128 : Je fais passer mes clientes avant moi, et ça m'épuise ! cover
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FEMME PREMIUM

128 : Je fais passer mes clientes avant moi, et ça m'épuise !

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24min |04/08/2024
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Description

Combien d'entrepreneuses s'épuisent tellement elles font passer leurs clientes avant elles et finissent leurs journées complètement lessivées?


Ce sujet, il est venu me chercher parce que j’ai très bonne mémoire concernant mon passé, je me souviens très bien de qui j’étais et de combien de fois je me suis "sacrifiée" pour le bonheur de mes clientes, mais pas vraiment pour le mien, soyons honnêtes.


Si c'est votre cas, vous devez absolument écouter cet épisode.



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Transcription

  • Speaker #0

    Hello et bienvenue sur le podcast Femme Premium, je m'appelle Elodie Foranti, entrepreneur depuis presque 20 ans et business coach. Femme Premium, c'est le podcast des femmes qui veulent se créer le mindset des entrepreneurs à succès pour développer les business prospères et manifester la vie libre qu'elles veulent vraiment. Alors je vous laisse vous abonner au podcast pour que vous puissiez avoir chaque semaine du contenu pour y parvenir vraiment. A tout de suite ! Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien et... que vous êtes en pleine forme. Je suis hyper, hyper heureuse de vous retrouver aujourd'hui sur ce nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, j'avais envie de répondre à une question qui m'a été posée. Alors, vous savez, de temps en temps, sur mes stories, je mets une vignette dans laquelle je vous laisse la possibilité de poser des questions, des thématiques qui vous tiennent à cœur, des choses auxquelles vous voudriez que je réponde, que je donne mon point de vue. Et aujourd'hui, c'est une question d'Aurélie que je vais répondre, qui m'a demandé si je pouvais faire... un épisode sur un sujet un peu hot qui s'intitule Je fais passer mes clientes avant moi Puis je vais vous dire que ce sujet, il est venu me chercher parce que j'ai bonne mémoire quand même concernant mon passé, mes débuts, etc. Et je me souviens très très bien de qui j'étais. Donc j'espère vraiment que cet épisode, il va parler à Aurélie, bien entendu, et puis à vous toutes, si vous aussi, vous êtes un peu aux prises avec vos clientes et que vous n'avez pas, comment vous dire, possibilité ou que vous n'avez pas la capacité de faire le tri entre où est-ce que j'y vais, quelles sont mes limites, où est-ce que je m'arrête. Donc voilà le message que m'a posté Aurélie. Dans mon ancien job, je me mettais en quatre pour mes clientes et là, je reproduis la même chose. Après mon live de vente bijoux et pierres, je sentais que j'avais besoin de repos mais je me suis dit, c'est la fête des mères, les clientes ont besoin de leurs cadeaux et donc j'ai pas arrêté. Et du coup, mon corps m'a stoppée. Je sais pas... plus rester debout, ni assise, ni couché à cause de mes maux de dos. Mais là, je pense que j'ai compris cette fois. Je ne suis pas douce avec moi. Je me juge trop et j'en fais trop pour mes clientes. Donc déjà, merci Aurélie. Si tu l'entends, n'hésite pas à me renvoyer un petit message pour savoir ce que tu as pensé de ce que je vais vous partager. Et donc, merci d'avoir posté et partagé ta situation parce que je pense que ça va être extrêmement utile pour beaucoup, beaucoup, beaucoup de femmes ici. La première des choses que je vais vous dire à ce sujet-là, c'est que souvent, ce n'est pas que vous faites passer vos clientes avant vous. Ça, c'est une conséquence. Mais la réalité, c'est que la plupart du temps, ce n'est pas que les clientes que vous faites passer avant vous. C'est tout et tout le monde. Votre famille, vos enfants, le mari, le travail, tout, tout passe devant vous. En gros, le bonheur des autres avant le vôtre. Tant que les autres sont heureux, moi je suis heureuse. Tant que mes clientes elles sont heureuses, moi ça me va. Même si le soir j'en peux plus. Même si le soir je suis éclatée. Même si j'ai passé 14 heures sur mon ordinateur pour répondre à leurs questions. Même si elles sont capricieuses et qu'elles veulent une réponse instantanée. Alors je me donne en mille et puis tant pis pour mes week-ends et puis tant pis pour les enfants. Je me dois de me donner à mes clientes. Et comme je dis toujours... Vous êtes là, nous sommes là pour servir nos clientes, mais pas pour être à leur service. Et je voudrais que vous entendiez vraiment cette phrase-là, parce que quand vous allez la comprendre, au-delà du fait que vous savez quand on est en coaching, quand on est en business, quand on vend du service, quand on vend du mieux-être, etc., on est là pour, on a cette espèce de posture initiale, dans laquelle on ne fait pas trop gaffe en fait, mais on se présente comme celle qui doit tout. Je suis, je fais du service, donc je suis au service d'eux. Et ça, c'est l'erreur fatale. Et votre bonheur, comme celui d'Aurélie, il est conditionné par celui des autres. Du coup, vous allez faire quoi ? Vous allez nourrir en permanence l'autre pour qu'il soit heureux. Vous allez nourrir vos clientes en permanence pour qu'elles soient heureuses. Et puis du coup, pour que vous soyez heureuses aussi. Ça veut dire que votre bonheur, votre soulagement, votre paix, votre tranquillité, votre... Cette façon d'être professionnelle, elle est conditionnée par le fait que vous envoyez d'abord à vos clientes ou au monde ce qu'il faut. Je vous le répète, ce n'est pas qu'aux clientes qu'on fait ça habituellement, c'est à tout le monde. Donc, on donne aux autres et dès que les autres sont soulagés, sont repus, sont rassasiés, sont contents, sont satisfaits, alors nous, on est heureux. Mais le bonheur, et surtout pas dans le business et encore moins dans la vie, ce n'est pas comme ça que ça marche. Donc, qu'est-ce qu'on fait en fait ? Enfin, qu'est-ce que vous faites ? c'est que votre bonheur, vous ne le créez pas pour vous, mais vous le créez pour vous à travers les autres et dans votre business ça donne quoi ça se donne que vous créez pour les autres vous de vous créez pour vos clientes au détriment de votre personne de votre âme de votre santé de votre mental vous posez zéro limite alors 0 ça je suis prêt à mettre mes mains à couper ni à vous ni à vos clientes de façon clairement exprimé du coup ça fait quoi ça fait que vous donner sans limite ça C'est la première des choses. La deuxième des choses qui fait souvent défaut aux femmes qui ne rendent pas service à leurs clientes, mais qui sont à leur service en permanence, c'est que vous ne savez pas dire non, ni à vous, ni aux autres. Du coup, qu'est-ce qui se passe ? C'est que vous continuez, même si ça vous coûte, vous continuez. Parce que dès le moment où vous avez dit oui, que vous êtes engagé dans le oui une fois, c'est plus possible de faire machine arrière parce que sinon, qu'est-ce qui risquerait de se passer ? de perdre vos clientes, votre communauté, votre audience, de l'argent, faire tomber le business, etc. Et ça, c'est ce que vous croyez. La troisième des choses, c'est que vous vous donnez à fond. Et très souvent, c'est ce qu'on fait, on va se donner à fond pour nos clientes, pour la mauvaise raison. Non pas parce qu'on est ici, dans notre pouvoir d'aider l'autre à se transformer, mais parce qu'on attend de la reconnaissance et un... en retour sur votre investissement. Vos clientes vous ont payé, en retour, vous vous devez de leur donner 10 fois plus, 100 fois plus, parce que la somme que vous recevez, en fait, vous semble tellement énorme que vous êtes obligés d'en faire des caisses supplémentaires pour, en fait, calibrer, pour équilibrer la somme que vous avez reçue, même si c'est une petite somme, attention, ce n'est pas une question de... quantité, c'est pas une question de volume, c'est une question de peu importe la somme. Vous, dès que vous la récupérez, vous avez l'impression qu'il faut en donner cent mille fois plus. Et ça, je vous le dis, entendez-le bien, c'est une question de valeur. Et je vais vous dire même mieux, de votre valeur. Quand vous estimez inconsciemment que vous n'avez pas assez de valeur pour recevoir la somme que vous recevez, vous allez être obligé de compenser. Parce que vous pensez que vous n'êtes pas assez pour recevoir entre guillemets autant. Et je le dis, ce n'est pas une question de somme, c'est une question d'argent tout simplement. Et c'est une question de valeur par rapport à l'argent que vous recevez, quel que soit le montant d'argent que vous recevez. Si vous ne vous sentez pas assez de valeur, si vous ne vous aimez pas assez, si vous ne vous sentez pas assez. Pour recevoir ce type d'argent, alors qu'est-ce qui va se passer ? C'est que vous allez être obligé de donner dix fois plus pour que ce don que vous multipliez soit dans votre tête à la hauteur de ce que vous avez reçu comme argent. Et la quatrième chose, c'est, vous allez certainement vous en souvenir ou connecter avec ça, c'est évidemment que vous êtes perfectionniste et que vous voulez être. perçue comme irréprochable, parfaite, impossible, pas question d'être mal vue. Donc je vais lâcher les chevaux, mais dans le sens, tant pis si je me vide tant que je remplis l'autre, pour qu'il ait cette sensation d'être rassasié, d'en avoir assez, etc. Donc aujourd'hui, le truc, c'est d'aller vous poser vraiment les bonnes questions par rapport à ce que je viens de vous énumérer. Et ces questions... Ça pourrait être des questions comme, par exemple, quelles limites j'ai besoin de poser aujourd'hui et d'exprimer clairement à mes clientes à partir de maintenant. Qu'est-ce que je ne dis pas, que je laisse sous-entendre, mais que je ne verbalise pas, que je ne dis pas du tout à mes clientes, qui, une fois qu'elles arrivent, se trouvent stupéfaites du fait que j'ai une réaction qu'elles n'attendaient pas. Par exemple, si je fais un programme et que je dis que Par exemple, vous rentrez dans ce programme, vous l'avez tout le temps, vous êtes là tout le temps, dès que vous rentrez. Moi, je fais par exemple une fois par semaine un Zoom en live et puis vous êtes là, vous l'avez. Et au bout de trois mois, je vous coupe les accès au Zoom. Et inévitablement, vous allez venir me dire, mais Hélo, je ne comprends pas. Tu nous as dit que le programme, on l'avait et là, je ne comprends pas, je n'ai plus accès au Zoom. Et imaginez que moi, je vous réponde, mais en fait... évidemment que t'as pas accès aux au moins c'est sur trois mois en fait les les coaching les hot seats etc tous les trois mois que ça s'arrête sinon il va falloir renouveler mais en fait quand vous prenez le programme c'est que tous les trois mois que vous y avez droit si je disais ça qu'est ce que me diraient mes clientes versus vous avez ce programme à vie et en plus pendant trois mois exactement, vous avez accès à des hot-seats, à des coachings chaque semaine pendant trois mois. À la fin du troisième mois, soit vous voulez continuer et dans ce cas-là, vous devrez ré-embrayer, c'est-à-dire vous réinscrire pour trois mois supplémentaires et cette fois-ci, ça sera payant avec X montant d'argent. Sinon, vous pouvez quitter et puis c'est OK aussi. Voilà. Ça pourrait être aussi, c'est je fais un live, par exemple, par rapport au live d'Aurélie. Aurélie fait un live avec de la vente derrière et puis elle se rend compte que ça va être compliqué parce que même si elle sent qu'elle a besoin de repos, elle se dit, il y a une fête, il y a la fête des mères, les clientes, elles ont besoin de leurs cadeaux, je ne peux pas m'arrêter, je ne peux pas leur faire ça, je ne peux pas disparaître, je leur dois bien ça. Au lieu de dire par exemple faites vos commandes avant tel jour pour que je puisse m'organiser à préparer mes commandes, mes pierres, mes bijoux, etc. Les derniers jours de commandes pour la fête des mères vont s'arrêter, admettons, au 1er mai. À partir du 1er mai, je ne prends plus les commandes. Ou le 5 mai, ou le 3 mai, j'en sais rien, peu importe. C'est ça. toute la magie qui fait que quand on s'autorise à dire les choses clairement, vous allez attirer à vous des clientes que vous n'auriez jamais attirées si vous ne disiez pas les choses. Parce que si vous ne le dites pas, par exemple Aurélie qui n'a pas osé dire, peut-être je n'ai pas tout le contexte mais je vais partir là-dessus, qui n'a pas osé dire, qui n'a pas pensé à dire, qui a cru que les femmes auraient compris, ou tout simplement elle veut faire plaisir jusqu'au dernier jour, elle va se déchirer, etc. C'est fort probable qu'elle attire à elle des clientes qui sont très exigeantes, qui pourraient faire une commande, par exemple, deux jours avant la fête des mères. Je ne me souviens plus quand est-ce que c'est tombé, c'était un week-end me semble-t-il. Elles auraient fait une commande deux jours avant la fête des mères, et elles seraient revenues par exemple vers Aurélie et dire, mais comment ça se fait que je n'ai pas reçu ma commande, pourtant je vous l'ai passée il y a deux jours, c'est inadmissible, moi je n'ai pas eu mon cadeau pour ma mère, etc. C'est tellement excitant. de poser des limites, de poser non pas des règles, mais vos règles en fonction de vos clientes, en fonction des clientes que vous voulez attirer. Après, comme je le répète, je n'ai pas tout le contexte, donc peut-être que même ces clientes ne sont pas exigeantes, mais que l'exigence, elle a été poussée par Aurélie pour être l'entrepreneuse extraordinaire qui ne fait pas de bêtises et qui surtout veut garder... son identité de professionnel qui ne rigole pas, qui a une rigueur, qui est stricte, qui est impeccable, qui ne prend pas les gens pour des imbéciles et qui au contraire veut montrer qu'elle est une super entrepreneur, ce dont je ne doute absolument pas une seule seconde au vu de la tournure du message que tu m'as envoyé Aurélie. Donc ça c'était la première chose par rapport aux limites. Quelles limites est-ce que j'ai besoin de poser maintenant ? Quelles limites est-ce que j'ai besoin d'exprimer clairement ? Qu'est-ce que je dois dire à partir d'aujourd'hui pour que ce soit clair que je n'ai plus à m'épuiser, que je travaille, que je serve mes clientes de tout mon cœur, du mieux que je peux, sans pour autant me retrouver à leur service ? Et ça, il y a vraiment quelque chose par rapport au business, par rapport au business en ligne, par rapport surtout au business du coaching, de l'industrie, du mieux-être, etc. C'est qu'étant donné qu'on est dans le service, on s'imagine qu'on peut nous essorer comme des chiffons et que, en fait, c'est un peu notre rôle. vu qu'on est dans le service, que c'est un peu aussi notre rôle de se faire essorer, qu'on s'est donné à fond, on est là pour se donner à fond. Mais je vous le dis, et ça, ça pourrait vraiment faire un autre sujet de podcast, vous n'êtes pas des sauveuses. Vous n'êtes pas des sauveuses. Sinon, si vous vous mettez en posture de sauveuse, vous allez attirer à vous des clientes qui ont besoin d'être sauvées, dans le temps, dans l'exigence. dans le résultat, dans l'investissement, dans la motivation, dans tout ce que vous voulez, vous allez tomber sur des clientes comme ça, naturellement, parce que vous vous mettez en posture de sauveuse, que vous leur dites inconsciemment, c'est même énergétique, il n'y a même pas besoin d'ouvrir la bouche pour ça, ne t'inquiète pas, je suis là pour toi jusqu'à la dernière seconde. Et s'il faut que je prenne un train pour venir livrer ton bijou le jour de la fête des mères, je serai capable de le faire, parce que je suis là pour toi. C'est merveilleux dans un livre, dans un livre héroïque, dans un conte de fées, c'est merveilleux. Mais ce n'est pas la vie. Si vous voulez des clientes investies, engagées, que ce sont des clientes qui n'ont même pas besoin de vous demander vos limites parce qu'elles les respectent elles-mêmes, parce qu'elles-mêmes ont des limites et respectent les leurs, alors posez-les, posez les limites. Exprimez-les clairement. La deuxième chose, ça serait comme question à quoi je décide de dire oui, à quoi je décide de dire non. Je peux changer à tout moment. Il y a plein de choses que moi, j'ai acceptées au début. qu'aujourd'hui je n'accepte plus. Plein de choses pour lesquelles je suis disponible, que j'étais disponible jusqu'à il y a quelques mois, aujourd'hui je ne le suis plus. Il y a quelque chose que vous m'entendrez dire souvent, d'ailleurs que je développe énormément dans le protocole numéro 1, c'est vos clientes ne sont pas vos amis. Je sais que ce n'est pas facile à entendre parce qu'on a toujours cette sensation que quand on a des clientes, on peut, on doit tout accepter. On doit dire oui tout le temps, sinon on les perd. Et j'ai envie de vous dire l'inverse, si vous les perdez, ce ne sont pas des clientes, ce sont des touristes. Si lorsque vous dites un oui ou un non à quelqu'un, vous perdez ce quelqu'un, ce n'est pas un client. C'est un touriste qui est capricieux, qui n'a plus envie, qui s'attendait à ce que vous disiez oui tout le temps. Et puis le jour où vous dites non, il n'est pas content. Ça ne marche pas comme ça. Donc vous avez besoin de décider à quoi dire oui. et vous avez besoin de décider à quoi dire non. En sachant que rien n'est figé dans la pierre. Tout est flexible, tout est malléable, tout est transformable. Je vais vous donner un exemple. Aujourd'hui, je n'accepterai jamais dans mes programmes une femme qui doute de l'efficacité, qui doute ou qui me demande avec certitude Moi, je veux connaître le résultat que je vais avoir si je rentre dans ton programme. Convainc-moi. que ton programme est fait pour moi. Mais ce genre d'attitude-là, de discours-là, c'est même plus envisageable dans mon univers. Dans l'univers premium, ça ne marche pas comme ça et ça ne marchera plus jamais comme ça. Aujourd'hui, rentrent dans l'univers premium des femmes qui sont déterminées, engagées, qui font le travail, qui savent que c'est le travail intérieur, que c'est le travail énergétique, que c'est le mindset, que c'est l'état d'esprit, que c'est l'identité premium qui... Elles ont conscience de ça, que c'est ça qui va leur permettre de développer leur succès, de développer leur business, d'avoir la prospérité, d'avoir la notoriété, d'avoir le succès, d'avoir l'argent, etc. Sans ça, c'est fini, je n'accepte plus quelqu'un qui viendrait me demander dans un programme, Mais alors c'est quoi la stratégie pour faire ceci ou pour faire cela ? Je ne l'accepterai pas. Point final. Parce que, et je dirais un nom ferme, parce que ça ne rendrait de service ni à lui ni à moi. Je meurs moi si je fais… Un business stratégique en sachant pertinemment que la personne qui veut poser des stratégies est dans sa version low cost, qu'elle est incapable de lever son leadership, qu'elle n'a pas fait le travail, qu'elle est en froid avec l'argent, qu'elle n'est pas prête à exploser, qu'elle veut exploser mais qu'elle ne se sent pas capable d'exploser. Ce n'est pas possible. Donc, c'est important que vous ayez cette notion de dire oui et de dire non clairement. La troisième chose comme question plutôt, ça serait est-ce que... Si je donnais pour donner, c'est-à-dire si une fois que ma cliente m'a payé, je donnais pour donner et que je n'attendais plus de reconnaissance de sa part parce que je me trouve assez de valeur, alors comment je me sentirais ? Ça donnerait quoi ? Comment est-ce que je me sentirais ? Si quand on me paye et que mes limites sont claires et que je sais à quoi je dis oui, à quoi je dis non, que mes clientes arrivent en connaissance de cause, qu'elles savent déjà tout ça, que tout est clair, alors... Et que je fais mon job, elle me paye en sachant pertinemment à l'avance tout ce qui se passe. Je fais mon job, je crée mon bijou, certainement. Je lui offre mon bijou du mieux que je peux avec un super beau packaging. Vraiment, je fais les choses bien parce que je suis une entrepreneuse extraordinaire. Je connais ma valeur et que je sais que si elle m'a payé, c'est parce que si ma valeur, je la connais, alors elle, elle est capable de la connaître et de la reconnaître aussi. Alors, comment est-ce que je me sens ? Et vous allez voir votre niveau de confiance en vous, comment il va se lever. Votre niveau d'amour de vous, comment il va se lever. De fierté de vous, comment il va se lever. Vous allez voir. Et la dernière chose, la dernière question, ça pourrait être quelque chose comme qu'est-ce que j'ai besoin de dépasser au niveau de ce perfectionnisme pour que les gens, écoutez bien, me voient comme je désire être vue vraiment, sans me cramer. sans m'épuiser pour autant. Donc, qu'est-ce que j'ai besoin de passer ? Sur quoi j'ai besoin de passer ? Par-dessus quoi j'ai besoin de passer au niveau du perfectionnisme ? Pour que... les gens puissent me voir comme j'ai envie qu'on me voit vraiment. Une entrepreneuse extraordinaire, qui fait un travail extraordinaire, qui a un talent de fou, qui est généreuse, qui est connectée, qui est énergétique, qui est électrique, qui est charismatique, qui est vous quoi ! Et sans que j'ai à me cramer. Ça veut dire qu'est-ce que je suis capable de faire ? Tranquille, seule, libre, juste avec qui je suis vraiment. Pour éviter de me cramer. Qu'est-ce que j'abandonne du perfectionnisme ? Est-ce que j'ai vraiment besoin, par exemple, comme Aurélie, d'être cette femme qui se montre en tant que femme qui va se donner corps et âme pour ses clientes ? Tu peux le faire Aurélie, vous pouvez le faire, vous donner corps et âme à vos clientes. C'est un peu le but. Moi je donne tout, par exemple, à mes clientes, je donne tout ce que je suis capable de donner au moment où je suis avec elles pour me donner. Vous comprenez la différence ? Il y a des espaces de temps, il y a des espèces de poches de temps pendant lesquelles on est là pour donner. Et puis il y a des poches de temps pendant lesquelles on est là pour recevoir. Et si vous n'allez pas au-delà de ce perfectionnisme latent qui vous met des bâtons dans les roues et qui vous empêche clairement d'être qui vous êtes vraiment, parce que vous êtes obligé de vous transformer en quelqu'un de mieux, de meilleur, alors que vous êtes déjà mieux et meilleur. C'est juste qu'au niveau de votre valeur, vous n'en avez pas conscience. Et bien du coup, qu'est-ce qui va se passer ? Est-ce que vous serez toujours en train de patauger pour essayer d'être cette meilleure personne, cette illusion par rapport à ce que vos clientes croient, par rapport à ce que vous, vous croyez qu'elles attendent parce que ce n'est pas clair, parce que tout ce charabia là, tout ce méli-mélo qui fait que vous êtes toujours obligé de vous mettre en posture de quelqu'un d'autre alors que si vous retournez à la valeur que vous avez vraiment et que vous la... connaissez, que vous la reconnaissez, eh bien, qu'est-ce qui se passe ? Vous n'avez plus besoin de jouer un jeu, vous n'avez plus besoin d'aller chercher le perfectionnisme parce que vos clientes sauront que, comme elles, vous n'êtes pas parfaite et que c'est très bien comme ça. Et que même si vous n'êtes pas parfaite, vous faites un travail extraordinaire. Vous êtes vraiment hyper doué dans votre activité, dans votre industrie. Vous êtes vraiment faite pour être l'une des références de votre industrie. Vous êtes venue pour avoir le succès grâce à votre impact, grâce à votre travail extraordinaire, grâce à votre identité premium, celle qui est non censurée, celle avec qui vous vous permettez, vous vous autorisez à être qui vous êtes vraiment. Sans limite, sans barrière, sans censure. Donc voilà l'épisode du jour. J'étais vraiment heureuse de vous partager ça. Ce que je vous ai dit, c'est vraiment très profond. J'espère vraiment que ça aura tapé dans votre cœur. N'hésitez pas à me dire en commentaire ou en retour quand vous allez écouter l'épisode par mail ou en DM ou quoi que ce soit. Comme d'habitude, ce que vous avez pensé de l'épisode et surtout ce que ça a impacté en vous. D'accord ? Ce que ça a reflété chez vous, ce que ça a fait miroiter en vous. C'est très important pour vous que vous ayez cette notion de mise en avant de qui vous êtes vraiment et que... Eh bien, il ne s'agit pas de s'épuiser quand on est entrepreneur. Il ne s'agit pas de faire plaisir à tout le monde pour vous nourrir du bonheur des autres. Il s'agit d'être d'abord heureuse, vous. Et pour ça, vous avez besoin de poser des limites, de savoir dire oui, de savoir dire non, de donner pour donner et d'apprendre à recevoir quand c'est le moment de recevoir et de dépasser ce fucking perfectionnisme. Donc, je vous souhaite un merveilleux dimanche. Réfléchissez bien à tout ça. Activez ce qu'il faut activer pour pouvoir... Passez encore un prochain niveau et on se retrouve sur un prochain niveau. Je vous souhaite un petit bon dimanche et de bonnes vacances. Bye !

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Combien d'entrepreneuses s'épuisent tellement elles font passer leurs clientes avant elles et finissent leurs journées complètement lessivées?


Ce sujet, il est venu me chercher parce que j’ai très bonne mémoire concernant mon passé, je me souviens très bien de qui j’étais et de combien de fois je me suis "sacrifiée" pour le bonheur de mes clientes, mais pas vraiment pour le mien, soyons honnêtes.


Si c'est votre cas, vous devez absolument écouter cet épisode.



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  • Speaker #0

    Hello et bienvenue sur le podcast Femme Premium, je m'appelle Elodie Foranti, entrepreneur depuis presque 20 ans et business coach. Femme Premium, c'est le podcast des femmes qui veulent se créer le mindset des entrepreneurs à succès pour développer les business prospères et manifester la vie libre qu'elles veulent vraiment. Alors je vous laisse vous abonner au podcast pour que vous puissiez avoir chaque semaine du contenu pour y parvenir vraiment. A tout de suite ! Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien et... que vous êtes en pleine forme. Je suis hyper, hyper heureuse de vous retrouver aujourd'hui sur ce nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, j'avais envie de répondre à une question qui m'a été posée. Alors, vous savez, de temps en temps, sur mes stories, je mets une vignette dans laquelle je vous laisse la possibilité de poser des questions, des thématiques qui vous tiennent à cœur, des choses auxquelles vous voudriez que je réponde, que je donne mon point de vue. Et aujourd'hui, c'est une question d'Aurélie que je vais répondre, qui m'a demandé si je pouvais faire... un épisode sur un sujet un peu hot qui s'intitule Je fais passer mes clientes avant moi Puis je vais vous dire que ce sujet, il est venu me chercher parce que j'ai bonne mémoire quand même concernant mon passé, mes débuts, etc. Et je me souviens très très bien de qui j'étais. Donc j'espère vraiment que cet épisode, il va parler à Aurélie, bien entendu, et puis à vous toutes, si vous aussi, vous êtes un peu aux prises avec vos clientes et que vous n'avez pas, comment vous dire, possibilité ou que vous n'avez pas la capacité de faire le tri entre où est-ce que j'y vais, quelles sont mes limites, où est-ce que je m'arrête. Donc voilà le message que m'a posté Aurélie. Dans mon ancien job, je me mettais en quatre pour mes clientes et là, je reproduis la même chose. Après mon live de vente bijoux et pierres, je sentais que j'avais besoin de repos mais je me suis dit, c'est la fête des mères, les clientes ont besoin de leurs cadeaux et donc j'ai pas arrêté. Et du coup, mon corps m'a stoppée. Je sais pas... plus rester debout, ni assise, ni couché à cause de mes maux de dos. Mais là, je pense que j'ai compris cette fois. Je ne suis pas douce avec moi. Je me juge trop et j'en fais trop pour mes clientes. Donc déjà, merci Aurélie. Si tu l'entends, n'hésite pas à me renvoyer un petit message pour savoir ce que tu as pensé de ce que je vais vous partager. Et donc, merci d'avoir posté et partagé ta situation parce que je pense que ça va être extrêmement utile pour beaucoup, beaucoup, beaucoup de femmes ici. La première des choses que je vais vous dire à ce sujet-là, c'est que souvent, ce n'est pas que vous faites passer vos clientes avant vous. Ça, c'est une conséquence. Mais la réalité, c'est que la plupart du temps, ce n'est pas que les clientes que vous faites passer avant vous. C'est tout et tout le monde. Votre famille, vos enfants, le mari, le travail, tout, tout passe devant vous. En gros, le bonheur des autres avant le vôtre. Tant que les autres sont heureux, moi je suis heureuse. Tant que mes clientes elles sont heureuses, moi ça me va. Même si le soir j'en peux plus. Même si le soir je suis éclatée. Même si j'ai passé 14 heures sur mon ordinateur pour répondre à leurs questions. Même si elles sont capricieuses et qu'elles veulent une réponse instantanée. Alors je me donne en mille et puis tant pis pour mes week-ends et puis tant pis pour les enfants. Je me dois de me donner à mes clientes. Et comme je dis toujours... Vous êtes là, nous sommes là pour servir nos clientes, mais pas pour être à leur service. Et je voudrais que vous entendiez vraiment cette phrase-là, parce que quand vous allez la comprendre, au-delà du fait que vous savez quand on est en coaching, quand on est en business, quand on vend du service, quand on vend du mieux-être, etc., on est là pour, on a cette espèce de posture initiale, dans laquelle on ne fait pas trop gaffe en fait, mais on se présente comme celle qui doit tout. Je suis, je fais du service, donc je suis au service d'eux. Et ça, c'est l'erreur fatale. Et votre bonheur, comme celui d'Aurélie, il est conditionné par celui des autres. Du coup, vous allez faire quoi ? Vous allez nourrir en permanence l'autre pour qu'il soit heureux. Vous allez nourrir vos clientes en permanence pour qu'elles soient heureuses. Et puis du coup, pour que vous soyez heureuses aussi. Ça veut dire que votre bonheur, votre soulagement, votre paix, votre tranquillité, votre... Cette façon d'être professionnelle, elle est conditionnée par le fait que vous envoyez d'abord à vos clientes ou au monde ce qu'il faut. Je vous le répète, ce n'est pas qu'aux clientes qu'on fait ça habituellement, c'est à tout le monde. Donc, on donne aux autres et dès que les autres sont soulagés, sont repus, sont rassasiés, sont contents, sont satisfaits, alors nous, on est heureux. Mais le bonheur, et surtout pas dans le business et encore moins dans la vie, ce n'est pas comme ça que ça marche. Donc, qu'est-ce qu'on fait en fait ? Enfin, qu'est-ce que vous faites ? c'est que votre bonheur, vous ne le créez pas pour vous, mais vous le créez pour vous à travers les autres et dans votre business ça donne quoi ça se donne que vous créez pour les autres vous de vous créez pour vos clientes au détriment de votre personne de votre âme de votre santé de votre mental vous posez zéro limite alors 0 ça je suis prêt à mettre mes mains à couper ni à vous ni à vos clientes de façon clairement exprimé du coup ça fait quoi ça fait que vous donner sans limite ça C'est la première des choses. La deuxième des choses qui fait souvent défaut aux femmes qui ne rendent pas service à leurs clientes, mais qui sont à leur service en permanence, c'est que vous ne savez pas dire non, ni à vous, ni aux autres. Du coup, qu'est-ce qui se passe ? C'est que vous continuez, même si ça vous coûte, vous continuez. Parce que dès le moment où vous avez dit oui, que vous êtes engagé dans le oui une fois, c'est plus possible de faire machine arrière parce que sinon, qu'est-ce qui risquerait de se passer ? de perdre vos clientes, votre communauté, votre audience, de l'argent, faire tomber le business, etc. Et ça, c'est ce que vous croyez. La troisième des choses, c'est que vous vous donnez à fond. Et très souvent, c'est ce qu'on fait, on va se donner à fond pour nos clientes, pour la mauvaise raison. Non pas parce qu'on est ici, dans notre pouvoir d'aider l'autre à se transformer, mais parce qu'on attend de la reconnaissance et un... en retour sur votre investissement. Vos clientes vous ont payé, en retour, vous vous devez de leur donner 10 fois plus, 100 fois plus, parce que la somme que vous recevez, en fait, vous semble tellement énorme que vous êtes obligés d'en faire des caisses supplémentaires pour, en fait, calibrer, pour équilibrer la somme que vous avez reçue, même si c'est une petite somme, attention, ce n'est pas une question de... quantité, c'est pas une question de volume, c'est une question de peu importe la somme. Vous, dès que vous la récupérez, vous avez l'impression qu'il faut en donner cent mille fois plus. Et ça, je vous le dis, entendez-le bien, c'est une question de valeur. Et je vais vous dire même mieux, de votre valeur. Quand vous estimez inconsciemment que vous n'avez pas assez de valeur pour recevoir la somme que vous recevez, vous allez être obligé de compenser. Parce que vous pensez que vous n'êtes pas assez pour recevoir entre guillemets autant. Et je le dis, ce n'est pas une question de somme, c'est une question d'argent tout simplement. Et c'est une question de valeur par rapport à l'argent que vous recevez, quel que soit le montant d'argent que vous recevez. Si vous ne vous sentez pas assez de valeur, si vous ne vous aimez pas assez, si vous ne vous sentez pas assez. Pour recevoir ce type d'argent, alors qu'est-ce qui va se passer ? C'est que vous allez être obligé de donner dix fois plus pour que ce don que vous multipliez soit dans votre tête à la hauteur de ce que vous avez reçu comme argent. Et la quatrième chose, c'est, vous allez certainement vous en souvenir ou connecter avec ça, c'est évidemment que vous êtes perfectionniste et que vous voulez être. perçue comme irréprochable, parfaite, impossible, pas question d'être mal vue. Donc je vais lâcher les chevaux, mais dans le sens, tant pis si je me vide tant que je remplis l'autre, pour qu'il ait cette sensation d'être rassasié, d'en avoir assez, etc. Donc aujourd'hui, le truc, c'est d'aller vous poser vraiment les bonnes questions par rapport à ce que je viens de vous énumérer. Et ces questions... Ça pourrait être des questions comme, par exemple, quelles limites j'ai besoin de poser aujourd'hui et d'exprimer clairement à mes clientes à partir de maintenant. Qu'est-ce que je ne dis pas, que je laisse sous-entendre, mais que je ne verbalise pas, que je ne dis pas du tout à mes clientes, qui, une fois qu'elles arrivent, se trouvent stupéfaites du fait que j'ai une réaction qu'elles n'attendaient pas. Par exemple, si je fais un programme et que je dis que Par exemple, vous rentrez dans ce programme, vous l'avez tout le temps, vous êtes là tout le temps, dès que vous rentrez. Moi, je fais par exemple une fois par semaine un Zoom en live et puis vous êtes là, vous l'avez. Et au bout de trois mois, je vous coupe les accès au Zoom. Et inévitablement, vous allez venir me dire, mais Hélo, je ne comprends pas. Tu nous as dit que le programme, on l'avait et là, je ne comprends pas, je n'ai plus accès au Zoom. Et imaginez que moi, je vous réponde, mais en fait... évidemment que t'as pas accès aux au moins c'est sur trois mois en fait les les coaching les hot seats etc tous les trois mois que ça s'arrête sinon il va falloir renouveler mais en fait quand vous prenez le programme c'est que tous les trois mois que vous y avez droit si je disais ça qu'est ce que me diraient mes clientes versus vous avez ce programme à vie et en plus pendant trois mois exactement, vous avez accès à des hot-seats, à des coachings chaque semaine pendant trois mois. À la fin du troisième mois, soit vous voulez continuer et dans ce cas-là, vous devrez ré-embrayer, c'est-à-dire vous réinscrire pour trois mois supplémentaires et cette fois-ci, ça sera payant avec X montant d'argent. Sinon, vous pouvez quitter et puis c'est OK aussi. Voilà. Ça pourrait être aussi, c'est je fais un live, par exemple, par rapport au live d'Aurélie. Aurélie fait un live avec de la vente derrière et puis elle se rend compte que ça va être compliqué parce que même si elle sent qu'elle a besoin de repos, elle se dit, il y a une fête, il y a la fête des mères, les clientes, elles ont besoin de leurs cadeaux, je ne peux pas m'arrêter, je ne peux pas leur faire ça, je ne peux pas disparaître, je leur dois bien ça. Au lieu de dire par exemple faites vos commandes avant tel jour pour que je puisse m'organiser à préparer mes commandes, mes pierres, mes bijoux, etc. Les derniers jours de commandes pour la fête des mères vont s'arrêter, admettons, au 1er mai. À partir du 1er mai, je ne prends plus les commandes. Ou le 5 mai, ou le 3 mai, j'en sais rien, peu importe. C'est ça. toute la magie qui fait que quand on s'autorise à dire les choses clairement, vous allez attirer à vous des clientes que vous n'auriez jamais attirées si vous ne disiez pas les choses. Parce que si vous ne le dites pas, par exemple Aurélie qui n'a pas osé dire, peut-être je n'ai pas tout le contexte mais je vais partir là-dessus, qui n'a pas osé dire, qui n'a pas pensé à dire, qui a cru que les femmes auraient compris, ou tout simplement elle veut faire plaisir jusqu'au dernier jour, elle va se déchirer, etc. C'est fort probable qu'elle attire à elle des clientes qui sont très exigeantes, qui pourraient faire une commande, par exemple, deux jours avant la fête des mères. Je ne me souviens plus quand est-ce que c'est tombé, c'était un week-end me semble-t-il. Elles auraient fait une commande deux jours avant la fête des mères, et elles seraient revenues par exemple vers Aurélie et dire, mais comment ça se fait que je n'ai pas reçu ma commande, pourtant je vous l'ai passée il y a deux jours, c'est inadmissible, moi je n'ai pas eu mon cadeau pour ma mère, etc. C'est tellement excitant. de poser des limites, de poser non pas des règles, mais vos règles en fonction de vos clientes, en fonction des clientes que vous voulez attirer. Après, comme je le répète, je n'ai pas tout le contexte, donc peut-être que même ces clientes ne sont pas exigeantes, mais que l'exigence, elle a été poussée par Aurélie pour être l'entrepreneuse extraordinaire qui ne fait pas de bêtises et qui surtout veut garder... son identité de professionnel qui ne rigole pas, qui a une rigueur, qui est stricte, qui est impeccable, qui ne prend pas les gens pour des imbéciles et qui au contraire veut montrer qu'elle est une super entrepreneur, ce dont je ne doute absolument pas une seule seconde au vu de la tournure du message que tu m'as envoyé Aurélie. Donc ça c'était la première chose par rapport aux limites. Quelles limites est-ce que j'ai besoin de poser maintenant ? Quelles limites est-ce que j'ai besoin d'exprimer clairement ? Qu'est-ce que je dois dire à partir d'aujourd'hui pour que ce soit clair que je n'ai plus à m'épuiser, que je travaille, que je serve mes clientes de tout mon cœur, du mieux que je peux, sans pour autant me retrouver à leur service ? Et ça, il y a vraiment quelque chose par rapport au business, par rapport au business en ligne, par rapport surtout au business du coaching, de l'industrie, du mieux-être, etc. C'est qu'étant donné qu'on est dans le service, on s'imagine qu'on peut nous essorer comme des chiffons et que, en fait, c'est un peu notre rôle. vu qu'on est dans le service, que c'est un peu aussi notre rôle de se faire essorer, qu'on s'est donné à fond, on est là pour se donner à fond. Mais je vous le dis, et ça, ça pourrait vraiment faire un autre sujet de podcast, vous n'êtes pas des sauveuses. Vous n'êtes pas des sauveuses. Sinon, si vous vous mettez en posture de sauveuse, vous allez attirer à vous des clientes qui ont besoin d'être sauvées, dans le temps, dans l'exigence. dans le résultat, dans l'investissement, dans la motivation, dans tout ce que vous voulez, vous allez tomber sur des clientes comme ça, naturellement, parce que vous vous mettez en posture de sauveuse, que vous leur dites inconsciemment, c'est même énergétique, il n'y a même pas besoin d'ouvrir la bouche pour ça, ne t'inquiète pas, je suis là pour toi jusqu'à la dernière seconde. Et s'il faut que je prenne un train pour venir livrer ton bijou le jour de la fête des mères, je serai capable de le faire, parce que je suis là pour toi. C'est merveilleux dans un livre, dans un livre héroïque, dans un conte de fées, c'est merveilleux. Mais ce n'est pas la vie. Si vous voulez des clientes investies, engagées, que ce sont des clientes qui n'ont même pas besoin de vous demander vos limites parce qu'elles les respectent elles-mêmes, parce qu'elles-mêmes ont des limites et respectent les leurs, alors posez-les, posez les limites. Exprimez-les clairement. La deuxième chose, ça serait comme question à quoi je décide de dire oui, à quoi je décide de dire non. Je peux changer à tout moment. Il y a plein de choses que moi, j'ai acceptées au début. qu'aujourd'hui je n'accepte plus. Plein de choses pour lesquelles je suis disponible, que j'étais disponible jusqu'à il y a quelques mois, aujourd'hui je ne le suis plus. Il y a quelque chose que vous m'entendrez dire souvent, d'ailleurs que je développe énormément dans le protocole numéro 1, c'est vos clientes ne sont pas vos amis. Je sais que ce n'est pas facile à entendre parce qu'on a toujours cette sensation que quand on a des clientes, on peut, on doit tout accepter. On doit dire oui tout le temps, sinon on les perd. Et j'ai envie de vous dire l'inverse, si vous les perdez, ce ne sont pas des clientes, ce sont des touristes. Si lorsque vous dites un oui ou un non à quelqu'un, vous perdez ce quelqu'un, ce n'est pas un client. C'est un touriste qui est capricieux, qui n'a plus envie, qui s'attendait à ce que vous disiez oui tout le temps. Et puis le jour où vous dites non, il n'est pas content. Ça ne marche pas comme ça. Donc vous avez besoin de décider à quoi dire oui. et vous avez besoin de décider à quoi dire non. En sachant que rien n'est figé dans la pierre. Tout est flexible, tout est malléable, tout est transformable. Je vais vous donner un exemple. Aujourd'hui, je n'accepterai jamais dans mes programmes une femme qui doute de l'efficacité, qui doute ou qui me demande avec certitude Moi, je veux connaître le résultat que je vais avoir si je rentre dans ton programme. Convainc-moi. que ton programme est fait pour moi. Mais ce genre d'attitude-là, de discours-là, c'est même plus envisageable dans mon univers. Dans l'univers premium, ça ne marche pas comme ça et ça ne marchera plus jamais comme ça. Aujourd'hui, rentrent dans l'univers premium des femmes qui sont déterminées, engagées, qui font le travail, qui savent que c'est le travail intérieur, que c'est le travail énergétique, que c'est le mindset, que c'est l'état d'esprit, que c'est l'identité premium qui... Elles ont conscience de ça, que c'est ça qui va leur permettre de développer leur succès, de développer leur business, d'avoir la prospérité, d'avoir la notoriété, d'avoir le succès, d'avoir l'argent, etc. Sans ça, c'est fini, je n'accepte plus quelqu'un qui viendrait me demander dans un programme, Mais alors c'est quoi la stratégie pour faire ceci ou pour faire cela ? Je ne l'accepterai pas. Point final. Parce que, et je dirais un nom ferme, parce que ça ne rendrait de service ni à lui ni à moi. Je meurs moi si je fais… Un business stratégique en sachant pertinemment que la personne qui veut poser des stratégies est dans sa version low cost, qu'elle est incapable de lever son leadership, qu'elle n'a pas fait le travail, qu'elle est en froid avec l'argent, qu'elle n'est pas prête à exploser, qu'elle veut exploser mais qu'elle ne se sent pas capable d'exploser. Ce n'est pas possible. Donc, c'est important que vous ayez cette notion de dire oui et de dire non clairement. La troisième chose comme question plutôt, ça serait est-ce que... Si je donnais pour donner, c'est-à-dire si une fois que ma cliente m'a payé, je donnais pour donner et que je n'attendais plus de reconnaissance de sa part parce que je me trouve assez de valeur, alors comment je me sentirais ? Ça donnerait quoi ? Comment est-ce que je me sentirais ? Si quand on me paye et que mes limites sont claires et que je sais à quoi je dis oui, à quoi je dis non, que mes clientes arrivent en connaissance de cause, qu'elles savent déjà tout ça, que tout est clair, alors... Et que je fais mon job, elle me paye en sachant pertinemment à l'avance tout ce qui se passe. Je fais mon job, je crée mon bijou, certainement. Je lui offre mon bijou du mieux que je peux avec un super beau packaging. Vraiment, je fais les choses bien parce que je suis une entrepreneuse extraordinaire. Je connais ma valeur et que je sais que si elle m'a payé, c'est parce que si ma valeur, je la connais, alors elle, elle est capable de la connaître et de la reconnaître aussi. Alors, comment est-ce que je me sens ? Et vous allez voir votre niveau de confiance en vous, comment il va se lever. Votre niveau d'amour de vous, comment il va se lever. De fierté de vous, comment il va se lever. Vous allez voir. Et la dernière chose, la dernière question, ça pourrait être quelque chose comme qu'est-ce que j'ai besoin de dépasser au niveau de ce perfectionnisme pour que les gens, écoutez bien, me voient comme je désire être vue vraiment, sans me cramer. sans m'épuiser pour autant. Donc, qu'est-ce que j'ai besoin de passer ? Sur quoi j'ai besoin de passer ? Par-dessus quoi j'ai besoin de passer au niveau du perfectionnisme ? Pour que... les gens puissent me voir comme j'ai envie qu'on me voit vraiment. Une entrepreneuse extraordinaire, qui fait un travail extraordinaire, qui a un talent de fou, qui est généreuse, qui est connectée, qui est énergétique, qui est électrique, qui est charismatique, qui est vous quoi ! Et sans que j'ai à me cramer. Ça veut dire qu'est-ce que je suis capable de faire ? Tranquille, seule, libre, juste avec qui je suis vraiment. Pour éviter de me cramer. Qu'est-ce que j'abandonne du perfectionnisme ? Est-ce que j'ai vraiment besoin, par exemple, comme Aurélie, d'être cette femme qui se montre en tant que femme qui va se donner corps et âme pour ses clientes ? Tu peux le faire Aurélie, vous pouvez le faire, vous donner corps et âme à vos clientes. C'est un peu le but. Moi je donne tout, par exemple, à mes clientes, je donne tout ce que je suis capable de donner au moment où je suis avec elles pour me donner. Vous comprenez la différence ? Il y a des espaces de temps, il y a des espèces de poches de temps pendant lesquelles on est là pour donner. Et puis il y a des poches de temps pendant lesquelles on est là pour recevoir. Et si vous n'allez pas au-delà de ce perfectionnisme latent qui vous met des bâtons dans les roues et qui vous empêche clairement d'être qui vous êtes vraiment, parce que vous êtes obligé de vous transformer en quelqu'un de mieux, de meilleur, alors que vous êtes déjà mieux et meilleur. C'est juste qu'au niveau de votre valeur, vous n'en avez pas conscience. Et bien du coup, qu'est-ce qui va se passer ? Est-ce que vous serez toujours en train de patauger pour essayer d'être cette meilleure personne, cette illusion par rapport à ce que vos clientes croient, par rapport à ce que vous, vous croyez qu'elles attendent parce que ce n'est pas clair, parce que tout ce charabia là, tout ce méli-mélo qui fait que vous êtes toujours obligé de vous mettre en posture de quelqu'un d'autre alors que si vous retournez à la valeur que vous avez vraiment et que vous la... connaissez, que vous la reconnaissez, eh bien, qu'est-ce qui se passe ? Vous n'avez plus besoin de jouer un jeu, vous n'avez plus besoin d'aller chercher le perfectionnisme parce que vos clientes sauront que, comme elles, vous n'êtes pas parfaite et que c'est très bien comme ça. Et que même si vous n'êtes pas parfaite, vous faites un travail extraordinaire. Vous êtes vraiment hyper doué dans votre activité, dans votre industrie. Vous êtes vraiment faite pour être l'une des références de votre industrie. Vous êtes venue pour avoir le succès grâce à votre impact, grâce à votre travail extraordinaire, grâce à votre identité premium, celle qui est non censurée, celle avec qui vous vous permettez, vous vous autorisez à être qui vous êtes vraiment. Sans limite, sans barrière, sans censure. Donc voilà l'épisode du jour. J'étais vraiment heureuse de vous partager ça. Ce que je vous ai dit, c'est vraiment très profond. J'espère vraiment que ça aura tapé dans votre cœur. N'hésitez pas à me dire en commentaire ou en retour quand vous allez écouter l'épisode par mail ou en DM ou quoi que ce soit. Comme d'habitude, ce que vous avez pensé de l'épisode et surtout ce que ça a impacté en vous. D'accord ? Ce que ça a reflété chez vous, ce que ça a fait miroiter en vous. C'est très important pour vous que vous ayez cette notion de mise en avant de qui vous êtes vraiment et que... Eh bien, il ne s'agit pas de s'épuiser quand on est entrepreneur. Il ne s'agit pas de faire plaisir à tout le monde pour vous nourrir du bonheur des autres. Il s'agit d'être d'abord heureuse, vous. Et pour ça, vous avez besoin de poser des limites, de savoir dire oui, de savoir dire non, de donner pour donner et d'apprendre à recevoir quand c'est le moment de recevoir et de dépasser ce fucking perfectionnisme. Donc, je vous souhaite un merveilleux dimanche. Réfléchissez bien à tout ça. Activez ce qu'il faut activer pour pouvoir... Passez encore un prochain niveau et on se retrouve sur un prochain niveau. Je vous souhaite un petit bon dimanche et de bonnes vacances. Bye !

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Combien d'entrepreneuses s'épuisent tellement elles font passer leurs clientes avant elles et finissent leurs journées complètement lessivées?


Ce sujet, il est venu me chercher parce que j’ai très bonne mémoire concernant mon passé, je me souviens très bien de qui j’étais et de combien de fois je me suis "sacrifiée" pour le bonheur de mes clientes, mais pas vraiment pour le mien, soyons honnêtes.


Si c'est votre cas, vous devez absolument écouter cet épisode.



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Transcription

  • Speaker #0

    Hello et bienvenue sur le podcast Femme Premium, je m'appelle Elodie Foranti, entrepreneur depuis presque 20 ans et business coach. Femme Premium, c'est le podcast des femmes qui veulent se créer le mindset des entrepreneurs à succès pour développer les business prospères et manifester la vie libre qu'elles veulent vraiment. Alors je vous laisse vous abonner au podcast pour que vous puissiez avoir chaque semaine du contenu pour y parvenir vraiment. A tout de suite ! Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien et... que vous êtes en pleine forme. Je suis hyper, hyper heureuse de vous retrouver aujourd'hui sur ce nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, j'avais envie de répondre à une question qui m'a été posée. Alors, vous savez, de temps en temps, sur mes stories, je mets une vignette dans laquelle je vous laisse la possibilité de poser des questions, des thématiques qui vous tiennent à cœur, des choses auxquelles vous voudriez que je réponde, que je donne mon point de vue. Et aujourd'hui, c'est une question d'Aurélie que je vais répondre, qui m'a demandé si je pouvais faire... un épisode sur un sujet un peu hot qui s'intitule Je fais passer mes clientes avant moi Puis je vais vous dire que ce sujet, il est venu me chercher parce que j'ai bonne mémoire quand même concernant mon passé, mes débuts, etc. Et je me souviens très très bien de qui j'étais. Donc j'espère vraiment que cet épisode, il va parler à Aurélie, bien entendu, et puis à vous toutes, si vous aussi, vous êtes un peu aux prises avec vos clientes et que vous n'avez pas, comment vous dire, possibilité ou que vous n'avez pas la capacité de faire le tri entre où est-ce que j'y vais, quelles sont mes limites, où est-ce que je m'arrête. Donc voilà le message que m'a posté Aurélie. Dans mon ancien job, je me mettais en quatre pour mes clientes et là, je reproduis la même chose. Après mon live de vente bijoux et pierres, je sentais que j'avais besoin de repos mais je me suis dit, c'est la fête des mères, les clientes ont besoin de leurs cadeaux et donc j'ai pas arrêté. Et du coup, mon corps m'a stoppée. Je sais pas... plus rester debout, ni assise, ni couché à cause de mes maux de dos. Mais là, je pense que j'ai compris cette fois. Je ne suis pas douce avec moi. Je me juge trop et j'en fais trop pour mes clientes. Donc déjà, merci Aurélie. Si tu l'entends, n'hésite pas à me renvoyer un petit message pour savoir ce que tu as pensé de ce que je vais vous partager. Et donc, merci d'avoir posté et partagé ta situation parce que je pense que ça va être extrêmement utile pour beaucoup, beaucoup, beaucoup de femmes ici. La première des choses que je vais vous dire à ce sujet-là, c'est que souvent, ce n'est pas que vous faites passer vos clientes avant vous. Ça, c'est une conséquence. Mais la réalité, c'est que la plupart du temps, ce n'est pas que les clientes que vous faites passer avant vous. C'est tout et tout le monde. Votre famille, vos enfants, le mari, le travail, tout, tout passe devant vous. En gros, le bonheur des autres avant le vôtre. Tant que les autres sont heureux, moi je suis heureuse. Tant que mes clientes elles sont heureuses, moi ça me va. Même si le soir j'en peux plus. Même si le soir je suis éclatée. Même si j'ai passé 14 heures sur mon ordinateur pour répondre à leurs questions. Même si elles sont capricieuses et qu'elles veulent une réponse instantanée. Alors je me donne en mille et puis tant pis pour mes week-ends et puis tant pis pour les enfants. Je me dois de me donner à mes clientes. Et comme je dis toujours... Vous êtes là, nous sommes là pour servir nos clientes, mais pas pour être à leur service. Et je voudrais que vous entendiez vraiment cette phrase-là, parce que quand vous allez la comprendre, au-delà du fait que vous savez quand on est en coaching, quand on est en business, quand on vend du service, quand on vend du mieux-être, etc., on est là pour, on a cette espèce de posture initiale, dans laquelle on ne fait pas trop gaffe en fait, mais on se présente comme celle qui doit tout. Je suis, je fais du service, donc je suis au service d'eux. Et ça, c'est l'erreur fatale. Et votre bonheur, comme celui d'Aurélie, il est conditionné par celui des autres. Du coup, vous allez faire quoi ? Vous allez nourrir en permanence l'autre pour qu'il soit heureux. Vous allez nourrir vos clientes en permanence pour qu'elles soient heureuses. Et puis du coup, pour que vous soyez heureuses aussi. Ça veut dire que votre bonheur, votre soulagement, votre paix, votre tranquillité, votre... Cette façon d'être professionnelle, elle est conditionnée par le fait que vous envoyez d'abord à vos clientes ou au monde ce qu'il faut. Je vous le répète, ce n'est pas qu'aux clientes qu'on fait ça habituellement, c'est à tout le monde. Donc, on donne aux autres et dès que les autres sont soulagés, sont repus, sont rassasiés, sont contents, sont satisfaits, alors nous, on est heureux. Mais le bonheur, et surtout pas dans le business et encore moins dans la vie, ce n'est pas comme ça que ça marche. Donc, qu'est-ce qu'on fait en fait ? Enfin, qu'est-ce que vous faites ? c'est que votre bonheur, vous ne le créez pas pour vous, mais vous le créez pour vous à travers les autres et dans votre business ça donne quoi ça se donne que vous créez pour les autres vous de vous créez pour vos clientes au détriment de votre personne de votre âme de votre santé de votre mental vous posez zéro limite alors 0 ça je suis prêt à mettre mes mains à couper ni à vous ni à vos clientes de façon clairement exprimé du coup ça fait quoi ça fait que vous donner sans limite ça C'est la première des choses. La deuxième des choses qui fait souvent défaut aux femmes qui ne rendent pas service à leurs clientes, mais qui sont à leur service en permanence, c'est que vous ne savez pas dire non, ni à vous, ni aux autres. Du coup, qu'est-ce qui se passe ? C'est que vous continuez, même si ça vous coûte, vous continuez. Parce que dès le moment où vous avez dit oui, que vous êtes engagé dans le oui une fois, c'est plus possible de faire machine arrière parce que sinon, qu'est-ce qui risquerait de se passer ? de perdre vos clientes, votre communauté, votre audience, de l'argent, faire tomber le business, etc. Et ça, c'est ce que vous croyez. La troisième des choses, c'est que vous vous donnez à fond. Et très souvent, c'est ce qu'on fait, on va se donner à fond pour nos clientes, pour la mauvaise raison. Non pas parce qu'on est ici, dans notre pouvoir d'aider l'autre à se transformer, mais parce qu'on attend de la reconnaissance et un... en retour sur votre investissement. Vos clientes vous ont payé, en retour, vous vous devez de leur donner 10 fois plus, 100 fois plus, parce que la somme que vous recevez, en fait, vous semble tellement énorme que vous êtes obligés d'en faire des caisses supplémentaires pour, en fait, calibrer, pour équilibrer la somme que vous avez reçue, même si c'est une petite somme, attention, ce n'est pas une question de... quantité, c'est pas une question de volume, c'est une question de peu importe la somme. Vous, dès que vous la récupérez, vous avez l'impression qu'il faut en donner cent mille fois plus. Et ça, je vous le dis, entendez-le bien, c'est une question de valeur. Et je vais vous dire même mieux, de votre valeur. Quand vous estimez inconsciemment que vous n'avez pas assez de valeur pour recevoir la somme que vous recevez, vous allez être obligé de compenser. Parce que vous pensez que vous n'êtes pas assez pour recevoir entre guillemets autant. Et je le dis, ce n'est pas une question de somme, c'est une question d'argent tout simplement. Et c'est une question de valeur par rapport à l'argent que vous recevez, quel que soit le montant d'argent que vous recevez. Si vous ne vous sentez pas assez de valeur, si vous ne vous aimez pas assez, si vous ne vous sentez pas assez. Pour recevoir ce type d'argent, alors qu'est-ce qui va se passer ? C'est que vous allez être obligé de donner dix fois plus pour que ce don que vous multipliez soit dans votre tête à la hauteur de ce que vous avez reçu comme argent. Et la quatrième chose, c'est, vous allez certainement vous en souvenir ou connecter avec ça, c'est évidemment que vous êtes perfectionniste et que vous voulez être. perçue comme irréprochable, parfaite, impossible, pas question d'être mal vue. Donc je vais lâcher les chevaux, mais dans le sens, tant pis si je me vide tant que je remplis l'autre, pour qu'il ait cette sensation d'être rassasié, d'en avoir assez, etc. Donc aujourd'hui, le truc, c'est d'aller vous poser vraiment les bonnes questions par rapport à ce que je viens de vous énumérer. Et ces questions... Ça pourrait être des questions comme, par exemple, quelles limites j'ai besoin de poser aujourd'hui et d'exprimer clairement à mes clientes à partir de maintenant. Qu'est-ce que je ne dis pas, que je laisse sous-entendre, mais que je ne verbalise pas, que je ne dis pas du tout à mes clientes, qui, une fois qu'elles arrivent, se trouvent stupéfaites du fait que j'ai une réaction qu'elles n'attendaient pas. Par exemple, si je fais un programme et que je dis que Par exemple, vous rentrez dans ce programme, vous l'avez tout le temps, vous êtes là tout le temps, dès que vous rentrez. Moi, je fais par exemple une fois par semaine un Zoom en live et puis vous êtes là, vous l'avez. Et au bout de trois mois, je vous coupe les accès au Zoom. Et inévitablement, vous allez venir me dire, mais Hélo, je ne comprends pas. Tu nous as dit que le programme, on l'avait et là, je ne comprends pas, je n'ai plus accès au Zoom. Et imaginez que moi, je vous réponde, mais en fait... évidemment que t'as pas accès aux au moins c'est sur trois mois en fait les les coaching les hot seats etc tous les trois mois que ça s'arrête sinon il va falloir renouveler mais en fait quand vous prenez le programme c'est que tous les trois mois que vous y avez droit si je disais ça qu'est ce que me diraient mes clientes versus vous avez ce programme à vie et en plus pendant trois mois exactement, vous avez accès à des hot-seats, à des coachings chaque semaine pendant trois mois. À la fin du troisième mois, soit vous voulez continuer et dans ce cas-là, vous devrez ré-embrayer, c'est-à-dire vous réinscrire pour trois mois supplémentaires et cette fois-ci, ça sera payant avec X montant d'argent. Sinon, vous pouvez quitter et puis c'est OK aussi. Voilà. Ça pourrait être aussi, c'est je fais un live, par exemple, par rapport au live d'Aurélie. Aurélie fait un live avec de la vente derrière et puis elle se rend compte que ça va être compliqué parce que même si elle sent qu'elle a besoin de repos, elle se dit, il y a une fête, il y a la fête des mères, les clientes, elles ont besoin de leurs cadeaux, je ne peux pas m'arrêter, je ne peux pas leur faire ça, je ne peux pas disparaître, je leur dois bien ça. Au lieu de dire par exemple faites vos commandes avant tel jour pour que je puisse m'organiser à préparer mes commandes, mes pierres, mes bijoux, etc. Les derniers jours de commandes pour la fête des mères vont s'arrêter, admettons, au 1er mai. À partir du 1er mai, je ne prends plus les commandes. Ou le 5 mai, ou le 3 mai, j'en sais rien, peu importe. C'est ça. toute la magie qui fait que quand on s'autorise à dire les choses clairement, vous allez attirer à vous des clientes que vous n'auriez jamais attirées si vous ne disiez pas les choses. Parce que si vous ne le dites pas, par exemple Aurélie qui n'a pas osé dire, peut-être je n'ai pas tout le contexte mais je vais partir là-dessus, qui n'a pas osé dire, qui n'a pas pensé à dire, qui a cru que les femmes auraient compris, ou tout simplement elle veut faire plaisir jusqu'au dernier jour, elle va se déchirer, etc. C'est fort probable qu'elle attire à elle des clientes qui sont très exigeantes, qui pourraient faire une commande, par exemple, deux jours avant la fête des mères. Je ne me souviens plus quand est-ce que c'est tombé, c'était un week-end me semble-t-il. Elles auraient fait une commande deux jours avant la fête des mères, et elles seraient revenues par exemple vers Aurélie et dire, mais comment ça se fait que je n'ai pas reçu ma commande, pourtant je vous l'ai passée il y a deux jours, c'est inadmissible, moi je n'ai pas eu mon cadeau pour ma mère, etc. C'est tellement excitant. de poser des limites, de poser non pas des règles, mais vos règles en fonction de vos clientes, en fonction des clientes que vous voulez attirer. Après, comme je le répète, je n'ai pas tout le contexte, donc peut-être que même ces clientes ne sont pas exigeantes, mais que l'exigence, elle a été poussée par Aurélie pour être l'entrepreneuse extraordinaire qui ne fait pas de bêtises et qui surtout veut garder... son identité de professionnel qui ne rigole pas, qui a une rigueur, qui est stricte, qui est impeccable, qui ne prend pas les gens pour des imbéciles et qui au contraire veut montrer qu'elle est une super entrepreneur, ce dont je ne doute absolument pas une seule seconde au vu de la tournure du message que tu m'as envoyé Aurélie. Donc ça c'était la première chose par rapport aux limites. Quelles limites est-ce que j'ai besoin de poser maintenant ? Quelles limites est-ce que j'ai besoin d'exprimer clairement ? Qu'est-ce que je dois dire à partir d'aujourd'hui pour que ce soit clair que je n'ai plus à m'épuiser, que je travaille, que je serve mes clientes de tout mon cœur, du mieux que je peux, sans pour autant me retrouver à leur service ? Et ça, il y a vraiment quelque chose par rapport au business, par rapport au business en ligne, par rapport surtout au business du coaching, de l'industrie, du mieux-être, etc. C'est qu'étant donné qu'on est dans le service, on s'imagine qu'on peut nous essorer comme des chiffons et que, en fait, c'est un peu notre rôle. vu qu'on est dans le service, que c'est un peu aussi notre rôle de se faire essorer, qu'on s'est donné à fond, on est là pour se donner à fond. Mais je vous le dis, et ça, ça pourrait vraiment faire un autre sujet de podcast, vous n'êtes pas des sauveuses. Vous n'êtes pas des sauveuses. Sinon, si vous vous mettez en posture de sauveuse, vous allez attirer à vous des clientes qui ont besoin d'être sauvées, dans le temps, dans l'exigence. dans le résultat, dans l'investissement, dans la motivation, dans tout ce que vous voulez, vous allez tomber sur des clientes comme ça, naturellement, parce que vous vous mettez en posture de sauveuse, que vous leur dites inconsciemment, c'est même énergétique, il n'y a même pas besoin d'ouvrir la bouche pour ça, ne t'inquiète pas, je suis là pour toi jusqu'à la dernière seconde. Et s'il faut que je prenne un train pour venir livrer ton bijou le jour de la fête des mères, je serai capable de le faire, parce que je suis là pour toi. C'est merveilleux dans un livre, dans un livre héroïque, dans un conte de fées, c'est merveilleux. Mais ce n'est pas la vie. Si vous voulez des clientes investies, engagées, que ce sont des clientes qui n'ont même pas besoin de vous demander vos limites parce qu'elles les respectent elles-mêmes, parce qu'elles-mêmes ont des limites et respectent les leurs, alors posez-les, posez les limites. Exprimez-les clairement. La deuxième chose, ça serait comme question à quoi je décide de dire oui, à quoi je décide de dire non. Je peux changer à tout moment. Il y a plein de choses que moi, j'ai acceptées au début. qu'aujourd'hui je n'accepte plus. Plein de choses pour lesquelles je suis disponible, que j'étais disponible jusqu'à il y a quelques mois, aujourd'hui je ne le suis plus. Il y a quelque chose que vous m'entendrez dire souvent, d'ailleurs que je développe énormément dans le protocole numéro 1, c'est vos clientes ne sont pas vos amis. Je sais que ce n'est pas facile à entendre parce qu'on a toujours cette sensation que quand on a des clientes, on peut, on doit tout accepter. On doit dire oui tout le temps, sinon on les perd. Et j'ai envie de vous dire l'inverse, si vous les perdez, ce ne sont pas des clientes, ce sont des touristes. Si lorsque vous dites un oui ou un non à quelqu'un, vous perdez ce quelqu'un, ce n'est pas un client. C'est un touriste qui est capricieux, qui n'a plus envie, qui s'attendait à ce que vous disiez oui tout le temps. Et puis le jour où vous dites non, il n'est pas content. Ça ne marche pas comme ça. Donc vous avez besoin de décider à quoi dire oui. et vous avez besoin de décider à quoi dire non. En sachant que rien n'est figé dans la pierre. Tout est flexible, tout est malléable, tout est transformable. Je vais vous donner un exemple. Aujourd'hui, je n'accepterai jamais dans mes programmes une femme qui doute de l'efficacité, qui doute ou qui me demande avec certitude Moi, je veux connaître le résultat que je vais avoir si je rentre dans ton programme. Convainc-moi. que ton programme est fait pour moi. Mais ce genre d'attitude-là, de discours-là, c'est même plus envisageable dans mon univers. Dans l'univers premium, ça ne marche pas comme ça et ça ne marchera plus jamais comme ça. Aujourd'hui, rentrent dans l'univers premium des femmes qui sont déterminées, engagées, qui font le travail, qui savent que c'est le travail intérieur, que c'est le travail énergétique, que c'est le mindset, que c'est l'état d'esprit, que c'est l'identité premium qui... Elles ont conscience de ça, que c'est ça qui va leur permettre de développer leur succès, de développer leur business, d'avoir la prospérité, d'avoir la notoriété, d'avoir le succès, d'avoir l'argent, etc. Sans ça, c'est fini, je n'accepte plus quelqu'un qui viendrait me demander dans un programme, Mais alors c'est quoi la stratégie pour faire ceci ou pour faire cela ? Je ne l'accepterai pas. Point final. Parce que, et je dirais un nom ferme, parce que ça ne rendrait de service ni à lui ni à moi. Je meurs moi si je fais… Un business stratégique en sachant pertinemment que la personne qui veut poser des stratégies est dans sa version low cost, qu'elle est incapable de lever son leadership, qu'elle n'a pas fait le travail, qu'elle est en froid avec l'argent, qu'elle n'est pas prête à exploser, qu'elle veut exploser mais qu'elle ne se sent pas capable d'exploser. Ce n'est pas possible. Donc, c'est important que vous ayez cette notion de dire oui et de dire non clairement. La troisième chose comme question plutôt, ça serait est-ce que... Si je donnais pour donner, c'est-à-dire si une fois que ma cliente m'a payé, je donnais pour donner et que je n'attendais plus de reconnaissance de sa part parce que je me trouve assez de valeur, alors comment je me sentirais ? Ça donnerait quoi ? Comment est-ce que je me sentirais ? Si quand on me paye et que mes limites sont claires et que je sais à quoi je dis oui, à quoi je dis non, que mes clientes arrivent en connaissance de cause, qu'elles savent déjà tout ça, que tout est clair, alors... Et que je fais mon job, elle me paye en sachant pertinemment à l'avance tout ce qui se passe. Je fais mon job, je crée mon bijou, certainement. Je lui offre mon bijou du mieux que je peux avec un super beau packaging. Vraiment, je fais les choses bien parce que je suis une entrepreneuse extraordinaire. Je connais ma valeur et que je sais que si elle m'a payé, c'est parce que si ma valeur, je la connais, alors elle, elle est capable de la connaître et de la reconnaître aussi. Alors, comment est-ce que je me sens ? Et vous allez voir votre niveau de confiance en vous, comment il va se lever. Votre niveau d'amour de vous, comment il va se lever. De fierté de vous, comment il va se lever. Vous allez voir. Et la dernière chose, la dernière question, ça pourrait être quelque chose comme qu'est-ce que j'ai besoin de dépasser au niveau de ce perfectionnisme pour que les gens, écoutez bien, me voient comme je désire être vue vraiment, sans me cramer. sans m'épuiser pour autant. Donc, qu'est-ce que j'ai besoin de passer ? Sur quoi j'ai besoin de passer ? Par-dessus quoi j'ai besoin de passer au niveau du perfectionnisme ? Pour que... les gens puissent me voir comme j'ai envie qu'on me voit vraiment. Une entrepreneuse extraordinaire, qui fait un travail extraordinaire, qui a un talent de fou, qui est généreuse, qui est connectée, qui est énergétique, qui est électrique, qui est charismatique, qui est vous quoi ! Et sans que j'ai à me cramer. Ça veut dire qu'est-ce que je suis capable de faire ? Tranquille, seule, libre, juste avec qui je suis vraiment. Pour éviter de me cramer. Qu'est-ce que j'abandonne du perfectionnisme ? Est-ce que j'ai vraiment besoin, par exemple, comme Aurélie, d'être cette femme qui se montre en tant que femme qui va se donner corps et âme pour ses clientes ? Tu peux le faire Aurélie, vous pouvez le faire, vous donner corps et âme à vos clientes. C'est un peu le but. Moi je donne tout, par exemple, à mes clientes, je donne tout ce que je suis capable de donner au moment où je suis avec elles pour me donner. Vous comprenez la différence ? Il y a des espaces de temps, il y a des espèces de poches de temps pendant lesquelles on est là pour donner. Et puis il y a des poches de temps pendant lesquelles on est là pour recevoir. Et si vous n'allez pas au-delà de ce perfectionnisme latent qui vous met des bâtons dans les roues et qui vous empêche clairement d'être qui vous êtes vraiment, parce que vous êtes obligé de vous transformer en quelqu'un de mieux, de meilleur, alors que vous êtes déjà mieux et meilleur. C'est juste qu'au niveau de votre valeur, vous n'en avez pas conscience. Et bien du coup, qu'est-ce qui va se passer ? Est-ce que vous serez toujours en train de patauger pour essayer d'être cette meilleure personne, cette illusion par rapport à ce que vos clientes croient, par rapport à ce que vous, vous croyez qu'elles attendent parce que ce n'est pas clair, parce que tout ce charabia là, tout ce méli-mélo qui fait que vous êtes toujours obligé de vous mettre en posture de quelqu'un d'autre alors que si vous retournez à la valeur que vous avez vraiment et que vous la... connaissez, que vous la reconnaissez, eh bien, qu'est-ce qui se passe ? Vous n'avez plus besoin de jouer un jeu, vous n'avez plus besoin d'aller chercher le perfectionnisme parce que vos clientes sauront que, comme elles, vous n'êtes pas parfaite et que c'est très bien comme ça. Et que même si vous n'êtes pas parfaite, vous faites un travail extraordinaire. Vous êtes vraiment hyper doué dans votre activité, dans votre industrie. Vous êtes vraiment faite pour être l'une des références de votre industrie. Vous êtes venue pour avoir le succès grâce à votre impact, grâce à votre travail extraordinaire, grâce à votre identité premium, celle qui est non censurée, celle avec qui vous vous permettez, vous vous autorisez à être qui vous êtes vraiment. Sans limite, sans barrière, sans censure. Donc voilà l'épisode du jour. J'étais vraiment heureuse de vous partager ça. Ce que je vous ai dit, c'est vraiment très profond. J'espère vraiment que ça aura tapé dans votre cœur. N'hésitez pas à me dire en commentaire ou en retour quand vous allez écouter l'épisode par mail ou en DM ou quoi que ce soit. Comme d'habitude, ce que vous avez pensé de l'épisode et surtout ce que ça a impacté en vous. D'accord ? Ce que ça a reflété chez vous, ce que ça a fait miroiter en vous. C'est très important pour vous que vous ayez cette notion de mise en avant de qui vous êtes vraiment et que... Eh bien, il ne s'agit pas de s'épuiser quand on est entrepreneur. Il ne s'agit pas de faire plaisir à tout le monde pour vous nourrir du bonheur des autres. Il s'agit d'être d'abord heureuse, vous. Et pour ça, vous avez besoin de poser des limites, de savoir dire oui, de savoir dire non, de donner pour donner et d'apprendre à recevoir quand c'est le moment de recevoir et de dépasser ce fucking perfectionnisme. Donc, je vous souhaite un merveilleux dimanche. Réfléchissez bien à tout ça. Activez ce qu'il faut activer pour pouvoir... Passez encore un prochain niveau et on se retrouve sur un prochain niveau. Je vous souhaite un petit bon dimanche et de bonnes vacances. Bye !

Description

Combien d'entrepreneuses s'épuisent tellement elles font passer leurs clientes avant elles et finissent leurs journées complètement lessivées?


Ce sujet, il est venu me chercher parce que j’ai très bonne mémoire concernant mon passé, je me souviens très bien de qui j’étais et de combien de fois je me suis "sacrifiée" pour le bonheur de mes clientes, mais pas vraiment pour le mien, soyons honnêtes.


Si c'est votre cas, vous devez absolument écouter cet épisode.



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Transcription

  • Speaker #0

    Hello et bienvenue sur le podcast Femme Premium, je m'appelle Elodie Foranti, entrepreneur depuis presque 20 ans et business coach. Femme Premium, c'est le podcast des femmes qui veulent se créer le mindset des entrepreneurs à succès pour développer les business prospères et manifester la vie libre qu'elles veulent vraiment. Alors je vous laisse vous abonner au podcast pour que vous puissiez avoir chaque semaine du contenu pour y parvenir vraiment. A tout de suite ! Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien et... que vous êtes en pleine forme. Je suis hyper, hyper heureuse de vous retrouver aujourd'hui sur ce nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, j'avais envie de répondre à une question qui m'a été posée. Alors, vous savez, de temps en temps, sur mes stories, je mets une vignette dans laquelle je vous laisse la possibilité de poser des questions, des thématiques qui vous tiennent à cœur, des choses auxquelles vous voudriez que je réponde, que je donne mon point de vue. Et aujourd'hui, c'est une question d'Aurélie que je vais répondre, qui m'a demandé si je pouvais faire... un épisode sur un sujet un peu hot qui s'intitule Je fais passer mes clientes avant moi Puis je vais vous dire que ce sujet, il est venu me chercher parce que j'ai bonne mémoire quand même concernant mon passé, mes débuts, etc. Et je me souviens très très bien de qui j'étais. Donc j'espère vraiment que cet épisode, il va parler à Aurélie, bien entendu, et puis à vous toutes, si vous aussi, vous êtes un peu aux prises avec vos clientes et que vous n'avez pas, comment vous dire, possibilité ou que vous n'avez pas la capacité de faire le tri entre où est-ce que j'y vais, quelles sont mes limites, où est-ce que je m'arrête. Donc voilà le message que m'a posté Aurélie. Dans mon ancien job, je me mettais en quatre pour mes clientes et là, je reproduis la même chose. Après mon live de vente bijoux et pierres, je sentais que j'avais besoin de repos mais je me suis dit, c'est la fête des mères, les clientes ont besoin de leurs cadeaux et donc j'ai pas arrêté. Et du coup, mon corps m'a stoppée. Je sais pas... plus rester debout, ni assise, ni couché à cause de mes maux de dos. Mais là, je pense que j'ai compris cette fois. Je ne suis pas douce avec moi. Je me juge trop et j'en fais trop pour mes clientes. Donc déjà, merci Aurélie. Si tu l'entends, n'hésite pas à me renvoyer un petit message pour savoir ce que tu as pensé de ce que je vais vous partager. Et donc, merci d'avoir posté et partagé ta situation parce que je pense que ça va être extrêmement utile pour beaucoup, beaucoup, beaucoup de femmes ici. La première des choses que je vais vous dire à ce sujet-là, c'est que souvent, ce n'est pas que vous faites passer vos clientes avant vous. Ça, c'est une conséquence. Mais la réalité, c'est que la plupart du temps, ce n'est pas que les clientes que vous faites passer avant vous. C'est tout et tout le monde. Votre famille, vos enfants, le mari, le travail, tout, tout passe devant vous. En gros, le bonheur des autres avant le vôtre. Tant que les autres sont heureux, moi je suis heureuse. Tant que mes clientes elles sont heureuses, moi ça me va. Même si le soir j'en peux plus. Même si le soir je suis éclatée. Même si j'ai passé 14 heures sur mon ordinateur pour répondre à leurs questions. Même si elles sont capricieuses et qu'elles veulent une réponse instantanée. Alors je me donne en mille et puis tant pis pour mes week-ends et puis tant pis pour les enfants. Je me dois de me donner à mes clientes. Et comme je dis toujours... Vous êtes là, nous sommes là pour servir nos clientes, mais pas pour être à leur service. Et je voudrais que vous entendiez vraiment cette phrase-là, parce que quand vous allez la comprendre, au-delà du fait que vous savez quand on est en coaching, quand on est en business, quand on vend du service, quand on vend du mieux-être, etc., on est là pour, on a cette espèce de posture initiale, dans laquelle on ne fait pas trop gaffe en fait, mais on se présente comme celle qui doit tout. Je suis, je fais du service, donc je suis au service d'eux. Et ça, c'est l'erreur fatale. Et votre bonheur, comme celui d'Aurélie, il est conditionné par celui des autres. Du coup, vous allez faire quoi ? Vous allez nourrir en permanence l'autre pour qu'il soit heureux. Vous allez nourrir vos clientes en permanence pour qu'elles soient heureuses. Et puis du coup, pour que vous soyez heureuses aussi. Ça veut dire que votre bonheur, votre soulagement, votre paix, votre tranquillité, votre... Cette façon d'être professionnelle, elle est conditionnée par le fait que vous envoyez d'abord à vos clientes ou au monde ce qu'il faut. Je vous le répète, ce n'est pas qu'aux clientes qu'on fait ça habituellement, c'est à tout le monde. Donc, on donne aux autres et dès que les autres sont soulagés, sont repus, sont rassasiés, sont contents, sont satisfaits, alors nous, on est heureux. Mais le bonheur, et surtout pas dans le business et encore moins dans la vie, ce n'est pas comme ça que ça marche. Donc, qu'est-ce qu'on fait en fait ? Enfin, qu'est-ce que vous faites ? c'est que votre bonheur, vous ne le créez pas pour vous, mais vous le créez pour vous à travers les autres et dans votre business ça donne quoi ça se donne que vous créez pour les autres vous de vous créez pour vos clientes au détriment de votre personne de votre âme de votre santé de votre mental vous posez zéro limite alors 0 ça je suis prêt à mettre mes mains à couper ni à vous ni à vos clientes de façon clairement exprimé du coup ça fait quoi ça fait que vous donner sans limite ça C'est la première des choses. La deuxième des choses qui fait souvent défaut aux femmes qui ne rendent pas service à leurs clientes, mais qui sont à leur service en permanence, c'est que vous ne savez pas dire non, ni à vous, ni aux autres. Du coup, qu'est-ce qui se passe ? C'est que vous continuez, même si ça vous coûte, vous continuez. Parce que dès le moment où vous avez dit oui, que vous êtes engagé dans le oui une fois, c'est plus possible de faire machine arrière parce que sinon, qu'est-ce qui risquerait de se passer ? de perdre vos clientes, votre communauté, votre audience, de l'argent, faire tomber le business, etc. Et ça, c'est ce que vous croyez. La troisième des choses, c'est que vous vous donnez à fond. Et très souvent, c'est ce qu'on fait, on va se donner à fond pour nos clientes, pour la mauvaise raison. Non pas parce qu'on est ici, dans notre pouvoir d'aider l'autre à se transformer, mais parce qu'on attend de la reconnaissance et un... en retour sur votre investissement. Vos clientes vous ont payé, en retour, vous vous devez de leur donner 10 fois plus, 100 fois plus, parce que la somme que vous recevez, en fait, vous semble tellement énorme que vous êtes obligés d'en faire des caisses supplémentaires pour, en fait, calibrer, pour équilibrer la somme que vous avez reçue, même si c'est une petite somme, attention, ce n'est pas une question de... quantité, c'est pas une question de volume, c'est une question de peu importe la somme. Vous, dès que vous la récupérez, vous avez l'impression qu'il faut en donner cent mille fois plus. Et ça, je vous le dis, entendez-le bien, c'est une question de valeur. Et je vais vous dire même mieux, de votre valeur. Quand vous estimez inconsciemment que vous n'avez pas assez de valeur pour recevoir la somme que vous recevez, vous allez être obligé de compenser. Parce que vous pensez que vous n'êtes pas assez pour recevoir entre guillemets autant. Et je le dis, ce n'est pas une question de somme, c'est une question d'argent tout simplement. Et c'est une question de valeur par rapport à l'argent que vous recevez, quel que soit le montant d'argent que vous recevez. Si vous ne vous sentez pas assez de valeur, si vous ne vous aimez pas assez, si vous ne vous sentez pas assez. Pour recevoir ce type d'argent, alors qu'est-ce qui va se passer ? C'est que vous allez être obligé de donner dix fois plus pour que ce don que vous multipliez soit dans votre tête à la hauteur de ce que vous avez reçu comme argent. Et la quatrième chose, c'est, vous allez certainement vous en souvenir ou connecter avec ça, c'est évidemment que vous êtes perfectionniste et que vous voulez être. perçue comme irréprochable, parfaite, impossible, pas question d'être mal vue. Donc je vais lâcher les chevaux, mais dans le sens, tant pis si je me vide tant que je remplis l'autre, pour qu'il ait cette sensation d'être rassasié, d'en avoir assez, etc. Donc aujourd'hui, le truc, c'est d'aller vous poser vraiment les bonnes questions par rapport à ce que je viens de vous énumérer. Et ces questions... Ça pourrait être des questions comme, par exemple, quelles limites j'ai besoin de poser aujourd'hui et d'exprimer clairement à mes clientes à partir de maintenant. Qu'est-ce que je ne dis pas, que je laisse sous-entendre, mais que je ne verbalise pas, que je ne dis pas du tout à mes clientes, qui, une fois qu'elles arrivent, se trouvent stupéfaites du fait que j'ai une réaction qu'elles n'attendaient pas. Par exemple, si je fais un programme et que je dis que Par exemple, vous rentrez dans ce programme, vous l'avez tout le temps, vous êtes là tout le temps, dès que vous rentrez. Moi, je fais par exemple une fois par semaine un Zoom en live et puis vous êtes là, vous l'avez. Et au bout de trois mois, je vous coupe les accès au Zoom. Et inévitablement, vous allez venir me dire, mais Hélo, je ne comprends pas. Tu nous as dit que le programme, on l'avait et là, je ne comprends pas, je n'ai plus accès au Zoom. Et imaginez que moi, je vous réponde, mais en fait... évidemment que t'as pas accès aux au moins c'est sur trois mois en fait les les coaching les hot seats etc tous les trois mois que ça s'arrête sinon il va falloir renouveler mais en fait quand vous prenez le programme c'est que tous les trois mois que vous y avez droit si je disais ça qu'est ce que me diraient mes clientes versus vous avez ce programme à vie et en plus pendant trois mois exactement, vous avez accès à des hot-seats, à des coachings chaque semaine pendant trois mois. À la fin du troisième mois, soit vous voulez continuer et dans ce cas-là, vous devrez ré-embrayer, c'est-à-dire vous réinscrire pour trois mois supplémentaires et cette fois-ci, ça sera payant avec X montant d'argent. Sinon, vous pouvez quitter et puis c'est OK aussi. Voilà. Ça pourrait être aussi, c'est je fais un live, par exemple, par rapport au live d'Aurélie. Aurélie fait un live avec de la vente derrière et puis elle se rend compte que ça va être compliqué parce que même si elle sent qu'elle a besoin de repos, elle se dit, il y a une fête, il y a la fête des mères, les clientes, elles ont besoin de leurs cadeaux, je ne peux pas m'arrêter, je ne peux pas leur faire ça, je ne peux pas disparaître, je leur dois bien ça. Au lieu de dire par exemple faites vos commandes avant tel jour pour que je puisse m'organiser à préparer mes commandes, mes pierres, mes bijoux, etc. Les derniers jours de commandes pour la fête des mères vont s'arrêter, admettons, au 1er mai. À partir du 1er mai, je ne prends plus les commandes. Ou le 5 mai, ou le 3 mai, j'en sais rien, peu importe. C'est ça. toute la magie qui fait que quand on s'autorise à dire les choses clairement, vous allez attirer à vous des clientes que vous n'auriez jamais attirées si vous ne disiez pas les choses. Parce que si vous ne le dites pas, par exemple Aurélie qui n'a pas osé dire, peut-être je n'ai pas tout le contexte mais je vais partir là-dessus, qui n'a pas osé dire, qui n'a pas pensé à dire, qui a cru que les femmes auraient compris, ou tout simplement elle veut faire plaisir jusqu'au dernier jour, elle va se déchirer, etc. C'est fort probable qu'elle attire à elle des clientes qui sont très exigeantes, qui pourraient faire une commande, par exemple, deux jours avant la fête des mères. Je ne me souviens plus quand est-ce que c'est tombé, c'était un week-end me semble-t-il. Elles auraient fait une commande deux jours avant la fête des mères, et elles seraient revenues par exemple vers Aurélie et dire, mais comment ça se fait que je n'ai pas reçu ma commande, pourtant je vous l'ai passée il y a deux jours, c'est inadmissible, moi je n'ai pas eu mon cadeau pour ma mère, etc. C'est tellement excitant. de poser des limites, de poser non pas des règles, mais vos règles en fonction de vos clientes, en fonction des clientes que vous voulez attirer. Après, comme je le répète, je n'ai pas tout le contexte, donc peut-être que même ces clientes ne sont pas exigeantes, mais que l'exigence, elle a été poussée par Aurélie pour être l'entrepreneuse extraordinaire qui ne fait pas de bêtises et qui surtout veut garder... son identité de professionnel qui ne rigole pas, qui a une rigueur, qui est stricte, qui est impeccable, qui ne prend pas les gens pour des imbéciles et qui au contraire veut montrer qu'elle est une super entrepreneur, ce dont je ne doute absolument pas une seule seconde au vu de la tournure du message que tu m'as envoyé Aurélie. Donc ça c'était la première chose par rapport aux limites. Quelles limites est-ce que j'ai besoin de poser maintenant ? Quelles limites est-ce que j'ai besoin d'exprimer clairement ? Qu'est-ce que je dois dire à partir d'aujourd'hui pour que ce soit clair que je n'ai plus à m'épuiser, que je travaille, que je serve mes clientes de tout mon cœur, du mieux que je peux, sans pour autant me retrouver à leur service ? Et ça, il y a vraiment quelque chose par rapport au business, par rapport au business en ligne, par rapport surtout au business du coaching, de l'industrie, du mieux-être, etc. C'est qu'étant donné qu'on est dans le service, on s'imagine qu'on peut nous essorer comme des chiffons et que, en fait, c'est un peu notre rôle. vu qu'on est dans le service, que c'est un peu aussi notre rôle de se faire essorer, qu'on s'est donné à fond, on est là pour se donner à fond. Mais je vous le dis, et ça, ça pourrait vraiment faire un autre sujet de podcast, vous n'êtes pas des sauveuses. Vous n'êtes pas des sauveuses. Sinon, si vous vous mettez en posture de sauveuse, vous allez attirer à vous des clientes qui ont besoin d'être sauvées, dans le temps, dans l'exigence. dans le résultat, dans l'investissement, dans la motivation, dans tout ce que vous voulez, vous allez tomber sur des clientes comme ça, naturellement, parce que vous vous mettez en posture de sauveuse, que vous leur dites inconsciemment, c'est même énergétique, il n'y a même pas besoin d'ouvrir la bouche pour ça, ne t'inquiète pas, je suis là pour toi jusqu'à la dernière seconde. Et s'il faut que je prenne un train pour venir livrer ton bijou le jour de la fête des mères, je serai capable de le faire, parce que je suis là pour toi. C'est merveilleux dans un livre, dans un livre héroïque, dans un conte de fées, c'est merveilleux. Mais ce n'est pas la vie. Si vous voulez des clientes investies, engagées, que ce sont des clientes qui n'ont même pas besoin de vous demander vos limites parce qu'elles les respectent elles-mêmes, parce qu'elles-mêmes ont des limites et respectent les leurs, alors posez-les, posez les limites. Exprimez-les clairement. La deuxième chose, ça serait comme question à quoi je décide de dire oui, à quoi je décide de dire non. Je peux changer à tout moment. Il y a plein de choses que moi, j'ai acceptées au début. qu'aujourd'hui je n'accepte plus. Plein de choses pour lesquelles je suis disponible, que j'étais disponible jusqu'à il y a quelques mois, aujourd'hui je ne le suis plus. Il y a quelque chose que vous m'entendrez dire souvent, d'ailleurs que je développe énormément dans le protocole numéro 1, c'est vos clientes ne sont pas vos amis. Je sais que ce n'est pas facile à entendre parce qu'on a toujours cette sensation que quand on a des clientes, on peut, on doit tout accepter. On doit dire oui tout le temps, sinon on les perd. Et j'ai envie de vous dire l'inverse, si vous les perdez, ce ne sont pas des clientes, ce sont des touristes. Si lorsque vous dites un oui ou un non à quelqu'un, vous perdez ce quelqu'un, ce n'est pas un client. C'est un touriste qui est capricieux, qui n'a plus envie, qui s'attendait à ce que vous disiez oui tout le temps. Et puis le jour où vous dites non, il n'est pas content. Ça ne marche pas comme ça. Donc vous avez besoin de décider à quoi dire oui. et vous avez besoin de décider à quoi dire non. En sachant que rien n'est figé dans la pierre. Tout est flexible, tout est malléable, tout est transformable. Je vais vous donner un exemple. Aujourd'hui, je n'accepterai jamais dans mes programmes une femme qui doute de l'efficacité, qui doute ou qui me demande avec certitude Moi, je veux connaître le résultat que je vais avoir si je rentre dans ton programme. Convainc-moi. que ton programme est fait pour moi. Mais ce genre d'attitude-là, de discours-là, c'est même plus envisageable dans mon univers. Dans l'univers premium, ça ne marche pas comme ça et ça ne marchera plus jamais comme ça. Aujourd'hui, rentrent dans l'univers premium des femmes qui sont déterminées, engagées, qui font le travail, qui savent que c'est le travail intérieur, que c'est le travail énergétique, que c'est le mindset, que c'est l'état d'esprit, que c'est l'identité premium qui... Elles ont conscience de ça, que c'est ça qui va leur permettre de développer leur succès, de développer leur business, d'avoir la prospérité, d'avoir la notoriété, d'avoir le succès, d'avoir l'argent, etc. Sans ça, c'est fini, je n'accepte plus quelqu'un qui viendrait me demander dans un programme, Mais alors c'est quoi la stratégie pour faire ceci ou pour faire cela ? Je ne l'accepterai pas. Point final. Parce que, et je dirais un nom ferme, parce que ça ne rendrait de service ni à lui ni à moi. Je meurs moi si je fais… Un business stratégique en sachant pertinemment que la personne qui veut poser des stratégies est dans sa version low cost, qu'elle est incapable de lever son leadership, qu'elle n'a pas fait le travail, qu'elle est en froid avec l'argent, qu'elle n'est pas prête à exploser, qu'elle veut exploser mais qu'elle ne se sent pas capable d'exploser. Ce n'est pas possible. Donc, c'est important que vous ayez cette notion de dire oui et de dire non clairement. La troisième chose comme question plutôt, ça serait est-ce que... Si je donnais pour donner, c'est-à-dire si une fois que ma cliente m'a payé, je donnais pour donner et que je n'attendais plus de reconnaissance de sa part parce que je me trouve assez de valeur, alors comment je me sentirais ? Ça donnerait quoi ? Comment est-ce que je me sentirais ? Si quand on me paye et que mes limites sont claires et que je sais à quoi je dis oui, à quoi je dis non, que mes clientes arrivent en connaissance de cause, qu'elles savent déjà tout ça, que tout est clair, alors... Et que je fais mon job, elle me paye en sachant pertinemment à l'avance tout ce qui se passe. Je fais mon job, je crée mon bijou, certainement. Je lui offre mon bijou du mieux que je peux avec un super beau packaging. Vraiment, je fais les choses bien parce que je suis une entrepreneuse extraordinaire. Je connais ma valeur et que je sais que si elle m'a payé, c'est parce que si ma valeur, je la connais, alors elle, elle est capable de la connaître et de la reconnaître aussi. Alors, comment est-ce que je me sens ? Et vous allez voir votre niveau de confiance en vous, comment il va se lever. Votre niveau d'amour de vous, comment il va se lever. De fierté de vous, comment il va se lever. Vous allez voir. Et la dernière chose, la dernière question, ça pourrait être quelque chose comme qu'est-ce que j'ai besoin de dépasser au niveau de ce perfectionnisme pour que les gens, écoutez bien, me voient comme je désire être vue vraiment, sans me cramer. sans m'épuiser pour autant. Donc, qu'est-ce que j'ai besoin de passer ? Sur quoi j'ai besoin de passer ? Par-dessus quoi j'ai besoin de passer au niveau du perfectionnisme ? Pour que... les gens puissent me voir comme j'ai envie qu'on me voit vraiment. Une entrepreneuse extraordinaire, qui fait un travail extraordinaire, qui a un talent de fou, qui est généreuse, qui est connectée, qui est énergétique, qui est électrique, qui est charismatique, qui est vous quoi ! Et sans que j'ai à me cramer. Ça veut dire qu'est-ce que je suis capable de faire ? Tranquille, seule, libre, juste avec qui je suis vraiment. Pour éviter de me cramer. Qu'est-ce que j'abandonne du perfectionnisme ? Est-ce que j'ai vraiment besoin, par exemple, comme Aurélie, d'être cette femme qui se montre en tant que femme qui va se donner corps et âme pour ses clientes ? Tu peux le faire Aurélie, vous pouvez le faire, vous donner corps et âme à vos clientes. C'est un peu le but. Moi je donne tout, par exemple, à mes clientes, je donne tout ce que je suis capable de donner au moment où je suis avec elles pour me donner. Vous comprenez la différence ? Il y a des espaces de temps, il y a des espèces de poches de temps pendant lesquelles on est là pour donner. Et puis il y a des poches de temps pendant lesquelles on est là pour recevoir. Et si vous n'allez pas au-delà de ce perfectionnisme latent qui vous met des bâtons dans les roues et qui vous empêche clairement d'être qui vous êtes vraiment, parce que vous êtes obligé de vous transformer en quelqu'un de mieux, de meilleur, alors que vous êtes déjà mieux et meilleur. C'est juste qu'au niveau de votre valeur, vous n'en avez pas conscience. Et bien du coup, qu'est-ce qui va se passer ? Est-ce que vous serez toujours en train de patauger pour essayer d'être cette meilleure personne, cette illusion par rapport à ce que vos clientes croient, par rapport à ce que vous, vous croyez qu'elles attendent parce que ce n'est pas clair, parce que tout ce charabia là, tout ce méli-mélo qui fait que vous êtes toujours obligé de vous mettre en posture de quelqu'un d'autre alors que si vous retournez à la valeur que vous avez vraiment et que vous la... connaissez, que vous la reconnaissez, eh bien, qu'est-ce qui se passe ? Vous n'avez plus besoin de jouer un jeu, vous n'avez plus besoin d'aller chercher le perfectionnisme parce que vos clientes sauront que, comme elles, vous n'êtes pas parfaite et que c'est très bien comme ça. Et que même si vous n'êtes pas parfaite, vous faites un travail extraordinaire. Vous êtes vraiment hyper doué dans votre activité, dans votre industrie. Vous êtes vraiment faite pour être l'une des références de votre industrie. Vous êtes venue pour avoir le succès grâce à votre impact, grâce à votre travail extraordinaire, grâce à votre identité premium, celle qui est non censurée, celle avec qui vous vous permettez, vous vous autorisez à être qui vous êtes vraiment. Sans limite, sans barrière, sans censure. Donc voilà l'épisode du jour. J'étais vraiment heureuse de vous partager ça. Ce que je vous ai dit, c'est vraiment très profond. J'espère vraiment que ça aura tapé dans votre cœur. N'hésitez pas à me dire en commentaire ou en retour quand vous allez écouter l'épisode par mail ou en DM ou quoi que ce soit. Comme d'habitude, ce que vous avez pensé de l'épisode et surtout ce que ça a impacté en vous. D'accord ? Ce que ça a reflété chez vous, ce que ça a fait miroiter en vous. C'est très important pour vous que vous ayez cette notion de mise en avant de qui vous êtes vraiment et que... Eh bien, il ne s'agit pas de s'épuiser quand on est entrepreneur. Il ne s'agit pas de faire plaisir à tout le monde pour vous nourrir du bonheur des autres. Il s'agit d'être d'abord heureuse, vous. Et pour ça, vous avez besoin de poser des limites, de savoir dire oui, de savoir dire non, de donner pour donner et d'apprendre à recevoir quand c'est le moment de recevoir et de dépasser ce fucking perfectionnisme. Donc, je vous souhaite un merveilleux dimanche. Réfléchissez bien à tout ça. Activez ce qu'il faut activer pour pouvoir... Passez encore un prochain niveau et on se retrouve sur un prochain niveau. Je vous souhaite un petit bon dimanche et de bonnes vacances. Bye !

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