Speaker #0Hello, hello, Anita Iachelini du podcast de la chenille au papillon, un chemin d'évolution, le podcast qui te sort de ton cocon. Reste à l'écoute, nous allons bientôt commencer et je vais vous présenter le nouvel épisode de ce podcast. Hello, hello, ça fait un bail, ça fait un moment que je ne suis pas revenue présenter un nouveau podcast. Pourquoi ? Eh bien tout simplement parce que l'inspiration était là, mais elle se traduisait davantage dans l'écriture, par l'écriture, ou à travers différents ateliers, différentes manifestations, mais surtout par l'écriture. Alors cela ne veut pas dire que je n'ai pas pensé à toi qui m'écoute, non pas du tout. Mais il n'était pas question pour moi... de te proposer quelque chose de façon forcée, de façon non spontanée. Tu sais, un petit peu comme quand tu te sens obligé de rendre la pareille à une personne qui va te donner un coup de main, par exemple. Tu vois, ce genre de choses. Je n'avais absolument pas envie de passer par là, en tous les cas, pas à travers ce podcast. Alors je suis restée dans mon silence, mais ça ne veut pas dire que je n'ai rien fait. En tous les cas, en ce début d'année 2023, eh bien, j'ai envie de te souhaiter la continuation de toutes les belles choses que tu as déjà mises en place, et de la découverte d'autres expériences qui enrichiront encore ton parcours. Voilà, ça ce sont mes souhaits pour 2023. Et bien puisqu'on est en ce début d'année encore, et qu'on en est, tu sais, à cette période où, en plus de nos voeux, on te demande régulièrement : "et toi, quelle bonne résolution ? C'est quoi ta bonne résolution ? Qu'est-ce que tu as décidé de mettre en place ou d'arrêter ? " Alors ça c'est la tradition. Elle veut que nous prenions de bonnes résolutions. Genre, et parmi tant d'autres, "j'arrête de fumer, cette année je me mets sérieusement au sport, cette année j'arrête de manger des saloperies et je me mets au régime. En 2023, je prends davantage de temps pour moi. C'est décidé, j'arrête les heures sup. J'arrête de m'acheter des fringues dont je n'ai pas besoin. Cette année, je me couche de bonne heure, je me trouve une relation sérieuse, je me mets à la méditation, j'économise chaque mois et je n'y touche pas le mois suivant". Etc. etc. Des blablas, en veux-tu, en voilà. Des bonnes résolutions qui tiendront quoi ? Une semaine ? Un mois ? Quelques heures ? Tu l'auras compris, ces bonnes résolutions... Elles sont là chaque année et en fait elles nous empoisonnent la vie plutôt qu'autre chose. Du genre, quelle bonne résolution je vais pouvoir prendre et annoncer à tout le monde sans que je me sente péteuse ou embarrassée ou minable si je ne m'y tiens pas. Tu vois le genre de truc ? C'est ridicule, on l'a compris, la vie c'est vraiment autre chose. En tous les cas, ça te parle tout ça ? Je te donnerai à la fin de ce podcast l'origine de ces bonnes résolutions, d'où ça nous vient. Et tu vas voir, ça ne date pas d'hier. Et c'est peut-être une des raisons d'ailleurs pour laquelle elles ont la vie dure, elles ont, comment dire, elles perdurent ces bonnes résolutions, en tous les cas cette tradition de bonnes résolutions. Alors, la liste que j'ai citée, cette histoire d'arrêter de fumer, de se mettre au régime, de se mettre au sport, de se coucher de bonne heure, d'arrêter les heures sup, de prendre davantage de temps pour moi, de méditer, etc. Il y a des bonnes choses là-dedans. Ce n'est pas des trucs à jeter, bien évidemment, ce sont de bonnes idées. Mais... on ne les tient jamais, en tous les cas, elles ne durent pas longtemps, comme je te le disais. On les commence, on les démarre, nous pouvons en démarrer certaines. Par exemple, le sport. Tu achètes une nouvelle paire de baskets, ou peut-être que ton petit frère, qui lui est un méga sportif, t'a offert une super paire de baskets, et tu te dis "Ben voilà, j'ai plus d'excuses maintenant, je ne peux plus dire que je n'ai pas l'équipement". Attends, allez, Sophie, il y a très peu de choses pour aller courir. Tu t'y mets et puis tu te dis "ce matin ça caille, non je ne sors pas il fait trop froid" et puis la semaine d'après ou le lendemain "non non j'ai autre chose à faire le sport c'est bien mais j'ai une présentation à terminer" ou "je vais voir les gamins qui me réclament car il faut que je regarde leur carnet de correspondance", il faut que je m'occupe de ci, de ça enfin bref tu auras toujours une bonne raison de ne pas y aller si c'est pas quelque chose qui te tient à cœur, qui te tient aux tripes, quelque chose qui te fait vibrer, une bonne résolution pour être une bonne résolution. Je vais dire une "bonne révolution", ça ne tient pas la route, pas longtemps en tout cas. Personnellement, de toutes les bonnes résolutions que j'ai citées tout à l'heure, de nombreuses, j'en ai pris beaucoup parmi celles qui ont été les miennes. Arrêter de fumer, me mettre au sport, me mettre au régime, arrêter les heures sup, prendre davantage de temps pour moi, arrêter d'acheter des fringues dont je n'ai pas besoin, me coucher de bonne heure, me retrouver une relation sérieuse, ce n'était pas une bonne résolution, ce n'était vraiment pas dans mes bonnes résolutions. Économiser chaque mois et ne pas y toucher, etc. ça, voir davantage mes potes à l'époque où j'avais un boulot, un emploi qui vraiment m'occupait beaucoup, beaucoup, beaucoup, qui me prenait beaucoup de mon temps, ponctuellement parlant je me disais "non, il faut que j'arrête là, je vois plus mes potes, ça va pas", tu vois donc toutes ces bonnes résolutions, et bien je les ai prises, et je peux te dire un truc que ce n'est pas au mois de janvier, ce n'est pas à partir du 1er ou du 2 janvier que je les ai matérialisées non pas du tout. Pas du tout. J'ai réussi à les matérialiser dans la durée et la plupart de ces projets, je les ai matérialisés lorsque mon corps m'a indiqué clairement, parfois douloureusement et je peux te dire que ça peut être violent et que ça peut faire mal, qu'il était temps que je m'y mette. Arrêtez de fumer par exemple. J'ai essayé plusieurs fois, et puis je reprenais le tabac. Alors, soit parce que quelqu'un me tendait une cigarette, et que c'était un moment convivial, et je savais très bien qu'en reprenant une cigarette, lorsque j'écrasais le mégot dans un cendrier, je savais très bien que j'étais reparti pour un tour. Je le savais. Ce n'était pas la première fois. J'ai dû tenter d'arrêter deux ou trois fois. Et tu sais la fois où ça a fonctionné ? Je prends ça pour le tabac parce que je trouve que c'est un super exemple, mais tu ne vas forcément pas pouvoir le suivre. En tous les cas, ce n'est pas une méthode. Là, je te dis juste comment j'ai arrêté de fumer. Eh bien... je suis rentrée à la maternité j'avais acheté précédemment deux paquets de cigarettes que j'avais mis en haut d'une bibliothèque parce que mon compagnon ne fumait pas et j'avais pris mes précautions en me disant si jamais je ne peux pas sortir pour une raison ou pour une autre je prends deux paquets de cigarettes j'aurai ça d'avance et puis je ne fumais pas beaucoup mais mon gynécologue m'avait recommandé de continuer de fumer des choses hyper légères parce que lorsque j'avais arrêté Il m'avait trouvé beaucoup trop speed, beaucoup trop… pas énervé, c'était pas ça, mais speed, voilà, c'était le terme qu'il avait utilisé. Et il m'avait dit que de toute façon, mon corps avait besoin de… plus de temps pour s'assainir, se nettoyer, et que de toute façon le bébé se développait, et qu'il valait mieux ça, légère forme de tabagisme, qu'une maman hyper speed. Je suis donc entrée à la maternité, mes paquets de cigarettes bien planqués en haut de la bibliothèque de mon séjour, Et ma petite fille, Mégane, est arrivée dans ce monde. Quand je suis rentrée à la maison, je n'ai absolument pas cherché mes cigarettes. Pendant que j'étais à la maternité avec ce nouveau bébé. ce magnifique bébé, je n'ai pas touché une seule fois une cigarette. Et pourtant, à côté de moi, dans la chambre, il y avait une autre jeune maman qui descendait régulièrement fumer des cigarettes. Et moi je n'ai jamais pu. Jamais, jamais je n'ai pu fumer une cigarette dans cette atmosphère où tout était blanc autour de moi, tu vois, les murs étaient blancs, tout était propre, et puis surtout, surtout... tous ces nouveaux bébés, toutes ces petites dames qui venaient d'arriver sur cette terre, sur cette planète, et qui n'avaient vraiment pas besoin de ces grandes choses. Donc je me suis rentrée à la maison. je n'ai pas touché de cigarette, je n'en ai pas eu envie, je n'en ai pas eu besoin. Et ce n'est que deux ans plus tard, à peu près, alors que je faisais le grand nettoyage de printemps, que j'ai trouvé... Non, ce n'est pas deux ans plus tard, je dis des bêtises. C'est un petit peu, oui, à peu près une année, on s'en fout. J'ai retrouvé ces cigarettes en haut de la bibliothèque. Et ça fait aujourd'hui... 28 ans, bientôt 29 ans, que je n'ai pas touché une cigarette et que je n'en ai pas eu envie. Donc évidemment, tu l'as compris, ce n'est pas une méthode, ce n'est absolument pas une méthode ce que je te raconte là. Mais c'est juste te dire à quel point le corps finalement, le corps connaît ses propres besoins. Jusqu'à présent, je n'arrivais pas à arrêter complètement de fumer. Je fumais une ou deux cigarettes par jour, ce n'était pas énorme, mais je n'arrivais pas complètement à arrêter. Et à partir du moment... où cet enfant est né, eh bien ça a cessé. Et je n'ai ressenti aucun manque, aucun énervement, rien de tout cela. Rien de tout cela. C'est bien que, tu vois, le corps a vraiment son mot à dire dans tout ça. Je disais donc qu'aujourd'hui, quand mon corps me parle, eh bien je l'écoute. Alors je ne fais pas que l'entendre. je l'écoute note la nuance on peut entendre j'entends de cette oreille tu vois dans l'expression je ne l'entends pas de cette oreille l'écoute c'est différent il y a une part de volonté dans l'écoute on parle souvent de nos jours d'écoute active j'écoute mon corps Et puis, je lui donne la meilleure réponse que je peux lui donner, là, tout de suite, au moment où je l'écoute. Elle évoluera cette réponse. L'essentiel, c'est que je lui donne la meilleure réponse au moment où je la lui fournis. Alors, elle s'améliorera, elle se transformera, comme tout ce qui vit ici. L'important, c'est d'avancer, pas à pas. un pas à la fois. Ce n'est pas une course, c'est un parcours. Alors on y va chacun, à notre rythme. Tu sais, dans cette histoire-là, mon mental a encore tendance à vouloir le faire taire, ce corps qui me parle. Et au passage, j'en profite, le corps ne ment pas. le corps ne me raconte pas d'histoire le corps ne cherche pas à me séduire, à m'amadouer à m'emmener là où il a envie de m'emmener pas d'une manière sournoise il a envie que je l'écoute lorsqu'il s'exprime et s'il me demande quelque chose s'il me demande de changer quelque chose ou d'aller vers quelque chose c'est pour mon bien c'est parce qu'il sait parce qu'il sait parce qu'avec l'âme et l'esprit il constitue l'équipe l'équipe de choc dans cette vie, dans cette incarnation la meilleure équipe qui soit mon mental il s'en mêle évidemment tu sais mon mental il a tendance encore à vouloir le faire taire ce corps qui s'exprime il pense non mais pour qui il se prend celui-là c'est moi qui suis aux manettes c'est moi qui commande c'est moi le boss ça c'est mon mental qui pense ça et puis avec mon mental son copain, son pote son allié son acolyte, l'ego qui s'en mêle lui aussi et qui va tenter cette fois-ci lui de l'entourlouper mon corps en lui disant non Tu n'as pas tort. Mais à quoi ça sert de changer ? À quoi ça sert de tout remettre en cause ? Ça risque de nous faire mal, on va aller en terrain inconnu, c'est dérangeant, c'est souffrant. Finalement, quand on y pense, on n'est pas si mal. Tu vois l'ego ? L'ego et le mental. Alors, qu'est-ce que je peux faire, moi ? Eh bien... je les rassure mon égo et mon mental je les rassure calmement, patiemment doucement j'accueille ce qu'ils me racontent j'écoute ce qu'ils me racontent mais je n'entends pas de cette oreille et en douceur toujours, toujours de la douceur encore et encore je leur demande de laisser faire de me laisser faire et juste d'observer ce qui se passe, et d'apprendre peut-être quelque chose de nouveau, quelque chose d'autre, de quelque chose qui est bon pour nous, pour toi, mental, pour toi, égo. Faire confiance au corps, faire confiance à ce que le corps dit et demande. Alors en douceur, la douceur tu sais, elle n'empêche pas la fermeté. Alors doucement et fermement. Lorsque leur bavardage improductif a fait long feu, je leur intime un stop indiscutable. Ben oui, il y a des moments où on peut être doux, mais on peut être ferme aussi. C'est indispensable si on veut avancer, parce que l'ego et le mental n'arrêtent pas leur verbiage. Et tu sais quoi ? Eh bien, ça marche. Si, je t'assure, ça marche. Un mot aussi petit que stop, quatre lettres, exerce une immense puissance lorsqu'il s'adresse à mon mental et à mon égo. Évidemment, ici, je parle de mon expérience. Donc, je parle à la première personne du singulier, parce que je ne sais pas ce que ça va donner pour toi. Est-ce que tu y mettras suffisamment de douceur et suffisamment de fermeté ? ou ça je n'en sais rien en tous les cas je peux te dire que c'est très puissant pour que mon mental et mon ego s'arrêtent et laissent le corps parler ça marche tu sais quand qu'il y a une autre condition il n'y a pas que la douceur et la fermeté ça marche lorsqu'il ne vient pas de mon mental ni de mon ego parce que ça peut te jouer des tours ce stop si ce stop vient lui de ton mental et de ton ego c'est une entourloupe c'est une blague allez du genre allez on va lui dire on va lui donner on va lui on va la baratiner on va lui dire qu'on est d'accord qu'on s'arrête blablabla mais s'ils n'ont si ça vient d'eux, ça ne marche pas ils s'arrêtent jamais ces deux là il faut que ça vienne d'ailleurs et alors, il vient d'où ce stop, à ton avis ? et bien je crois fermement qu'il vient de ma conscience et comme tout ce qui vient de ma conscience il n'y a plus d'effort de volonté à fournir ce n'est pas de la volonté dont il s'agit ici mais de vigilance de persévérance, d'amour de moi, et de patience, et puis d'intention aussi. Parce que tu le sais, l'énergie va là où mon intention se porte. De la patience, de la vivulence, de la persévérance, de l'amour de moi, de la parce que mental et égo ne lâchent pas l'affaire d'un claquement de langue, il ne faut pas leur en vouloir. Ils tiennent simplement à jouer leur rôle, le rôle qui est le leur. Alors, comment entendre ma conscience pour enfin l'écouter ? Je ne te cache pas, ce texte-là, je suis en train de le lire, ce texte-là, il a été capté dans un état de conscience modifié. Alors, je n'ai pas pris d'hallucinogène, je n'ai pas pris de substance extérieure, non, non, pas du tout, mais je me mets en méditation, je me mets en connexion, et j'écoute. Et ce texte-là, il vient de là. J'en étais où ? Ah oui. Comment entendre ma conscience pour enfin l'écouter ? Il existe plusieurs moyens. J'ai choisi, notamment, c'est ce que je te disais, celui de la méditation. plusieurs fois par jour être à l'écoute de moi de mon corps, de mes ressentis de ce que dit mon intuition demander à mon mental et mon ego de faire silence le temps de cette intériorisation écouter encore et encore tu sais dans une société où nous sommes submergés d'informations il suffit d'appuyer sur un bouton pour faire silence, pour mieux s'entendre et s'écouter. Vraiment. Tu crois que c'est aussi facile que ça ? Moi, je dirais oui, mais pas seulement. Tu sais, je parle évidemment des médias, les radios, la télévision, qui sont pourvoyeurs d'informations, et d'informations qu'on ne demande même pas. Tu vois, des fois, j'aimerais bien avoir des informations sur, je ne sais pas, moi... la reproduction de certaines espèces animales par exemple. Mais je n'ai jamais ces informations-là, il faut que j'aille les chercher. Et à la place, on met dans mes oreilles des infos... qui la plupart du temps sont quand même remplies d'angoisse, pourvoyeuses d'angoisse, de stress, de choses pas sympas, voire vraiment douloureuses. Alors, ce n'est pas suffisant d'appuyer sur le bouton bah non parce que nous sommes également entourés de personnes qui vont prendre leur lait. j'éteins mon téléviseur, j'éteins ma radio et je rencontre des gens ou même j'entends simplement des gens dans les transports en commun qui vont aborder des informations dont je veux me défaire tu as aussi des personnes qui vont te demander ton avis sur tel ou tel fait des verres, sur telle ou telle situation etc. dans la rue aussi nous sommes sollicités par des affiches publicitaires ou pas mieux, propagandiste, si tu vois ce que je veux dire, bourrage de crâne, bourrage de cerveau, et là encore, stop, stop. Et nous en revenons toujours à ce point de départ. Mettre mental et égo au repos, prendre du temps pour soi, prendre soin de son environnement, s'écouter pour mieux vivre sa vie, pas pour vivre comme un ermite, non, c'est pas le but. Nous sommes des êtres sociaux, mais pour vivre sa vie et non celle de l'autre, pour vivre sa vie et lui donner la couleur, la saveur, le parfum, le son qui font vibrer nos corps, âme et esprit. Pas ceux de l'autre, les nôtres. Alors, comme s'ils étaient sous l'emprise d'un charme puissant, mental et égo accueillent et se mettent au parfum, au silence, à l'unisson. à l'unisson. à l'écrit, c'est plus parlant. C'est drôle, hein ? Mais je m'égare une fois encore. J'aurais pu prendre la bonne résolution de cesser cette digression. Bonne résolution qui n'aurait pas tenu de phrase. Alors, next. Next. Avant de terminer ce message, comme je te l'avais dit, je te l'avais promis, je partage avec toi l'origine de cette tradition qui perdure et perdure chaque 1er janvier. Elle nous vient de l'Antiquité. À cette époque, les Babyloniens, qui habitaient sur le territoire irakien, autrefois appelé Mésopotamie du Sud, ont mis en place un rituel de promesse. C'était un peuple qui basait l'ordre de leur société sur l'honnêteté et le partage. C'est pourquoi, chaque année, ils promettaient à leur divinité de rembourser leurs dettes et de rendre les outils empruntés à chacun. Ainsi, lors du nouvel an, l'année commençait sur de nouvelles bases en effaçant les querelles et les conflits des mois de l'année passée. Vivant essentiellement de l'agriculture, il était primordial que chacun soit en paix. Tu vois, ça avait du sens. sens qu'on a un peu perdu de mes jours. Alors en ce début de 2023, je t'invite à t'épargner l'effort demandé par toute bonne résolution et te mettre dare-dare à écouter ton corps et c'est tout. Louise Bourbeau, une fameuse coach, une fameuse pionnière du bien-être notamment, a écrit tout un bouquin et tout un programme avec le titre "Écoute ton corps". Eh bien, je t'invite à suivre ses conseils. Écoute ton corps. Et, ouais, alors, je te souhaite le meilleur et je te remercie de ton écoute.