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Enquête Interne

Refondre son code de conduite, l'expérience d'Olivier Catherine (Sonepar)

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16min |21/05/2021
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Description

"Personne ne doit pouvoir raisonnablement venir me voir en me disant "Olivier, j'étais pas au courant. Je ne savais pas qu'il fallait obtenir l'accord pour tel intermédiaire, pour tel cadeau. Je ne savais pas qu'il fallait déclarer telle situation potentielle de conflits d'intérêt"".  Pour Olivier Catherine, general counsel et secrétaire général de Sonepar, si l'un des salariés du groupe prononçait cette phrase, elle constituerait un aveu d'échec du déploiement du programme de conformité qu'il pilote depuis 3 ans.

Après avoir rejoint Sonepar, en mai 2018, il propose de mener la refonte du code de conduite du groupe alors qu'un contrôle de l'Autorité française anticorruption (AFA) est lancé depuis plusieurs mois. Pour "Enquête interne", il revient sur cette lourde tâche qui l'a occupé durant près de 2 ans. Après une première phase de conception et de rédaction du nouveau code, menée par un groupe de travail en mode projet, il aura fallu plus d'un an pour le déployer dans l'ensemble des établissements répartis aux quatre coins du monde de Sonepar. Olivier Catherine livre sa reflexion et les difficultés auxquelles il a dû faire face. 

Le groupe Sonepar a été le premier à se retrouver face à la Commission des sanctions de l'AFA en 2019. Une procédure qui s'est bien terminée pour la société contre laquelle aucun manquement n'aura finalement été retenu en juillet 2019.

  



Description

"Personne ne doit pouvoir raisonnablement venir me voir en me disant "Olivier, j'étais pas au courant. Je ne savais pas qu'il fallait obtenir l'accord pour tel intermédiaire, pour tel cadeau. Je ne savais pas qu'il fallait déclarer telle situation potentielle de conflits d'intérêt"".  Pour Olivier Catherine, general counsel et secrétaire général de Sonepar, si l'un des salariés du groupe prononçait cette phrase, elle constituerait un aveu d'échec du déploiement du programme de conformité qu'il pilote depuis 3 ans.

Après avoir rejoint Sonepar, en mai 2018, il propose de mener la refonte du code de conduite du groupe alors qu'un contrôle de l'Autorité française anticorruption (AFA) est lancé depuis plusieurs mois. Pour "Enquête interne", il revient sur cette lourde tâche qui l'a occupé durant près de 2 ans. Après une première phase de conception et de rédaction du nouveau code, menée par un groupe de travail en mode projet, il aura fallu plus d'un an pour le déployer dans l'ensemble des établissements répartis aux quatre coins du monde de Sonepar. Olivier Catherine livre sa reflexion et les difficultés auxquelles il a dû faire face. 

Le groupe Sonepar a été le premier à se retrouver face à la Commission des sanctions de l'AFA en 2019. Une procédure qui s'est bien terminée pour la société contre laquelle aucun manquement n'aura finalement été retenu en juillet 2019.

  



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Après avoir rejoint Sonepar, en mai 2018, il propose de mener la refonte du code de conduite du groupe alors qu'un contrôle de l'Autorité française anticorruption (AFA) est lancé depuis plusieurs mois. Pour "Enquête interne", il revient sur cette lourde tâche qui l'a occupé durant près de 2 ans. Après une première phase de conception et de rédaction du nouveau code, menée par un groupe de travail en mode projet, il aura fallu plus d'un an pour le déployer dans l'ensemble des établissements répartis aux quatre coins du monde de Sonepar. Olivier Catherine livre sa reflexion et les difficultés auxquelles il a dû faire face. 

Le groupe Sonepar a été le premier à se retrouver face à la Commission des sanctions de l'AFA en 2019. Une procédure qui s'est bien terminée pour la société contre laquelle aucun manquement n'aura finalement été retenu en juillet 2019.

  



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"Personne ne doit pouvoir raisonnablement venir me voir en me disant "Olivier, j'étais pas au courant. Je ne savais pas qu'il fallait obtenir l'accord pour tel intermédiaire, pour tel cadeau. Je ne savais pas qu'il fallait déclarer telle situation potentielle de conflits d'intérêt"".  Pour Olivier Catherine, general counsel et secrétaire général de Sonepar, si l'un des salariés du groupe prononçait cette phrase, elle constituerait un aveu d'échec du déploiement du programme de conformité qu'il pilote depuis 3 ans.

Après avoir rejoint Sonepar, en mai 2018, il propose de mener la refonte du code de conduite du groupe alors qu'un contrôle de l'Autorité française anticorruption (AFA) est lancé depuis plusieurs mois. Pour "Enquête interne", il revient sur cette lourde tâche qui l'a occupé durant près de 2 ans. Après une première phase de conception et de rédaction du nouveau code, menée par un groupe de travail en mode projet, il aura fallu plus d'un an pour le déployer dans l'ensemble des établissements répartis aux quatre coins du monde de Sonepar. Olivier Catherine livre sa reflexion et les difficultés auxquelles il a dû faire face. 

Le groupe Sonepar a été le premier à se retrouver face à la Commission des sanctions de l'AFA en 2019. Une procédure qui s'est bien terminée pour la société contre laquelle aucun manquement n'aura finalement été retenu en juillet 2019.

  



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