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Episode 2 - Colleuses contre les féminicides cover
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Et si Banksy était une femme

Episode 2 - Colleuses contre les féminicides

Episode 2 - Colleuses contre les féminicides

24min |23/08/2020
Play
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Et si Banksy était une femme

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Description

TW : Cet épisode aborde le sujet des féminicides et des violences physiques et sexuelles, avant de le lancer, assurez-vous d’être dans de bonnes conditions pour l’écouter.

C'est un anniversaire particulier, puisque cela fait un an que le mouvement des colleuses contre les féminicides a démarré. 

Dans cet épisode hors série de Et si Banksy était une femme, nous revenons sur l'impact des collages et l'engagement des colleuses. 

En septembre 2019, de nombreux collages contre les féminicides sont apparus dans les rues de Paris. Puis dans celles de Lyon, de Toulouse, Bordeaux, Marseille, Lille, Metz, Valence, Albi, et tant d’autres villes. Des lettres noires sur des feuilles blanches A4. Des messages comme «papa il a tué maman», ou «Feminicides état coupable, justice complice»,  «dans 53 féminicides c’est Noel », «on nait femme et on en meurt», «elle le quitte, il la tue».   Initié par la militante Marguerite Stern, le mouvement s’est étendu à toute la France, et même à l’étranger, Allemagne, Syrie ou encore en Pologne.   

Il nous paraissait impossible de ne pas en parler dans ce podcast qui questionne la place que prennent les femmes dans la rue.  

Tout d’un coup, toutes ces histoires qui restent normalement dans des huit-clos, dans l’intimité, dans le silence, sont partout dans l’espace public. Tout d’un coup, on ne tourne plus la tête en faisant semblant de ne pas comprendre. Du jour au lendemain, on marche, on achète son pain, et on se prend la réalité en pleine face.

A Paris, un soir de novembre, on a rencontré un groupe de colleuses. Certaines se connaissaient, d’autres venaient pour la première fois. On leur a tendu notre micro pour qu’elles nous racontent pourquoi elles ont ressenti l’envie de prendre part à ce mouvement. On a été impressionnée par la détermination de ces femmes, mais on a aussi été bluffées par leur organisation. Ce qu’on veut montrer, entre autre, avec ce podcast, c’est la place que prennent les femmes dans la rue. On veut comprendre, avec les vécus des streets artistes, comment elles reprennent possession des murs, et explosent ceux érigés par la société.

Musiques : Tilly and the wall-Love Riot 

Meydän-Synthwave 

BFMTV - Reportage 131 ème féminicide 

Simone media - Feminicides 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

TW : Cet épisode aborde le sujet des féminicides et des violences physiques et sexuelles, avant de le lancer, assurez-vous d’être dans de bonnes conditions pour l’écouter.

C'est un anniversaire particulier, puisque cela fait un an que le mouvement des colleuses contre les féminicides a démarré. 

Dans cet épisode hors série de Et si Banksy était une femme, nous revenons sur l'impact des collages et l'engagement des colleuses. 

En septembre 2019, de nombreux collages contre les féminicides sont apparus dans les rues de Paris. Puis dans celles de Lyon, de Toulouse, Bordeaux, Marseille, Lille, Metz, Valence, Albi, et tant d’autres villes. Des lettres noires sur des feuilles blanches A4. Des messages comme «papa il a tué maman», ou «Feminicides état coupable, justice complice»,  «dans 53 féminicides c’est Noel », «on nait femme et on en meurt», «elle le quitte, il la tue».   Initié par la militante Marguerite Stern, le mouvement s’est étendu à toute la France, et même à l’étranger, Allemagne, Syrie ou encore en Pologne.   

Il nous paraissait impossible de ne pas en parler dans ce podcast qui questionne la place que prennent les femmes dans la rue.  

Tout d’un coup, toutes ces histoires qui restent normalement dans des huit-clos, dans l’intimité, dans le silence, sont partout dans l’espace public. Tout d’un coup, on ne tourne plus la tête en faisant semblant de ne pas comprendre. Du jour au lendemain, on marche, on achète son pain, et on se prend la réalité en pleine face.

A Paris, un soir de novembre, on a rencontré un groupe de colleuses. Certaines se connaissaient, d’autres venaient pour la première fois. On leur a tendu notre micro pour qu’elles nous racontent pourquoi elles ont ressenti l’envie de prendre part à ce mouvement. On a été impressionnée par la détermination de ces femmes, mais on a aussi été bluffées par leur organisation. Ce qu’on veut montrer, entre autre, avec ce podcast, c’est la place que prennent les femmes dans la rue. On veut comprendre, avec les vécus des streets artistes, comment elles reprennent possession des murs, et explosent ceux érigés par la société.

Musiques : Tilly and the wall-Love Riot 

Meydän-Synthwave 

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C'est un anniversaire particulier, puisque cela fait un an que le mouvement des colleuses contre les féminicides a démarré. 

Dans cet épisode hors série de Et si Banksy était une femme, nous revenons sur l'impact des collages et l'engagement des colleuses. 

En septembre 2019, de nombreux collages contre les féminicides sont apparus dans les rues de Paris. Puis dans celles de Lyon, de Toulouse, Bordeaux, Marseille, Lille, Metz, Valence, Albi, et tant d’autres villes. Des lettres noires sur des feuilles blanches A4. Des messages comme «papa il a tué maman», ou «Feminicides état coupable, justice complice»,  «dans 53 féminicides c’est Noel », «on nait femme et on en meurt», «elle le quitte, il la tue».   Initié par la militante Marguerite Stern, le mouvement s’est étendu à toute la France, et même à l’étranger, Allemagne, Syrie ou encore en Pologne.   

Il nous paraissait impossible de ne pas en parler dans ce podcast qui questionne la place que prennent les femmes dans la rue.  

Tout d’un coup, toutes ces histoires qui restent normalement dans des huit-clos, dans l’intimité, dans le silence, sont partout dans l’espace public. Tout d’un coup, on ne tourne plus la tête en faisant semblant de ne pas comprendre. Du jour au lendemain, on marche, on achète son pain, et on se prend la réalité en pleine face.

A Paris, un soir de novembre, on a rencontré un groupe de colleuses. Certaines se connaissaient, d’autres venaient pour la première fois. On leur a tendu notre micro pour qu’elles nous racontent pourquoi elles ont ressenti l’envie de prendre part à ce mouvement. On a été impressionnée par la détermination de ces femmes, mais on a aussi été bluffées par leur organisation. Ce qu’on veut montrer, entre autre, avec ce podcast, c’est la place que prennent les femmes dans la rue. On veut comprendre, avec les vécus des streets artistes, comment elles reprennent possession des murs, et explosent ceux érigés par la société.

Musiques : Tilly and the wall-Love Riot 

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C'est un anniversaire particulier, puisque cela fait un an que le mouvement des colleuses contre les féminicides a démarré. 

Dans cet épisode hors série de Et si Banksy était une femme, nous revenons sur l'impact des collages et l'engagement des colleuses. 

En septembre 2019, de nombreux collages contre les féminicides sont apparus dans les rues de Paris. Puis dans celles de Lyon, de Toulouse, Bordeaux, Marseille, Lille, Metz, Valence, Albi, et tant d’autres villes. Des lettres noires sur des feuilles blanches A4. Des messages comme «papa il a tué maman», ou «Feminicides état coupable, justice complice»,  «dans 53 féminicides c’est Noel », «on nait femme et on en meurt», «elle le quitte, il la tue».   Initié par la militante Marguerite Stern, le mouvement s’est étendu à toute la France, et même à l’étranger, Allemagne, Syrie ou encore en Pologne.   

Il nous paraissait impossible de ne pas en parler dans ce podcast qui questionne la place que prennent les femmes dans la rue.  

Tout d’un coup, toutes ces histoires qui restent normalement dans des huit-clos, dans l’intimité, dans le silence, sont partout dans l’espace public. Tout d’un coup, on ne tourne plus la tête en faisant semblant de ne pas comprendre. Du jour au lendemain, on marche, on achète son pain, et on se prend la réalité en pleine face.

A Paris, un soir de novembre, on a rencontré un groupe de colleuses. Certaines se connaissaient, d’autres venaient pour la première fois. On leur a tendu notre micro pour qu’elles nous racontent pourquoi elles ont ressenti l’envie de prendre part à ce mouvement. On a été impressionnée par la détermination de ces femmes, mais on a aussi été bluffées par leur organisation. Ce qu’on veut montrer, entre autre, avec ce podcast, c’est la place que prennent les femmes dans la rue. On veut comprendre, avec les vécus des streets artistes, comment elles reprennent possession des murs, et explosent ceux érigés par la société.

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