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Description

Fashion Green Talk, c'est le podcast qui donne la parole aux acteurs de la mode et du textile qui valorisent l'innovation, la circularité et l'inclusion.

Écoutez en exclusivité le témoignage de créateurs, entrepreneurs, startup, chercheurs ou encore industriels aux parcours extraordinaires. Ils partageront avec vous leurs visions, leurs défis et leurs succès dans la quête d'une mode plus durable.

Bienvenue sur Fashion Green Talk, le podcast pour construire la mode de demain !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Fashion Green Talk, c'est le podcast qui donne la parole aux acteurs de la mode et du textile qui valorisent l'innovation, la circularité et l'inclusion.

Écoutez en exclusivité le témoignage de créateurs, entrepreneurs, startup, chercheurs ou encore industriels aux parcours extraordinaires. Ils partageront avec vous leurs visions, leurs défis et leurs succès dans la quête d'une mode plus durable.

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7 episodes

  • Léa Gillet : Les enjeux de la traçabilité pour une mode durable cover
    Léa Gillet : Les enjeux de la traçabilité pour une mode durable cover
    Léa Gillet : Les enjeux de la traçabilité pour une mode durable

    Bienvenue dans ce 7ème épisode de Fashion Green talk où j’ai eu le plaisir d’échanger avec Léa Gillet, co-fondatrice de Trace for Good, un logiciel de traçabilité supply chain. Cet épisode est un peu spécial puisqu’il a été enregistré devant un public, sur le salon professionnel who’s Next. Nous avons notamment échangé sur les enjeux que représente la traçabilité dans l’industrie textile. Ce fut également l’occasion de revenir sur le processus de création de Trace For Good et des challenges rencontrés par ses 2 fondatrices. Avant de nous lancer dans l’épisode, vous pouvez soutenir le podcast en laissant une note sur votre plateforme d’écoute. N’hésitez pas à parler de Fashion Green Talk autour de vous, car c’est ensemble que nous pourrons construire la mode de demain. “La traçabilité, c'est le fait d'avoir les informations. La transparence, c'est le fait de les avoir, mais surtout de les communiquer.” “Le but de la plateforme, c'est de rendre cette première phase de collecte de l'information qui est fastidieuse et franchement pas la plus drôle, simple et rapide pour que justement les gens qui sont à la RSE, en com, au marketing, puissent se poser les vraies questions de qu'est-ce qu'on veut faire en termes de RSE et comment on veut le communiquer.” “Je dirais même le fait de montrer qu'il y a des choses qui ne sont pas encore atteintes, ça montre justement l'ambition, puisqu'il y a toujours des choses à améliorer. Donc pour le coup, je dirais que le fait d'expliciter ce qui n'est pas encore bien géré et connu, c'est justement une preuve de la sincérité de la démarche.” Ressources : Sustainable Fashion Communication Playbook Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    35min | Published on November 5, 2024

  • Christophe Rohart : Une vie au service du textile français cover
    Christophe Rohart : Une vie au service du textile français cover
    Christophe Rohart : Une vie au service du textile français

    Bienvenue dans ce 6ème épisode de Fashion Green Talk où j’ai eu la chance d’échanger avec Christophe Rohart. Nous avons parlé de son engagement syndical et nous sommes revenus sur les étapes clés de sa longue carrière dans le textile. Quel a été l’impact de la décroissance sur l’industrie textile française? Et comment peut-on aujourd’hui transmettre ces précieux savoirs faire textile ? Avant de nous lancer dans l’épisode, je vous invite à soutenir le podcast en vous abonnant et en laissant une note sur votre plateforme d’écoute. “Il y avait des logements ouvriers, donc on travaillait, on vivait l'entreprise parce qu'on était logé avec un loyer extrêmement modéré, bien souvent très proche de l'entreprise. Du coup, ça participait à la vie d'un quartier. Et quand une entreprise comme ça ferme du jour au lendemain, des personnes de génération en génération qui n'ont connu que cette entreprise, Ça a quand même été assez compliqué.” “Je suis un fervent défenseur de la formation interne parce que je crois que c'est au contact du produit qu'on apprend le mieux.” “Si vous voyagez un peu dans la région Normandie-Haute-France, vous voyez des milliers de mètres carrés de lin donc il faut bien travailler sur place. Sinon, c'est un non-sens, comme ça a été fait à une époque, de cultiver le lin dans le Grand Nord et de l'envoyer en Chine ou dans l'Est pour le travailler et éventuellement le faire revenir pour le finir.” “Aujourd'hui, la concurrence est déloyale pour moi, avec les sites chinois de vêtements à bas coût, et qui font de l'ombre à ce qui est fabriqué en France. On ne voit pas l'impact social dans ces entreprises qui fabriquent à l'autre bout du monde. On ne voit pas la façon de faire. On met une pression terrible sur les fabricants français autour de la traçabilité des produits, de l'utilisation de colorants, etc. On ne met pas cette même pression. sur des marques qui sont faites à l'autre bout du monde.” Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    28min | Published on September 3, 2024

  • Matthieu Ruiz : La teinture naturelle, un savoir-faire ancestral d’avenir cover
    Matthieu Ruiz : La teinture naturelle, un savoir-faire ancestral d’avenir cover
    Matthieu Ruiz : La teinture naturelle, un savoir-faire ancestral d’avenir

    Pour ce 5ème épisode de Fashion Green Talk, j’ai accueilli Matthieu Ruiz, designer et spécialiste de la teinture végétale.Nous avons abordé les savoir-faire liés à la teinture naturelle ainsi que les enjeux et les challenges que représente la filière.Matthieu y partage également comment sa posture de designer impact à la fois son processus créatif et sa manière d’aborder la teinture.Avant de nous lancer dans l’épisode, je vous invite à soutenir le podcast en vous abonnant et en laissant une note sur votre plateforme d’écoute.“C'était assez lourd à porter de gérer la création, la logistique, les résultats. Et je me suis dit, si j'avais que des vêtements blancs, et que je pouvais mettre de la couleur, du bleu le lundi, du vert le mardi et du jaune le mercredi, et que finalement je pouvais faire de la couleur quand on me commandait le vêtement, ça pourrait être intéressant. Donc c'est vraiment de là que part la notion de couleur, la notion de teinture.”“Je voulais être une marque de vêtements, une marque de mode qui utilise l'outil de la teinture naturelle pour teindre ces vêtements et c'était important pour moi de pas réduire la marque à la teinture naturelle.”“On va déjà essayer de faire mieux que la veille, parce que si tu veux faire les choses parfaitement, tu ne fais rien.”“Mon mode de production est artisanal, donc par essence il ne peut pas être parfait, puisqu'il repose sur son humanité.““Tout est à nuancer, c'est-à-dire que si demain on a des champs de Garance, comme aujourd'hui on a des champs de tomates sous OGM, ça ne va pas régler le problème.““Même la teinture naturelle n'est jamais sans impact mais dans tous les cas il faut réguler le nombre de vêtements, c'est pour ça que le côté industrie moi je crois que je préfère faire peu de vêtements mais les vendre au bon prix, quitte à ce que ce soit élitiste au départ, avant la démocratisation.”Pour suivre Matthieu :https://www.instagram.com/matthieu_ruiz_/https://matthieuruiz.com/Ressources :Organisme de formation Colore ton mondeFibres bio Couleurs GaranceFrance TeintureLes Teintures de France Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    43min | Published on July 9, 2024

  • Rémi Antoniucci : La seconde main pour une mode circulaire et solidaire cover
    Rémi Antoniucci : La seconde main pour une mode circulaire et solidaire cover
    Rémi Antoniucci : La seconde main pour une mode circulaire et solidaire

    Pour ce 4ème épisode de Fashion Green Talk, j’ai été heureuse d’échanger avec Rémi Antoniucci, Fondateur de BIS Boutique Solidaire.Dans cet épisode, Rémi nous emmène dans les coulisses et nous partage tout le savoir faire qui se cache derrière ce projet engagé.Nous en avons également profité pour parler d’économie circulaire et nous nous sommes questionnés sur les enjeux que représente le marché de la 2nd main.Avant de nous lancer dans l’épisode, je vous invite à soutenir le podcast en vous abonnant et en laissant une note sur votre plateforme d’écoute.Et pour nous poser vos questions, faire un retour sur le podcast ou simplement parler mode responsable, contactez nous via notre adresse mail,paris.fashiongreenhub@gmail.com (mailto:paris.fashiongreenhub@gmail.com)“On travaille avec des chantiers d'insertion, des centres de tri situés en province, qui eux-mêmes collectent énormément de vêtements, mais qui ne le valorisent pas forcément. Et nous, on va en fait aider nos partenaires à revaloriser des vêtements qu'ils n'arrivent pas à vendre localement. ““Aujourd'hui, il y a tellement de volume, on ne récupère pas que du bon état, on récupère plein de produits en mauvais état, et ceux-là, il faut les traiter. Après, le marché est en train de changer. On voit les fonds réemploi qui incitent à la traçabilité, les fonds réparation. Il y a plein d'expérimentations maintenant sur du recyclage, sur l'industrialisation. Je pense qu'on est aux prémices de quelque chose qui va changer, et que petit à petit, le marché va s'améliorer.”“On a de plus en plus conscience de l'environnement, qu'il ne faut pas polluer. En même temps, si tu regardes les chiffres de vente du neuf, je crois que l'année dernière, Shein est devenue pour la première fois le plus gros distributeur de vêtements en France. Donc là, il y a encore du travail à faire.”“Je crois que parmi les moins de 25 ans, 70%, achètent de la seconde main, qui est complètement rentrée dans les mœurs, pour des raisons écologiques, pour des raisons de finances aussi, parce que souvent, c'est moins cher. Donc, je suis persuadé que la seconde main aura sa place à jouer dans les années qui viennent.”“Si on doit trier le coton à la main, le coût de matière va être énorme. Donc, on va aller sur de l'industrialisation. Si ça reste en France ou que c'est réutilisé en local, c'est mieux que de l'exporter, même si c'est de la machine qui fait le tri.”“L'idée, c'est de faire travailler des personnes en difficulté. Ça peut être des réfugiés qui viennent d'arriver en France, des personnes qui ont eu des difficultés de vie, qu'on va accompagner et qui vont travailler un temps chez nous. Alors, c'est des vrais emplois, c'est des vrais salaires. Mais c'est ce qu'on appelle du CDD d'insertion. Nous, l'objectif, c'est qu'ils ressortent sur un CDI classique, dans l'économie classique. “Pour découvrir l’une des 4 boutiques parisiennes : https://www.bisboutiquesolidaire.fr/boutiques (https://www.bisboutiquesolidaire.fr/boutiques)Ou suivre BIS Boutique Solidaire sur Instagram: https://www.instagram.com/bisboutiquesolidaire (https://www.instagram.com/bisboutiquesolidaire) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    30min | Published on June 4, 2024

  • Marie-Eve Nardou : De l'architecture au design textile cover
    Marie-Eve Nardou : De l'architecture au design textile cover
    Marie-Eve Nardou : De l'architecture au design textile

    Dans ce troisième épisode de Fashion Green Talk, j’ai eu l’honneur d’accueillir Marie-Eve Nardou, architecte de formation et co-fondatrice d’NME Studio, une marque de matières éco-responsables en fibres naturelles.Nous avons parlé d’éco-conception et des indicateurs à prendre en compte afin de mesurer l’impact d’une matière. Nous nous sommes aussi questionnées sur les conséquences sur la biodiversité et la fin de vie des produits.Avant de nous lancer dans cet échange, abonnez vous pour ne pas manquer la sortie des prochains épisodes!“Un architecte, c’est un designer qui prend en compte dans sa conception, la globalité, à la fois des contraintes physiques de la matière, que des techniques de transformation. Aujourd’hui, je n’ai pas trop l’impression d’avoir changé de métier. J’ai une matière et je dois arriver à un produit finit donc le parcours est quasiment identique dans le mode de pensées. ““C’est pas forcément parce que c’est naturel que c’est éco-responsable, mais si on travaille avec le vivant, il faut le faire bien. ““Je pense qu’il faut qu’on ait une vision de circuit court. Quelles sont les ressources que j’ai à proximité ? Et est-ce que je peux créer un écosystème de production (comme le fait 1083) et le proposer aux consommateurs locaux?”“L’éco-conception doit être dans tous les services, qui doivent travailler main dans la main.”“Le design, c’est un outil à la transition indispensable, mais avec une vision globale.”“Les contraintes de l’éco-conception, c’est aussi ce qui met du piment dans nos métiers. En tant que créateurs, c’est ce qui peut stimuler et pousser les imaginaires.”“Pour arriver à un résultat satisfaisant au niveau environnemental, il faut que tout le monde soit aligné sur la chaîne de fabrication.”Martina Planty: référentiel KER MER pour mesurer l’impact d’une matière.Pour découvrir le travail d’NME Studio: https://nme-studio.fr/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    28min | Published on May 7, 2024

  • Christine Browaeys : La sociologie du textile cover
    Christine Browaeys : La sociologie du textile cover
    Christine Browaeys : La sociologie du textile

    Dans ce deuxième épisode de Fashion Green Talk, j'ai été ravie d’accueillir Christine Browaeys, ingénieur, sociologue et fondatrice du cabinet T3Nel.Nous avons commencé par nous questionner sur le rôle que la sociologie peut jouer dans la transition écologique, puis nous avons évoqué le rapport qui existe aujourd'hui entre numérique et textile ou encore de notre relation aux vêtements.Avant de découvrir cet échange passionnant, abonnez-vous pour ne pas manquer la sortie des prochains épisodes et soutenez le podcast en laissant une note sur votre plateforme d’écoute.“Pour moi, le métier d’ingénieur, c’est vraiment un métier qui est aussi un métier de l’humain. C’est-à-dire se poser la question du sens de ce que l’on va mettre en œuvre”“Le vêtement est une enveloppe qui est une interface entre nous et les autres qui nous permet d’exprimer une sensibilité, une identit锓A travers la sociologie du numérique, on n’est plus dans une matière inerte, mais dans quelque chose qui est vivant, relationnel. Quelle expérience va-nous permettre ce vêtement, comment on va se sentir ? Petit à petit, on va inverser les choses, on va partir de l’expérience de celui qui va porter le vêtement”“Le vêtement dans sa corporalité permet d’aller plus loin dans l’immersion dans le numérique. On peut imaginer que les capteurs que l’on a dans le vêtement nous permettent de connaître des sensations que jusqu’à présent, nous n’avions pas ressentis.”“Ce qui est peut-être en danger dans notre monde, c’est la construction de nos imaginaires. C’est-à-dire cette faculté d’autonomie de chaque personne pour être capable d’avoir un monde intérieur et un discours propre par rapport aux autres.”Pour aller plus loin :https://www.t3nel.fr/Les ouvrages écrits par ChristineLes enjeux des nouveaux matériaux textiles, EDP Sciences, 2014La matérialité à l'ère digitale : L'humain connecté à la matière, PUG, 2019Stelios dans le treillis du métavers, Editions Maya, 2023 Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    34min | Published on April 2, 2024

  • Abali Alamine : La couture, une passion indéniable cover
    Abali Alamine : La couture, une passion indéniable cover
    Abali Alamine : La couture, une passion indéniable

    Dans ce nouvel épisode de Fashion Green Talk, j’ai été très heureuse d’échanger avec Abali Alamine, co-fondateur de l’association Les Effilochés, arts du fil.Abali m’a raconté comment est née sa passion pour la couture l’ayant amené à co-créer l’association.Nous avons aussi parlé communauté, processus créatif et relation à la matière.Abali vous partage d’ailleurs plein de conseils et astuces pour vous aussi, vous lancer dans la couture.Avant de découvrir notre échange, abonnez vous pour ne pas manquer la sortie des prochains épisodes!“J’ai toujours eu une appétence pour la mode, mais je n’ai jamais osé l’assumer ou l’accepter, et je crois qu’elle est venue me chercher.”“Je pense qu’il y a toujours eu cette frustration au fond de moi qui s’est réveillée et qui m’a dit, fais de la couture.”“Ce qui me plaît dans le travail de la matière, c’est de jouer avec les couleurs, adapter les longueurs comme je veux. Quand je travaille la matière, il y a une connexion, je pars d’ailleurs de la matière pour créer. ”“On gagne une certaine liberté, créativité. On peut se dire “ je l’ai fait moi-même”. Je peux faire ce que je veux, comme je l’entends, on ne dépend plus des tendances, de la mode, on est les seuls décideurs de ce que l’on veut faire.”“Quand je touche une matière, j’imagine un pantalon, j’imagine une veste, j’imagine plein de choses.”“On adore tous ce moment quand on nous demande, tu l’as acheté où? Ah non, c’est moi qui l’ai fait.”“Quand tu les couds, tu es moins propice à les jeter. Quand tu as passé 50h à le faire, tu prends un peu plus de réflexion avant de le jeter.”“Le faire soit même, c’est l’un des meilleurs moyens de lutter contre la fast fashion.”Découvrez l’association Les Effilochés: https://leseffiloches.com/Les conseils d’Abali pour commencer la couture:1: Acheter une machine2: Regarder des tutos YouTube, acheter des livres3: Prendre des cours4: Partir très rapidement sur un projet qui vous motive, et pas rester trop longtemps sur les accessoiresLes ressources pour apprendre à coudre:Hello Superette: https://www.youtube.com/c/HellosuperetteL’Atelier de Mona: https://www.youtube.com/@LatelierdeMonaCouture Enfant: https://www.coutureenfant.fr/Livre La bible de la couture d’Anette Fischer Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    34min | Published on December 28, 2023

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Fashion Green Talk, c'est le podcast qui donne la parole aux acteurs de la mode et du textile qui valorisent l'innovation, la circularité et l'inclusion.

Écoutez en exclusivité le témoignage de créateurs, entrepreneurs, startup, chercheurs ou encore industriels aux parcours extraordinaires. Ils partageront avec vous leurs visions, leurs défis et leurs succès dans la quête d'une mode plus durable.

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7 episodes

  • Léa Gillet : Les enjeux de la traçabilité pour une mode durable cover
    Léa Gillet : Les enjeux de la traçabilité pour une mode durable cover
    Léa Gillet : Les enjeux de la traçabilité pour une mode durable

    Bienvenue dans ce 7ème épisode de Fashion Green talk où j’ai eu le plaisir d’échanger avec Léa Gillet, co-fondatrice de Trace for Good, un logiciel de traçabilité supply chain. Cet épisode est un peu spécial puisqu’il a été enregistré devant un public, sur le salon professionnel who’s Next. Nous avons notamment échangé sur les enjeux que représente la traçabilité dans l’industrie textile. Ce fut également l’occasion de revenir sur le processus de création de Trace For Good et des challenges rencontrés par ses 2 fondatrices. Avant de nous lancer dans l’épisode, vous pouvez soutenir le podcast en laissant une note sur votre plateforme d’écoute. N’hésitez pas à parler de Fashion Green Talk autour de vous, car c’est ensemble que nous pourrons construire la mode de demain. “La traçabilité, c'est le fait d'avoir les informations. La transparence, c'est le fait de les avoir, mais surtout de les communiquer.” “Le but de la plateforme, c'est de rendre cette première phase de collecte de l'information qui est fastidieuse et franchement pas la plus drôle, simple et rapide pour que justement les gens qui sont à la RSE, en com, au marketing, puissent se poser les vraies questions de qu'est-ce qu'on veut faire en termes de RSE et comment on veut le communiquer.” “Je dirais même le fait de montrer qu'il y a des choses qui ne sont pas encore atteintes, ça montre justement l'ambition, puisqu'il y a toujours des choses à améliorer. Donc pour le coup, je dirais que le fait d'expliciter ce qui n'est pas encore bien géré et connu, c'est justement une preuve de la sincérité de la démarche.” Ressources : Sustainable Fashion Communication Playbook Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    35min | Published on November 5, 2024

  • Christophe Rohart : Une vie au service du textile français cover
    Christophe Rohart : Une vie au service du textile français cover
    Christophe Rohart : Une vie au service du textile français

    Bienvenue dans ce 6ème épisode de Fashion Green Talk où j’ai eu la chance d’échanger avec Christophe Rohart. Nous avons parlé de son engagement syndical et nous sommes revenus sur les étapes clés de sa longue carrière dans le textile. Quel a été l’impact de la décroissance sur l’industrie textile française? Et comment peut-on aujourd’hui transmettre ces précieux savoirs faire textile ? Avant de nous lancer dans l’épisode, je vous invite à soutenir le podcast en vous abonnant et en laissant une note sur votre plateforme d’écoute. “Il y avait des logements ouvriers, donc on travaillait, on vivait l'entreprise parce qu'on était logé avec un loyer extrêmement modéré, bien souvent très proche de l'entreprise. Du coup, ça participait à la vie d'un quartier. Et quand une entreprise comme ça ferme du jour au lendemain, des personnes de génération en génération qui n'ont connu que cette entreprise, Ça a quand même été assez compliqué.” “Je suis un fervent défenseur de la formation interne parce que je crois que c'est au contact du produit qu'on apprend le mieux.” “Si vous voyagez un peu dans la région Normandie-Haute-France, vous voyez des milliers de mètres carrés de lin donc il faut bien travailler sur place. Sinon, c'est un non-sens, comme ça a été fait à une époque, de cultiver le lin dans le Grand Nord et de l'envoyer en Chine ou dans l'Est pour le travailler et éventuellement le faire revenir pour le finir.” “Aujourd'hui, la concurrence est déloyale pour moi, avec les sites chinois de vêtements à bas coût, et qui font de l'ombre à ce qui est fabriqué en France. On ne voit pas l'impact social dans ces entreprises qui fabriquent à l'autre bout du monde. On ne voit pas la façon de faire. On met une pression terrible sur les fabricants français autour de la traçabilité des produits, de l'utilisation de colorants, etc. On ne met pas cette même pression. sur des marques qui sont faites à l'autre bout du monde.” Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    28min | Published on September 3, 2024

  • Matthieu Ruiz : La teinture naturelle, un savoir-faire ancestral d’avenir cover
    Matthieu Ruiz : La teinture naturelle, un savoir-faire ancestral d’avenir cover
    Matthieu Ruiz : La teinture naturelle, un savoir-faire ancestral d’avenir

    Pour ce 5ème épisode de Fashion Green Talk, j’ai accueilli Matthieu Ruiz, designer et spécialiste de la teinture végétale.Nous avons abordé les savoir-faire liés à la teinture naturelle ainsi que les enjeux et les challenges que représente la filière.Matthieu y partage également comment sa posture de designer impact à la fois son processus créatif et sa manière d’aborder la teinture.Avant de nous lancer dans l’épisode, je vous invite à soutenir le podcast en vous abonnant et en laissant une note sur votre plateforme d’écoute.“C'était assez lourd à porter de gérer la création, la logistique, les résultats. Et je me suis dit, si j'avais que des vêtements blancs, et que je pouvais mettre de la couleur, du bleu le lundi, du vert le mardi et du jaune le mercredi, et que finalement je pouvais faire de la couleur quand on me commandait le vêtement, ça pourrait être intéressant. Donc c'est vraiment de là que part la notion de couleur, la notion de teinture.”“Je voulais être une marque de vêtements, une marque de mode qui utilise l'outil de la teinture naturelle pour teindre ces vêtements et c'était important pour moi de pas réduire la marque à la teinture naturelle.”“On va déjà essayer de faire mieux que la veille, parce que si tu veux faire les choses parfaitement, tu ne fais rien.”“Mon mode de production est artisanal, donc par essence il ne peut pas être parfait, puisqu'il repose sur son humanité.““Tout est à nuancer, c'est-à-dire que si demain on a des champs de Garance, comme aujourd'hui on a des champs de tomates sous OGM, ça ne va pas régler le problème.““Même la teinture naturelle n'est jamais sans impact mais dans tous les cas il faut réguler le nombre de vêtements, c'est pour ça que le côté industrie moi je crois que je préfère faire peu de vêtements mais les vendre au bon prix, quitte à ce que ce soit élitiste au départ, avant la démocratisation.”Pour suivre Matthieu :https://www.instagram.com/matthieu_ruiz_/https://matthieuruiz.com/Ressources :Organisme de formation Colore ton mondeFibres bio Couleurs GaranceFrance TeintureLes Teintures de France Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    43min | Published on July 9, 2024

  • Rémi Antoniucci : La seconde main pour une mode circulaire et solidaire cover
    Rémi Antoniucci : La seconde main pour une mode circulaire et solidaire cover
    Rémi Antoniucci : La seconde main pour une mode circulaire et solidaire

    Pour ce 4ème épisode de Fashion Green Talk, j’ai été heureuse d’échanger avec Rémi Antoniucci, Fondateur de BIS Boutique Solidaire.Dans cet épisode, Rémi nous emmène dans les coulisses et nous partage tout le savoir faire qui se cache derrière ce projet engagé.Nous en avons également profité pour parler d’économie circulaire et nous nous sommes questionnés sur les enjeux que représente le marché de la 2nd main.Avant de nous lancer dans l’épisode, je vous invite à soutenir le podcast en vous abonnant et en laissant une note sur votre plateforme d’écoute.Et pour nous poser vos questions, faire un retour sur le podcast ou simplement parler mode responsable, contactez nous via notre adresse mail,paris.fashiongreenhub@gmail.com (mailto:paris.fashiongreenhub@gmail.com)“On travaille avec des chantiers d'insertion, des centres de tri situés en province, qui eux-mêmes collectent énormément de vêtements, mais qui ne le valorisent pas forcément. Et nous, on va en fait aider nos partenaires à revaloriser des vêtements qu'ils n'arrivent pas à vendre localement. ““Aujourd'hui, il y a tellement de volume, on ne récupère pas que du bon état, on récupère plein de produits en mauvais état, et ceux-là, il faut les traiter. Après, le marché est en train de changer. On voit les fonds réemploi qui incitent à la traçabilité, les fonds réparation. Il y a plein d'expérimentations maintenant sur du recyclage, sur l'industrialisation. Je pense qu'on est aux prémices de quelque chose qui va changer, et que petit à petit, le marché va s'améliorer.”“On a de plus en plus conscience de l'environnement, qu'il ne faut pas polluer. En même temps, si tu regardes les chiffres de vente du neuf, je crois que l'année dernière, Shein est devenue pour la première fois le plus gros distributeur de vêtements en France. Donc là, il y a encore du travail à faire.”“Je crois que parmi les moins de 25 ans, 70%, achètent de la seconde main, qui est complètement rentrée dans les mœurs, pour des raisons écologiques, pour des raisons de finances aussi, parce que souvent, c'est moins cher. Donc, je suis persuadé que la seconde main aura sa place à jouer dans les années qui viennent.”“Si on doit trier le coton à la main, le coût de matière va être énorme. Donc, on va aller sur de l'industrialisation. Si ça reste en France ou que c'est réutilisé en local, c'est mieux que de l'exporter, même si c'est de la machine qui fait le tri.”“L'idée, c'est de faire travailler des personnes en difficulté. Ça peut être des réfugiés qui viennent d'arriver en France, des personnes qui ont eu des difficultés de vie, qu'on va accompagner et qui vont travailler un temps chez nous. Alors, c'est des vrais emplois, c'est des vrais salaires. Mais c'est ce qu'on appelle du CDD d'insertion. Nous, l'objectif, c'est qu'ils ressortent sur un CDI classique, dans l'économie classique. “Pour découvrir l’une des 4 boutiques parisiennes : https://www.bisboutiquesolidaire.fr/boutiques (https://www.bisboutiquesolidaire.fr/boutiques)Ou suivre BIS Boutique Solidaire sur Instagram: https://www.instagram.com/bisboutiquesolidaire (https://www.instagram.com/bisboutiquesolidaire) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    30min | Published on June 4, 2024

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    Marie-Eve Nardou : De l'architecture au design textile cover
    Marie-Eve Nardou : De l'architecture au design textile

    Dans ce troisième épisode de Fashion Green Talk, j’ai eu l’honneur d’accueillir Marie-Eve Nardou, architecte de formation et co-fondatrice d’NME Studio, une marque de matières éco-responsables en fibres naturelles.Nous avons parlé d’éco-conception et des indicateurs à prendre en compte afin de mesurer l’impact d’une matière. Nous nous sommes aussi questionnées sur les conséquences sur la biodiversité et la fin de vie des produits.Avant de nous lancer dans cet échange, abonnez vous pour ne pas manquer la sortie des prochains épisodes!“Un architecte, c’est un designer qui prend en compte dans sa conception, la globalité, à la fois des contraintes physiques de la matière, que des techniques de transformation. Aujourd’hui, je n’ai pas trop l’impression d’avoir changé de métier. J’ai une matière et je dois arriver à un produit finit donc le parcours est quasiment identique dans le mode de pensées. ““C’est pas forcément parce que c’est naturel que c’est éco-responsable, mais si on travaille avec le vivant, il faut le faire bien. ““Je pense qu’il faut qu’on ait une vision de circuit court. Quelles sont les ressources que j’ai à proximité ? Et est-ce que je peux créer un écosystème de production (comme le fait 1083) et le proposer aux consommateurs locaux?”“L’éco-conception doit être dans tous les services, qui doivent travailler main dans la main.”“Le design, c’est un outil à la transition indispensable, mais avec une vision globale.”“Les contraintes de l’éco-conception, c’est aussi ce qui met du piment dans nos métiers. En tant que créateurs, c’est ce qui peut stimuler et pousser les imaginaires.”“Pour arriver à un résultat satisfaisant au niveau environnemental, il faut que tout le monde soit aligné sur la chaîne de fabrication.”Martina Planty: référentiel KER MER pour mesurer l’impact d’une matière.Pour découvrir le travail d’NME Studio: https://nme-studio.fr/ Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    28min | Published on May 7, 2024

  • Christine Browaeys : La sociologie du textile cover
    Christine Browaeys : La sociologie du textile cover
    Christine Browaeys : La sociologie du textile

    Dans ce deuxième épisode de Fashion Green Talk, j'ai été ravie d’accueillir Christine Browaeys, ingénieur, sociologue et fondatrice du cabinet T3Nel.Nous avons commencé par nous questionner sur le rôle que la sociologie peut jouer dans la transition écologique, puis nous avons évoqué le rapport qui existe aujourd'hui entre numérique et textile ou encore de notre relation aux vêtements.Avant de découvrir cet échange passionnant, abonnez-vous pour ne pas manquer la sortie des prochains épisodes et soutenez le podcast en laissant une note sur votre plateforme d’écoute.“Pour moi, le métier d’ingénieur, c’est vraiment un métier qui est aussi un métier de l’humain. C’est-à-dire se poser la question du sens de ce que l’on va mettre en œuvre”“Le vêtement est une enveloppe qui est une interface entre nous et les autres qui nous permet d’exprimer une sensibilité, une identit锓A travers la sociologie du numérique, on n’est plus dans une matière inerte, mais dans quelque chose qui est vivant, relationnel. Quelle expérience va-nous permettre ce vêtement, comment on va se sentir ? Petit à petit, on va inverser les choses, on va partir de l’expérience de celui qui va porter le vêtement”“Le vêtement dans sa corporalité permet d’aller plus loin dans l’immersion dans le numérique. On peut imaginer que les capteurs que l’on a dans le vêtement nous permettent de connaître des sensations que jusqu’à présent, nous n’avions pas ressentis.”“Ce qui est peut-être en danger dans notre monde, c’est la construction de nos imaginaires. C’est-à-dire cette faculté d’autonomie de chaque personne pour être capable d’avoir un monde intérieur et un discours propre par rapport aux autres.”Pour aller plus loin :https://www.t3nel.fr/Les ouvrages écrits par ChristineLes enjeux des nouveaux matériaux textiles, EDP Sciences, 2014La matérialité à l'ère digitale : L'humain connecté à la matière, PUG, 2019Stelios dans le treillis du métavers, Editions Maya, 2023 Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    34min | Published on April 2, 2024

  • Abali Alamine : La couture, une passion indéniable cover
    Abali Alamine : La couture, une passion indéniable cover
    Abali Alamine : La couture, une passion indéniable

    Dans ce nouvel épisode de Fashion Green Talk, j’ai été très heureuse d’échanger avec Abali Alamine, co-fondateur de l’association Les Effilochés, arts du fil.Abali m’a raconté comment est née sa passion pour la couture l’ayant amené à co-créer l’association.Nous avons aussi parlé communauté, processus créatif et relation à la matière.Abali vous partage d’ailleurs plein de conseils et astuces pour vous aussi, vous lancer dans la couture.Avant de découvrir notre échange, abonnez vous pour ne pas manquer la sortie des prochains épisodes!“J’ai toujours eu une appétence pour la mode, mais je n’ai jamais osé l’assumer ou l’accepter, et je crois qu’elle est venue me chercher.”“Je pense qu’il y a toujours eu cette frustration au fond de moi qui s’est réveillée et qui m’a dit, fais de la couture.”“Ce qui me plaît dans le travail de la matière, c’est de jouer avec les couleurs, adapter les longueurs comme je veux. Quand je travaille la matière, il y a une connexion, je pars d’ailleurs de la matière pour créer. ”“On gagne une certaine liberté, créativité. On peut se dire “ je l’ai fait moi-même”. Je peux faire ce que je veux, comme je l’entends, on ne dépend plus des tendances, de la mode, on est les seuls décideurs de ce que l’on veut faire.”“Quand je touche une matière, j’imagine un pantalon, j’imagine une veste, j’imagine plein de choses.”“On adore tous ce moment quand on nous demande, tu l’as acheté où? Ah non, c’est moi qui l’ai fait.”“Quand tu les couds, tu es moins propice à les jeter. Quand tu as passé 50h à le faire, tu prends un peu plus de réflexion avant de le jeter.”“Le faire soit même, c’est l’un des meilleurs moyens de lutter contre la fast fashion.”Découvrez l’association Les Effilochés: https://leseffiloches.com/Les conseils d’Abali pour commencer la couture:1: Acheter une machine2: Regarder des tutos YouTube, acheter des livres3: Prendre des cours4: Partir très rapidement sur un projet qui vous motive, et pas rester trop longtemps sur les accessoiresLes ressources pour apprendre à coudre:Hello Superette: https://www.youtube.com/c/HellosuperetteL’Atelier de Mona: https://www.youtube.com/@LatelierdeMonaCouture Enfant: https://www.coutureenfant.fr/Livre La bible de la couture d’Anette Fischer Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    34min | Published on December 28, 2023