandwich. Une poudre fine et argentée saupoudrait le pain, scintillante comme les yeux de quelque chose tapis dans l'ombre. Il se figea, le cœur battant, et appela la police. La piste mena à une maison à la périphérie de Rouen, une relique affaissée de pierres et de secrets. À l'étage, tout était ordinaire. Rideau fané, fauteuil grinçant, mais le sous-sol était une plongée dans la folie. Une table métallique luisait sous des ampoules vacillantes, jonchées de béchés et de balances, tandis que des étagères s'élevaient, chargées de bocaux, confitures, peintures, mayonnaise, remplies de liquides scintillants comme la mort liquide. Mercure, plomb, cadmium, un bouillon de sorcière plus létal que le gaz moutarde, concocté par un esprit dérangé. L'architecte de cet enfer était Marcel, le géant silencieux du dernier repas de Julien. Pendant des années, il avait acheté des produits chimiques en ligne. les mélangeant dans son antre souterrain et les saupoudrant sur la nourriture de ses collègues. Un alchimiste de l'agonie testant son art. Les céréales de Julien avaient été saturées de mercure, un poison lent transformant son corps en mausolée. Les sandwiches d'Étienne portèrent du plomb, les repas d'Henri un cocktail de cadmium et de mort. Marcel ne dit rien quand ils l'emmenèrent, son haussement d'épaule un dernier défi. En mars 2019, il fut condamné à perpétuité, bête en cage mais sans remords. Julien mourut dix mois plus tard. Trois ans prisonniers dans son propre crâne, Étienne et Henri subsistent, leur corps marqué par le baiser persistant du poison. Mais l'usine tient toujours debout, ses murs murmurant d'une chose plus ancienne qui a éveillé la faim de Marcel. Certains disent dès que la poudre n'était pas que chimique qu'elle portait le goût du vide, une faim venue d'ailleurs qui se nourrit de chair et d'âme. Et dans la salle de pause tard la nuit, le frigo ronronne une chanson gutturale, attendant le prochain à s'asseoir et manger.

Chapters

  • Introduction à la scierie de Rouen et à Julien

    00:08

  • Les premiers symptômes de Julien

    01:56

  • Visite chez le neurologue et diagnostic mystérieux

    03:56

  • Découverte de l'empoisonnement au mercure

    05:59

  • Révélations sur Marcel et son sombre secret

    08:12

Description

Êtes-vous prêt à plonger dans l'abîme des ténèbres où la malveillance humaine se mêle à des horreurs inimaginables ? Dans cet épisode captivant de Dans l'ombre des légendes | Podcast Horreur Creepypasta Chandleyr, Charlie Bird Parker nous entraîne dans une histoire terrifiante qui se déroule au cœur d'une scierie de Rouen, en Normandie. Suivez Julien, un jeune étudiant en ingénierie dont l'existence bascule lorsque des symptômes mystérieux commencent à le ronger de l'intérieur. Que se cache-t-il derrière cette maladie inexpliquée qui le consume ?


Alors qu'il lutte contre un empoisonnement insidieux au mercure, orchestré par son collègue malveillant, Marcel, la scierie se transforme en un véritable enfer chimique. Ce récit explore des thèmes poignants tels que la souffrance, la négligence médicale et les dangers invisibles qui nous entourent. Les ouvriers de l'usine sont frappés par une série de maladies mystérieuses, et la police se lance dans une enquête troublante pour découvrir la vérité. Chaque révélation est plus choquante que la précédente, culminant dans une conclusion qui vous laissera sans voix.


Dans cet épisode, vous découvrirez comment Dans l'ombre des légendes dévoile des histoires vraies effrayantes en podcast, abordant les légendes urbaines françaises audio et les récits de meurtres mystérieux en français. Avec une atmosphère oppressante et un ton sombre, cet épisode rappelle les pires cauchemars et nous pousse à réfléchir sur la fragilité de la vie. Les récits creepypasta et les enquêtes criminelles podcast français se mêlent ici pour créer une expérience immersive inoubliable.


Ne manquez pas cette occasion de découvrir un nouveau podcast horreur France qui vous tiendra en haleine. Chaque minute passée à écouter cet épisode vous plongera davantage dans les mystères non résolus de notre société, tout en vous confrontant aux horreurs qui se cachent derrière les murs de l'usine. Que vous soyez un amateur de récits d'horreur audio français ou un passionné de podcast suspense et horreur France, cet épisode de Dans l'ombre des légendes est fait pour vous.


Préparez-vous à être captivé par cette histoire palpitante, où chaque mot résonne comme un écho des souffrances humaines. Écoutez dès maintenant Dans l'ombre des légendes | Podcast Horreur Creepypasta Chandleyr et laissez-vous emporter par les frissons de l'horreur et les mystères qui hantent notre réalité.


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  • Speaker #0

    au coeur sombre de la normandie en france là où le vent charrie une odeur de rouille et de ruines depuis les usines d'élabré un jeune homme nommé julien laurent titubait dans une vie sur le point de se déchirer en lambeaux innommables c'était le juillet et l'air pesait lourd sur l'étendue industrielle de Rouen, saturée d'une promesse de pourriture. Julien, un étudiant en ingénierie de 23 ans aux yeux trop brillants pour le monde taché de crasse qu'il habitait, se tenait dans la salle de pose de la scierie des Crêpes, où il travaillait comme mécanicien. pendant ses congés d'été. Les néons bourdonnaient comme des mouches mourantes, projetant une lueur maladive sur le linoleum ébréché, et les deux hommes assis à la table, mâchant leurs sandwiches en silence. Ils étaient plus âgés, Henri, un homme sec dans la cinquantaine au visage taillé par des années de rancune, et Marcel, une silhouette massive dont les yeux semblaient se vous transpercer pour contempler un abîme secret. Julien, toujours l'étranger, versa ses céréales dans un bol ébréché, le bruit des flocons résonnant comme une petite rébellion contre le silence. silence oppressant. Il prit son carton de lait sans lactose dans le frigo commun, une nécessité pour son estomac fragile, et s'assit, esquissant un sourire qui resta sans réponse. L'air était vicié ici, chargé d'une malveillance muette qui collait au mur comme une moisissure humide. « Dure journée, hein ? » tenta Julien, sa voix brisant le silence comme un os qui craque. Marcel leva les yeux, son regard froid et reptilien, et haussa les épaules avant de replonger dans son repas. Henri, lui, s'interrompit en pleine bouchée, une grimace tordant ses traits burinés. « Pas bonne, » marmonna-t-il d'une voix rauque. « La tête cogne. L'estomac est en vrac. J'ai l'impression de pourrir de l'intérieur. » Julien Ausha la tête, mal à l'aise et incertain, et enfourna ses céréales pour noyer son malaise. Les deux hommes reprirent en leur silence, et bientôt il s'échappa de la salle de pause, le poids de leur regard pesant sur sa colonne vertébrale. Mais quelques minutes plus tard, alors qu'il se penchait sur une machine rouillée sur le sol de l'usine, une douleur lui déchira l'abdomen. Aiguë, brûlante, vivante, il se plia en deux, haletant. Sa clé tombant de sa main pour heurter le béton dans un clangue métallique. Une nausée monta comme une marée. Et il agrippa son ventre, l'esprit en ébullition. Intolérance au lactose, bien sûr, mais il avait utilisé son lait, n'est-ce pas ? Il tituba jusqu'à la salle de pause, ouvrit le frigo à la volée et le vit. Son carton, seul, intact de toute autre main. La prise de conscience le frappa comme un point. Pas de lactose, pas d'erreur. Quelque chose d'autre le rongeait, quelque chose de tordu. Il regagna à peine sa voiture. Le monde vacillant dans une danse malade, tandis qu'il filait chez lui, dans son petit appartement à l'ombre des flèches gothiques de Rouen. Là, il vomit dans les toilettes, une bile noire et huileuse qui semblait s'agiter en touchant l'eau. Quand il se releva, s'essuyant la bouche, une nouvelle horreur s'insinua. Ses doigts picotaient, puis s'engourdissaient, comme si la vie s'en écoulait. Il fléchit les mains, désespéré, mais la sensation s'étendait, une mort froide et rampante grimpant le long de ses bras. « Maman ! » murmura-t-il dans le téléphone, sa voix tremblante comme celle d'un enfant. « J'ai besoin de toi. » Deux semaines plus tard, Julien était prisonnier de son propre corps, une coquille se consumant dans un lit qui puait la sueur et le désespoir. Sur les conseils de sa mère, il avait vu un médecin qui avait balayé ses plaintes. Surmenage, rien de plus, lui prescrivant des vitamines qui ne faisaient que se moquer de sa souffrance. Les picotements avaient envahi ses avant-bras. Et la nausée était une compagne constante, une sensue aspirant sa volonté. Ce matin-là, il avait décidé de lutter, se doucher, manger, reprendre un semblant de normalité. Mais en titubant vers la salle de bain, ses jambes le trahir, se dérobant comme des brindilles cassantes, il s'accrocha au chambranle, puis s'effondra, rampant jusqu'à son lit, les ongles griffant le plancher, bête blessée se traînant pour mourir. Sa mère le trouva là, pâle et tremblant, et le conduisit à l'hôpital. Une neurologue aux yeux perçants et à l'esprit acéré examina son corps en déroute. Elle l'interrogea sur les drogues, les blessures à la tête, les malédictions familiales, rien ne collait. Elle piqua ses bras et il ne sentit rien d'autre que le vide bourdonnant qui avait englouti ses nerfs. Ses réflexes étaient lents, ses yeux vitreux sous sa lampe stylo. « Inflammation, dit-elle, la voix tendue par l'effroi. Cerveau, moelle épinière, quelque chose vous attaque de l'intérieur. » Agneau ligotait sur l'autel d'un massacre inconnu. Six jours plus tard, la neurologue revint dans sa chambre et se figea. Julien Gisela, parodie grotesque de lui-même, flasque gonflée, son visage un masque boursouflé, ses yeux fixant un néant que personne d'autre ne pouvait voir. Les scanners avaient confirmé l'inflammation, un incendie ravageant son cerveau et son tronc cérébral. Mais aucune infection ne l'expliquait. Auto-immun, supposa-t-elle, mais les médicaments qu'elle lui injecta « Était aussi inutile que des prières à un dieu sourd. Comment vous sentez-vous ? » demanda-t-elle en touchant son épaule. bascula, ses yeux roulant en arrière pour révéler des blancs injectés de sang. Et il croassa. Bouche, métal. Elle cligna des yeux. Goût, oh ! un goût métallique, un indice, un fil dans la tapisserie cauchemardesque, mais qui ne menait nulle part où elle pouvait le suivre. Elle lui tendit un gobelet et il tenta de boire. Mais l'eau coula sur son menton, tâchant sa blouse d'un filet scintillant qui semblait pulser faiblement dans la pénombre. Elle le transféra dans un hôpital universitaire, espérant que des spécialistes pourront le faire. perceraient le voile qu'elles ne pouvaient traverser. Mais eux aussi furent déconcertés, alors que ses reins et son foie commencèrent à lâcher, organes pourrissant dans une enveloppe encore vivante. En septembre, Julien n'était plus qu'un fantôme dans le commun, son corps un champ de bataille, où quelque chose d'ancien et vorace se repaissait. La plupart des médecins abandonnèrent, le soignant comme des jardiniers élagants un arbre mourant. Mais l'un d'eux, un homme émacié au regard fiévreux, refusa de capituler. Il fouilla les revues médicales. traquant les murmures de l'obscur, jusqu'à ce qu'il le trouve, un cas vieux de décennie, des symptômes reflétant ceux de Julien dans un défilé grotesque, crampes, engourdissements, gonflements cérébrales, goûts métalliques, défaillance des organes, une maladie si rare qu'elle n'avait frappé que trois fois en un siècle, un test sanguin le confirma, et le triomphe du médecin se mua en horreur, Julien n'était pas malade, il était empoisonné, du mercure à des doses défiant la raison, coulait dans ses veines, Ce n'était pas un accident, c'était un meurtre, lent et délibéré, et cela signifiait que d'autres étaient en danger. La police déferla, déchirant la vie de Julien comme des vautours sur une charogne. Ils interrogèrent sa famille, ses amis, les drones de l'usine qu'ils connaissaient à peine. Des équipes médico-légales balayèrent son appartement, la scierie, même le frigo de la salle de pause, cherchant la source. Rien. Julien persistait dans son état végétatif, cri muet, emprisonné dans la chair, tandis que l'enquête s'essoufflait. Deux ans passèrent, et la piste refroidit, jusqu'à ce que l'usine se remette à murmurer. Henri, l'homme bourru de ce déjeuner fatidique, s'effondra dans une insuffisance rénale, ses entrailles se liquéfiant sous les machines de dialyse. Un autre ouvrier, Étienne, vingt-six ans et audacieux, se plia en deux sous des douleurs stomacales si féroces qu'elles le mirent à genoux. Personne ne relia les points, la maladie était la malédiction de l'usine, un fléau banal. Jusqu'à ce qu'Étienne s'asseye dans la salle de pause un jour de mai 2018, dépliant son sandwich. Une poudre fine et argentée saupoudrait le pain, scintillante comme les yeux de quelque chose tapis dans l'ombre. Il se figea, le cœur battant, et appela la police. La piste mena à une maison à la périphérie de Rouen, une relique affaissée de pierres et de secrets. À l'étage, tout était ordinaire. Rideau fané, fauteuil grinçant, mais le sous-sol était une plongée dans la folie. Une table métallique luisait sous des ampoules vacillantes, jonchées de béchés et de balances, tandis que des étagères s'élevaient, chargées de bocaux, confitures, peintures, mayonnaise, remplies de liquides scintillants comme la mort liquide. Mercure, plomb, cadmium, un bouillon de sorcière plus létal que le gaz moutarde, concocté par un esprit dérangé. L'architecte de cet enfer était Marcel, le géant silencieux du dernier repas de Julien. Pendant des années, il avait acheté des produits chimiques en ligne. les mélangeant dans son antre souterrain et les saupoudrant sur la nourriture de ses collègues. Un alchimiste de l'agonie testant son art. Les céréales de Julien avaient été saturées de mercure, un poison lent transformant son corps en mausolée. Les sandwiches d'Étienne portèrent du plomb, les repas d'Henri un cocktail de cadmium et de mort. Marcel ne dit rien quand ils l'emmenèrent, son haussement d'épaule un dernier défi. En mars 2019, il fut condamné à perpétuité, bête en cage mais sans remords. Julien mourut dix mois plus tard. Trois ans prisonniers dans son propre crâne, Étienne et Henri subsistent, leur corps marqué par le baiser persistant du poison. Mais l'usine tient toujours debout, ses murs murmurant d'une chose plus ancienne qui a éveillé la faim de Marcel. Certains disent dès que la poudre n'était pas que chimique qu'elle portait le goût du vide, une faim venue d'ailleurs qui se nourrit de chair et d'âme. Et dans la salle de pause tard la nuit, le frigo ronronne une chanson gutturale, attendant le prochain à s'asseoir et manger.

Chapters

  • Introduction à la scierie de Rouen et à Julien

    00:08

  • Les premiers symptômes de Julien

    01:56

  • Visite chez le neurologue et diagnostic mystérieux

    03:56

  • Découverte de l'empoisonnement au mercure

    05:59

  • Révélations sur Marcel et son sombre secret

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