lle s’appelait Édith Piaf. La môme. La voix cassée. L’enfant des rues devenue icône mondiale. Née en 1915 dans une famille pauvre, elle grandit entre l’errance et l’abandon. Repérée en chantant dans les rues de Paris, elle devient la “Môme Piaf” : un petit oiseau fragile… mais une voix immense. Elle chante l’amour, la perte, la vie cabossée. La Vie en rose. L’Hymne à l’amour. Non, je ne regrette rien. Chaque chanson est un morceau d’elle-même. Elle aime éperdument, souffre violemment, vit trop vite. Les drames s’accumulent, les excès aussi. Mais jamais sa voix ne cède. Elle meurt en 1963, à seulement 47 ans. Paris s’arrête. Des dizaines de milliers de personnes suivent son cortège. 🎧 En deux minutes, découvrez Piaf autrement : pas seulement une voix, mais une vie déchirée, vibrante, qui continue de résonner. 🔎 Chaque lundi, trois portraits de femmes. Elles n’ont pas suivi l’Histoire. Elles l’ont marquée à jamais. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Elle s’appelait Niki de Saint Phalle. Elle a transformé la douleur en couleurs, et la rage en sculptures monumentales. Née en 1930 dans une famille bourgeoise, elle grandit entre Paris et New York. Une enfance marquée par les violences, le silence et l’injustice. Mais au lieu de sombrer, elle choisit l’art comme arme. Elle commence par les “Tirs” : des toiles qu’elle crible de balles, pour faire jaillir la peinture comme du sang. Puis viennent ses Nanas : immenses, rondes, colorées, joyeuses. Des femmes géantes, debout, libres. Niki voulait tout casser. Les codes, le patriarcat, les musées trop sages. Elle voulait redonner au monde des couleurs que la violence lui avait volées. 🎧 En deux minutes, découvrez une femme qui a fait exploser l’art pour le reconstruire. 🔎 Chaque lundi, trois portraits de femmes. Elles n’ont pas suivi l’Histoire. Elles l’ont bousculée. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Elle s’appelait Mata Hari. Danseuse, séductrice, espionne supposée… et légende condamnée. Née Margaretha Zelle en 1876 aux Pays-Bas, elle fuit un mariage violent et une vie déjà brisée. À Paris, elle s’invente un personnage : Mata Hari, “l’Œil du jour” en malais. Elle hypnotise par ses danses, ses voiles, ses récits d’Orient. Elle fascine les diplomates, les généraux, les salons. Mais quand la Première Guerre mondiale éclate, cette femme trop libre devient suspecte. On l’accuse d’espionnage, d’avoir trahi la France pour l’Allemagne. Elle se défend : “Je n’ai jamais été qu’une femme indépendante.” En 1917, elle est jugée. Condamnée. Fusillée au petit matin, à Vincennes. Elle refuse le bandeau, affronte ses bourreaux, et tombe sans trembler. 🎧 En deux minutes, redécouvrez Mata Hari : non pas le cliché de la courtisane, mais une femme insaisissable, qui a payé le prix de sa liberté. 🔎 Chaque lundi, trois portraits de femmes. Elles n’ont pas suivi l’Histoire. Elles l’ont dérangée. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Elle s’appelait Marilyn Monroe. Icône absolue d’Hollywood, incarnation du glamour… et du malentendu. Derrière le sourire et la blondeur, il y avait Norma Jeane : lectrice passionnée, actrice ambitieuse, femme fragile et déterminée. 🎧 En deux minutes, le portrait d’une étoile qui a brûlé trop vite, mais dont l’éclat ne s’est jamais éteint. 🔎 Chaque lundi, trois femmes à (re)découvrir. Elles n’ont pas suivi l’Histoire. Elles l’ont marquée. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Elle s’appelait Olympe de Gouges. Femme de lettres et révolutionnaire, elle a osé écrire la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne. Dans un monde qui ne voulait pas l’entendre, elle a parlé. Trop fort, trop clair. 🎧 En deux minutes, le portrait d’une plume libre, décapitée pour avoir cru en l’égalité. 🔎 Chaque lundi, trois femmes à (re)découvrir. Elles n’ont pas suivi l’Histoire. Elles l’ont bousculée. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Elle s’appelait Renée Vivien. Poétesse de la Belle Époque, rebelle aux convenances. Elle écrivait l’amour entre femmes, la mélancolie, et les désirs qu’on taisait. Une vie brève, somptueuse, traversée par la passion et la douleur. 🎧 En deux minutes, le portrait d’une voix libre et fragile qui a osé dire l’indicible. 🔎 Chaque lundi, trois femmes à (re)découvrir. Elles n’ont pas suivi l’Histoire. Elles l’ont réécrite. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Elle s’appelait... Isadora Duncan. Elle a fait entrer la danse dans la modernité. Pieds nus, libre, instinctive, elle a tout rejeté : les corsets, les règles, les codes. 🎧 Un portrait poétique, en moins de 2 minutes, d’une femme qui a fait du mouvement un acte de rébellion. 🔎 Chaque lundi, trois femmes à (re)découvrir. Elles n’ont pas suivi l’Histoire. Elles l’ont déplacée. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Elle s’appelait... Virginia Woolf. Elle écrivait comme on marche au bord du vide. Entre les lignes, elle parlait des femmes, du silence, de la marge. 🎧 Un portrait poétique, en moins de 2 minutes, d’une voix libre, fragile et inoubliable. 🔎 Chaque lundi, trois femmes à (re)découvrir. Elles n’ont pas suivi l’Histoire. Elles l’ont réécrite. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

🎙️ Elle s’appelait… Cléopâtre. Et elle ne ressemblait à rien de ce que l’histoire raconte. Pas juste une beauté. Pas juste une séductrice. Mais une stratège, une lettrée, une polyglotte, une cheffe d’État. Dernière reine d’Égypte. Première femme à tenir tête à un empire. Elle écrivait son règne à coups d’intelligence. On l’a salie. On l’a fantasmée. Mais on a oublié de la comprendre. 📍Moins de 2 minutes pour la redécouvrir. 🎧 Un portrait à écouter comme un souffle. Une femme, une trace, un cri dans le marbre du temps. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Elle s’appelait… Leonora Carrington Elle écrivait comme on rêve. Elle peignait comme on fuit. Leonora Carrington n’a jamais obéi à la logique. Ni à l’amour. Ni à l’époque. On l’a appelée surréaliste. Mais elle était trop vaste pour un mouvement. Elle a fui l’Angleterre, les hommes, la guerre, la folie. Et s’est inventé un monde à elle, animal, magique, désobéissant. ➤ Un portrait en clair-obscur. ➤ Pour celles et ceux qui aiment les voix qui ne rentrent pas dans les cases. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.