Description
Alors qu’une femme sur deux subit une violence sexuelle au cours de sa vie, seulement 1 % des plaintes aboutissent à une condamnation, et 80 % sont classées sans suite.
En avril dernier, la Cour européenne des droits de l’homme a condamné la France pour discrimination, traitements dégradants et atteinte à la vie privée, après le jugements des procès pour viol de trois adolescentes. Sept ans après #MeToo, pourquoi la justice française reste-t-elle à ce point gangrenée par le sexisme ?
Pour y répondre, Anne Bouillon, avocate engagée pour la cause des femmes victimes de violences conjugales, de harcèlement et d’agressions sexuelles et co autrice de la bande dessinée “Les Femmes ne meurent pas par hasard”.
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