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Entre nos souffles - Histoire érotique lue et murmurée par un homme cover
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Elias 23H47 - Histoires érotiques immersives murmurées par un homme

Entre nos souffles - Histoire érotique lue et murmurée par un homme

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16min |03/07/2025
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Description

C'est très doux, ce soir.

Un moment d'intimité doux et simple avant de nous endormir l'un contre l'autre.


Audio réalisé par Elias 23H47

Histoires immersives et séries complètes disponibles dès maintenant sur Patreon : https://patreon.com/Elias23h47


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Dans la pénombre de la chambre, je me tiens tout près de toi. Mon torse frôle ton dos nu, tandis que tu te tiens face à la fenêtre ouverte, offerte à la caresse furtive de l'air nocturne. D'une main, j'écarte lentement ta chevelure de ton cou, et j'y dépose un premier baiser, léger comme un souffle. Je sens un frisson parcourir. Ma main libre se pose alors sur ta hanche, et la chaleur de ta peau contre ma paume déclenche en moi quelque chose de profond. Tu laisses échapper un soupir lorsqu'au creux de ton oreille, tout bas, je te murmure. Ne bouge pas, laisse-moi faire. Et même si tu t'efforces de rester immobile, je sens ta respiration s'accélérer. Légèrement. Du bout des lèvres, je trace une ligne le long de ta nuque. Mes baisers descendent à un rythme lent, calculé, jusqu'à l'arrondi de ton épaule. Chaque contact de mes lèvres sur ta peau te fait fermer les yeux un peu plus fort, t'arrachant de petits soupirs. Je devine la cambrure subtile de tes reins, que tu luttes pour ne pas te retourner, te faire davantage. Mais tu obéis à ma demande et tu restes sage pour l'instant. Mes doigts épousent la courbe de ta hanche puis glissent vers le nœud de ton peignoir. Lentement, je le défais. Le tissu soyeux s'entrouve dans un léger froissement. Ma main s'aventure alors sur ton ventre, que je caresse du bout des doigts en de larges cercles. Je sens tes muscles se contracter brièvement sous la caresse, signe de l'impatience qui grandit en toi. J'effleure ton nombril, puis je descends juste assez pour frôler la dentelle de ta culotte. Immédiatement, je te sens retenir ton souffle, comme si tu craignais que le moindre mouvement ne rampe le charme ou n'interrompe ce contact que tu veux tant. Entre ta nuque, un sourire effleure mes lèvres. Tu es déjà pleinement réceptive. Ton corps entier est une invitation. Je dépose un dernier baiser sur ton épaule puis te tourne doucement face à moi. Tes yeux s'ouvrent et plongent dans les miens. Lentement, le long de tes flancs, mes mains s'élèvent, emportant avec elles le peignoir qui glisse finalement au sol dans un souffle. Tu te tiens maintenant presque nue devant moi, simplement vêtue de cette petite pièce de dentelle claire. Et la lune, filtrant par la fenêtre, dessine sur ton corps des reflets que je prends un instant pour admirer. Mon regard se pose sur des détails microscopiques, une goutte de sueur qui perle à la naissance de tes seins, le léger tremblement de tes doigts qui cherche appui sur mes avant-bras. J'approche mon visage du tien et sans quitter tes yeux de mon regard, j'ai fleur tes lèvres entre ouvertes avec les miennes notre baiser d'abord délicat puis devient peu à peu au fond je goûte à ta lèvre inférieure la mordit très légèrement ton corps se presse contre le mien et j'ai un frisson en sentant la chaleur de tes seins nus contre mon torse tes tétons durci par le désir frôle ma peau et m'électrise. Tout en t'embrassant, je marche avec toi de quelques pas vers le lit, sans jamais rompre le contact de nos lèvres. Mes mains rencontrent le rebord du matelas et je te guide pour t'allonger sur les draps. Je m'agenouille entre tes cuisses et prends un instant pour contempler la vision que tu m'offres. Allongé sur le dos, les cheveux éparts sur l'oreiller. Poitrine se soulevant au rythme de ta respiration accélérée et ton regard brillant de désir qui ne quitte pas le mien. Tu es magnifique. Mes doigts glissent sur ta cuisse gauche, partent de ton genou et remontent lentement, très lentement, le long de ta peau. Tu écartes un peu plus les jambes dans un réflexe involontaire. m'offrant l'accès à ton intimité encore cachée par le fin triangle de dentelle. Je sens ton corps frémir lorsque j'arrive en haut de la cuisse, tout près de cette zone qui réclame mon attention. Je change de trajectoire et dépose d'abord un baiser humide sur l'intérieur de ta cuisse, puis un autre, un peu plus haut, alternant entre ta jambe droite et ta jambe gauche. Chaque baiser te fait soupirer d'envie. Tu ondues doucement des hanches, cherchant à guider ma bouche exactement là où tu la souhaites, mais je vais encore te faire attendre. Finalement, du bout d'un doigt, je repousse délicatement le dernier voile de dentelle. Ton sexe, déjà humide, se dévoile à moi dans la lumière tamisée. Un ras léger t'échappe lorsque, sans préavis, j'y dépose un lent coup de langue, de haut en bas, effleurant ton clitoris au passage. Encouragé, je recommence, plus lentement encore, ma langue jouant maintenant à titiller ce petit point de plaisir qui te fait perdre pied. Ta selle forme grise, j'écoute chacune de tes réactions, chaque gémissement, pour adapter mes caresses exactement comme tu les aimes. De ma main libre, j'entoure doucement tes hanches pour maintenir ton bassin en place, alors que déjà tes mouvements deviennent moins contrôlés. Ton dos se cambre quand j'intensifie légèrement la pression de ma langue, puis je ralentis à nouveau, de doux cercles taquins. Ta respiration est courte, haletante, ponctuée de soupirs qui trahissent ton plaisir grandissant. Je pourrais continuer ainsi longtemps, mais je sens la crispation de tes cuisses autour de moi que tu approches d'un point de non-retour. Alors, dans un effort presque cruel, je m'arrête au moment où tes premiers tremblements annoncent un possible orgasme. Ton désir inassouvi palpite dans ta voix tremblante, mais je veux que ce soit encore meilleur. encore plus intense pour toi. Lentement, je remonte, couvrant ton ventre de baisers au passage, puis ta poitrine. J'enveloppe brièvement un de tes seins de maman, faisant rouler ton téton durci entre mes doigts pendant que j'embrasse l'autre. Prenant ce petit bout de chair sensile entre mes lèvres, elle s'ussent doucement. Tu gémis mon nom à demi-mot. tes doigts se perdant dans mes cheveux pour m'attirer plus contre toi. Nos bassins se frôlent et je sens mon membre tendu effleurer le haut de ta cuisse. J'ai besoin de m'unir à toi, mais je me contiens encore un instant. Face à ton visage, je plonge mon regard dans le tien une fois de plus et te demande en chuchotant. Si tu es prête. Pour toute réponse, tu guides ta main entre nos corps et la pose sur mon sexe. Le contact de ta paume contre ma virilité me fait grogner de plaisir. Tu les pleures, l'entoures, caressant doucement sa longueur. C'est toi maintenant qui prends quelques secondes pour jouer et tester ma propre patience. Je respire profondément. Chaque fibre de mon corps tendue vers toi est à fond. Quand je sens que je vais perdre le contrôle sous tes doigts, je saisis délicatement ton poignet. Nos regards se comprennent dans un soirier complice. Il est temps que nous cédions enfin à nos envies. Je guide la pointe de mon sexe à l'entrée de ton intimité. Je peux sentir à quel point tu es humide et chaude. A quel point ton corps rate en ce moment ? Lentement, centimètre par centimètre, je m'introduis en toi. Un long soupir d'extase échappe de tes lèvres tandis que je m'enfonce profondément, jusqu'à ce que nos bassins se rejoignent entièrement. En roulant tes jambes autour de mes hanches pour m'attirer encore plus en toi, nous restons ainsi quelques instants, unis et immobiles, à savourer cette plénitude. Je peux sentir les pulsations de ton corps autour de moi et je lutte pour ne pas bouger trop vite, tant la sensation est exquise. Mon front touche le tien, nos regards ne se quittent plus. Le temps semble suspendu, alors que nous sommes enfin liés intimement, respirant à l'unisson. Puis, tout doucement, je commence à onduler des hanches. Mes veuilles viennent sans lent et profond. Je ressors presque entièrement avant de revenir te combler, inondé par ta chaleur. Chacun de mes mouvements arrache d'un doux gémissement à ta gorge. Tes ongles se plantent légèrement dans la chair de mon dos alors que je trouve un rythme sensuel. Sans cesser nos lentes oscillations, je te souffle de me regarder. Alors que je sens la tension monter à nouveau dans nos ventres, j'accélère légèrement le rythme. Nos corps s'accordent parfaitement. Tu soulèves tes hanches à la rencontre des miennes à chaque poussée, et un délicieux frottement s'exerce sur ton clitoris à chaque mouvement, t'arrachant des gémissements de plus en plus prononcés. Sentant tes cuisses trembler autour de moi, mon souffle se fait plus court et je me concentre pour prolonger le plaisir. ralentissant dès que je sens notre excitation frôler un point de non-retour, puis reprenant un peu plus vite, jouant de ces variations de rythme pour faire durer l'extase, sans la faire éclater trop vite. Cette danse de nos corps devient plus fluide, instinctive. La mointeur de la sueur couvre nos peaux collées l'une à l'autre, nos draps sont froissés sous nos mouvements, et la pièce s'emplit de l'écho charnel de nos souffles et de nos peaux qui se rencontrent. Soudain, tu tournes légèrement la tête vers mon oreille et tu y murmures d'une voix brisée par le plaisir. Ne pas m'arrêter, n'allez plus fort. Ce murmure si érotique embrasse ce qui me reste au contrôle. Mon bassin intensifie ses coudreins, toujours profond mais désormais plus rapide, plus pressant. Je grogne de plaisir en sentant ton corps accueillir chaque assaut avec une dévotion brûlante. Tes gémissements se transforment en petits cris étouffés contre mon cou. Tu m'implores sans retenue, tes talons pressant le bas de mon dos pour m'inciter à aller aussi vite que possible en toi. Je sens ton corps qui commence à se tendre, tes muscles se contracter autour de moi par vagues, ta tête se renversant en arrière sur l'oreiller. Ta bouche s'ouvre dans un cri muet. Je sais que tu es sur le point de jouir et cette simple réalisation me fait vaciller. Je te dis de lâcher, mon amour. Tu cries et tes paroisses resserrent et palpitent autour de mon sexe. Je continue de te pénétrer lentement tout au long de ton orgasme. Cette sensation, exquise de ton corps qui jouit contre le mien, m'entraîne à mon tour. Je donne encore quelques coups de rein, plus désordonnés alors que le plaisir me submerge. Je m'enfonce une dernière fois profondément et dans un râle étouffé contre ton cou. Je me libère en toi. Mon orgasme explose. Je me sens défaillir tandis que mon plaisir se mélange au tien. Un flot de sensations brûlantes parcourt mon échine. Je tremble légèrement au-dessus de toi. nos deux lois se confondent dans cet extase partagé puis peu à peu nos mouvements ralentissent et s'arrêtent tu passes doucement une main dans mon dos traçant des cercles apaisants du bout des doigts Et nos respirations, qui étaient encore rapides, commencent à retrouver un rythme normal. Je reste en toi encore un moment, savourant la chaleur de ton étreinte et la quiétude qui s'installe peu après la tempête. Lorsque je me retire, enfin, avec douceur, tu pousses un petit soupir de contentement. je me laisse tomber à tes côtés sur le lit t'attirant immédiatement contre moi tu niches ta tête au creux de mon épaule et je nous recouvre du peignoir que nous avions abandonné dans le silence de la nuit seul persiste le son de nos coeurs battant encore la chamade blottis l'un contre l'autre nous laissons le sommeil nous gagner nos corps rassasiés, dans tes derniers instants de conscience. Je te sens encore frissonner alors que ma main caresse l'enfer à nu. Je devine que les échos du plaisir dansent encore dans ton esprit. Et avant que des paupières ne se ferment tout à fait, je t'entends murmurer que tu te sens vivante. entre mes bras. Dans l'obscurité, un sourire illumine mon visage et je te serre un peu plus fort. Dans cette étreinte, nous avons atteint quelque chose de plus que la simple satisfaction des sens. Nous avons touché à quelque chose de profond qui résonne en nous doucement. Au rythme calme de nos souffle-mêlés.

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C'est très doux, ce soir.

Un moment d'intimité doux et simple avant de nous endormir l'un contre l'autre.


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  • Speaker #0

    Dans la pénombre de la chambre, je me tiens tout près de toi. Mon torse frôle ton dos nu, tandis que tu te tiens face à la fenêtre ouverte, offerte à la caresse furtive de l'air nocturne. D'une main, j'écarte lentement ta chevelure de ton cou, et j'y dépose un premier baiser, léger comme un souffle. Je sens un frisson parcourir. Ma main libre se pose alors sur ta hanche, et la chaleur de ta peau contre ma paume déclenche en moi quelque chose de profond. Tu laisses échapper un soupir lorsqu'au creux de ton oreille, tout bas, je te murmure. Ne bouge pas, laisse-moi faire. Et même si tu t'efforces de rester immobile, je sens ta respiration s'accélérer. Légèrement. Du bout des lèvres, je trace une ligne le long de ta nuque. Mes baisers descendent à un rythme lent, calculé, jusqu'à l'arrondi de ton épaule. Chaque contact de mes lèvres sur ta peau te fait fermer les yeux un peu plus fort, t'arrachant de petits soupirs. Je devine la cambrure subtile de tes reins, que tu luttes pour ne pas te retourner, te faire davantage. Mais tu obéis à ma demande et tu restes sage pour l'instant. Mes doigts épousent la courbe de ta hanche puis glissent vers le nœud de ton peignoir. Lentement, je le défais. Le tissu soyeux s'entrouve dans un léger froissement. Ma main s'aventure alors sur ton ventre, que je caresse du bout des doigts en de larges cercles. Je sens tes muscles se contracter brièvement sous la caresse, signe de l'impatience qui grandit en toi. J'effleure ton nombril, puis je descends juste assez pour frôler la dentelle de ta culotte. Immédiatement, je te sens retenir ton souffle, comme si tu craignais que le moindre mouvement ne rampe le charme ou n'interrompe ce contact que tu veux tant. Entre ta nuque, un sourire effleure mes lèvres. Tu es déjà pleinement réceptive. Ton corps entier est une invitation. Je dépose un dernier baiser sur ton épaule puis te tourne doucement face à moi. Tes yeux s'ouvrent et plongent dans les miens. Lentement, le long de tes flancs, mes mains s'élèvent, emportant avec elles le peignoir qui glisse finalement au sol dans un souffle. Tu te tiens maintenant presque nue devant moi, simplement vêtue de cette petite pièce de dentelle claire. Et la lune, filtrant par la fenêtre, dessine sur ton corps des reflets que je prends un instant pour admirer. Mon regard se pose sur des détails microscopiques, une goutte de sueur qui perle à la naissance de tes seins, le léger tremblement de tes doigts qui cherche appui sur mes avant-bras. J'approche mon visage du tien et sans quitter tes yeux de mon regard, j'ai fleur tes lèvres entre ouvertes avec les miennes notre baiser d'abord délicat puis devient peu à peu au fond je goûte à ta lèvre inférieure la mordit très légèrement ton corps se presse contre le mien et j'ai un frisson en sentant la chaleur de tes seins nus contre mon torse tes tétons durci par le désir frôle ma peau et m'électrise. Tout en t'embrassant, je marche avec toi de quelques pas vers le lit, sans jamais rompre le contact de nos lèvres. Mes mains rencontrent le rebord du matelas et je te guide pour t'allonger sur les draps. Je m'agenouille entre tes cuisses et prends un instant pour contempler la vision que tu m'offres. Allongé sur le dos, les cheveux éparts sur l'oreiller. Poitrine se soulevant au rythme de ta respiration accélérée et ton regard brillant de désir qui ne quitte pas le mien. Tu es magnifique. Mes doigts glissent sur ta cuisse gauche, partent de ton genou et remontent lentement, très lentement, le long de ta peau. Tu écartes un peu plus les jambes dans un réflexe involontaire. m'offrant l'accès à ton intimité encore cachée par le fin triangle de dentelle. Je sens ton corps frémir lorsque j'arrive en haut de la cuisse, tout près de cette zone qui réclame mon attention. Je change de trajectoire et dépose d'abord un baiser humide sur l'intérieur de ta cuisse, puis un autre, un peu plus haut, alternant entre ta jambe droite et ta jambe gauche. Chaque baiser te fait soupirer d'envie. Tu ondues doucement des hanches, cherchant à guider ma bouche exactement là où tu la souhaites, mais je vais encore te faire attendre. Finalement, du bout d'un doigt, je repousse délicatement le dernier voile de dentelle. Ton sexe, déjà humide, se dévoile à moi dans la lumière tamisée. Un ras léger t'échappe lorsque, sans préavis, j'y dépose un lent coup de langue, de haut en bas, effleurant ton clitoris au passage. Encouragé, je recommence, plus lentement encore, ma langue jouant maintenant à titiller ce petit point de plaisir qui te fait perdre pied. Ta selle forme grise, j'écoute chacune de tes réactions, chaque gémissement, pour adapter mes caresses exactement comme tu les aimes. De ma main libre, j'entoure doucement tes hanches pour maintenir ton bassin en place, alors que déjà tes mouvements deviennent moins contrôlés. Ton dos se cambre quand j'intensifie légèrement la pression de ma langue, puis je ralentis à nouveau, de doux cercles taquins. Ta respiration est courte, haletante, ponctuée de soupirs qui trahissent ton plaisir grandissant. Je pourrais continuer ainsi longtemps, mais je sens la crispation de tes cuisses autour de moi que tu approches d'un point de non-retour. Alors, dans un effort presque cruel, je m'arrête au moment où tes premiers tremblements annoncent un possible orgasme. Ton désir inassouvi palpite dans ta voix tremblante, mais je veux que ce soit encore meilleur. encore plus intense pour toi. Lentement, je remonte, couvrant ton ventre de baisers au passage, puis ta poitrine. J'enveloppe brièvement un de tes seins de maman, faisant rouler ton téton durci entre mes doigts pendant que j'embrasse l'autre. Prenant ce petit bout de chair sensile entre mes lèvres, elle s'ussent doucement. Tu gémis mon nom à demi-mot. tes doigts se perdant dans mes cheveux pour m'attirer plus contre toi. Nos bassins se frôlent et je sens mon membre tendu effleurer le haut de ta cuisse. J'ai besoin de m'unir à toi, mais je me contiens encore un instant. Face à ton visage, je plonge mon regard dans le tien une fois de plus et te demande en chuchotant. Si tu es prête. Pour toute réponse, tu guides ta main entre nos corps et la pose sur mon sexe. Le contact de ta paume contre ma virilité me fait grogner de plaisir. Tu les pleures, l'entoures, caressant doucement sa longueur. C'est toi maintenant qui prends quelques secondes pour jouer et tester ma propre patience. Je respire profondément. Chaque fibre de mon corps tendue vers toi est à fond. Quand je sens que je vais perdre le contrôle sous tes doigts, je saisis délicatement ton poignet. Nos regards se comprennent dans un soirier complice. Il est temps que nous cédions enfin à nos envies. Je guide la pointe de mon sexe à l'entrée de ton intimité. Je peux sentir à quel point tu es humide et chaude. A quel point ton corps rate en ce moment ? Lentement, centimètre par centimètre, je m'introduis en toi. Un long soupir d'extase échappe de tes lèvres tandis que je m'enfonce profondément, jusqu'à ce que nos bassins se rejoignent entièrement. En roulant tes jambes autour de mes hanches pour m'attirer encore plus en toi, nous restons ainsi quelques instants, unis et immobiles, à savourer cette plénitude. Je peux sentir les pulsations de ton corps autour de moi et je lutte pour ne pas bouger trop vite, tant la sensation est exquise. Mon front touche le tien, nos regards ne se quittent plus. Le temps semble suspendu, alors que nous sommes enfin liés intimement, respirant à l'unisson. Puis, tout doucement, je commence à onduler des hanches. Mes veuilles viennent sans lent et profond. Je ressors presque entièrement avant de revenir te combler, inondé par ta chaleur. Chacun de mes mouvements arrache d'un doux gémissement à ta gorge. Tes ongles se plantent légèrement dans la chair de mon dos alors que je trouve un rythme sensuel. Sans cesser nos lentes oscillations, je te souffle de me regarder. Alors que je sens la tension monter à nouveau dans nos ventres, j'accélère légèrement le rythme. Nos corps s'accordent parfaitement. Tu soulèves tes hanches à la rencontre des miennes à chaque poussée, et un délicieux frottement s'exerce sur ton clitoris à chaque mouvement, t'arrachant des gémissements de plus en plus prononcés. Sentant tes cuisses trembler autour de moi, mon souffle se fait plus court et je me concentre pour prolonger le plaisir. ralentissant dès que je sens notre excitation frôler un point de non-retour, puis reprenant un peu plus vite, jouant de ces variations de rythme pour faire durer l'extase, sans la faire éclater trop vite. Cette danse de nos corps devient plus fluide, instinctive. La mointeur de la sueur couvre nos peaux collées l'une à l'autre, nos draps sont froissés sous nos mouvements, et la pièce s'emplit de l'écho charnel de nos souffles et de nos peaux qui se rencontrent. Soudain, tu tournes légèrement la tête vers mon oreille et tu y murmures d'une voix brisée par le plaisir. Ne pas m'arrêter, n'allez plus fort. Ce murmure si érotique embrasse ce qui me reste au contrôle. Mon bassin intensifie ses coudreins, toujours profond mais désormais plus rapide, plus pressant. Je grogne de plaisir en sentant ton corps accueillir chaque assaut avec une dévotion brûlante. Tes gémissements se transforment en petits cris étouffés contre mon cou. Tu m'implores sans retenue, tes talons pressant le bas de mon dos pour m'inciter à aller aussi vite que possible en toi. Je sens ton corps qui commence à se tendre, tes muscles se contracter autour de moi par vagues, ta tête se renversant en arrière sur l'oreiller. Ta bouche s'ouvre dans un cri muet. Je sais que tu es sur le point de jouir et cette simple réalisation me fait vaciller. Je te dis de lâcher, mon amour. Tu cries et tes paroisses resserrent et palpitent autour de mon sexe. Je continue de te pénétrer lentement tout au long de ton orgasme. Cette sensation, exquise de ton corps qui jouit contre le mien, m'entraîne à mon tour. Je donne encore quelques coups de rein, plus désordonnés alors que le plaisir me submerge. Je m'enfonce une dernière fois profondément et dans un râle étouffé contre ton cou. Je me libère en toi. Mon orgasme explose. Je me sens défaillir tandis que mon plaisir se mélange au tien. Un flot de sensations brûlantes parcourt mon échine. Je tremble légèrement au-dessus de toi. nos deux lois se confondent dans cet extase partagé puis peu à peu nos mouvements ralentissent et s'arrêtent tu passes doucement une main dans mon dos traçant des cercles apaisants du bout des doigts Et nos respirations, qui étaient encore rapides, commencent à retrouver un rythme normal. Je reste en toi encore un moment, savourant la chaleur de ton étreinte et la quiétude qui s'installe peu après la tempête. Lorsque je me retire, enfin, avec douceur, tu pousses un petit soupir de contentement. je me laisse tomber à tes côtés sur le lit t'attirant immédiatement contre moi tu niches ta tête au creux de mon épaule et je nous recouvre du peignoir que nous avions abandonné dans le silence de la nuit seul persiste le son de nos coeurs battant encore la chamade blottis l'un contre l'autre nous laissons le sommeil nous gagner nos corps rassasiés, dans tes derniers instants de conscience. Je te sens encore frissonner alors que ma main caresse l'enfer à nu. Je devine que les échos du plaisir dansent encore dans ton esprit. Et avant que des paupières ne se ferment tout à fait, je t'entends murmurer que tu te sens vivante. entre mes bras. Dans l'obscurité, un sourire illumine mon visage et je te serre un peu plus fort. Dans cette étreinte, nous avons atteint quelque chose de plus que la simple satisfaction des sens. Nous avons touché à quelque chose de profond qui résonne en nous doucement. Au rythme calme de nos souffle-mêlés.

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    Dans la pénombre de la chambre, je me tiens tout près de toi. Mon torse frôle ton dos nu, tandis que tu te tiens face à la fenêtre ouverte, offerte à la caresse furtive de l'air nocturne. D'une main, j'écarte lentement ta chevelure de ton cou, et j'y dépose un premier baiser, léger comme un souffle. Je sens un frisson parcourir. Ma main libre se pose alors sur ta hanche, et la chaleur de ta peau contre ma paume déclenche en moi quelque chose de profond. Tu laisses échapper un soupir lorsqu'au creux de ton oreille, tout bas, je te murmure. Ne bouge pas, laisse-moi faire. Et même si tu t'efforces de rester immobile, je sens ta respiration s'accélérer. Légèrement. Du bout des lèvres, je trace une ligne le long de ta nuque. Mes baisers descendent à un rythme lent, calculé, jusqu'à l'arrondi de ton épaule. Chaque contact de mes lèvres sur ta peau te fait fermer les yeux un peu plus fort, t'arrachant de petits soupirs. Je devine la cambrure subtile de tes reins, que tu luttes pour ne pas te retourner, te faire davantage. Mais tu obéis à ma demande et tu restes sage pour l'instant. Mes doigts épousent la courbe de ta hanche puis glissent vers le nœud de ton peignoir. Lentement, je le défais. Le tissu soyeux s'entrouve dans un léger froissement. Ma main s'aventure alors sur ton ventre, que je caresse du bout des doigts en de larges cercles. Je sens tes muscles se contracter brièvement sous la caresse, signe de l'impatience qui grandit en toi. J'effleure ton nombril, puis je descends juste assez pour frôler la dentelle de ta culotte. Immédiatement, je te sens retenir ton souffle, comme si tu craignais que le moindre mouvement ne rampe le charme ou n'interrompe ce contact que tu veux tant. Entre ta nuque, un sourire effleure mes lèvres. Tu es déjà pleinement réceptive. Ton corps entier est une invitation. Je dépose un dernier baiser sur ton épaule puis te tourne doucement face à moi. Tes yeux s'ouvrent et plongent dans les miens. Lentement, le long de tes flancs, mes mains s'élèvent, emportant avec elles le peignoir qui glisse finalement au sol dans un souffle. Tu te tiens maintenant presque nue devant moi, simplement vêtue de cette petite pièce de dentelle claire. Et la lune, filtrant par la fenêtre, dessine sur ton corps des reflets que je prends un instant pour admirer. Mon regard se pose sur des détails microscopiques, une goutte de sueur qui perle à la naissance de tes seins, le léger tremblement de tes doigts qui cherche appui sur mes avant-bras. J'approche mon visage du tien et sans quitter tes yeux de mon regard, j'ai fleur tes lèvres entre ouvertes avec les miennes notre baiser d'abord délicat puis devient peu à peu au fond je goûte à ta lèvre inférieure la mordit très légèrement ton corps se presse contre le mien et j'ai un frisson en sentant la chaleur de tes seins nus contre mon torse tes tétons durci par le désir frôle ma peau et m'électrise. Tout en t'embrassant, je marche avec toi de quelques pas vers le lit, sans jamais rompre le contact de nos lèvres. Mes mains rencontrent le rebord du matelas et je te guide pour t'allonger sur les draps. Je m'agenouille entre tes cuisses et prends un instant pour contempler la vision que tu m'offres. Allongé sur le dos, les cheveux éparts sur l'oreiller. Poitrine se soulevant au rythme de ta respiration accélérée et ton regard brillant de désir qui ne quitte pas le mien. Tu es magnifique. Mes doigts glissent sur ta cuisse gauche, partent de ton genou et remontent lentement, très lentement, le long de ta peau. Tu écartes un peu plus les jambes dans un réflexe involontaire. m'offrant l'accès à ton intimité encore cachée par le fin triangle de dentelle. Je sens ton corps frémir lorsque j'arrive en haut de la cuisse, tout près de cette zone qui réclame mon attention. Je change de trajectoire et dépose d'abord un baiser humide sur l'intérieur de ta cuisse, puis un autre, un peu plus haut, alternant entre ta jambe droite et ta jambe gauche. Chaque baiser te fait soupirer d'envie. Tu ondues doucement des hanches, cherchant à guider ma bouche exactement là où tu la souhaites, mais je vais encore te faire attendre. Finalement, du bout d'un doigt, je repousse délicatement le dernier voile de dentelle. Ton sexe, déjà humide, se dévoile à moi dans la lumière tamisée. Un ras léger t'échappe lorsque, sans préavis, j'y dépose un lent coup de langue, de haut en bas, effleurant ton clitoris au passage. Encouragé, je recommence, plus lentement encore, ma langue jouant maintenant à titiller ce petit point de plaisir qui te fait perdre pied. Ta selle forme grise, j'écoute chacune de tes réactions, chaque gémissement, pour adapter mes caresses exactement comme tu les aimes. De ma main libre, j'entoure doucement tes hanches pour maintenir ton bassin en place, alors que déjà tes mouvements deviennent moins contrôlés. Ton dos se cambre quand j'intensifie légèrement la pression de ma langue, puis je ralentis à nouveau, de doux cercles taquins. Ta respiration est courte, haletante, ponctuée de soupirs qui trahissent ton plaisir grandissant. Je pourrais continuer ainsi longtemps, mais je sens la crispation de tes cuisses autour de moi que tu approches d'un point de non-retour. Alors, dans un effort presque cruel, je m'arrête au moment où tes premiers tremblements annoncent un possible orgasme. Ton désir inassouvi palpite dans ta voix tremblante, mais je veux que ce soit encore meilleur. encore plus intense pour toi. Lentement, je remonte, couvrant ton ventre de baisers au passage, puis ta poitrine. J'enveloppe brièvement un de tes seins de maman, faisant rouler ton téton durci entre mes doigts pendant que j'embrasse l'autre. Prenant ce petit bout de chair sensile entre mes lèvres, elle s'ussent doucement. Tu gémis mon nom à demi-mot. tes doigts se perdant dans mes cheveux pour m'attirer plus contre toi. Nos bassins se frôlent et je sens mon membre tendu effleurer le haut de ta cuisse. J'ai besoin de m'unir à toi, mais je me contiens encore un instant. Face à ton visage, je plonge mon regard dans le tien une fois de plus et te demande en chuchotant. Si tu es prête. Pour toute réponse, tu guides ta main entre nos corps et la pose sur mon sexe. Le contact de ta paume contre ma virilité me fait grogner de plaisir. Tu les pleures, l'entoures, caressant doucement sa longueur. C'est toi maintenant qui prends quelques secondes pour jouer et tester ma propre patience. Je respire profondément. Chaque fibre de mon corps tendue vers toi est à fond. Quand je sens que je vais perdre le contrôle sous tes doigts, je saisis délicatement ton poignet. Nos regards se comprennent dans un soirier complice. Il est temps que nous cédions enfin à nos envies. Je guide la pointe de mon sexe à l'entrée de ton intimité. Je peux sentir à quel point tu es humide et chaude. A quel point ton corps rate en ce moment ? Lentement, centimètre par centimètre, je m'introduis en toi. Un long soupir d'extase échappe de tes lèvres tandis que je m'enfonce profondément, jusqu'à ce que nos bassins se rejoignent entièrement. En roulant tes jambes autour de mes hanches pour m'attirer encore plus en toi, nous restons ainsi quelques instants, unis et immobiles, à savourer cette plénitude. Je peux sentir les pulsations de ton corps autour de moi et je lutte pour ne pas bouger trop vite, tant la sensation est exquise. Mon front touche le tien, nos regards ne se quittent plus. Le temps semble suspendu, alors que nous sommes enfin liés intimement, respirant à l'unisson. Puis, tout doucement, je commence à onduler des hanches. Mes veuilles viennent sans lent et profond. Je ressors presque entièrement avant de revenir te combler, inondé par ta chaleur. Chacun de mes mouvements arrache d'un doux gémissement à ta gorge. Tes ongles se plantent légèrement dans la chair de mon dos alors que je trouve un rythme sensuel. Sans cesser nos lentes oscillations, je te souffle de me regarder. Alors que je sens la tension monter à nouveau dans nos ventres, j'accélère légèrement le rythme. Nos corps s'accordent parfaitement. Tu soulèves tes hanches à la rencontre des miennes à chaque poussée, et un délicieux frottement s'exerce sur ton clitoris à chaque mouvement, t'arrachant des gémissements de plus en plus prononcés. Sentant tes cuisses trembler autour de moi, mon souffle se fait plus court et je me concentre pour prolonger le plaisir. ralentissant dès que je sens notre excitation frôler un point de non-retour, puis reprenant un peu plus vite, jouant de ces variations de rythme pour faire durer l'extase, sans la faire éclater trop vite. Cette danse de nos corps devient plus fluide, instinctive. La mointeur de la sueur couvre nos peaux collées l'une à l'autre, nos draps sont froissés sous nos mouvements, et la pièce s'emplit de l'écho charnel de nos souffles et de nos peaux qui se rencontrent. Soudain, tu tournes légèrement la tête vers mon oreille et tu y murmures d'une voix brisée par le plaisir. Ne pas m'arrêter, n'allez plus fort. Ce murmure si érotique embrasse ce qui me reste au contrôle. Mon bassin intensifie ses coudreins, toujours profond mais désormais plus rapide, plus pressant. Je grogne de plaisir en sentant ton corps accueillir chaque assaut avec une dévotion brûlante. Tes gémissements se transforment en petits cris étouffés contre mon cou. Tu m'implores sans retenue, tes talons pressant le bas de mon dos pour m'inciter à aller aussi vite que possible en toi. Je sens ton corps qui commence à se tendre, tes muscles se contracter autour de moi par vagues, ta tête se renversant en arrière sur l'oreiller. Ta bouche s'ouvre dans un cri muet. Je sais que tu es sur le point de jouir et cette simple réalisation me fait vaciller. Je te dis de lâcher, mon amour. Tu cries et tes paroisses resserrent et palpitent autour de mon sexe. Je continue de te pénétrer lentement tout au long de ton orgasme. Cette sensation, exquise de ton corps qui jouit contre le mien, m'entraîne à mon tour. Je donne encore quelques coups de rein, plus désordonnés alors que le plaisir me submerge. Je m'enfonce une dernière fois profondément et dans un râle étouffé contre ton cou. Je me libère en toi. Mon orgasme explose. Je me sens défaillir tandis que mon plaisir se mélange au tien. Un flot de sensations brûlantes parcourt mon échine. Je tremble légèrement au-dessus de toi. nos deux lois se confondent dans cet extase partagé puis peu à peu nos mouvements ralentissent et s'arrêtent tu passes doucement une main dans mon dos traçant des cercles apaisants du bout des doigts Et nos respirations, qui étaient encore rapides, commencent à retrouver un rythme normal. Je reste en toi encore un moment, savourant la chaleur de ton étreinte et la quiétude qui s'installe peu après la tempête. Lorsque je me retire, enfin, avec douceur, tu pousses un petit soupir de contentement. je me laisse tomber à tes côtés sur le lit t'attirant immédiatement contre moi tu niches ta tête au creux de mon épaule et je nous recouvre du peignoir que nous avions abandonné dans le silence de la nuit seul persiste le son de nos coeurs battant encore la chamade blottis l'un contre l'autre nous laissons le sommeil nous gagner nos corps rassasiés, dans tes derniers instants de conscience. Je te sens encore frissonner alors que ma main caresse l'enfer à nu. Je devine que les échos du plaisir dansent encore dans ton esprit. Et avant que des paupières ne se ferment tout à fait, je t'entends murmurer que tu te sens vivante. entre mes bras. Dans l'obscurité, un sourire illumine mon visage et je te serre un peu plus fort. Dans cette étreinte, nous avons atteint quelque chose de plus que la simple satisfaction des sens. Nous avons touché à quelque chose de profond qui résonne en nous doucement. Au rythme calme de nos souffle-mêlés.

Description

C'est très doux, ce soir.

Un moment d'intimité doux et simple avant de nous endormir l'un contre l'autre.


Audio réalisé par Elias 23H47

Histoires immersives et séries complètes disponibles dès maintenant sur Patreon : https://patreon.com/Elias23h47


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Dans la pénombre de la chambre, je me tiens tout près de toi. Mon torse frôle ton dos nu, tandis que tu te tiens face à la fenêtre ouverte, offerte à la caresse furtive de l'air nocturne. D'une main, j'écarte lentement ta chevelure de ton cou, et j'y dépose un premier baiser, léger comme un souffle. Je sens un frisson parcourir. Ma main libre se pose alors sur ta hanche, et la chaleur de ta peau contre ma paume déclenche en moi quelque chose de profond. Tu laisses échapper un soupir lorsqu'au creux de ton oreille, tout bas, je te murmure. Ne bouge pas, laisse-moi faire. Et même si tu t'efforces de rester immobile, je sens ta respiration s'accélérer. Légèrement. Du bout des lèvres, je trace une ligne le long de ta nuque. Mes baisers descendent à un rythme lent, calculé, jusqu'à l'arrondi de ton épaule. Chaque contact de mes lèvres sur ta peau te fait fermer les yeux un peu plus fort, t'arrachant de petits soupirs. Je devine la cambrure subtile de tes reins, que tu luttes pour ne pas te retourner, te faire davantage. Mais tu obéis à ma demande et tu restes sage pour l'instant. Mes doigts épousent la courbe de ta hanche puis glissent vers le nœud de ton peignoir. Lentement, je le défais. Le tissu soyeux s'entrouve dans un léger froissement. Ma main s'aventure alors sur ton ventre, que je caresse du bout des doigts en de larges cercles. Je sens tes muscles se contracter brièvement sous la caresse, signe de l'impatience qui grandit en toi. J'effleure ton nombril, puis je descends juste assez pour frôler la dentelle de ta culotte. Immédiatement, je te sens retenir ton souffle, comme si tu craignais que le moindre mouvement ne rampe le charme ou n'interrompe ce contact que tu veux tant. Entre ta nuque, un sourire effleure mes lèvres. Tu es déjà pleinement réceptive. Ton corps entier est une invitation. Je dépose un dernier baiser sur ton épaule puis te tourne doucement face à moi. Tes yeux s'ouvrent et plongent dans les miens. Lentement, le long de tes flancs, mes mains s'élèvent, emportant avec elles le peignoir qui glisse finalement au sol dans un souffle. Tu te tiens maintenant presque nue devant moi, simplement vêtue de cette petite pièce de dentelle claire. Et la lune, filtrant par la fenêtre, dessine sur ton corps des reflets que je prends un instant pour admirer. Mon regard se pose sur des détails microscopiques, une goutte de sueur qui perle à la naissance de tes seins, le léger tremblement de tes doigts qui cherche appui sur mes avant-bras. J'approche mon visage du tien et sans quitter tes yeux de mon regard, j'ai fleur tes lèvres entre ouvertes avec les miennes notre baiser d'abord délicat puis devient peu à peu au fond je goûte à ta lèvre inférieure la mordit très légèrement ton corps se presse contre le mien et j'ai un frisson en sentant la chaleur de tes seins nus contre mon torse tes tétons durci par le désir frôle ma peau et m'électrise. Tout en t'embrassant, je marche avec toi de quelques pas vers le lit, sans jamais rompre le contact de nos lèvres. Mes mains rencontrent le rebord du matelas et je te guide pour t'allonger sur les draps. Je m'agenouille entre tes cuisses et prends un instant pour contempler la vision que tu m'offres. Allongé sur le dos, les cheveux éparts sur l'oreiller. Poitrine se soulevant au rythme de ta respiration accélérée et ton regard brillant de désir qui ne quitte pas le mien. Tu es magnifique. Mes doigts glissent sur ta cuisse gauche, partent de ton genou et remontent lentement, très lentement, le long de ta peau. Tu écartes un peu plus les jambes dans un réflexe involontaire. m'offrant l'accès à ton intimité encore cachée par le fin triangle de dentelle. Je sens ton corps frémir lorsque j'arrive en haut de la cuisse, tout près de cette zone qui réclame mon attention. Je change de trajectoire et dépose d'abord un baiser humide sur l'intérieur de ta cuisse, puis un autre, un peu plus haut, alternant entre ta jambe droite et ta jambe gauche. Chaque baiser te fait soupirer d'envie. Tu ondues doucement des hanches, cherchant à guider ma bouche exactement là où tu la souhaites, mais je vais encore te faire attendre. Finalement, du bout d'un doigt, je repousse délicatement le dernier voile de dentelle. Ton sexe, déjà humide, se dévoile à moi dans la lumière tamisée. Un ras léger t'échappe lorsque, sans préavis, j'y dépose un lent coup de langue, de haut en bas, effleurant ton clitoris au passage. Encouragé, je recommence, plus lentement encore, ma langue jouant maintenant à titiller ce petit point de plaisir qui te fait perdre pied. Ta selle forme grise, j'écoute chacune de tes réactions, chaque gémissement, pour adapter mes caresses exactement comme tu les aimes. De ma main libre, j'entoure doucement tes hanches pour maintenir ton bassin en place, alors que déjà tes mouvements deviennent moins contrôlés. Ton dos se cambre quand j'intensifie légèrement la pression de ma langue, puis je ralentis à nouveau, de doux cercles taquins. Ta respiration est courte, haletante, ponctuée de soupirs qui trahissent ton plaisir grandissant. Je pourrais continuer ainsi longtemps, mais je sens la crispation de tes cuisses autour de moi que tu approches d'un point de non-retour. Alors, dans un effort presque cruel, je m'arrête au moment où tes premiers tremblements annoncent un possible orgasme. Ton désir inassouvi palpite dans ta voix tremblante, mais je veux que ce soit encore meilleur. encore plus intense pour toi. Lentement, je remonte, couvrant ton ventre de baisers au passage, puis ta poitrine. J'enveloppe brièvement un de tes seins de maman, faisant rouler ton téton durci entre mes doigts pendant que j'embrasse l'autre. Prenant ce petit bout de chair sensile entre mes lèvres, elle s'ussent doucement. Tu gémis mon nom à demi-mot. tes doigts se perdant dans mes cheveux pour m'attirer plus contre toi. Nos bassins se frôlent et je sens mon membre tendu effleurer le haut de ta cuisse. J'ai besoin de m'unir à toi, mais je me contiens encore un instant. Face à ton visage, je plonge mon regard dans le tien une fois de plus et te demande en chuchotant. Si tu es prête. Pour toute réponse, tu guides ta main entre nos corps et la pose sur mon sexe. Le contact de ta paume contre ma virilité me fait grogner de plaisir. Tu les pleures, l'entoures, caressant doucement sa longueur. C'est toi maintenant qui prends quelques secondes pour jouer et tester ma propre patience. Je respire profondément. Chaque fibre de mon corps tendue vers toi est à fond. Quand je sens que je vais perdre le contrôle sous tes doigts, je saisis délicatement ton poignet. Nos regards se comprennent dans un soirier complice. Il est temps que nous cédions enfin à nos envies. Je guide la pointe de mon sexe à l'entrée de ton intimité. Je peux sentir à quel point tu es humide et chaude. A quel point ton corps rate en ce moment ? Lentement, centimètre par centimètre, je m'introduis en toi. Un long soupir d'extase échappe de tes lèvres tandis que je m'enfonce profondément, jusqu'à ce que nos bassins se rejoignent entièrement. En roulant tes jambes autour de mes hanches pour m'attirer encore plus en toi, nous restons ainsi quelques instants, unis et immobiles, à savourer cette plénitude. Je peux sentir les pulsations de ton corps autour de moi et je lutte pour ne pas bouger trop vite, tant la sensation est exquise. Mon front touche le tien, nos regards ne se quittent plus. Le temps semble suspendu, alors que nous sommes enfin liés intimement, respirant à l'unisson. Puis, tout doucement, je commence à onduler des hanches. Mes veuilles viennent sans lent et profond. Je ressors presque entièrement avant de revenir te combler, inondé par ta chaleur. Chacun de mes mouvements arrache d'un doux gémissement à ta gorge. Tes ongles se plantent légèrement dans la chair de mon dos alors que je trouve un rythme sensuel. Sans cesser nos lentes oscillations, je te souffle de me regarder. Alors que je sens la tension monter à nouveau dans nos ventres, j'accélère légèrement le rythme. Nos corps s'accordent parfaitement. Tu soulèves tes hanches à la rencontre des miennes à chaque poussée, et un délicieux frottement s'exerce sur ton clitoris à chaque mouvement, t'arrachant des gémissements de plus en plus prononcés. Sentant tes cuisses trembler autour de moi, mon souffle se fait plus court et je me concentre pour prolonger le plaisir. ralentissant dès que je sens notre excitation frôler un point de non-retour, puis reprenant un peu plus vite, jouant de ces variations de rythme pour faire durer l'extase, sans la faire éclater trop vite. Cette danse de nos corps devient plus fluide, instinctive. La mointeur de la sueur couvre nos peaux collées l'une à l'autre, nos draps sont froissés sous nos mouvements, et la pièce s'emplit de l'écho charnel de nos souffles et de nos peaux qui se rencontrent. Soudain, tu tournes légèrement la tête vers mon oreille et tu y murmures d'une voix brisée par le plaisir. Ne pas m'arrêter, n'allez plus fort. Ce murmure si érotique embrasse ce qui me reste au contrôle. Mon bassin intensifie ses coudreins, toujours profond mais désormais plus rapide, plus pressant. Je grogne de plaisir en sentant ton corps accueillir chaque assaut avec une dévotion brûlante. Tes gémissements se transforment en petits cris étouffés contre mon cou. Tu m'implores sans retenue, tes talons pressant le bas de mon dos pour m'inciter à aller aussi vite que possible en toi. Je sens ton corps qui commence à se tendre, tes muscles se contracter autour de moi par vagues, ta tête se renversant en arrière sur l'oreiller. Ta bouche s'ouvre dans un cri muet. Je sais que tu es sur le point de jouir et cette simple réalisation me fait vaciller. Je te dis de lâcher, mon amour. Tu cries et tes paroisses resserrent et palpitent autour de mon sexe. Je continue de te pénétrer lentement tout au long de ton orgasme. Cette sensation, exquise de ton corps qui jouit contre le mien, m'entraîne à mon tour. Je donne encore quelques coups de rein, plus désordonnés alors que le plaisir me submerge. Je m'enfonce une dernière fois profondément et dans un râle étouffé contre ton cou. Je me libère en toi. Mon orgasme explose. Je me sens défaillir tandis que mon plaisir se mélange au tien. Un flot de sensations brûlantes parcourt mon échine. Je tremble légèrement au-dessus de toi. nos deux lois se confondent dans cet extase partagé puis peu à peu nos mouvements ralentissent et s'arrêtent tu passes doucement une main dans mon dos traçant des cercles apaisants du bout des doigts Et nos respirations, qui étaient encore rapides, commencent à retrouver un rythme normal. Je reste en toi encore un moment, savourant la chaleur de ton étreinte et la quiétude qui s'installe peu après la tempête. Lorsque je me retire, enfin, avec douceur, tu pousses un petit soupir de contentement. je me laisse tomber à tes côtés sur le lit t'attirant immédiatement contre moi tu niches ta tête au creux de mon épaule et je nous recouvre du peignoir que nous avions abandonné dans le silence de la nuit seul persiste le son de nos coeurs battant encore la chamade blottis l'un contre l'autre nous laissons le sommeil nous gagner nos corps rassasiés, dans tes derniers instants de conscience. Je te sens encore frissonner alors que ma main caresse l'enfer à nu. Je devine que les échos du plaisir dansent encore dans ton esprit. Et avant que des paupières ne se ferment tout à fait, je t'entends murmurer que tu te sens vivante. entre mes bras. Dans l'obscurité, un sourire illumine mon visage et je te serre un peu plus fort. Dans cette étreinte, nous avons atteint quelque chose de plus que la simple satisfaction des sens. Nous avons touché à quelque chose de profond qui résonne en nous doucement. Au rythme calme de nos souffle-mêlés.

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