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Le Décodeur de la Communication est le podcast des pro de la com. Chaque semaine, un.e dircom présente son parcours, son job et donne des conseils de carrière. Le podcast est présenté par Laurent FRANCOIS, fondateur et dirigeant de l'agence Maverick Communication.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Le Décodeur de la Communication est le podcast des pro de la com. Chaque semaine, un.e dircom présente son parcours, son job et donne des conseils de carrière. Le podcast est présenté par Laurent FRANCOIS, fondateur et dirigeant de l'agence Maverick Communication.


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378 episodes

  • Rencontrer l'Employeur de sa Vie | Bertrand Ribière, dircom de Bouygues Construction | Ep 184, Part 1, Kings & Queens cover
    Rencontrer l'Employeur de sa Vie | Bertrand Ribière, dircom de Bouygues Construction | Ep 184, Part 1, Kings & Queens cover
    Rencontrer l'Employeur de sa Vie | Bertrand Ribière, dircom de Bouygues Construction | Ep 184, Part 1, Kings & Queens

    Rien ne destinait Bertrand Ribière à devenir dircom de Bouygues Construction. Et pour cause : Bertrand souhaitait travailler pour la DGSE, la direction générale de la sécurité extérieure. Pourtant, au gré d'une mission de conduite du changement, mon invité rencontre l'employeur de sa vie. Dans cette première partie d'épisode, Bertrand vous raconte son parcours, évoque la passion qui anime les équipes de Bouygues Construction et aussi de l'audace du dircom. Un grand merci à Candice Pondevie, attachée de presse dans cette belle maison qu'est BC, et qui nous a permis de nous rencontrer ! Un dircom sur le terrain Chez Bouygues Construction, la communication ne se vit pas derrière un bureau. Elle se vit sur les chantiers, au contact des équipes, des matériaux, du bruit et des vies en mouvement. C’est là que se fabrique le sens, l’adhésion et la fierté. Pour Bertrand, impossible de piloter un discours sans sentir la réalité du terrain, sans parler avec celles et ceux qui construisent le monde qui nous entoure. La communication n’est pas un vernis, c’est une fonction d’écoute, de transmission et d’impact. Bâtir pour la vie : une signature qui guide l’action La marque Bouygues Construction repose sur une signature : Building for Life. Derrière ces mots, un engagement humaniste et durable. Construire des écoles, des hôpitaux, des ponts, mais aussi rénover, réparer, prolonger la vie des bâtiments plutôt que systématiquement rebâtir. La com se met au service de cet enjeu : expliquer, incarner, relier toutes les parties prenantes autour d’un récit commun. Ce n’est plus seulement parler d’ouvrages, mais parler d’utilité, de société, de futur. Diriger une communication qui pèse Être dircom, ce n’est pas seulement servir les demandes internes. C’est aussi initier, pousser des projets qui font bouger les lignes. Bertrand le rappelle : la communication doit avoir de l’impact. On ne communique pas pour informer mais pour transformer, inspirer, éclairer. Cela demande du courage, notamment quand il faut défendre une ligne éditoriale, tenir les valeurs, refuser la cosmétique. Le communicant est gardien du sens : son rôle est stratégique. Responsabilité et courage Avec le climat, la démographie, la pression sur le logement, la construction se trouve face à un tournant historique. Faut-il encore construire ? Oui, mais mieux. Rénover plus, émettre moins, faire différemment. Le communicant porte ce récit collectif, complexe mais vital. La communication n'est pas un appendice : elle est un levier pour faire évoluer un secteur entier. Et cela demande, plus que jamais, du courage. Bertrand revient pour la seconde et dernière partie de son épisode de la série Kings & Queens. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    30min | Published on December 9, 2025

  • Le Marché de l'Emploi dans la Communication & le Marketing | Claire Romanet, cabinet Elaee | Ext cover
    Le Marché de l'Emploi dans la Communication & le Marketing | Claire Romanet, cabinet Elaee | Ext cover
    Le Marché de l'Emploi dans la Communication & le Marketing | Claire Romanet, cabinet Elaee | Ext

    Le marché de l’emploi en communication et marketing se durcit. Mais il offre encore des opportunités à ceux qui se préparent, cultivent leur réseau et acceptent de se remettre en question, et ce, du premier job au statut de senior. Jean-François Granat et moi avons interviewé Claire Romanet, dirigeante du cabinet Elaee, spécialisé dans le recrutement des profils marketing, communication, digital et création. Salariat, freelance et consulting : une carrière en zigzag Dans la communication, les trajectoires linéaires deviennent l’exception : on alterne désormais salariat, freelance, portage salarial, consulting et parfois reconversion totale. Les jeunes diplômés qui ne trouvent pas de poste se lancent souvent en auto-entrepreneur, tandis que les profils d’agence autour de 45 ans bifurquent vers le conseil, le management de transition, ou quittent parfois le secteur pour des métiers d’accueil ou de restauration. 45 ans et plus : un marché rallongé et exigeant Pour les dircoms expérimentés, le retour à l’emploi s’est nettement rallongé : là où 3 à 6 mois suffisaient il y a quelques années, il faut aujourd’hui compter au minimum 12 mois pour retrouver un poste. Le réseau, un chantier à vie Le réseau ne se réveille pas quand on est « tricard » : il se construit dès l’école et se nourrit quand tout va bien. Sur LinkedIn, les recruteurs regardent la différenciation entre profil et CV, la qualité des prises de parole, les commentaires structurés, les tribunes, ainsi que les recommandations, qui font gagner un temps précieux dans la prise de référence. Devenir indépendant : talent, vente et gestion Pour réussir en auto-entreprise ou en conseil, trois piliers sont indispensables : un vrai talent différenciant, une capacité commerciale assumée et une rigueur de gestion. Savoir vendre, négocier, signer, suivre sa trésorerie et absorber la lourdeur administrative française fait la différence entre un statut « affiché » et une activité réellement rentable. Les talents venus d’ailleurs, une concurrence très affûtée De plus en plus de candidats étrangers, souvent entre 28 et 35 ans, arrivent avec 5 à 10 ans d’expérience dans leur pays, complètent par un master en France, puis se positionnent sur les mêmes postes que les talents locaux. Ces profils, qui jouent parfois leur carte de séjour sur leur réussite, se montrent extrêmement fiables, réactifs, préparés et convaincants en entretien, séduisant les entreprises françaises. Marketing et communication : frontières de plus en plus floues La distinction entre marketing et communication devient difficile à tracer, notamment avec l’intégration massive du digital. Dans de nombreux secteurs, notamment la grande consommation, les carrières mêlent terrain, chef de rayon, chef de secteur, événementiel et fonctions plus stratégiques, rendant les parcours hybrides la norme. Claire reviendra très bientôt pour parler de l'emploi dans le secteur de la com. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    20min | Published on December 6, 2025

  • Parcours d'une Jeune Badass | Candice Pondevie, attachée de presse, Bouygues Construction | Ep 183 cover
    Parcours d'une Jeune Badass | Candice Pondevie, attachée de presse, Bouygues Construction | Ep 183 cover
    Parcours d'une Jeune Badass | Candice Pondevie, attachée de presse, Bouygues Construction | Ep 183

    Candice Pondevie ne s’imaginait pas forcément dans la communication. Elle voulait être journaliste, avant de bifurquer vers une école de commerce. C’est au fil des expériences et des rencontres qu’elle découvre la com, puis qu’elle s’y épanouit. Son parcours est celui d'une jeune Badass : elle avance par curiosité, par goût du terrain et par volonté d’apprendre. Passer de la com aux médias : un changement de perspective Après huit ans en communication, Candice plonge dans un univers nouveau : la relation aux médias. Elle découvre la réalité de ce métier souvent fantasmé. Rien n’est improvisé : il faut comprendre les attentes des journalistes, construire des messages précis, anticiper les angles possibles et savoir répondre avec justesse. C’est exigeant, parfois intense, mais profondément stimulant. Ce rôle lui permet de prendre la parole différemment et de devenir un maillon essentiel dans la visibilité du groupe. La veille : capter ce qui compte vraiment Dans son quotidien, tout commence par une veille méthodique. Candice analyse l’actualité, identifie les signaux faibles, repère ce qui peut devenir un sujet médiatique. Un chantier innovant, une tendance sociétale, une étude technique : chaque élément peut devenir une opportunité. Cette capacité à lire le monde, à sentir ce qui émerge, est l’une de ses forces. Une badass, c’est aussi quelqu’un qui voit ce que les autres ne voient pas. Construire la relation avec les journalistes Loin du cliché du “petit mail rapide”, le travail avec les journalistes demande du tact, de l’écoute et de la constance. Candice connaît leurs rythmes, leurs rubriques, leurs besoins. Elle prépare les interviews, briefe les porte-parole, recadre les messages. Ce travail invisible est celui qui garantit des prises de parole claires et efficaces. Une opération chirurgicale, loin du hasard. Raconter des histoires qui comptent Candice cherche les histoires humaines derrière les projets. Le chantier 100 % féminin à Boulogne en est l’exemple parfait : un sujet puissant, qui parle de société, de mixité, d’évolution culturelle. Cette histoire deviendra un reportage du Parisien, repris par France Inter. Donner de la voix à ces récits, c’est aussi ça, son métier. Un job d’adaptabilité totale Au fil de l’épisode, une évidence s’impose : ce métier demande de l’agilité. Chaque jour, Candice jongle entre préparation d’interviews, gestion des demandes, coordination interne, imprévus et sujets sensibles. Une badass, c’est justement ça : quelqu’un qui tient la barre, même quand la mer bouge. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    52min | Published on December 2, 2025

  • IA et Communicants : Dangers & Responsabilités | Tamara Arlais et Jean-François Granat | Ep 182 cover
    IA et Communicants : Dangers & Responsabilités | Tamara Arlais et Jean-François Granat | Ep 182 cover
    IA et Communicants : Dangers & Responsabilités | Tamara Arlais et Jean-François Granat | Ep 182

    L’Intelligence artificielle bouleverse déjà les métiers de la communication. Entre fascination, inquiétude et besoin urgent de discernement, Tamara Arlais et Jean-François Granat décryptent ce que cette révolution change pour les communicants. L’I.A. une transformation irréversible Tamara le dit sans détour : l’IA n’est pas une mode, c’est une bascule. Médecine, recherche, communication… tout change. Pour elle, les communicants n’ont plus le choix : se former, tester, oser. L’IA ouvre des perspectives immenses, mais exige curiosité et discernement. Recrutement : quand l’IA parle à l’IA Jean-François souligne un paradoxe savoureux : les fiches de poste sont écrites par l’IA, les candidats répondent avec l’IA, et les CV sont ensuite analysés par l’IA. Une boucle absurde, où seuls les mots-clés survivent. Heureusement, rappelle-t-il, l’humain reste indispensable pour comprendre une culture d’entreprise, un potentiel, une personnalité. Automatiser : oui ; remplacer : non Synthèses, mises en page, tri des KPIs, premiers visuels… l’IA excelle dans les tâches répétitives. Mais elle ne remplace ni le talent du stratège, du graphiste ni l’œil du photographe. Comme le dit Jean-François : 2 personnes devant la même IA ne produisent pas la même qualité. L’outil ne vaut que par celui qui le pilote. Le danger de la facilité "Tout le monde peut faire de la com avec l’IA”. Hum... Le risque ? Une standardisation médiocre, une dévalorisation de nos métiers, un appauvrissement de la qualité éditoriale. L’IA rend possible de produire beaucoup, très vite. Ce n’est pas une raison pour produire n’importe quoi. Ecologie des contenus L’IA doit aider à mieux cibler, mieux personnaliser, mieux planifier. Faire mieux : qualité, clarté, intention. La stratégie reste la boussole. Former Discernement et responsabilité sont au cœur du débat. Vérifier, croiser, douter. Les jeunes, comme les pros, doivent apprendre à questionner l’IA, pas à l’avaler. Et l’entreprise doit prendre sa part : chartes d’usage, pédagogie, sobriété numérique. L’angle mort : l’impact écologique L’IA consomme beaucoup : énergie, eau, serveurs. Les communicants doivent intégrer l’impact environnemental dans leurs pratiques et accompagner leur entreprise vers un usage raisonné. “Demander à son voisin consomme moins qu’une requête GPU”, rappelle JF avec humour. IA : bonne ou mauvaise nouvelle ? Pour Tamara : bonne nouvelle, tant qu’elle libère du temps pour la stratégie et la créativité. Pour Jean-François : ni bonne ni mauvaise, tout dépend de ce qu’on en fait. L’intelligence humaine devra rester aux commandes. L’IA ne fera pas disparaître les communicants, mais elle oblige à réaffirmer ce qui fait notre valeur : la stratégie, l’émotion, la créativité et le discernement. À chacun maintenant de choisir comment l’utiliser. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    23min | Published on November 29, 2025

  • C'est de la Com (2) : Fred Fougerat démonte encore les idées reçues sur notre métier ! | Ep 181, partie 2 cover
    C'est de la Com (2) : Fred Fougerat démonte encore les idées reçues sur notre métier ! | Ep 181, partie 2 cover
    C'est de la Com (2) : Fred Fougerat démonte encore les idées reçues sur notre métier ! | Ep 181, partie 2

    Seconde partie d’entretien avec Fred Fougerat à l'occasion de la sortie de son 9e livre "C’est de la com" (Bréal). Relations presse, communication interne, finances, politique ou objets média : il démonte les idées reçues qui plombent encore le métier. En outre vous posez, chers auditeurs, vos questions. Pour acheter le livre de Fred : https://www.fnac.com/a21839009/Frederic-Fougerat-C-est-de-la-com Le “off” : une arme à manier avec éthique Pour Fred, rien n’est vraiment off : partager une info, c’est déjà en perdre la maîtrise. Toute manipulation ou tentative finit par se retourner contre celui qui l’initie Communication interne : fédérer, pas plaire à tout le monde La com interne explique la stratégie, accompagner le changement et renforcer l’appartenance. Elle influence l’engagement et la confiance des équipes. Mettre fin à la frontière interne/externe Fred décrit des organisations où l’interne et l’externe travaillent ensemble. Un projet implique parfois RP, social media, marque et com interne. Chacun apporte sa propre intelligence, mais dans une cohérence globale. . Communication financière : raconter l’histoire derrière les chiffres Non, la communication financière n’est pas une suite de tableaux Excel. C’est une histoire. Le communicant accompagne la direction financière pour donner du sens, nuancer, expliquer, mettre en perspective. Communication politique : bien plus que la présence médiatique Seuls quelques élus bénéficient réellement de visibilité médiatique. La com politique se joue donc ailleurs : terrain, réseaux, conversations directes, cohérence du message. . L'objet média Les “goodies” ne sont pas des gadgets s'ils ont du sens. Pour Fred, l’objet média est efficace lorsqu’il prolonge un message, s’intègre à l’action et présente une réelle utilité. Les Français les apprécient, car ils ne sont jamais intrusifs. . Le sens politique, compétence sous-estimée Parmi les qualités sous-estimées du communicant, Fred retient le sens politique : capacité à écouter, observer, comprendre les autres, se déplacer dans l’organisation. Faire reconnaître que la com est un métier Pour sortir de “c’est que de la com”, 2 conditions : l’autorité professionnelle du communicant et le soutien explicite du dirigeant. . Écrire un livre : un acte de communication assumé Fred le dit sans détour : oui, publier un livre, c’est de la communication. Un acte de visibilité, de transmission, et parfois de soutien à des communicants isolés qui doutent de leur légitimité. Une façon utile et assumée d’exister et de faire progresser la profession À travers cette seconde partie d’entretien, Frédéric Fougerat rappelle que la communication est un vrai métier loin des clichés. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    31min | Published on November 25, 2025

  • Découvrir les Affaires Publiques | Alexandre Poncet, directeur affaires publiques internationales, Limagrain | Extrait Kings & Queens cover
    Découvrir les Affaires Publiques | Alexandre Poncet, directeur affaires publiques internationales, Limagrain | Extrait Kings & Queens cover
    Découvrir les Affaires Publiques | Alexandre Poncet, directeur affaires publiques internationales, Limagrain | Extrait Kings & Queens

    Aujourd'hui vous allez comprendre les affaires publiques, métier méconnu de la communication, grâce à Alexandre Poncet, directeur des affaires publiques internationales de Limagrain. Limagrain est une magnifique réussite française : c'est une coopérative agricole, basée au coeur de l'Auvergne. C'est aussi un groupe semencier présent dans 53 pays. Vous connaissez certainement les marques de Limagrain comme Jacquet, Brossard pu Vilmorin. Alexandre à auparavant travaillé chez CCEP, Coca Cola Europacific Partners, en tant que dircom. Brillant et d'une grande humilité, il vous explique son "nouveau" métier et c'est tout simplement passionnant. Un dircom venu des RH Avant de devenir l’une des voix majeures des affaires publiques agricoles, Alexandre Poncet a fait ses armes… dans les ressources humaines. Un parcours qui forge son regard unique sur la communication : comprendre les humains avant les messages. Chez Usinor, puis chez Coca-Cola, il découvre la marque employeur, la créativité, et la nécessité d’être un véritable business partner pour être légitime auprès des dirigeants. Le rôle méconnu des affaires publiques Dans cet extrait, Alexandre démystifie un métier souvent fantasmé. Les affaires publiques ne sont pas un exercice mondain : c’est une mécanique technique, juridique, stratégique. Préparer un rendez-vous parlementaire, analyser les impacts économiques, anticiper les scénarios politiques… et surtout, éclairer la décision publique. Le rôle n’est pas d’influencer dans l’ombre, mais de donner les bonnes informations au bon moment à ceux qui écrivent la loi. La frontière invisible entre communication et influence Alexandre le rappelle : impossible de faire des affaires publiques efficaces si la communication de l’entreprise n’est pas solide. Réputation, messages-clés, cohérence, lisibilité… Les deux métiers sont intimement liés. Dans une époque d’instabilité politique et médiatique, il faut savoir porter un discours clair, constant, ancré dans le réel, pour que dirigeants et parlementaires puissent prendre des décisions éclairées. Bruxelles, le terrain de jeu de la pédagogie La comparaison France / Europe est saisissante : au Parlement européen, les affaires publiques sont perçues comme un outil normal du débat démocratique. À Bruxelles, il faut maîtriser la technique, le compromis, et accepter que tout se joue sur la pédagogie et la constance. Une approche plus ouverte, plus rationnelle — mais aussi plus exigeante. Alexandre revient très vite dans son épisode intégral de la série Kings & Queens ! 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    14min | Published on November 22, 2025

  • C'est de la Com ! | Fred Fougerat, Tenkan Paris | Ep 180,  Partie 1 cover
    C'est de la Com ! | Fred Fougerat, Tenkan Paris | Ep 180,  Partie 1 cover
    C'est de la Com ! | Fred Fougerat, Tenkan Paris | Ep 180, Partie 1

    Frédéric Fougerat revient sur son neuvième livre C’est de la com !, un ouvrage coup-de-poing qui démonte les clichés persistants autour de la communication et réhabilite notre métier trop souvent caricaturé. Pour acheter le livre de Fred (9,90 euros) c'est par ici : https://www.fnac.com/a21839009/Frederic-Fougerat-C-est-de-la-com Une expression qui abîme notre métier « C’est de la com ». Pour beaucoup, cette phrase sonne comme un mépris, une manière de balayer un message ou une décision. Pour Frred, elle atteint surtout une profession entière. Dans son neuvième livre, il démonte l’amalgame entre communication et manipulation, rappelant que la com est d’abord un métier, une expertise, un investissement stratégique — et non un gadget pour masquer le vide. Pourquoi la communication est si mal comprise Selon Fred, en France, chacun croit pouvoir juger ou faire de la com comme il donne un avis sur une couleur. Le fameux « j’aime / j’aime pas » parasite toute réflexion. Or la communication n’a rien à voir avec le goût personnel : elle sert un objectif, un contexte, une stratégie. C’est un métier qui demande rigueur, méthode et recul. Et ce n’est qu’en expliquant, en dialoguant, en installant son autorité professionnelle que le communicant peut être respecté. Com durable vs “com faciale facile” Fred oppose deux logiques : les coups de com — plaisants mais éphémères — et la communication durable. Les premiers flat­tent l’ego ou créent un buzz immédiat ; la seconde construit une réputation, une cohérence, une crédibilité sur le long terme. Et lorsque la politique se contente du coup médiatique, elle ne rend service ni aux citoyens, ni à la démocratie. Une communication responsable demande du temps, de la vision et, surtout, de la cohérence entre discours et pratiques. Professionnalisme, éthique et respect du métier Pour restaurer la confiance envers les communicants, Fred insiste sur l'éthique : orthotypographie soignée, précision des mots, transparence, cohérence avec ses engagements RSE, respect du journaliste et du public. L’éthique n’est pas une option : c’est la première brique de la crédibilité. Et dans un monde où les contradictions se paient cher, l’alignement entre paroles et actes est vital pour les marques comme pour les communicants. 5 premières idées reçues sur la com Durant cette première partie d'entretien, Fred démonte 5 premiers clichés : « La com, ça coûte cher. » « La com sert à faire de jolis outils. » « On peut déléguer toute sa com à une agence. » « Influenceur et journaliste, c’est la même chose. » « Il ne faut jamais paraître coupable en communication de crise. » Fred reviendra très vite pour la seconde partie de son interview. Et il y aura des questions de votre part, vous, les auditeurs du Décodeur. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    41min | Published on November 18, 2025

  • Les RP : au confluent de l'Influence et de l'Advocacy | Candice Pondevie, attachée de presse, Bouygues Construction | Ext cover
    Les RP : au confluent de l'Influence et de l'Advocacy | Candice Pondevie, attachée de presse, Bouygues Construction | Ext cover
    Les RP : au confluent de l'Influence et de l'Advocacy | Candice Pondevie, attachée de presse, Bouygues Construction | Ext

    Candice Pondevie est attachée de presse chez Bouygues Construction. Un métier qu'elle "découvre" depuis 2 ans, après avoir été responsable communication, toujours au sein de la même entreprise. Une étape essentielle, selon moi, pour un jour devenir dircom. Dans cet extrait, Candice vous parle des RP, qui riment, aujourd'hui, avec stratégie, influence et advocacy. Les relations presse ou lire l’actualité autrement Dans le monde des Relations Presse, rien n’est laissé au hasard. Le métier de Candice repose avant tout sur une veille constante. Elle capte les signaux faibles, observe les tendances sectorielles et repère les sujets qui vont émerger dans l’espace médiatique. Une étude sur la rénovation des ponts, un débat sur les infrastructures, une innovation technique : chaque élément peut devenir une prise de parole pour Bouygues Construction. L’enjeu est clair : être présent au bon moment, avec le bon angle, auprès du bon journaliste. Relationnel & Influence On imagine souvent les Relations Presse comme un simple envoi de communiqués à la chaîne. Candice démonte ce cliché. “Pas d’envoi à la sulfateuse”, explique-t-elle. Le métier repose sur l’écoute, la compréhension des besoins des journalistes, la connaissance de leurs rubriques et de leurs contraintes. C’est un travail quotidien, souvent invisible, qui demande patience et finesse. Une interview réussie, c’est des heures de préparation, de cadrage, de contextualisation. Une mécanique discrète, mais essentielle. L'advocacy : mettre en lumière les histoires humaines Cet extrait révèle aussi la dimension profondément humaine du métier. Mon invitée cite l’exemple d’un chantier à Boulogne, encadré exclusivement par des femmes. Au-delà du chantier lui-même, c’est une histoire de société, un symbole de la féminisation progressive du BTP. Résultat : un reportage du Parisien, puis une reprise par France Inter. Preuve que les RP ne servent pas seulement à promouvoir une entreprise : elles racontent des histoires qui résonnent avec leur époque. Autre exemple : la mise en place d'une stratégie de leader et d'employee advocacy afin d'incarner la signature de marque de Bouygues Construction : Building for Life. Un métier d’adaptabilité totale Dans sa pratique au quotidien, Candice doit être un véritable caméléon. Elle prépare, débriefe, adapte le discours, anticipe les questions, rassure les équipes internes. Aucune journée ne se ressemble. Le métier demande agilité, compréhension fine des enjeux, rigueur, et un sens aigu du timing. Un univers exigeant, mais passionnant. Candice reviendra très vite pour vous parler de son parcours et de sa vie de grande professionnelle de la communication et ce, malgré son jeune âge. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    13min | Published on November 15, 2025

  • Repenser l'Attractivité des Territoires avec un Marketing plus Sensible | Marc Thébault | Ep 179 cover
    Repenser l'Attractivité des Territoires avec un Marketing plus Sensible | Marc Thébault | Ep 179 cover
    Repenser l'Attractivité des Territoires avec un Marketing plus Sensible | Marc Thébault | Ep 179

    Comment un territoire devient-il vraiment attractif ? Marc Thébault partage sa vision du marketing territorial. Une approche sensible et stratégique, où l’émotion, l’humain et la coopération remplacent les vieilles recettes de com institutionnelle. Pour acheter le livre de Marc "Repenser l'attractivité des territoires", paru chez Territoriales éditions : https://boutique.territorial.fr/repenser-attractivite-territoires.html Le marketing territorial, une vision globale Ancien dicom de Saint-Étienne Métropole et de Caen-la-Mer, Marc définit le marketing territorial comme « un ensemble de principes pour se mettre au service de l’attractivité des territoires ». L’objectif ? Attirer les richesses, matérielles ou immatérielles, dont un territoire a besoin pour grandir. Habitants, entreprises, touristes : 3 attractivités différentes mais complémentaires. Sortir du tout-communication La première erreur des collectivités est de réduire l’attractivité à la communication. Affiches, slogans, campagnes d’image : tout cela ne suffit pas. « Ces campagnes montrent qu’on fait quelque chose et non qu'on a produit de vrais résultats. » Le marketing territorial, rappelle Marc, est une stratégie collective, pas une opération de communication ponctuelle. Le territoire, une question d’âme Derrière les chiffres, les classements et les indicateurs économiques, il y a l’essentiel : l’émotion. « Ce qui fait qu’on a envie d’un territoire, ce n’est pas son palmarès, c’est ce qu’on y ressent », explique Marc. Un territoire attire lorsqu’il éveille un sentiment d’attachement, de bien-être, de convivialité. La qualité de l’accueil, la chaleur humaine et la sincérité des habitants deviennent alors les meilleurs leviers d’attractivité. Une méthode en huit étapes Pour structurer cette démarche, Marc propose une méthodologie en huit étapes. De la définition du “pourquoi” à la mesure des résultats, il déroule un véritable guide stratégique : comprendre ses besoins, fixer ses objectifs, identifier ses cibles, connaître la concurrence, mobiliser les acteurs locaux, construire un récit sensible, déployer un plan d’action, puis évaluer les effets. Le récit sensible, cœur de l’attractivité Mon invité plaide pour un récit de territoire incarné : « On a trop décrit nos territoires avec des chiffres. Il faut parler d’émotion, d’attachement, de relations humaines. » C’est ce récit, sincère et partagé, qui transforme une politique d’attractivité en promesse vécue. Un territoire ne se vend pas : il se raconte. Une attractivité collective et durable Repenser le marketing territorial, c’est accepter de travailler ensemble. Collectivités, habitants, associations, entreprises… tous ont un rôle à jouer. Le défi n’est plus de séduire tout le monde, mais de trouver ceux pour qui le territoire est fait. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    1h00 | Published on November 11, 2025

  • Couper Court à 5 Clichés sur la Com | Fred Fougerat, Tenkan Paris | Ext cover
    Couper Court à 5 Clichés sur la Com | Fred Fougerat, Tenkan Paris | Ext cover
    Couper Court à 5 Clichés sur la Com | Fred Fougerat, Tenkan Paris | Ext

    A l'occasion de la sortie de son neuvième livre "C’est de la com", Frédéric Fougerat démonte avec précision et humour les clichés qui collent encore à la peau du métier. Dans cet extrait, il revient sur 5 idées reçues qui disent tout des malentendus autour de la communication. Vous pouvez d'ailleurs acheter le livre ici : https://www.fnac.com/a21839009/Frederic-Fougerat-C-est-de-la-com 1. La com, ça coûte cher C’est la rengaine des dirigeants qui voient encore la communication comme une dépense. Pour Fred, la com ne coûte cher que lorsqu’elle est inutile ou mal faite. Une communication bien pensée, mesurée et durable est un investissement, parfois même rentable. Elle crée de la valeur, crédibilise la marque et peut rapporter bien plus qu’elle ne dépense. 2. La communication, c’est faire de jolis outils Le communicant n’est pas un décorateur. Son métier, c’est de donner du sens, pas du vernis. La communication doit d’abord servir un objectif, produire de l’impact, avant de produire un bel objet. Ce qui compte, c’est l’efficacité du message, pas le « waouh » de la forme. L’outil ne vient qu’après la stratégie. 3. On peut déléguer toute sa com à une agence Déléguer ne veut pas dire abandonner. Une agence est un partenaire, pas une roue de secours. Elle doit être briefée, accompagnée, écoutée, mais aussi contrôlée. Car une agence, aussi compétente soit-elle, ne vit pas le quotidien, la culture et l’esprit de l’entreprise. La communication reste avant tout une responsabilité interne. 4. En communication de crise, il ne faut surtout pas paraître coupable Erreur fatale. Dans une crise où des vies, des émotions ou des victimes sont en jeu, mieux vaut paraître coupable que salaud. L’heure n’est pas à la défense, mais à l’empathie. Le temps de l’émotion doit précéder celui du juridique. La sincérité et la compassion protègent plus durablement la réputation qu’un discours froid et technocratique. 5. Influenceur et journaliste, c’est pareil Les deux métiers n’ont rien à voir. Le journaliste informe, l’influenceur s’implique. L’un suit une éthique, l’autre joue avec sa propre image. Les confondre est une erreur stratégique : ils ne se traitent pas de la même façon, ne parlent pas au même public, ne servent pas les mêmes intérêts. Et les rassembler dans une même équipe ? Une fausse bonne idée. Avec ces cinq premières idées reçues, Frédéric rappelle une évidence : la communication est un métier de sens, d’intelligence et d’impact. Et si elle est bien faite, elle ne coûte jamais trop cher. Un épisode entier avec Fred arrive très vite. Et nous allons démonter nombre d'autres a priori sur notre beau métier ! 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    11min | Published on November 8, 2025

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Description

Le Décodeur de la Communication est le podcast des pro de la com. Chaque semaine, un.e dircom présente son parcours, son job et donne des conseils de carrière. Le podcast est présenté par Laurent FRANCOIS, fondateur et dirigeant de l'agence Maverick Communication.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Le Décodeur de la Communication est le podcast des pro de la com. Chaque semaine, un.e dircom présente son parcours, son job et donne des conseils de carrière. Le podcast est présenté par Laurent FRANCOIS, fondateur et dirigeant de l'agence Maverick Communication.


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378 episodes

  • Rencontrer l'Employeur de sa Vie | Bertrand Ribière, dircom de Bouygues Construction | Ep 184, Part 1, Kings & Queens cover
    Rencontrer l'Employeur de sa Vie | Bertrand Ribière, dircom de Bouygues Construction | Ep 184, Part 1, Kings & Queens cover
    Rencontrer l'Employeur de sa Vie | Bertrand Ribière, dircom de Bouygues Construction | Ep 184, Part 1, Kings & Queens

    Rien ne destinait Bertrand Ribière à devenir dircom de Bouygues Construction. Et pour cause : Bertrand souhaitait travailler pour la DGSE, la direction générale de la sécurité extérieure. Pourtant, au gré d'une mission de conduite du changement, mon invité rencontre l'employeur de sa vie. Dans cette première partie d'épisode, Bertrand vous raconte son parcours, évoque la passion qui anime les équipes de Bouygues Construction et aussi de l'audace du dircom. Un grand merci à Candice Pondevie, attachée de presse dans cette belle maison qu'est BC, et qui nous a permis de nous rencontrer ! Un dircom sur le terrain Chez Bouygues Construction, la communication ne se vit pas derrière un bureau. Elle se vit sur les chantiers, au contact des équipes, des matériaux, du bruit et des vies en mouvement. C’est là que se fabrique le sens, l’adhésion et la fierté. Pour Bertrand, impossible de piloter un discours sans sentir la réalité du terrain, sans parler avec celles et ceux qui construisent le monde qui nous entoure. La communication n’est pas un vernis, c’est une fonction d’écoute, de transmission et d’impact. Bâtir pour la vie : une signature qui guide l’action La marque Bouygues Construction repose sur une signature : Building for Life. Derrière ces mots, un engagement humaniste et durable. Construire des écoles, des hôpitaux, des ponts, mais aussi rénover, réparer, prolonger la vie des bâtiments plutôt que systématiquement rebâtir. La com se met au service de cet enjeu : expliquer, incarner, relier toutes les parties prenantes autour d’un récit commun. Ce n’est plus seulement parler d’ouvrages, mais parler d’utilité, de société, de futur. Diriger une communication qui pèse Être dircom, ce n’est pas seulement servir les demandes internes. C’est aussi initier, pousser des projets qui font bouger les lignes. Bertrand le rappelle : la communication doit avoir de l’impact. On ne communique pas pour informer mais pour transformer, inspirer, éclairer. Cela demande du courage, notamment quand il faut défendre une ligne éditoriale, tenir les valeurs, refuser la cosmétique. Le communicant est gardien du sens : son rôle est stratégique. Responsabilité et courage Avec le climat, la démographie, la pression sur le logement, la construction se trouve face à un tournant historique. Faut-il encore construire ? Oui, mais mieux. Rénover plus, émettre moins, faire différemment. Le communicant porte ce récit collectif, complexe mais vital. La communication n'est pas un appendice : elle est un levier pour faire évoluer un secteur entier. Et cela demande, plus que jamais, du courage. Bertrand revient pour la seconde et dernière partie de son épisode de la série Kings & Queens. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    30min | Published on December 9, 2025

  • Le Marché de l'Emploi dans la Communication & le Marketing | Claire Romanet, cabinet Elaee | Ext cover
    Le Marché de l'Emploi dans la Communication & le Marketing | Claire Romanet, cabinet Elaee | Ext cover
    Le Marché de l'Emploi dans la Communication & le Marketing | Claire Romanet, cabinet Elaee | Ext

    Le marché de l’emploi en communication et marketing se durcit. Mais il offre encore des opportunités à ceux qui se préparent, cultivent leur réseau et acceptent de se remettre en question, et ce, du premier job au statut de senior. Jean-François Granat et moi avons interviewé Claire Romanet, dirigeante du cabinet Elaee, spécialisé dans le recrutement des profils marketing, communication, digital et création. Salariat, freelance et consulting : une carrière en zigzag Dans la communication, les trajectoires linéaires deviennent l’exception : on alterne désormais salariat, freelance, portage salarial, consulting et parfois reconversion totale. Les jeunes diplômés qui ne trouvent pas de poste se lancent souvent en auto-entrepreneur, tandis que les profils d’agence autour de 45 ans bifurquent vers le conseil, le management de transition, ou quittent parfois le secteur pour des métiers d’accueil ou de restauration. 45 ans et plus : un marché rallongé et exigeant Pour les dircoms expérimentés, le retour à l’emploi s’est nettement rallongé : là où 3 à 6 mois suffisaient il y a quelques années, il faut aujourd’hui compter au minimum 12 mois pour retrouver un poste. Le réseau, un chantier à vie Le réseau ne se réveille pas quand on est « tricard » : il se construit dès l’école et se nourrit quand tout va bien. Sur LinkedIn, les recruteurs regardent la différenciation entre profil et CV, la qualité des prises de parole, les commentaires structurés, les tribunes, ainsi que les recommandations, qui font gagner un temps précieux dans la prise de référence. Devenir indépendant : talent, vente et gestion Pour réussir en auto-entreprise ou en conseil, trois piliers sont indispensables : un vrai talent différenciant, une capacité commerciale assumée et une rigueur de gestion. Savoir vendre, négocier, signer, suivre sa trésorerie et absorber la lourdeur administrative française fait la différence entre un statut « affiché » et une activité réellement rentable. Les talents venus d’ailleurs, une concurrence très affûtée De plus en plus de candidats étrangers, souvent entre 28 et 35 ans, arrivent avec 5 à 10 ans d’expérience dans leur pays, complètent par un master en France, puis se positionnent sur les mêmes postes que les talents locaux. Ces profils, qui jouent parfois leur carte de séjour sur leur réussite, se montrent extrêmement fiables, réactifs, préparés et convaincants en entretien, séduisant les entreprises françaises. Marketing et communication : frontières de plus en plus floues La distinction entre marketing et communication devient difficile à tracer, notamment avec l’intégration massive du digital. Dans de nombreux secteurs, notamment la grande consommation, les carrières mêlent terrain, chef de rayon, chef de secteur, événementiel et fonctions plus stratégiques, rendant les parcours hybrides la norme. Claire reviendra très bientôt pour parler de l'emploi dans le secteur de la com. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    20min | Published on December 6, 2025

  • Parcours d'une Jeune Badass | Candice Pondevie, attachée de presse, Bouygues Construction | Ep 183 cover
    Parcours d'une Jeune Badass | Candice Pondevie, attachée de presse, Bouygues Construction | Ep 183 cover
    Parcours d'une Jeune Badass | Candice Pondevie, attachée de presse, Bouygues Construction | Ep 183

    Candice Pondevie ne s’imaginait pas forcément dans la communication. Elle voulait être journaliste, avant de bifurquer vers une école de commerce. C’est au fil des expériences et des rencontres qu’elle découvre la com, puis qu’elle s’y épanouit. Son parcours est celui d'une jeune Badass : elle avance par curiosité, par goût du terrain et par volonté d’apprendre. Passer de la com aux médias : un changement de perspective Après huit ans en communication, Candice plonge dans un univers nouveau : la relation aux médias. Elle découvre la réalité de ce métier souvent fantasmé. Rien n’est improvisé : il faut comprendre les attentes des journalistes, construire des messages précis, anticiper les angles possibles et savoir répondre avec justesse. C’est exigeant, parfois intense, mais profondément stimulant. Ce rôle lui permet de prendre la parole différemment et de devenir un maillon essentiel dans la visibilité du groupe. La veille : capter ce qui compte vraiment Dans son quotidien, tout commence par une veille méthodique. Candice analyse l’actualité, identifie les signaux faibles, repère ce qui peut devenir un sujet médiatique. Un chantier innovant, une tendance sociétale, une étude technique : chaque élément peut devenir une opportunité. Cette capacité à lire le monde, à sentir ce qui émerge, est l’une de ses forces. Une badass, c’est aussi quelqu’un qui voit ce que les autres ne voient pas. Construire la relation avec les journalistes Loin du cliché du “petit mail rapide”, le travail avec les journalistes demande du tact, de l’écoute et de la constance. Candice connaît leurs rythmes, leurs rubriques, leurs besoins. Elle prépare les interviews, briefe les porte-parole, recadre les messages. Ce travail invisible est celui qui garantit des prises de parole claires et efficaces. Une opération chirurgicale, loin du hasard. Raconter des histoires qui comptent Candice cherche les histoires humaines derrière les projets. Le chantier 100 % féminin à Boulogne en est l’exemple parfait : un sujet puissant, qui parle de société, de mixité, d’évolution culturelle. Cette histoire deviendra un reportage du Parisien, repris par France Inter. Donner de la voix à ces récits, c’est aussi ça, son métier. Un job d’adaptabilité totale Au fil de l’épisode, une évidence s’impose : ce métier demande de l’agilité. Chaque jour, Candice jongle entre préparation d’interviews, gestion des demandes, coordination interne, imprévus et sujets sensibles. Une badass, c’est justement ça : quelqu’un qui tient la barre, même quand la mer bouge. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    52min | Published on December 2, 2025

  • IA et Communicants : Dangers & Responsabilités | Tamara Arlais et Jean-François Granat | Ep 182 cover
    IA et Communicants : Dangers & Responsabilités | Tamara Arlais et Jean-François Granat | Ep 182 cover
    IA et Communicants : Dangers & Responsabilités | Tamara Arlais et Jean-François Granat | Ep 182

    L’Intelligence artificielle bouleverse déjà les métiers de la communication. Entre fascination, inquiétude et besoin urgent de discernement, Tamara Arlais et Jean-François Granat décryptent ce que cette révolution change pour les communicants. L’I.A. une transformation irréversible Tamara le dit sans détour : l’IA n’est pas une mode, c’est une bascule. Médecine, recherche, communication… tout change. Pour elle, les communicants n’ont plus le choix : se former, tester, oser. L’IA ouvre des perspectives immenses, mais exige curiosité et discernement. Recrutement : quand l’IA parle à l’IA Jean-François souligne un paradoxe savoureux : les fiches de poste sont écrites par l’IA, les candidats répondent avec l’IA, et les CV sont ensuite analysés par l’IA. Une boucle absurde, où seuls les mots-clés survivent. Heureusement, rappelle-t-il, l’humain reste indispensable pour comprendre une culture d’entreprise, un potentiel, une personnalité. Automatiser : oui ; remplacer : non Synthèses, mises en page, tri des KPIs, premiers visuels… l’IA excelle dans les tâches répétitives. Mais elle ne remplace ni le talent du stratège, du graphiste ni l’œil du photographe. Comme le dit Jean-François : 2 personnes devant la même IA ne produisent pas la même qualité. L’outil ne vaut que par celui qui le pilote. Le danger de la facilité "Tout le monde peut faire de la com avec l’IA”. Hum... Le risque ? Une standardisation médiocre, une dévalorisation de nos métiers, un appauvrissement de la qualité éditoriale. L’IA rend possible de produire beaucoup, très vite. Ce n’est pas une raison pour produire n’importe quoi. Ecologie des contenus L’IA doit aider à mieux cibler, mieux personnaliser, mieux planifier. Faire mieux : qualité, clarté, intention. La stratégie reste la boussole. Former Discernement et responsabilité sont au cœur du débat. Vérifier, croiser, douter. Les jeunes, comme les pros, doivent apprendre à questionner l’IA, pas à l’avaler. Et l’entreprise doit prendre sa part : chartes d’usage, pédagogie, sobriété numérique. L’angle mort : l’impact écologique L’IA consomme beaucoup : énergie, eau, serveurs. Les communicants doivent intégrer l’impact environnemental dans leurs pratiques et accompagner leur entreprise vers un usage raisonné. “Demander à son voisin consomme moins qu’une requête GPU”, rappelle JF avec humour. IA : bonne ou mauvaise nouvelle ? Pour Tamara : bonne nouvelle, tant qu’elle libère du temps pour la stratégie et la créativité. Pour Jean-François : ni bonne ni mauvaise, tout dépend de ce qu’on en fait. L’intelligence humaine devra rester aux commandes. L’IA ne fera pas disparaître les communicants, mais elle oblige à réaffirmer ce qui fait notre valeur : la stratégie, l’émotion, la créativité et le discernement. À chacun maintenant de choisir comment l’utiliser. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    23min | Published on November 29, 2025

  • C'est de la Com (2) : Fred Fougerat démonte encore les idées reçues sur notre métier ! | Ep 181, partie 2 cover
    C'est de la Com (2) : Fred Fougerat démonte encore les idées reçues sur notre métier ! | Ep 181, partie 2 cover
    C'est de la Com (2) : Fred Fougerat démonte encore les idées reçues sur notre métier ! | Ep 181, partie 2

    Seconde partie d’entretien avec Fred Fougerat à l'occasion de la sortie de son 9e livre "C’est de la com" (Bréal). Relations presse, communication interne, finances, politique ou objets média : il démonte les idées reçues qui plombent encore le métier. En outre vous posez, chers auditeurs, vos questions. Pour acheter le livre de Fred : https://www.fnac.com/a21839009/Frederic-Fougerat-C-est-de-la-com Le “off” : une arme à manier avec éthique Pour Fred, rien n’est vraiment off : partager une info, c’est déjà en perdre la maîtrise. Toute manipulation ou tentative finit par se retourner contre celui qui l’initie Communication interne : fédérer, pas plaire à tout le monde La com interne explique la stratégie, accompagner le changement et renforcer l’appartenance. Elle influence l’engagement et la confiance des équipes. Mettre fin à la frontière interne/externe Fred décrit des organisations où l’interne et l’externe travaillent ensemble. Un projet implique parfois RP, social media, marque et com interne. Chacun apporte sa propre intelligence, mais dans une cohérence globale. . Communication financière : raconter l’histoire derrière les chiffres Non, la communication financière n’est pas une suite de tableaux Excel. C’est une histoire. Le communicant accompagne la direction financière pour donner du sens, nuancer, expliquer, mettre en perspective. Communication politique : bien plus que la présence médiatique Seuls quelques élus bénéficient réellement de visibilité médiatique. La com politique se joue donc ailleurs : terrain, réseaux, conversations directes, cohérence du message. . L'objet média Les “goodies” ne sont pas des gadgets s'ils ont du sens. Pour Fred, l’objet média est efficace lorsqu’il prolonge un message, s’intègre à l’action et présente une réelle utilité. Les Français les apprécient, car ils ne sont jamais intrusifs. . Le sens politique, compétence sous-estimée Parmi les qualités sous-estimées du communicant, Fred retient le sens politique : capacité à écouter, observer, comprendre les autres, se déplacer dans l’organisation. Faire reconnaître que la com est un métier Pour sortir de “c’est que de la com”, 2 conditions : l’autorité professionnelle du communicant et le soutien explicite du dirigeant. . Écrire un livre : un acte de communication assumé Fred le dit sans détour : oui, publier un livre, c’est de la communication. Un acte de visibilité, de transmission, et parfois de soutien à des communicants isolés qui doutent de leur légitimité. Une façon utile et assumée d’exister et de faire progresser la profession À travers cette seconde partie d’entretien, Frédéric Fougerat rappelle que la communication est un vrai métier loin des clichés. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    31min | Published on November 25, 2025

  • Découvrir les Affaires Publiques | Alexandre Poncet, directeur affaires publiques internationales, Limagrain | Extrait Kings & Queens cover
    Découvrir les Affaires Publiques | Alexandre Poncet, directeur affaires publiques internationales, Limagrain | Extrait Kings & Queens cover
    Découvrir les Affaires Publiques | Alexandre Poncet, directeur affaires publiques internationales, Limagrain | Extrait Kings & Queens

    Aujourd'hui vous allez comprendre les affaires publiques, métier méconnu de la communication, grâce à Alexandre Poncet, directeur des affaires publiques internationales de Limagrain. Limagrain est une magnifique réussite française : c'est une coopérative agricole, basée au coeur de l'Auvergne. C'est aussi un groupe semencier présent dans 53 pays. Vous connaissez certainement les marques de Limagrain comme Jacquet, Brossard pu Vilmorin. Alexandre à auparavant travaillé chez CCEP, Coca Cola Europacific Partners, en tant que dircom. Brillant et d'une grande humilité, il vous explique son "nouveau" métier et c'est tout simplement passionnant. Un dircom venu des RH Avant de devenir l’une des voix majeures des affaires publiques agricoles, Alexandre Poncet a fait ses armes… dans les ressources humaines. Un parcours qui forge son regard unique sur la communication : comprendre les humains avant les messages. Chez Usinor, puis chez Coca-Cola, il découvre la marque employeur, la créativité, et la nécessité d’être un véritable business partner pour être légitime auprès des dirigeants. Le rôle méconnu des affaires publiques Dans cet extrait, Alexandre démystifie un métier souvent fantasmé. Les affaires publiques ne sont pas un exercice mondain : c’est une mécanique technique, juridique, stratégique. Préparer un rendez-vous parlementaire, analyser les impacts économiques, anticiper les scénarios politiques… et surtout, éclairer la décision publique. Le rôle n’est pas d’influencer dans l’ombre, mais de donner les bonnes informations au bon moment à ceux qui écrivent la loi. La frontière invisible entre communication et influence Alexandre le rappelle : impossible de faire des affaires publiques efficaces si la communication de l’entreprise n’est pas solide. Réputation, messages-clés, cohérence, lisibilité… Les deux métiers sont intimement liés. Dans une époque d’instabilité politique et médiatique, il faut savoir porter un discours clair, constant, ancré dans le réel, pour que dirigeants et parlementaires puissent prendre des décisions éclairées. Bruxelles, le terrain de jeu de la pédagogie La comparaison France / Europe est saisissante : au Parlement européen, les affaires publiques sont perçues comme un outil normal du débat démocratique. À Bruxelles, il faut maîtriser la technique, le compromis, et accepter que tout se joue sur la pédagogie et la constance. Une approche plus ouverte, plus rationnelle — mais aussi plus exigeante. Alexandre revient très vite dans son épisode intégral de la série Kings & Queens ! 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    14min | Published on November 22, 2025

  • C'est de la Com ! | Fred Fougerat, Tenkan Paris | Ep 180,  Partie 1 cover
    C'est de la Com ! | Fred Fougerat, Tenkan Paris | Ep 180,  Partie 1 cover
    C'est de la Com ! | Fred Fougerat, Tenkan Paris | Ep 180, Partie 1

    Frédéric Fougerat revient sur son neuvième livre C’est de la com !, un ouvrage coup-de-poing qui démonte les clichés persistants autour de la communication et réhabilite notre métier trop souvent caricaturé. Pour acheter le livre de Fred (9,90 euros) c'est par ici : https://www.fnac.com/a21839009/Frederic-Fougerat-C-est-de-la-com Une expression qui abîme notre métier « C’est de la com ». Pour beaucoup, cette phrase sonne comme un mépris, une manière de balayer un message ou une décision. Pour Frred, elle atteint surtout une profession entière. Dans son neuvième livre, il démonte l’amalgame entre communication et manipulation, rappelant que la com est d’abord un métier, une expertise, un investissement stratégique — et non un gadget pour masquer le vide. Pourquoi la communication est si mal comprise Selon Fred, en France, chacun croit pouvoir juger ou faire de la com comme il donne un avis sur une couleur. Le fameux « j’aime / j’aime pas » parasite toute réflexion. Or la communication n’a rien à voir avec le goût personnel : elle sert un objectif, un contexte, une stratégie. C’est un métier qui demande rigueur, méthode et recul. Et ce n’est qu’en expliquant, en dialoguant, en installant son autorité professionnelle que le communicant peut être respecté. Com durable vs “com faciale facile” Fred oppose deux logiques : les coups de com — plaisants mais éphémères — et la communication durable. Les premiers flat­tent l’ego ou créent un buzz immédiat ; la seconde construit une réputation, une cohérence, une crédibilité sur le long terme. Et lorsque la politique se contente du coup médiatique, elle ne rend service ni aux citoyens, ni à la démocratie. Une communication responsable demande du temps, de la vision et, surtout, de la cohérence entre discours et pratiques. Professionnalisme, éthique et respect du métier Pour restaurer la confiance envers les communicants, Fred insiste sur l'éthique : orthotypographie soignée, précision des mots, transparence, cohérence avec ses engagements RSE, respect du journaliste et du public. L’éthique n’est pas une option : c’est la première brique de la crédibilité. Et dans un monde où les contradictions se paient cher, l’alignement entre paroles et actes est vital pour les marques comme pour les communicants. 5 premières idées reçues sur la com Durant cette première partie d'entretien, Fred démonte 5 premiers clichés : « La com, ça coûte cher. » « La com sert à faire de jolis outils. » « On peut déléguer toute sa com à une agence. » « Influenceur et journaliste, c’est la même chose. » « Il ne faut jamais paraître coupable en communication de crise. » Fred reviendra très vite pour la seconde partie de son interview. Et il y aura des questions de votre part, vous, les auditeurs du Décodeur. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    41min | Published on November 18, 2025

  • Les RP : au confluent de l'Influence et de l'Advocacy | Candice Pondevie, attachée de presse, Bouygues Construction | Ext cover
    Les RP : au confluent de l'Influence et de l'Advocacy | Candice Pondevie, attachée de presse, Bouygues Construction | Ext cover
    Les RP : au confluent de l'Influence et de l'Advocacy | Candice Pondevie, attachée de presse, Bouygues Construction | Ext

    Candice Pondevie est attachée de presse chez Bouygues Construction. Un métier qu'elle "découvre" depuis 2 ans, après avoir été responsable communication, toujours au sein de la même entreprise. Une étape essentielle, selon moi, pour un jour devenir dircom. Dans cet extrait, Candice vous parle des RP, qui riment, aujourd'hui, avec stratégie, influence et advocacy. Les relations presse ou lire l’actualité autrement Dans le monde des Relations Presse, rien n’est laissé au hasard. Le métier de Candice repose avant tout sur une veille constante. Elle capte les signaux faibles, observe les tendances sectorielles et repère les sujets qui vont émerger dans l’espace médiatique. Une étude sur la rénovation des ponts, un débat sur les infrastructures, une innovation technique : chaque élément peut devenir une prise de parole pour Bouygues Construction. L’enjeu est clair : être présent au bon moment, avec le bon angle, auprès du bon journaliste. Relationnel & Influence On imagine souvent les Relations Presse comme un simple envoi de communiqués à la chaîne. Candice démonte ce cliché. “Pas d’envoi à la sulfateuse”, explique-t-elle. Le métier repose sur l’écoute, la compréhension des besoins des journalistes, la connaissance de leurs rubriques et de leurs contraintes. C’est un travail quotidien, souvent invisible, qui demande patience et finesse. Une interview réussie, c’est des heures de préparation, de cadrage, de contextualisation. Une mécanique discrète, mais essentielle. L'advocacy : mettre en lumière les histoires humaines Cet extrait révèle aussi la dimension profondément humaine du métier. Mon invitée cite l’exemple d’un chantier à Boulogne, encadré exclusivement par des femmes. Au-delà du chantier lui-même, c’est une histoire de société, un symbole de la féminisation progressive du BTP. Résultat : un reportage du Parisien, puis une reprise par France Inter. Preuve que les RP ne servent pas seulement à promouvoir une entreprise : elles racontent des histoires qui résonnent avec leur époque. Autre exemple : la mise en place d'une stratégie de leader et d'employee advocacy afin d'incarner la signature de marque de Bouygues Construction : Building for Life. Un métier d’adaptabilité totale Dans sa pratique au quotidien, Candice doit être un véritable caméléon. Elle prépare, débriefe, adapte le discours, anticipe les questions, rassure les équipes internes. Aucune journée ne se ressemble. Le métier demande agilité, compréhension fine des enjeux, rigueur, et un sens aigu du timing. Un univers exigeant, mais passionnant. Candice reviendra très vite pour vous parler de son parcours et de sa vie de grande professionnelle de la communication et ce, malgré son jeune âge. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    13min | Published on November 15, 2025

  • Repenser l'Attractivité des Territoires avec un Marketing plus Sensible | Marc Thébault | Ep 179 cover
    Repenser l'Attractivité des Territoires avec un Marketing plus Sensible | Marc Thébault | Ep 179 cover
    Repenser l'Attractivité des Territoires avec un Marketing plus Sensible | Marc Thébault | Ep 179

    Comment un territoire devient-il vraiment attractif ? Marc Thébault partage sa vision du marketing territorial. Une approche sensible et stratégique, où l’émotion, l’humain et la coopération remplacent les vieilles recettes de com institutionnelle. Pour acheter le livre de Marc "Repenser l'attractivité des territoires", paru chez Territoriales éditions : https://boutique.territorial.fr/repenser-attractivite-territoires.html Le marketing territorial, une vision globale Ancien dicom de Saint-Étienne Métropole et de Caen-la-Mer, Marc définit le marketing territorial comme « un ensemble de principes pour se mettre au service de l’attractivité des territoires ». L’objectif ? Attirer les richesses, matérielles ou immatérielles, dont un territoire a besoin pour grandir. Habitants, entreprises, touristes : 3 attractivités différentes mais complémentaires. Sortir du tout-communication La première erreur des collectivités est de réduire l’attractivité à la communication. Affiches, slogans, campagnes d’image : tout cela ne suffit pas. « Ces campagnes montrent qu’on fait quelque chose et non qu'on a produit de vrais résultats. » Le marketing territorial, rappelle Marc, est une stratégie collective, pas une opération de communication ponctuelle. Le territoire, une question d’âme Derrière les chiffres, les classements et les indicateurs économiques, il y a l’essentiel : l’émotion. « Ce qui fait qu’on a envie d’un territoire, ce n’est pas son palmarès, c’est ce qu’on y ressent », explique Marc. Un territoire attire lorsqu’il éveille un sentiment d’attachement, de bien-être, de convivialité. La qualité de l’accueil, la chaleur humaine et la sincérité des habitants deviennent alors les meilleurs leviers d’attractivité. Une méthode en huit étapes Pour structurer cette démarche, Marc propose une méthodologie en huit étapes. De la définition du “pourquoi” à la mesure des résultats, il déroule un véritable guide stratégique : comprendre ses besoins, fixer ses objectifs, identifier ses cibles, connaître la concurrence, mobiliser les acteurs locaux, construire un récit sensible, déployer un plan d’action, puis évaluer les effets. Le récit sensible, cœur de l’attractivité Mon invité plaide pour un récit de territoire incarné : « On a trop décrit nos territoires avec des chiffres. Il faut parler d’émotion, d’attachement, de relations humaines. » C’est ce récit, sincère et partagé, qui transforme une politique d’attractivité en promesse vécue. Un territoire ne se vend pas : il se raconte. Une attractivité collective et durable Repenser le marketing territorial, c’est accepter de travailler ensemble. Collectivités, habitants, associations, entreprises… tous ont un rôle à jouer. Le défi n’est plus de séduire tout le monde, mais de trouver ceux pour qui le territoire est fait. 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    1h00 | Published on November 11, 2025

  • Couper Court à 5 Clichés sur la Com | Fred Fougerat, Tenkan Paris | Ext cover
    Couper Court à 5 Clichés sur la Com | Fred Fougerat, Tenkan Paris | Ext cover
    Couper Court à 5 Clichés sur la Com | Fred Fougerat, Tenkan Paris | Ext

    A l'occasion de la sortie de son neuvième livre "C’est de la com", Frédéric Fougerat démonte avec précision et humour les clichés qui collent encore à la peau du métier. Dans cet extrait, il revient sur 5 idées reçues qui disent tout des malentendus autour de la communication. Vous pouvez d'ailleurs acheter le livre ici : https://www.fnac.com/a21839009/Frederic-Fougerat-C-est-de-la-com 1. La com, ça coûte cher C’est la rengaine des dirigeants qui voient encore la communication comme une dépense. Pour Fred, la com ne coûte cher que lorsqu’elle est inutile ou mal faite. Une communication bien pensée, mesurée et durable est un investissement, parfois même rentable. Elle crée de la valeur, crédibilise la marque et peut rapporter bien plus qu’elle ne dépense. 2. La communication, c’est faire de jolis outils Le communicant n’est pas un décorateur. Son métier, c’est de donner du sens, pas du vernis. La communication doit d’abord servir un objectif, produire de l’impact, avant de produire un bel objet. Ce qui compte, c’est l’efficacité du message, pas le « waouh » de la forme. L’outil ne vient qu’après la stratégie. 3. On peut déléguer toute sa com à une agence Déléguer ne veut pas dire abandonner. Une agence est un partenaire, pas une roue de secours. Elle doit être briefée, accompagnée, écoutée, mais aussi contrôlée. Car une agence, aussi compétente soit-elle, ne vit pas le quotidien, la culture et l’esprit de l’entreprise. La communication reste avant tout une responsabilité interne. 4. En communication de crise, il ne faut surtout pas paraître coupable Erreur fatale. Dans une crise où des vies, des émotions ou des victimes sont en jeu, mieux vaut paraître coupable que salaud. L’heure n’est pas à la défense, mais à l’empathie. Le temps de l’émotion doit précéder celui du juridique. La sincérité et la compassion protègent plus durablement la réputation qu’un discours froid et technocratique. 5. Influenceur et journaliste, c’est pareil Les deux métiers n’ont rien à voir. Le journaliste informe, l’influenceur s’implique. L’un suit une éthique, l’autre joue avec sa propre image. Les confondre est une erreur stratégique : ils ne se traitent pas de la même façon, ne parlent pas au même public, ne servent pas les mêmes intérêts. Et les rassembler dans une même équipe ? Une fausse bonne idée. Avec ces cinq premières idées reçues, Frédéric rappelle une évidence : la communication est un métier de sens, d’intelligence et d’impact. Et si elle est bien faite, elle ne coûte jamais trop cher. Un épisode entier avec Fred arrive très vite. Et nous allons démonter nombre d'autres a priori sur notre beau métier ! 🤙Pour découvrir l'agence Maverick : https://agence-maverick.com/clients/digital-publicite-print Pour vous abonner à la newsletter du Décodeur : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1  Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com ! Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    11min | Published on November 8, 2025

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