Excision #4 : Le poids des croyances face à la loi cover
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Excision : mobilisé·e·s pour l'abandon

Excision #4 : Le poids des croyances face à la loi

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19min |20/12/2020
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19min |20/12/2020
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Description

La France a été le premier pays occidental à pénaliser la pratique des mutilations sexuelles féminines en 1979. Au Sénégal c’est le 29 janvier 1999 que la loi interdisant la pratique de l’excision est votée.  

Porter atteinte à l’intégrité physique d’une jeune fille ou d’une femme est en France une infraction. En vertu de l’article 222-9 du code pénal, les « violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente sont punies de dix ans d’emprisonnement et de 150.000 euros d’amende ». Lorsque la victime a moins de 15 ans, cette peine est portée à 15 ans de réclusion criminelle, aux termes de l’article 222-10 du même code.  

Avec Soukeyna Diallo membre de  l’association des juristes sénégalaises et Judith Coronel Kissous avocate engagée, spécialisée en droit d’asile nous essayons de comprendre quelle est l’application du cadre juridique dans les deux pays. 

Au Sénégal, les victimes ont du mal à porter plainte et la peine n’est pratiquement jamais appliquée à celles et ceux qui pratiquent l’excision, pourquoi ? Souvent les filles et les femmes qui risquent de se faire exciser dans leur pays, fuient et cherchent asile en France. 

C’est un changement des mentalités et des coutumes qui doit se faire en profondeur chez les femmes et les hommes. La loi à elle seule ne suffit pas.   

---

Un podcast Equipop pour répondre aux questions que se posent les millions de femmes excisées dans le monde. Pour les accompagner, les soutenir. Pour donner les outils aux nouvelles générations d’éradiquer cette pratique ancestrale. Pour dire tout simplement qu’il y a urgence que cette pratique cesse.  

L’excision mutile les organes génitaux externes des femmes pour des raisons non médicales.  

Equipop, l’ONG qui fait avancer la santé et les droits des filles et des femmes dans le monde.   

---

Crédits :  

Un podcast réalisé par Alessandra Rebecchini et produit par Alemat Podcasts 

Création sonore et mix : Vincent de Azevedo 

Visuel : Aurélie Stefani


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

La France a été le premier pays occidental à pénaliser la pratique des mutilations sexuelles féminines en 1979. Au Sénégal c’est le 29 janvier 1999 que la loi interdisant la pratique de l’excision est votée.  

Porter atteinte à l’intégrité physique d’une jeune fille ou d’une femme est en France une infraction. En vertu de l’article 222-9 du code pénal, les « violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente sont punies de dix ans d’emprisonnement et de 150.000 euros d’amende ». Lorsque la victime a moins de 15 ans, cette peine est portée à 15 ans de réclusion criminelle, aux termes de l’article 222-10 du même code.  

Avec Soukeyna Diallo membre de  l’association des juristes sénégalaises et Judith Coronel Kissous avocate engagée, spécialisée en droit d’asile nous essayons de comprendre quelle est l’application du cadre juridique dans les deux pays. 

Au Sénégal, les victimes ont du mal à porter plainte et la peine n’est pratiquement jamais appliquée à celles et ceux qui pratiquent l’excision, pourquoi ? Souvent les filles et les femmes qui risquent de se faire exciser dans leur pays, fuient et cherchent asile en France. 

C’est un changement des mentalités et des coutumes qui doit se faire en profondeur chez les femmes et les hommes. La loi à elle seule ne suffit pas.   

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Un podcast Equipop pour répondre aux questions que se posent les millions de femmes excisées dans le monde. Pour les accompagner, les soutenir. Pour donner les outils aux nouvelles générations d’éradiquer cette pratique ancestrale. Pour dire tout simplement qu’il y a urgence que cette pratique cesse.  

L’excision mutile les organes génitaux externes des femmes pour des raisons non médicales.  

Equipop, l’ONG qui fait avancer la santé et les droits des filles et des femmes dans le monde.   

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Crédits :  

Un podcast réalisé par Alessandra Rebecchini et produit par Alemat Podcasts 

Création sonore et mix : Vincent de Azevedo 

Visuel : Aurélie Stefani


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La France a été le premier pays occidental à pénaliser la pratique des mutilations sexuelles féminines en 1979. Au Sénégal c’est le 29 janvier 1999 que la loi interdisant la pratique de l’excision est votée.  

Porter atteinte à l’intégrité physique d’une jeune fille ou d’une femme est en France une infraction. En vertu de l’article 222-9 du code pénal, les « violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente sont punies de dix ans d’emprisonnement et de 150.000 euros d’amende ». Lorsque la victime a moins de 15 ans, cette peine est portée à 15 ans de réclusion criminelle, aux termes de l’article 222-10 du même code.  

Avec Soukeyna Diallo membre de  l’association des juristes sénégalaises et Judith Coronel Kissous avocate engagée, spécialisée en droit d’asile nous essayons de comprendre quelle est l’application du cadre juridique dans les deux pays. 

Au Sénégal, les victimes ont du mal à porter plainte et la peine n’est pratiquement jamais appliquée à celles et ceux qui pratiquent l’excision, pourquoi ? Souvent les filles et les femmes qui risquent de se faire exciser dans leur pays, fuient et cherchent asile en France. 

C’est un changement des mentalités et des coutumes qui doit se faire en profondeur chez les femmes et les hommes. La loi à elle seule ne suffit pas.   

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Un podcast Equipop pour répondre aux questions que se posent les millions de femmes excisées dans le monde. Pour les accompagner, les soutenir. Pour donner les outils aux nouvelles générations d’éradiquer cette pratique ancestrale. Pour dire tout simplement qu’il y a urgence que cette pratique cesse.  

L’excision mutile les organes génitaux externes des femmes pour des raisons non médicales.  

Equipop, l’ONG qui fait avancer la santé et les droits des filles et des femmes dans le monde.   

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Un podcast réalisé par Alessandra Rebecchini et produit par Alemat Podcasts 

Création sonore et mix : Vincent de Azevedo 

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La France a été le premier pays occidental à pénaliser la pratique des mutilations sexuelles féminines en 1979. Au Sénégal c’est le 29 janvier 1999 que la loi interdisant la pratique de l’excision est votée.  

Porter atteinte à l’intégrité physique d’une jeune fille ou d’une femme est en France une infraction. En vertu de l’article 222-9 du code pénal, les « violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente sont punies de dix ans d’emprisonnement et de 150.000 euros d’amende ». Lorsque la victime a moins de 15 ans, cette peine est portée à 15 ans de réclusion criminelle, aux termes de l’article 222-10 du même code.  

Avec Soukeyna Diallo membre de  l’association des juristes sénégalaises et Judith Coronel Kissous avocate engagée, spécialisée en droit d’asile nous essayons de comprendre quelle est l’application du cadre juridique dans les deux pays. 

Au Sénégal, les victimes ont du mal à porter plainte et la peine n’est pratiquement jamais appliquée à celles et ceux qui pratiquent l’excision, pourquoi ? Souvent les filles et les femmes qui risquent de se faire exciser dans leur pays, fuient et cherchent asile en France. 

C’est un changement des mentalités et des coutumes qui doit se faire en profondeur chez les femmes et les hommes. La loi à elle seule ne suffit pas.   

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L’excision mutile les organes génitaux externes des femmes pour des raisons non médicales.  

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