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Fcollective - Le podcast

#92 Garder la motivation quand les résultats ne sont pas là

#92 Garder la motivation quand les résultats ne sont pas là

29min |23/10/2025
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#92 Garder la motivation quand les résultats ne sont pas là

#92 Garder la motivation quand les résultats ne sont pas là

29min |23/10/2025
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Description

Dans cet épisode, je te partage mes 4 piliers concrets pour rester dans la course sur le long terme.
Tu vas apprendre comment rebondir plus vite, garder le cap, et surtout ne pas tout remettre en question à chaque coup de mou.


Parce que la clé, ce n’est pas d’être motivée tout le temps.
C’est de vivre ton aventure entrepreneuriale honnêtement et en pleine conscience. 💪

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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à toutes et bienvenue sur F-Collective, le podcast qui donne le power au girlboss. Je suis Sandra Scanella, mentor, coach business et surtout la fondatrice de F-Collective, une power place qui aide et accompagne les femmes entrepreneurs à développer leur activité, la monétiser et à vivre leur vie de kiff pour elles et leur famille. Aujourd'hui, on a un sujet qui me parle particulièrement. J'avoue que je l'ai traité lors du live de ce midi. Si vous n'êtes pas au courant, chaque mardi midi 15, je suis en direct sur Instagram. Je fais des analyses de parcours de vente pour les gens qui sont en direct avec moi. Donc venez, venez participer ou même écouter. Vous allez apprendre plein de choses sur les tunnels de vente, sur vos parcours de vente, sur vos éléments, vos outils de communication, sur vos messages, sur vos offres. C'est vraiment un super moment, un chouette moment, donc c'est tous les mardis à 12h15. Et ce mardi, j'ai voulu traiter un sujet qui est un peu dans la bouche aussi de nos membres, puisque c'est revenu lors de notre dernier meeting entre nos membres, c'est la motivation, c'est la constance de motivation quand surtout les résultats ne sont pas là. Parce qu'effectivement, c'est bien d'être motivé quand tout fonctionne comme on veut. C'est génial et c'est facile, mais ce qui est compliqué, c'est effectivement garder une constance quand justement ça ne fonctionne pas, quand justement les actions mises en place n'ont pas porté leurs fruits, etc. Et du coup, c'est vraiment ce sujet que je voulais traiter avec vous aujourd'hui. Donc, vous voyez, j'ai allumé mon micro directement après le direct parce que je me suis dit que c'était un sujet qui allait peut-être faire du bien à pas mal de gens, de personnes. d'entrepreneur. Et donc vous donner ma vision de la chose. Donc concernant la motivation, la motivation, la question qui se pose c'est est-ce qu'on peut garder une constance sur sa motivation ? Moi ma vision des choses c'est que bien évidemment que absolument pas, bien évidemment que non, ce n'est pas possible de garder une constance sur sa motivation, ce n'est pas possible d'être autant motivé toute la journée de la même façon, ce n'est pas possible d'être motivé toute la semaine de la même façon, tous les mois de la même façon. Moi, je suis vraiment catégorique sur ça et je veux vraiment qu'on arrête de faire croire ou de faire penser aux entrepreneurs qu'il n'y a que les motivés qui vont y arriver, etc. Je n'ai pas du tout ce discours et cette façon de voir les choses et cette vision. Pour moi, c'est normal de ne pas être motivé tout le temps, puisque il y a quand même énormément de facteurs qui font que on peut pas garder une motivation au top tout le temps. Et oui, clairement, il y a le fait des résultats, oui, ça fluctue selon ces résultats, je suis d'accord, donc ça va être... Allez, petit 1, parce qu'effectivement, au niveau de l'activité, il y a des moments où ça va, des moments où ça va moins bien, mais ça, on va en parler tout à l'heure. Mais aussi le fait que, je suis désolée, mais nous sommes des femmes. J'ai l'impression qu'à chaque épisode, je dis ça, mais nous sommes des femmes. Donc nous sommes que cycle, nous. Nous sommes que cycle, des up, des down. C'est notre vie, c'est notre quotidien depuis que nous sommes adolescentes. on vit quand même dans un tourment, dans un tourbillon interne que nous-mêmes pouvons comprendre et c'est là en fait il faut vraiment arrêter de penser qu'il faut trouver plein de solutions pour faire en sorte de combattre ça, etc. Je pense que le combat est peine perdue, en fait. Je pense qu'au contraire, il faut l'accepter. Il faut accepter le fait qu'il y a des hauts, il y a des bas, que des fois on est queen bee et que le lendemain on est le plus gros caca de la Terre. Je le vis, moi aussi, personnellement, tout le temps, tous les jours, toutes les semaines. Tous les mois, c'est complètement normal de vivre tout ça. Donc vraiment, si ça vous parle ce sujet ou si vous sentez que c'est pas normal le fait que vous ayez ces fluctuations comme ça de motivation, franchement mesdames, on se calme avec ça, c'est complètement normal. Maintenant, qu'est-ce qu'on fait de ça ? Alors, pour traiter ça, moi, petit 1, La première chose que je... Je crois que j'ai trois choses à vous... J'ai quatre choses à vous dire sur ce sujet-là. Petit 1, la première chose que je voudrais absolument que vous compreniez et que vous entendiez bien dans vos petites oreilles, c'est cette phrase suivante. Ta valeur n'est pas conditionnée par tes résultats. Je répète, ta valeur n'est pas conditionnée par tes résultats. Ce n'est pas parce que tu n'as pas les résultats que tu voudrais, que tu n'as pas de résultats, que tu dois remettre en question tout le reste. Ça n'a rien à voir avec toi. Il ne faut rien prendre personnellement. Il y a évidemment des facteurs qu'il va falloir identifier, analyser, faire un bilan, comprendre pourquoi ça n'a pas fonctionné, etc. Mais ça n'a rien à voir, ça ne touche pas la femme que tu es, le travail que tu fais, ton expertise, ton professionnalisme, tes compétences, ça ne touche pas ça. Ce n'est pas parce que tu n'as pas de résultat que tu dois remettre en question ces choses-là et ça c'est hyper important qu'on parte sur cette base-là. Donc les résultats, c'est une chose, ta valeur. votre valeur à vous, toutes mesdames c'en est une autre et ça pour moi c'était hyper important de faire un rappel là dessus les résultats c'est normal de pas c'est normal qu'il n'y en ait pas tout le temps si tous les entrepreneurs réussissent 100% de ce qu'ils mettent en place tout le temps, ça sera absolument merveilleux ce monde, ça sera absolument incroyable, mais vous le savez bien que ce n'est pas possible Vous voyez bien que ce n'est pas... De toute façon, si vous suivez tous les entrepreneurs que vous suivez, les petits, les grands, les moyens, etc., tout le monde vous le dit que les échecs, ça fait partie du jeu. Qu'en plus, il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup plus d'échecs que de réussites dans l'entrepreneuriat. Encore une fois, je vais être très sincère avec vous et je vous savais à quel point j'ai un discours qui... qui est franc là-dessus, c'est que les échecs, le manque de résultats, ça fait partie du jeu, c'est là. Et que l'entrepreneuriat, ce n'est pas facile, les résultats ne sont pas au rendez-vous tout le temps, et que c'est normal. Donc, c'est quelque chose qu'il faut vraiment... Je veux vraiment qu'on prenne conscience de ça, puisque être entrepreneur, ça demande une résilience. mais une résilience de malade. Et que si chaque échec, si par exemple chaque lancement, chaque temps fort, vous ne réussissez pas, si les appels découvertes que vous faites, ça ne transforme pas, etc. Si vous baissez les bras à chaque nom qu'on vous donne ou chaque porte qu'on vous claque, je vous promets que ça va être très compliqué pour vous pour la suite, vraiment. L'entrepreneuriat, c'est ça, ce n'est que ça. Et c'est ce, celle. qui vont avoir une force mentale et une résilience sur le long terme qui réussiront. Je suis intimement convaincue de ça et de toute façon ce n'est pas que pour les femmes, c'est pour les hommes aussi. Tout le monde se prend des claques, tout le monde se prend des noms, tout le monde se prend des portes et que ça fait partie du jeu. Et il ne faut pas prendre tout personnellement et que ça vous mette le moral dans les chaussettes à chaque fois, bien que vous avez le droit et de toute façon je vais revenir là-dessus, ne vous inquiétez pas, je vais apporter un peu de nuance juste après. Mais vous me connaissez, d'abord c'est le bottage de fesses. La résilience, elle est vraiment à travailler. L'entrepreneuriat, c'est ça, c'est ça. Moi ça fait 7 ans que je suis entrepreneur et ça fait 7 ans que je me prends des claques sur claques sur claques sur claques sur claques. Je sais que d'un point de vue extérieur, on a l'impression que c'est la réussite, que c'est la puissance, que tout fonctionne, que tout est facile, etc. Il faut vraiment mettre ses petites lunettes de la réalité. Ce n'est pas la réalité. Vous n'êtes pas dans les business de chacun, de chacune, et vous ne savez pas ce qui se passe réellement. L'entrepreneuriat, c'est de gérer des cacas tout le temps. C'est de trouver des solutions à tout, tout le temps. Ce n'est que ça. Et si vous n'êtes pas fait pour ça, il faut vraiment vous poser des questions parce que ça va durer. Ça va durer. Mais pour apporter un petit peu de positif, je pense que si vous m'écoutez, vous êtes déjà entrepreneur depuis quelques temps. Moi, ça fait 7 ans. J'ai l'impression qu'on a un truc un petit peu un peu maso parce qu'en fait, je pense sincèrement qu'on aime ça. Je pense sincèrement que les entrepreneurs sont des êtres qui sont faits pour trouver des solutions, pour se creuser les ménages, pour que ce soit pas simple. Pour, je sais pas moi, mériter. mériter la réussite, je sais pas. Voilà, je pense qu'il y a... Des moments où il y a des actions qui sont assez fluides et que ça fonctionne et il y en a d'autres où il va falloir se creuser les ménages, trouver des solutions, etc. Et ça fait partie du jeu. Donc il y a des hauts, il y a des bas, il y a des bas, il y a des hauts. Ça fluctue, c'est normal. L'important, c'est de toujours, toujours, toujours trouver des solutions, de toujours, toujours, toujours rester en action. Maintenant, je vais apporter ma petite casquette de nuance parce que Sandra, on sait qu'elle peut être un petit peu bourrine quand elle parle de ses sujets mindset. Évidemment que moi, je ne prends pas les échecs ou quand il se passe un truc que je n'ai pas comme j'ai prévu, etc. Avec le sourire et dire « Waouh, c'est génial ! La vie m'a encore apporté tellement d'apprentissage, je vais pouvoir me sortir forte de tout ça » . En vrai, je le pense au fond du fond, mais sur le coup, évidemment que comme nous toutes, vous toutes... Et quand il y a quelque chose qui ne se passe pas bien ou qu'il n'y a pas le résultat sur une opération commerciale, bien sûr que ça me saoule. Bien sûr que je trouve que ce n'est pas juste par rapport au temps passé, à l'investissement, etc. Moi aussi, j'ai tous les problèmes du monde sur mes épaules à ce moment-là. Et la nuance que je veux apporter, c'est que vous avez le droit d'être down. Ce moment de bas, ce moment de démotivation, de remise en question, vous avez le droit de l'avoir. Là où il faut faire super attention, c'est qu'il ne dure pas longtemps. Du coup, j'arrive à mon autre point. Je ne sais pas si je suis au point 2 ou au point 3, mais je reviens sur ça et je répète tout le temps la même chose. C'est de vivre son entrepreneuriat en pleine conscience. L'importance d'être très franc avec soi-même dans sa tête. C'est-à-dire, je donne un exemple. Là, j'ai fini une opération commerciale, j'ai fait zéro vente ou j'ai fait trois ventes alors que je voulais en faire dix, je sais pas. Échec. Là, ça me saoule. Là, je suis démotivée en fait. Là, je suis démotivée, je remets tout en question. Est-ce que je suis à ma place ? Est-ce que je vais vraiment y arriver ? Toutes les pensées négatives, elles arrivent à moi d'un coup. Je me sens plus légitime, je doute de moi, je doute de ma capacité à réussir. Tout ça, ça vient à moi et vous n'êtes pas les seuls, ça vient à nous toutes, c'est normal. J'accueille, c'est de ne pas contrer ce truc, c'est j'accueille en fait. Moi, j'accueille, je sais pourquoi j'ai ces pensées, c'est parce qu'en fait, je suis... Là, on fait suite d'un échec ou de... On va appeler ça un échec si c'est ok pour vous. Je sais qu'il y a des gens qui n'aiment pas trop ce mot, mais moi, il me convient bien. Je trouve que c'est ok de vivre des échecs, c'est bien les échecs. c'est in fine enfin c'est Après, on comprend et on avance et c'est ce qui nous permet d'avancer, mais sur le coup, ça casse les roubignoles. Mais tout ça pour vous dire que vous avez le droit et vous avez le droit de vous dire, là, en fait, cet après-midi, je ferme l'ordi. cet après-midi, je prends mon après-midi je vais aller marcher, je vais faire un truc pour moi, je vais faire les boutiques je vais aller, je sais pas je me fais une séance de yoga je sais pas, qu'est-ce qui vous fait du bien Vous avez même le droit de larver sur votre canapé au fond de la couverture, à boire du thé, à lire votre liseuse. Tout est ok, tout est entendable. Mais tout est entendable pendant un très court temps. Par exemple, moi, quand ça m'arrive, et ça m'arrive très souvent, c'est ok, je m'octroie ce moment, mais je sais que dès le lendemain matin, je suis de retour sur le ring. Show must go on. Le lendemain matin, je suis sur le ring. Je vous promets, c'est ma philosophie de vie et c'est ce qui m'a permis d'avancer après chaque épreuve de la vie, qu'elle soit personnelle ou qu'elle soit professionnelle. Si vous avez suivi un petit peu mon histoire, je sais que vous devez savoir de quoi je parle, mais en fait, on a le droit de pleurer, on a le droit de tout remettre en question, on a le droit de rester une grosse larve dans son lit, au fond du lit, etc. donnez-vous ce droit c'est ok par contre Il ne faut pas que ça dure. Et c'est là où je réévoque l'entrepreneuriat en pleine conscience. C'est qu'il y a quand même un équilibre à trouver parce qu'il y a celles qui ne vont pas s'octroyer ces moments-là et qui vont du coup forcer, forcer, forcer. c'est-à-dire je vais quand même rester derrière mon ordinateur parce que je culpabilise si je ne travaille pas, parce qu'en plus j'ai tellement peu de temps de travail dans ma journée. Que si en plus je perds cette demi-journée-là, c'est n'importe quoi. Donc elles vont rester, elles vont forcer derrière cet ordinateur. Mais en fait, c'est bloqué. Vous voyez bien, il y a des moments où on n'est pas productif du tout. On bubule derrière l'ordinateur et juste le temps, on laisse passer le temps. Et ça, c'est horrible. C'est horrible parce que ça ne sert à rien en fait. Ça ne sert à rien. Et vous, ça vous met dans une situation de... de non-action, bon bref, ça sert à rien. Donc ça, c'est les filles qui ne s'octroient pas ces moments, et après, il y a celles qui vont trop s'octoyer ces moments, c'est-à-dire de « non mais là, j'avais besoin de me reposer » , « non mais là, j'ai besoin de… » , voilà, mais sans que ça dure trop longtemps. Et je disais dans le live ce midi que je ne sais pas pourquoi, moi j'ai un don, j'arrive à… à chaque fois que je parle à une entrepreneur et que ces sujets-là sont évoqués, ou d'organisation, ou est-ce que là, est-ce que t'as fait ça, ça, ça ? Bah non, j'ai pas pu parce que tata, et là, tu pars dans des trucs d'excuses, et excuse sur excuse sur excuse, que son propre cerveau lui perçoit. C'est ça qui est dur, c'est que quand c'est pour soi, parfois, on n'arrive pas à trouver cet équilibre. Et c'est là où l'entrepreneur en pleine conscience, c'est est-ce que ce que je me dis là, c'est la réalité, c'est vrai, ou est-ce que c'est des peurs qui parlent ? Quand on est trop dans l'inaction, soit effectivement la pleine conscience en disant là, OK, il y a ça, ça, ça. Et aujourd'hui, je me laisse le droit d'eux et demain, je reviens. Et sinon, il y a les peurs, les doutes. Et en fait, ça s'installe. Et du coup, là, toutes les raisons du monde font qu'on ne peut pas retourner au travail parce qu'en fait, c'est la peur. J'ai peur de... En fait, si je retente un échec, j'ai peur de revivre et de me remettre dans une situation pareille. de me remettre dans ces pensées que je vis encore un échec, je suis pas capable, j'ai pas de résultat, etc. Donc autant de pas y aller, en fait. Donc je me trouve toutes les excuses du monde. J'ai peur de vous donner des exemples parce que je sais qu'il va y avoir la team premier degré qui vont me dire oui, mais ça, c'est vrai, Sandra, ça, c'est vrai, etc. Mais du coup, j'en donnerai pas parce que je pense que chacune va comprendre. En fait, je trouve que ne pas en donner, ça va laisser à chacune un peu des petites situations, peut-être revenir à elle. Et... Du coup, vivre son entrepreneuriat en pleine conscience, c'est ça, c'est que parfois, et moi aussi, ça m'arrive souvent de me dire, là, franchement, j'ai fait du caca. Je m'étais dit, OK, une demi-journée, je me la prends parce que telle raison, etc. Demain, je suis sur le rig. Si le lendemain d'avant, je ne suis pas sur le rig, c'est clairement en pleine conscience, je me dis que là, j'ai procrastiné. Là, j'ai trouvé cette excuse parce qu'il fallait emmener je ne sais pas qui, je ne sais pas où. J'ai procrastiné parce qu'en fait, j'ai pas envie d'y retourner. J'ai pas envie d'y retourner parce qu'en fait, c'était hyper inconfortable la dernière fois où j'y étais. Bah oui, parce que la dernière fois où j'y étais, j'ai eu une mauvaise nouvelle ou il n'y avait pas les résultats ou ce truc est fini et machin. Ou alors, un prospect m'a dit non. Ou alors, un call sur lequel je donnais beaucoup d'espoir s'il me mal passait, etc. Et j'ai pas envie d'y retourner. Et c'est normal. Mais vous comprenez bien que c'est votre cerveau, c'est vos peurs qui vous protègent. Bien sûr, en fait. Qui va retourner ? à part nous les entrepreneurs maso mais qui retournerait de façon hyper consciente et joviale vers l'endroit qui vous a donné du fil à retordre quelques heures, quelques jours avant personne, c'est normal, c'est de la protection mais l'entrepreneur en pleine conscience c'est celle qui s'est identifiée cette protection et se dire bah en fait j'y retourne j'y retourne parce qu'en fait il faut y retourner parce que si je n'y retourne pas voilà les conséquences que ça peut avoir et Chacune, on est dans ce projet entrepreneurial pour une bonne raison. Moi, je sais que le retour au salariat, c'est un driver pour moi. Là, j'ai la chance de travailler pour moi, pour mes projets, mes envies. Vous voyez, je ferme les yeux quand je vous parle de ça pour essayer de me le réincréer, de me le rappeler, de me le redire de nouveau. C'est important de se rappeler de ça. J'ai la chance, c'est incroyable, je me suis donné cette chance, je suis allée la chercher cette chance, de travailler là tous les jours pour moi, pour mon projet à moi, comme moi je l'entends, il n'y a plus de cadre, il n'y a plus d'hierarchie, il n'y a plus de management, c'est moi, moi, moi. Et malheureusement, il faut se battre pour garder ça. Et oui, c'est compliqué, je ne vais pas vous mentir. Alors, après 7 ans d'entrepreneuriat, franchement, c'est de moins en moins... Enfin non, ça dépend, parce qu'après, c'est comme quand on dit pour les mamans, petits, petits problèmes, grands, grands problèmes. Je pense que c'est la même chose avec l'entreprise, parce que du moment où tu passes des paliers, après, tu as des gros problèmes, c'est-à-dire des investissements d'argent qui partent, etc., etc. Mais en vrai, voilà, bon bref. Je pense que vous avez compris le... L'idée. Donc, pour récapituler, j'ai déjà donné trois points. C'est normal de ne pas être motivé tout le temps. Et on accepte ça. Acceptez-le, c'est normal, c'est ok. Les résultats, vos résultats ne représentent pas votre valeur. Et ça, c'est hyper important. L'entrepreneuriat en pleine conscience. Vous avez le droit d'être démotivé. Donnez-vous ce droit, c'est ok. Vous avez le droit. Si vous avez fait un flop, bien sûr que vous n'êtes pas motivé. On ne va pas vous demander en plus d'aller faire la danse de la victoire. Bien sûr que c'est démotivant. À la longue, c'est démotivant d'avoir des petits échecs sur petits échecs. Mais ce qui est important, c'est de voir le positif. Et c'est pour ça que je ne l'ai pas parlé, tiens, de ça aussi. Un bon entrepreneur, un entrepreneur qui tient sur la longueur, c'est une personne positive. Et c'est pour ça que lors de mes coachings mensuels avec mes membres, tous les mois, On commence le coaching par voir le verre à moitié plein. D'abord, on voit ce qui s'est bien passé. Et il y a toujours du positif dans notre vie. Vous pouvez pas me faire croire qu'il n'y a rien dans votre quotidien, il n'y a rien dans votre vie qui vous donne de la joie et du sourire. Il y a forcément du positif. Et c'est sur ça qu'on met le point. On met le doigt sur ça avant tout. Parce que sinon, effectivement, que si on voit que le... Ce qui ne marche pas, on brouille du noir. Non, d'abord, nous, on commence les coachings par... Ok, c'est quoi le positif ? Une chose positive à retenir de votre moi niveau pro, une chose positive à retenir de votre moi niveau perso. C'est la première question que je pose à mes clientes chaque mois. On commence par ça. Ensuite, on va soulever le tapis. Donc, voilà. L'entrepreneuriat en pleine conscience, c'est vraiment ça, de réussir. Je sais que c'est dur quand c'est pour soi. Ça vient avec le temps. Mais essayez de savoir, écrivez si ça vous aide dans certaines situations, si vous avez vraiment besoin de faire une pause. Parce que moi, quand j'accompagne des entrepreneurs en coaching, il y a celles qui ne vont pas lâcher. Et là, je vais dire, mais là, tu as besoin de couper, là. Tu as besoin d'un stop. Donc, je vous dis, il y a celles qui sont dans les deux extrémités. Et en fait, ce qu'il faut réussir à trouver, c'est cet équilibre. Il y a des jours où ça va être dans un sens où là vous avez le temps de vous réveiller. le temps, vous avez besoin de couper et le lendemain, vous avez besoin de vous remettre à fond dans le travail, etc. et de ne pas vous trouver d'excuses. C'est une petite balance comme ça. Là, je fais un petit mouvement avec mes mains, mais c'est vraiment ça et soyez, soyez en plein... En fait, soyez vrais avec vous-même à... Quand j'accompagne, du coup, il y a celle où je dis, là, fais une pause, et il y a celle aussi qui me parle et que je dis, non mais là, t'es consciente quand même que c'est une petite excuse parce qu'en vrai... Si tu le voulais vraiment ou si c'était vraiment un sujet, etc., bah, t'aurais fait ça, ça, ça. Donc, de toute façon, vos actions parlent. Vos actions parlent ou vos non-actions parlent. Il faut les faire... Il faut mettre des mots dessus. C'est hyper important. Prenez une feuille, un papier. Ouais, une feuille, un papier. Et puis un stylo aussi, ça peut être utile. Mais en tout cas... Et c'est de comprendre qu'est-ce qui se passe là, pourquoi vous bloquez, pourquoi vous n'y retournez plus, pourquoi vous ne faites pas cet appel, pourquoi vous ne faites pas cette action qui, vous savez, va être déclencheur de potentiel, de prochaine étape. Vous voyez pourquoi l'inaction, en tout cas, qu'est-ce qui est caché derrière ? C'est ça la pleine conscience, c'est de comprendre vos peurs et de vous dire là j'ai peur et c'est ok d'avoir peur, moi j'ai peur tout le temps. J'ai peur, là en ce moment, c'est que j'ai peur de prendre, j'estime avoir pris, je vous l'ai dit sur le dernier épisode de podcast, j'estime avoir pris pas forcément que des bonnes décisions ces derniers mois et du coup aujourd'hui je doute sur mes capacités à prendre de bonnes décisions. Donc maintenant quand je prends une décision, j'essaie de faire un mélange entre j'écoute mon intuition parce que je pense que je n'ai pas assez écouté mon intuition sur ces prises de décision. Et d'un autre côté, j'essaie vraiment de me poser le plus, le moins, le machin. Voilà, je me fais moins confiance. Et c'est OK, j'accepte. J'ai pris conscience de ça, je l'accepte. C'est là pour l'instant. Et ça va partir quand, effectivement, j'aurai des victoires à célébrer, je pense. Et c'est OK. Vous voyez ? C'est OK. On est toutes dans le même bateau. On est toutes au même stade. Ce qui va faire la différence, c'est ces trois points. Je n'ai toujours pas dit le quatrième. C'est trois points. que je vous ai dit. Si vous prenez conscience de ça, je vous promets que ça va aller sur le long terme. L'entrepreneuriat n'est pas un sprint, c'est un marathon. Donc parfois, il faut savoir aussi se reposer et il faut savoir aussi s'écouter. Et parfois, il faut arrêter de s'écouter. Voilà. Quatrième point, mesdames. Le plus important, non pas le plus important, j'abuse, mais vous allez comprendre pourquoi je vous dis ça. L'importance de s'entourer dans la constance de motivation. Vous comprenez bien que quand vous avez une baisse de motivation et que vous vous retrouvez seul au monde, personne à qui échanger sur justement peut-être ses échecs ou ses mauvaises nouvelles que vous avez reçues, etc. C'est le pire du pire du pire. Quand vous êtes entrepreneur, il faut être entouré d'entrepreneurs, il faut être entouré de personnes qui savent exactement et qui comprennent ce que vous vivez. Moi, je sais ce que vous vivez, je sais. Je sais ce que c'est d'être entrepreneur, je sais ce que c'est d'être une femme entrepreneur, je sais ce que c'est d'être une maman entrepreneur, je sais même ce que c'est d'être une maman célibataire entrepreneur, je sais ce que c'est... Voilà, j'ai une mère qui a été entrepreneur, ma sœur qui a été entrepreneur. Je sais ce que vous vivez, mais je le sais, c'est tellement pour ça que je me bats pour vous toutes, vraiment, parce que je sais la vraie vie, la réalité, tout ce que c'est derrière. Et du coup, c'est important aussi qu'on puisse en parler entre nous. On se comprend, par contre, on se botte les fesses. On n'est pas là pour dire, mais oui, tu dois arrêter, tu te rends compte là dans quel état ça te met, mais tu sais que tu as une porte de sortie et tout. Non, non, non, non, on est des entrepreneurs et on sait qu'entre entrepreneurs, On va se motiver, on va se trouver des solutions, on va partager nos expériences, on va moins se sentir seule aussi parce qu'encore une fois le discours que j'ai, vous voyez, moi je suis pas, quand je vous dis je suis coach business, mentor, moi je vais jamais vous dire mais regardez ma vie, moi tout est facile pour moi, achetez chez moi parce que comme ça vous aurez cette vie aussi, je crois pas du tout en ça, c'est pas vrai. Moi, je crois en la vraie vie, en fait, la vie de tous les jours, que les mamans entrepreneurs, elles ne peuvent pas travailler tôt le matin, ni la fin d'après-midi, il faut aller chercher les enfants. Il y en a certaines qui vont chercher les enfants à la cantine. On n'a pas les week-ends pour travailler. Il y a un moment donné, il faut prendre conscience de certaines choses. Et bon, ça, c'est un autre sujet. Du coup, vraiment, le quatrième point, c'est entourez-vous d'entrepreneurs, réseaux d'entrepreneurs, programmes d'entrepreneurs. soyez entourés de personnes qui sont porteuses, des personnes qui sont dans l'action, des personnes qui se battent comme vous, qui vous ressemblent, des semblables. Et si jamais F-Collective vous tente, je vous mets le lien pour intégrer la liste d'attente au membership, donc c'est à la communauté, là où il y a toute la méthode, où il y a tous les membres qui se trouvent dans toute la France, où il y a absolument tout ce qu'on fait. chef collective, je vous mets le lien dans la description si c'est pas chez nous c'est pas chez nous, c'est comme ça mais entourez-vous, ne restez pas seul et quand je dis entourez-vous c'est pas faire une réunion tous les 36 du mois à l'autre bout de la ville c'est une présence du quotidien c'est une présence au quotidien, c'est des actions des personnes que vous pouvez activer tout le temps, tous les jours de votre vie parce qu'on est entrepreneur tous les jours de sa vie voilà mesdames En tout cas, j'espère que ceci vous a remotivé ou vous a donné l'accord de peut-être se reposer pour revenir demain plus en forme et sur le ring. Moi, c'est mon état d'esprit d'entrepreneur et de vie. Ce n'est même pas d'entrepreneur, c'est de vie. c'est vous le savez c'est 7 fois terre 8 fois debout Je me relève et je me relève. Par contre, je suis un gros, mais moi, juste pour... Ça, je vais raconter un petit peu ma vie, mais les personnes qui me connaissent dans le privé, elles rigolent de fou quand elles me voient sur Instagram comme ça, en train de me montrer powerful et tout, parce qu'elles, elles savent la Sandra de tous les jours. Elles savent la Sandra de... En fait, dès que ça va pas, je vais chez mes parents, je chouine, je pleure, j'ai la tête, les yeux gonflés jusque-là, parce qu'en fait, je pleure très facilement. Et que voilà, mais c'est pas... pas grave, c'est ok parce qu'en fait, le lendemain, je dors et en m'endormant, je me mets en mode demain, je suis Xena la guerrière. Demain, je suis Beyoncé. Et je me lève et je suis Xena la guerrière, je suis Beyoncé. Et c'est ok. En fait, c'est ok d'avoir cette dualité en soi. C'est ok d'avoir ce côté up and down. C'est ok. Mais il ne faut pas que ça reste longtemps. C'est juste ça. C'est tout pour moi. Je vous embrasse et je vous dis à très vite pour un nouvel épisode. Bye bye !

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Dans cet épisode, je te partage mes 4 piliers concrets pour rester dans la course sur le long terme.
Tu vas apprendre comment rebondir plus vite, garder le cap, et surtout ne pas tout remettre en question à chaque coup de mou.


Parce que la clé, ce n’est pas d’être motivée tout le temps.
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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à toutes et bienvenue sur F-Collective, le podcast qui donne le power au girlboss. Je suis Sandra Scanella, mentor, coach business et surtout la fondatrice de F-Collective, une power place qui aide et accompagne les femmes entrepreneurs à développer leur activité, la monétiser et à vivre leur vie de kiff pour elles et leur famille. Aujourd'hui, on a un sujet qui me parle particulièrement. J'avoue que je l'ai traité lors du live de ce midi. Si vous n'êtes pas au courant, chaque mardi midi 15, je suis en direct sur Instagram. Je fais des analyses de parcours de vente pour les gens qui sont en direct avec moi. Donc venez, venez participer ou même écouter. Vous allez apprendre plein de choses sur les tunnels de vente, sur vos parcours de vente, sur vos éléments, vos outils de communication, sur vos messages, sur vos offres. C'est vraiment un super moment, un chouette moment, donc c'est tous les mardis à 12h15. Et ce mardi, j'ai voulu traiter un sujet qui est un peu dans la bouche aussi de nos membres, puisque c'est revenu lors de notre dernier meeting entre nos membres, c'est la motivation, c'est la constance de motivation quand surtout les résultats ne sont pas là. Parce qu'effectivement, c'est bien d'être motivé quand tout fonctionne comme on veut. C'est génial et c'est facile, mais ce qui est compliqué, c'est effectivement garder une constance quand justement ça ne fonctionne pas, quand justement les actions mises en place n'ont pas porté leurs fruits, etc. Et du coup, c'est vraiment ce sujet que je voulais traiter avec vous aujourd'hui. Donc, vous voyez, j'ai allumé mon micro directement après le direct parce que je me suis dit que c'était un sujet qui allait peut-être faire du bien à pas mal de gens, de personnes. d'entrepreneur. Et donc vous donner ma vision de la chose. Donc concernant la motivation, la motivation, la question qui se pose c'est est-ce qu'on peut garder une constance sur sa motivation ? Moi ma vision des choses c'est que bien évidemment que absolument pas, bien évidemment que non, ce n'est pas possible de garder une constance sur sa motivation, ce n'est pas possible d'être autant motivé toute la journée de la même façon, ce n'est pas possible d'être motivé toute la semaine de la même façon, tous les mois de la même façon. Moi, je suis vraiment catégorique sur ça et je veux vraiment qu'on arrête de faire croire ou de faire penser aux entrepreneurs qu'il n'y a que les motivés qui vont y arriver, etc. Je n'ai pas du tout ce discours et cette façon de voir les choses et cette vision. Pour moi, c'est normal de ne pas être motivé tout le temps, puisque il y a quand même énormément de facteurs qui font que on peut pas garder une motivation au top tout le temps. Et oui, clairement, il y a le fait des résultats, oui, ça fluctue selon ces résultats, je suis d'accord, donc ça va être... Allez, petit 1, parce qu'effectivement, au niveau de l'activité, il y a des moments où ça va, des moments où ça va moins bien, mais ça, on va en parler tout à l'heure. Mais aussi le fait que, je suis désolée, mais nous sommes des femmes. J'ai l'impression qu'à chaque épisode, je dis ça, mais nous sommes des femmes. Donc nous sommes que cycle, nous. Nous sommes que cycle, des up, des down. C'est notre vie, c'est notre quotidien depuis que nous sommes adolescentes. on vit quand même dans un tourment, dans un tourbillon interne que nous-mêmes pouvons comprendre et c'est là en fait il faut vraiment arrêter de penser qu'il faut trouver plein de solutions pour faire en sorte de combattre ça, etc. Je pense que le combat est peine perdue, en fait. Je pense qu'au contraire, il faut l'accepter. Il faut accepter le fait qu'il y a des hauts, il y a des bas, que des fois on est queen bee et que le lendemain on est le plus gros caca de la Terre. Je le vis, moi aussi, personnellement, tout le temps, tous les jours, toutes les semaines. Tous les mois, c'est complètement normal de vivre tout ça. Donc vraiment, si ça vous parle ce sujet ou si vous sentez que c'est pas normal le fait que vous ayez ces fluctuations comme ça de motivation, franchement mesdames, on se calme avec ça, c'est complètement normal. Maintenant, qu'est-ce qu'on fait de ça ? Alors, pour traiter ça, moi, petit 1, La première chose que je... Je crois que j'ai trois choses à vous... J'ai quatre choses à vous dire sur ce sujet-là. Petit 1, la première chose que je voudrais absolument que vous compreniez et que vous entendiez bien dans vos petites oreilles, c'est cette phrase suivante. Ta valeur n'est pas conditionnée par tes résultats. Je répète, ta valeur n'est pas conditionnée par tes résultats. Ce n'est pas parce que tu n'as pas les résultats que tu voudrais, que tu n'as pas de résultats, que tu dois remettre en question tout le reste. Ça n'a rien à voir avec toi. Il ne faut rien prendre personnellement. Il y a évidemment des facteurs qu'il va falloir identifier, analyser, faire un bilan, comprendre pourquoi ça n'a pas fonctionné, etc. Mais ça n'a rien à voir, ça ne touche pas la femme que tu es, le travail que tu fais, ton expertise, ton professionnalisme, tes compétences, ça ne touche pas ça. Ce n'est pas parce que tu n'as pas de résultat que tu dois remettre en question ces choses-là et ça c'est hyper important qu'on parte sur cette base-là. Donc les résultats, c'est une chose, ta valeur. votre valeur à vous, toutes mesdames c'en est une autre et ça pour moi c'était hyper important de faire un rappel là dessus les résultats c'est normal de pas c'est normal qu'il n'y en ait pas tout le temps si tous les entrepreneurs réussissent 100% de ce qu'ils mettent en place tout le temps, ça sera absolument merveilleux ce monde, ça sera absolument incroyable, mais vous le savez bien que ce n'est pas possible Vous voyez bien que ce n'est pas... De toute façon, si vous suivez tous les entrepreneurs que vous suivez, les petits, les grands, les moyens, etc., tout le monde vous le dit que les échecs, ça fait partie du jeu. Qu'en plus, il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup plus d'échecs que de réussites dans l'entrepreneuriat. Encore une fois, je vais être très sincère avec vous et je vous savais à quel point j'ai un discours qui... qui est franc là-dessus, c'est que les échecs, le manque de résultats, ça fait partie du jeu, c'est là. Et que l'entrepreneuriat, ce n'est pas facile, les résultats ne sont pas au rendez-vous tout le temps, et que c'est normal. Donc, c'est quelque chose qu'il faut vraiment... Je veux vraiment qu'on prenne conscience de ça, puisque être entrepreneur, ça demande une résilience. mais une résilience de malade. Et que si chaque échec, si par exemple chaque lancement, chaque temps fort, vous ne réussissez pas, si les appels découvertes que vous faites, ça ne transforme pas, etc. Si vous baissez les bras à chaque nom qu'on vous donne ou chaque porte qu'on vous claque, je vous promets que ça va être très compliqué pour vous pour la suite, vraiment. L'entrepreneuriat, c'est ça, ce n'est que ça. Et c'est ce, celle. qui vont avoir une force mentale et une résilience sur le long terme qui réussiront. Je suis intimement convaincue de ça et de toute façon ce n'est pas que pour les femmes, c'est pour les hommes aussi. Tout le monde se prend des claques, tout le monde se prend des noms, tout le monde se prend des portes et que ça fait partie du jeu. Et il ne faut pas prendre tout personnellement et que ça vous mette le moral dans les chaussettes à chaque fois, bien que vous avez le droit et de toute façon je vais revenir là-dessus, ne vous inquiétez pas, je vais apporter un peu de nuance juste après. Mais vous me connaissez, d'abord c'est le bottage de fesses. La résilience, elle est vraiment à travailler. L'entrepreneuriat, c'est ça, c'est ça. Moi ça fait 7 ans que je suis entrepreneur et ça fait 7 ans que je me prends des claques sur claques sur claques sur claques sur claques. Je sais que d'un point de vue extérieur, on a l'impression que c'est la réussite, que c'est la puissance, que tout fonctionne, que tout est facile, etc. Il faut vraiment mettre ses petites lunettes de la réalité. Ce n'est pas la réalité. Vous n'êtes pas dans les business de chacun, de chacune, et vous ne savez pas ce qui se passe réellement. L'entrepreneuriat, c'est de gérer des cacas tout le temps. C'est de trouver des solutions à tout, tout le temps. Ce n'est que ça. Et si vous n'êtes pas fait pour ça, il faut vraiment vous poser des questions parce que ça va durer. Ça va durer. Mais pour apporter un petit peu de positif, je pense que si vous m'écoutez, vous êtes déjà entrepreneur depuis quelques temps. Moi, ça fait 7 ans. J'ai l'impression qu'on a un truc un petit peu un peu maso parce qu'en fait, je pense sincèrement qu'on aime ça. Je pense sincèrement que les entrepreneurs sont des êtres qui sont faits pour trouver des solutions, pour se creuser les ménages, pour que ce soit pas simple. Pour, je sais pas moi, mériter. mériter la réussite, je sais pas. Voilà, je pense qu'il y a... Des moments où il y a des actions qui sont assez fluides et que ça fonctionne et il y en a d'autres où il va falloir se creuser les ménages, trouver des solutions, etc. Et ça fait partie du jeu. Donc il y a des hauts, il y a des bas, il y a des bas, il y a des hauts. Ça fluctue, c'est normal. L'important, c'est de toujours, toujours, toujours trouver des solutions, de toujours, toujours, toujours rester en action. Maintenant, je vais apporter ma petite casquette de nuance parce que Sandra, on sait qu'elle peut être un petit peu bourrine quand elle parle de ses sujets mindset. Évidemment que moi, je ne prends pas les échecs ou quand il se passe un truc que je n'ai pas comme j'ai prévu, etc. Avec le sourire et dire « Waouh, c'est génial ! La vie m'a encore apporté tellement d'apprentissage, je vais pouvoir me sortir forte de tout ça » . En vrai, je le pense au fond du fond, mais sur le coup, évidemment que comme nous toutes, vous toutes... Et quand il y a quelque chose qui ne se passe pas bien ou qu'il n'y a pas le résultat sur une opération commerciale, bien sûr que ça me saoule. Bien sûr que je trouve que ce n'est pas juste par rapport au temps passé, à l'investissement, etc. Moi aussi, j'ai tous les problèmes du monde sur mes épaules à ce moment-là. Et la nuance que je veux apporter, c'est que vous avez le droit d'être down. Ce moment de bas, ce moment de démotivation, de remise en question, vous avez le droit de l'avoir. Là où il faut faire super attention, c'est qu'il ne dure pas longtemps. Du coup, j'arrive à mon autre point. Je ne sais pas si je suis au point 2 ou au point 3, mais je reviens sur ça et je répète tout le temps la même chose. C'est de vivre son entrepreneuriat en pleine conscience. L'importance d'être très franc avec soi-même dans sa tête. C'est-à-dire, je donne un exemple. Là, j'ai fini une opération commerciale, j'ai fait zéro vente ou j'ai fait trois ventes alors que je voulais en faire dix, je sais pas. Échec. Là, ça me saoule. Là, je suis démotivée en fait. Là, je suis démotivée, je remets tout en question. Est-ce que je suis à ma place ? Est-ce que je vais vraiment y arriver ? Toutes les pensées négatives, elles arrivent à moi d'un coup. Je me sens plus légitime, je doute de moi, je doute de ma capacité à réussir. Tout ça, ça vient à moi et vous n'êtes pas les seuls, ça vient à nous toutes, c'est normal. J'accueille, c'est de ne pas contrer ce truc, c'est j'accueille en fait. Moi, j'accueille, je sais pourquoi j'ai ces pensées, c'est parce qu'en fait, je suis... Là, on fait suite d'un échec ou de... On va appeler ça un échec si c'est ok pour vous. Je sais qu'il y a des gens qui n'aiment pas trop ce mot, mais moi, il me convient bien. Je trouve que c'est ok de vivre des échecs, c'est bien les échecs. c'est in fine enfin c'est Après, on comprend et on avance et c'est ce qui nous permet d'avancer, mais sur le coup, ça casse les roubignoles. Mais tout ça pour vous dire que vous avez le droit et vous avez le droit de vous dire, là, en fait, cet après-midi, je ferme l'ordi. cet après-midi, je prends mon après-midi je vais aller marcher, je vais faire un truc pour moi, je vais faire les boutiques je vais aller, je sais pas je me fais une séance de yoga je sais pas, qu'est-ce qui vous fait du bien Vous avez même le droit de larver sur votre canapé au fond de la couverture, à boire du thé, à lire votre liseuse. Tout est ok, tout est entendable. Mais tout est entendable pendant un très court temps. Par exemple, moi, quand ça m'arrive, et ça m'arrive très souvent, c'est ok, je m'octroie ce moment, mais je sais que dès le lendemain matin, je suis de retour sur le ring. Show must go on. Le lendemain matin, je suis sur le ring. Je vous promets, c'est ma philosophie de vie et c'est ce qui m'a permis d'avancer après chaque épreuve de la vie, qu'elle soit personnelle ou qu'elle soit professionnelle. Si vous avez suivi un petit peu mon histoire, je sais que vous devez savoir de quoi je parle, mais en fait, on a le droit de pleurer, on a le droit de tout remettre en question, on a le droit de rester une grosse larve dans son lit, au fond du lit, etc. donnez-vous ce droit c'est ok par contre Il ne faut pas que ça dure. Et c'est là où je réévoque l'entrepreneuriat en pleine conscience. C'est qu'il y a quand même un équilibre à trouver parce qu'il y a celles qui ne vont pas s'octroyer ces moments-là et qui vont du coup forcer, forcer, forcer. c'est-à-dire je vais quand même rester derrière mon ordinateur parce que je culpabilise si je ne travaille pas, parce qu'en plus j'ai tellement peu de temps de travail dans ma journée. Que si en plus je perds cette demi-journée-là, c'est n'importe quoi. Donc elles vont rester, elles vont forcer derrière cet ordinateur. Mais en fait, c'est bloqué. Vous voyez bien, il y a des moments où on n'est pas productif du tout. On bubule derrière l'ordinateur et juste le temps, on laisse passer le temps. Et ça, c'est horrible. C'est horrible parce que ça ne sert à rien en fait. Ça ne sert à rien. Et vous, ça vous met dans une situation de... de non-action, bon bref, ça sert à rien. Donc ça, c'est les filles qui ne s'octroient pas ces moments, et après, il y a celles qui vont trop s'octoyer ces moments, c'est-à-dire de « non mais là, j'avais besoin de me reposer » , « non mais là, j'ai besoin de… » , voilà, mais sans que ça dure trop longtemps. Et je disais dans le live ce midi que je ne sais pas pourquoi, moi j'ai un don, j'arrive à… à chaque fois que je parle à une entrepreneur et que ces sujets-là sont évoqués, ou d'organisation, ou est-ce que là, est-ce que t'as fait ça, ça, ça ? Bah non, j'ai pas pu parce que tata, et là, tu pars dans des trucs d'excuses, et excuse sur excuse sur excuse, que son propre cerveau lui perçoit. C'est ça qui est dur, c'est que quand c'est pour soi, parfois, on n'arrive pas à trouver cet équilibre. Et c'est là où l'entrepreneur en pleine conscience, c'est est-ce que ce que je me dis là, c'est la réalité, c'est vrai, ou est-ce que c'est des peurs qui parlent ? Quand on est trop dans l'inaction, soit effectivement la pleine conscience en disant là, OK, il y a ça, ça, ça. Et aujourd'hui, je me laisse le droit d'eux et demain, je reviens. Et sinon, il y a les peurs, les doutes. Et en fait, ça s'installe. Et du coup, là, toutes les raisons du monde font qu'on ne peut pas retourner au travail parce qu'en fait, c'est la peur. J'ai peur de... En fait, si je retente un échec, j'ai peur de revivre et de me remettre dans une situation pareille. de me remettre dans ces pensées que je vis encore un échec, je suis pas capable, j'ai pas de résultat, etc. Donc autant de pas y aller, en fait. Donc je me trouve toutes les excuses du monde. J'ai peur de vous donner des exemples parce que je sais qu'il va y avoir la team premier degré qui vont me dire oui, mais ça, c'est vrai, Sandra, ça, c'est vrai, etc. Mais du coup, j'en donnerai pas parce que je pense que chacune va comprendre. En fait, je trouve que ne pas en donner, ça va laisser à chacune un peu des petites situations, peut-être revenir à elle. Et... Du coup, vivre son entrepreneuriat en pleine conscience, c'est ça, c'est que parfois, et moi aussi, ça m'arrive souvent de me dire, là, franchement, j'ai fait du caca. Je m'étais dit, OK, une demi-journée, je me la prends parce que telle raison, etc. Demain, je suis sur le rig. Si le lendemain d'avant, je ne suis pas sur le rig, c'est clairement en pleine conscience, je me dis que là, j'ai procrastiné. Là, j'ai trouvé cette excuse parce qu'il fallait emmener je ne sais pas qui, je ne sais pas où. J'ai procrastiné parce qu'en fait, j'ai pas envie d'y retourner. J'ai pas envie d'y retourner parce qu'en fait, c'était hyper inconfortable la dernière fois où j'y étais. Bah oui, parce que la dernière fois où j'y étais, j'ai eu une mauvaise nouvelle ou il n'y avait pas les résultats ou ce truc est fini et machin. Ou alors, un prospect m'a dit non. Ou alors, un call sur lequel je donnais beaucoup d'espoir s'il me mal passait, etc. Et j'ai pas envie d'y retourner. Et c'est normal. Mais vous comprenez bien que c'est votre cerveau, c'est vos peurs qui vous protègent. Bien sûr, en fait. Qui va retourner ? à part nous les entrepreneurs maso mais qui retournerait de façon hyper consciente et joviale vers l'endroit qui vous a donné du fil à retordre quelques heures, quelques jours avant personne, c'est normal, c'est de la protection mais l'entrepreneur en pleine conscience c'est celle qui s'est identifiée cette protection et se dire bah en fait j'y retourne j'y retourne parce qu'en fait il faut y retourner parce que si je n'y retourne pas voilà les conséquences que ça peut avoir et Chacune, on est dans ce projet entrepreneurial pour une bonne raison. Moi, je sais que le retour au salariat, c'est un driver pour moi. Là, j'ai la chance de travailler pour moi, pour mes projets, mes envies. Vous voyez, je ferme les yeux quand je vous parle de ça pour essayer de me le réincréer, de me le rappeler, de me le redire de nouveau. C'est important de se rappeler de ça. J'ai la chance, c'est incroyable, je me suis donné cette chance, je suis allée la chercher cette chance, de travailler là tous les jours pour moi, pour mon projet à moi, comme moi je l'entends, il n'y a plus de cadre, il n'y a plus d'hierarchie, il n'y a plus de management, c'est moi, moi, moi. Et malheureusement, il faut se battre pour garder ça. Et oui, c'est compliqué, je ne vais pas vous mentir. Alors, après 7 ans d'entrepreneuriat, franchement, c'est de moins en moins... Enfin non, ça dépend, parce qu'après, c'est comme quand on dit pour les mamans, petits, petits problèmes, grands, grands problèmes. Je pense que c'est la même chose avec l'entreprise, parce que du moment où tu passes des paliers, après, tu as des gros problèmes, c'est-à-dire des investissements d'argent qui partent, etc., etc. Mais en vrai, voilà, bon bref. Je pense que vous avez compris le... L'idée. Donc, pour récapituler, j'ai déjà donné trois points. C'est normal de ne pas être motivé tout le temps. Et on accepte ça. Acceptez-le, c'est normal, c'est ok. Les résultats, vos résultats ne représentent pas votre valeur. Et ça, c'est hyper important. L'entrepreneuriat en pleine conscience. Vous avez le droit d'être démotivé. Donnez-vous ce droit, c'est ok. Vous avez le droit. Si vous avez fait un flop, bien sûr que vous n'êtes pas motivé. On ne va pas vous demander en plus d'aller faire la danse de la victoire. Bien sûr que c'est démotivant. À la longue, c'est démotivant d'avoir des petits échecs sur petits échecs. Mais ce qui est important, c'est de voir le positif. Et c'est pour ça que je ne l'ai pas parlé, tiens, de ça aussi. Un bon entrepreneur, un entrepreneur qui tient sur la longueur, c'est une personne positive. Et c'est pour ça que lors de mes coachings mensuels avec mes membres, tous les mois, On commence le coaching par voir le verre à moitié plein. D'abord, on voit ce qui s'est bien passé. Et il y a toujours du positif dans notre vie. Vous pouvez pas me faire croire qu'il n'y a rien dans votre quotidien, il n'y a rien dans votre vie qui vous donne de la joie et du sourire. Il y a forcément du positif. Et c'est sur ça qu'on met le point. On met le doigt sur ça avant tout. Parce que sinon, effectivement, que si on voit que le... Ce qui ne marche pas, on brouille du noir. Non, d'abord, nous, on commence les coachings par... Ok, c'est quoi le positif ? Une chose positive à retenir de votre moi niveau pro, une chose positive à retenir de votre moi niveau perso. C'est la première question que je pose à mes clientes chaque mois. On commence par ça. Ensuite, on va soulever le tapis. Donc, voilà. L'entrepreneuriat en pleine conscience, c'est vraiment ça, de réussir. Je sais que c'est dur quand c'est pour soi. Ça vient avec le temps. Mais essayez de savoir, écrivez si ça vous aide dans certaines situations, si vous avez vraiment besoin de faire une pause. Parce que moi, quand j'accompagne des entrepreneurs en coaching, il y a celles qui ne vont pas lâcher. Et là, je vais dire, mais là, tu as besoin de couper, là. Tu as besoin d'un stop. Donc, je vous dis, il y a celles qui sont dans les deux extrémités. Et en fait, ce qu'il faut réussir à trouver, c'est cet équilibre. Il y a des jours où ça va être dans un sens où là vous avez le temps de vous réveiller. le temps, vous avez besoin de couper et le lendemain, vous avez besoin de vous remettre à fond dans le travail, etc. et de ne pas vous trouver d'excuses. C'est une petite balance comme ça. Là, je fais un petit mouvement avec mes mains, mais c'est vraiment ça et soyez, soyez en plein... En fait, soyez vrais avec vous-même à... Quand j'accompagne, du coup, il y a celle où je dis, là, fais une pause, et il y a celle aussi qui me parle et que je dis, non mais là, t'es consciente quand même que c'est une petite excuse parce qu'en vrai... Si tu le voulais vraiment ou si c'était vraiment un sujet, etc., bah, t'aurais fait ça, ça, ça. Donc, de toute façon, vos actions parlent. Vos actions parlent ou vos non-actions parlent. Il faut les faire... Il faut mettre des mots dessus. C'est hyper important. Prenez une feuille, un papier. Ouais, une feuille, un papier. Et puis un stylo aussi, ça peut être utile. Mais en tout cas... Et c'est de comprendre qu'est-ce qui se passe là, pourquoi vous bloquez, pourquoi vous n'y retournez plus, pourquoi vous ne faites pas cet appel, pourquoi vous ne faites pas cette action qui, vous savez, va être déclencheur de potentiel, de prochaine étape. Vous voyez pourquoi l'inaction, en tout cas, qu'est-ce qui est caché derrière ? C'est ça la pleine conscience, c'est de comprendre vos peurs et de vous dire là j'ai peur et c'est ok d'avoir peur, moi j'ai peur tout le temps. J'ai peur, là en ce moment, c'est que j'ai peur de prendre, j'estime avoir pris, je vous l'ai dit sur le dernier épisode de podcast, j'estime avoir pris pas forcément que des bonnes décisions ces derniers mois et du coup aujourd'hui je doute sur mes capacités à prendre de bonnes décisions. Donc maintenant quand je prends une décision, j'essaie de faire un mélange entre j'écoute mon intuition parce que je pense que je n'ai pas assez écouté mon intuition sur ces prises de décision. Et d'un autre côté, j'essaie vraiment de me poser le plus, le moins, le machin. Voilà, je me fais moins confiance. Et c'est OK, j'accepte. J'ai pris conscience de ça, je l'accepte. C'est là pour l'instant. Et ça va partir quand, effectivement, j'aurai des victoires à célébrer, je pense. Et c'est OK. Vous voyez ? C'est OK. On est toutes dans le même bateau. On est toutes au même stade. Ce qui va faire la différence, c'est ces trois points. Je n'ai toujours pas dit le quatrième. C'est trois points. que je vous ai dit. Si vous prenez conscience de ça, je vous promets que ça va aller sur le long terme. L'entrepreneuriat n'est pas un sprint, c'est un marathon. Donc parfois, il faut savoir aussi se reposer et il faut savoir aussi s'écouter. Et parfois, il faut arrêter de s'écouter. Voilà. Quatrième point, mesdames. Le plus important, non pas le plus important, j'abuse, mais vous allez comprendre pourquoi je vous dis ça. L'importance de s'entourer dans la constance de motivation. Vous comprenez bien que quand vous avez une baisse de motivation et que vous vous retrouvez seul au monde, personne à qui échanger sur justement peut-être ses échecs ou ses mauvaises nouvelles que vous avez reçues, etc. C'est le pire du pire du pire. Quand vous êtes entrepreneur, il faut être entouré d'entrepreneurs, il faut être entouré de personnes qui savent exactement et qui comprennent ce que vous vivez. Moi, je sais ce que vous vivez, je sais. Je sais ce que c'est d'être entrepreneur, je sais ce que c'est d'être une femme entrepreneur, je sais ce que c'est d'être une maman entrepreneur, je sais même ce que c'est d'être une maman célibataire entrepreneur, je sais ce que c'est... Voilà, j'ai une mère qui a été entrepreneur, ma sœur qui a été entrepreneur. Je sais ce que vous vivez, mais je le sais, c'est tellement pour ça que je me bats pour vous toutes, vraiment, parce que je sais la vraie vie, la réalité, tout ce que c'est derrière. Et du coup, c'est important aussi qu'on puisse en parler entre nous. On se comprend, par contre, on se botte les fesses. On n'est pas là pour dire, mais oui, tu dois arrêter, tu te rends compte là dans quel état ça te met, mais tu sais que tu as une porte de sortie et tout. Non, non, non, non, on est des entrepreneurs et on sait qu'entre entrepreneurs, On va se motiver, on va se trouver des solutions, on va partager nos expériences, on va moins se sentir seule aussi parce qu'encore une fois le discours que j'ai, vous voyez, moi je suis pas, quand je vous dis je suis coach business, mentor, moi je vais jamais vous dire mais regardez ma vie, moi tout est facile pour moi, achetez chez moi parce que comme ça vous aurez cette vie aussi, je crois pas du tout en ça, c'est pas vrai. Moi, je crois en la vraie vie, en fait, la vie de tous les jours, que les mamans entrepreneurs, elles ne peuvent pas travailler tôt le matin, ni la fin d'après-midi, il faut aller chercher les enfants. Il y en a certaines qui vont chercher les enfants à la cantine. On n'a pas les week-ends pour travailler. Il y a un moment donné, il faut prendre conscience de certaines choses. Et bon, ça, c'est un autre sujet. Du coup, vraiment, le quatrième point, c'est entourez-vous d'entrepreneurs, réseaux d'entrepreneurs, programmes d'entrepreneurs. soyez entourés de personnes qui sont porteuses, des personnes qui sont dans l'action, des personnes qui se battent comme vous, qui vous ressemblent, des semblables. Et si jamais F-Collective vous tente, je vous mets le lien pour intégrer la liste d'attente au membership, donc c'est à la communauté, là où il y a toute la méthode, où il y a tous les membres qui se trouvent dans toute la France, où il y a absolument tout ce qu'on fait. chef collective, je vous mets le lien dans la description si c'est pas chez nous c'est pas chez nous, c'est comme ça mais entourez-vous, ne restez pas seul et quand je dis entourez-vous c'est pas faire une réunion tous les 36 du mois à l'autre bout de la ville c'est une présence du quotidien c'est une présence au quotidien, c'est des actions des personnes que vous pouvez activer tout le temps, tous les jours de votre vie parce qu'on est entrepreneur tous les jours de sa vie voilà mesdames En tout cas, j'espère que ceci vous a remotivé ou vous a donné l'accord de peut-être se reposer pour revenir demain plus en forme et sur le ring. Moi, c'est mon état d'esprit d'entrepreneur et de vie. Ce n'est même pas d'entrepreneur, c'est de vie. c'est vous le savez c'est 7 fois terre 8 fois debout Je me relève et je me relève. Par contre, je suis un gros, mais moi, juste pour... Ça, je vais raconter un petit peu ma vie, mais les personnes qui me connaissent dans le privé, elles rigolent de fou quand elles me voient sur Instagram comme ça, en train de me montrer powerful et tout, parce qu'elles, elles savent la Sandra de tous les jours. Elles savent la Sandra de... En fait, dès que ça va pas, je vais chez mes parents, je chouine, je pleure, j'ai la tête, les yeux gonflés jusque-là, parce qu'en fait, je pleure très facilement. Et que voilà, mais c'est pas... pas grave, c'est ok parce qu'en fait, le lendemain, je dors et en m'endormant, je me mets en mode demain, je suis Xena la guerrière. Demain, je suis Beyoncé. Et je me lève et je suis Xena la guerrière, je suis Beyoncé. Et c'est ok. En fait, c'est ok d'avoir cette dualité en soi. C'est ok d'avoir ce côté up and down. C'est ok. Mais il ne faut pas que ça reste longtemps. C'est juste ça. C'est tout pour moi. Je vous embrasse et je vous dis à très vite pour un nouvel épisode. Bye bye !

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Dans cet épisode, je te partage mes 4 piliers concrets pour rester dans la course sur le long terme.
Tu vas apprendre comment rebondir plus vite, garder le cap, et surtout ne pas tout remettre en question à chaque coup de mou.


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    Bonjour à toutes et bienvenue sur F-Collective, le podcast qui donne le power au girlboss. Je suis Sandra Scanella, mentor, coach business et surtout la fondatrice de F-Collective, une power place qui aide et accompagne les femmes entrepreneurs à développer leur activité, la monétiser et à vivre leur vie de kiff pour elles et leur famille. Aujourd'hui, on a un sujet qui me parle particulièrement. J'avoue que je l'ai traité lors du live de ce midi. Si vous n'êtes pas au courant, chaque mardi midi 15, je suis en direct sur Instagram. Je fais des analyses de parcours de vente pour les gens qui sont en direct avec moi. Donc venez, venez participer ou même écouter. Vous allez apprendre plein de choses sur les tunnels de vente, sur vos parcours de vente, sur vos éléments, vos outils de communication, sur vos messages, sur vos offres. C'est vraiment un super moment, un chouette moment, donc c'est tous les mardis à 12h15. Et ce mardi, j'ai voulu traiter un sujet qui est un peu dans la bouche aussi de nos membres, puisque c'est revenu lors de notre dernier meeting entre nos membres, c'est la motivation, c'est la constance de motivation quand surtout les résultats ne sont pas là. Parce qu'effectivement, c'est bien d'être motivé quand tout fonctionne comme on veut. C'est génial et c'est facile, mais ce qui est compliqué, c'est effectivement garder une constance quand justement ça ne fonctionne pas, quand justement les actions mises en place n'ont pas porté leurs fruits, etc. Et du coup, c'est vraiment ce sujet que je voulais traiter avec vous aujourd'hui. Donc, vous voyez, j'ai allumé mon micro directement après le direct parce que je me suis dit que c'était un sujet qui allait peut-être faire du bien à pas mal de gens, de personnes. d'entrepreneur. Et donc vous donner ma vision de la chose. Donc concernant la motivation, la motivation, la question qui se pose c'est est-ce qu'on peut garder une constance sur sa motivation ? Moi ma vision des choses c'est que bien évidemment que absolument pas, bien évidemment que non, ce n'est pas possible de garder une constance sur sa motivation, ce n'est pas possible d'être autant motivé toute la journée de la même façon, ce n'est pas possible d'être motivé toute la semaine de la même façon, tous les mois de la même façon. Moi, je suis vraiment catégorique sur ça et je veux vraiment qu'on arrête de faire croire ou de faire penser aux entrepreneurs qu'il n'y a que les motivés qui vont y arriver, etc. Je n'ai pas du tout ce discours et cette façon de voir les choses et cette vision. Pour moi, c'est normal de ne pas être motivé tout le temps, puisque il y a quand même énormément de facteurs qui font que on peut pas garder une motivation au top tout le temps. Et oui, clairement, il y a le fait des résultats, oui, ça fluctue selon ces résultats, je suis d'accord, donc ça va être... Allez, petit 1, parce qu'effectivement, au niveau de l'activité, il y a des moments où ça va, des moments où ça va moins bien, mais ça, on va en parler tout à l'heure. Mais aussi le fait que, je suis désolée, mais nous sommes des femmes. J'ai l'impression qu'à chaque épisode, je dis ça, mais nous sommes des femmes. Donc nous sommes que cycle, nous. Nous sommes que cycle, des up, des down. C'est notre vie, c'est notre quotidien depuis que nous sommes adolescentes. on vit quand même dans un tourment, dans un tourbillon interne que nous-mêmes pouvons comprendre et c'est là en fait il faut vraiment arrêter de penser qu'il faut trouver plein de solutions pour faire en sorte de combattre ça, etc. Je pense que le combat est peine perdue, en fait. Je pense qu'au contraire, il faut l'accepter. Il faut accepter le fait qu'il y a des hauts, il y a des bas, que des fois on est queen bee et que le lendemain on est le plus gros caca de la Terre. Je le vis, moi aussi, personnellement, tout le temps, tous les jours, toutes les semaines. Tous les mois, c'est complètement normal de vivre tout ça. Donc vraiment, si ça vous parle ce sujet ou si vous sentez que c'est pas normal le fait que vous ayez ces fluctuations comme ça de motivation, franchement mesdames, on se calme avec ça, c'est complètement normal. Maintenant, qu'est-ce qu'on fait de ça ? Alors, pour traiter ça, moi, petit 1, La première chose que je... Je crois que j'ai trois choses à vous... J'ai quatre choses à vous dire sur ce sujet-là. Petit 1, la première chose que je voudrais absolument que vous compreniez et que vous entendiez bien dans vos petites oreilles, c'est cette phrase suivante. Ta valeur n'est pas conditionnée par tes résultats. Je répète, ta valeur n'est pas conditionnée par tes résultats. Ce n'est pas parce que tu n'as pas les résultats que tu voudrais, que tu n'as pas de résultats, que tu dois remettre en question tout le reste. Ça n'a rien à voir avec toi. Il ne faut rien prendre personnellement. Il y a évidemment des facteurs qu'il va falloir identifier, analyser, faire un bilan, comprendre pourquoi ça n'a pas fonctionné, etc. Mais ça n'a rien à voir, ça ne touche pas la femme que tu es, le travail que tu fais, ton expertise, ton professionnalisme, tes compétences, ça ne touche pas ça. Ce n'est pas parce que tu n'as pas de résultat que tu dois remettre en question ces choses-là et ça c'est hyper important qu'on parte sur cette base-là. Donc les résultats, c'est une chose, ta valeur. votre valeur à vous, toutes mesdames c'en est une autre et ça pour moi c'était hyper important de faire un rappel là dessus les résultats c'est normal de pas c'est normal qu'il n'y en ait pas tout le temps si tous les entrepreneurs réussissent 100% de ce qu'ils mettent en place tout le temps, ça sera absolument merveilleux ce monde, ça sera absolument incroyable, mais vous le savez bien que ce n'est pas possible Vous voyez bien que ce n'est pas... De toute façon, si vous suivez tous les entrepreneurs que vous suivez, les petits, les grands, les moyens, etc., tout le monde vous le dit que les échecs, ça fait partie du jeu. Qu'en plus, il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup plus d'échecs que de réussites dans l'entrepreneuriat. Encore une fois, je vais être très sincère avec vous et je vous savais à quel point j'ai un discours qui... qui est franc là-dessus, c'est que les échecs, le manque de résultats, ça fait partie du jeu, c'est là. Et que l'entrepreneuriat, ce n'est pas facile, les résultats ne sont pas au rendez-vous tout le temps, et que c'est normal. Donc, c'est quelque chose qu'il faut vraiment... Je veux vraiment qu'on prenne conscience de ça, puisque être entrepreneur, ça demande une résilience. mais une résilience de malade. Et que si chaque échec, si par exemple chaque lancement, chaque temps fort, vous ne réussissez pas, si les appels découvertes que vous faites, ça ne transforme pas, etc. Si vous baissez les bras à chaque nom qu'on vous donne ou chaque porte qu'on vous claque, je vous promets que ça va être très compliqué pour vous pour la suite, vraiment. L'entrepreneuriat, c'est ça, ce n'est que ça. Et c'est ce, celle. qui vont avoir une force mentale et une résilience sur le long terme qui réussiront. Je suis intimement convaincue de ça et de toute façon ce n'est pas que pour les femmes, c'est pour les hommes aussi. Tout le monde se prend des claques, tout le monde se prend des noms, tout le monde se prend des portes et que ça fait partie du jeu. Et il ne faut pas prendre tout personnellement et que ça vous mette le moral dans les chaussettes à chaque fois, bien que vous avez le droit et de toute façon je vais revenir là-dessus, ne vous inquiétez pas, je vais apporter un peu de nuance juste après. Mais vous me connaissez, d'abord c'est le bottage de fesses. La résilience, elle est vraiment à travailler. L'entrepreneuriat, c'est ça, c'est ça. Moi ça fait 7 ans que je suis entrepreneur et ça fait 7 ans que je me prends des claques sur claques sur claques sur claques sur claques. Je sais que d'un point de vue extérieur, on a l'impression que c'est la réussite, que c'est la puissance, que tout fonctionne, que tout est facile, etc. Il faut vraiment mettre ses petites lunettes de la réalité. Ce n'est pas la réalité. Vous n'êtes pas dans les business de chacun, de chacune, et vous ne savez pas ce qui se passe réellement. L'entrepreneuriat, c'est de gérer des cacas tout le temps. C'est de trouver des solutions à tout, tout le temps. Ce n'est que ça. Et si vous n'êtes pas fait pour ça, il faut vraiment vous poser des questions parce que ça va durer. Ça va durer. Mais pour apporter un petit peu de positif, je pense que si vous m'écoutez, vous êtes déjà entrepreneur depuis quelques temps. Moi, ça fait 7 ans. J'ai l'impression qu'on a un truc un petit peu un peu maso parce qu'en fait, je pense sincèrement qu'on aime ça. Je pense sincèrement que les entrepreneurs sont des êtres qui sont faits pour trouver des solutions, pour se creuser les ménages, pour que ce soit pas simple. Pour, je sais pas moi, mériter. mériter la réussite, je sais pas. Voilà, je pense qu'il y a... Des moments où il y a des actions qui sont assez fluides et que ça fonctionne et il y en a d'autres où il va falloir se creuser les ménages, trouver des solutions, etc. Et ça fait partie du jeu. Donc il y a des hauts, il y a des bas, il y a des bas, il y a des hauts. Ça fluctue, c'est normal. L'important, c'est de toujours, toujours, toujours trouver des solutions, de toujours, toujours, toujours rester en action. Maintenant, je vais apporter ma petite casquette de nuance parce que Sandra, on sait qu'elle peut être un petit peu bourrine quand elle parle de ses sujets mindset. Évidemment que moi, je ne prends pas les échecs ou quand il se passe un truc que je n'ai pas comme j'ai prévu, etc. Avec le sourire et dire « Waouh, c'est génial ! La vie m'a encore apporté tellement d'apprentissage, je vais pouvoir me sortir forte de tout ça » . En vrai, je le pense au fond du fond, mais sur le coup, évidemment que comme nous toutes, vous toutes... Et quand il y a quelque chose qui ne se passe pas bien ou qu'il n'y a pas le résultat sur une opération commerciale, bien sûr que ça me saoule. Bien sûr que je trouve que ce n'est pas juste par rapport au temps passé, à l'investissement, etc. Moi aussi, j'ai tous les problèmes du monde sur mes épaules à ce moment-là. Et la nuance que je veux apporter, c'est que vous avez le droit d'être down. Ce moment de bas, ce moment de démotivation, de remise en question, vous avez le droit de l'avoir. Là où il faut faire super attention, c'est qu'il ne dure pas longtemps. Du coup, j'arrive à mon autre point. Je ne sais pas si je suis au point 2 ou au point 3, mais je reviens sur ça et je répète tout le temps la même chose. C'est de vivre son entrepreneuriat en pleine conscience. L'importance d'être très franc avec soi-même dans sa tête. C'est-à-dire, je donne un exemple. Là, j'ai fini une opération commerciale, j'ai fait zéro vente ou j'ai fait trois ventes alors que je voulais en faire dix, je sais pas. Échec. Là, ça me saoule. Là, je suis démotivée en fait. Là, je suis démotivée, je remets tout en question. Est-ce que je suis à ma place ? Est-ce que je vais vraiment y arriver ? Toutes les pensées négatives, elles arrivent à moi d'un coup. Je me sens plus légitime, je doute de moi, je doute de ma capacité à réussir. Tout ça, ça vient à moi et vous n'êtes pas les seuls, ça vient à nous toutes, c'est normal. J'accueille, c'est de ne pas contrer ce truc, c'est j'accueille en fait. Moi, j'accueille, je sais pourquoi j'ai ces pensées, c'est parce qu'en fait, je suis... Là, on fait suite d'un échec ou de... On va appeler ça un échec si c'est ok pour vous. Je sais qu'il y a des gens qui n'aiment pas trop ce mot, mais moi, il me convient bien. Je trouve que c'est ok de vivre des échecs, c'est bien les échecs. c'est in fine enfin c'est Après, on comprend et on avance et c'est ce qui nous permet d'avancer, mais sur le coup, ça casse les roubignoles. Mais tout ça pour vous dire que vous avez le droit et vous avez le droit de vous dire, là, en fait, cet après-midi, je ferme l'ordi. cet après-midi, je prends mon après-midi je vais aller marcher, je vais faire un truc pour moi, je vais faire les boutiques je vais aller, je sais pas je me fais une séance de yoga je sais pas, qu'est-ce qui vous fait du bien Vous avez même le droit de larver sur votre canapé au fond de la couverture, à boire du thé, à lire votre liseuse. Tout est ok, tout est entendable. Mais tout est entendable pendant un très court temps. Par exemple, moi, quand ça m'arrive, et ça m'arrive très souvent, c'est ok, je m'octroie ce moment, mais je sais que dès le lendemain matin, je suis de retour sur le ring. Show must go on. Le lendemain matin, je suis sur le ring. Je vous promets, c'est ma philosophie de vie et c'est ce qui m'a permis d'avancer après chaque épreuve de la vie, qu'elle soit personnelle ou qu'elle soit professionnelle. Si vous avez suivi un petit peu mon histoire, je sais que vous devez savoir de quoi je parle, mais en fait, on a le droit de pleurer, on a le droit de tout remettre en question, on a le droit de rester une grosse larve dans son lit, au fond du lit, etc. donnez-vous ce droit c'est ok par contre Il ne faut pas que ça dure. Et c'est là où je réévoque l'entrepreneuriat en pleine conscience. C'est qu'il y a quand même un équilibre à trouver parce qu'il y a celles qui ne vont pas s'octroyer ces moments-là et qui vont du coup forcer, forcer, forcer. c'est-à-dire je vais quand même rester derrière mon ordinateur parce que je culpabilise si je ne travaille pas, parce qu'en plus j'ai tellement peu de temps de travail dans ma journée. Que si en plus je perds cette demi-journée-là, c'est n'importe quoi. Donc elles vont rester, elles vont forcer derrière cet ordinateur. Mais en fait, c'est bloqué. Vous voyez bien, il y a des moments où on n'est pas productif du tout. On bubule derrière l'ordinateur et juste le temps, on laisse passer le temps. Et ça, c'est horrible. C'est horrible parce que ça ne sert à rien en fait. Ça ne sert à rien. Et vous, ça vous met dans une situation de... de non-action, bon bref, ça sert à rien. Donc ça, c'est les filles qui ne s'octroient pas ces moments, et après, il y a celles qui vont trop s'octoyer ces moments, c'est-à-dire de « non mais là, j'avais besoin de me reposer » , « non mais là, j'ai besoin de… » , voilà, mais sans que ça dure trop longtemps. Et je disais dans le live ce midi que je ne sais pas pourquoi, moi j'ai un don, j'arrive à… à chaque fois que je parle à une entrepreneur et que ces sujets-là sont évoqués, ou d'organisation, ou est-ce que là, est-ce que t'as fait ça, ça, ça ? Bah non, j'ai pas pu parce que tata, et là, tu pars dans des trucs d'excuses, et excuse sur excuse sur excuse, que son propre cerveau lui perçoit. C'est ça qui est dur, c'est que quand c'est pour soi, parfois, on n'arrive pas à trouver cet équilibre. Et c'est là où l'entrepreneur en pleine conscience, c'est est-ce que ce que je me dis là, c'est la réalité, c'est vrai, ou est-ce que c'est des peurs qui parlent ? Quand on est trop dans l'inaction, soit effectivement la pleine conscience en disant là, OK, il y a ça, ça, ça. Et aujourd'hui, je me laisse le droit d'eux et demain, je reviens. Et sinon, il y a les peurs, les doutes. Et en fait, ça s'installe. Et du coup, là, toutes les raisons du monde font qu'on ne peut pas retourner au travail parce qu'en fait, c'est la peur. J'ai peur de... En fait, si je retente un échec, j'ai peur de revivre et de me remettre dans une situation pareille. de me remettre dans ces pensées que je vis encore un échec, je suis pas capable, j'ai pas de résultat, etc. Donc autant de pas y aller, en fait. Donc je me trouve toutes les excuses du monde. J'ai peur de vous donner des exemples parce que je sais qu'il va y avoir la team premier degré qui vont me dire oui, mais ça, c'est vrai, Sandra, ça, c'est vrai, etc. Mais du coup, j'en donnerai pas parce que je pense que chacune va comprendre. En fait, je trouve que ne pas en donner, ça va laisser à chacune un peu des petites situations, peut-être revenir à elle. Et... Du coup, vivre son entrepreneuriat en pleine conscience, c'est ça, c'est que parfois, et moi aussi, ça m'arrive souvent de me dire, là, franchement, j'ai fait du caca. Je m'étais dit, OK, une demi-journée, je me la prends parce que telle raison, etc. Demain, je suis sur le rig. Si le lendemain d'avant, je ne suis pas sur le rig, c'est clairement en pleine conscience, je me dis que là, j'ai procrastiné. Là, j'ai trouvé cette excuse parce qu'il fallait emmener je ne sais pas qui, je ne sais pas où. J'ai procrastiné parce qu'en fait, j'ai pas envie d'y retourner. J'ai pas envie d'y retourner parce qu'en fait, c'était hyper inconfortable la dernière fois où j'y étais. Bah oui, parce que la dernière fois où j'y étais, j'ai eu une mauvaise nouvelle ou il n'y avait pas les résultats ou ce truc est fini et machin. Ou alors, un prospect m'a dit non. Ou alors, un call sur lequel je donnais beaucoup d'espoir s'il me mal passait, etc. Et j'ai pas envie d'y retourner. Et c'est normal. Mais vous comprenez bien que c'est votre cerveau, c'est vos peurs qui vous protègent. Bien sûr, en fait. Qui va retourner ? à part nous les entrepreneurs maso mais qui retournerait de façon hyper consciente et joviale vers l'endroit qui vous a donné du fil à retordre quelques heures, quelques jours avant personne, c'est normal, c'est de la protection mais l'entrepreneur en pleine conscience c'est celle qui s'est identifiée cette protection et se dire bah en fait j'y retourne j'y retourne parce qu'en fait il faut y retourner parce que si je n'y retourne pas voilà les conséquences que ça peut avoir et Chacune, on est dans ce projet entrepreneurial pour une bonne raison. Moi, je sais que le retour au salariat, c'est un driver pour moi. Là, j'ai la chance de travailler pour moi, pour mes projets, mes envies. Vous voyez, je ferme les yeux quand je vous parle de ça pour essayer de me le réincréer, de me le rappeler, de me le redire de nouveau. C'est important de se rappeler de ça. J'ai la chance, c'est incroyable, je me suis donné cette chance, je suis allée la chercher cette chance, de travailler là tous les jours pour moi, pour mon projet à moi, comme moi je l'entends, il n'y a plus de cadre, il n'y a plus d'hierarchie, il n'y a plus de management, c'est moi, moi, moi. Et malheureusement, il faut se battre pour garder ça. Et oui, c'est compliqué, je ne vais pas vous mentir. Alors, après 7 ans d'entrepreneuriat, franchement, c'est de moins en moins... Enfin non, ça dépend, parce qu'après, c'est comme quand on dit pour les mamans, petits, petits problèmes, grands, grands problèmes. Je pense que c'est la même chose avec l'entreprise, parce que du moment où tu passes des paliers, après, tu as des gros problèmes, c'est-à-dire des investissements d'argent qui partent, etc., etc. Mais en vrai, voilà, bon bref. Je pense que vous avez compris le... L'idée. Donc, pour récapituler, j'ai déjà donné trois points. C'est normal de ne pas être motivé tout le temps. Et on accepte ça. Acceptez-le, c'est normal, c'est ok. Les résultats, vos résultats ne représentent pas votre valeur. Et ça, c'est hyper important. L'entrepreneuriat en pleine conscience. Vous avez le droit d'être démotivé. Donnez-vous ce droit, c'est ok. Vous avez le droit. Si vous avez fait un flop, bien sûr que vous n'êtes pas motivé. On ne va pas vous demander en plus d'aller faire la danse de la victoire. Bien sûr que c'est démotivant. À la longue, c'est démotivant d'avoir des petits échecs sur petits échecs. Mais ce qui est important, c'est de voir le positif. Et c'est pour ça que je ne l'ai pas parlé, tiens, de ça aussi. Un bon entrepreneur, un entrepreneur qui tient sur la longueur, c'est une personne positive. Et c'est pour ça que lors de mes coachings mensuels avec mes membres, tous les mois, On commence le coaching par voir le verre à moitié plein. D'abord, on voit ce qui s'est bien passé. Et il y a toujours du positif dans notre vie. Vous pouvez pas me faire croire qu'il n'y a rien dans votre quotidien, il n'y a rien dans votre vie qui vous donne de la joie et du sourire. Il y a forcément du positif. Et c'est sur ça qu'on met le point. On met le doigt sur ça avant tout. Parce que sinon, effectivement, que si on voit que le... Ce qui ne marche pas, on brouille du noir. Non, d'abord, nous, on commence les coachings par... Ok, c'est quoi le positif ? Une chose positive à retenir de votre moi niveau pro, une chose positive à retenir de votre moi niveau perso. C'est la première question que je pose à mes clientes chaque mois. On commence par ça. Ensuite, on va soulever le tapis. Donc, voilà. L'entrepreneuriat en pleine conscience, c'est vraiment ça, de réussir. Je sais que c'est dur quand c'est pour soi. Ça vient avec le temps. Mais essayez de savoir, écrivez si ça vous aide dans certaines situations, si vous avez vraiment besoin de faire une pause. Parce que moi, quand j'accompagne des entrepreneurs en coaching, il y a celles qui ne vont pas lâcher. Et là, je vais dire, mais là, tu as besoin de couper, là. Tu as besoin d'un stop. Donc, je vous dis, il y a celles qui sont dans les deux extrémités. Et en fait, ce qu'il faut réussir à trouver, c'est cet équilibre. Il y a des jours où ça va être dans un sens où là vous avez le temps de vous réveiller. le temps, vous avez besoin de couper et le lendemain, vous avez besoin de vous remettre à fond dans le travail, etc. et de ne pas vous trouver d'excuses. C'est une petite balance comme ça. Là, je fais un petit mouvement avec mes mains, mais c'est vraiment ça et soyez, soyez en plein... En fait, soyez vrais avec vous-même à... Quand j'accompagne, du coup, il y a celle où je dis, là, fais une pause, et il y a celle aussi qui me parle et que je dis, non mais là, t'es consciente quand même que c'est une petite excuse parce qu'en vrai... Si tu le voulais vraiment ou si c'était vraiment un sujet, etc., bah, t'aurais fait ça, ça, ça. Donc, de toute façon, vos actions parlent. Vos actions parlent ou vos non-actions parlent. Il faut les faire... Il faut mettre des mots dessus. C'est hyper important. Prenez une feuille, un papier. Ouais, une feuille, un papier. Et puis un stylo aussi, ça peut être utile. Mais en tout cas... Et c'est de comprendre qu'est-ce qui se passe là, pourquoi vous bloquez, pourquoi vous n'y retournez plus, pourquoi vous ne faites pas cet appel, pourquoi vous ne faites pas cette action qui, vous savez, va être déclencheur de potentiel, de prochaine étape. Vous voyez pourquoi l'inaction, en tout cas, qu'est-ce qui est caché derrière ? C'est ça la pleine conscience, c'est de comprendre vos peurs et de vous dire là j'ai peur et c'est ok d'avoir peur, moi j'ai peur tout le temps. J'ai peur, là en ce moment, c'est que j'ai peur de prendre, j'estime avoir pris, je vous l'ai dit sur le dernier épisode de podcast, j'estime avoir pris pas forcément que des bonnes décisions ces derniers mois et du coup aujourd'hui je doute sur mes capacités à prendre de bonnes décisions. Donc maintenant quand je prends une décision, j'essaie de faire un mélange entre j'écoute mon intuition parce que je pense que je n'ai pas assez écouté mon intuition sur ces prises de décision. Et d'un autre côté, j'essaie vraiment de me poser le plus, le moins, le machin. Voilà, je me fais moins confiance. Et c'est OK, j'accepte. J'ai pris conscience de ça, je l'accepte. C'est là pour l'instant. Et ça va partir quand, effectivement, j'aurai des victoires à célébrer, je pense. Et c'est OK. Vous voyez ? C'est OK. On est toutes dans le même bateau. On est toutes au même stade. Ce qui va faire la différence, c'est ces trois points. Je n'ai toujours pas dit le quatrième. C'est trois points. que je vous ai dit. Si vous prenez conscience de ça, je vous promets que ça va aller sur le long terme. L'entrepreneuriat n'est pas un sprint, c'est un marathon. Donc parfois, il faut savoir aussi se reposer et il faut savoir aussi s'écouter. Et parfois, il faut arrêter de s'écouter. Voilà. Quatrième point, mesdames. Le plus important, non pas le plus important, j'abuse, mais vous allez comprendre pourquoi je vous dis ça. L'importance de s'entourer dans la constance de motivation. Vous comprenez bien que quand vous avez une baisse de motivation et que vous vous retrouvez seul au monde, personne à qui échanger sur justement peut-être ses échecs ou ses mauvaises nouvelles que vous avez reçues, etc. C'est le pire du pire du pire. Quand vous êtes entrepreneur, il faut être entouré d'entrepreneurs, il faut être entouré de personnes qui savent exactement et qui comprennent ce que vous vivez. Moi, je sais ce que vous vivez, je sais. Je sais ce que c'est d'être entrepreneur, je sais ce que c'est d'être une femme entrepreneur, je sais ce que c'est d'être une maman entrepreneur, je sais même ce que c'est d'être une maman célibataire entrepreneur, je sais ce que c'est... Voilà, j'ai une mère qui a été entrepreneur, ma sœur qui a été entrepreneur. Je sais ce que vous vivez, mais je le sais, c'est tellement pour ça que je me bats pour vous toutes, vraiment, parce que je sais la vraie vie, la réalité, tout ce que c'est derrière. Et du coup, c'est important aussi qu'on puisse en parler entre nous. On se comprend, par contre, on se botte les fesses. On n'est pas là pour dire, mais oui, tu dois arrêter, tu te rends compte là dans quel état ça te met, mais tu sais que tu as une porte de sortie et tout. Non, non, non, non, on est des entrepreneurs et on sait qu'entre entrepreneurs, On va se motiver, on va se trouver des solutions, on va partager nos expériences, on va moins se sentir seule aussi parce qu'encore une fois le discours que j'ai, vous voyez, moi je suis pas, quand je vous dis je suis coach business, mentor, moi je vais jamais vous dire mais regardez ma vie, moi tout est facile pour moi, achetez chez moi parce que comme ça vous aurez cette vie aussi, je crois pas du tout en ça, c'est pas vrai. Moi, je crois en la vraie vie, en fait, la vie de tous les jours, que les mamans entrepreneurs, elles ne peuvent pas travailler tôt le matin, ni la fin d'après-midi, il faut aller chercher les enfants. Il y en a certaines qui vont chercher les enfants à la cantine. On n'a pas les week-ends pour travailler. Il y a un moment donné, il faut prendre conscience de certaines choses. Et bon, ça, c'est un autre sujet. Du coup, vraiment, le quatrième point, c'est entourez-vous d'entrepreneurs, réseaux d'entrepreneurs, programmes d'entrepreneurs. soyez entourés de personnes qui sont porteuses, des personnes qui sont dans l'action, des personnes qui se battent comme vous, qui vous ressemblent, des semblables. Et si jamais F-Collective vous tente, je vous mets le lien pour intégrer la liste d'attente au membership, donc c'est à la communauté, là où il y a toute la méthode, où il y a tous les membres qui se trouvent dans toute la France, où il y a absolument tout ce qu'on fait. chef collective, je vous mets le lien dans la description si c'est pas chez nous c'est pas chez nous, c'est comme ça mais entourez-vous, ne restez pas seul et quand je dis entourez-vous c'est pas faire une réunion tous les 36 du mois à l'autre bout de la ville c'est une présence du quotidien c'est une présence au quotidien, c'est des actions des personnes que vous pouvez activer tout le temps, tous les jours de votre vie parce qu'on est entrepreneur tous les jours de sa vie voilà mesdames En tout cas, j'espère que ceci vous a remotivé ou vous a donné l'accord de peut-être se reposer pour revenir demain plus en forme et sur le ring. Moi, c'est mon état d'esprit d'entrepreneur et de vie. Ce n'est même pas d'entrepreneur, c'est de vie. c'est vous le savez c'est 7 fois terre 8 fois debout Je me relève et je me relève. Par contre, je suis un gros, mais moi, juste pour... Ça, je vais raconter un petit peu ma vie, mais les personnes qui me connaissent dans le privé, elles rigolent de fou quand elles me voient sur Instagram comme ça, en train de me montrer powerful et tout, parce qu'elles, elles savent la Sandra de tous les jours. Elles savent la Sandra de... En fait, dès que ça va pas, je vais chez mes parents, je chouine, je pleure, j'ai la tête, les yeux gonflés jusque-là, parce qu'en fait, je pleure très facilement. Et que voilà, mais c'est pas... pas grave, c'est ok parce qu'en fait, le lendemain, je dors et en m'endormant, je me mets en mode demain, je suis Xena la guerrière. Demain, je suis Beyoncé. Et je me lève et je suis Xena la guerrière, je suis Beyoncé. Et c'est ok. En fait, c'est ok d'avoir cette dualité en soi. C'est ok d'avoir ce côté up and down. C'est ok. Mais il ne faut pas que ça reste longtemps. C'est juste ça. C'est tout pour moi. Je vous embrasse et je vous dis à très vite pour un nouvel épisode. Bye bye !

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Dans cet épisode, je te partage mes 4 piliers concrets pour rester dans la course sur le long terme.
Tu vas apprendre comment rebondir plus vite, garder le cap, et surtout ne pas tout remettre en question à chaque coup de mou.


Parce que la clé, ce n’est pas d’être motivée tout le temps.
C’est de vivre ton aventure entrepreneuriale honnêtement et en pleine conscience. 💪

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    Bonjour à toutes et bienvenue sur F-Collective, le podcast qui donne le power au girlboss. Je suis Sandra Scanella, mentor, coach business et surtout la fondatrice de F-Collective, une power place qui aide et accompagne les femmes entrepreneurs à développer leur activité, la monétiser et à vivre leur vie de kiff pour elles et leur famille. Aujourd'hui, on a un sujet qui me parle particulièrement. J'avoue que je l'ai traité lors du live de ce midi. Si vous n'êtes pas au courant, chaque mardi midi 15, je suis en direct sur Instagram. Je fais des analyses de parcours de vente pour les gens qui sont en direct avec moi. Donc venez, venez participer ou même écouter. Vous allez apprendre plein de choses sur les tunnels de vente, sur vos parcours de vente, sur vos éléments, vos outils de communication, sur vos messages, sur vos offres. C'est vraiment un super moment, un chouette moment, donc c'est tous les mardis à 12h15. Et ce mardi, j'ai voulu traiter un sujet qui est un peu dans la bouche aussi de nos membres, puisque c'est revenu lors de notre dernier meeting entre nos membres, c'est la motivation, c'est la constance de motivation quand surtout les résultats ne sont pas là. Parce qu'effectivement, c'est bien d'être motivé quand tout fonctionne comme on veut. C'est génial et c'est facile, mais ce qui est compliqué, c'est effectivement garder une constance quand justement ça ne fonctionne pas, quand justement les actions mises en place n'ont pas porté leurs fruits, etc. Et du coup, c'est vraiment ce sujet que je voulais traiter avec vous aujourd'hui. Donc, vous voyez, j'ai allumé mon micro directement après le direct parce que je me suis dit que c'était un sujet qui allait peut-être faire du bien à pas mal de gens, de personnes. d'entrepreneur. Et donc vous donner ma vision de la chose. Donc concernant la motivation, la motivation, la question qui se pose c'est est-ce qu'on peut garder une constance sur sa motivation ? Moi ma vision des choses c'est que bien évidemment que absolument pas, bien évidemment que non, ce n'est pas possible de garder une constance sur sa motivation, ce n'est pas possible d'être autant motivé toute la journée de la même façon, ce n'est pas possible d'être motivé toute la semaine de la même façon, tous les mois de la même façon. Moi, je suis vraiment catégorique sur ça et je veux vraiment qu'on arrête de faire croire ou de faire penser aux entrepreneurs qu'il n'y a que les motivés qui vont y arriver, etc. Je n'ai pas du tout ce discours et cette façon de voir les choses et cette vision. Pour moi, c'est normal de ne pas être motivé tout le temps, puisque il y a quand même énormément de facteurs qui font que on peut pas garder une motivation au top tout le temps. Et oui, clairement, il y a le fait des résultats, oui, ça fluctue selon ces résultats, je suis d'accord, donc ça va être... Allez, petit 1, parce qu'effectivement, au niveau de l'activité, il y a des moments où ça va, des moments où ça va moins bien, mais ça, on va en parler tout à l'heure. Mais aussi le fait que, je suis désolée, mais nous sommes des femmes. J'ai l'impression qu'à chaque épisode, je dis ça, mais nous sommes des femmes. Donc nous sommes que cycle, nous. Nous sommes que cycle, des up, des down. C'est notre vie, c'est notre quotidien depuis que nous sommes adolescentes. on vit quand même dans un tourment, dans un tourbillon interne que nous-mêmes pouvons comprendre et c'est là en fait il faut vraiment arrêter de penser qu'il faut trouver plein de solutions pour faire en sorte de combattre ça, etc. Je pense que le combat est peine perdue, en fait. Je pense qu'au contraire, il faut l'accepter. Il faut accepter le fait qu'il y a des hauts, il y a des bas, que des fois on est queen bee et que le lendemain on est le plus gros caca de la Terre. Je le vis, moi aussi, personnellement, tout le temps, tous les jours, toutes les semaines. Tous les mois, c'est complètement normal de vivre tout ça. Donc vraiment, si ça vous parle ce sujet ou si vous sentez que c'est pas normal le fait que vous ayez ces fluctuations comme ça de motivation, franchement mesdames, on se calme avec ça, c'est complètement normal. Maintenant, qu'est-ce qu'on fait de ça ? Alors, pour traiter ça, moi, petit 1, La première chose que je... Je crois que j'ai trois choses à vous... J'ai quatre choses à vous dire sur ce sujet-là. Petit 1, la première chose que je voudrais absolument que vous compreniez et que vous entendiez bien dans vos petites oreilles, c'est cette phrase suivante. Ta valeur n'est pas conditionnée par tes résultats. Je répète, ta valeur n'est pas conditionnée par tes résultats. Ce n'est pas parce que tu n'as pas les résultats que tu voudrais, que tu n'as pas de résultats, que tu dois remettre en question tout le reste. Ça n'a rien à voir avec toi. Il ne faut rien prendre personnellement. Il y a évidemment des facteurs qu'il va falloir identifier, analyser, faire un bilan, comprendre pourquoi ça n'a pas fonctionné, etc. Mais ça n'a rien à voir, ça ne touche pas la femme que tu es, le travail que tu fais, ton expertise, ton professionnalisme, tes compétences, ça ne touche pas ça. Ce n'est pas parce que tu n'as pas de résultat que tu dois remettre en question ces choses-là et ça c'est hyper important qu'on parte sur cette base-là. Donc les résultats, c'est une chose, ta valeur. votre valeur à vous, toutes mesdames c'en est une autre et ça pour moi c'était hyper important de faire un rappel là dessus les résultats c'est normal de pas c'est normal qu'il n'y en ait pas tout le temps si tous les entrepreneurs réussissent 100% de ce qu'ils mettent en place tout le temps, ça sera absolument merveilleux ce monde, ça sera absolument incroyable, mais vous le savez bien que ce n'est pas possible Vous voyez bien que ce n'est pas... De toute façon, si vous suivez tous les entrepreneurs que vous suivez, les petits, les grands, les moyens, etc., tout le monde vous le dit que les échecs, ça fait partie du jeu. Qu'en plus, il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup plus d'échecs que de réussites dans l'entrepreneuriat. Encore une fois, je vais être très sincère avec vous et je vous savais à quel point j'ai un discours qui... qui est franc là-dessus, c'est que les échecs, le manque de résultats, ça fait partie du jeu, c'est là. Et que l'entrepreneuriat, ce n'est pas facile, les résultats ne sont pas au rendez-vous tout le temps, et que c'est normal. Donc, c'est quelque chose qu'il faut vraiment... Je veux vraiment qu'on prenne conscience de ça, puisque être entrepreneur, ça demande une résilience. mais une résilience de malade. Et que si chaque échec, si par exemple chaque lancement, chaque temps fort, vous ne réussissez pas, si les appels découvertes que vous faites, ça ne transforme pas, etc. Si vous baissez les bras à chaque nom qu'on vous donne ou chaque porte qu'on vous claque, je vous promets que ça va être très compliqué pour vous pour la suite, vraiment. L'entrepreneuriat, c'est ça, ce n'est que ça. Et c'est ce, celle. qui vont avoir une force mentale et une résilience sur le long terme qui réussiront. Je suis intimement convaincue de ça et de toute façon ce n'est pas que pour les femmes, c'est pour les hommes aussi. Tout le monde se prend des claques, tout le monde se prend des noms, tout le monde se prend des portes et que ça fait partie du jeu. Et il ne faut pas prendre tout personnellement et que ça vous mette le moral dans les chaussettes à chaque fois, bien que vous avez le droit et de toute façon je vais revenir là-dessus, ne vous inquiétez pas, je vais apporter un peu de nuance juste après. Mais vous me connaissez, d'abord c'est le bottage de fesses. La résilience, elle est vraiment à travailler. L'entrepreneuriat, c'est ça, c'est ça. Moi ça fait 7 ans que je suis entrepreneur et ça fait 7 ans que je me prends des claques sur claques sur claques sur claques sur claques. Je sais que d'un point de vue extérieur, on a l'impression que c'est la réussite, que c'est la puissance, que tout fonctionne, que tout est facile, etc. Il faut vraiment mettre ses petites lunettes de la réalité. Ce n'est pas la réalité. Vous n'êtes pas dans les business de chacun, de chacune, et vous ne savez pas ce qui se passe réellement. L'entrepreneuriat, c'est de gérer des cacas tout le temps. C'est de trouver des solutions à tout, tout le temps. Ce n'est que ça. Et si vous n'êtes pas fait pour ça, il faut vraiment vous poser des questions parce que ça va durer. Ça va durer. Mais pour apporter un petit peu de positif, je pense que si vous m'écoutez, vous êtes déjà entrepreneur depuis quelques temps. Moi, ça fait 7 ans. J'ai l'impression qu'on a un truc un petit peu un peu maso parce qu'en fait, je pense sincèrement qu'on aime ça. Je pense sincèrement que les entrepreneurs sont des êtres qui sont faits pour trouver des solutions, pour se creuser les ménages, pour que ce soit pas simple. Pour, je sais pas moi, mériter. mériter la réussite, je sais pas. Voilà, je pense qu'il y a... Des moments où il y a des actions qui sont assez fluides et que ça fonctionne et il y en a d'autres où il va falloir se creuser les ménages, trouver des solutions, etc. Et ça fait partie du jeu. Donc il y a des hauts, il y a des bas, il y a des bas, il y a des hauts. Ça fluctue, c'est normal. L'important, c'est de toujours, toujours, toujours trouver des solutions, de toujours, toujours, toujours rester en action. Maintenant, je vais apporter ma petite casquette de nuance parce que Sandra, on sait qu'elle peut être un petit peu bourrine quand elle parle de ses sujets mindset. Évidemment que moi, je ne prends pas les échecs ou quand il se passe un truc que je n'ai pas comme j'ai prévu, etc. Avec le sourire et dire « Waouh, c'est génial ! La vie m'a encore apporté tellement d'apprentissage, je vais pouvoir me sortir forte de tout ça » . En vrai, je le pense au fond du fond, mais sur le coup, évidemment que comme nous toutes, vous toutes... Et quand il y a quelque chose qui ne se passe pas bien ou qu'il n'y a pas le résultat sur une opération commerciale, bien sûr que ça me saoule. Bien sûr que je trouve que ce n'est pas juste par rapport au temps passé, à l'investissement, etc. Moi aussi, j'ai tous les problèmes du monde sur mes épaules à ce moment-là. Et la nuance que je veux apporter, c'est que vous avez le droit d'être down. Ce moment de bas, ce moment de démotivation, de remise en question, vous avez le droit de l'avoir. Là où il faut faire super attention, c'est qu'il ne dure pas longtemps. Du coup, j'arrive à mon autre point. Je ne sais pas si je suis au point 2 ou au point 3, mais je reviens sur ça et je répète tout le temps la même chose. C'est de vivre son entrepreneuriat en pleine conscience. L'importance d'être très franc avec soi-même dans sa tête. C'est-à-dire, je donne un exemple. Là, j'ai fini une opération commerciale, j'ai fait zéro vente ou j'ai fait trois ventes alors que je voulais en faire dix, je sais pas. Échec. Là, ça me saoule. Là, je suis démotivée en fait. Là, je suis démotivée, je remets tout en question. Est-ce que je suis à ma place ? Est-ce que je vais vraiment y arriver ? Toutes les pensées négatives, elles arrivent à moi d'un coup. Je me sens plus légitime, je doute de moi, je doute de ma capacité à réussir. Tout ça, ça vient à moi et vous n'êtes pas les seuls, ça vient à nous toutes, c'est normal. J'accueille, c'est de ne pas contrer ce truc, c'est j'accueille en fait. Moi, j'accueille, je sais pourquoi j'ai ces pensées, c'est parce qu'en fait, je suis... Là, on fait suite d'un échec ou de... On va appeler ça un échec si c'est ok pour vous. Je sais qu'il y a des gens qui n'aiment pas trop ce mot, mais moi, il me convient bien. Je trouve que c'est ok de vivre des échecs, c'est bien les échecs. c'est in fine enfin c'est Après, on comprend et on avance et c'est ce qui nous permet d'avancer, mais sur le coup, ça casse les roubignoles. Mais tout ça pour vous dire que vous avez le droit et vous avez le droit de vous dire, là, en fait, cet après-midi, je ferme l'ordi. cet après-midi, je prends mon après-midi je vais aller marcher, je vais faire un truc pour moi, je vais faire les boutiques je vais aller, je sais pas je me fais une séance de yoga je sais pas, qu'est-ce qui vous fait du bien Vous avez même le droit de larver sur votre canapé au fond de la couverture, à boire du thé, à lire votre liseuse. Tout est ok, tout est entendable. Mais tout est entendable pendant un très court temps. Par exemple, moi, quand ça m'arrive, et ça m'arrive très souvent, c'est ok, je m'octroie ce moment, mais je sais que dès le lendemain matin, je suis de retour sur le ring. Show must go on. Le lendemain matin, je suis sur le ring. Je vous promets, c'est ma philosophie de vie et c'est ce qui m'a permis d'avancer après chaque épreuve de la vie, qu'elle soit personnelle ou qu'elle soit professionnelle. Si vous avez suivi un petit peu mon histoire, je sais que vous devez savoir de quoi je parle, mais en fait, on a le droit de pleurer, on a le droit de tout remettre en question, on a le droit de rester une grosse larve dans son lit, au fond du lit, etc. donnez-vous ce droit c'est ok par contre Il ne faut pas que ça dure. Et c'est là où je réévoque l'entrepreneuriat en pleine conscience. C'est qu'il y a quand même un équilibre à trouver parce qu'il y a celles qui ne vont pas s'octroyer ces moments-là et qui vont du coup forcer, forcer, forcer. c'est-à-dire je vais quand même rester derrière mon ordinateur parce que je culpabilise si je ne travaille pas, parce qu'en plus j'ai tellement peu de temps de travail dans ma journée. Que si en plus je perds cette demi-journée-là, c'est n'importe quoi. Donc elles vont rester, elles vont forcer derrière cet ordinateur. Mais en fait, c'est bloqué. Vous voyez bien, il y a des moments où on n'est pas productif du tout. On bubule derrière l'ordinateur et juste le temps, on laisse passer le temps. Et ça, c'est horrible. C'est horrible parce que ça ne sert à rien en fait. Ça ne sert à rien. Et vous, ça vous met dans une situation de... de non-action, bon bref, ça sert à rien. Donc ça, c'est les filles qui ne s'octroient pas ces moments, et après, il y a celles qui vont trop s'octoyer ces moments, c'est-à-dire de « non mais là, j'avais besoin de me reposer » , « non mais là, j'ai besoin de… » , voilà, mais sans que ça dure trop longtemps. Et je disais dans le live ce midi que je ne sais pas pourquoi, moi j'ai un don, j'arrive à… à chaque fois que je parle à une entrepreneur et que ces sujets-là sont évoqués, ou d'organisation, ou est-ce que là, est-ce que t'as fait ça, ça, ça ? Bah non, j'ai pas pu parce que tata, et là, tu pars dans des trucs d'excuses, et excuse sur excuse sur excuse, que son propre cerveau lui perçoit. C'est ça qui est dur, c'est que quand c'est pour soi, parfois, on n'arrive pas à trouver cet équilibre. Et c'est là où l'entrepreneur en pleine conscience, c'est est-ce que ce que je me dis là, c'est la réalité, c'est vrai, ou est-ce que c'est des peurs qui parlent ? Quand on est trop dans l'inaction, soit effectivement la pleine conscience en disant là, OK, il y a ça, ça, ça. Et aujourd'hui, je me laisse le droit d'eux et demain, je reviens. Et sinon, il y a les peurs, les doutes. Et en fait, ça s'installe. Et du coup, là, toutes les raisons du monde font qu'on ne peut pas retourner au travail parce qu'en fait, c'est la peur. J'ai peur de... En fait, si je retente un échec, j'ai peur de revivre et de me remettre dans une situation pareille. de me remettre dans ces pensées que je vis encore un échec, je suis pas capable, j'ai pas de résultat, etc. Donc autant de pas y aller, en fait. Donc je me trouve toutes les excuses du monde. J'ai peur de vous donner des exemples parce que je sais qu'il va y avoir la team premier degré qui vont me dire oui, mais ça, c'est vrai, Sandra, ça, c'est vrai, etc. Mais du coup, j'en donnerai pas parce que je pense que chacune va comprendre. En fait, je trouve que ne pas en donner, ça va laisser à chacune un peu des petites situations, peut-être revenir à elle. Et... Du coup, vivre son entrepreneuriat en pleine conscience, c'est ça, c'est que parfois, et moi aussi, ça m'arrive souvent de me dire, là, franchement, j'ai fait du caca. Je m'étais dit, OK, une demi-journée, je me la prends parce que telle raison, etc. Demain, je suis sur le rig. Si le lendemain d'avant, je ne suis pas sur le rig, c'est clairement en pleine conscience, je me dis que là, j'ai procrastiné. Là, j'ai trouvé cette excuse parce qu'il fallait emmener je ne sais pas qui, je ne sais pas où. J'ai procrastiné parce qu'en fait, j'ai pas envie d'y retourner. J'ai pas envie d'y retourner parce qu'en fait, c'était hyper inconfortable la dernière fois où j'y étais. Bah oui, parce que la dernière fois où j'y étais, j'ai eu une mauvaise nouvelle ou il n'y avait pas les résultats ou ce truc est fini et machin. Ou alors, un prospect m'a dit non. Ou alors, un call sur lequel je donnais beaucoup d'espoir s'il me mal passait, etc. Et j'ai pas envie d'y retourner. Et c'est normal. Mais vous comprenez bien que c'est votre cerveau, c'est vos peurs qui vous protègent. Bien sûr, en fait. Qui va retourner ? à part nous les entrepreneurs maso mais qui retournerait de façon hyper consciente et joviale vers l'endroit qui vous a donné du fil à retordre quelques heures, quelques jours avant personne, c'est normal, c'est de la protection mais l'entrepreneur en pleine conscience c'est celle qui s'est identifiée cette protection et se dire bah en fait j'y retourne j'y retourne parce qu'en fait il faut y retourner parce que si je n'y retourne pas voilà les conséquences que ça peut avoir et Chacune, on est dans ce projet entrepreneurial pour une bonne raison. Moi, je sais que le retour au salariat, c'est un driver pour moi. Là, j'ai la chance de travailler pour moi, pour mes projets, mes envies. Vous voyez, je ferme les yeux quand je vous parle de ça pour essayer de me le réincréer, de me le rappeler, de me le redire de nouveau. C'est important de se rappeler de ça. J'ai la chance, c'est incroyable, je me suis donné cette chance, je suis allée la chercher cette chance, de travailler là tous les jours pour moi, pour mon projet à moi, comme moi je l'entends, il n'y a plus de cadre, il n'y a plus d'hierarchie, il n'y a plus de management, c'est moi, moi, moi. Et malheureusement, il faut se battre pour garder ça. Et oui, c'est compliqué, je ne vais pas vous mentir. Alors, après 7 ans d'entrepreneuriat, franchement, c'est de moins en moins... Enfin non, ça dépend, parce qu'après, c'est comme quand on dit pour les mamans, petits, petits problèmes, grands, grands problèmes. Je pense que c'est la même chose avec l'entreprise, parce que du moment où tu passes des paliers, après, tu as des gros problèmes, c'est-à-dire des investissements d'argent qui partent, etc., etc. Mais en vrai, voilà, bon bref. Je pense que vous avez compris le... L'idée. Donc, pour récapituler, j'ai déjà donné trois points. C'est normal de ne pas être motivé tout le temps. Et on accepte ça. Acceptez-le, c'est normal, c'est ok. Les résultats, vos résultats ne représentent pas votre valeur. Et ça, c'est hyper important. L'entrepreneuriat en pleine conscience. Vous avez le droit d'être démotivé. Donnez-vous ce droit, c'est ok. Vous avez le droit. Si vous avez fait un flop, bien sûr que vous n'êtes pas motivé. On ne va pas vous demander en plus d'aller faire la danse de la victoire. Bien sûr que c'est démotivant. À la longue, c'est démotivant d'avoir des petits échecs sur petits échecs. Mais ce qui est important, c'est de voir le positif. Et c'est pour ça que je ne l'ai pas parlé, tiens, de ça aussi. Un bon entrepreneur, un entrepreneur qui tient sur la longueur, c'est une personne positive. Et c'est pour ça que lors de mes coachings mensuels avec mes membres, tous les mois, On commence le coaching par voir le verre à moitié plein. D'abord, on voit ce qui s'est bien passé. Et il y a toujours du positif dans notre vie. Vous pouvez pas me faire croire qu'il n'y a rien dans votre quotidien, il n'y a rien dans votre vie qui vous donne de la joie et du sourire. Il y a forcément du positif. Et c'est sur ça qu'on met le point. On met le doigt sur ça avant tout. Parce que sinon, effectivement, que si on voit que le... Ce qui ne marche pas, on brouille du noir. Non, d'abord, nous, on commence les coachings par... Ok, c'est quoi le positif ? Une chose positive à retenir de votre moi niveau pro, une chose positive à retenir de votre moi niveau perso. C'est la première question que je pose à mes clientes chaque mois. On commence par ça. Ensuite, on va soulever le tapis. Donc, voilà. L'entrepreneuriat en pleine conscience, c'est vraiment ça, de réussir. Je sais que c'est dur quand c'est pour soi. Ça vient avec le temps. Mais essayez de savoir, écrivez si ça vous aide dans certaines situations, si vous avez vraiment besoin de faire une pause. Parce que moi, quand j'accompagne des entrepreneurs en coaching, il y a celles qui ne vont pas lâcher. Et là, je vais dire, mais là, tu as besoin de couper, là. Tu as besoin d'un stop. Donc, je vous dis, il y a celles qui sont dans les deux extrémités. Et en fait, ce qu'il faut réussir à trouver, c'est cet équilibre. Il y a des jours où ça va être dans un sens où là vous avez le temps de vous réveiller. le temps, vous avez besoin de couper et le lendemain, vous avez besoin de vous remettre à fond dans le travail, etc. et de ne pas vous trouver d'excuses. C'est une petite balance comme ça. Là, je fais un petit mouvement avec mes mains, mais c'est vraiment ça et soyez, soyez en plein... En fait, soyez vrais avec vous-même à... Quand j'accompagne, du coup, il y a celle où je dis, là, fais une pause, et il y a celle aussi qui me parle et que je dis, non mais là, t'es consciente quand même que c'est une petite excuse parce qu'en vrai... Si tu le voulais vraiment ou si c'était vraiment un sujet, etc., bah, t'aurais fait ça, ça, ça. Donc, de toute façon, vos actions parlent. Vos actions parlent ou vos non-actions parlent. Il faut les faire... Il faut mettre des mots dessus. C'est hyper important. Prenez une feuille, un papier. Ouais, une feuille, un papier. Et puis un stylo aussi, ça peut être utile. Mais en tout cas... Et c'est de comprendre qu'est-ce qui se passe là, pourquoi vous bloquez, pourquoi vous n'y retournez plus, pourquoi vous ne faites pas cet appel, pourquoi vous ne faites pas cette action qui, vous savez, va être déclencheur de potentiel, de prochaine étape. Vous voyez pourquoi l'inaction, en tout cas, qu'est-ce qui est caché derrière ? C'est ça la pleine conscience, c'est de comprendre vos peurs et de vous dire là j'ai peur et c'est ok d'avoir peur, moi j'ai peur tout le temps. J'ai peur, là en ce moment, c'est que j'ai peur de prendre, j'estime avoir pris, je vous l'ai dit sur le dernier épisode de podcast, j'estime avoir pris pas forcément que des bonnes décisions ces derniers mois et du coup aujourd'hui je doute sur mes capacités à prendre de bonnes décisions. Donc maintenant quand je prends une décision, j'essaie de faire un mélange entre j'écoute mon intuition parce que je pense que je n'ai pas assez écouté mon intuition sur ces prises de décision. Et d'un autre côté, j'essaie vraiment de me poser le plus, le moins, le machin. Voilà, je me fais moins confiance. Et c'est OK, j'accepte. J'ai pris conscience de ça, je l'accepte. C'est là pour l'instant. Et ça va partir quand, effectivement, j'aurai des victoires à célébrer, je pense. Et c'est OK. Vous voyez ? C'est OK. On est toutes dans le même bateau. On est toutes au même stade. Ce qui va faire la différence, c'est ces trois points. Je n'ai toujours pas dit le quatrième. C'est trois points. que je vous ai dit. Si vous prenez conscience de ça, je vous promets que ça va aller sur le long terme. L'entrepreneuriat n'est pas un sprint, c'est un marathon. Donc parfois, il faut savoir aussi se reposer et il faut savoir aussi s'écouter. Et parfois, il faut arrêter de s'écouter. Voilà. Quatrième point, mesdames. Le plus important, non pas le plus important, j'abuse, mais vous allez comprendre pourquoi je vous dis ça. L'importance de s'entourer dans la constance de motivation. Vous comprenez bien que quand vous avez une baisse de motivation et que vous vous retrouvez seul au monde, personne à qui échanger sur justement peut-être ses échecs ou ses mauvaises nouvelles que vous avez reçues, etc. C'est le pire du pire du pire. Quand vous êtes entrepreneur, il faut être entouré d'entrepreneurs, il faut être entouré de personnes qui savent exactement et qui comprennent ce que vous vivez. Moi, je sais ce que vous vivez, je sais. Je sais ce que c'est d'être entrepreneur, je sais ce que c'est d'être une femme entrepreneur, je sais ce que c'est d'être une maman entrepreneur, je sais même ce que c'est d'être une maman célibataire entrepreneur, je sais ce que c'est... Voilà, j'ai une mère qui a été entrepreneur, ma sœur qui a été entrepreneur. Je sais ce que vous vivez, mais je le sais, c'est tellement pour ça que je me bats pour vous toutes, vraiment, parce que je sais la vraie vie, la réalité, tout ce que c'est derrière. Et du coup, c'est important aussi qu'on puisse en parler entre nous. On se comprend, par contre, on se botte les fesses. On n'est pas là pour dire, mais oui, tu dois arrêter, tu te rends compte là dans quel état ça te met, mais tu sais que tu as une porte de sortie et tout. Non, non, non, non, on est des entrepreneurs et on sait qu'entre entrepreneurs, On va se motiver, on va se trouver des solutions, on va partager nos expériences, on va moins se sentir seule aussi parce qu'encore une fois le discours que j'ai, vous voyez, moi je suis pas, quand je vous dis je suis coach business, mentor, moi je vais jamais vous dire mais regardez ma vie, moi tout est facile pour moi, achetez chez moi parce que comme ça vous aurez cette vie aussi, je crois pas du tout en ça, c'est pas vrai. Moi, je crois en la vraie vie, en fait, la vie de tous les jours, que les mamans entrepreneurs, elles ne peuvent pas travailler tôt le matin, ni la fin d'après-midi, il faut aller chercher les enfants. Il y en a certaines qui vont chercher les enfants à la cantine. On n'a pas les week-ends pour travailler. Il y a un moment donné, il faut prendre conscience de certaines choses. Et bon, ça, c'est un autre sujet. Du coup, vraiment, le quatrième point, c'est entourez-vous d'entrepreneurs, réseaux d'entrepreneurs, programmes d'entrepreneurs. soyez entourés de personnes qui sont porteuses, des personnes qui sont dans l'action, des personnes qui se battent comme vous, qui vous ressemblent, des semblables. Et si jamais F-Collective vous tente, je vous mets le lien pour intégrer la liste d'attente au membership, donc c'est à la communauté, là où il y a toute la méthode, où il y a tous les membres qui se trouvent dans toute la France, où il y a absolument tout ce qu'on fait. chef collective, je vous mets le lien dans la description si c'est pas chez nous c'est pas chez nous, c'est comme ça mais entourez-vous, ne restez pas seul et quand je dis entourez-vous c'est pas faire une réunion tous les 36 du mois à l'autre bout de la ville c'est une présence du quotidien c'est une présence au quotidien, c'est des actions des personnes que vous pouvez activer tout le temps, tous les jours de votre vie parce qu'on est entrepreneur tous les jours de sa vie voilà mesdames En tout cas, j'espère que ceci vous a remotivé ou vous a donné l'accord de peut-être se reposer pour revenir demain plus en forme et sur le ring. Moi, c'est mon état d'esprit d'entrepreneur et de vie. Ce n'est même pas d'entrepreneur, c'est de vie. c'est vous le savez c'est 7 fois terre 8 fois debout Je me relève et je me relève. Par contre, je suis un gros, mais moi, juste pour... Ça, je vais raconter un petit peu ma vie, mais les personnes qui me connaissent dans le privé, elles rigolent de fou quand elles me voient sur Instagram comme ça, en train de me montrer powerful et tout, parce qu'elles, elles savent la Sandra de tous les jours. Elles savent la Sandra de... En fait, dès que ça va pas, je vais chez mes parents, je chouine, je pleure, j'ai la tête, les yeux gonflés jusque-là, parce qu'en fait, je pleure très facilement. Et que voilà, mais c'est pas... pas grave, c'est ok parce qu'en fait, le lendemain, je dors et en m'endormant, je me mets en mode demain, je suis Xena la guerrière. Demain, je suis Beyoncé. Et je me lève et je suis Xena la guerrière, je suis Beyoncé. Et c'est ok. En fait, c'est ok d'avoir cette dualité en soi. C'est ok d'avoir ce côté up and down. C'est ok. Mais il ne faut pas que ça reste longtemps. C'est juste ça. C'est tout pour moi. Je vous embrasse et je vous dis à très vite pour un nouvel épisode. Bye bye !

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