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DYNAMYK - NICE

KARIMOUCHE

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08min |29/01/2021
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Elle passe d’une vie à l’autre entre deux riffs. Silhouette féline des  faubourgs hexagonaux. Boule de feu des cafés concerts. Dépositaire des  aubes de Kabylie. Peu importe les métamorphoses : c’est à sa voix qu’on  reconnaît Carima Amarouche, alias Karimouche. Une voix chaude,  frondeuse, qui bouscule nos certitudes sur des beats hypnotiques.  Impossible de lui assigner une origine, une adresse, un emploi ou même  une humeur. D’où vient-elle ? La portée universelle de sa musique rend  la question vaine. Son troisième opus, Folies Berbères, en témoigne : si  l’influence orientale est résolument assumée, elle ne bouscule pas  moins les frontières établies. Dans ce nouvel opus, Karimouche, comme à  son habitude, conjugue poésie, chronique sociale et sens de la dérision,  arme qu’elle manie à coups d’Auto-Tune. « Qui sont ceux qui ont utilisé  le vocodeur pour la première fois ? demande-t-elle. Ni PNL ni Booba !  Ce sont des artistes du Maghreb, comme la chanteuse populaire algérienne  Cheikha Rimitti, qui me rappelle tant mon enfance… En concert,  j’explique tout ça à la manière d’un sketch ! » Il faut en effet la voir  tenir une salle hilare pour prendre la mesure de son inspiration.  L’évidence s’impose : Karimouche n’a qu’une patrie, la scène. Alexandre Kauffman 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Elle passe d’une vie à l’autre entre deux riffs. Silhouette féline des  faubourgs hexagonaux. Boule de feu des cafés concerts. Dépositaire des  aubes de Kabylie. Peu importe les métamorphoses : c’est à sa voix qu’on  reconnaît Carima Amarouche, alias Karimouche. Une voix chaude,  frondeuse, qui bouscule nos certitudes sur des beats hypnotiques.  Impossible de lui assigner une origine, une adresse, un emploi ou même  une humeur. D’où vient-elle ? La portée universelle de sa musique rend  la question vaine. Son troisième opus, Folies Berbères, en témoigne : si  l’influence orientale est résolument assumée, elle ne bouscule pas  moins les frontières établies. Dans ce nouvel opus, Karimouche, comme à  son habitude, conjugue poésie, chronique sociale et sens de la dérision,  arme qu’elle manie à coups d’Auto-Tune. « Qui sont ceux qui ont utilisé  le vocodeur pour la première fois ? demande-t-elle. Ni PNL ni Booba !  Ce sont des artistes du Maghreb, comme la chanteuse populaire algérienne  Cheikha Rimitti, qui me rappelle tant mon enfance… En concert,  j’explique tout ça à la manière d’un sketch ! » Il faut en effet la voir  tenir une salle hilare pour prendre la mesure de son inspiration.  L’évidence s’impose : Karimouche n’a qu’une patrie, la scène. Alexandre Kauffman 


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Elle passe d’une vie à l’autre entre deux riffs. Silhouette féline des  faubourgs hexagonaux. Boule de feu des cafés concerts. Dépositaire des  aubes de Kabylie. Peu importe les métamorphoses : c’est à sa voix qu’on  reconnaît Carima Amarouche, alias Karimouche. Une voix chaude,  frondeuse, qui bouscule nos certitudes sur des beats hypnotiques.  Impossible de lui assigner une origine, une adresse, un emploi ou même  une humeur. D’où vient-elle ? La portée universelle de sa musique rend  la question vaine. Son troisième opus, Folies Berbères, en témoigne : si  l’influence orientale est résolument assumée, elle ne bouscule pas  moins les frontières établies. Dans ce nouvel opus, Karimouche, comme à  son habitude, conjugue poésie, chronique sociale et sens de la dérision,  arme qu’elle manie à coups d’Auto-Tune. « Qui sont ceux qui ont utilisé  le vocodeur pour la première fois ? demande-t-elle. Ni PNL ni Booba !  Ce sont des artistes du Maghreb, comme la chanteuse populaire algérienne  Cheikha Rimitti, qui me rappelle tant mon enfance… En concert,  j’explique tout ça à la manière d’un sketch ! » Il faut en effet la voir  tenir une salle hilare pour prendre la mesure de son inspiration.  L’évidence s’impose : Karimouche n’a qu’une patrie, la scène. Alexandre Kauffman 


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