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Elan de vie - podcast

La douleur dans la maladie auto-immune

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23min |14/08/2025|

10

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Elan de vie - podcast

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23min |14/08/2025|

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Description

La douleur est-elle vraiment un simple fait de la vie, ou peut-elle être un véritable signal d'alarme de notre corps surtout dans la maladie-auto-immune?

Dans cet épisode du podcast "Élan de vie", Fanta Diane nous invite à explorer la thématique de la douleur et de sa gestion d'une manière profondément humaine et éclairante., Fanta partage son parcours personnel, révélant l'impact de la douleur sur son quotidien et ses habitudes de vie. Elle nous rappelle que comprendre et gérer la douleur est essentiel pour notre mieux-être et notre épanouissement.

À travers des récits touchants et des métaphores inspirées de la philosophie de la nature, Fanta nous explique que la douleur n'est pas une fatalité, mais un message que notre corps nous envoie. Elle insiste sur l'importance de prêter attention à ces signaux et de ne pas les considérer comme normaux. En utilisant son expertise scientifique et son expérience, elle nous guide dans un cheminement intérieur, nous aidant à mieux nous connaître et à explorer notre rapport à la douleur.

Fanta partage également des conseils pratiques pour équilibrer notre corps et notre esprit, en abordant des sujets tels que les habitudes, l'alimentation et l'environnement. Elle évoque l'importance de ne pas rester seul face à la douleur, et encourage chacun à rechercher un soutien et une compréhension, car nous avons tous le droit à un bien-être mental optimal. En intégrant des éléments de coaching de vie, elle nous invite à surmonter l'anxiété et à transformer notre douleur en source de force et de résilience.

Rejoignez-nous dans cet épisode captivant du podcast "Élan de vie" où Fanta Diane nous offre non seulement des clés pour gérer la douleur, mais aussi une véritable découverte de soi. Que vous soyez en quête de sens ou expert dans le domaine, cet échange enrichissant vous apportera des perspectives nouvelles sur la vie et le bien-être. Ne manquez pas cette occasion de vous engager sur le chemin de la connaissance de soi et de l'élan quotidien vers une existence plus harmonieuse.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Salutations et bienvenue dans Élan de vie, je suis Fantadiane, c'est avec joie que je vous partage cet épisode. Vous écoutez le podcast qui transforme vos épreuves en forces intérieures. Consultante en projet de vie et inflexologue à chaque épisode, je vous livre mes réflexions les plus authentiques et je donne la parole à celles et ceux qui m'inspirent par leur parcours de transformation en Élan de vie. Si vous cherchez à puiser dans vos ressources intérieures pour grandir, à travers vos expériences, vous êtes au bon endroit. Parce que chaque filet d'eau a son chemin, chaque personne est unique. Salutations et bienvenue dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, je vais vous parler de la douleur et aussi un peu de sa gestion. Pourquoi ? Parce que c'est quelque chose qui est très personnel, cet épisode. Je vais vous raconter le début de mon histoire. Parce que je sais à quel point vivre avec la douleur, surtout lorsqu'elle dure, ça peut changer notre quotidien, nos habitudes et notre façon de voir la vie. Tu vas me dire pourquoi ça ? Parce que pendant longtemps, moi qui te parle là, j'ai cherché des solutions, j'ai cherché des réponses. Dans les livres, en comptant des gens, des médecins. des thérapeutes, des praticiens lors des voyages et j'en passe. Parfois j'ai trouvé des réponses, parfois non. Et sur ce chemin, il y avait des hauts, des bas, des victoires et des échecs. Et moi je dirais que c'est pas des échecs, ce sont des apprentissages. Aujourd'hui je veux les partager avec toi. Je veux partager avec toi comment j'ai compris ce qu'est vraiment la douleur et comment la gérer. Non pas d'une seule manière, mais de façon plus globale. Et surtout, pourquoi j'ai voulu l'écrire, cet épisode. Parce que si je parle de la douleur, c'est quelque chose, oui, scientifiquement, on peut parler de la douleur, des mots, des sensations, et de l'attitude face à ça. Mais lorsque cette douleur, on n'arrive pas à la décrire, ou lorsqu'on éprouve de la douleur, et que... personne ne comprend. Que ce soit son entourage ou bien les différents professionnels qu'on voit, c'est assez compliqué. Parce que mettre des mots sur nos mots, M-A-V-X, ce n'est pas forcément évident. Et ce n'est pas donné à tout le monde de pouvoir l'exprimer et s'exprimer. Mais c'est quelque chose qui est là. Cette douleur, elle est là. Au début, c'est un petit signal. Donc, on a mal quelque part. On a un point. On commence à avoir des crampes, des palpitations, voire même le corps commence à avoir une autre forme. Ça peut être au niveau de la tête, des maux de tête, peu importe. Ce qui se passe, notre corps commence à nous voyer un signal, et ce signal au début est petit, et au fur et à mesure, il s'intensifie, et il peut apparaître après un effort ou une blessure. Et parfois, il arrive là, comme ça, on ne sait pas pourquoi. Je dirais que c'est un état qui s'installe, et parfois elle peut rester plusieurs mois, voire plusieurs années, et un jour on osait. Mais si, si je réfléchis bien, j'avais eu l'information, mais c'était quoi ? Et surtout cette douleur, qu'est-ce qu'elle finit par faire ? Elle finit par influencer la façon dont tu dors, dont tu te déplaces, dont tu parles aux autres, dont tu manges, et surtout la façon dont tu te vois avec toi-même. La façon dont tu te comportes avec toi-même est la façon dont tu vois ta propre image, si tu la vois bien sûr. Mais si tu ne la vois pas, c'est comment tu t'entends ton corps. Parce que moi j'insiste dessus en disant qu'une douleur, lorsqu'elle est là, c'est qu'il y a forcément un déséquilibre quelque part. Lorsque la douleur est là et qu'elle nous parle, c'est que forcément il y a un endroit de tension. Il y a un endroit, ou une zone, ou vous-même. Un milieu qui ne convient pas. Est-ce qu'on l'entend ? Est-ce qu'on la comprend ? Ce n'est pas quelque chose qu'on a appris. Donc forcément, au début, on ne sait pas l'identifier. Mais lorsqu'on commence à se renseigner, les informations arrivent. Et lorsqu'on commence à être attentif à son corps, ces informations aussi arrivent. Donc pour te donner une petite image, parce que moi j'aime bien parler en images. C'est comme un détecteur de fumée qui se déclenche sans raison. Et donc ce bruit-là, au bout d'un moment, il est strident. Ça continue, ça continue, et ça commence à être énervant. Même s'il y avait le feu et que ça s'éteint, ça continue quand même. Du coup, qu'est-ce qui se passe ? Notre corps se crisse, on commence à être agacé par ce qui se passe. Oui, ça devient épuisant au fur et à mesure. Et c'est exactement comme ça que ressentent les gens qui vivent cette douleur. Elle est là au début, ensuite elle crie. Au fur et à mesure qu'elle crie, elle s'installe. On se dit ça va passer. On prend quelque chose pour l'étouffer. Après on reprend quelque chose et ainsi de suite. Et ça fait une montagne au point où au bout d'un moment, on habitue tellement notre corps, mais surtout soi-même on est habitué à rester avec. qu'on se dit que c'est normal. Mais qu'est-ce qui est normal ? L'attitude normale, c'est l'attitude d'un enfant. Si vous regardez un enfant, en fait il s'amuse, quand il tombe, il se relève, il crie un peu, il passe, il dit quand il a mal et quand il n'a pas mal. Mais nous les adultes, on a appris à garder cette douleur, à se dire c'est normal. Maintenant, ce qui est normal, c'est l'homésasie du corps, le cycle lorsque tous les organes sont en harmonie, c'est là que c'est normal. La non-normalité, c'est lorsque le déséquilibre se crée dans le corps, et donc ça veut dire que quelque chose ne va pas. Et moi, comment ça s'est passé ? Eh bien, j'étais jeune, j'étais ado, je faisais beaucoup de sport, du basket exactement. Avant ça, j'avais fait de l'athlétisme, du volleyball, j'aimais bien aller à la piscine. Mais finalement, c'est sur le basket que je me suis arrêtée. Donc là, comment ça a commencé ? Au début, quand je courais, j'avais quelques zones de tension, mais je ne faisais pas attention. Puisque lorsqu'on fait du sport, on se dit que c'est un peu normal. Et finalement, mon corps a commencé à changer. J'ai commencé à grossir, à gonfler légèrement. Et là, le coach qui a aussi repéré me dit « qu'est-ce qui se passe ? » Donc là, je lui ai dit « je ne sais pas » . Et donc, j'étais essoufflée, je n'arrivais pas à courir et je prenais de plus en plus de poids. Et finalement, c'était soit tu vas voir un médecin, Soit tu serres le banc. Et lorsqu'on fait du sport, surtout à un certain niveau, et intensité, on ne veut pas serrer le banc. Et de toute façon, on le voit bien. Serrer le banc, ça équivaut à ne pas jouer, à regarder les autres jouer. Et donc, du coup, je suis partie faire les examens. J'ai vu le médecin. Le médecin m'envoie à l'hôpital. Et finalement, à l'hôpital, c'est assez complexe. Alors du coup, examen sur examen, je suis restée plusieurs semaines. Finalement, pour ressortir, on disait, on ne sait pas. mais on me donne un traitement. Donc je prends ce traitement, et à l'extérieur, qu'est-ce qui se passe ? Je prends du poids, je maigris, je prends du poids, je maigris. Alors du coup, j'ai souvent des retours des personnes, mais qu'est-ce qu'elle a ? Elle prend du poids, elle maigrit. Donc il y a toutes les histoires. Elle est enceinte, elle est malade, on ne sait pas. Moi, perso, je ne me prononcerai pas, parce que je savais que je n'avais pas de réponse à leur donner. Mais par contre... On est confronté souvent à des critiques de d'autres personnes, sans qu'ils sachent vraiment ce qui se passe dans notre vie. Et ça, je pense que les personnes qui vivent la douleur le ressentent. D'avoir des retours de personnes qui ne font pas l'effort de connaître, mais en même temps, est-ce qu'il y a vraiment quelque chose à connaître ? Non, je pense que c'est aussi de respecter ce qui est en train de passer chez cette personne. Parce que lorsqu'on respecte ce qui se passe chez la personne qui est en train de vivre une douleur, en fait c'est différent. Pour moi, c'est d'avoir un côté bienveillant et être dans la compassion. Parce qu'on ne peut pas tout dire lorsqu'on vit une douleur, parce que des fois, on n'arrive pas à l'exprimer. Et c'est ça. Et je pense que toi qui m'écoutes, tu as certainement vécu cette situation ou tu connais quelqu'un qui a vécu cette situation-là. Et donc pour moi, pendant que je vivais ça, j'ai cru qu'il suffisait simplement d'une solution pour régler mon problème. Mais en fin de compte, comme je voyais que ce n'était pas forcément que ça, Je me suis dit, je vais aller chercher à côté. Et c'est là que j'ai commencé à chercher quelles sont les autres solutions que je pouvais avoir. Parce que je me suis dit que si je me limite à une seule approche, et c'est grâce aux synchronicités, aux rencontres que j'ai faites, que ça m'a ouvert l'esprit. Pour moi, cette phase que j'étais en train de vivre, c'est comme si j'étais une plante. Et en fait, c'est comme si je voyais tout ça d'un seul angle. C'est comme couper les feuilles d'une plante qui est malade, et pas s'occuper de la racine. Est-ce que ça va l'aider ? Non, moi j'aime beaucoup les plantes et la nature, parce que je pars du principe que grâce à elles, on est ici. Si elles n'étaient pas là, nous ne serions plus là. Mais c'est comment je la traite ? Est-ce que lorsque la plante est malade, je la prends en pot, je la jette directement, ou est-ce que j'essaie de changer son engrais ? Est-ce que j'essaie de lui parler, de la bichonner, de lui donner des produits, de la changer de place ? Voilà, c'est ça. C'est d'avoir un autre regard. Et c'est ça que j'appelle d'avoir une approche plus globale. Et c'est vers ça aussi que je suis allée pour moi. Et c'est comme ça que j'ai pu travailler plusieurs aspects. Et ces différents aspects, c'était le corps, mon esprit, mes habitudes, mon alimentation, mon environnement en global. Et pourquoi je te parle de ces cinq points-là ? Parce que ces cinq points-là sont très importants. Et si tu oublies un des points, il y aura un déséquilibre qui se crée. Et pour moi, ces cinq éléments sont les bases aussi de ton équilibre. Lorsque tu équilibres ces cinq, eh bien, tu as une vie qui est stable. Et quand ce n'est pas le cas... le déséquilibre va se voir. Qu'est-ce que ça te parle ? Et justement, pour aller encore plus loin, je vais te donner un autre métaphore que j'utilise beaucoup, c'est le jardin. Parce que moi, j'aime faire du jardinage et j'aime mettre mes mains à terre. J'aime ça parce que je pars du principe que la nature, elle est tellement merveilleuse. Quand on regarde ses feuilles, avec le fractal qu'il y a dessus, en fait, on se rend compte que la vie est un miracle et que c'est magnifique. Donc, quand je vis cette douleur, et que je regarde cette plante, je me dis qu'est-ce que la plante est en train de m'apprendre par rapport à ma douleur. Et donc, par rapport à ce jardin dont j'étais en train de parler, pour qu'il soit en bonne santé, il faut arroser le jardin, il faut l'entretenir, il faut enlever les mauvaises herbes, et encore, attention, quand je dis mauvaises herbes, c'est pas toutes. Parce qu'il faut quand même préserver la biodiversité. Donc c'est important. Des fois, il y a des herbes qui poussent, ils sont là aussi pour quelque chose de bien. En fait, rien n'est... au hasard dans tout ce qu'on est en train de vivre. Et nourrir la terre, l'enrichir, l'enrichir d'engrais naturels, mais aussi l'enrichir et lorsqu'on fait des gestes d'amour, lorsqu'on est conscient de ce qu'on est en train de faire et qu'on remercie après la terre des fruits qu'on a récoltés, mais aussi de l'arbre qui a poussé, et bien tout ça, ça joue à contribuer. Parce qu'en fait, la plante qu'on va prendre, ou l'aliment qu'on va récolter, c'est ça qui va nourrir. Et pour qu'elle nous nourrisse, lorsqu'on le fait en conscience, en remerciant, on se rend compte qu'elle nous fait du bien. Et c'est là où je veux t'emmener, c'est de te dire, lorsque tu as un autre regard sur toi-même, comme un jardinier, et que tu te dis, ok, je suis en train de vivre la douleur, ça veut dire qu'il y a quelque chose qui ne convient pas. Et lorsque cette chose ne convient pas, si cette chose ne convient pas, qu'est-ce que je peux changer, qu'est-ce que je peux améliorer, qu'est-ce que je peux enlever ? Donc là, à partir de là, tu te mets en action. Mais si tu restes et que tu la subis, ton corps, qui est comme ce jardin, commence à créer des zones qui vont faire que ça va pourrir ou ça ne va pas être fertile ou elle va te reculer en mode de l'eau. En fait, c'est exactement ça. Alors, d'avoir compris tout ça, et par les rencontres que j'ai faites et les formations que j'avais faites, Puisque quand j'ai commencé à chercher, c'est vrai que je me documentais énormément. Mais derrière, je cherchais aussi des sources. Et donc pour ça, je me suis formée avec des médecins. Et je me suis formée aussi avec des praticiens reconnus. Et derrière, j'allais à des séminaires. Et je pense que... Le fait d'avoir eu toutes ces informations, ça m'a aidé dans ma gestion. Et d'avoir des professionnels avec qui je travaillais. Et ces professionnels, c'était des professionnels de la médecine allopathique et des professionnels de santé naturelle. Donc les deux combinés. Plus tout ce qui est en rapport avec les traditions et tout ce qui est en rapport avec la compréhension de la vie, la compréhension de moi-même, la compréhension de mon environnement. Tout ça, je devais le prendre en considération par rapport à mes douleurs. Et en fin de compte, lorsqu'on pose un autre regard sur sa douleur et sur soi-même, je peux dire que les choses changent. Parce qu'à partir du moment où on a compris pourquoi on est comme ça, là, notre corps commence à répondre différemment. À partir du moment où on commence à comprendre que notre corps vit avec un cycle, comme les quatre saisons de la vie, et bien là, on regarde aussi différemment son corps et sa douleur. Les approches sur lesquelles j'avais commencé, c'était la médecine chinoise, entre autres la réflexologie, la naturopathie et la nutrition. Et en fait, une combinaison de ces trois-là m'a beaucoup aidée pour travailler sur mon interne par l'alimentation et la réflexologie sur mon corps, mais aussi sur mon état d'esprit. par la médecine chinoise. Parce qu'en fait, il y avait aussi un côté philosophie qu'il faut employer. Et cette philosophie vient aussi des traditions et aussi des textes sacrés. Tout ça, je mettais en place. Et c'est aussi comme ça que j'ai pu gérer cette douleur. Alors, il y a des moments où je peux dire oui, il y a des crises. Mais après, quand ces crises sont là, c'est de comprendre pourquoi elles sont là. Non plus, non pas être dans l'analyse tout le temps, mais se dire, là je me pose et je regarde ce qui se passe. Et peut-être qu'en m'arrêtant, je vais avoir une autre compréhension. Voilà. Si j'ai parlé de ces différents sujets, aujourd'hui, c'est pour plusieurs raisons, qui sont très simples. C'est parce que je souhaite partager ce que j'ai appris. Donc je vais faire une petite série où je vais partager ce que j'ai appris, comment j'ai vécu, et comment je fais au quotidien par rapport. à tout ça, et de donner aussi des informations à d'autres personnes qui vivent ça, ou qui sont en train de le vivre, ou qui accompagnent des personnes qui le vivent. Parce que c'est important d'avoir un autre regard, une expérience. Non pas que tout ce qu'on lit c'est bon ou pas bon, mais d'avoir quelqu'un qui est passé par là et qui a une autre compréhension, en fait, je pense que c'est un très bon élément, parce que on est à même de comprendre et de ressentir mieux que celui qui ne l'a pas fait. Mais aussi d'offrir un espace d'écoute. de compréhension, de bienveillance et de compassion. Parce que pour moi, c'est important. Donc, si tu souhaites échanger avec moi dessus, ce sera avec joie. N'hésite pas à m'envoyer un message sur mes réseaux sociaux. J'y répondrai. Et l'objectif derrière aussi, c'est de transmettre un message. Un message, j'irai d'espoir. Je ne sais pas si c'est d'espoir, parce que ce mot est très fort. Mais un message pour dire, on n'est pas seul. Un message dans lequel je souhaite que tu saches que tu n'es pas seul. Parce que combien de personnes vivent une douleur et n'ont personne avec qui parler ? Combien de personnes vivent une douleur et sont seules ? Combien vivent une douleur et meurent tout seuls ? Combien passent de l'autre côté en étant seules ? Combien de personnes sont là avec la douleur et d'avoir personne autour ? Parce que tant qu'on n'est pas dans la maladie, comme j'ai tout le temps, une personne qui n'est pas malade ne comprend pas une personne malade. Encore faut-il s'intéresser. Mais c'est énergivore. Alors c'est pas... prendre la maladie de la personne, mais c'est juste d'être dans la compassion par rapport à cette maladie. Voilà, c'est plutôt ça que je dirais. Pour moi, cette série que je suis en train de faire est comme une petite lampe dans un tunnel sombre. On n'est pas encore sortis, mais on n'est plus complètement dans le noir. Et oui, parce que si on était vraiment dans le noir complet, je pense qu'on ne serait plus là. Ça veut dire qu'on serait de l'autre côté de la vie. Et là, c'est un autre sujet que j'aborderai dans un autre podcast. Mais avant de terminer, je voulais vous partager un échange que j'ai eu là récemment et qui m'a profondément marquée. C'est une personne que je connais qui se positionne en forme forte. Vous voyez, on se positionne souvent, je suis forte. Mais ça veut dire quoi d'être forte ? Et donc les douleurs, la personne a des douleurs partout. Elle a mal au dos tout le temps. Elle porte parfois une ceinture. Elle reste debout toute la journée. Après, elle rentre à sa cuisine. Comme Gilles, elle a sa deuxième journée qui commence avec son mari et ses enfants. Mais derrière, elle s'occupe de ses parents. En fait, elle s'occupe de tout le monde. Elle a mal au dos. Elle a mal aux épaules. Elle a mal aux genoux. Et elle va tout le temps se faire masser par un océopathe. Parce qu'elle a tout le temps mal. Mais l'océopathe, à un moment, lui dit, mais ça ne peut pas durer. Et oui. Et donc, du coup, je lui dis, mais... Mais ça ne peut pas durer parce que tu as des messages de ton corps, mais tu ne l'entends pas. Et qu'est-ce qu'il faut faire maintenant ? C'est d'aller comprendre qu'est-ce que les messages de ton corps te disent, mais aussi de comprendre pourquoi ton corps est enflammé. Et pourquoi tu as cette inflammation en fait ? Cette inflammation qui fait... Je vais donner une métaphore, le feu. Quand il y a du feu, qu'est-ce qu'on fait ? On l'éteint. Mais comment on l'éteint ? En mettant de l'eau ? Mais peut-être qu'en mettant de l'eau d'un coup brutalement, ça ne va pas aller. Peut-être qu'il y a une autre façon de l'éteindre doucement. Et donc, en fait, c'est ça. C'était lui donner un conseil d'aller faire des examens. Donc, elle est partie faire des examens médicaux. Donc, la panne au plus complète, comme on dit, le check-up global. Et là, finalement, elle se rend compte qu'elle a échappé à beaucoup de choses. Mais c'est surtout, le médecin lui a dit, mais vous savez quoi, il faut vous reposer, votre corps n'en peut plus. Et là, je me suis dit, quelle sagesse. Et toi, qu'est-ce que tu as compris ? Et elle me répond, J'ai compris une chose, c'est qu'aujourd'hui, je dois être ma priorité. Et là, j'ai dit voilà, t'as tapé dans le mille, c'est ta priorité. Parce qu'à partir du moment où ton corps commence à crier, tu dois être ta priorité. Penser aux autres, c'est bien, mais qui pense à toi ? Faire les choses pour les autres, c'est bien, mais toi, qui va le faire pour toi ? Et c'est là qu'elle m'a dit oui, je dois effectivement penser à moi, m'arrêter. M'arrêter non pas de dire de tout faire. Mais m'arrêter d'être au service de tout le monde et d'oublier que si moi-même, je ne suis pas en santé, si moi-même, je ne suis pas en forme, je ne peux pas aider les autres personnes. Et c'est là que je lui ai dit, c'est une belle prise de conscience que tu as eue. Et maintenant, dorénavant, qu'est-ce que tu vas faire ? C'est de changer mes habitudes, que ce soit alimentaire, de pensée, mais surtout mes habitudes dans ma façon globale de gérer ma vie, parce que je me rends compte que ça prend le dessus sur moi. Voilà, je voulais vous partager cette histoire. Vous me direz ce que vous en pensez. Mais moi, je tenais vraiment à ce que vous le sachiez, parce que c'est quelque chose qui m'a marquée. Et tout ça pour dire qu'on ne doit pas attendre que notre corps crée pour commencer à changer. Et enfin, pour finir, je dirais aussi que la douleur, si elle persiste, elle peut être complexe. Mais lorsqu'elle est là, c'est qu'elle donne une information. Mais par rapport à cette douleur, ce qu'il faut savoir, c'est qu'on peut apprendre à vivre avec, à la comprendre et à la gérer grâce aux accompagnements qu'on fait, grâce aux accompagnements qu'on peut avoir. par différents thérapeutes, par différents praticiens, par différents personnels du corps médical, par différentes pratiques, mais qui sont bien sûr complémentaires, comme je dis, à la médecine allopathique. Parce que ce qu'il ne faut pas oublier, c'est que chaque chose doit nous éveiller à prendre conscience de cette vieux pression que nous avons. Et chaque chose doit nous éveiller à prendre conscience. de l'importance de notre corps qui est un trésor qu'on doit chérir. Dans les prochains épisodes, si tu acceptes, on avancera ensemble, si tu veux bien. Et en conscience, parce que chaque épisode va t'apprendre sur la douleur, sur toi-même. Et si tu as des questions, n'hésite pas à me les communiquer. Donc si cet épisode t'a parlé, n'hésite pas à le partager à quelqu'un qui pourrait en avoir besoin. Et je te dis à très bientôt. Voilà, cet épisode touche à sa fin. Et je te remercie de l'avoir écouté jusqu'au bout. Si tu ressens le besoin d'être accompagné dans ton parcours, je serai ravie de te guider dans ton chemin, quitter dans la résilience, dans ta clé de naissance, ou simplement te soutenir pour traverser les épreuves ou tes expériences avec plus de sérénité. En cela, tu peux consulter mon site internet. fantajane.fr ou mon compte Instagram fanta__jane en m'envoyant un message ou simplement prendre rendez-vous en ligne. Pour moi, chaque filet d'eau a son chemin. Rendez-vous dans deux semaines pour le prochain épisode. Et si ce n'est pas déjà fait, abonne-toi. Salutations, c'était Fantajane.

Chapters

  • Introduction au podcast et à la douleur

    00:03

  • L'impact de la douleur sur la vie quotidienne

    00:44

  • Comprendre la douleur et ses messages

    01:45

  • Les signaux du corps et l'importance de l'écoute

    04:00

  • Approche globale pour gérer la douleur

    09:50

  • Conclusion et invitation à la réflexion

    21:38

Description

La douleur est-elle vraiment un simple fait de la vie, ou peut-elle être un véritable signal d'alarme de notre corps surtout dans la maladie-auto-immune?

Dans cet épisode du podcast "Élan de vie", Fanta Diane nous invite à explorer la thématique de la douleur et de sa gestion d'une manière profondément humaine et éclairante., Fanta partage son parcours personnel, révélant l'impact de la douleur sur son quotidien et ses habitudes de vie. Elle nous rappelle que comprendre et gérer la douleur est essentiel pour notre mieux-être et notre épanouissement.

À travers des récits touchants et des métaphores inspirées de la philosophie de la nature, Fanta nous explique que la douleur n'est pas une fatalité, mais un message que notre corps nous envoie. Elle insiste sur l'importance de prêter attention à ces signaux et de ne pas les considérer comme normaux. En utilisant son expertise scientifique et son expérience, elle nous guide dans un cheminement intérieur, nous aidant à mieux nous connaître et à explorer notre rapport à la douleur.

Fanta partage également des conseils pratiques pour équilibrer notre corps et notre esprit, en abordant des sujets tels que les habitudes, l'alimentation et l'environnement. Elle évoque l'importance de ne pas rester seul face à la douleur, et encourage chacun à rechercher un soutien et une compréhension, car nous avons tous le droit à un bien-être mental optimal. En intégrant des éléments de coaching de vie, elle nous invite à surmonter l'anxiété et à transformer notre douleur en source de force et de résilience.

Rejoignez-nous dans cet épisode captivant du podcast "Élan de vie" où Fanta Diane nous offre non seulement des clés pour gérer la douleur, mais aussi une véritable découverte de soi. Que vous soyez en quête de sens ou expert dans le domaine, cet échange enrichissant vous apportera des perspectives nouvelles sur la vie et le bien-être. Ne manquez pas cette occasion de vous engager sur le chemin de la connaissance de soi et de l'élan quotidien vers une existence plus harmonieuse.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Salutations et bienvenue dans Élan de vie, je suis Fantadiane, c'est avec joie que je vous partage cet épisode. Vous écoutez le podcast qui transforme vos épreuves en forces intérieures. Consultante en projet de vie et inflexologue à chaque épisode, je vous livre mes réflexions les plus authentiques et je donne la parole à celles et ceux qui m'inspirent par leur parcours de transformation en Élan de vie. Si vous cherchez à puiser dans vos ressources intérieures pour grandir, à travers vos expériences, vous êtes au bon endroit. Parce que chaque filet d'eau a son chemin, chaque personne est unique. Salutations et bienvenue dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, je vais vous parler de la douleur et aussi un peu de sa gestion. Pourquoi ? Parce que c'est quelque chose qui est très personnel, cet épisode. Je vais vous raconter le début de mon histoire. Parce que je sais à quel point vivre avec la douleur, surtout lorsqu'elle dure, ça peut changer notre quotidien, nos habitudes et notre façon de voir la vie. Tu vas me dire pourquoi ça ? Parce que pendant longtemps, moi qui te parle là, j'ai cherché des solutions, j'ai cherché des réponses. Dans les livres, en comptant des gens, des médecins. des thérapeutes, des praticiens lors des voyages et j'en passe. Parfois j'ai trouvé des réponses, parfois non. Et sur ce chemin, il y avait des hauts, des bas, des victoires et des échecs. Et moi je dirais que c'est pas des échecs, ce sont des apprentissages. Aujourd'hui je veux les partager avec toi. Je veux partager avec toi comment j'ai compris ce qu'est vraiment la douleur et comment la gérer. Non pas d'une seule manière, mais de façon plus globale. Et surtout, pourquoi j'ai voulu l'écrire, cet épisode. Parce que si je parle de la douleur, c'est quelque chose, oui, scientifiquement, on peut parler de la douleur, des mots, des sensations, et de l'attitude face à ça. Mais lorsque cette douleur, on n'arrive pas à la décrire, ou lorsqu'on éprouve de la douleur, et que... personne ne comprend. Que ce soit son entourage ou bien les différents professionnels qu'on voit, c'est assez compliqué. Parce que mettre des mots sur nos mots, M-A-V-X, ce n'est pas forcément évident. Et ce n'est pas donné à tout le monde de pouvoir l'exprimer et s'exprimer. Mais c'est quelque chose qui est là. Cette douleur, elle est là. Au début, c'est un petit signal. Donc, on a mal quelque part. On a un point. On commence à avoir des crampes, des palpitations, voire même le corps commence à avoir une autre forme. Ça peut être au niveau de la tête, des maux de tête, peu importe. Ce qui se passe, notre corps commence à nous voyer un signal, et ce signal au début est petit, et au fur et à mesure, il s'intensifie, et il peut apparaître après un effort ou une blessure. Et parfois, il arrive là, comme ça, on ne sait pas pourquoi. Je dirais que c'est un état qui s'installe, et parfois elle peut rester plusieurs mois, voire plusieurs années, et un jour on osait. Mais si, si je réfléchis bien, j'avais eu l'information, mais c'était quoi ? Et surtout cette douleur, qu'est-ce qu'elle finit par faire ? Elle finit par influencer la façon dont tu dors, dont tu te déplaces, dont tu parles aux autres, dont tu manges, et surtout la façon dont tu te vois avec toi-même. La façon dont tu te comportes avec toi-même est la façon dont tu vois ta propre image, si tu la vois bien sûr. Mais si tu ne la vois pas, c'est comment tu t'entends ton corps. Parce que moi j'insiste dessus en disant qu'une douleur, lorsqu'elle est là, c'est qu'il y a forcément un déséquilibre quelque part. Lorsque la douleur est là et qu'elle nous parle, c'est que forcément il y a un endroit de tension. Il y a un endroit, ou une zone, ou vous-même. Un milieu qui ne convient pas. Est-ce qu'on l'entend ? Est-ce qu'on la comprend ? Ce n'est pas quelque chose qu'on a appris. Donc forcément, au début, on ne sait pas l'identifier. Mais lorsqu'on commence à se renseigner, les informations arrivent. Et lorsqu'on commence à être attentif à son corps, ces informations aussi arrivent. Donc pour te donner une petite image, parce que moi j'aime bien parler en images. C'est comme un détecteur de fumée qui se déclenche sans raison. Et donc ce bruit-là, au bout d'un moment, il est strident. Ça continue, ça continue, et ça commence à être énervant. Même s'il y avait le feu et que ça s'éteint, ça continue quand même. Du coup, qu'est-ce qui se passe ? Notre corps se crisse, on commence à être agacé par ce qui se passe. Oui, ça devient épuisant au fur et à mesure. Et c'est exactement comme ça que ressentent les gens qui vivent cette douleur. Elle est là au début, ensuite elle crie. Au fur et à mesure qu'elle crie, elle s'installe. On se dit ça va passer. On prend quelque chose pour l'étouffer. Après on reprend quelque chose et ainsi de suite. Et ça fait une montagne au point où au bout d'un moment, on habitue tellement notre corps, mais surtout soi-même on est habitué à rester avec. qu'on se dit que c'est normal. Mais qu'est-ce qui est normal ? L'attitude normale, c'est l'attitude d'un enfant. Si vous regardez un enfant, en fait il s'amuse, quand il tombe, il se relève, il crie un peu, il passe, il dit quand il a mal et quand il n'a pas mal. Mais nous les adultes, on a appris à garder cette douleur, à se dire c'est normal. Maintenant, ce qui est normal, c'est l'homésasie du corps, le cycle lorsque tous les organes sont en harmonie, c'est là que c'est normal. La non-normalité, c'est lorsque le déséquilibre se crée dans le corps, et donc ça veut dire que quelque chose ne va pas. Et moi, comment ça s'est passé ? Eh bien, j'étais jeune, j'étais ado, je faisais beaucoup de sport, du basket exactement. Avant ça, j'avais fait de l'athlétisme, du volleyball, j'aimais bien aller à la piscine. Mais finalement, c'est sur le basket que je me suis arrêtée. Donc là, comment ça a commencé ? Au début, quand je courais, j'avais quelques zones de tension, mais je ne faisais pas attention. Puisque lorsqu'on fait du sport, on se dit que c'est un peu normal. Et finalement, mon corps a commencé à changer. J'ai commencé à grossir, à gonfler légèrement. Et là, le coach qui a aussi repéré me dit « qu'est-ce qui se passe ? » Donc là, je lui ai dit « je ne sais pas » . Et donc, j'étais essoufflée, je n'arrivais pas à courir et je prenais de plus en plus de poids. Et finalement, c'était soit tu vas voir un médecin, Soit tu serres le banc. Et lorsqu'on fait du sport, surtout à un certain niveau, et intensité, on ne veut pas serrer le banc. Et de toute façon, on le voit bien. Serrer le banc, ça équivaut à ne pas jouer, à regarder les autres jouer. Et donc, du coup, je suis partie faire les examens. J'ai vu le médecin. Le médecin m'envoie à l'hôpital. Et finalement, à l'hôpital, c'est assez complexe. Alors du coup, examen sur examen, je suis restée plusieurs semaines. Finalement, pour ressortir, on disait, on ne sait pas. mais on me donne un traitement. Donc je prends ce traitement, et à l'extérieur, qu'est-ce qui se passe ? Je prends du poids, je maigris, je prends du poids, je maigris. Alors du coup, j'ai souvent des retours des personnes, mais qu'est-ce qu'elle a ? Elle prend du poids, elle maigrit. Donc il y a toutes les histoires. Elle est enceinte, elle est malade, on ne sait pas. Moi, perso, je ne me prononcerai pas, parce que je savais que je n'avais pas de réponse à leur donner. Mais par contre... On est confronté souvent à des critiques de d'autres personnes, sans qu'ils sachent vraiment ce qui se passe dans notre vie. Et ça, je pense que les personnes qui vivent la douleur le ressentent. D'avoir des retours de personnes qui ne font pas l'effort de connaître, mais en même temps, est-ce qu'il y a vraiment quelque chose à connaître ? Non, je pense que c'est aussi de respecter ce qui est en train de passer chez cette personne. Parce que lorsqu'on respecte ce qui se passe chez la personne qui est en train de vivre une douleur, en fait c'est différent. Pour moi, c'est d'avoir un côté bienveillant et être dans la compassion. Parce qu'on ne peut pas tout dire lorsqu'on vit une douleur, parce que des fois, on n'arrive pas à l'exprimer. Et c'est ça. Et je pense que toi qui m'écoutes, tu as certainement vécu cette situation ou tu connais quelqu'un qui a vécu cette situation-là. Et donc pour moi, pendant que je vivais ça, j'ai cru qu'il suffisait simplement d'une solution pour régler mon problème. Mais en fin de compte, comme je voyais que ce n'était pas forcément que ça, Je me suis dit, je vais aller chercher à côté. Et c'est là que j'ai commencé à chercher quelles sont les autres solutions que je pouvais avoir. Parce que je me suis dit que si je me limite à une seule approche, et c'est grâce aux synchronicités, aux rencontres que j'ai faites, que ça m'a ouvert l'esprit. Pour moi, cette phase que j'étais en train de vivre, c'est comme si j'étais une plante. Et en fait, c'est comme si je voyais tout ça d'un seul angle. C'est comme couper les feuilles d'une plante qui est malade, et pas s'occuper de la racine. Est-ce que ça va l'aider ? Non, moi j'aime beaucoup les plantes et la nature, parce que je pars du principe que grâce à elles, on est ici. Si elles n'étaient pas là, nous ne serions plus là. Mais c'est comment je la traite ? Est-ce que lorsque la plante est malade, je la prends en pot, je la jette directement, ou est-ce que j'essaie de changer son engrais ? Est-ce que j'essaie de lui parler, de la bichonner, de lui donner des produits, de la changer de place ? Voilà, c'est ça. C'est d'avoir un autre regard. Et c'est ça que j'appelle d'avoir une approche plus globale. Et c'est vers ça aussi que je suis allée pour moi. Et c'est comme ça que j'ai pu travailler plusieurs aspects. Et ces différents aspects, c'était le corps, mon esprit, mes habitudes, mon alimentation, mon environnement en global. Et pourquoi je te parle de ces cinq points-là ? Parce que ces cinq points-là sont très importants. Et si tu oublies un des points, il y aura un déséquilibre qui se crée. Et pour moi, ces cinq éléments sont les bases aussi de ton équilibre. Lorsque tu équilibres ces cinq, eh bien, tu as une vie qui est stable. Et quand ce n'est pas le cas... le déséquilibre va se voir. Qu'est-ce que ça te parle ? Et justement, pour aller encore plus loin, je vais te donner un autre métaphore que j'utilise beaucoup, c'est le jardin. Parce que moi, j'aime faire du jardinage et j'aime mettre mes mains à terre. J'aime ça parce que je pars du principe que la nature, elle est tellement merveilleuse. Quand on regarde ses feuilles, avec le fractal qu'il y a dessus, en fait, on se rend compte que la vie est un miracle et que c'est magnifique. Donc, quand je vis cette douleur, et que je regarde cette plante, je me dis qu'est-ce que la plante est en train de m'apprendre par rapport à ma douleur. Et donc, par rapport à ce jardin dont j'étais en train de parler, pour qu'il soit en bonne santé, il faut arroser le jardin, il faut l'entretenir, il faut enlever les mauvaises herbes, et encore, attention, quand je dis mauvaises herbes, c'est pas toutes. Parce qu'il faut quand même préserver la biodiversité. Donc c'est important. Des fois, il y a des herbes qui poussent, ils sont là aussi pour quelque chose de bien. En fait, rien n'est... au hasard dans tout ce qu'on est en train de vivre. Et nourrir la terre, l'enrichir, l'enrichir d'engrais naturels, mais aussi l'enrichir et lorsqu'on fait des gestes d'amour, lorsqu'on est conscient de ce qu'on est en train de faire et qu'on remercie après la terre des fruits qu'on a récoltés, mais aussi de l'arbre qui a poussé, et bien tout ça, ça joue à contribuer. Parce qu'en fait, la plante qu'on va prendre, ou l'aliment qu'on va récolter, c'est ça qui va nourrir. Et pour qu'elle nous nourrisse, lorsqu'on le fait en conscience, en remerciant, on se rend compte qu'elle nous fait du bien. Et c'est là où je veux t'emmener, c'est de te dire, lorsque tu as un autre regard sur toi-même, comme un jardinier, et que tu te dis, ok, je suis en train de vivre la douleur, ça veut dire qu'il y a quelque chose qui ne convient pas. Et lorsque cette chose ne convient pas, si cette chose ne convient pas, qu'est-ce que je peux changer, qu'est-ce que je peux améliorer, qu'est-ce que je peux enlever ? Donc là, à partir de là, tu te mets en action. Mais si tu restes et que tu la subis, ton corps, qui est comme ce jardin, commence à créer des zones qui vont faire que ça va pourrir ou ça ne va pas être fertile ou elle va te reculer en mode de l'eau. En fait, c'est exactement ça. Alors, d'avoir compris tout ça, et par les rencontres que j'ai faites et les formations que j'avais faites, Puisque quand j'ai commencé à chercher, c'est vrai que je me documentais énormément. Mais derrière, je cherchais aussi des sources. Et donc pour ça, je me suis formée avec des médecins. Et je me suis formée aussi avec des praticiens reconnus. Et derrière, j'allais à des séminaires. Et je pense que... Le fait d'avoir eu toutes ces informations, ça m'a aidé dans ma gestion. Et d'avoir des professionnels avec qui je travaillais. Et ces professionnels, c'était des professionnels de la médecine allopathique et des professionnels de santé naturelle. Donc les deux combinés. Plus tout ce qui est en rapport avec les traditions et tout ce qui est en rapport avec la compréhension de la vie, la compréhension de moi-même, la compréhension de mon environnement. Tout ça, je devais le prendre en considération par rapport à mes douleurs. Et en fin de compte, lorsqu'on pose un autre regard sur sa douleur et sur soi-même, je peux dire que les choses changent. Parce qu'à partir du moment où on a compris pourquoi on est comme ça, là, notre corps commence à répondre différemment. À partir du moment où on commence à comprendre que notre corps vit avec un cycle, comme les quatre saisons de la vie, et bien là, on regarde aussi différemment son corps et sa douleur. Les approches sur lesquelles j'avais commencé, c'était la médecine chinoise, entre autres la réflexologie, la naturopathie et la nutrition. Et en fait, une combinaison de ces trois-là m'a beaucoup aidée pour travailler sur mon interne par l'alimentation et la réflexologie sur mon corps, mais aussi sur mon état d'esprit. par la médecine chinoise. Parce qu'en fait, il y avait aussi un côté philosophie qu'il faut employer. Et cette philosophie vient aussi des traditions et aussi des textes sacrés. Tout ça, je mettais en place. Et c'est aussi comme ça que j'ai pu gérer cette douleur. Alors, il y a des moments où je peux dire oui, il y a des crises. Mais après, quand ces crises sont là, c'est de comprendre pourquoi elles sont là. Non plus, non pas être dans l'analyse tout le temps, mais se dire, là je me pose et je regarde ce qui se passe. Et peut-être qu'en m'arrêtant, je vais avoir une autre compréhension. Voilà. Si j'ai parlé de ces différents sujets, aujourd'hui, c'est pour plusieurs raisons, qui sont très simples. C'est parce que je souhaite partager ce que j'ai appris. Donc je vais faire une petite série où je vais partager ce que j'ai appris, comment j'ai vécu, et comment je fais au quotidien par rapport. à tout ça, et de donner aussi des informations à d'autres personnes qui vivent ça, ou qui sont en train de le vivre, ou qui accompagnent des personnes qui le vivent. Parce que c'est important d'avoir un autre regard, une expérience. Non pas que tout ce qu'on lit c'est bon ou pas bon, mais d'avoir quelqu'un qui est passé par là et qui a une autre compréhension, en fait, je pense que c'est un très bon élément, parce que on est à même de comprendre et de ressentir mieux que celui qui ne l'a pas fait. Mais aussi d'offrir un espace d'écoute. de compréhension, de bienveillance et de compassion. Parce que pour moi, c'est important. Donc, si tu souhaites échanger avec moi dessus, ce sera avec joie. N'hésite pas à m'envoyer un message sur mes réseaux sociaux. J'y répondrai. Et l'objectif derrière aussi, c'est de transmettre un message. Un message, j'irai d'espoir. Je ne sais pas si c'est d'espoir, parce que ce mot est très fort. Mais un message pour dire, on n'est pas seul. Un message dans lequel je souhaite que tu saches que tu n'es pas seul. Parce que combien de personnes vivent une douleur et n'ont personne avec qui parler ? Combien de personnes vivent une douleur et sont seules ? Combien vivent une douleur et meurent tout seuls ? Combien passent de l'autre côté en étant seules ? Combien de personnes sont là avec la douleur et d'avoir personne autour ? Parce que tant qu'on n'est pas dans la maladie, comme j'ai tout le temps, une personne qui n'est pas malade ne comprend pas une personne malade. Encore faut-il s'intéresser. Mais c'est énergivore. Alors c'est pas... prendre la maladie de la personne, mais c'est juste d'être dans la compassion par rapport à cette maladie. Voilà, c'est plutôt ça que je dirais. Pour moi, cette série que je suis en train de faire est comme une petite lampe dans un tunnel sombre. On n'est pas encore sortis, mais on n'est plus complètement dans le noir. Et oui, parce que si on était vraiment dans le noir complet, je pense qu'on ne serait plus là. Ça veut dire qu'on serait de l'autre côté de la vie. Et là, c'est un autre sujet que j'aborderai dans un autre podcast. Mais avant de terminer, je voulais vous partager un échange que j'ai eu là récemment et qui m'a profondément marquée. C'est une personne que je connais qui se positionne en forme forte. Vous voyez, on se positionne souvent, je suis forte. Mais ça veut dire quoi d'être forte ? Et donc les douleurs, la personne a des douleurs partout. Elle a mal au dos tout le temps. Elle porte parfois une ceinture. Elle reste debout toute la journée. Après, elle rentre à sa cuisine. Comme Gilles, elle a sa deuxième journée qui commence avec son mari et ses enfants. Mais derrière, elle s'occupe de ses parents. En fait, elle s'occupe de tout le monde. Elle a mal au dos. Elle a mal aux épaules. Elle a mal aux genoux. Et elle va tout le temps se faire masser par un océopathe. Parce qu'elle a tout le temps mal. Mais l'océopathe, à un moment, lui dit, mais ça ne peut pas durer. Et oui. Et donc, du coup, je lui dis, mais... Mais ça ne peut pas durer parce que tu as des messages de ton corps, mais tu ne l'entends pas. Et qu'est-ce qu'il faut faire maintenant ? C'est d'aller comprendre qu'est-ce que les messages de ton corps te disent, mais aussi de comprendre pourquoi ton corps est enflammé. Et pourquoi tu as cette inflammation en fait ? Cette inflammation qui fait... Je vais donner une métaphore, le feu. Quand il y a du feu, qu'est-ce qu'on fait ? On l'éteint. Mais comment on l'éteint ? En mettant de l'eau ? Mais peut-être qu'en mettant de l'eau d'un coup brutalement, ça ne va pas aller. Peut-être qu'il y a une autre façon de l'éteindre doucement. Et donc, en fait, c'est ça. C'était lui donner un conseil d'aller faire des examens. Donc, elle est partie faire des examens médicaux. Donc, la panne au plus complète, comme on dit, le check-up global. Et là, finalement, elle se rend compte qu'elle a échappé à beaucoup de choses. Mais c'est surtout, le médecin lui a dit, mais vous savez quoi, il faut vous reposer, votre corps n'en peut plus. Et là, je me suis dit, quelle sagesse. Et toi, qu'est-ce que tu as compris ? Et elle me répond, J'ai compris une chose, c'est qu'aujourd'hui, je dois être ma priorité. Et là, j'ai dit voilà, t'as tapé dans le mille, c'est ta priorité. Parce qu'à partir du moment où ton corps commence à crier, tu dois être ta priorité. Penser aux autres, c'est bien, mais qui pense à toi ? Faire les choses pour les autres, c'est bien, mais toi, qui va le faire pour toi ? Et c'est là qu'elle m'a dit oui, je dois effectivement penser à moi, m'arrêter. M'arrêter non pas de dire de tout faire. Mais m'arrêter d'être au service de tout le monde et d'oublier que si moi-même, je ne suis pas en santé, si moi-même, je ne suis pas en forme, je ne peux pas aider les autres personnes. Et c'est là que je lui ai dit, c'est une belle prise de conscience que tu as eue. Et maintenant, dorénavant, qu'est-ce que tu vas faire ? C'est de changer mes habitudes, que ce soit alimentaire, de pensée, mais surtout mes habitudes dans ma façon globale de gérer ma vie, parce que je me rends compte que ça prend le dessus sur moi. Voilà, je voulais vous partager cette histoire. Vous me direz ce que vous en pensez. Mais moi, je tenais vraiment à ce que vous le sachiez, parce que c'est quelque chose qui m'a marquée. Et tout ça pour dire qu'on ne doit pas attendre que notre corps crée pour commencer à changer. Et enfin, pour finir, je dirais aussi que la douleur, si elle persiste, elle peut être complexe. Mais lorsqu'elle est là, c'est qu'elle donne une information. Mais par rapport à cette douleur, ce qu'il faut savoir, c'est qu'on peut apprendre à vivre avec, à la comprendre et à la gérer grâce aux accompagnements qu'on fait, grâce aux accompagnements qu'on peut avoir. par différents thérapeutes, par différents praticiens, par différents personnels du corps médical, par différentes pratiques, mais qui sont bien sûr complémentaires, comme je dis, à la médecine allopathique. Parce que ce qu'il ne faut pas oublier, c'est que chaque chose doit nous éveiller à prendre conscience de cette vieux pression que nous avons. Et chaque chose doit nous éveiller à prendre conscience. de l'importance de notre corps qui est un trésor qu'on doit chérir. Dans les prochains épisodes, si tu acceptes, on avancera ensemble, si tu veux bien. Et en conscience, parce que chaque épisode va t'apprendre sur la douleur, sur toi-même. Et si tu as des questions, n'hésite pas à me les communiquer. Donc si cet épisode t'a parlé, n'hésite pas à le partager à quelqu'un qui pourrait en avoir besoin. Et je te dis à très bientôt. Voilà, cet épisode touche à sa fin. Et je te remercie de l'avoir écouté jusqu'au bout. Si tu ressens le besoin d'être accompagné dans ton parcours, je serai ravie de te guider dans ton chemin, quitter dans la résilience, dans ta clé de naissance, ou simplement te soutenir pour traverser les épreuves ou tes expériences avec plus de sérénité. En cela, tu peux consulter mon site internet. fantajane.fr ou mon compte Instagram fanta__jane en m'envoyant un message ou simplement prendre rendez-vous en ligne. Pour moi, chaque filet d'eau a son chemin. Rendez-vous dans deux semaines pour le prochain épisode. Et si ce n'est pas déjà fait, abonne-toi. Salutations, c'était Fantajane.

Chapters

  • Introduction au podcast et à la douleur

    00:03

  • L'impact de la douleur sur la vie quotidienne

    00:44

  • Comprendre la douleur et ses messages

    01:45

  • Les signaux du corps et l'importance de l'écoute

    04:00

  • Approche globale pour gérer la douleur

    09:50

  • Conclusion et invitation à la réflexion

    21:38

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Description

La douleur est-elle vraiment un simple fait de la vie, ou peut-elle être un véritable signal d'alarme de notre corps surtout dans la maladie-auto-immune?

Dans cet épisode du podcast "Élan de vie", Fanta Diane nous invite à explorer la thématique de la douleur et de sa gestion d'une manière profondément humaine et éclairante., Fanta partage son parcours personnel, révélant l'impact de la douleur sur son quotidien et ses habitudes de vie. Elle nous rappelle que comprendre et gérer la douleur est essentiel pour notre mieux-être et notre épanouissement.

À travers des récits touchants et des métaphores inspirées de la philosophie de la nature, Fanta nous explique que la douleur n'est pas une fatalité, mais un message que notre corps nous envoie. Elle insiste sur l'importance de prêter attention à ces signaux et de ne pas les considérer comme normaux. En utilisant son expertise scientifique et son expérience, elle nous guide dans un cheminement intérieur, nous aidant à mieux nous connaître et à explorer notre rapport à la douleur.

Fanta partage également des conseils pratiques pour équilibrer notre corps et notre esprit, en abordant des sujets tels que les habitudes, l'alimentation et l'environnement. Elle évoque l'importance de ne pas rester seul face à la douleur, et encourage chacun à rechercher un soutien et une compréhension, car nous avons tous le droit à un bien-être mental optimal. En intégrant des éléments de coaching de vie, elle nous invite à surmonter l'anxiété et à transformer notre douleur en source de force et de résilience.

Rejoignez-nous dans cet épisode captivant du podcast "Élan de vie" où Fanta Diane nous offre non seulement des clés pour gérer la douleur, mais aussi une véritable découverte de soi. Que vous soyez en quête de sens ou expert dans le domaine, cet échange enrichissant vous apportera des perspectives nouvelles sur la vie et le bien-être. Ne manquez pas cette occasion de vous engager sur le chemin de la connaissance de soi et de l'élan quotidien vers une existence plus harmonieuse.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Salutations et bienvenue dans Élan de vie, je suis Fantadiane, c'est avec joie que je vous partage cet épisode. Vous écoutez le podcast qui transforme vos épreuves en forces intérieures. Consultante en projet de vie et inflexologue à chaque épisode, je vous livre mes réflexions les plus authentiques et je donne la parole à celles et ceux qui m'inspirent par leur parcours de transformation en Élan de vie. Si vous cherchez à puiser dans vos ressources intérieures pour grandir, à travers vos expériences, vous êtes au bon endroit. Parce que chaque filet d'eau a son chemin, chaque personne est unique. Salutations et bienvenue dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, je vais vous parler de la douleur et aussi un peu de sa gestion. Pourquoi ? Parce que c'est quelque chose qui est très personnel, cet épisode. Je vais vous raconter le début de mon histoire. Parce que je sais à quel point vivre avec la douleur, surtout lorsqu'elle dure, ça peut changer notre quotidien, nos habitudes et notre façon de voir la vie. Tu vas me dire pourquoi ça ? Parce que pendant longtemps, moi qui te parle là, j'ai cherché des solutions, j'ai cherché des réponses. Dans les livres, en comptant des gens, des médecins. des thérapeutes, des praticiens lors des voyages et j'en passe. Parfois j'ai trouvé des réponses, parfois non. Et sur ce chemin, il y avait des hauts, des bas, des victoires et des échecs. Et moi je dirais que c'est pas des échecs, ce sont des apprentissages. Aujourd'hui je veux les partager avec toi. Je veux partager avec toi comment j'ai compris ce qu'est vraiment la douleur et comment la gérer. Non pas d'une seule manière, mais de façon plus globale. Et surtout, pourquoi j'ai voulu l'écrire, cet épisode. Parce que si je parle de la douleur, c'est quelque chose, oui, scientifiquement, on peut parler de la douleur, des mots, des sensations, et de l'attitude face à ça. Mais lorsque cette douleur, on n'arrive pas à la décrire, ou lorsqu'on éprouve de la douleur, et que... personne ne comprend. Que ce soit son entourage ou bien les différents professionnels qu'on voit, c'est assez compliqué. Parce que mettre des mots sur nos mots, M-A-V-X, ce n'est pas forcément évident. Et ce n'est pas donné à tout le monde de pouvoir l'exprimer et s'exprimer. Mais c'est quelque chose qui est là. Cette douleur, elle est là. Au début, c'est un petit signal. Donc, on a mal quelque part. On a un point. On commence à avoir des crampes, des palpitations, voire même le corps commence à avoir une autre forme. Ça peut être au niveau de la tête, des maux de tête, peu importe. Ce qui se passe, notre corps commence à nous voyer un signal, et ce signal au début est petit, et au fur et à mesure, il s'intensifie, et il peut apparaître après un effort ou une blessure. Et parfois, il arrive là, comme ça, on ne sait pas pourquoi. Je dirais que c'est un état qui s'installe, et parfois elle peut rester plusieurs mois, voire plusieurs années, et un jour on osait. Mais si, si je réfléchis bien, j'avais eu l'information, mais c'était quoi ? Et surtout cette douleur, qu'est-ce qu'elle finit par faire ? Elle finit par influencer la façon dont tu dors, dont tu te déplaces, dont tu parles aux autres, dont tu manges, et surtout la façon dont tu te vois avec toi-même. La façon dont tu te comportes avec toi-même est la façon dont tu vois ta propre image, si tu la vois bien sûr. Mais si tu ne la vois pas, c'est comment tu t'entends ton corps. Parce que moi j'insiste dessus en disant qu'une douleur, lorsqu'elle est là, c'est qu'il y a forcément un déséquilibre quelque part. Lorsque la douleur est là et qu'elle nous parle, c'est que forcément il y a un endroit de tension. Il y a un endroit, ou une zone, ou vous-même. Un milieu qui ne convient pas. Est-ce qu'on l'entend ? Est-ce qu'on la comprend ? Ce n'est pas quelque chose qu'on a appris. Donc forcément, au début, on ne sait pas l'identifier. Mais lorsqu'on commence à se renseigner, les informations arrivent. Et lorsqu'on commence à être attentif à son corps, ces informations aussi arrivent. Donc pour te donner une petite image, parce que moi j'aime bien parler en images. C'est comme un détecteur de fumée qui se déclenche sans raison. Et donc ce bruit-là, au bout d'un moment, il est strident. Ça continue, ça continue, et ça commence à être énervant. Même s'il y avait le feu et que ça s'éteint, ça continue quand même. Du coup, qu'est-ce qui se passe ? Notre corps se crisse, on commence à être agacé par ce qui se passe. Oui, ça devient épuisant au fur et à mesure. Et c'est exactement comme ça que ressentent les gens qui vivent cette douleur. Elle est là au début, ensuite elle crie. Au fur et à mesure qu'elle crie, elle s'installe. On se dit ça va passer. On prend quelque chose pour l'étouffer. Après on reprend quelque chose et ainsi de suite. Et ça fait une montagne au point où au bout d'un moment, on habitue tellement notre corps, mais surtout soi-même on est habitué à rester avec. qu'on se dit que c'est normal. Mais qu'est-ce qui est normal ? L'attitude normale, c'est l'attitude d'un enfant. Si vous regardez un enfant, en fait il s'amuse, quand il tombe, il se relève, il crie un peu, il passe, il dit quand il a mal et quand il n'a pas mal. Mais nous les adultes, on a appris à garder cette douleur, à se dire c'est normal. Maintenant, ce qui est normal, c'est l'homésasie du corps, le cycle lorsque tous les organes sont en harmonie, c'est là que c'est normal. La non-normalité, c'est lorsque le déséquilibre se crée dans le corps, et donc ça veut dire que quelque chose ne va pas. Et moi, comment ça s'est passé ? Eh bien, j'étais jeune, j'étais ado, je faisais beaucoup de sport, du basket exactement. Avant ça, j'avais fait de l'athlétisme, du volleyball, j'aimais bien aller à la piscine. Mais finalement, c'est sur le basket que je me suis arrêtée. Donc là, comment ça a commencé ? Au début, quand je courais, j'avais quelques zones de tension, mais je ne faisais pas attention. Puisque lorsqu'on fait du sport, on se dit que c'est un peu normal. Et finalement, mon corps a commencé à changer. J'ai commencé à grossir, à gonfler légèrement. Et là, le coach qui a aussi repéré me dit « qu'est-ce qui se passe ? » Donc là, je lui ai dit « je ne sais pas » . Et donc, j'étais essoufflée, je n'arrivais pas à courir et je prenais de plus en plus de poids. Et finalement, c'était soit tu vas voir un médecin, Soit tu serres le banc. Et lorsqu'on fait du sport, surtout à un certain niveau, et intensité, on ne veut pas serrer le banc. Et de toute façon, on le voit bien. Serrer le banc, ça équivaut à ne pas jouer, à regarder les autres jouer. Et donc, du coup, je suis partie faire les examens. J'ai vu le médecin. Le médecin m'envoie à l'hôpital. Et finalement, à l'hôpital, c'est assez complexe. Alors du coup, examen sur examen, je suis restée plusieurs semaines. Finalement, pour ressortir, on disait, on ne sait pas. mais on me donne un traitement. Donc je prends ce traitement, et à l'extérieur, qu'est-ce qui se passe ? Je prends du poids, je maigris, je prends du poids, je maigris. Alors du coup, j'ai souvent des retours des personnes, mais qu'est-ce qu'elle a ? Elle prend du poids, elle maigrit. Donc il y a toutes les histoires. Elle est enceinte, elle est malade, on ne sait pas. Moi, perso, je ne me prononcerai pas, parce que je savais que je n'avais pas de réponse à leur donner. Mais par contre... On est confronté souvent à des critiques de d'autres personnes, sans qu'ils sachent vraiment ce qui se passe dans notre vie. Et ça, je pense que les personnes qui vivent la douleur le ressentent. D'avoir des retours de personnes qui ne font pas l'effort de connaître, mais en même temps, est-ce qu'il y a vraiment quelque chose à connaître ? Non, je pense que c'est aussi de respecter ce qui est en train de passer chez cette personne. Parce que lorsqu'on respecte ce qui se passe chez la personne qui est en train de vivre une douleur, en fait c'est différent. Pour moi, c'est d'avoir un côté bienveillant et être dans la compassion. Parce qu'on ne peut pas tout dire lorsqu'on vit une douleur, parce que des fois, on n'arrive pas à l'exprimer. Et c'est ça. Et je pense que toi qui m'écoutes, tu as certainement vécu cette situation ou tu connais quelqu'un qui a vécu cette situation-là. Et donc pour moi, pendant que je vivais ça, j'ai cru qu'il suffisait simplement d'une solution pour régler mon problème. Mais en fin de compte, comme je voyais que ce n'était pas forcément que ça, Je me suis dit, je vais aller chercher à côté. Et c'est là que j'ai commencé à chercher quelles sont les autres solutions que je pouvais avoir. Parce que je me suis dit que si je me limite à une seule approche, et c'est grâce aux synchronicités, aux rencontres que j'ai faites, que ça m'a ouvert l'esprit. Pour moi, cette phase que j'étais en train de vivre, c'est comme si j'étais une plante. Et en fait, c'est comme si je voyais tout ça d'un seul angle. C'est comme couper les feuilles d'une plante qui est malade, et pas s'occuper de la racine. Est-ce que ça va l'aider ? Non, moi j'aime beaucoup les plantes et la nature, parce que je pars du principe que grâce à elles, on est ici. Si elles n'étaient pas là, nous ne serions plus là. Mais c'est comment je la traite ? Est-ce que lorsque la plante est malade, je la prends en pot, je la jette directement, ou est-ce que j'essaie de changer son engrais ? Est-ce que j'essaie de lui parler, de la bichonner, de lui donner des produits, de la changer de place ? Voilà, c'est ça. C'est d'avoir un autre regard. Et c'est ça que j'appelle d'avoir une approche plus globale. Et c'est vers ça aussi que je suis allée pour moi. Et c'est comme ça que j'ai pu travailler plusieurs aspects. Et ces différents aspects, c'était le corps, mon esprit, mes habitudes, mon alimentation, mon environnement en global. Et pourquoi je te parle de ces cinq points-là ? Parce que ces cinq points-là sont très importants. Et si tu oublies un des points, il y aura un déséquilibre qui se crée. Et pour moi, ces cinq éléments sont les bases aussi de ton équilibre. Lorsque tu équilibres ces cinq, eh bien, tu as une vie qui est stable. Et quand ce n'est pas le cas... le déséquilibre va se voir. Qu'est-ce que ça te parle ? Et justement, pour aller encore plus loin, je vais te donner un autre métaphore que j'utilise beaucoup, c'est le jardin. Parce que moi, j'aime faire du jardinage et j'aime mettre mes mains à terre. J'aime ça parce que je pars du principe que la nature, elle est tellement merveilleuse. Quand on regarde ses feuilles, avec le fractal qu'il y a dessus, en fait, on se rend compte que la vie est un miracle et que c'est magnifique. Donc, quand je vis cette douleur, et que je regarde cette plante, je me dis qu'est-ce que la plante est en train de m'apprendre par rapport à ma douleur. Et donc, par rapport à ce jardin dont j'étais en train de parler, pour qu'il soit en bonne santé, il faut arroser le jardin, il faut l'entretenir, il faut enlever les mauvaises herbes, et encore, attention, quand je dis mauvaises herbes, c'est pas toutes. Parce qu'il faut quand même préserver la biodiversité. Donc c'est important. Des fois, il y a des herbes qui poussent, ils sont là aussi pour quelque chose de bien. En fait, rien n'est... au hasard dans tout ce qu'on est en train de vivre. Et nourrir la terre, l'enrichir, l'enrichir d'engrais naturels, mais aussi l'enrichir et lorsqu'on fait des gestes d'amour, lorsqu'on est conscient de ce qu'on est en train de faire et qu'on remercie après la terre des fruits qu'on a récoltés, mais aussi de l'arbre qui a poussé, et bien tout ça, ça joue à contribuer. Parce qu'en fait, la plante qu'on va prendre, ou l'aliment qu'on va récolter, c'est ça qui va nourrir. Et pour qu'elle nous nourrisse, lorsqu'on le fait en conscience, en remerciant, on se rend compte qu'elle nous fait du bien. Et c'est là où je veux t'emmener, c'est de te dire, lorsque tu as un autre regard sur toi-même, comme un jardinier, et que tu te dis, ok, je suis en train de vivre la douleur, ça veut dire qu'il y a quelque chose qui ne convient pas. Et lorsque cette chose ne convient pas, si cette chose ne convient pas, qu'est-ce que je peux changer, qu'est-ce que je peux améliorer, qu'est-ce que je peux enlever ? Donc là, à partir de là, tu te mets en action. Mais si tu restes et que tu la subis, ton corps, qui est comme ce jardin, commence à créer des zones qui vont faire que ça va pourrir ou ça ne va pas être fertile ou elle va te reculer en mode de l'eau. En fait, c'est exactement ça. Alors, d'avoir compris tout ça, et par les rencontres que j'ai faites et les formations que j'avais faites, Puisque quand j'ai commencé à chercher, c'est vrai que je me documentais énormément. Mais derrière, je cherchais aussi des sources. Et donc pour ça, je me suis formée avec des médecins. Et je me suis formée aussi avec des praticiens reconnus. Et derrière, j'allais à des séminaires. Et je pense que... Le fait d'avoir eu toutes ces informations, ça m'a aidé dans ma gestion. Et d'avoir des professionnels avec qui je travaillais. Et ces professionnels, c'était des professionnels de la médecine allopathique et des professionnels de santé naturelle. Donc les deux combinés. Plus tout ce qui est en rapport avec les traditions et tout ce qui est en rapport avec la compréhension de la vie, la compréhension de moi-même, la compréhension de mon environnement. Tout ça, je devais le prendre en considération par rapport à mes douleurs. Et en fin de compte, lorsqu'on pose un autre regard sur sa douleur et sur soi-même, je peux dire que les choses changent. Parce qu'à partir du moment où on a compris pourquoi on est comme ça, là, notre corps commence à répondre différemment. À partir du moment où on commence à comprendre que notre corps vit avec un cycle, comme les quatre saisons de la vie, et bien là, on regarde aussi différemment son corps et sa douleur. Les approches sur lesquelles j'avais commencé, c'était la médecine chinoise, entre autres la réflexologie, la naturopathie et la nutrition. Et en fait, une combinaison de ces trois-là m'a beaucoup aidée pour travailler sur mon interne par l'alimentation et la réflexologie sur mon corps, mais aussi sur mon état d'esprit. par la médecine chinoise. Parce qu'en fait, il y avait aussi un côté philosophie qu'il faut employer. Et cette philosophie vient aussi des traditions et aussi des textes sacrés. Tout ça, je mettais en place. Et c'est aussi comme ça que j'ai pu gérer cette douleur. Alors, il y a des moments où je peux dire oui, il y a des crises. Mais après, quand ces crises sont là, c'est de comprendre pourquoi elles sont là. Non plus, non pas être dans l'analyse tout le temps, mais se dire, là je me pose et je regarde ce qui se passe. Et peut-être qu'en m'arrêtant, je vais avoir une autre compréhension. Voilà. Si j'ai parlé de ces différents sujets, aujourd'hui, c'est pour plusieurs raisons, qui sont très simples. C'est parce que je souhaite partager ce que j'ai appris. Donc je vais faire une petite série où je vais partager ce que j'ai appris, comment j'ai vécu, et comment je fais au quotidien par rapport. à tout ça, et de donner aussi des informations à d'autres personnes qui vivent ça, ou qui sont en train de le vivre, ou qui accompagnent des personnes qui le vivent. Parce que c'est important d'avoir un autre regard, une expérience. Non pas que tout ce qu'on lit c'est bon ou pas bon, mais d'avoir quelqu'un qui est passé par là et qui a une autre compréhension, en fait, je pense que c'est un très bon élément, parce que on est à même de comprendre et de ressentir mieux que celui qui ne l'a pas fait. Mais aussi d'offrir un espace d'écoute. de compréhension, de bienveillance et de compassion. Parce que pour moi, c'est important. Donc, si tu souhaites échanger avec moi dessus, ce sera avec joie. N'hésite pas à m'envoyer un message sur mes réseaux sociaux. J'y répondrai. Et l'objectif derrière aussi, c'est de transmettre un message. Un message, j'irai d'espoir. Je ne sais pas si c'est d'espoir, parce que ce mot est très fort. Mais un message pour dire, on n'est pas seul. Un message dans lequel je souhaite que tu saches que tu n'es pas seul. Parce que combien de personnes vivent une douleur et n'ont personne avec qui parler ? Combien de personnes vivent une douleur et sont seules ? Combien vivent une douleur et meurent tout seuls ? Combien passent de l'autre côté en étant seules ? Combien de personnes sont là avec la douleur et d'avoir personne autour ? Parce que tant qu'on n'est pas dans la maladie, comme j'ai tout le temps, une personne qui n'est pas malade ne comprend pas une personne malade. Encore faut-il s'intéresser. Mais c'est énergivore. Alors c'est pas... prendre la maladie de la personne, mais c'est juste d'être dans la compassion par rapport à cette maladie. Voilà, c'est plutôt ça que je dirais. Pour moi, cette série que je suis en train de faire est comme une petite lampe dans un tunnel sombre. On n'est pas encore sortis, mais on n'est plus complètement dans le noir. Et oui, parce que si on était vraiment dans le noir complet, je pense qu'on ne serait plus là. Ça veut dire qu'on serait de l'autre côté de la vie. Et là, c'est un autre sujet que j'aborderai dans un autre podcast. Mais avant de terminer, je voulais vous partager un échange que j'ai eu là récemment et qui m'a profondément marquée. C'est une personne que je connais qui se positionne en forme forte. Vous voyez, on se positionne souvent, je suis forte. Mais ça veut dire quoi d'être forte ? Et donc les douleurs, la personne a des douleurs partout. Elle a mal au dos tout le temps. Elle porte parfois une ceinture. Elle reste debout toute la journée. Après, elle rentre à sa cuisine. Comme Gilles, elle a sa deuxième journée qui commence avec son mari et ses enfants. Mais derrière, elle s'occupe de ses parents. En fait, elle s'occupe de tout le monde. Elle a mal au dos. Elle a mal aux épaules. Elle a mal aux genoux. Et elle va tout le temps se faire masser par un océopathe. Parce qu'elle a tout le temps mal. Mais l'océopathe, à un moment, lui dit, mais ça ne peut pas durer. Et oui. Et donc, du coup, je lui dis, mais... Mais ça ne peut pas durer parce que tu as des messages de ton corps, mais tu ne l'entends pas. Et qu'est-ce qu'il faut faire maintenant ? C'est d'aller comprendre qu'est-ce que les messages de ton corps te disent, mais aussi de comprendre pourquoi ton corps est enflammé. Et pourquoi tu as cette inflammation en fait ? Cette inflammation qui fait... Je vais donner une métaphore, le feu. Quand il y a du feu, qu'est-ce qu'on fait ? On l'éteint. Mais comment on l'éteint ? En mettant de l'eau ? Mais peut-être qu'en mettant de l'eau d'un coup brutalement, ça ne va pas aller. Peut-être qu'il y a une autre façon de l'éteindre doucement. Et donc, en fait, c'est ça. C'était lui donner un conseil d'aller faire des examens. Donc, elle est partie faire des examens médicaux. Donc, la panne au plus complète, comme on dit, le check-up global. Et là, finalement, elle se rend compte qu'elle a échappé à beaucoup de choses. Mais c'est surtout, le médecin lui a dit, mais vous savez quoi, il faut vous reposer, votre corps n'en peut plus. Et là, je me suis dit, quelle sagesse. Et toi, qu'est-ce que tu as compris ? Et elle me répond, J'ai compris une chose, c'est qu'aujourd'hui, je dois être ma priorité. Et là, j'ai dit voilà, t'as tapé dans le mille, c'est ta priorité. Parce qu'à partir du moment où ton corps commence à crier, tu dois être ta priorité. Penser aux autres, c'est bien, mais qui pense à toi ? Faire les choses pour les autres, c'est bien, mais toi, qui va le faire pour toi ? Et c'est là qu'elle m'a dit oui, je dois effectivement penser à moi, m'arrêter. M'arrêter non pas de dire de tout faire. Mais m'arrêter d'être au service de tout le monde et d'oublier que si moi-même, je ne suis pas en santé, si moi-même, je ne suis pas en forme, je ne peux pas aider les autres personnes. Et c'est là que je lui ai dit, c'est une belle prise de conscience que tu as eue. Et maintenant, dorénavant, qu'est-ce que tu vas faire ? C'est de changer mes habitudes, que ce soit alimentaire, de pensée, mais surtout mes habitudes dans ma façon globale de gérer ma vie, parce que je me rends compte que ça prend le dessus sur moi. Voilà, je voulais vous partager cette histoire. Vous me direz ce que vous en pensez. Mais moi, je tenais vraiment à ce que vous le sachiez, parce que c'est quelque chose qui m'a marquée. Et tout ça pour dire qu'on ne doit pas attendre que notre corps crée pour commencer à changer. Et enfin, pour finir, je dirais aussi que la douleur, si elle persiste, elle peut être complexe. Mais lorsqu'elle est là, c'est qu'elle donne une information. Mais par rapport à cette douleur, ce qu'il faut savoir, c'est qu'on peut apprendre à vivre avec, à la comprendre et à la gérer grâce aux accompagnements qu'on fait, grâce aux accompagnements qu'on peut avoir. par différents thérapeutes, par différents praticiens, par différents personnels du corps médical, par différentes pratiques, mais qui sont bien sûr complémentaires, comme je dis, à la médecine allopathique. Parce que ce qu'il ne faut pas oublier, c'est que chaque chose doit nous éveiller à prendre conscience de cette vieux pression que nous avons. Et chaque chose doit nous éveiller à prendre conscience. de l'importance de notre corps qui est un trésor qu'on doit chérir. Dans les prochains épisodes, si tu acceptes, on avancera ensemble, si tu veux bien. Et en conscience, parce que chaque épisode va t'apprendre sur la douleur, sur toi-même. Et si tu as des questions, n'hésite pas à me les communiquer. Donc si cet épisode t'a parlé, n'hésite pas à le partager à quelqu'un qui pourrait en avoir besoin. Et je te dis à très bientôt. Voilà, cet épisode touche à sa fin. Et je te remercie de l'avoir écouté jusqu'au bout. Si tu ressens le besoin d'être accompagné dans ton parcours, je serai ravie de te guider dans ton chemin, quitter dans la résilience, dans ta clé de naissance, ou simplement te soutenir pour traverser les épreuves ou tes expériences avec plus de sérénité. En cela, tu peux consulter mon site internet. fantajane.fr ou mon compte Instagram fanta__jane en m'envoyant un message ou simplement prendre rendez-vous en ligne. Pour moi, chaque filet d'eau a son chemin. Rendez-vous dans deux semaines pour le prochain épisode. Et si ce n'est pas déjà fait, abonne-toi. Salutations, c'était Fantajane.

Chapters

  • Introduction au podcast et à la douleur

    00:03

  • L'impact de la douleur sur la vie quotidienne

    00:44

  • Comprendre la douleur et ses messages

    01:45

  • Les signaux du corps et l'importance de l'écoute

    04:00

  • Approche globale pour gérer la douleur

    09:50

  • Conclusion et invitation à la réflexion

    21:38

Description

La douleur est-elle vraiment un simple fait de la vie, ou peut-elle être un véritable signal d'alarme de notre corps surtout dans la maladie-auto-immune?

Dans cet épisode du podcast "Élan de vie", Fanta Diane nous invite à explorer la thématique de la douleur et de sa gestion d'une manière profondément humaine et éclairante., Fanta partage son parcours personnel, révélant l'impact de la douleur sur son quotidien et ses habitudes de vie. Elle nous rappelle que comprendre et gérer la douleur est essentiel pour notre mieux-être et notre épanouissement.

À travers des récits touchants et des métaphores inspirées de la philosophie de la nature, Fanta nous explique que la douleur n'est pas une fatalité, mais un message que notre corps nous envoie. Elle insiste sur l'importance de prêter attention à ces signaux et de ne pas les considérer comme normaux. En utilisant son expertise scientifique et son expérience, elle nous guide dans un cheminement intérieur, nous aidant à mieux nous connaître et à explorer notre rapport à la douleur.

Fanta partage également des conseils pratiques pour équilibrer notre corps et notre esprit, en abordant des sujets tels que les habitudes, l'alimentation et l'environnement. Elle évoque l'importance de ne pas rester seul face à la douleur, et encourage chacun à rechercher un soutien et une compréhension, car nous avons tous le droit à un bien-être mental optimal. En intégrant des éléments de coaching de vie, elle nous invite à surmonter l'anxiété et à transformer notre douleur en source de force et de résilience.

Rejoignez-nous dans cet épisode captivant du podcast "Élan de vie" où Fanta Diane nous offre non seulement des clés pour gérer la douleur, mais aussi une véritable découverte de soi. Que vous soyez en quête de sens ou expert dans le domaine, cet échange enrichissant vous apportera des perspectives nouvelles sur la vie et le bien-être. Ne manquez pas cette occasion de vous engager sur le chemin de la connaissance de soi et de l'élan quotidien vers une existence plus harmonieuse.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Salutations et bienvenue dans Élan de vie, je suis Fantadiane, c'est avec joie que je vous partage cet épisode. Vous écoutez le podcast qui transforme vos épreuves en forces intérieures. Consultante en projet de vie et inflexologue à chaque épisode, je vous livre mes réflexions les plus authentiques et je donne la parole à celles et ceux qui m'inspirent par leur parcours de transformation en Élan de vie. Si vous cherchez à puiser dans vos ressources intérieures pour grandir, à travers vos expériences, vous êtes au bon endroit. Parce que chaque filet d'eau a son chemin, chaque personne est unique. Salutations et bienvenue dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, je vais vous parler de la douleur et aussi un peu de sa gestion. Pourquoi ? Parce que c'est quelque chose qui est très personnel, cet épisode. Je vais vous raconter le début de mon histoire. Parce que je sais à quel point vivre avec la douleur, surtout lorsqu'elle dure, ça peut changer notre quotidien, nos habitudes et notre façon de voir la vie. Tu vas me dire pourquoi ça ? Parce que pendant longtemps, moi qui te parle là, j'ai cherché des solutions, j'ai cherché des réponses. Dans les livres, en comptant des gens, des médecins. des thérapeutes, des praticiens lors des voyages et j'en passe. Parfois j'ai trouvé des réponses, parfois non. Et sur ce chemin, il y avait des hauts, des bas, des victoires et des échecs. Et moi je dirais que c'est pas des échecs, ce sont des apprentissages. Aujourd'hui je veux les partager avec toi. Je veux partager avec toi comment j'ai compris ce qu'est vraiment la douleur et comment la gérer. Non pas d'une seule manière, mais de façon plus globale. Et surtout, pourquoi j'ai voulu l'écrire, cet épisode. Parce que si je parle de la douleur, c'est quelque chose, oui, scientifiquement, on peut parler de la douleur, des mots, des sensations, et de l'attitude face à ça. Mais lorsque cette douleur, on n'arrive pas à la décrire, ou lorsqu'on éprouve de la douleur, et que... personne ne comprend. Que ce soit son entourage ou bien les différents professionnels qu'on voit, c'est assez compliqué. Parce que mettre des mots sur nos mots, M-A-V-X, ce n'est pas forcément évident. Et ce n'est pas donné à tout le monde de pouvoir l'exprimer et s'exprimer. Mais c'est quelque chose qui est là. Cette douleur, elle est là. Au début, c'est un petit signal. Donc, on a mal quelque part. On a un point. On commence à avoir des crampes, des palpitations, voire même le corps commence à avoir une autre forme. Ça peut être au niveau de la tête, des maux de tête, peu importe. Ce qui se passe, notre corps commence à nous voyer un signal, et ce signal au début est petit, et au fur et à mesure, il s'intensifie, et il peut apparaître après un effort ou une blessure. Et parfois, il arrive là, comme ça, on ne sait pas pourquoi. Je dirais que c'est un état qui s'installe, et parfois elle peut rester plusieurs mois, voire plusieurs années, et un jour on osait. Mais si, si je réfléchis bien, j'avais eu l'information, mais c'était quoi ? Et surtout cette douleur, qu'est-ce qu'elle finit par faire ? Elle finit par influencer la façon dont tu dors, dont tu te déplaces, dont tu parles aux autres, dont tu manges, et surtout la façon dont tu te vois avec toi-même. La façon dont tu te comportes avec toi-même est la façon dont tu vois ta propre image, si tu la vois bien sûr. Mais si tu ne la vois pas, c'est comment tu t'entends ton corps. Parce que moi j'insiste dessus en disant qu'une douleur, lorsqu'elle est là, c'est qu'il y a forcément un déséquilibre quelque part. Lorsque la douleur est là et qu'elle nous parle, c'est que forcément il y a un endroit de tension. Il y a un endroit, ou une zone, ou vous-même. Un milieu qui ne convient pas. Est-ce qu'on l'entend ? Est-ce qu'on la comprend ? Ce n'est pas quelque chose qu'on a appris. Donc forcément, au début, on ne sait pas l'identifier. Mais lorsqu'on commence à se renseigner, les informations arrivent. Et lorsqu'on commence à être attentif à son corps, ces informations aussi arrivent. Donc pour te donner une petite image, parce que moi j'aime bien parler en images. C'est comme un détecteur de fumée qui se déclenche sans raison. Et donc ce bruit-là, au bout d'un moment, il est strident. Ça continue, ça continue, et ça commence à être énervant. Même s'il y avait le feu et que ça s'éteint, ça continue quand même. Du coup, qu'est-ce qui se passe ? Notre corps se crisse, on commence à être agacé par ce qui se passe. Oui, ça devient épuisant au fur et à mesure. Et c'est exactement comme ça que ressentent les gens qui vivent cette douleur. Elle est là au début, ensuite elle crie. Au fur et à mesure qu'elle crie, elle s'installe. On se dit ça va passer. On prend quelque chose pour l'étouffer. Après on reprend quelque chose et ainsi de suite. Et ça fait une montagne au point où au bout d'un moment, on habitue tellement notre corps, mais surtout soi-même on est habitué à rester avec. qu'on se dit que c'est normal. Mais qu'est-ce qui est normal ? L'attitude normale, c'est l'attitude d'un enfant. Si vous regardez un enfant, en fait il s'amuse, quand il tombe, il se relève, il crie un peu, il passe, il dit quand il a mal et quand il n'a pas mal. Mais nous les adultes, on a appris à garder cette douleur, à se dire c'est normal. Maintenant, ce qui est normal, c'est l'homésasie du corps, le cycle lorsque tous les organes sont en harmonie, c'est là que c'est normal. La non-normalité, c'est lorsque le déséquilibre se crée dans le corps, et donc ça veut dire que quelque chose ne va pas. Et moi, comment ça s'est passé ? Eh bien, j'étais jeune, j'étais ado, je faisais beaucoup de sport, du basket exactement. Avant ça, j'avais fait de l'athlétisme, du volleyball, j'aimais bien aller à la piscine. Mais finalement, c'est sur le basket que je me suis arrêtée. Donc là, comment ça a commencé ? Au début, quand je courais, j'avais quelques zones de tension, mais je ne faisais pas attention. Puisque lorsqu'on fait du sport, on se dit que c'est un peu normal. Et finalement, mon corps a commencé à changer. J'ai commencé à grossir, à gonfler légèrement. Et là, le coach qui a aussi repéré me dit « qu'est-ce qui se passe ? » Donc là, je lui ai dit « je ne sais pas » . Et donc, j'étais essoufflée, je n'arrivais pas à courir et je prenais de plus en plus de poids. Et finalement, c'était soit tu vas voir un médecin, Soit tu serres le banc. Et lorsqu'on fait du sport, surtout à un certain niveau, et intensité, on ne veut pas serrer le banc. Et de toute façon, on le voit bien. Serrer le banc, ça équivaut à ne pas jouer, à regarder les autres jouer. Et donc, du coup, je suis partie faire les examens. J'ai vu le médecin. Le médecin m'envoie à l'hôpital. Et finalement, à l'hôpital, c'est assez complexe. Alors du coup, examen sur examen, je suis restée plusieurs semaines. Finalement, pour ressortir, on disait, on ne sait pas. mais on me donne un traitement. Donc je prends ce traitement, et à l'extérieur, qu'est-ce qui se passe ? Je prends du poids, je maigris, je prends du poids, je maigris. Alors du coup, j'ai souvent des retours des personnes, mais qu'est-ce qu'elle a ? Elle prend du poids, elle maigrit. Donc il y a toutes les histoires. Elle est enceinte, elle est malade, on ne sait pas. Moi, perso, je ne me prononcerai pas, parce que je savais que je n'avais pas de réponse à leur donner. Mais par contre... On est confronté souvent à des critiques de d'autres personnes, sans qu'ils sachent vraiment ce qui se passe dans notre vie. Et ça, je pense que les personnes qui vivent la douleur le ressentent. D'avoir des retours de personnes qui ne font pas l'effort de connaître, mais en même temps, est-ce qu'il y a vraiment quelque chose à connaître ? Non, je pense que c'est aussi de respecter ce qui est en train de passer chez cette personne. Parce que lorsqu'on respecte ce qui se passe chez la personne qui est en train de vivre une douleur, en fait c'est différent. Pour moi, c'est d'avoir un côté bienveillant et être dans la compassion. Parce qu'on ne peut pas tout dire lorsqu'on vit une douleur, parce que des fois, on n'arrive pas à l'exprimer. Et c'est ça. Et je pense que toi qui m'écoutes, tu as certainement vécu cette situation ou tu connais quelqu'un qui a vécu cette situation-là. Et donc pour moi, pendant que je vivais ça, j'ai cru qu'il suffisait simplement d'une solution pour régler mon problème. Mais en fin de compte, comme je voyais que ce n'était pas forcément que ça, Je me suis dit, je vais aller chercher à côté. Et c'est là que j'ai commencé à chercher quelles sont les autres solutions que je pouvais avoir. Parce que je me suis dit que si je me limite à une seule approche, et c'est grâce aux synchronicités, aux rencontres que j'ai faites, que ça m'a ouvert l'esprit. Pour moi, cette phase que j'étais en train de vivre, c'est comme si j'étais une plante. Et en fait, c'est comme si je voyais tout ça d'un seul angle. C'est comme couper les feuilles d'une plante qui est malade, et pas s'occuper de la racine. Est-ce que ça va l'aider ? Non, moi j'aime beaucoup les plantes et la nature, parce que je pars du principe que grâce à elles, on est ici. Si elles n'étaient pas là, nous ne serions plus là. Mais c'est comment je la traite ? Est-ce que lorsque la plante est malade, je la prends en pot, je la jette directement, ou est-ce que j'essaie de changer son engrais ? Est-ce que j'essaie de lui parler, de la bichonner, de lui donner des produits, de la changer de place ? Voilà, c'est ça. C'est d'avoir un autre regard. Et c'est ça que j'appelle d'avoir une approche plus globale. Et c'est vers ça aussi que je suis allée pour moi. Et c'est comme ça que j'ai pu travailler plusieurs aspects. Et ces différents aspects, c'était le corps, mon esprit, mes habitudes, mon alimentation, mon environnement en global. Et pourquoi je te parle de ces cinq points-là ? Parce que ces cinq points-là sont très importants. Et si tu oublies un des points, il y aura un déséquilibre qui se crée. Et pour moi, ces cinq éléments sont les bases aussi de ton équilibre. Lorsque tu équilibres ces cinq, eh bien, tu as une vie qui est stable. Et quand ce n'est pas le cas... le déséquilibre va se voir. Qu'est-ce que ça te parle ? Et justement, pour aller encore plus loin, je vais te donner un autre métaphore que j'utilise beaucoup, c'est le jardin. Parce que moi, j'aime faire du jardinage et j'aime mettre mes mains à terre. J'aime ça parce que je pars du principe que la nature, elle est tellement merveilleuse. Quand on regarde ses feuilles, avec le fractal qu'il y a dessus, en fait, on se rend compte que la vie est un miracle et que c'est magnifique. Donc, quand je vis cette douleur, et que je regarde cette plante, je me dis qu'est-ce que la plante est en train de m'apprendre par rapport à ma douleur. Et donc, par rapport à ce jardin dont j'étais en train de parler, pour qu'il soit en bonne santé, il faut arroser le jardin, il faut l'entretenir, il faut enlever les mauvaises herbes, et encore, attention, quand je dis mauvaises herbes, c'est pas toutes. Parce qu'il faut quand même préserver la biodiversité. Donc c'est important. Des fois, il y a des herbes qui poussent, ils sont là aussi pour quelque chose de bien. En fait, rien n'est... au hasard dans tout ce qu'on est en train de vivre. Et nourrir la terre, l'enrichir, l'enrichir d'engrais naturels, mais aussi l'enrichir et lorsqu'on fait des gestes d'amour, lorsqu'on est conscient de ce qu'on est en train de faire et qu'on remercie après la terre des fruits qu'on a récoltés, mais aussi de l'arbre qui a poussé, et bien tout ça, ça joue à contribuer. Parce qu'en fait, la plante qu'on va prendre, ou l'aliment qu'on va récolter, c'est ça qui va nourrir. Et pour qu'elle nous nourrisse, lorsqu'on le fait en conscience, en remerciant, on se rend compte qu'elle nous fait du bien. Et c'est là où je veux t'emmener, c'est de te dire, lorsque tu as un autre regard sur toi-même, comme un jardinier, et que tu te dis, ok, je suis en train de vivre la douleur, ça veut dire qu'il y a quelque chose qui ne convient pas. Et lorsque cette chose ne convient pas, si cette chose ne convient pas, qu'est-ce que je peux changer, qu'est-ce que je peux améliorer, qu'est-ce que je peux enlever ? Donc là, à partir de là, tu te mets en action. Mais si tu restes et que tu la subis, ton corps, qui est comme ce jardin, commence à créer des zones qui vont faire que ça va pourrir ou ça ne va pas être fertile ou elle va te reculer en mode de l'eau. En fait, c'est exactement ça. Alors, d'avoir compris tout ça, et par les rencontres que j'ai faites et les formations que j'avais faites, Puisque quand j'ai commencé à chercher, c'est vrai que je me documentais énormément. Mais derrière, je cherchais aussi des sources. Et donc pour ça, je me suis formée avec des médecins. Et je me suis formée aussi avec des praticiens reconnus. Et derrière, j'allais à des séminaires. Et je pense que... Le fait d'avoir eu toutes ces informations, ça m'a aidé dans ma gestion. Et d'avoir des professionnels avec qui je travaillais. Et ces professionnels, c'était des professionnels de la médecine allopathique et des professionnels de santé naturelle. Donc les deux combinés. Plus tout ce qui est en rapport avec les traditions et tout ce qui est en rapport avec la compréhension de la vie, la compréhension de moi-même, la compréhension de mon environnement. Tout ça, je devais le prendre en considération par rapport à mes douleurs. Et en fin de compte, lorsqu'on pose un autre regard sur sa douleur et sur soi-même, je peux dire que les choses changent. Parce qu'à partir du moment où on a compris pourquoi on est comme ça, là, notre corps commence à répondre différemment. À partir du moment où on commence à comprendre que notre corps vit avec un cycle, comme les quatre saisons de la vie, et bien là, on regarde aussi différemment son corps et sa douleur. Les approches sur lesquelles j'avais commencé, c'était la médecine chinoise, entre autres la réflexologie, la naturopathie et la nutrition. Et en fait, une combinaison de ces trois-là m'a beaucoup aidée pour travailler sur mon interne par l'alimentation et la réflexologie sur mon corps, mais aussi sur mon état d'esprit. par la médecine chinoise. Parce qu'en fait, il y avait aussi un côté philosophie qu'il faut employer. Et cette philosophie vient aussi des traditions et aussi des textes sacrés. Tout ça, je mettais en place. Et c'est aussi comme ça que j'ai pu gérer cette douleur. Alors, il y a des moments où je peux dire oui, il y a des crises. Mais après, quand ces crises sont là, c'est de comprendre pourquoi elles sont là. Non plus, non pas être dans l'analyse tout le temps, mais se dire, là je me pose et je regarde ce qui se passe. Et peut-être qu'en m'arrêtant, je vais avoir une autre compréhension. Voilà. Si j'ai parlé de ces différents sujets, aujourd'hui, c'est pour plusieurs raisons, qui sont très simples. C'est parce que je souhaite partager ce que j'ai appris. Donc je vais faire une petite série où je vais partager ce que j'ai appris, comment j'ai vécu, et comment je fais au quotidien par rapport. à tout ça, et de donner aussi des informations à d'autres personnes qui vivent ça, ou qui sont en train de le vivre, ou qui accompagnent des personnes qui le vivent. Parce que c'est important d'avoir un autre regard, une expérience. Non pas que tout ce qu'on lit c'est bon ou pas bon, mais d'avoir quelqu'un qui est passé par là et qui a une autre compréhension, en fait, je pense que c'est un très bon élément, parce que on est à même de comprendre et de ressentir mieux que celui qui ne l'a pas fait. Mais aussi d'offrir un espace d'écoute. de compréhension, de bienveillance et de compassion. Parce que pour moi, c'est important. Donc, si tu souhaites échanger avec moi dessus, ce sera avec joie. N'hésite pas à m'envoyer un message sur mes réseaux sociaux. J'y répondrai. Et l'objectif derrière aussi, c'est de transmettre un message. Un message, j'irai d'espoir. Je ne sais pas si c'est d'espoir, parce que ce mot est très fort. Mais un message pour dire, on n'est pas seul. Un message dans lequel je souhaite que tu saches que tu n'es pas seul. Parce que combien de personnes vivent une douleur et n'ont personne avec qui parler ? Combien de personnes vivent une douleur et sont seules ? Combien vivent une douleur et meurent tout seuls ? Combien passent de l'autre côté en étant seules ? Combien de personnes sont là avec la douleur et d'avoir personne autour ? Parce que tant qu'on n'est pas dans la maladie, comme j'ai tout le temps, une personne qui n'est pas malade ne comprend pas une personne malade. Encore faut-il s'intéresser. Mais c'est énergivore. Alors c'est pas... prendre la maladie de la personne, mais c'est juste d'être dans la compassion par rapport à cette maladie. Voilà, c'est plutôt ça que je dirais. Pour moi, cette série que je suis en train de faire est comme une petite lampe dans un tunnel sombre. On n'est pas encore sortis, mais on n'est plus complètement dans le noir. Et oui, parce que si on était vraiment dans le noir complet, je pense qu'on ne serait plus là. Ça veut dire qu'on serait de l'autre côté de la vie. Et là, c'est un autre sujet que j'aborderai dans un autre podcast. Mais avant de terminer, je voulais vous partager un échange que j'ai eu là récemment et qui m'a profondément marquée. C'est une personne que je connais qui se positionne en forme forte. Vous voyez, on se positionne souvent, je suis forte. Mais ça veut dire quoi d'être forte ? Et donc les douleurs, la personne a des douleurs partout. Elle a mal au dos tout le temps. Elle porte parfois une ceinture. Elle reste debout toute la journée. Après, elle rentre à sa cuisine. Comme Gilles, elle a sa deuxième journée qui commence avec son mari et ses enfants. Mais derrière, elle s'occupe de ses parents. En fait, elle s'occupe de tout le monde. Elle a mal au dos. Elle a mal aux épaules. Elle a mal aux genoux. Et elle va tout le temps se faire masser par un océopathe. Parce qu'elle a tout le temps mal. Mais l'océopathe, à un moment, lui dit, mais ça ne peut pas durer. Et oui. Et donc, du coup, je lui dis, mais... Mais ça ne peut pas durer parce que tu as des messages de ton corps, mais tu ne l'entends pas. Et qu'est-ce qu'il faut faire maintenant ? C'est d'aller comprendre qu'est-ce que les messages de ton corps te disent, mais aussi de comprendre pourquoi ton corps est enflammé. Et pourquoi tu as cette inflammation en fait ? Cette inflammation qui fait... Je vais donner une métaphore, le feu. Quand il y a du feu, qu'est-ce qu'on fait ? On l'éteint. Mais comment on l'éteint ? En mettant de l'eau ? Mais peut-être qu'en mettant de l'eau d'un coup brutalement, ça ne va pas aller. Peut-être qu'il y a une autre façon de l'éteindre doucement. Et donc, en fait, c'est ça. C'était lui donner un conseil d'aller faire des examens. Donc, elle est partie faire des examens médicaux. Donc, la panne au plus complète, comme on dit, le check-up global. Et là, finalement, elle se rend compte qu'elle a échappé à beaucoup de choses. Mais c'est surtout, le médecin lui a dit, mais vous savez quoi, il faut vous reposer, votre corps n'en peut plus. Et là, je me suis dit, quelle sagesse. Et toi, qu'est-ce que tu as compris ? Et elle me répond, J'ai compris une chose, c'est qu'aujourd'hui, je dois être ma priorité. Et là, j'ai dit voilà, t'as tapé dans le mille, c'est ta priorité. Parce qu'à partir du moment où ton corps commence à crier, tu dois être ta priorité. Penser aux autres, c'est bien, mais qui pense à toi ? Faire les choses pour les autres, c'est bien, mais toi, qui va le faire pour toi ? Et c'est là qu'elle m'a dit oui, je dois effectivement penser à moi, m'arrêter. M'arrêter non pas de dire de tout faire. Mais m'arrêter d'être au service de tout le monde et d'oublier que si moi-même, je ne suis pas en santé, si moi-même, je ne suis pas en forme, je ne peux pas aider les autres personnes. Et c'est là que je lui ai dit, c'est une belle prise de conscience que tu as eue. Et maintenant, dorénavant, qu'est-ce que tu vas faire ? C'est de changer mes habitudes, que ce soit alimentaire, de pensée, mais surtout mes habitudes dans ma façon globale de gérer ma vie, parce que je me rends compte que ça prend le dessus sur moi. Voilà, je voulais vous partager cette histoire. Vous me direz ce que vous en pensez. Mais moi, je tenais vraiment à ce que vous le sachiez, parce que c'est quelque chose qui m'a marquée. Et tout ça pour dire qu'on ne doit pas attendre que notre corps crée pour commencer à changer. Et enfin, pour finir, je dirais aussi que la douleur, si elle persiste, elle peut être complexe. Mais lorsqu'elle est là, c'est qu'elle donne une information. Mais par rapport à cette douleur, ce qu'il faut savoir, c'est qu'on peut apprendre à vivre avec, à la comprendre et à la gérer grâce aux accompagnements qu'on fait, grâce aux accompagnements qu'on peut avoir. par différents thérapeutes, par différents praticiens, par différents personnels du corps médical, par différentes pratiques, mais qui sont bien sûr complémentaires, comme je dis, à la médecine allopathique. Parce que ce qu'il ne faut pas oublier, c'est que chaque chose doit nous éveiller à prendre conscience de cette vieux pression que nous avons. Et chaque chose doit nous éveiller à prendre conscience. de l'importance de notre corps qui est un trésor qu'on doit chérir. Dans les prochains épisodes, si tu acceptes, on avancera ensemble, si tu veux bien. Et en conscience, parce que chaque épisode va t'apprendre sur la douleur, sur toi-même. Et si tu as des questions, n'hésite pas à me les communiquer. Donc si cet épisode t'a parlé, n'hésite pas à le partager à quelqu'un qui pourrait en avoir besoin. Et je te dis à très bientôt. Voilà, cet épisode touche à sa fin. Et je te remercie de l'avoir écouté jusqu'au bout. Si tu ressens le besoin d'être accompagné dans ton parcours, je serai ravie de te guider dans ton chemin, quitter dans la résilience, dans ta clé de naissance, ou simplement te soutenir pour traverser les épreuves ou tes expériences avec plus de sérénité. En cela, tu peux consulter mon site internet. fantajane.fr ou mon compte Instagram fanta__jane en m'envoyant un message ou simplement prendre rendez-vous en ligne. Pour moi, chaque filet d'eau a son chemin. Rendez-vous dans deux semaines pour le prochain épisode. Et si ce n'est pas déjà fait, abonne-toi. Salutations, c'était Fantajane.

Chapters

  • Introduction au podcast et à la douleur

    00:03

  • L'impact de la douleur sur la vie quotidienne

    00:44

  • Comprendre la douleur et ses messages

    01:45

  • Les signaux du corps et l'importance de l'écoute

    04:00

  • Approche globale pour gérer la douleur

    09:50

  • Conclusion et invitation à la réflexion

    21:38

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